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#argent renard
argentrenard · 2 months
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Ishgard sleeps 'neath stars
Winter nips at the ankles
Down a dark alley
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hookeorcrook · 3 months
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“Blood will have blood.”
For @breathlesshunt of their character Etienne (and Tam Lin) :^) as part of an RP secret santa
(please do not repost or use as your own. this is a gift!)
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emshryke · 10 months
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Excerpt from Points Change (novel):
‘What do you mean, “my poor wife”?’ ‘She was my best friend, before you let your idiocy and jealousy come between us.  Do you honestly think that I don’t know her? That I fail to recognise the hallmarks of an abusive marriage? The signs of an unappreciated, overworked creature? For the sake of all that is good and holy, Renard, I am a detective! Furthermore, I have eyes and I pay attention.’ The red fox’s mouth hung open and then, slowly, began to move as he desperately searched for the words to say.  ‘Mr. Fox.  Argent.  Old friend.  You’re mistaken! She works hard, but...’ He shook his head and poked the shorter creature in the narrow chest.  ‘Forget it.  Just know this: if you are unable to mend your ways, you are going to lose everything.  Your wife, me, everything.  The way I feel at present, I could easily turn my back on you and never assist you at the Yard ever again.  But I shall wait and see if you are capable of change.  Good day, Inspector.’
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2t2r · 2 years
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Muttias , un renard qui chante [vidéo]
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/muttias-un-renard-qui-chante-video/
Muttias , un renard qui chante [vidéo]
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revenancy · 1 year
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« THE GARDEN OF EARTHLY DELIGHTS »
There are worse things to fear than death and magic.
Ophélie is a Spicer Decadent, a glorified guild assassin brought to the Grand Palaces by a mysterious benefactor who wants to keep the royals on their toes. Everett was the crown prince—now, he's nothing more than a tutor, baring his teeth at the children who were supposed to replace him. When he finds the Spicer with blood on her hands, he won't miss a chance to watch his mother's empire crumble.
→ adult · high fantasy · 3rd person present tense · dual pov → the holy quinity: gore, alcoholism, sex, violence, and family trauma
A rotten taste settles on the back of her tongue. Is it still cruelty if he can’t feel it?
→ in which a murderer steels herself against a court that would see her dissected for their amusement, and a dead prince wishes he could be the one underneath her hacksaw · (but this way he gets to watch as she breaks down the bodies in his bathtub)
“You think you’ve suffered, don’t you?” Every syllable is forced out through gritted teeth. His breath smells bitter as rot and stronger than absinthe.
→ in which two brothers would skin each other if it got them anything but blood on their hands, and neither will come out of this wearing that silver crown · (and both of them know it, but to a royal son, hatred is sweeter than sugar)
“Does a knife mourn? Does a spade cry? You’re a Spicer. Act like one.”
→ in which the itty bitty introduction turns to a masterpost of links to posts not yet made. to be fleshed out over the coming weeks as I find free time.
· CHARACTERS → Ophie Lourens – Everett Altenwald – Renard Constans – Alaisine & Andrie – Matthias Altenwald & his daughter Letanie – Helaire d'Argent & other royals – Noé Lieur – Sevestre d'Argent – Quillon de Ruy-Minor – Catelot & her ladies –
· SETTING → Argent & Grisencourt – Corant, l' Carillón, & the annexation – Clarin & Loënztornhold – Emblesse & Stila – The Cour d'Empire – Magic in the Empire –
· MORE FUN POSTS → On the Spicers
· TAGLIST → @socialmediasocrates @lena-rambles @space-writes // ask to be added and I'll tag you for future tgoed content ♥
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aurevoirmonty · 2 months
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« Je n’aime pas sa bouche de travers, sa femme desséchée et tirée à quatre épingles, ses enfants, ses excellentes photographies et son photographe, ses convictions, son argent de trouble origine, l’expression dégoûtée de son visage, son lourd squelette américanoïde, ses chemises, sa démagogie… Un faux derche, un cafard, une balance, un requin.
Navalny est un bourgeois moderne typique, une ordure, en un mot. Et une ordure d’un nouveau type — un néo bourgeois.
Son père soviétique — un sacré renard — avocat militaire, l’un des principaux avocats de l’armée, — a donné naissance à ces deux hommes : Oleg et Alexey. Une mauvaise race est apparue, un type de personnes étranger à la Russie…
Un étranger, en un mot, qui n’est pas des nôtres. Et il n’a pas de nuque. »
Édouard Limonov, LiveJournal, 29 avril 2018
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"Boîte en Forme de Dromadaire" anonyme en or, argent, agate et diamants (circa 1750), "Etui en Forme de Poisson Articulé" en or, émail, rubis ou spinelle ou grenat (XVIIIe siècle), "Flacon Décoré d'une Cigogne et d'un Renard" anonyme en or et cornaline (circa 1740-50) d'après la fable de Jean de La Fontaine (1668), "Drageoir en Forme de Tatou" de la Manufacture de Saint-Cloud en or, porcelaine, rubis et agate (circa 1750) et flacon de parfum "Le Corbeau et le Renard" de la Manufacture de Chelsea en cuivre et porcelaine (circa 1755) à l'exposition "Luxe de Poche - Petits Objets Précieux au Siècle des Lumières" au Musée Cognacq-Jay, avril 2024.
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renard argente
WAŻNE INFO: Nie ma powodu nie wierzyć pracownikom World Chelonian Trust w identyfikację dzikiego zwierzęcia z targu w Guangzhou (raport 2004-2006?). Pracownicy oglądali to zwierzę ze wszystkich stron "na żywo". Możemy gdybać-co to jest za zwierzę, lecz wg. tych informacji rzeczywiście ma to coś do rodzaju lis (Vulpes sp.). Prawdopodobnie zwierzę zostało istotnie schwytane w górzystym Szechwanie, w jego środkowej lub zachodniej części (Alpy Syczuańskie) i może być zwierzęciem określanym w tamtych stronach jako renard argente, znane krajowcom jako kouo p'ou. W Peking Natural History Bulletin w numerze z 1931 roku jest informacja o tym zwierzęciu. Przypadek wymaga jednak dalszych badań ze strony naukowców międzynarodowych w celu potwierdzenia przynależności taksonomicznej.
league-scientifique by gnhi literature
email throughout: thomasquatl at gmail.com
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darkpalmor · 1 month
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20 MARS 2024
Programme de Printemps.
Échauffement en cinq minutes : Un petit horoscope ? On établira l’horoscope (argent, amour, santé et vie sociale), pour la semaine à venir, des natifs du Tonnelet de rhum ascendant Karaoké.
Amour : Enivrez-vous dès la première rencontre, c’est une valeur sûre. Chance : Cette semaine le Loto sportif vous offre peut-être une opportunité, mais surtout pas de jeux de cartes, vous perdriez. Santé : Soignez cette voix qui s’éraille. Grogs, miel de sapin, vocalises, avant le concert de samedi. Argent : C’est bientôt la fin du mois, serrez la ceinture ! Travail : Votre patron a quelque chose derrière la tête à votre sujet. C’est peut-être important ? Sondez-le adroitement !
1°) Transport exceptionnel (10-15 minutes) : Dépaysement. Pour dépayser ce sujet très connu, on transportera (en résumant éventuellement) la fable de La Fontaine Le Corbeau et le Renard dans la politique intérieure française actuelle. Style libre, versification absolument pas obligatoire.
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Le nabot et les énarques. Un Maître en Politique, Bien dressé sur ses talonnettes, Brandissait à tout va ses merveilleux sondages. La chance souriait, Il serait Président Pour la seconde fois. Un énarque très doucereux S’approcha de son Trône Et lui fit bien la cour En grandes pompes et en mots creux : « Il était le meilleur, C’était gagné d’avance. Quelques discours encore Et quelques conférences Et les peuples conquis Lui lècheraient les bottes. » Le petit homme, fier Se remit aux meetings, Il déplaçait les foules, Dépensait sans compter Puisqu’on l’applaudissait. L’énarque lui disait : « Je suis ton Pygmalion, Je te transformerai de nabot en géant, La victoire est certaine. » À force de jacter, Le nabot prétentieux Dépassa le plafond Du budget toléré. Et les urnes pourtant qu’on avait bien gonflées Accouchèrent d’un flop. Les citoyens fâchés Choisirent un autre Roi. Il fallut rembourser. On vit donc le nabot, Tout droit sur ses ergots, Dire adieu à ce monde. Il vivrait désormais d’autres satisfactions, S’enrichissant d’autant. Il apprit la chanson, Il gratta la guitare, Croyant qu’on l’oublierait. Mais on en parle encore ! Chacun sait désormais Qu’un excellent énarque Ne donne pas toujours les conseils qu’il faudrait. L’énarque reste énarque, C’est une bonne place, Et l’autre reste idiot, Car tous ceux qu’il conseille Feraient nettement mieux De boucher leurs oreilles.
2°) Portrait (10 minutes) : L’hésitant. On fera la description d’un individu dont le trait de caractère principal est l’hésitation : on le décrira dans ses gestes, ses paroles, ses actes quotidiens, de manière à bien faire sentir cet aspect.
Quelle chaussette enfiler en premier ? C’est le problème, chaque matin… rester pieds nus serait peut-être la solution ? Mais alors, où poser mes pas ? Rester encore au lit ? Oui, mais sans dormir, ce n’est pas sérieux, et cela donnera de moi l’image d’un paresseux. Alors simplement chausser les pantoufles pour toute la journée ? Voilà, une bonne décision, enfin ! Maintenant, le petit déjeuner. Pourquoi y a-t-il deux pots de confiture sur la table, et trois tartines ? Devrai-je en manger une sans rien ? Laquelle ? La première ? La troisième ? Et qu’est-ce que je vais dire à maman quand elle verra que j’ai laissé refroidir mon chocolat ? Ah ! Je voudrais pouvoir tout envoyer valdinguer, pour en finir avec ces indécisions. À mon âge… Elle va une fois encore me dire que si je m’étais marié elle ne serait pas obligée de tout décider à ma place ! C’est facile à dire… Il y avait Claudette, et il y avait Catherine. Elles me plaisaient bien, toutes les deux, pourtant…
3°) Un slogan révolutionnaire (5 minutes) : Amour et pissenlits. On bavardera sur le sens de ce slogan, vu sur un panneau de sens interdit, rue Edmond Chapuis, à l’angle de la rue Guynemer.
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L’amour est si léger ! La fleur de pissenlit S’attache plus longtemps. Mon amour est parti, Je reste sur le pré À cueillir ma salade. Quand j’aurai tout brouté Je pourrai m’endormir Et j’attendrai la mort. L’amour a des racines Qui ne plongent pas loin. Si l’on veut arracher Le pissenlit complet Il faut creuser profond, C’est une plante amère. Et la mort de l’amour M’a rendu bien amer, Je vais donc m’endormir Et attendre la mort. Ma salade est finie, Je n’avais plus très faim, Je n’ai plus rien à dire, Et sens venir la fin. On pourra m’enterrer Dessous les pissenlits, Et je leur enverrai Mon trop-plein d’amertume. Si mon amour en mange, Sûr, elle en crèvera. Sous terre on la mettra, Nous ferons bon ménage. Amour et pissenlits Feront un beau mariage. Je serai le croûton Posé sur sa salade.
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shopises · 2 years
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Hiver femmes Fourrure de Renard En Argent Naturel Manteau Avec Manches Détachables, À La Mode et Décontracté
Hiver femmes Fourrure de Renard En Argent Naturel Manteau Avec Manches Détachables, À La Mode et Décontracté
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argentrenard · 16 days
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So... Viper looks better than I even hoped...
I might have to make another pass...
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Viper, here we come...
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kn1dognose · 2 years
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Dressage de chiens Braque de Weimar à Sanary sur mer dans le Var 83
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10 leçons pour éduquer et dresser son Braque de Weimar facilement à Toulon, La Ciotat, La Seyne sur mer, Ollioules. Educateur canin, dresseur de chiens & comportementaliste canin à Saint-Cyr sur mer. Tarifs dressage chiens à Toulon 83
Prendre rendez-vous 06 56 72 29 85 
 Adopter et vivre avec un Braque de Weimar. Histoire, éducation, santé et comportement
Histoire de la race Braque de Weimar
Weimaraner, ou Weimar Hound, est un représentant très rare dans une cohorte de chiens de chasse. Ce chien aristocratique remonte vraisemblablement au Moyen Âge, bien que les normes de race d'aujourd'hui ne se soient développées qu'au tournant des XVIIIe et XIXe siècles.
Le Braque de Weimar appartient au groupe des héritiers de la Bracken européenne (ou continentale) - des chiens d'arrêt à poil court, qui sont depuis longtemps communs sur le continent européen et ont des caractéristiques similaires à la fois extérieures et de travail. Parmi ses proches parents, ce chien se distingue nettement par sa couleur grise originale aux teintes spectaculaires, qui rend populaire la version de sa relation de longue date avec les chiens dits de Saint-Louis (Chiens gris de St-Loi), un dont on trouve la description dans d'anciennes sources manuscrites de l'époque légendaire des Croisades. . Des chroniques remontant au XIIIe siècle racontent qu'à la cour du roi de France Louis IX, dit Saint Louis, des chiens gris argentés sont apparus en 1254, après son retour dans son pays natal d'un autre voyage en Orient.
Dans les sources littéraires médiévales, il y a des références au fait que ces chiens étaient originaires de Tartarie - c'est ainsi que les pays de langue latine appelaient le territoire qui s'étendait des frontières de l'Asie centrale à ses limites septentrionales. Peut-être que les animaux ont été présentés à Louis par l'un des dirigeants asiatiques, avec qui le monarque français a décidé d'établir des liens en Palestine. La description la plus détaillée est contenue dans le Livre de la chasse, l'un des meilleurs traités médiévaux sur ce divertissement des rois et des aristocrates. Son auteur est le comte Gaston de Foix, l'un des commandants de la guerre de Cent Ans et un chasseur passionné.
À la fin du XIVe siècle, les chiens gris sont devenus très populaires parmi la noblesse française, car ils ont démontré d'excellentes qualités dans la chasse aux gros animaux - cerf, sanglier, ours. Plus tard, les chiens ont également montré des capacités remarquables pour chasser les renards, les lapins et aller chercher des oiseaux. À la suite de l'aristocratie française, cette merveilleuse race a été emportée par des personnes couronnées d'autres pays de l'Europe féodale, et après elles leurs vassaux. Sur les tapisseries médiévales et les peintures représentant des scènes de chasse, vous pouvez voir des meutes de chiens gris - aussi nobles que leurs propriétaires titrés. Ces animaux sont également représentés sur les toiles des maîtres du XVIIe siècle, par exemple dans les peintures du peintre flamand Anthony van Dyck.
Parmi les géniteurs possibles du Braque de Weimar figurent également les chiens de Saint-Hubert, élevés au début du Moyen Âge dans l'abbaye de Saint-Hubert (Belgique). Les animaux de cette race, aujourd'hui disparue, sont considérés comme les ancêtres de nombreux chiens modernes. Ils avaient une couleur différente, parmi laquelle il y avait aussi du gris.
En tant que race distincte, le Braque de Weimar a commencé à se former au début du 19ème siècle. Selon des informations non confirmées, le duc de Weimar Karl August a été l'initiateur de sa création. Selon la légende, dans ses possessions, Saxe-Weimar, à l'est de l'Allemagne moderne, le duc était engagé dans l'élevage d'une race universelle de chiens - robustes, rapides et possédant également les qualités d'un chien de compagnie. Soit dit en passant, dans ces endroits, le chien est généralement appelé le "Silver Ghost". Il a reçu un tel nom en raison de sa couleur, coulée en argent, de sa capacité à se faufiler rapidement et silencieusement dans les champs, en restant invisible pour les proies.
De nombreux cynologues modernes, reconnaissant que la race a été élevée dans les environs de Weimar, pensent que le grand-duc de Weimar n'a rien à voir avec son origine, et la légende de la relation du Braque de Weimar avec les chiens gris de Saint-Louis a commencé à être popularisé par les amateurs de la race à la fin du 19e siècle pour sa reconnaissance en tant que race distincte et indépendante. Le fait est que pendant longtemps le braque de Weimar a été considéré comme une variété grise du chien courant allemand à poil court ou un croisement entre de grands chiens allemands et des braques anglais. Apparemment, ces déclarations étaient justifiées, puisque lors d'une exposition à Berlin en 1880, ces chiens ont été classés comme métis, sans leur trouver de traits de race originaux. Selon certains rapports, le Burgos Hound, Hugenhund, Schweishund ont été impliqués dans d'autres activités d'élevage. travaux prévus, ainsi que de nombreuses publications d'histoires fascinantes sur l'ancienne origine noble de la race et sa relation avec les chiens royaux français ont fait leur travail, et en 1896, une commission de délégués de diverses sociétés de chasse allemandes a finalement nommé le Braque de Weimar une race indépendante. À ce jour, il est reconnu par toutes les organisations cynologiques éminentes.
En 1897, le club de chasse allemand Weimaraner a été fondé et pendant longtemps, cette race a été une sorte de privilège protégé au sein de l'aristocratie allemande. Au départ, seuls les membres du Club étaient autorisés à acheter un chien. Et s'il était extrêmement difficile d'acheter un Braque de Weimar même dans son pays natal, alors en dehors de l'Allemagne, c'était généralement impossible. Dans les années 20 du siècle dernier, l'intérêt pour les chiens gris de l'Ancien Monde s'est manifesté aux États-Unis, mais les premiers individus envoyés à l'étranger étaient auparavant stérilisés, ce qui rendait impossible leur élevage en Amérique. En 1929, le Club a accepté le premier étranger dans ses rangs - l'Américain Howard Knight, qui a réussi à convaincre ses collègues allemands de vendre plusieurs chiens reproducteurs pour l'élevage dans le Nouveau Monde. En 1941, il crée le Weimaraner Club of the USA et en devient le président. Dans les années 1950, les Weimaraners ont acquis une popularité incroyable, devenant les animaux de compagnie de personnalités telles que le président Eisenhower et la star de cinéma Grace Kelly. Plus tard, un intérêt public supplémentaire pour eux a été alimenté par le photographe et artiste William Wegman, lui-même, soit dit en passant, qui est devenu mondialement célèbre grâce à ses images réussies de ces chiens.
L'engouement de masse pour les braques de Weimar - tant aux États-Unis qu'en Europe - a conduit au fait qu'aujourd'hui ils sont de plus en plus considérés comme des chiens de compagnie, des animaux de compagnie, des participants à des expositions et des championnats prestigieux. Dans le même temps, les qualités de chasse de beaucoup d'entre eux sont très ordinaires. Cependant, un bon chien de travail peut être trouvé. Ils représentent principalement les lignées allemandes et américaines, puisqu'en Allemagne et aux USA les éleveurs privilégient encore les qualités de travail de l'animal.
Il n'y a pas si longtemps, certains éleveurs européens et leurs homologues américains se sont lancés dans l'élevage de Braques de Weimar bleus. Ces chiens se distinguent par leur couleur de pelage gris bleuté d'origine. Aujourd'hui, ils sont élevés principalement comme chiens de compagnie, bien que les qualités de travail des pointeurs bleus soient identiques aux capacités exceptionnelles de leurs homologues gris. En 2009, aux États-Unis, des passionnés ont créé un club spécialisé, et depuis lors, à dessein, mais jusqu'à présent sans succès, ils ont cherché à faire reconnaître les Braques de Weimar bleus et à leur donner le statut de race indépendante.
Apparences du Braque de Weimar
Le Braque de Weimar est un chien assez grand de carrure athlétique, musclé, franchement musclé. Chez les mâles, la hauteur au garrot peut aller de 59 à 70 cm, poids - de 30 à 40 kg. Les femelles, en règle générale, sont plus petites: leur taille est de 57 à 65 cm, leur poids est de 25 à 35 kg. Selon la norme, les limites extrêmes ne sont pas souhaitables.
Tête
La tête, vue de dessus, ayant un contour en forme de coin, est proportionnelle au corps. Le crâne est légèrement convexe, pas large, la protubérance occipitale est faiblement développée. Le front est divisé par un sillon ; lorsque le chien est tendu, la région frontale est couverte de plis. La ligne de transition du front au museau est lisse, à peine marquée. Le nez est droit, avec une bosse miniature au niveau du lobe. Le lobe lui-même, dépassant au-dessus de la mâchoire inférieure, est grand. Il est peint dans une couleur chair foncée, virant progressivement au gris plus près de l'arête du nez. Les lèvres sont retroussées, la supérieure recouvre la inférieure et pend un peu, formant de petits plis aux commissures de la bouche. Les bords des lèvres, le ciel, les gencives sont d'une couleur chair rosée unie.
Mâchoires et dents
Les mâchoires avec un ensemble complet de dents semblent impressionnantes, démontrant clairement la capacité du Braque de Weimar à tenir un gibier de taille décente lors de la récupération. Les canines supérieures et inférieures se rejoignent solidement en ciseaux. Les pommettes musclées et bien définies sont clairement exprimées.
Yeux
Arrondi, de taille moyenne, placé légèrement obliquement. Leurs coins extérieurs s'élèvent légèrement plus près des oreilles. La couleur des yeux des chiots est bleu azur, chez les chiens adultes - ambre, d'intensité et de tonalité variables: du clair au foncé. L'expression des yeux trahit l'intelligence et l'attention. Les paupières sont bien ajustées contre le globe oculaire, leur couleur peut être chair ou correspondre au ton du pelage.
Oreilles
Grandes, larges, arrondies aux extrémités et tombantes exactement aux commissures de la bouche. Réglez hautes. Chez un chien, qui est alerté par quelque chose, les oreilles se dressent à la base et se tournent vers l'avant.
Queue
Une queue forte et épaissie à la base est placée assez basse, ce qui n'est pas caractéristique de la plupart des races apparentées au Braque de Weimar. Elle est densément couverte de poils et se rétrécit vers la pointe. Lorsque le chien est détendu et paisible, il la maintient abaissée et, lorsqu'il est alerte, la soulève à une position horizontale ou plus élevée.
Le pelage
La longueur du pelage définit deux variétés de race : poil court et poil long. Le premier se caractérise par une laine courte, mais pas autant que dans la plupart des races identiques, très épaisse, dure, lisse. Le sous-poil est très clairsemé voire inexistant.
Le Braque de Weimar à poil long est recouvert d'un pelage soyeux assez long, avec ou sans sous-poil. Le pelage peut être droit ou légèrement bouclé. Sur les côtés, sa longueur est de 3 à 5 cm, les poils de la partie inférieure du cou, du devant de la poitrine et de l'abdomen sont légèrement plus longs. Les membres sont décorés de franges et de "pantalons", la queue - de "franges". Des poils longs et fluides sont présents à la base des oreilles, des poils légers et soyeux bordant leurs pointes.
Couleur
La norme autorise trois variations dans la couleur du Braque de Weimar : gris argenté, gris clair, gris foncé (souris). Ils peuvent avoir des nuances claires, par exemple, le cuivre, montrer un subtil brunâtre. Le pelage sur la tête et les oreilles est généralement légèrement plus clair que sur le reste du corps. Des marques blanches miniatures sur la poitrine et les orteils sont acceptables. La présence d'autres taches, marques de bronzage est considérée comme un inconvénient. Certains individus peuvent avoir une bande sombre, "ceinture", le long de la colonne vertébrale. En couleur, elle contraste avec la couleur dominante de l'animal. Ces chiens ne sont utilisés dans l'élevage que s'ils ont des qualités de chasse exceptionnelles.
Personnalité du Braque de Weimar
Les braques de Weimar sont des chiens énergiques, joueurs et amicaux. Ils sont dévoués de manière désintéressée à la famille dans laquelle ils vivent et ont besoin d'un contact constant avec une personne. Garder ces animaux dans un chenil, comme les autres chiens de chasse, ne devrait pas l'être, car cela les fait souffrir. Les braques de Weimar endurent également la solitude à la maison et la compagnie d'un autre animal ne les soulage pas du désir d'être proche du propriétaire. Il convient de noter qu'un chien laissé à lui-même pendant longtemps peut paniquer, «casser» les meubles de l'appartement et même se blesser en tentant de s'échapper de la maison. Inquiet, le Braque de Weimar se met à aboyer, gémir, hurler et même creuser. Le chien ne se calmera que lorsque le propriétaire apparaîtra sur le seuil. Ces animaux de compagnie adorent suivre leurs propriétaires bien-aimés, adorent s'asseoir à leurs pieds et avoir des «conversations» avec eux, ce à quoi ils sont très enclins. Le Braque de Weimar est un chien assez équilibré. Il se méfie des étrangers, mais ne fait pas preuve d'agressivité s'il est sûr que ses maîtres ne sont pas en danger. En raison de sa méfiance envers les étrangers, de son attention, de son esprit vif, de sa capacité à aboyer à tous les bruits et bruissements suspects à l'extérieur des portes, le chien peut devenir un bon gardien, mais le devoir de garde n'est clairement pas sa vocation.
Avec les enfants, surtout les plus âgés, ces chiens établissent des relations amicales et partenariales. Ils sont tolérants envers les enfants, mais, après avoir commencé un jeu avec ceux-ci, ils peuvent les blesser accidentellement.
Les braques de Weimar sont amicaux avec les autres chiens, surtout s'ils ont grandi à côté d'eux, mais ils ont rarement de bonnes relations avec les chats. Si ce chien est toujours capable de supporter l'animal de compagnie du propriétaire vivant avec lui dans la même maison, alors le représentant de la tribu des chats qui a erré imprudemment sur son territoire ne sera certainement pas accueilli. En fait, tous les petits animaux, ainsi que les oiseaux, éveillent un instinct de chasse indomptable chez le Braque de Weimar, devenant ses victimes potentielles.
Pendant la traque, les Braque de Weimar se manifestent selon leur tempérament inné et leurs qualités personnelles. Il existe des chiens de chasse extrêmement obéissants, mais très souvent, il y a des individus complètement «imprudents» qui deviennent instantanément incontrôlables pendant le travail.
Caractéristiques du Braque de Weimar
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Éducation et formation du Braque de Weimar
Le Braque de Weimar est un chien extrêmement intelligent, attentif et compréhensif. Il se prête parfaitement à l'entraînement, mais, étant de mauvaise humeur, il peut faire preuve d'égarement et d'entêtement. Compte tenu de ces traits de caractère, le propriétaire doit faire preuve de fermeté et de patience dans l'élevage de l'animal. Il est nécessaire de former un animal de compagnie à l'obéissance dès son plus jeune âge, mais si l'autoritarisme dans l'éducation est acceptable, les méthodes qui incluent des cris grossiers et l'utilisation de la force physique comme punition doivent être exclues. La brutalité du propriétaire conduira au fait que le chien deviendra méfiant, les commandes seront exécutées de manière incertaine, avec prudence. Il sera très difficile de regagner la confiance du chien. Mais les friandises et les éloges stimuleront le Braque de Weimar à montrer ses meilleures qualités.
Lorsqu'il élève un chien acquis pour la chasse, le propriétaire doit trouver un terrain d'entente, car son obéissance inconditionnelle et son désir de plaire peuvent priver le chien de l'initiative dont il a besoin pendant le travail.
Santé et maladie du Braque de Weimar
Les Braques de Weimar forts et robustes se distinguent par une excellente santé, mais la prédisposition héréditaire à certaines maladies peut être un danger potentiel pour eux. Le tractus gastro-intestinal est à risque chez ces animaux, et une maladie comme le volvulus, caractéristique des chiens à poitrine profonde, peut leur être fatale. Après avoir remarqué les premiers signes d'indigestion chez votre animal, vous devez immédiatement contacter un vétérinaire qui lui prescrira un aliment diététique spécial. Habituellement, dans ces cas, il est recommandé au chien de se nourrir plusieurs fois par jour en petites portions. Pour éviter les volvulus, les experts conseillent de placer les plats contenant de la nourriture pour chiens sur une surface surélevée. Cela empêchera l'ingestion rapide de nourriture et l'entrée d'air dans l'estomac.
Les braques de Weimar sont sujets aux dermatoses et la maladie de von Willebrand, un trouble héréditaire de la coagulation sanguine, peut également les menacer. Ces chiens peuvent aussi avoir des problèmes ophtalmiques : atrophie cornéenne, torsion de la paupière, distichiasis - apparition d'une rangée supplémentaire de cils. Dans 24% des cas de décès prématuré d'un chien, le cancer en est la cause, principalement fibrosarcome, mastocytome, mélanome. Les braques de Weimar ont également une prédisposition à la dysplasie de la hanche et du coude.
Certains animaux de compagnie souffrent de troubles obsessionnels compulsifs - éprouvant de l'anxiété, les animaux commencent de temps en temps à sucer la literie et les couvertures.
Eleveurs de Braque de Weimar
https://www.uncompagnon.fr/fiche/4794/elevage-de-braque-de-weimar.html
https://www.domaineduneply.com/presentation?locale=fr
Standard du Braque de Weimar fiche FCI N° 99
Trouver un éducateur canin pour le Braque de Weimar près de chez vous
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but-first--tea · 4 years
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Why yes, YES this IS the very best coat. We know! 
♥ featuring: @argentrenard and @luck-and-larceny ♥
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tough-bit-of-fluff · 4 years
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Prompt #3 - Muster
“And THAT’s the story of how Turnip, Liv, Kail, and I, stopped the quote unquote bandit attacks on traveling merchants and their chocobos, vanquished a massing army of undead, and secured the supply of feed for all chocobos everywhere but especially ours!” Alyona seized her mug from the bar beside her and took a triumphant swig of cider as she finished her tale. Her pink tail swished happily. A tidy, self-contained story of heroics with neither casualty nor rampant collateral damage was not always so easy to come by.
The woman behind Aly let out a sigh of relief. The petite lalafell was waiting for a blind date at the bar counter, and had gotten caught up in the story in spite of herself. Focused on the exploits of the heroes, she had let her ice melt in her drink, which she now eyed skeptically. It was watery beyond recognition, but she was on a strict budget. She smoothed her dress, telling herself the cost had been worth it, to wear a shade and style so similar to the Sultana. She sipped at her drink, eyed the clock on the wall, and grimaced, though whether more at the late hour or the watery cocktail’s taste could not be said.
The man two seats in front of Aly let out a sigh of relief at the story’s conclusion as well. He was a feline-featured miqo’te, like Alyona, but his ears were folded back beneath his cowl in annoyance, and what little could be seen of his face looked deeply unhappy. “Thank the bloody Twelve,” he muttered, just loud enough to be overheard. “I thought she’d never quit her yammerin.’” 
This tavern patron seemed to be waiting for something as well, though what, other than the cessation of Alyona’s speech, was unclear. He ordered himself another drink, perhaps as a reward for having endured the boisterous bar talk. Although there was ample seating elsewhere, he remained firmly planted on his stool. The scowl, likewise, remained planted on his face.
The man directly in front of Aly was none other than Ramius Raske, an inventor of some notoriety, and her new associate. He chuckled, shaking his head in bemusement at the tale’s resolution, jotting a final note into his leather-bound journal. “And all that in answer to the question, ‘So what do you like to do for fun?’” The story ended, he closed the small tome and replaced it carefully in the depths of the satchel beside him on the bar counter. He had listened gamely and intently all the while, Aly noticed, while still keeping an eye to his surroundings. Aly liked that.
Ramius swept his fingers through his fiery hair, and shrugged a shoulder. “Well, with the whole ‘zombie horde’ element, one certainly couldn’t say that it wasn’t an adventure.”
Alyona nodded. “Right, malevolent animate corpses equals adventure, everyone knows that.”
“That’s just basic monster math,” Ramius agreed, raising his cup slightly as if to indicate “I’ll drink to that,” and then doing so.
Aly broke into a broad grin. “You get it!” she enthused. “This guy gets it,” she announced to the nearby patrons. The lalafellin woman giggled, curls bouncing prettily.
The cowled miqo’te hissed something under his breath about how someone was going to get it. Ramius raised an eyebrow, but Alyona was unbothered, seeming to take no notice.
“So,” said Ramius, “Refresh my memory. Kail is the...captain, of the Four Winds?”
Aly shook her head. “Nope, he’s the Head Pirate for sure, though.”
“An esteemed position, no doubt,” Ramius said, straight-faced.
Aly nodded emphatically. “No doubt! Norah’s right-hand dude! A real go-getter! He’s a Getter of Things. And of injuries!”
The Midlander chuckled again. “I believe I’ve filled that role myself a time or two, unfortunately. The injury part,” he added quickly, seeing Aly’s eyes widen. “Not the ah, Head Pirate aspect.”
He rubbed the back of his neck and cleared his throat. “So, this Norah. She’s the captain? Flies the ship?”
“Norah is the captain, but Argent flies the ship. He’s a teacher you know, an educator, which is very good because I am veeeery new to the fast-paced fun-filled field of navigation as far as I know, and I am looking forward to benefiting from all his years of experience. I will try try try! I’m a Try-er.” Aly beamed happily as she took a drink. She put down her empty tankard and took on a thoughtful expression.
“Norah is...our Must-er, I think.”
“Your...muster?” Ramius propped an elbow on his satchel, rested his chin on his hand. The cowled miqo’te growled, perhaps because of the man’s marginally closer proximity.
“Yeah like...she knows what must be done. Even if it seems difficult it won’t sway her. I bet lots of people said, don’t sell all your stuff and buy an airship! Live a comfy life! And she said, ‘No! Nein! I must! Baby I was born to fly.’” Ramius had never met Norah, but he was already reasonably confident the woman had never said such a thing. He did not interrupt, however. “And I bet other people said to her, don’t kiss a sky pirate on the lips, you don’t know where that’s been! But she knew she must do that sometimes too! And she was right, Ramius, don’t you see? Because under that cool mask-goggle-combo-dealie, Kail is totes kissable-looking, and it’s important for our rag-tag plucky protagonists to appeal also to an older demographic! We should, nay, we MUST!” Alyona slapped her fist into her open palm, as if that was explanation enough.
Behind her, the lalafell began to sniffle, and then to weep. Aly whirled around, flailing her hands in the air, a look of confused panic on her face, as Ramius patted his pockets for a handkerchief.
“I-it’s okay!” Aly babbled. “You can still like the ship even if you’re still young and cute! Or, or does it contradict your head-canon? There’s always fanfiction, it’s as real as you want it to be! Imagine yourself with everybody, I certainly do!” 
Ramius coughed, handing a clean white hankie to the tiny, tear-stained woman.
“I don’t know what any of that means,” she sobbed, accepting the handkerchief. “I just know I’ll never have someone like that, a captain or a sky pirate or a Raubahn to call my own.”
Ramius mouthed, “Raubahn?” to Alyona, wondering what that had to do with anything. Aly shrugged in response, then narrowed her eyes. “Hey! That doesn’t belong to you! That isn’t even a sleight of hand, it’s just a hand! Where it’s not supposed to be!”
Ramius whirled around to see the cowled miqo’te making for the tavern door in a hurry, something tucked under his arm. In the same fluid movement as his turn, Ramius had unholstered his gun and leveled it at the fleeing feline.
“Did you honestly think you were going to get away with that? Drop the journal,” Ramius said in an even, practiced tone. “Who sent you? Harvelle? Blavenhauer? Start talking and I might let you live, instead of bleeding out senselessly on a dirty tavern floor.”
“That got dark fast,” Aly murmured. The lalafell, wide-eyed, could only nod in agreement.
The miqo’te hissed, baring his fangs. “Does everyone think himself a hero anymore? It’s these stupid adventure stories, filling heads with fool ideas that get people killed.” He shifted his robes to reveal a pistol in his own hand. “How about if you drop the gun, and I let you live.”
“How about THIS!” Aly yelled, and the journal thief shifted his gaze just in time to see the hurtling tankard that caught him squarely in the face. “Looks like I wasn’t the one to ‘get it’ after all,” she observed breezily to her staggered target.
In the moment of distraction, Ramius blasted the man with a pulse of energy from his weapon, catching him in the hand, and causing the miqo’te to cry out and drop his gun. The inventor tsked and shook his head, closing the gap between them with a half-dozen quick strides. “You poor sod,” he lamented, kicking the dropped weapon across the floor. “You really went for it literally as soon as I turned my back. This job was above your pay grade.”
“Alsoooo, maybe everyone you try to steal from wouldn’t think they’re heroes if you weren’t dumb enough to steal only from heroes!” Aly piped up, crouching next to the seething, disarmed man with a length of rope she had produced from her own pack. “Hands please! We’ll get some first aid on that as soon as you’re alllll tied up.”
~*~*~*~
As the authorities questioned the last remaining witnesses in the tavern, Aly hefted a pouch of coin. “Feels like the reward money for his capture should juuuust cover the damages we’re being billed by the bar. Maybe next time we’ll get our drinks to go…”
Just then, the tavern doors swung open. A towering mountain of a roegadyn burst, panting, through, a sheen of exertion shimmering on his copious muscles. Pushing past the Brass Blades who tried ineffectually to stop him, the man made his way purposefully towards the bar.
Ramius groaned. “More trouble?” He got to his feet, ready for another conflict.
The roe’s eyes lit up, and then, dimmed with guilt, as he dropped to his knees directly in front of the lalafell. “It’s ye, right? Th’ pretty lil rose petal Fufelu tol’ me about?”
The lalafell’s eyes widened again. “Fufelu!? Does that mean you’re my-”
“Yer date, aye, an’ about two bells too late by me reckoning. Gorgeous creature like ye deserves better’n’ me busted wagon wheel woes. Ye look just like th’ Sultana, ye do! Can ye ever forgive me?”
His lowered gaze rose abruptly, for the woman had already thrown herself into his arms. “Take me to see the sights, and I’ll think about it! But I must insist on the best seat in the house,” she laughed merrily. The roegadyn laughed too, in relief, and hoisted her effortlessly onto his shoulder.
Aly clasped her hands together in delight. “Looks like you’re a Must-er, too!” She called to her departing newfound friend, who tossed her an eager thumbs-up in response.
Across the room, the miqo’te hissed again as he was taken away into custody. “A Must-er isn’t a thing,” he thought in utter annoyance. But he didn’t mutter or grumble. He had other things to worry about.
~*~*~*~
@ramius-xiv @norahnightsbane @erstwhile25 @matter-of-a-pinion @argentrenard - thanks for being compelling co-protagonists in our shared stories! <3
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revenancy · 1 year
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TGOED: On the Spicers & Ophie
The Spicers Guild – La Gremie d'Espiciers – has existed in some form or another for nearly four hundred years. Its grand motto, Weighed And Measured, is etched above the door of every city Guildhall, every apothecary, every grave-tender who was trained in its halls. It's among the oldest of the guilds of Argent, and is headed by House Plommiers – la sangue de l' Plomador – in the tight-packed sun-starved cities of Corant.
Its purpose: to standardize weights and measures across the continent; to maintain the quality of imported and exported spices and dyes; to hide the Company of Decadents in its shadow.
Dead And Unburied is the motto inscribed over the door to the hall where the Company of Decadents meet. It’s what members of the Company call it when they run from one city to the next, change names, cut their hair, and put on accents so no one might know who they used to be.
[more below the cut]
Ophélie Lourens was born a Spicer. She'll die a Spicer, too – and who knows how many times.
She was born Ofelia Lloranç in the shadow of l' Carillón, the Corantés Palace of Bells, to Bartelme and Viatriz, a pair of Spicers Decadent who did the dirty work of tending to the dead. When she was three years old, her uncle Renard – but his name was Placid, then – invited her family to join him on a trip into Argent.
Really, he invited her father to join him in a life of adventure, and didn't much care what became of Ophie or her mother.
When she was six years old, her mother left them to find a more peaceful life; when she was seven, her father settled in a little mid-city flat in Grisencourt and told Renard – his name was Arman, then – he would be happier as an apothecary than a murderer. Renard moved on; Bartolom and Ophélie stayed, made themselves more Argentaise for the people around them, and the little father and daughter thrived in their little flat in the largest city in the known world.
She was educated by the Guild until she was considered a Spicer, and then her father taught her all he knows of poisons and antidotes – which is a hell of a lot more than she expected from the boisterous, happy man who raised her. He gave her a kit bag of lancets, a hacksaw, handkerchiefs to hold evidence until it can be burned, and told her stories of all the times he used it, and that man sounds nothing like her father.
Now, she's twenty-three – now, her uncle's come back to Grisencourt – and he sits in the little sun parlor with her father until midnight asking him, begging him, to come to the Grand Palaces. It won't be the same without you, Barti. And when her uncle leaves, she slips out after him, her little black guildbook in hand with a little brass coin tucked between its pages marking her as a Decadent, if only barely. A Decadent, if only in name. And she offers: I'm not him. But I can help.
She doesn't know what she's asking for.
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supergirl000983 · 3 years
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I’m not ok
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