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laporteblindee · 7 months
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late rainy nights
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laporteblindee · 7 months
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Les démons pleurent aussi
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J'ai la carapace lourde, la coquille vide.
Je me traîne des secrets, des regrets, des hontes. Je mens, j'omets et j'oublie.
Je fais subir à celui que j'aime ce que j'ai subi.
Avant j'étais la victime aujourd'hui je suis bourreau. C'est fou de voir à quel point la vie est ironique. Je me sens de trop. Et puis comment être honnête maintenant quand la vérité t'est indigeste ? Quelque part, je savais que ça allait se transformer en quelque chose d'immensément douloureux. J'ai voulu fuir. Mais j'ai fini par croire que c'était possible. J'ai mal de te faire autant de mal. J'ai pas le droit de m'en plaindre, pas le droit de dire ce que je pense vraiment, pas le droit d'être fatiguée, pas le droit d'être désolée. Tu veux l'entendre mais en même temps ça t'es insupportable parce que tu t'es sacrifié. Parce que tu as été honnête sur toute la ligne. J'ai fauté et pas toi. Je me sens dans une impasse. J'ai envie de me battre et j'ai envie de me jeter d'un pont. J'ai envie que tu vois que je t'aime et que tu mérites qu'on se casse les os à le faire, et j'ai envie de tout lâcher parce que c'est plus simple d'abandonner.
Tu t'en fous de mes états d'âme et je me dis que je le mérite.
Moi aussi je trouve ça injuste. Mais je suis la méchante de l'histoire alors j'ai pas le droit de dire quoi que ce soit.
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Depuis le début, tout ce que je voulais c'était éviter de te faire du mal. -"J'ai pas envie que tu m'attendes. -Je t'attendrai."
Alors qu'au fond, tu n'en avais ni le temps, ni l'envie. -"Je ne veux pas que tu arrêtes de parler à untel et untel par ma faute, à cause de la jalousie, parce que je suis trop insécure. -Je ne veux pas te faire de mal. Si je ne dois plus les fréquenter je le ferai."
Tu les as quasiment complètement rayées de ta vie. Ironie du sort, elles habitent loin maintenant. Et qui souffre ? Toi. Aujourd'hui je me retrouve avec des reproches, tes sacrifices - que je savais bien trop durs et douloureux.
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Ma vérité, mes peurs et mes expériences ne te conviennent pas. Et j'ai l'impression que parler ne fait qu'empirer les choses. J'ai pris conscience que j'ai de vrais problèmes de communications, que j'ai un vrai problème avec la franchise et l'honnêteté sur quasiment tous les sujets. Seulement, je reste persuadée qu'il y a des choses qu'il ne faut pas dire. Je crois que souffrir en silence est plus facile que de souffrir la plaie béante en face de quelqu'un qui n'y peut juste rien.
J'écris avec ma raison et mon ego sur les épaules. Je suis pétrifiée. Et je suis résignée. Je veux évoluer et ne rien changer.
Je me sens acculée. Je suis triste de t'aimer. Je suis désolée de t'aimer.
C'est brouillon et ne fait pas grand sens.
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laporteblindee · 7 months
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Pourquoi il faut que je détruise toujours tout ce que je touche
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laporteblindee · 1 year
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Avance seule.
Naissance. Mort.
A ces deux événements, on dit que l'on est seul. On dit que c'est inévitable. Je crois qu'on ment. Je crois qu'à l'instant où l'on pense à nous, on existe déjà. Et lorsqu'on existe dans le cœur de quelqu'un, alors quelque part... on n'est pas seul. On n'est plus seul. Alors pourquoi quand je lis qu'il faut que j'avance, avec ou sans toi, je me sens comme la personne la plus seule au monde ? Pourquoi je ressens déjà cet abandon qui n'est que ma peur de le vivre ? Suis-je en train de réaliser à la seconde ce qu'est la dépendance affective ? Est-ce que finalement elle ne se manifesterait pas comme une drogue ? Comme le fait de rester accrochée à une situation plutôt confortable, qui se crée, petit à petit... et qui en même temps se délite en profondeur... Je reste accrochée au cœur des gens, comme une moule à son rocher. Comme un koala à son arbre. Comme une personne, à une autre personne. Mais cela n'est pas dans l'ordre naturel des choses. Enfin, je ne crois pas. Finalement, me sentir appartenir à quelque chose, c'est important pour moi. Mais appartenir aux gens n'est pas la bonne solution. S'accrocher à des objets en mouvement, c'est tout sauf amusant. A moins que l'on bouge nous aussi. Pourtant, je suis immobile. Je reste là, immobile, dans un tourbillon d'événements qui me réchauffent le cœur ou qui me l'obscurcissent. J'observe et reste spectatrice de ma propre vie... voire de la vie des autres. Mes yeux eux-mêmes sont fatigués de regarder. Ils voient. Ils restent ouverts à fixer un point invisible jusqu'à ne plus en pouvoir. Tous les jours la lumière s'éteint, sans avoir pris le temps de contempler la lumière, de comprendre comment elle fonctionnait, d'apprécier sa lueur et sans oser changer de point de vue. D'ampoule.
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Je vois bien que la vie veut m'obliger à prendre un chemin qui m'effraie au plus au point. Je la vois trouver des subterfuges pour que je finisse par m'en sortir, seule. Mais j'ai peur.
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laporteblindee · 2 years
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Déchaîne-toi
[...]
Tu inspires et expires, de plus en plus vite. Ta température corporelle commence à grimper. Tu fatigues, tu as envie de t'arrêter. Mais c'est à ce moment qu'elle arrive. La vague. Celle qui englobe tout ton être et te transporte dans un monde à part. Un monde où tu n'entends que ta propre voix. Tes propres éclats. Ça fait du bien n'est-ce pas ? Tu t'abandonnes, enfin. Les yeux clos, Les gorges s'étranglent, Les mains tremblent, Le souffle est court. Entends-tu cette mélodie ? Le corps se contracte et se décontracte. Il fait brûlant, il fait moite. Tu oublies de respirer, Tu essaies de reprendre ton souffle... Es-tu encore là ? Est-ce qu'on te voit ? Concentre-toi... Souffle. Ça fait mal. Ça fait du bien. Mais ton corps te lâche. C'était trop fort. Pourtant, il en veut encore. Encore et encore. Dans un dernier élan d'énergie, Il se meut à l'infini. Il se déchaîne. Et toi, Tu exploses. De joie. Fou rire.
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laporteblindee · 2 years
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Tu trouveras chaussure à ton pied
J'ai 16 ans.
Histoire classique au lycée, un gars qui me plaît, je finis par sortir avec lui, premier amour.
Les débuts sont amusants, intéressants. On pétille tous les deux, on s'apprend, on se découvre. On est enthousiaste pour tout, même si ce n'est pas la nature de l'un ou de l'autre.
Le temps passe et les sentiments s'intensifient. Chaque jour un peu plus.
Et puis, sans trop comprendre pourquoi, il a besoin d'un break.
Bonne poire que je suis, je vais bien sûr consentir à cette parenthèse au sein de notre relation. Je sais que c'est bon pour nous, même si petit à petit, mon cœur se craquèle et s'émiette. Je sais que plus les jours, les heures, les minutes passeront, plus l'écart entre nos cœurs se creusera.
Alors je pleure. Quasiment tous les jours. J'écris. Tous les jours. Je tiens un journal intime où j'y inscris toutes mes interrogations, mes réactions. Je passe du rire aux larmes. De l'austérité à la chaleur.
J'ai très mal.
Ça fait mal d'être amoureuse.
Si j'avais su...
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J'ai tenu ce journal intime pendant un mois, peut-être un peu plus.
Ce qui me frappe dans les lignes que j'ai lues avant-hier soir, c'est à quel point j'avais de l'intuition - à mon plus grand désarroi - et très peu d'amour propre.
Je me suis sentie trahie, j'ai vécu l'irrespect le plus total, j'ai deviné ce qui se tramait dans mon dos sans jamais remettre la faute entièrement sur lui. On était deux. Alors j'ai pensé que j'avais aussi ma part de responsabilité.
...
J'ai pensé que je le méritais. On ose m'aimer, bien que l'amour que je donne en retour soit toujours jugé de la même manière. Trop amical.
Je l'ai toujours mal pris. Parce qu'il n'a jamais été valorisé.
On a méprisé ce que j'ai osé offrir avec la plus grande sincérité du monde. Je me suis sentie bafouée. Jugée. Moquée. Infantilisée.
Mais qu'est-ce que j'y pouvais. C'était aussi ma faute.
J'ai lu dans ses faits et gestes qu'il n'était plus avec moi.
Tu n'as pas tenu tes promesses. Tu n'as pas respecté tes engagements. Tu as franchi mes limites. Tu as réfléchi pour moi. Tu as beaucoup pensé à toi. Et malgré tout ça, malgré tout, je t'ai aimé très fort à ce moment-là.
Mais qu'est-ce que c'est qu'aimer avec une confiance brisée ?
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A cette gamine triste d'il y a quelques années.
Merci d'avoir écrit.
Aujourd'hui je peux statuer du fait que tu es quelqu'un de dévoué. Je peux lire en toi une immense sensibilité.
S'il-te-plaît, dorénavant, protège-toi.
Comment ?
En te faisant confiance. N'aseptise pas tes sentiments, tes émotions. Ne les rends pas vides. Vis-les. Ressens-les. Mais accepte-les. Sois triste. Sois en colère. Exprime ta colère. Sois heureuse d'être heureuse. Partage tes peurs. Pars si quelque chose ne va pas.
Tu es légitime, tu sais ? Toutes les chimies dans ton corps et dans ton cœur le sont aussi. Tout simplement parce qu'elles existent. Que tu existes. C'est logique, n'est-ce pas ?
On en a vécu des horreurs toi et moi. Psychologiques, ou physiques. Mais on est encore là.
Tu es partie. Définitivement. Tu as pris ton temps, mais tu es partie. Et je t'en félicite.
Et puis cet amour que tous ces idiots critiquent, ils l'ont fait parce qu'ils n'y voyaient pas ta vérité.
Cette amitié, ou cet amour des gens en sont honorés aujourd'hui. Et de toute manière, il sera impossible de le changer.
Quand tu aimes, tu donnes.
Quand tu aimes, tu ris fort.
Quand tu aimes, tu écoutes.
Quand tu aimes, tu es là, même de loin.
Quand tu aimes, tu fais l'imbécile.
Quand tu aimes, tu es toi-même.
Quand tu aimes, tu es folle.
Quand tu aimes, tu te confies.
Quand tu aimes, tu pleures aussi.
Quand tu aimes, tu câlines.
Quand tu aimes, tu te fâches un peu.
Quand tu aimes, tu n'as plus peur.
Quand tu aimes, tu oses.
Quand tu aimes, tu es vraie.
Alors aime. Aime cette capacité à aimer comme tu le fais. Quelqu'un l'aimeras avec toi aussi.
Et toi aussi tu trouveras chaussure à ton pied.
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laporteblindee · 2 years
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Est-ce que t'es heureuse ?
Alors voilà. J'ai mes règles.
C'est maintenant que je décide de tout remettre en question, que je tente d'avoir un regard objectif et avisé sur ma situation.
Est-ce un choix judicieux ? Pas vraiment.
Malheureusement, j'y fais face chaque fois que mes menstruations pointent le bout de leur nez ou non. Les SPM sont toujours au rendez-vous, n'ayez crainte.
Je suis peut-être moins heureuse pendant cette période. Je pointe du doigt tout ce qui ne va pas, plus, ou ce qui n'a jamais été. Les ratés sont encore plus foireux, les petits bonheurs encore plus lointains. Les nerfs sont à vifs, chaque effort est vain.
Néanmoins, avec ma flemme intersidérale, vous saurez que jamais ô grand jamais je n'irai inventer toutes ces histoires de mon plein gré. C'est bien trop fatiguant.
...
Tout est déjà là alors. Les petites blessures et les douleurs sont là, au quotidien.
Elles se font rares, petites, ou les deux.
Et puis on les oublie, on est heureux.
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Et puis BAM, déclic.
Une déferlante de coups, de critiques. Les regards, les jugements. Imaginer son futur, avec qui, pourquoi, comment ? Compter sur les doigts de toutes les mains pour savoir tout ce dont j'aurai besoin pour sourire chaque matin. Des coups de poing au ventre pour te dire de nier ce qui te prend littéralement le crâne. Mais nan. Ça s'arrête pas. Pas comme ça. Une fois que le tapis est soulevé, même si tu souhaites le relâcher pour y oublier la poussière dessous... tu finiras par éternuer tout ce qui t'as été envoyé à la gueule en un souffle.
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laporteblindee · 2 years
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Je me détruis le corps pour mettre le cerveau en sourdine. J'ai le cœur qui souffre parce que le cerveau dysfonctionne. J'ai le cerveau qui chauffe à cause d'un corps et d'un coeur qui m'abandonnent...
doucement.
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laporteblindee · 2 years
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Je suis en train de flinguer ce corps
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laporteblindee · 3 years
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Faire l'amour avec un mec
TW : réflexion en rapport avec le viol, description de scène de sexe/viol, porno, trauma, intimité, santé mentale...
J'ai (enfin) lu un livre de type Harlequin il y a de ça 2 jours. Je suis passée par toutes les émotions, aussi opposées soient-elles : le dégout, l'interrogation, l'excitation, l'émoi, le rire...
Je passerai le fait que certaines fois, c'était fichtrement mal écrit, mais peu importe... on était censé kiffer.
Seulement, depuis la lecture de ce bouquin, je remets plusieurs choses en question à propos de ma sexualité.
Premièrement, mon viol m'a bien traumatisée. Maintenant que je me suis libérée de mon violeur, j'encaisse la réalité que j'essayais d'enfouir depuis maintenant quelques années : j'ai des triggers.
Deuxièmement, ils peuvent être tout comme rien.
Je m'explique. J'vais devoir vous spoiler cet incroyable livre du coup... hm...
Au début, le mec, détective privé, a pour mission de se rendre chez une femme qui a l'habitude de coucher avec différents hommes. Il doit y aller dans l'optique de trouver un objet précieux chez elle, et pour se faire, il devra jouer la carte du séducteur. Alors plein de préjugés, il comprend que quelque chose cloche en arrivant chez elle, mais ne sait pas quoi. En effet, sans qu'il le sache, la femme avait échangé sa place avec une autre. Cette dernière étant là pour expérimenter les plaisirs du plan Q et de la liberté sexuelle. [...] Alors, ce mec empli de préjugés s'apprêta à baiser la femme qui se trouvait là, alors qu'elle-même ne savait pas comment s'y prendre, bien que l'homme lui plaisait beaucoup. Seul hic, il allait presque s'introduire en elle (avec une partie de son corps... je sais plus laquelle) quand elle cria pour indiquer qu'elle ne voulait pas que cela se fasse comme ça. Elle avait la sensation qu'il allait la violer. Et lui, se rendant compte de sa connerie, s'est ravisé à temps, même s'il ne comprenait pas comment une femme habituée à faire l'amour à plein d'hommes pouvait agir de la sorte...
Bref, y'a beaucoup de choses limites dans l'écriture de ce livre, mais la chose qui m'a fait le plus de mal, c'est de lire une quasi scène de viol "par erreur". C'est là que je me suis rendue compte que j'avais des séquelles. Parler du viol en lui-même, parler de mon viol à certaines personnes s'est souvent fait de manière assez désinvolte, voire carrément désintéressée. Mais maintenant que c'était véritablement "derrière moi", j'en ressentais les réelles répercussions.
C'est con. Mais je ne pensais pas que lire ce genre de scènes allait me dégouter et me mettre à ce point mal à l'aise. J'ai lu des choses atroces. Dans des contextes différents. Mais le lire dans celui qui est censé être érotique... c'était... inapproprié. Dérangeant.
Suite à cela, j'ai décidé de regarder des pornos vraiment différents de ceux que je regarde d'habitude. J'ai regardé des pornos hétéros. Chose que je fais rarement. Quasi jamais en fait. Depuis que j'ai commencé à regarder du porno, j'ai majoritairement regardé du porno lesbien. J'étais plus à l'aise à l'idée de regarder des corps féminins nus, que des corps masculins. Et maintenant, encore plus que jamais. M'enfin, j'ai tenté. Et comme le livre a fini par être bien (un peu), j'ai essayé de regarder des vidéos dans le même thème. Romantique. Des gens qui semblent faire l'amour.
C'est assez étrange quand on y pense de taper sur internet "Romantic sex porn"...
Et là, j'ai noté plusieurs choses:
Deux personnes consentantes qui s'aiment dans un lit, c'est drôlement beau. Ensuite, je crois que je n'aime pas qu'on me regarde quand on me fait l'amour. Aussi, je m'infantilise.
Fun fact, mon violeur m'infantilisait mais dans la vie quotidienne. Pas déconnant que ça se répercute dans ma vie sexuelle. En résumé : j'attends qu'on me dise quoi faire, je n'assume pas les envies que je crois avoir, je ne me supporte pas en tant que partenaire faisant du sexe. Bon, c'est bizarrement dit... Mais lorsque que je fais l'amour avec quelqu'un je me vois. Et je me juge. Et je me sens pas à l'aise. A cause du trauma et parce que cette image de "femme" qui vit pleinement sa sexualité" me fait peur, ne semble pas me correspondre. Pourtant, j'ai déjà éprouvé du plaisir à avoir des rapports, mais quand il est question de passer à l'action ou lorsqu’on me demande ce que je veux, je me sens gauche et je suis en proie à une peur énorme. Que je camoufle, évidemment.
Donc ouais. J'aime pas qu'on me regarde, sauf pour me dire "je t'aime" pendant ces moments là.
J'ai du mal à parler ou à dire que j'aime ce qu'on me fait. J'ai du mal à extérioriser ce que j'ai à faire sortir.
J'ai constaté ça en regardant deux personnes entrain de s'unir dans un écran en 720p. C'est fou la technologie.
Honnêtement, je pense qu'il y a beaucoup de choses que je vais réaliser au fur et à mesure. Ce qui me turlupine, c'est que je me perçois déjà comme un poids pour la personne qui fera peut-être, un jour, si ça arrive, si on meurt pas tous l'an prochain, partie de ma vie. Je sais que ça n'a aucun sens de réfléchir à ça et de cette façon là, mais je n'arrive pas à m'empêcher de penser que si je me mets avec quelqu'un je serai plus un problème qu'autre chose.
Au début, on veut bien être compréhensif et respecter le fait que tu n'aies pas envie de te faire toucher, tripoter et autre... Mais au bout d'un moment, ça court sur le haricot de l'autre et ça vient sur le tapis. Cette peur s'ajoute aux autres : celle de ne pas vouloir déranger, d'avoir peur de l'abandon, de tout gâcher, de perdre le contrôle sur la relation, de passer pour une connasse et une reloue. Tout est lié, haha.
Je dois prendre soin de moi, mais je sais que ça ne sera pas une mince affaire. J'ai appris de mes dernières relations, mais se défaire des schémas toxiques c'est autre chose. Mais ça viendra.
Je sais pas pourquoi j'ai voulu en parler ici, c'est vachement intime. Mais, peut-être que certains s'y retrouveront.
💖 Prenez soin de vous. 💖
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laporteblindee · 3 years
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Anomaly
Series by Kenze Wee || IG
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laporteblindee · 3 years
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Est-ce que tu sais ce que tu fais pour toi ? Est-ce que tu sais ce que tu aimes ?
Je ne te parle pas des hochements de tête polis. Ni de ce que tu envisages selon les dires des autres.
Qu'est-ce que tu veux ? Qu'est-ce qui te fais vibrer ? Qu'est-ce que tu veux découvrir ? Qu'est-ce que tu veux approfondir ?
Qu'est-ce que tu veux pour toi ?
Pose-toi et note au calme ce à quoi tu aspires. Écris ce que tu trouves beau. Écris ce qui t'émerveille. Écris les choses qui te font du bien. Pourquoi ? A quel moment ? Cesse de t'entraver avec les idéaux des personnes autour de toi. Cesse d'être un réceptacle à émotions, un miroir d'illusions.
Fais refléter ta pureté. On s'en fout de ce que peuvent en penser les autres. On s'en fout de ce que peut en penser ton toi d'avant. Extrais cette putain d'essence et fais-en quelque chose dont tu peux être fière. Additionne-la, multiplie-la. Fais-la changer de forme pour un temps. Redonne-lui celle d'avant. Fais comme bon te semble. Mais par pitié, attrape-la, accepte-la et protège-la.
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laporteblindee · 3 years
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Mme Solitude
Madame, je vous vois. Vous êtes là. Vous m'observez, vous croyez que je ne vous remarque pas.
A vrai dire, je vous fuis. Je ne sais pas vraiment comment m'y prendre, mais je crois que c'est vous que je fuis.
En me concentrant sur des activités futiles chronophages, en me noyant dans des tas absurdes de nourriture, en taisant votre silence avec de la musique.
Je vous vouvoie.
Je ne vous connais pas.
Du moins, je n'ai nullement envie de vous rencontrer. Ni même de vous revoir.
Pourtant, devant les autres je fais mine d'apprécier votre présence. La leur me gêne encore plus.
Je crois...
Vous me rappelez à quel point je ne suis encore qu'une enfant immature.
Je n'ai tiré aucune leçon de votre présence. Je la rejette. Encore, encore, encore...
Est-ce donc ça, le vide que je tiens à combler ? N'était-ce donc pas que M. Ennui ? Non, il fallait qu'il vienne accompagné. Je n'avais invité personne.
Même les envies vous fuient. Elles croient exister que lorsqu'un tiers éphémère est près de moi. Elles existent parce que l'autre est là. Elles existent pour cette autre personne que moi.
Mme Solitude, M. Ennui.
Je n'ai aucunement envie que vous me fassiez la morale, ni que vous me dictiez comment je dois mener ma vie.
Mais sachez que j'aimerais vous accueillir chez moi, comme on accueillerait une connaissance pour qui on a des sentiments bienveillants.
Je n'ai aucune envie de vous héberger pour une vie, surtout si c'est de force.
Néanmoins, je comprends que nous devrons cohabiter par période. Alors, apprenez-moi seulement à vous supporter et à peut-être vous apprécier.
Je ne demande pas votre aide.
C'est seulement... que cela serait plus facile... pour nous tous.
hmm.
S'il-vous-plait.
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laporteblindee · 3 years
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Compliqué de vivre
Trop de trucs qui remontent à la surface
Sentiments désagréables
Je sais pas
J'aime pas ce qui se passe
J'aime pas
J'aime pas
J'aime pas
J'aime pas
J'aime pas
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laporteblindee · 3 years
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Vide.
Vide.
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laporteblindee · 3 years
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Ça se voit quand je m'amuse vraiment.
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laporteblindee · 3 years
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Je n’aurais jamais dû lui dire.
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