Tumgik
#Protège moi
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Les yeux bleus
Mes Yeux Bleus d'Amoureux
Je me Sens si Seul
En ce Monde d'Aveugles
Que je ne Veux plus y Voir
Pour y Connaître l'Existence
Mais j'ai la Mémoire de Mes Sens
Et Mes Yeux
Bleus
D'Amoureux
Que je ne Peux que Fermer
Œuvres moi les yeux...
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movinginelliptical · 2 years
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sloubs · 1 year
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je rêve d'un moment dans les prochains volets de kaamelott où léodagan fout un pain à arthur parce qu'il parle pas à guenièvre comme il faudrait et ça lui remet les idées en place
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originalaccountname · 3 months
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Fun BSD French translation details and choices - Episode 16 (by someone who does not understand Japanese but thinks the differences with the English translation/subtitles are fun)
Today I'm transcribing/translating Oda's last words to Dazai. I'm also including the English sub version for a refresher/comparision (and because I'm not transcribing that too lol)
French Dub: Écoute, Dazai... j'ai quelque chose à te dire, je t'en prie, c'est très important. [...] Écoute-moi! Je me souviens tu m'as dit... tu m'as dit que tu espérais trouver un jour une raison de vivre dans ce monde de violence aveugle, de sang et d'avidité. [...] Ce n'est pas ici que tu la trouveras. Tu dois déjà le savoir maintenant, n'est-ce pas? Que tu tues des gens ou que tu les aides, que tu les fasses souffrir ou que tu les rendes heureux, tu ne trouveras personne qui répond à tes attentes. C'est ainsi, mon ami. Rien dans ce monde ne t'aidera à combler ton immense solitude. Tu erreras dans les ténèbres jusqu'à ta dernière heure. [...] Aide les gens. Rends-les heureux. Puisque ton destin sera le même où que tu sois, deviens quelqu'un de bien, Dazai. Aide les faibles mon ami, protège les enfants orphelins. Que tu fasses le bien ou le mal, tu aboutiras au même résultat sinistre, mais le chemin sera tout de même un peu plus agréable pour toi... [...] C'est l'évidence même, si je le sais mieux que quiconque, c'est parce que je suis ton ami qui n'a jamais cessé de te vouloir du bien. [...] «Les gens vivent... les gens vivent afin d'obtenir le salut... le salut pour eux-même... pour eux-même... c'était bien vrai, n'est-ce pas..?
Translation: Listen. Dazai... I have something to tell you, I'm begging, it's very important. [...] Listen to me! I remember you told me... you told me that you were hoping to someday find a reason to live in this world of senseless violence, blood and greed. [...] You won't find it here. You must know it by now, no? Whether you kill or help people, whether you make them suffer or make them happy, you won't find anyone that can meet your expectations. That's how it is, my friend. Nothing in this world will help you fill your deep loneliness. You will wonder the darkness until your last breath. [...] Help people. Make them happy. Since your fate will remain the same no matter where you are, become a good person, Dazai. Help the weak, my friend, protect the orphans. Whether you do good or evil, you will meet the same sinister end, but the path will still be a bit more enjoyable to you... [...] It's so obvious, if I know this better than anyone, it's because I'm your friend who never stopped wanting good things for you. [...] "People live... live to obtain salvation... salvation for themselves... for themselves... it was true, wasn't it..?
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homomenhommes · 2 months
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Protège-moi, protège-moi, sommes-nous les jouets du destin, souviens-toi des moments divins, planants, éclatés au matin.
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bi-wan · 26 days
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Omg you're a placebo fan too?
Share three songs you love 🥺
Yes!!! It's been one of my favourite bands since I was a teenager! It matched all the angst I had as a confused bisexual. And I thank you SO much for asking me for three instead of one because even then I'm having a hard time choosing 😂. I'll skip the "Running Up that Hill" cover because it's a given <3.
In no particular order:
Protège Moi
I know
The Bitter End
Thank you SO much for asking me about them!!! I'm glad to find a fellow Placebo fan here ✨✨.
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lounesdarbois · 5 months
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Salut Lounès ! Voyons tes réactions à ces quelques citations… taquines ! 
Première citation :
Je suis de ces auteurs qu’ont du souffle, du répondant, du biscoto. J’emmerde le genre entier humain à cause de mon répondant terrible, de ma paire de burnes fantastiques (et bordel de dieu je le prouve !). Je jute, je conclus, je triomphe, je trempe la page de plein génie… De vous à moi, entre copains, c’est ce qu’on me pardonne pas du tout, à la ronde, ce qu’on me pardonnera jamais, jamais, la façon que je termine, que j’achève les entreprises, que je vais au pied comme une reine, à tous les coups. Ils voudraient bien me faire mourir, mes émules, même mes petits élèves, par chagrins, par méchants propos, me faire périr sous les morsures d’une foison de cancrelats, sous les venins d’une pullulation atroce d’aspics effroyablement voyous, martyrivores. Mais ma peau de vache me protège, jusqu’ici j’ai réchappé. Louis-Ferdinand Céline, L’École des cadavres (1938) 
Lounès Darbois : Eh oui ! Dans une confrontation, se coucher excite rarement la pitié de l’adversaire mais plutôt son sadisme. Les cruels sont souvent des lâches et vice-versa. C’est pourquoi il faut être « terrible et fantastique » pour durer et endurer. J’ai une photo de Raymond Poulidor grimpant une côte. Tout est résumé dans l’expression de son visage, le genre qui ne plaisante pas, sourd à la douleur, tendu vers son idéal. Parfois je la regarde. 
Deuxième citation :
(…) il ne s’agit plus de comprendre et d’aider son prochain mais de le fasciner et de l’enculer. Philippe de Vulpillières, L’homme tue et la femme rend fou (2017) 
Lounès Darbois : Brutal mais exact vu les mœurs actuelles ! La fascination, la « possession » sont des caractéristiques du diable. Tendance fatale quand on veut bien croire à tout sauf au bon sens ! Auteur au parcours intéressant soit dit en passant. 
Troisième citation :
Les hommes sont devenus avides, mesquins, menteurs, […] ils ont perdu la foi et le sens du vrai, il n’y a plus de rois, il n’y a plus de bonheur. Ils chercheront la mort sans la trouver ; ils désireront mourir, mais la mort les fuira. Roman von Ungern-Sternberg cité par Léonid Youzéfovitch, Le Baron Ungern (2001) 
Lounès Darbois : Terrible lorsqu’on sait le destin de cet homme. Lui et sa troupe se battaient à 1 contre 100 dans la steppe, dans une guerre sans espoir. La chanson sur les Russes blancs finit bien par « et leur agonie cruelle, la honte de l’Occident ». 
Quatrième citation :
La vie de l’homme oscille, comme un pendule, entre la douleur et l’ennui. Arthur Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation (1819) 
Lounès Darbois : Qu’est-ce qui est le plus agaçant : est-ce le poison de la philosophie du soupçon que Schopenhauer et Nietzsche, en suivant les pas de La Rochefoucauld, ont répandu sur les meilleures générations d’Européens qu’ils avaient au contraire pour mission de galvaniser ? Ou est-ce la complaisance dans la déprime où aiment se morfondre les jeunes Blancs intelligents pour justifier leur inertie ? Difficile à dire ! Enfin tout cela mérite une bonne douche froide et deux jours de diète. Il y a plus de sagesse dans la vie sans parole de François d’Assises que dans les 10 000 pages de l’oncle Arthur et j’ai le droit de le dire car je les ai toutes lues ! Flaubert plus laconique disait à Maupassant : « Méfiez vous de la tristesse, c’est un vice. » 
Cinquième citation :
Ainsi devient raciste celui qui ne veut pas voir son pays envahi par l’étranger, réactionnaire celui qui regrette le temps passé, révisionniste celui qui n’adhère pas à la doxa nationale, fondamentaliste celui qui se réclame de la religion de ses pères. Jean de Pingon, préface à Laurent Gruaz, Et si la Savoie redevenait indépendante ? Projet pour un état souverain, catholique et royal (2020) 
Lounès Darbois : La xénophobie que l’on essaie toujours de faire passer pour une agression active est un réflexe de défense à une agression. Au plan des instincts, elle procède de la pulsion de vie ; au plan politique elle est une résistance à la colonisation ; au plan moral elle est morale ; et au plan chrétien… elle est justifiée par la parabole du bon Samaritain : seul l’étranger qui vous sauve est votre prochain, pas les étrangers en général. 
Sixième citation :
Ah la sale gueule des honnêtes gens… Pierre-Antoine Cousteau, pensées et aphorismes (2021) 
Lounès Darbois : Se vérifie souvent chez des gens très fiers d’avoir étudié en école de commerce. 
Septième citation :
La conversation d’une femme : 95 % de reproches. Paul Morand, Journal inutile (1968-1972 et 1973-1976) 
Lounès Darbois : Vrai sauf… sauf si vous l’« honorez », comme on disait jadis. Alors elle vous fiche la paix. 
Huitième citation :
À vingt ans on a déjà plus que du passé. Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932) 
Lounès Darbois : Avez-vous déjà eu cette impression malgré tous les voyages que vous avez entrepris, malgré toutes les réalisations que vous avez accomplies, que tout pendant l’enfance et l’adolescence étaient encore plus intense, plus beau, plus spontané, en somme plus vrai ? Il me semble que la vraie vie, c’est l’enfance, et que le reste est accessoire. 
Retrouvez Lounès Darbois chez Kontre Kulture
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voixcristalline · 5 months
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je crois que je suis fatiguée. je suis fatiguée de toujours faire attention aux sentiments de chacun, faire attention de ne pas être trop, de ne pas être assez, de ne pas rire trop fort, pleurer trop souvent ou me plaindre à tort. je suis fatiguée de rassurer quand moi même je n’en sais rien. fatiguée d’être là, perpétuellement et de me soucier de chacun des gestes, des signes -même potentiels-, des rictus et des blessures de toutes les personnes présentent ou non dans ma vie. parce qu’à la moindre erreur de ma part je deviens le diable le plus affreux jamais connu sur cette Terre. combien de fois faudra-t-il que je m’écorche pour qu’enfin quelqu’un comprenne que ce que je ressens moi aussi est légitime? quand arrivera-t-il le jour où on m’écoutera de la même façon dont j’écoute? quand est-ce qu’on me regardera comme je regarde attentivement les gens? dans les moindres détails? m’assurant alors que tout va bien ou que les sourires sont sincères. quand est-ce qu’on arrêtera de croire que tout me coule dessus, que je n’ai besoin de rien, que ce qu’on me donne est suffisant, que je n’ai pas à avoir plus, ni moins. quand est-ce que simplement je pourrai avancer sans avoir peur de perdre le contrôle et tout ce qui m’entoure? j’aurai besoin d’être suffisante pour être la priorité, quoiqu’il arrive. quand bien même je donne mon âme, et tous les efforts du monde on ne retiendra rien de plus de moi, on ne m’appellera pas en première, on ne pensera pas à moi avant tout, et on ne voudra jamais me protéger comme je protège le monde. je crois que je suis fatiguée.
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Les agresseurs du neveu de Brigitte Macron ont écopé de 12 et 15 mois de prison ferme. Un 3e a été relaxé. Par contre, un magistrat qui prostituait sa fille de... 12 ans n'a eu que du sursis
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Bah ouais on se protège dans "ce" milieu n'est-ce pas !!!
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cheesy-breezy · 2 years
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protège moi
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lisaalmeida · 8 months
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"Aime-moi aussi quand je suis faible, cassante, quand je suis en colère, irritable, quand je ne réponds pas aux questions, quand la peur me gagne, quand j’angoisse.
Aime-moi, juste parce que j'aimerai être comprise, acceptée et déchiffrée dans mes intervalles, mes respirations, mes ponctuations,
mes silences.
Aime-moi quand je ne souris pas, quand je ne me sens pas belle, quand je regarde mon reflet avec une grimace de dégoût.
Aime-moi quand j'ai mal, quand j'ai du chagrin et que coulent des larmes sur mes joues. Protèges moi quand c'est le bordel dans ma tête. Une grande pagaille qui me submerge et met le foutoir dans mon âme.
Aime-moi douce et tolérante.
Aime-moi juste humaine, changeante comme la lune et complexe comme le temps. A fleur de peau, imprévisible et audacieuse, sauvage et poétique.
Aime-moi entière, en additionnant tout mes chapitres, ces paragraphes qui me composent et s'additionnent, se cumulent, s'accumulent...
et je promets que je saurai accepter chacune de tes facettes, ton allure et ta prestance.
Juste parce que tu ne me verras pas toujours heureuse comme aujourd'hui. Je ne serai pas toujours avec tant d'aspiration, de désir. Parfois mon âme a besoin de se reposer, mon âme n'est pas toujours dansante..."
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tesia-a-138 · 2 months
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Je vous aime en silence, c'est dans le silence que je vous retrouve sereine. Je vous aime dans la solitude, dans la solitude vous n'appartenez à personne sauf à moi. Je vous vénère à distance, car la distance me protège de la douleur. Je vous embrasse dans le vent,car le vent est plus doux que mes lèvres.
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homomenhommes · 12 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 170
Acquisition ZX10R, Emma,
Comme je l'avais décidé, j'ai changé mon Monster 1100S par un ZX10R dont je confie la préparation à Cédric. Toutes les concessions ne se ressemblant pas, je n'envisage rien avec le vendeur de chez KAWASAKI, jeune mais c'est tout.
Dès que je récupère la moto, je la dépose au garage du père de Cédric, pour que ce dernier (Cédric) me la débride entre autre (changement des freins, pot d'échappement....). J'y rencontre alors un mec début 40aine, très ressemblant à son fils (ou l'inverse) mais modèle au dessus question taille et carrure. D'ailleurs ce ne serait pas le père de Cédric, j'aurais tenté ma chance ! Cédric l'avait prévenu et il n'est pas étonné, tout juste essaye t-il de savoir un peu avec qui traine son fils qui semble avoir déserté le toit familial ces derniers temps. Je reste évasif quand il me parle d'un groupe de motard. Mais quand il me fait part de ses craintes qu'il vire voyou ou délinquant, je me vois dans l'obligation de le rassurer. De plus si Cédric se met à la modification des motos de tous les potes, son père risque de voir passer un peu de monde chez lui. Je lui explique que nous sommes juste une bande de copains de tous âges et de tous horizons avec des étudiants, des professions libérales ... Même si Cédric est le plus jeune et à cause de cela, tous nous le protégeons. Est-ce mon ton ? La façon que j'ai eu de le dire, ou la perspicacité d'un père inquiet ? Toujours est il que la question suivante à été " et y'en a pas un qui le protège ;plus ? ". Sa question me surprend et je lui demande ce qui lui fait penser à cela. Il me répond que son fils ne tari pas d'éloge pour un professeur d'auto-école au près de qui il compte passer son permis A1 et d'un copain qui l'entraine dans un club de muscu. Comme Cédric ne lui a pas demandé d'argent et que ce n'est pas avec son salaire d'apprenti qu'il peut se payer tout cela, il commence à se poser des questions. Je le rassure et lui dit que c'est notre groupe qui s'en charge. D'un coup je me demande si ça le rassure vraiment. Je suis obligé de préciser qu'Eric lui donne les cours de pilotage moto gracieusement et que c'est moi, pour le remercier d'entretenir et modifier mes motos qui lui offre le club de muscu et ce qu'il faut pour son désir de modeler son corps. C'est à ce moment que Cédric rentre de son taf. Même alors qu'il savait que j'allais passer, il rougit. Rapidement avant qu'il n'y ait de malentendu, je résume ma conversation avec son père. Dans le silence qui suit, je le vois prendre une grande respiration, me regarder dans les yeux puis se tourner vers son père et faire son coming-out. Sans entrer dans les détails sexuels, il lui explique que pour lui c'est plutôt les mecs que les nanas, qu'il s'est trouvé un groupe d'amis avec qui il est à l'aise avec ça et auprès d'un plus particulièrement. Là, j'ai admiré le paternel. Après un long silence passé à digérer les nouvelles, il a pris Cédric dans ses bras (je n'ai pu m'empêcher de mater ses biceps se gonfler, on ne se refait pas !) et en le serrant fort contre son torse, lui a demandé s'il était sûr de lui. Réponse étouffée mais positive. Le père tourne la tête vers moi et me demande, " c'est toi ? ". Je lui dis que non, même si cela aurait pu être, mais que c'est Eric qui a eu la chance d'être choisi par son fils. Une fois sorti des bras de son père, Cédric s'est approché de ma nouvelle moto pour qu'on voit ensemble ce qu'il y allait avoir à changer. Je demandais alors à son père s'il pourrait au nom de son garage se charger de commander les pièces, acceptation de sa part.
Je les quitte sachant que la soirée allait être longue en explication pour Cédric.
Quand je rentre à la maison, Marc est déjà arrivé. Il me demande où j'étais. J'explique en lui disant que je me serais bien fait le père de Cédric si justement il ne l'avait pas été. En disant cela, je me suis collé à mon homme, ma main droite sur son paquet. Il me prend par le cou et me roule une pelle. Sa langue impérieuse pénètre ma bouche et attaque la mienne. Sous ma main je sens sa bite grossir. J'attend qu'elle soit bien raide et alors je glisse à genoux. Je défais vite son jeans et le tire à mi cuisses. Avec mes mains je tends encore plus le tissus de son slip contre sa tige et pose ma bouche sur son gland ainsi dévoilé. Je lèche, mouille, suce par dessus la barrière. Mais je veux le contact de sa peau. Le slip rejoint de pantalon et sa bite se dresse, bien droite au dessus de ses couilles rasées. D'ailleurs c'est par elles que je commence. Je fais rouler l'une puis l'autre dans ma bouche (elles sont trop grosses pour que je puisse prendre les deux ensembles). Je remonte doucement les 22cm qui les séparent du gland, la pointe de ma langue suivant le gonflement de l'urètre. Arrivé à l'extrémité, ma bouche vient couvrir son gland uniquement. Dans un premier temps, je joue de ma langue sur la surface violacée, titillant le frein, râpant la couronne avec les dents jusqu'à ce qu'il n'y tienne plus et m'enfonce brutalement sa bite au fond de ma gorge. Là, je sais ce qu'il me reste à faire. Je le pompe de mes lèvres posées sur l'extrémité de son gland jusqu'à les coller sur son pubis, logeant alors son gland au plus profond de ma gorge. Je m'applique bien, j'ajoute des déglutitions rapides quand il est au plus profond de moi. Ça le fait gémir grave. Je sais qu'en faisant cela, son gland est massé par le mouvement de mon larynx et que ça l'excite un maximum. Je continu jusqu'à sentir couler son jus jusque dans mon estomac. Miam ! il se retire juste pour déposer sa dernière giclée sur ma langue. Je la garde en bouche car effectivement, il me relève et nous la partageons dans un baiser brûlant. Il ne débande pas. Je le pousse dans un canapé et à ses pieds, reprends son déshabillage. Les chaussures volent au travers du salon, le jeans est arraché avec le slip. Il se défait de son polo le temps que je mette à poil moi aussi.
Je suis chaud ! je me place sur lui, et un genou de chaque coté, m'assois sur ses cuisses, nos sexes collés l'un contre l'autre. Je reprends notre baiser même s'il n'y a plus de sperme à partager. D'un main je fouille de fond du canapé et trouve coincé entre les coussins un flacon de poppers (il y en a un peu partout dans la maison, histoire d'en avoir toujours sous la main quand on en a besoin !). Je me sature les narines, cela achève d'assouplir mon anus déjà moite d'excitation. Je me redresse, d'un mouvement de bassin place le gland de Marc sur mon anus et m'assois d'un coup.
Malgré mon excitation je la sens bien passer et je râle. Sans avoir l'anus d'un puceau, mes exercices réguliers de serrage de sphincter sur un plug étroit portent leurs fruits. Marc en rajoute en poussant sur mes hanches histoire que dès le premier coup je m'ouvre totalement. Je reste quelques instants sans bouger le bassin. Je me contente de me pencher et de lui rouler un patin. C'est Marc qui donne l'ordre de mouvement quand je sens ses mains essayer de me soulever. Je prends tout mon temps, j'adore Marc et j'aime faire durer quand nous faisons l'amour. Mes mouvements sont lents mais complets. A chaque fois je le sors complètement de mon cul avant de me m'asseoir à nouveau dessus. Lui comme moi, nous savourons chaque va et vient. Son bras sur mon cou, pour retenir mes lèvres contre les siennes, me transmet chaque évolution de son excitation par la contraction de son biceps. Il me bascule sur le coté et je me retrouve dos sur le canapé. Je relève mes jambes pour les poser sur ses épaules et ainsi bien dégager ma rondelle. Marc les pieds callés contre l'accoudoir me laboure le cul avec efficacité. Cette position lui permet de plus grandes vitesses de limage quand il le désire. Mais c'est quand même en levrette qu'il se finit dans mon cul. Ses mains sur mes épaules, il m'attire à lui en même temps que son bassin pousse vers moi. Les chocs entre nos deux corps sont violent mais nous aimons ça tous les deux ! Il se fige bien planté au fond et je ressens en moi ses éjaculations. Trop bon ;de pouvoir se baiser sans kpote !
J'attends qu'il me branle avant de quitter mon cul pour lui juter dans la main. Je sais qu'il va me la faire lécher ensuite. ça ne manque pas, je vois arriver sous mes yeux ma production. Blanche, épaisse, je plonge ma langue dedans, miam ! Je lape, lèche ses doigts pour ne pas laisser un spermatozoïde m'échapper. Il décule enfin, me tourne sur le dos et couché sur moi, nous nous roulons un tendre patin. Il est vraiment trop bon mon mec !!
Samir déboule avec deux peignoirs sur le bras pour nous annoncer le diner. Notre baise apéritive nous a ouvert l'appétit et nous faisons honneur à leur cuisine. Après diner, je prends un moment avec Samir pour voir avec lui comment se passe les " conduites " d'Ed et Jimmy. Il me dit que mes clients sont maintenant habitués à ce que ce soit lui qui fasse les conduites et il me dit que je vais avoir une remise de chèques à faire sur le compte de ma société d'Escort. Nous examinons ensemble le cahier des rendez vous, le montant des chèques et le liquide de la quinzaine passée. Il me transmet aussi la demande de DGSE pour une nouvelle séance "garde à vue " mais uniquement avec Ric. Je verrais avec André mais je ne pense pas que cela pose de réelles difficultés vu que la dernière fois il a récupéré un fils adepte de " l'électricité ".
Ma petite affaire fonctionne bien et me permet de financer très largement les salaires de Samir et Ammed, sans compter l'approvisionnement du compte de Jimmy.
Le jeudi qui suit, je déboule chez Emma. Vu le temps que nous avons actuellement, je la retrouve auprès de la piscine, toutes les baies donnant sur le jardin grandes ouvertes. Je me défais vite de mes vêtements et enfile un maillot pour la rejoindre (je compte cette année encore garder mes fesses blanches). Elle est en train de lire, je me couche sur elle. Elle me crie de dégager. Je lui enlève son livre de ses mains et écrase ma bouche sur la sienne. Cela coupe court à ses récriminations. Et je sens ses tétons durcir sous le tissu de son deux pièces. ;Je frotte mes pecs contre ses seins. Ils durcissent encore plus. J'envahi sa bouche avec ma langue et elle répond enfin à son excitation. Je bande, ma queue sort du maillot dont je n'avais pas serré le cordon et vient bitter contre le tissu qui couvre sa chatte. Sans cesser de l'embrasser, je glisse une main sur sa culotte, tire le rebord et dégage l'entrée de sa grotte. Ma bite plonge dedans. Elle est mouillée et brulante. Ma main remonte pour défaire son soutient gorge et es tétons viennent frotter directement mes pecs. Je quitte sa bouche et me penche pour sucer ses tétons l'un après l'autre. Elle gémit de plaisir. Je profite d'un mouvement plus ample de mon bassin pour, étant sorti de sa chatte' retirer sa culotte. Je réinvesti aussitôt la place. Ses jambes viennent ceinturer mes hanches et je sens ses talons appuyer au creux de mes reins pour bien m'enfoncer au fond de son vagin. Je reprends ses lèvres et ma langue revient jouer avec la sienne. De temps en temps elle décolle sa bouche pour me murmurer que c'est trop bon, que je la rends folle. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je sors ma bite bien lubrifiée de son vagin et pose mon gland sur sa rosette. Je retire ma langue de sa bouche, on sait jamais si dans un mouvement reflexe elle risquerait de me la mordre, avant de a sodomiser. C'est chose faites quelques secondes plus tard. J'enfonce mon gland d'un sec coup de rein avant de faire glisser lentement mais sans arrêt mes 20 cm dans son cul. J'adore être bien serré par un anus. Quand il est bien " entretenu ", il serre beaucoup plus fort que n'importe quel vagin et il transmet de façon plus violente les contractions dues aux orgasmes. Foin de ces considérations ! Je la cloue sur le matelas à grand coup de bite dans le cul. Emma prend du plaisir sans que j'aie à m'occuper en plus de sa chatte ou de son clito. Je ne me retiens plus et accélère les va et vient. Deux mordillements de tétons plus tard, elle prend son pied et, ce faisant, bloque ma queue dans son cul. A la troisième compression, je ne tiens plus et éjacule tout le contenu de mes couilles au fond de son trou. Je roule sur le coté et me retrouve sur le dos, Emma couchée sur mon ventre. Nous restons ainsi quelques instants avant qu'elle me dise que la mère de Pierre n'allait pas tarder à venir se baigner. Je ronchonne un peu car cela veut dire que nous ne pourrons pas refaire l'amour avant que je parte.
Sonnette, je renfile mon maillot mais un zeste de rebellitude me fait laisser le lacet dénoué et donc laisser mon sexe, par son poids, tirer le tissu vers le bas, jusqu'à laisser entrapercevoir la naissance de ma hampe. Quand après avoir déclenché le portillon d'entrée je lui ouvre la porte, hélène est surprise de me voir et surtout dans une telle tenue. On s'embrasse et elle me dit qu'à me voir comme cela, ça lui ferait presque regretter de m'avoir fait rencontrer Emma ! Je lui roule un patin en souvenir de notre brève relation. Elle me repousse en me disant que si on continuait, elle finirait par me violer sur place. C'est en riant de cela que nous rejoignons Emma. Quand cette dernière nous demande la raison de notre hilarité, je lui rapporte les regrets de son amie. Nous passons une fin d'après midi agréable. J'ai des nouvelles fraiches de Pierre et de son mec Olivier. Et les deux amies de papoter de leurs deux fils homos ! Pierre fini son année d'architecte en tête de la promo et son mari et elle sont enchantés de l'influence bénéfique d'Olivier. Pendant un moment, ils avaient craint que le fait que Pierre s'installe chez lui, occasionne trop de distraction par rapport à ses études mais ce n'était pas le cas. Je le lui confirme en lui disant que depuis qu'ils s'étaient trouvé tous les deux, c'est à peine si nous les revoyons une fois par trimestre.
JARDINIER
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getsusekaii · 2 months
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remembers that one fma amv everytime i listen to protège moi
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e642 · 7 months
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J'ai l'esprit tellement pas tranquille avec ce garçon c'est impressionnant. J'ai des vagues de petits pics à base de "c'est sûr il va me tromper ou il me trompe même déjà en ce moment même" et le reste n'est qu'un "en vrai tant qu'il se protège, c'est carré, il a bien raison". Jme sens à la fois paranoïaque et à la fois infâme. Tsais, je vois la différence avec mon ancienne relation, c'était la démesure, c'était le mec de ma vie à un moment, c'était tout, j'avais vraiment l'espoir qu'on finisse notre vie ensemble. Là, j'ai pas un mot plus haut que l'autre, c'est rationnel, jsuis passive, et je sais surtout qu'on va pas aller loin. Et en fait, je crois que je porte tellement peu d'importance réelle à cette relation que je passe juste mon temps à faire des prédictions, et attendre la fin pour voir si j'avais vu juste. Plus les gens, pas seulement ce gars, ont des comportements cruels envers moi, plus je m'éloigne émotionnellement de tout ça. Donc en fait, que mes liens avec certaines personnes aillent bien ou mal, c'est pas que je fais pas le delta, c'est juste que j'ai cette curiosité malsaine de voir jusqu'à où on va pouvoir aller vu l'état déplorable de certaines conditions dont pâtissent mes interactions sociales. Je n'en suis pas vraiment bouleversée, j'attends juste que ça prenne fin et en attendant, je me fais mille scénarios car je suis affamée du dénouement. Je ne le redoute pas pour autant. Quelle pauvreté n'empêche.
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nos-souffles-perdus · 7 months
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Multitude de rêves sont revenus hanter mes nuits.
Pourtant je m'en protège, des mois que je me suis remise à fumer des joints, des mois que je me préserve des rêves.
Pourtant ils sont revenus.
Plus réalistes et désarmants que jamais.
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