Tumgik
#gueul 24
monempathieetmoi · 2 years
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"Les coches bleues de la renommée" de la dernière Maj pour se foutre de notre cher Elon Musk 🤣🤣🤣
Et on peut les empiler en plus 😂
Tumblr vous êtes des génies 💋
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ouvrierhv · 24 days
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les ouvriers sont au dressage le chef gueule sur un gars pour lui donner l ordre d aller chercher du materiel celui qu a la brouette c est le plus con pas capable de poser les paves comme y faut il est bon qu a aller chercher le sable. le meilleur c est le tondu a blanc il est obeissant fier d etre soumis a son chef disponible 24/24 pour travailler. les gars ont ordre de montrer les semelles de leurs chaussures de securite. a la fin de la journee le conard qu a la brouette sera puni il devra lecher les semelles de tous ses collegues putin je voudrai bien prendre la punition a sa place
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aurevoirmonty · 2 months
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Dette+guerre (https://t.me/kompromatmedia_2/353)–«On va sauter dans les 24 mois qui viennent»: Charles Gave annonce la banqueroute de la France
«Ils vont bloquer vos comptes, ils vont aller chercher l'argent dans votre compte», a mis en garde (https://youtu.be/IiZ0jB_LiWs?si=3eUEGoxYVbsEhccm) le fondateur de l’Institut des Libertés.
Avec une dette de plus de 3.000 milliards d’euros, notamment à cause des «quoi qu’il en coûte» de Macron pour le Covid et l’Ukraine, il va falloir lever environ 300 milliards d’euros sur les marchés financiers en 2024, a-t-il calculé.
«Il faut des années pour ruiner un pays comme la France, mais quand vous êtes vraiment ruiné, la chute est d'une rapidité…»
Là, il va avoir une baisse du niveau de vie effroyable. Et qui va prendre le plus dans la gueule? Les petites gens. C’est les agriculteurs, c'est les Gilets jaunes. Je trouve ça absolument odieux.
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misterlemonztenth · 4 months
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02-06-24 | un-gif-dans-ta-gueule. misterlemonztenth.tumblr.com/archive
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creepysora · 4 months
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THE YHARNAM MISSIVE - CHAPTER 2: AMUSE-GUEULE
Chapters: 2/8 Fandom: Bloodborne (Video Game) Rating: Mature Warnings: Graphic Depictions Of Violence
Chapter 2 is up and go! I hope everyone is ready for the forest trip to go real bad real fast!
Specific triggers for this specific chapter can be found in the tags and in the chapter notes!
Journal of [ ], Parish Constable Captain
October 4th. Sky hangs low with clouds; we might get caught in rain later this day. Thick fog covered the forest this morning, so dense even on the fields at the forest’s edge that I could barely see 3 meters ahead. I suspect that, should I have moved into the forest proper, I soon would have been unable to see even my own hand stretched out in front of me. Men were restless, with some reporting hearing voices from the woods. Those who are not familiar with the wilderness may not be used to its sounds, and Michał and I both suspect that this unfamiliarity might be at play here. Told them to take heart and remember their training, their tasks, and their valor. Dogs appear nervous too, barking and snarling at the trees hidden by fog, growling at shadows. Calming them delayed us, but it is all in the interest of avoiding unnecessary risks. These canines may trust us, but I do not wish to see them act in a moment of panic and attack either us or the horses. We moved into the woods around midday in hopes of waiting out the fog, but it remains as ghostly wisps. Visibility improved, but is not ideal. 
Addendum, evening of October 5th: Heavy rain started soon enough. The canopies protect us from the worst of it. The wet forest ground should be ideal for tracking down the game. Two of the horses have been swaying the further we go, their gait unsteady and their nostrils foamy. Upon inspection, all horseshoes are still attached and in good condition, and we could find no signs of obvious illness or injury. I have sent Constables Vìtek and Lukas back with the horses to have them sheltered at one of the farms for further examination and rest. The men will catch up with us as soon as they are able to, following our tracks. We continue onwards with 3 horses, 78 men, 24 hounds, 8 sight-dogs, and 8 dogues. 
October 8th. The rain has not let up. The canopy offers no shelter to us anymore. The soil is soaked, the underbush is soaked, our boots and uniforms are soaked. Every evening and every morning, the fog is dense and heavy around us. We move through the shrouds slowly. The smell of wet dogs permeates everything, even the food. There have been no signs of the wolves yet. Constables Vìtek and Lukas have not rejoined us. My adjutant has suggested that they may be waiting out the storm. Ground is unexpectedly swampy, and getting harder to move through. Water quality low. We boil what we take, but the wetness is impeding our ability to start fires. If this weather continues, it is only a matter of time until sickness befalls all of us. Constable Andrzej found a dead snake, species unknown. Drawing attached. 
October 8th, addendum. The snake was not dead. Lost Constables Andrzej, Yannis and Gregor to snake nest. Snakes produce venom. 
CONTINUED ON AO3
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bienvenuechezmoi · 12 days
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Je suis en train d'écouter Attendre d'attendre un enfant, un podcast de Sophie Riche sur la PMA. Bref elle raconte sa PMA, ses difficultés et tout ce qui va avec. Durant l'épisode 24 j'ai crié dans mon appartement en disant « Ahhh le batard ». Son n + 2 l'a appelé durant son arrêt maladie qui est lié à une fausse couche. Je rappelle qu'il est illégal d'appeler son salarié en arrêt maladie. Il lui a dit que si elle prolongait son arrêt maladie sans pouvoir faire la passation avec sa remplaçante il n'enverrai pas le papier pour sa rupture conventionnelle. Il a ajouté que lui, il savait ce que c'était une fausse couche (lol il a qu'une pauvre bite, il ne sait même pas ce que c'est les règles alors savoir ce que c'est une fausse couche permettez-moi d'en douter mais surtout de lui écraser mes caillaux de sang à la gueule.)
Je ne vois qu'une solution, il faut abolir les entreprises qui ne créent que de la violence. Vous vous rendez compte qu'un pauvre type préfère humilier une salariée pour le compte d'une personne morale. Une fucking personne morale qui lui mettra à l'envers dès la première erreur.
J'ai la haine, j'ai la haine des entreprises. Comment on a pu arriver à un stade où ce qui nous relie le plus dans la société est un but lucratif, qui a donc pour but de toujours plus écraser les autres pour de la thune.
Mes chers compatriotes, soyez fortes et forts soyez prêts et prêtes quand vous franchissez le pas de la porte de votre entreprise qu'elle essaye de vous détruire.
J'ai la haine. J'ai la haine. Mais je sais dorénavant où est-ce que je mettrai tous mes pieds quand je gagnerai de l'argent. Aucune entreprise n'est pas mauvaise dans le fond, elles le sont toutes de par leur création. Alors apprenez à rendre les coups, même si en tant que salarié on perdra toujours un petit peu. Mes prochaines années, je vais les utiliser à prendre à me défendre et à donner des grosses baffes.
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lesgenouxdanslegif · 1 month
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DE NOUVEAU DANS LA GUEULE DU LOUP.
Benoit Gandolfi remet ça. Ce mardi à 18h, il se relance dans cette quête aussi géniale qu’absurde : le record du monde de dénivelé en 24 heures.
L’année dernière, il s’était déglingué les guiboles avec 16 170 mètres. Pas assez pour détrôner le coucou Suisse Christophe Nonorgue, le boss des maths, celui qui avait battu le record de la brute des Bauges Aurélien Dunand-Pallaz en plaçant un indécent 18 767 mètres.
Benoît a tout prévu, quitte à être invité un mercredi soir pour parler de son délire. Une piste de ski a eu ses honneurs : 29,8% de pente moyenne, 104,27 mètres de dénivelé positif à réaliser 180 fois pour battre le record, soit 1 mètre de plus que le record actuel. Imaginez seulement.
Entre le fromage et le dessert, Benoît peut glisser un mot sur sa préparation : 22 semaines de spécifique, 223 085 mètres de dénivelé positif, soit 10 140 par semaine et 1448 par jour.
Le 24h, c’est écouter la même musique pendant un jour en devant trouver ça original à chaque fois. Le 24h, c’est devoir faire l’étoile de mer dans une piscine à piranhas. Que le festin commence.
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Photo Stéphane Brogniart
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surrealistnyc · 2 months
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De sable et de gueules (Sable and Gules), an exposition of the Surrealist Group of Paris, is opening 24 April at Espace Louis Michel.
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homomenhommes · 7 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 24
Le samedi suivant le gang bang, je reprenais mes " cours " de sport. Le boss étant pressé ce jour là m'avait fixé rendez vous en début de matinée., du coup j'avais fixé ma séance de sport avec Seb pour 10h. Quand je passe l'entrée, ce n'est pas mon pote qui est de garde. Il faudra que je fasse attention aux caméras !
La secrétaire qui m'accueille me prévient que Monsieur a une réunion importante et que la séance devra être terminée dans 1 heure douches comprises. Je le rejoint, il m'a l'air un peu stressé. Je lui propose juste un peu de footing sur 5 Km ce qui devrait nous prendre 1/2 heure à peine et un bon " massage " pour le détendre. Je me change dans sa salle de bain et nous partons courir.
Au retour, nous nous douchons ensemble dans sa salle de bain privée, pas question de laisser des enregistrements traîner sur le PC ! il est distrait en ne profite pas de mon excitation sexuelle. Nous nous séchons et comme il me tourne le dos et se penche pour essuyer ses pieds, je m'enKpote discrètement crache dessus et le bloquant par les hanches lui enfonce mes 20cm dans son cul. Il se redresse en protestant mais je le tiens bien bloqué contre le meuble lavabo. Il gueule qu'il n'a pas la tête à cela mais après quelques va et vient, il abdique et se concentre sur ses sensations.
Comme je le sais pressé, je cadence rapide et dans le 1/4 heure qui suit, nous jutons tous les deux, moi dans ma Kpote au fond de son cul et lui sur la faïence du lavabo. Alors que nous nous rhabillons, il me remercie pour le moment de détente qui l'a finalement bien dé stressé. Je prend mon salaire en partant et part à la salle de muscu où je dois retrouver Seb.
Je remets en tenue de sport et commence un peu de cardio en attendant Seb. 10 h il me rejoint. Nous nous coursons sur les rameurs 1/4heure avant de passer aux poids. Vers 11h30 nous rejoignons les douches et comme il n'est pas très tard, il me propose de passer chez lui après.
En moto, je suis son Audi jusque chez lui. Dès que j'ai posé mon sac dans l'entrée, Seb me saute au cou et me roule une pelle impatiente. Je le plaque contre moi et sent au travers des tissus et de mon cuir, la barre bien dure que fait sa bite se frotter contre la mienne qui ne tarde pas à arriver au même état. Je le déshabille rapidement alors qu'il peine à me sortir de ma combi moto. Nous nous retrouvons finalement en shorty face à face. Il glisse le long de mon corps et s'agenouille le nez sur mon sexe. Il baisse l'élastique, libérant du même coup ma bite qui lui saute au nez. Je n'ai rien à dire car il l'engouffre aussitôt dans sa bouche. je le laisse faire. Il suce bien le gland puis doucement, cm par cm, il absorbe une bonne partie de mes 20cm.
Je suce deux de mes doigts et les faisant glisser le long de sa colonne vertébrale, les pousse jusqu'à sa rondelle. Penché en avant, ma queue s'enfonce encore un peu plus dans sa bouche et après avoir massé son anus, je pousse difficilement un doigt dedans. Je me redresse et l'entraîne dans sa chambre. je me couche sur le dos et lui demande de venir s'agenouillé au dessus de moi en 69. Il reprend ma queue en bouche et moi, passant mes bras derrière ses genoux, lui écarte les fesses de mes deux mains afin de dégager sa rosette. Il me montre alors un superbe anus bien fermé, la peau nickel plissée en rayons bien réguliers. Je pose mes lèvres dessus et pointe ma langue sur son petit trou. Il sursaute, en lâche ma bite et j'entend sa respiration s'accélérer sous le stimuli.
Quand je cesse, il recule par dessus ma tête et vient m'embrasser en me disant qu'il n'avait jamais ressenti cela avant. Je lui dis de se replacer et de continuer à me sucer. Je reprend ma feuille de rose et doucement, fait pénétrer ma langue de plus en plus profondément. Je suce mon majeur droit et l'enfonce ce coup ci facilement. Rapidement j'y joint mon majeur et tout en bavant autour, les fait doucement tourner. Il se redresse de nouveau et me souffle que c'est trop bon ce que je lui fais. Je pense qu'il est mûr pour la sodomie !
Je me dégage et après l'avoir placé à 4 pattes, recommence à lui bouffer le cul tout en lui écartant l'anus avec mes deux majeurs. Il gémit de plaisir et réclame " plus fort " ! Je m'enkapote, ajoute une bonne dose de lubrifiant et pose mon gland devant son petit trou. Je pose mes mains sur ses épaule et lui demandant de pousser fort, je m'enfonce en lui. Le passage du gland lui tire une grimace. Je le laisse s'habituer à l'idée et à l'écartement. Je sors puis rentre rapidement un cm de plus. J'exécute ce mouvement jusqu'à ce que je sois entré d'environ 15cm. Il souffle à chacun de mes coup de reins. Je passe mes mains sur son torse, attrape ses tétons et les fait rouler entre mes doigts. L'excitation supplémentaire se traduit par un relâchement de son sphincter et j'en profite pour investir totalement la place.
J'attend quelques instant puis commence à le limer doucement, ajoutant du lubrifiant à chaque nouvelle entrée. Il me faut bien 1/4 h avant que je ne coulisse confortablement dans son boyau et que lui même commence à y prendre du plaisir. Le passage répété de mon gland sur sa prostate finit par l'exciter tellement qu'il se met à jouir. Les contractions de son anus à chaque éjaculation massent ma bite si fort qu'avant son dernier jet, je rempli ma Kpote d'une bonne dose de jus.
Nous nous affalons cote à cote sur le dos, en silence. Quelques minutes plus tard, je me redresse sur un coude et l'observe, nu, sur le dos, la bite mole posée sur une cuisse, la respiration apaisée, le visage serein. Je vois quand même une larme couler le long de sa joue. Je lui demande si ça va et sa réponse me rassure. Il me dit avoir joui comme jamais avec une meuf !
Je retombe sur le dos. Il roule vers moi, et vient poser ses lèvres sur les miennes pour un baiser léger puis vient caler sa tête dans mon cou. Je le laisse gérer ce moment je me souviens de ma première avec Marc et je sais ce qui peut lui passer dans la tête : enculé = pédale, fiotte..., tout le monde va s'en apercevoir en me regardant ...
Le résultat de ses cogitations doit être positif car je ne me prends pas de pains dans la gueule et ne me fait pas éjecter de son appart. Nous prenons ensemble notre douche, en profitant pour nous caresser le corps avec nos mains savonneuses. Comme nous nous séchons mutuellement, l'excitation revient et les sexes se regonflent un peu. Je lui propose de finir le w e à la maison. Il hésite car il sait que je n'y vis pas seul. Je le rassure en lui certifiant qu'il ne lui arrivera rein qu'il n'aura voulu.
Il accepte et je téléphone aussitôt à Marc pour lui annoncer la nouvelle. Il n'est pas encore renté mais me dit que c'est Ok qu'il n'a qu'Eric à décommander car il devait passer le dimanche, car il ne faut pas effrayer notre petit poisson trop vite !
Je raccroche et confirme l'invitation à Seb. Je l'aide à faire son sac, lui précisant d'emporter des fringues et chaussures de sport. Il me suit en voiture jusqu'à la maison.
JARDINIER
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grompf3 · 1 year
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Haine et extrémisme sur Twitter : rester c'est cautionner ?
Au moment où j'écris ces lignes, je suis en pause de Twitter. Je me fais une sorte de "Dry January" de l'Oiseau Bleu.
Je viens de voir que Twitter a banni à nouveau une sorte de nazi américain dont le compte venait d'être rétabli 24 heures plus tôt. J'en parlais dans ce billet.
Donc, on a 1 histoire qui fait les gros titres...
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...pendant que des douzaines d'autres fachos, antisémites et extrémistes divers réinvestissent l'Oiseau Bleu pour y semer des hoax et des discours haineux.
Mais il n'y a pas que les outrances de ces extrémistes les plus voyants. Avez-vous songé au pouvoir que Twitter peut donner à l'extrême-droite ? Songez à la récolte de données de toutes sortes, aux influences plus ou moins subtiles que pourront avoir l'usage habile des algorithmes, etc.
Et, surtout, si vous considérez que vous ne pouvez pas vous passer de Twitter, il faudrait songer au pouvoir que peut exercer sur vous celui qui en est le propriétaire.
Je suis un anonyme. Je n'ai pas de carrière universitaire. Je ne suis spécialiste en rien. Je n'ai pas de chaîne YouTube. Je ne suis ni un artiste, ni une vedette, ni un dirigeant politique, ni un businessman prospère. Je n'ai ni notoriété, ni prestige. Et avec des débunks, un peu de fact-checking, quelqus trouvailles, quelques anecdotes, j'ai rassemblé plus de 5'500 abonnés sur Twitter. C'est beaucoup pour moi. Ça me monte un peu à la tête, je l'avoue. Et j'aurais bien envie de les garder tous ces abonnés. Voire d'en avoir plus.
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C'est bon pour mon égo, ça, des milliers d'abonnés.
Je me sens important avec des milliers d'abonnés.
Mais je ne vais pas pouvoir fermer les yeux sur ce qu'il se passe sur Twitter et encore moins sur ce qu'il pourrait s'y passer.
Faire comme si de rien n'était, continuer comme avant, ce serait cautionner, être complice. Générer du trafic et des revenus publicitaires. Contribuer à entretenir le cercle vicieux qui fait que les uns restent parce que les autres y sont, mais les autres y sont parce que les uns restent.
Et il me paraîtrait dérisoire, pour ne pas dire complètement con, de réagir en allant passer un maximum de temps sur Twitter pour y multiplier les signalements et les messages d'indignations, et y générer du trafic et des revenus publicitaires, tout en m'imaginant combattre ainsi la haine en ligne...
Je ne vais pas fermer mon compte tout de suite. Mais après mon break du mois de janvier, mon activité sur Twitter va se limiter à 2 choses :
Garder le contact en échangeant en DM avec quelques personnes.
Partager du contenu que j'aurais publié hors de l'Oiseau Bleu, comme ce billet-ci sur Tumblr. Ce sera peut-être des billets de blog publiés sur d'autres plateformes, sur Post par exemple. Je réfléchis aussi à un blog sur WordPress. Ou à des débats sur Reddit. Et il y a mon compte Mastodon.
Et je pense qu'il y aura un moment où j'arrêterai. Je garderai mon compte inactif, sans le fermer, pour conserver le contenu. Et puis à terme, il faudra réfléchir... ben... à mettre un terme, justement.
Et je vous invite chacun et chacune à réfléchir à ce que vous voulez faire de votre temps, à comment est-ce que vous pouvez établir des contacts, échanger, débattre, faire passer vos infos, suivre l'actualité, partager vos coups de cœur et coups de gueule, sans contribuer à cette machine à diffuser la haine et le mensonges qu'est en train de devenir l'Oiseau Bleu.
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We have billy, abe, the pale man,saru, the angel of death, the amphibian man and el fauno and mother ghost, cochise,nosferatu, mac tonight, the bye bye man, the gentleman ,la gueule ,the jester, lady sharpe, mummie, silver surfer,ripper, icecream man,the operator,nr.7 and the chamberlain yesterday.
It's the 24 th of december today! I saved the best for last, big lol, today we have... baron afanas! Which was our last monster. The advent is over. And complete. Tommorow is christmas.
Merry christmas merry dougmas everyone!🎄✨💙
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journaldenimportequi · 7 months
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Jeudi 16 novembre 2023
Escapade parisienne
Les jours passent et je trouve toujours une bonne raison de remettre au lendemain le moment d'écrire ces lignes mais ce soir je suis motivé alors me voilà.
Je suis plutôt influencé par mes lectures du moments, à savoir les mémoires de Paul Bowles et le journal de Paul Léautaud.
Voilà des gens qui savaient écrire !
Quand je lis les écrits de Paul Bowles, je ne peux que regretter amèrement de ne pas mener une vie d'aventurier, explorateur du monde, toujours parti quelque par autour du globe, avec une prédilection pour les endroits exotiques.
Ah c'est sûr qu'il en avait des choses à raconter !
Ne devrais je pas faire pareil ?
Me forcer à bouger pour avoir des choses à raconter ?
Mais je ne suis pas un aventurier, moi je suis trop attaché à mon confort pour courir dans le désert et dans la jungle.
Cependant, il est certain que si j'avais les moyens financiers, je voyagerais régulièrement.
J'ai gardé notamment cette envie persistante de revoir New York City.
Je n'abandonne pas l'idée.
En attendant, je vais à Paris puisque Paris est à 3 heures et demi de train de chez moi.
Ainsi, j'y suis retourné l'autre jour.
Le week-end d'avant, j'ai retrouvé mes amis Justine, Canel et Arthur et nous sommes allé manger au restaurant japonais, puis nous avons filés, Canel en moins, direction la bourse aux disques de Clermont-Ferrand pendant quelques heures et nous sommes ressortis enrichis de quelques galettes plus ou moins intéressantes (j'ai acheté des cds que je possédais déjà en vinyles).
Et puis donc, le lundi suivant, je suis parti à Paris.
Le prétexte de ce séjour court (juste un peu plus de 24 heures) fut la visite d'une exposition au musée d'Orsay consacrée à Van Gogh.
C'est une bonne raison de monter à la capitale, vous en conviendrez.
Je suis donc arrivé à la gare de Bercy après un voyage en train toujours agréable (j'aime les voyages en train) et je suis allé acheter des tickets de métro puis je me suis rendu à mon hôtel habituel, dans le 18ème.
La gérante m'a reconnue, il faut croire que j'ai une gueule qu'on oublie pas (à mon grand désarroi, je rêve de ressemble à monsieur tout le monde).
Il faut dire que ça doit faire la troisième ou la quatrième fois que je séjourne dans cet établissement.
J'ai déposé mes affaire et j'ai filé au boulevard Saint Michel pour me rendre dans le magasin Gibert consacré à la musique et j'ai passé du temps à éplucher les bacs de cds en cherchant la bonne affaire.
J'ai été très raisonnable puisque je suis ressorti avec deux cds d'occasion (un Bob Dylan, « Blonde On Blonde », et un Kanye West, « Late Registration »).
Encore une fois, je possédais déjà ces albums en vinyle.
Après ça j'ai remonté le boulevard et j'ai marché sans but précis.
Je suis passé devant La Closerie Des Lilas, j'ai pensé à Hemingway mais je ne suis pas rentré, trop impressionné par l'histoire de ce lieu, « je ne suis pas digne », j'ai pensé.
Et puis le coca devait coûter une blinde, en plus !
J'ai continué à marcher et le temps s'est gâté, il a finit par pleuvoir et j'ai dû me réfugier dans une brasserie où, unique client, j'ai profité des happy hours pour déguster une pinte de blonde à 5€.
A ce moment là, j'étais plutôt content de moi.
Seul, mais content, je n'aurais pas voulu être autre part.
J'ai fini par rentrer à l'hôtel, en Uber, parce qu'il pleuvait trop et je n'avais pas le courage de me taper tout le chemin inverse jusqu'au métro.
Le trajet m'a coûté près de 27 balles et il a duré presque une bonne heure.
Pendant tout le trajet, le chauffeur n'a pas dit un mot et c'était très bien comme ça.
J'ai observé Paris sous la pluie et c'était presque romantique, il ne manquait plus qu'une compagne à mes côtés.
Je suis rentré, j'ai avalé un sandwich triangle sans saveur en me félicitant de ne pas avoir dépensé de l'argent pour un repas et puis je suis parti, toujours en Uber, il faisait nuit, rejoindre Mathieu, Nina et leurs amis dans un bar à Belleville.
Cette fois ci, le chauffeur n'était pas muet, bien au contraire, il passait son temps à invectiver les autres automobilistes qui avaient le toupet de partager sa route.
Encore une fois je me suis plu à observer Paris et ce soir il y avait une ambiance apocalyptique, des gens criaient, il y avait une tension causée par l'actualité (conflit israélo-palestinien, une manifestation pro palestinienne avait eu lieu quelques heures avant).
J'ai fini par arriver devant le bar non sans un certain trac : j'ai toujours un peu peur de rencontrer des gens nouveaux, je connaissais déjà Mathieu et Nina mais il n'empêche que c'est dur de sortir de ma zone de confort.
Finalement, tout s'est bien passé.
Je n'ai absolument rien bu pendant toute la soirée, et mon côté pingre s'en est félicité.
La soirée était une soirée blind test et c'était très amusant.
Tout s'est terminé à une heure raisonnable et je suis rentré en Uber.
Je me suis endormi facilement, en essayant de ne pas trop songer aux punaises de lits dont les médias n'avaient de cesse de nous parler depuis un bon mois.
Je me suis levé tôt, puisque j'avais commandé un petit déjeuner servi dans ma chambre à 7 heures et demi.
Entre temps, j'ai contacté mon cousin Jimmy qui habite dans le coin pour lui proposer qu'on se voit pour manger à midi avant mon départ.
Il m'a dit que j'étais dingue de dépenser 110€ pour une nuit à l'hôtel, que la prochaine fois je ferais mieux de le prévenir pour qu'il m'héberge.
Nous avons convenus de nous voir à midi.
J'ai rassemblé mes affaires et j'ai quitté mon hôtel pour aller au musée d'Orsay où avait lieu l'exposition.
Et puis, je suis rentré, et j'en ai pris plein les yeux.
Il faut dire que ça fait plusieurs mois que je suis plongé dans une biographie consacrée à Van Gogh et qu'il m'accompagne donc au quotidien, j'ai l'impression qu'il est un de mes proches, presque un ami.
Ce fut vraiment très émouvant de pouvoir observer sa peinture en vrai et de près.
Car sa peinture, il faut la voir en vrai, en 3d, je vous jure, c'est autre chose que de regarder de simples photographies.
Quelle émotion c'était de voir sa palette et ses tubes de peintures, d'observer ses coups de pinceau, ses épaisses couches de peintures recouvrant ses toiles !
Il faut préciser que l'exposition était consacrée à ses deux derniers mois de vie.
J'ai été étonné par le format de ses peintures que je n'imaginais pas si imposant.
J'ai aussi remarqué qu'il ne signait là presque jamais ses toiles.
Et puis encore une fois, beaucoup d'émotion en observant « champ de blé aux corbeaux » qui est une toile qui m'a beaucoup marquée et très tôt puisqu'elle était dans mon bouquin d'école en primaire, au CE2.
Je suis ressorti de là avec une furieuse envie de peintre en me demandant si il était possible d'en être autrement.
Et puis j'ai quitté le musée, pour quelque temps, puisqu'il est évident que j'y reviendrais un jour prochain.
J'ai pris le métro et je me suis rendu au lieu de rendez vous pour attendre mon cousin qui était là pile à l'heure.
Ca me fait toujours quelque chose de le voir, mon cousin, car il est très lié à mon enfance et je suis toujours très nostalgique.
Je suis le seul cousin à le fréquenter encore, aussi.
Je suis très heureux d'avoir conservé un lien avec lui.
Nous avons mangés et j'ai réussi à lui payer le repas (les fois précédentes il avait toujours réussi à me payer la note).
Nous sommes allés nous promener, sommes entrés dans une Fnac et nous avons parlé musique (Cypress Hill), série télé (Miami Vice) et jeux vidéos (Dragon Ball Kakarot).
Et puis nous nous sommes quittés et j'ai filé à la gare de Bercy prendre mon train après une petite journée qui s'est déroulée très vite, finalement, mais je n'étais pas mécontent de cette escapade, il est toujours bon de changer d'air et malgré tout, Paris sera toujours magique à mes yeux.
Voici une poignée de réflexions posées en vrac ces dernières semaines dans le bloc note de mon téléphone :
Plus je me cultive, plus j'ai honte de savoir aussi peu de choses.
Je suis un esthète laid, quelle ironie, tout de même !
J'ai de préjugés à propos des belges et des homosexuels qui ont toujours ma sympathie immédiate, ce qui est plutôt stupide, je m'en rend bien compte.
Je termine ce récit en saluant celles qui me lisent toujours : fidèles lectrices (il semblerait qu'aucun homme ne me lis désormais), c'est un honneur d'être lu par vous : coucou Glady, coucou Kalina !
Bande son : Teenager Of The Year, Frank Black
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Jamais (jour 24)
Les mèches de mes boucles blondes se détachent avec souplesse de ma tête. Elle s'accrochent sur les fleurs entremêlées de la robe beige que je porte et d'autres atteignent le sol. Je sens le noeud qui s'est formé au creux de mon estomac se dénouer tout doucement, à mesure de l'avancée de la coupe. Je me débarrasse de cette longue chevelure parfaite qui fait toute ma féminité, selon eux. Ma famille, mes proches, les étrangers, ceux qui portent sur moi leurs regards pleins de jugement. Ils sont si courts, quasi inexistants. Je contemple mon crâne tel que je n'ai jamais pu l'observer auparavant. C'est donc à ça que je peux ressembler. Défaisant lentement ma robe, je la laisse retomber au sol avec les mèches qui s'y sont greffées. J'en sors et je fonce sous la douche, j'arrange le tout. Je me débarrasse du superflu, je finalise pour le grand final. Une fois séchée, je fonce enfiler la robe aux tons rubis scintillant dans la nuit. J'ai envie de jeter au feu cette soit disant part de féminité dont je me suis débarrassée et cette foutue robe beige. Je ne suis pas une petite brebis égarée dont il faut s'occuper afin de mieux la jeter dans la gueule du loup. Adapte-toi, sinon tu finiras vieille fille, mon enfant. Adapte-toi, où tu crèveras ma fille. Mais le petit animal fragile et blessé n'abrite pas que cette facette de sa personnalité et de son existence toute entière. Je contemple le reflet de la femme au crâne rasé et à la robe sombre, couleur sang. Je suis les griffes de la nuit, le vampire assoiffé, le loup qui va vous dévorer. Je suis le petit animal mignon et la bête sauvage. Je suis les deux faces d'une même pièce. Je vais mettre votre monde sans dessus dessous. Lorsque j'en aurai fini avec cette petite mascarade qui dure depuis des siècles, vous serez tous à mes pieds. Echec et mat. La reine l'emporte. Cheveux longs ou courts. Vêtue de blanc ou de noir. Habillée ou dévêtue. Grande ou petite. Puissante et fragile. Sensible et forte. Je suis le héros et le méchant de ma propre histoire. Je peux tout affronter, je vaincrai tout ce que je désire. Je suis inarêtable. Je suis à la fois une Toujours et une Jamais. La protagoniste de ma propre histoire. Ce conte, c'est vous contre moi, après que j'ai vaincu ce que j'avais à combattre en moi-même. Alors moi, je n'ai peur de rien. Je sais que cette fin heureuse, je l'aurai. Quant à vous, cependant... je ne peux rien garantir.
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misterlemonztenth · 3 months
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03-09-24 | un-gif-dans-ta-gueule. misterlemonztenth.tumblr.com/archive
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claudehenrion · 1 year
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Une nouvelle civilisation... enfin !
  Cela fait bien longtemps que je vous mets en garde (sans aucune raison que vous m'écoutiez, mais j'ai un mal fou à ne pas me mêler de ce qui ne me regarde pas !) contre la possibilité ou la menace du remplacement de notre civilisation dite judéo-chrétienne ou occidentale, et de la catastrophe qui en résulterait. Le 25 novembre, j'écrivais : 'Les “ceux qui savent” nous expliquent à quoi le monde allait ressembler, un jour. Ils n'en savent rien, mais on peut craindre (ou souhaiter, comme ils le font) l’irruption soudaine et brutale d'un système de référence nouveau. Ce processus, appelé “changement de paradigme” se produit une fois par millénaire en moyenne, le plus souvent en lien avec la naissance d’une civilisation''. On peut le redouter...
Il n'a malheureusement pas fallu attendre longtemps pour que cette prophétie à deux balles se réalise : moins de 24 heures après, Macron 1er annonçait à 1000 maires de France (des pistonnés, ou des victimes ?) qu'il allait, tout seul comme un grand, à la fois nous reprendre sèchement en main, et profiter de cet instant béni des dieux pour poser les bases d'une nouvelle civilisation. Après le Christ, ici, ou Mahomet, là... Macron ! On est gâté ! Est-ce qu'on va gagner au change ? Jusque là, le monde entier se demandait à quoi ressemblerait ''le jour d'après'' la fin du covid... Des chefs d'Etat s'épiaient en chiens de faïence pour essayer de savoir ce que l'autre avait en tête... Les philosophes spéculaient sur les lignes de force possibles... Des mots fusaient, ici ou là : l'islam, bien sûr --qui avait le vent en poupe, ou l'anarchie --avec un retour inattendu de la gauche la plus bête et la plus sauvage...  Et chacun d'y aller de sa petite supputation : un monde mono, bi ou multi polaire, une démocratie réinventée, une théocratie à l'iranienne (qui a moins ''la cote'', ces jours derniers), un solide bon vieux despotisme hésitant entre une tyrannie classique et une ''soft'' comme ''hic et nunc'', un Empire du mal se disant l'Empire du bien (en plus mal !)... Mais rien de tout ça : ''Macron est arrivé...é...é...''
Rien de tout ça... ou peut-être tout à la fois, ''et en même temps'' : venant de notre petit génie élyséen, rien ne devrait nous surprendre ! (Enfin... presque rien, et surtout... quelque chose !). En tout cas, lui ne doute de rien : après avoir annoncé qu'il allait redéfinir ce qu'était et devrait être l'islam, après avoir réinventé l'histoire de France dans le sens du pire, redéfini notre culture et décidé qui nous étions et ce que nous valions (pas grand chose !), après avoir distribué les mauvaises notes à tout ce qui ne lui léchouillait pas les orteils, et privé de travail à vie ceux qu'il ''avait envie d'emmerder'', après nous avoir tous enfermés sans la moindre raison, bâillonnés sans savoir pourquoi, piquouzés à tour de bras et d'épaule, privés à peu près de tout (cinéma, restaurant, hôpital, shopping, vacances, train, avion, espoir, joie de vivre, Noël en famille, mort et  enterrement de nos parents et... suppression de tout moyen de vivre, pour les plus vulnérables d'entre nous –càd. ces pauvres soignants ex-applaudis de tous, devenus ennemis de l'Elysée, ''à emmerder'', voués à la vindicte de chiens haineux, et traités comme seul un progressiste traite un opposant qui a raison : avec une violence rarement atteinte en temps de paix...
D'ailleurs, il l'a lui-même reconnu : ''Chaque fois que quelqu'un dans notre société commence à choisir la violence, qu'elle soit verbale ou physique, il trahit les fondements mêmes d'une société démocratique'' (NB : il y a deux explications possibles à cette reconnaissance de sa honteuse conduite : soit il ne s'entend pas, lorsqu'il parle, soit il se fout de notre gueule H 24). On pouvait espérer qu'il aurait compris où, par où et à quel point il a gravement fauté... Mais même pas, la suite le démontre une fois de plus, et chaque fois plus : refuser d'obéir à chacun des caprices de  Ubu-Roi, c'est un crime, pas une faute ! Il faut la discrétion d'un Blog confidentiel pour que ''ça passe'', mais en fonction des chiens de garde du Prince
Dans sa modestie (magnifique, lorsqu'on la compare à l'arrogance qu'il nous reprochait il y a 8 jours, à Bangkok), il a déjà tout planifié, tout organisé et même tout orgasmisé --y compris les résultats --dont Véran sera le commentateur-en-chef, avec son honnêteté intellectuelle reconnue de tous. Le monde nouveau annoncé commencera donc  en s'attelant à (je cite) ''un vrai travail de civilisation, que nous allons bâtir ensemble'' (sic ! Le fait que rien n’en soit dit est anecdotique !).
 A peine un peu calmés mes hurlements de joie devant cette breakinngue niouze pour une fois pas fake, je me suis demandé comment on allait appeler ce chef d’œuvre de l'ingénierie civilisationnelle. ''La Macronie'' ? Manque de souffle, et déjà utilisé... ''La civilisation macrono progressouillarde'' (copié sur ''judéo-chrétienne'') ? Trop long... Un ami m'a suggéré ''Le retour au Paradis terrestre'', que je trouve pas mal : précis sur les résultats anticipés, à la bonne mesure d'ambition, à la hauteur des capacités de notre Jupiter au petit pied. Il faudra  le ressortir, le moment venu !
Mais c'est ce ''moment venu'' qui, depuis, me pose problème : comme chaque fois toutes les fois, notre Président fait un discours (vide, mais qui consiste à nous étaler tous ses talents pour le théâtre et le résultat des excellents ''petits cours particuliers'' de Brigitte), il se dit –je suppose-- ''J'ai été excellent ! Je les ai scotchés (ou, alternative : ''laissés sur le...'')... Et puis... plus rien : il est déjà passé à autre chose, à une autre formule-marketing mise au point par ses communicants, sur un autre sujet, qui restera important le temps qu'il faut pour qu'il nous file entre les pattes (qu'il a bien développées, même si c'est très laid et que ça ne lui va pas du tout !) vers encore un autre sujet. Les commentateurs dignes de ce nom (je veux dire : Valeurs Actuelles et C-News) lui reprochent la perversité létale de son ''Et en même temps''. Ils se trompent : depuis sa réélection, son leit-motiv, c'est ''Tout-et-n'importe-quoi-à la-fois''! Ce sera le ''marqueur'' de la ‘’nouvelle civilisation’’ !
Allons ! Souriez donc, sinon vous serez ''mis à pied'' (de toutes manières, il n'y a plus de chevaux… et, grâce à LUI, les voitures sont peu à peu mises hors circuit, couleur de vignette par couleur de vignette –ça, c'est du tri scientifique-- et il n'y aura bientôt plus d'essence, les prix étant si élevés que seuls les énarques restants, les fonctionnaires encartés et les petits copains pourront s'en payer une rasade avec ce que leur a laissé l'Emir du Qatar pour avoir le ''Mondial'' !). La nouvelle civilisation (dont le ''Credo'' sera quelque chose dans le genre : ''Donnez-nous aujourd'hui notre utopie de chaque jour''...) est en route, puisque c'est Macron qui l'a dit, et --on en est tous persuadé--, il ne ment jamais ! Pauvres de nous !
H-Cl.
PS : Beau cadeau d’anniversaire pour moi : la France en finale ! Mais admiration, respect et compassion pour mes amis marocains dont les larmes m’ont bouleversé.
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ericmie · 1 year
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Les prochaines dates à Mie :
ERIC MIE TOUR DE CHANT
à REPAIX le 17 Juin 2023  (en duo avec Maël Nesti)
à Haudonville le 7 Juillet 2023 avec juste ma bonne gueule et ma guitare
à Xamontarupt  le 26 juillet à 21h (en trio avec Maël Nesti à la guitare électrique et Olivier Herrmann à la contrebasse) au Tambouille Festival
à Dompcevrin le 4 Novembre 2023 à la Ferme de chantraine  (en duo avec Maël Nesti)
à Roville-devant-Bayon le 27 Janvier 2024 à l'Atelier des Artistes  (en duo avec Maël Nesti)
SAM ET PAT.COM
- Le 13 mai 2023 à 14h30  à la médiathèque de Pont À Mousson 4 rue de l'institut Joseph Magot 54700 Tout public
- Le 22 mai 2023 à 14h30  à la salle Dumas de Bar Le Duc 1 place Sainte Catherine 55000  Représentation scolaire
-Les 23 Mai (20h30) et 24 Mai  2023 (14h) mai à Saint-Parres-lès-Vaudes (dans l'Aube) Salle des Fêtes
LOBO & MIE
- Le 7 Octobre 2023 à Vigy
-Le 25 Avril 2024 à Jarny dans le cadre du festival Rires en Scène
Apéro-Littéraire ARAGON
- Le 7 Mai à 16h à Thionville
- Le 14 Mai à 16h à Cattenom
- Le 16 Juillet à 14h à Buding
Spectacle autour de La Fontaine
Les 30 Juin, 1, 2 et 5 Juillet à Metzervisse
René l’espoir (nouveau spectacle pour enfant écrit par l’ami Mie)
- 31 Mai à Vigy
- 9 Juillet à Méhoncourt
- 17 Septembre à (je vous le dit bientôt)
Les Lapins Noirs Best-Of
- 28 Octobre à Moineville
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