Tumgik
#une douleur de routine
littlefrenchsims · 3 months
Text
Tumblr media
Cela fait un petit moment que je n'ai rien écris..
Le stress de la vie s'est apaisé . La routine est installé, Robyn a maintenant 9 mois , sa cinquième dents est en train de sortir et la sixième ne va pas tarder. Elle est très énergique, elle aime danser , crier . Les nuits sont bonne , la majorité du temps elle dort toute la nuit .
Pour Maribel , elle grandit à une grande vitesse . En ce moment elle ne veut plus aller à l'école, sans doute une phase, elle veut rester à la maison pour jouer. Elle dort bien, elle a également eu une phase moins sage , toujours à chercher le conflit, ne pas écouter, ne pas obéir mais c'est fini.
Pour Batman et moi , ça va également, les soucis de la vie sont terminé. Nous sommes plus sereins , des petites disputes pour des broutilles comme tous les couples. Mais nous profitons un maximum l'un de l'autre. Le printemps arrivent , nous avons hâte d'être dans le jardins et de faire des balades ensemble et avec les enfants aussi .
Nous parlons mariage également, un petit mariage , pas de fleuritures , pas de salle énorme, juste de l'amour sincère et simple .
Pour moi , ça va , je ne travail pas en ce moment malheureusement . Douleurs au genou , j'ai consulté les médecins et un chirurgien, j'ai plusieurs médicament à prendre mais si tout ce passe bien dans un mois c'est fini et je n'aurais pas besoin d'une opération. La douleur a été vraiment difficile à supporter , marcher , monter les escaliers , porter le bébé, conduire à l'école, tout ça été vraiment compliquer . Mais niveau morale aussi, j'ai mal vécu le fait d'être réduite, de me sentir comme un poids pour ma famille, pour mon chéri. J'ai garder ça en moi , j'avais honte de tout ça. Mais je soigne mon genou, ça va passer et je pourrais de nouveau promener marcher faire du vélo, vivre .
Notre maison est toujours emplie d'amour et c'est tout ce qui compte pour nous .
June
letter from June
14 notes · View notes
selidren · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Eté 1916 - Champs-les-Sims
14/15
Même au travers de ses récits, nous nous sommes mises à oublier un peu la guerre. Dans un état un peu fantasmagorique, nos hommes n'étaient pas au combat mais simplement au travail. Nos enfants les verraient le soir, il n'y aurai pas de nouveaux récits de bataille dans les journaux ni cette sale odeur de tabac froid qui s'est imprégnée dans les rideaux du bureau de Constantin. Fort heureusement, lui ne vois jamais les combats, où alors il n'en entend que la rumeur. C'est toujours ce qu'il m'écrit dans ses lettres, que je reçois toujours tous les trois jours, bien calligraphiées et avec les mêmes formules d'amour qu'il se plait à répéter. Jeune, je pensais la routine ennuyeuse, aujourd'hui je la pense d'un confort rassurant.
Transcription :
Rose « Éteignez moi cette pipe, Monsieur Dumont ! »
Gilles « C’est mon petit plaisir journaliser Docteur. Vous voudriez pas priver un pauvre éclopé de son petit plaisir quand même ? Et puis ça distrait de la douleur ! »
Rose « Si vous avez mal, dîtes le nous et on vous donnera des calmants. »
Gilles « Oh allez, on est dans un grand jardin ! Je ne vais pas vous empuantir les lambris ou les tapisseries ici non ? »
Armand « C’est le règlement Monsieur Dumont. Seigneur, comment avez-vous pu survivre au front avec un caractère aussi têtu ? Discutiez vous aussi les ordres de vos supérieurs de cette façon ? »
Gilles « Mon caporal avait un pétoire à la main, et passionné de la gâchette comme il était, il aurait bien pu me trouer la caboche. Vous, le seul truc que vous pourriez me planter, c’est une seringue qui va m’envoyer au pays où tout est beau. »
Rose « Comment peut-on avoir autant raison tout en ayant tort ? »
Armand « C’est que notre Monsieur Dumont a de la verve Docteur de Chastel. »
Gilles « Sûr. Ma mère a toujours dit que ça me mènerai loin ! »
Rose « Et elle avait totalement raison, j’en suis sure. Mais avec une jambe en moins, vous ne pourrez jamais assez loin pour éviter que je vous confisque cette chose. »
Rose « Seigneur ! »
Gilles « Oh ! Quoi encore ? Je vais l’éteindre, mais je vais quand même pas gaspiller le gris qui reste Docteur ! »
Rose « Oui bon… faites comme si je n’avais rien dit. »
8 notes · View notes
perduedansmatete · 6 months
Text
mardi j'ai le rendez-vous que j'ai pris il y a plus d'un mois chez ma médecin sauf que je me disais qu'entre temps j'aurai trouvé une raison à ma venue mais en fait non à part dire que j'ai besoin de médocs pour mon dos qui me servent pas à ça mais qui sont utiles pour atténuer mes angoisses et que sinon j'ai envie de clamser ou juste d'avancer en x10 pour y arriver plus vite j'ai rien (en vrai il faut que je lui dise que je suis exténuée mais que j'arrive pas à dormir et que dormir ne me repose pas que je suis hyper angoissée enfin la routine mais aussi qu'étrangement j'ai plus trop de douleurs en ce moment, que j'ai un transit bizarre et les oreilles bouchées mais je crois que je vais rien faire j'hésite à l'annuler sauf que l'ami platonique va me taper lui sait très bien ce que je dois lui dire à ma médecin mdr)
7 notes · View notes
sous-le-saule · 10 months
Text
Démolition
Il n’y a que deux rues en pente douce pour arriver sur la place du village abandonné mais c’est assez pour le faire haleter. Heureusement que quelqu’un – probablement les auteurs des tags récents sur les façades – avait forcé un passage entre deux barrières, parce qu’il n’aurait jamais été capable de les escalader.
Il a du mal à se repérer parmi ces habitations toutes identiques. Ses souvenirs sont aussi flous que sa vision nocturne. Il finit par trouver la bonne maison, et s’y appuie pour reprendre son souffle. Ce fichu élancement fait son retour sous ses côtes gauches.
Il a mal au cœur, au propre comme au figuré. Ce n’est pas qu’il y repensait si souvent, à la maison de son enfance. Depuis le décès de ses parents, il n’y a mis les pieds que pour la vider et la faire visiter aux deux personnes attirées par l’annonce. Aucune n’avait rappelé par la suite – qui, de nos jours, achèterait une de ces minuscules anciennes bicoques de mineurs sans le moindre confort, dans un village de plus en plus désert ? Puis, des années sans venir, avec une pensée fugitive de temps en temps, agacée – que faire de la maison ? Mais, tout de même, de savoir qu’on va la détruire, ça lui fait quelque chose. Les expropriations sont terminées et demain, les bulldozers feront leur office. Dans quelques mois, la nouvelle autoroute passera ici.
Des mois qu’il le sait, qu’il se persuade qu’il s’en moque (qu’il s’en réjouit, même : il a été dédommagé). Et soudain, au dernier moment, au beau milieu d’une nuit sans sommeil : « Il faut que je revoie la maison une dernière fois ».
Il pousse la porte. Les espaces, vidés de leurs meubles, lui paraissent différents, à la lumière de sa lampe torche. Tout est plus petit, non ? Il convoque ses souvenirs, mais il n’en a pas tant qui répondent à l’appel. L’odeur de la chicorée. L’excitation quand son père a acheté leur première télévision. La chaleur du poêle. Le fauteuil où sa mère s’installait pour lui tricoter des pulls qu’il détestait porter, parce qu’ils lui grattaient le cou. D’autres bribes, vagues, presque des sensations plutôt, incertaines – peut-être imaginées ou nées de vieilles photos, mais pas des vrais souvenirs.
Est-ce là tout ? Il est né dans cette maison, il y a vécu presque vingt ans – des années dont il devrait se rappeler mieux que ça, que diable, c’étaient les premières, celles des découvertes et des émerveillements, avant que la routine de la vie d’adulte n’uniformise tout sous un voile gris.
La déception s’empare de lui. Les émotions qu’il espérait revivre ne sont pas au rendez-vous et, s’il verse une larme essuyée furtivement, c’est uniquement d’apitoiement sur lui-même.
Dans son ancienne chambre, peut-être ? L’escalier lui fait maudire l’état de ses genoux, probablement pour la troisième fois de la journée. On ne s’y fait pas, à toutes ces petites douleurs qui viennent et ne repartiront plus.
La mémoire se fait plus nette, ici. Il se souvient des posters aux murs. De son exaltation quand il lisait « Les trois mousquetaires », planqué sous les couvertures avec une lampe de poche parce que l’heure du coucher était passée et que le paternel ne plaisantait pas avec ces choses-là. Et là, près de la fenêtre, il y avait le lit de son frère, avec l’édredon bleu. Cette fois les larmes coulent librement, bouche crispée sans un bruit, tandis qu’il agrippe le chambranle. Ils auraient dû faire cette dernière visite à deux. Saloperie de cancer.
Il est le dernier à avoir des souvenirs de cette maison. Il y a la génération suivante, bien sûr. Sa fille. Ses neveux. Mais ils n’ont pas vécu ici. Tout ce qu’il a oublié, il n’y a plus personne à qui il peut le demander. Il n’y a plus de témoins de son enfance.
L’immensité de cette solitude, tout à coup, le prend à la gorge. La pointe, à gauche, se réveille, plus aiguë, lancinante, s’étend jusqu’à l’épaule. Etourdi par la douleur, il se laisse glisser par terre. Ca va aller. Il va juste se reposer avant de repartir. Dormir un peu. Quel meilleur endroit que la chambre de son enfance ?
13 notes · View notes
yaminahsaini · 1 month
Text
Tumblr media Tumblr media
Ça ne va pas du tout ces derniers temps… Je vous explique: Pour commencer, je suis partie samedi avec mon frère dans une salle de sport, je décide donc d’y tourner une vidéo pour YouTube. Mais n’ayant pas l’habitude de faire du sport, je faisais surtout n’importe quoi.. Je suis tombée violemment à deux reprises d’un tapis de course. J’ai été éjectée et j’ai percutée le bord. Bon, oui c’était ridicule et même moi sur l’instant j’ai ris. Mais le choc me faisait mal partout, j’étais très rouge à des endroits et ma peau s’est un peu arraché sur un doigt, ça saignait beaucoup. Ensuite ça allait déjà mieux. Par contre dans la nuit j’ai commencée à avoir atrocement mal à la main, en particulier à un doigt d’où se propageait toute la douleurs. Je ne pouvais donc plus la bouger sans souffrance. Si ce n’était que cela, ça irait encore, mais j’ai eu de fortes nausées et à mon réveil j’ai vomis. À ce moment là je me suis dis qu’il ne devait s’agir que d’une gastro ou de quelque chose de passagé (car chez moi, mon frère et ma sœur était malade). J’étais donc terriblement mal la journée qui a suivie. Nausées malgré que je n’avais rien mangée, fatigue extrême et pic de fièvre.. J’avais terriblement froid, même avec pleins de couvertures et un chauffage. Le lendemain: lundi 29 avril, j’avais pris rdv pour ma main afin d’avoir de quoi la soulager. Le docteur me dit que dans un premier temps, ce n’était pas lui qu’il fallait voir mais aller aux urgences. Il m’y a donc emmenée (ce sont des urgences spéciales des mains et c’était dans le même établissement). On me fait une radio, rien de cassé. Il s’agit d’une entorse de la main. Je dois garder le doigt qui me fait le plus mal attaché avec le doigt d’à côté pour le reposer. C’était ce que j’avais d’ailleurs déjà fais en attendant le rdv. Pour le reste de la journée ça n’allait pas. J’ai continuée à avoir des nausées, en fait ça ne s’en va plus… J’ai très peu mangée par la bouche et j’ai vomis.. J’avais des vertiges… J’ai mal au ventre..Vous avez pu voir que depuis quelques temps, j’arrive à de plus en plus manger par la bouche sans avoir de vomissements. J’étais passée d’une dizaine de vomissements par jour, à vomir rarement. J’avais toujours d’autres symptômes digestifs mais avoir les vomissements en moins était une sorte de libération. Malheureusement depuis dimanche, j’ai l’impression que ma routine redevient celle de l’époque… Et c’est atroce… Les nausées sont constante et les vomissements à chaque fois que je mange la moindre chose.. Je me suis donc demandée si par hasard mon pacemaker gastrique était toujours fonctionnel? C’est clairement grâce à ce dispositif que mes symptômes digestifs ont finit par aller mieux, alors si il ne fonctionne plus, les symptômes reviennent. Ce qui m’a aussi alerté, c’est de constater que quelques temps avant dimanche, j’ai ressentie des pulsations au pacemaker très différente d’habituellement et depuis plus rien, je n’ai plus eu de décharges alors que j’en ai souvent. Les docteurs m’avaient dit que ça se changeait tous les 6 ans. Cela fait 5 ans que je l’ai. Et sur internet je vois que ça peut duré de 5 à 10 ans. Donc il n’est pas impossible que ce soit ça.. Aujourd’hui (30 avril): à nouveau des vomissements et il s’agissait exactement du contenu que j’avais mangé le jour d’avant dans l’après-midi (pourtant ce n’était vraiment pas grand chose). Ça veut donc dire que mon estomac n’a absolument rien digéré du tout, l’inquiétude du pacemaker est encore plus présente.. Le problème est que tout cela tombe atrocement mal.. il est prévu que je retourne aux États-Unis fin de la semaine prochaine pour refaire le point à la clinique concernant ma maladie de Lyme.. J’ai déjà tout réservée… Comment faire si je suis dans cet état… C’est injuste que des problèmes se manifestent pile à ce moment là.. j’espère vraiment que ce que j’ai passera vite… Et s’ajoute à tout cela des douleurs à la gorge dû à la sonde. Ce sera long d’attendre jusqu’à son changement en juin…
3 notes · View notes
swedesinstockholm · 5 months
Text
8 janvier
back on my bullshit à trainer sur whatsapp avec r. dans mon lit je sais pas si c'est bien ou pas mais au moins quand il m'écrit je suis pas triste comme quand il m'écrit pas. je lui ai dit ne me cancel pas stp après lui avoir parlé de ma période taylor swift et il a répondu how could i? ugh. cet après-midi ou hier je sais plus les jours se suivent et se mélangent pour s'agréger en mega-jours sans séparation entre eux, je regardais une video et y avait un guitariste chou assis sur un canapé et je me suis dit: pour ne plus aimer r. il faut que j'arrête de me sentir seule. c'est ma solitude qui me fait l'aimer. je dois arrêter d'être seule pour arrêter de l'aimer. mais comment arrêter d'être seule quand je bouge pas de la maison? je suis pas déprimée, j'ai juste rien à faire dehors et il fait pas beau et j'ai beaucoup de travail et ça me dérange pas de passer tout mon temps à travailler sur mes dossiers de candidature et à jouer du piano en chantant sans voir personne. j'ai écrit un traitement de douze pages de mon scénario en deux jours et je me suis rendu compte que c'était pas du tout un chef d'oeuvre et que c'était même assez consensuel et prévisible, un peu niais et un peu chiant, donc j'aurai sans doute jamais cette bourse parce qu'en plus je remplis pas vraiment les critères de qualification, mais est-ce que c'est une raison pour ne pas au moins tenter de gagner 5000 euros? non.
par contre je suis un peu mystifiée par mon comportement parce que depuis qu'on est rentrées j'ai zéro envie d'aller à bruxelles, alors même que les locataires sont de retour depuis hier et qu'ils se disputent et que je les entends dans mon lit à minuit et demi m'obligeant à regarder encore un épisode de gossip girl et encore un et encore un, mais j'adore regarder gossip girl dans mon lit le soir et me lever tard et déjeuner dans la cuisine puis jouer du piano etc toute ma petite routine je l'aime je l'aime et j'ai pas du tout envie de me retrouver seule à bruxelles parce que j'ai rien à y faire. ici aussi je suis seule mais je suis pas seule seule. j'ai quelqu'un qui me donne une structure. ce soir maman m'a dit que c. venait avec g. en février et j'arrive très bien à me contenter de ça comme horizon de vie là pour le moment. alors que g. m'agace et que je sais que je vais compter les jours jusqu'à ce qu'il reparte. mais g. est un loser aussi dérangé que moi et on pourra loser en paix avec nos mères respectives et moi ça me va.
12 janvier
ça y est j'ai réussi à me trainer jusqu'à bruxelles, littéralement, moi et mon sac de provisions qui pesait 45 kilos pour m'éviter de faire les courses dans les supermarchés hors de prix de cette ville et ainsi garder mes sous pour mon futur microkorg que je suis même plus sûre de vouloir acheter parce que j'ai passé la journée à investiguer un musicien du vermont et qu'il a remis en question ma volonté de faire de la musique avec un synthé parce que je veux faire quoi au juste? et donc je crois que le sac était vraiment trop lourd parce que ce matin je me suis réveillée avec une douleur aigue qui descendait de la nuque à l'omoplate gauche m'empêchant de bouger et donc j'ai passé la journée au lit, découragée de tout, alors que hier soir avant de m'endormir je me réjouissais d'être ce matin pour aller au magasin de musique rue du midi. au lieu de ça j'ai regardé une interview de quatre heures et treize minutes de chris weisman que j'aimais pas trop à la base et puis r. m'a dit que c'était un de ses héros alors je me suis laissée embarquer par ma curiosité et à la fin je voulais plus que ça s'arrête. les sujets qu'ils abordaient m'ont donné envie de poser mille questions à r. et je sais pas dans quelle mesure mon entichement pour lui joue sur mon désir de savoir et dans quelle mesure c'est une raison pour ne pas lui poser ces questions.
j'ai décidé de pas lui dire que j'étais là et de pas lui proposer qu'on se voie parce que j'ai pas envie de retomber dans le vide comme la dernière fois, mais ça me tue parce qu'il est là pas loin et moi j'ai besoin de voir des gens. j'en peux déjà plus de la solitude, je le savais, mon corps le savait, ç'a été un supplice de m'arracher à la maison douce. maman m'a ramené un butternut maculé de terre du jardin de b. que j'ai frotté et rincé dans l'évier et rajouté à mon sac qui pesait déjà une tonne et pendant que j'attendais le bus je regardais une femme qui rentrait chez elle dans la maison bleue d'en face, il faisait un grand soleil et j'avais pas du tout envie de quitter mon quartier. peut être que je veux pas déménager. ça fait dix ans que j'y suis cette année. dix ans que c'est temporaire. six mois qui se sont transformés en dix ans, comme ça, en un long claquement de doigt, et hier matin en prenant le bus pour aller à la gare j'ai ressenti exactement la même chose que quand je repartais à paris ou à amsterdam y a dix ans. c'était exactement le même sentiment de regret, de pré-nostalgie, de heimweh anticipé, comme si la maison était vivante et voulait me garder avec elle bien au chaud (il faisait -6 à bruxelles).
je suis en train d'écouter une chanson de blake mills qui dit my dear one shelter my heart et je regardais la silhouette noire des arbres contre le ciel gris foncé fluo avec une légère envie de pleurer mais j'ai pas vraiment pleuré, je pensais à l'été dernier quand ils balançaient leurs longues branches de saules pleureurs pour tenir compagnie à ma tristesse et je me demandais ce qu'ils se disaient. la pauvre, ça fait sept mois là quand même. je les regardais et je pensais au fait que la musique exacerbe tout et que le fait que r. soit musicien rajoute à la difficulté de m'en défaire. de me défaire de l'emprise tentaculaire qu'il a sur moi et les ventouses sur les tentacules c'est les chansons qu'il m'envoie. parce que s'il était comptable par exemple, est-ce que ce serait la même chose? bon déjà j'arrive pas à m'imaginer tomber amoureuse d'un type qui est comptable.
j'ai tellement mal au dos que j'ai failli me mettre à pleurer au wc parce que je savais plus comment me tenir. pourquoi je souffre systématiquement à chaque fois que je me retrouve dans cet appart? j'ai regardé showing up de kelly reichardt et ça m'a fait penser à mon livre pas encore écrit parce que je m'identifiais au personnage joué par michelle williams. elle fait tout le temps la tête, elle a un langage du corps soucieux et quand on lui fait des éloges sur son travail elle reste soucieuse, elle vit seule avec son chat et elle travaille dans le même centre d'art que sa mère et sa mélancolie contraste avec la légèreté et l'insouciance de son amie/voisine/proprio qui la bouscule un peu. ça m'a donné envie de construire un personnage et de montrer tous les petits détails de son quotidien. de la montrer telle qu'elle est. après le film je me suis levée pour aller faire pipi et me brosser les dents et j'avais l'impression de jouer dans mon propre film dirigé par kelly reichardt.
5 notes · View notes
basilinixe · 1 year
Text
FrenchMAIrd 2023
Jour 1: Manifestation
Manifestation: Action de rendre perceptible, de faire connaître ce qui est caché. (Wiktionary)
La première fois que Renard remarqua quelque chose, ce fut peu après l’arrivée de Raph au labo. Ce dernier, peu habitué au mode de vie plus physique de leur époque, avait pas mal trinqué au début. Avec le mélange d’activité physique plus intense, d’une moins bonne nutrition et du stress de la vie post-apocalyptique, son corps en avait pris un sacré coup. 
Il avait essayé de ne rien dire pour ne pas inquiéter ses deux nouveaux colocataires, mais il avait fini par ne plus pouvoir le cacher. Quand le jeune adulte avait débarqué dans leur pièce de vie en marchant comme un vieillard à cause de ses douleurs, Renard avait clairement été mis en face de l’état dans lequel s’était mis son ami.
Il lui avait demandé ce qu’il se passait, et une longue discussion plus tard, Renard avait décrété que Raph serait au repos jusqu’à nouvel ordre. Il avait ensuite aidé son ami à retourner dans sa chambre, mais Raph, en essayant de s’allonger, eut une exclamation de douleur. Renard se précipita à ses côtés dans le but de l’aider à s’installer, quand Raph, l’air étonné, sortit de derrière lui… Un tube de crème ?
- “Pour douleurs musculaires et articulaires”, lut lentement Raph, les sourcils froncés.
- Mais où tu as trouvé ça, toi ? demanda Renard, qui n’avait jamais vu ce tube de sa vie.
- Bah, sur mon lit, visiblement. Mais je sais pas du tout ce que ça fait là, je savais même pas que vous aviez ça ici.
- Et bien, moi non plus…
Raph leva un sourcil, puis il haussa (douloureusement) les épaules.
- Bon, en tout cas, je vais pas me plaindre.
Renard l’aida donc à étaler la crème sur ses muscles douloureux, avant de sortir de la chambre pour le laisser se reposer. En retournant sur ses pas, il tomba sur Henry, qui était en train de ranger ce qui leur servait d’armoire à pharmacie.
Il comprit alors d’où était apparue la mystérieuse crème, et il sourit. Il se rendit près d’Henry et s’appuya contre lui, avant de dire à mi-voix:
- Alors comme ça, tu assumes pas de la donner en personne ?
- Je ne vois absolument pas de quoi tu parles.
- Mais bien sûr.
La deuxième fois que Renard remarqua quelque chose fut quand Henry lui suggéra de trouver une paire de lunettes de protection pour Raph. Comme ça, il se mêlera plus facilement aux gens de sa nouvelle époque, et puis, c’était toujours utile, lui expliqua-t-il. Quand Renard le taquina en lui disant que c’était mignon qu’il s’inquiète de l’intégration du p’tit, Henry ne fit que grommeler qu’il avait simplement un esprit pratique, voilà tout, merde.
Le temps passait, et une petite routine avait fini par s’installer entre les trois hommes. Cependant, Renard constatait avec un léger amusement que le nombre de ce genre de démonstrations ne faiblissait pas. Tout ça pendant que Henry s’échinait à dire haut et fort à qui voulait l’entendre à quel point ça l’emmerdait d’accueillir un humain supplémentaire dans son labo (y compris à Raph lui-même).
Alors, quand Renard, un soir d’insomnie, surprit Henry en train de travailler sur la manette de Raph, après que ce dernier se soit plaint plus tôt dans la journée que son joystick driftait, il ne fut pas surpris. Il sourit simplement, puis il l’aida à glisser discrètement la manette réparée dans la chambre de Raph quand il eut fini.
8 notes · View notes
ladyniniane · 1 year
Text
Camp NaNo en avant
Et c’est le début du Camp NaNo ! 1667 mots aujourd’hui !
La soldate posa son paquetage et se blottit dans le creux de l’embarcation. Des travailleurs, des colporteurs l’entouraient, suivant leur routine quotidienne. Ils occupaient toute la place et elle regretta de ne pas avoir un peu d’espace pour souffler. Certains la dévisagèrent avec un mélange de crainte, de commisération ou de défiance. Son apparence et son visage scarifié ne trompaient pas. Jusque-là réalité lointaine, la guerre entrait avec elle dans la ville. Sa seule présence était un mauvais présage, des jours sombres se massaient à l’horizon. 
L’eau était d’un gris morose, d’une immobilité glaçante. Impossible d’en voir les profondeurs. L’embarcation tanga un peu. Elle regarda autour d’elle et feignit l’indifférence.  Les beaux quartiers se laissèrent entrevoir et Mencia devina de grandes fenêtres ouvertes sur l’onde, une façade pleine d’arcades et de sculptures raffinées. La maison où elle avait grandi et qui avait été rachetée par une autre famille depuis la déchéance de sa mère. Ces murs avaient étouffé toute sa douleur, ses sanglots et son désir de liberté. Mencia était dehors mais sa colère affamée la posséda. La blessée rêva d’y mettre le feu, de voir les flammes ravager le tout, rugir de bonheur, illuminer ce jour sans soleil. Au loin, l’horizon se fondait avec la mer en une masse grisâtre. Il n’y avait pas d’issue.
3 notes · View notes
La douleur par laquelle je suis écrasé me vient bouleverser la routine des choses. La peur, c’est que ce chagrin me fera passer par un tel enfer dont il n’y a pas de coin pour m’enfuir. Tout ce que j’ai la capacité de faire, c’est de me plonger dans le lourd avec la pensée. De tout cela j’ai créé une sorte de prière, une plaide, une supplication, et je trouve que cela m’apporte l’espérance de miséricorde.
À une peine qui s’accroche au cœur, Sami
3 notes · View notes
borisdunand · 2 years
Text
Les crispations sont fortement là ces nuits. Première fois ce matin que j'arrive à m'y arrêter. Elles sont tellement fortes que je ne sens que les douleurs associées, je ne les sens pas jusqu'à ce que ça lâche un tout petit peu et que je découvre leur présence et leur intensité. Nuque, sacrum. Figés, crispés, tétanisés. Longtemps, je reste avec, dedans. Je n'essaye même pas d'identifier ce qui les anime, ça me porterait déjà ailleurs alors que je peine déjà à leur faire de la place. Un tout petit instant, je devine que c'est juste, que c'est ça que je dois faire : au bout d'un moment, à force de ne faire que ça, que mettre mon attention là où elles sont, de sentir les micros-mouvements, les fils de douleurs, les petits relâchements, le bout de tissu qui se détend et se rengorge de mouvement, de souplesse, de fluidité, tout d'un coup émerge une sorte d'information, de sens, d'évocation qui résonne avec le monde des émotions et de la pensée. Fatigue, oppression venue de mes décisions, de mon organisation qui fait des systèmes, des routines, des réflexes, déconnexion de mon désir, de mes envies, d'élans spontanés.
À me dire, plus tard, debout devant ma fenêtre, que je ne pourrai jamais être efficace en créativité sans me faire souffrir physiquement. Ça me désole : je sais très bien ce que je dois faire pour avancer ces jours. C'est simple et clair, et je peux m'y mettre assez facilement et je m'y suis mis tous les jours. Mais on dirait que dès que ça devient l'exécution d'un plan, je suis coupé d'états affectifs qui me demanderaient de faire autre chose et qui me font payer ma sourde oreille, mon obstination studieuse.
2 notes · View notes
justsharelove · 2 years
Text
5 juillet 2022
J’ai envie de me dévoiler dans cet écrit.
Je vis quotidiennement une bataille contre moi même. Je suis une personne avec un peu trop d’ambition qui est une éternelle insatisfaite. Je suis souvent déçue; c’est extrêmement courant. Et je n’ai pas peur de l’admettre, ça en vient presque dangereux. 
Je fais tout à l’extrême. Je me donne corps et âme à mon travail, au point de d’user toute ma batterie, la sortir, souffler dessus et essayer de la remettre en marche. Je ne me recharge jamais. Je ne prend jamais de pause. Lorsque je sors, j’ai dû mal à décrocher. On me fait souvent la remarque que j’ai l’air de réfléchir, d’être dans mes pensées. Ce n’est pas faux, j’ai toujours la tête pleine. J’ai longtemps cru que j’avais un trouble obsessionnel compulsif, mais on m’a diagnostiqué TDAH en mai 2021. 
Je ne sais pas trop quoi penser de ce diagnostic. Je ne doute pas de la compétence de mon médecin, mais j’ai l’impression que ce que j’ai n’est pas un problème au système nerveux, mais une routine un peu trop sévère que j’ai développé dû à mon désir de perfection. Je ne manque pas de motivation, j’en ai trop. Je ne peux pas être bipolaire non plus; je n’ai pas d’épisodes maniaques, ma vie est une manie. Je suis comme un robot en mission et en quête de quelque chose d’inatteignable. Une perfectionniste, voilà ce que je suis. 
On m’a prescrit une médication qui me garde réveillée, quand j’ai en fait besoin de quelque chose pour me calmer. J’ai trouvé cette chose il y a quelques années et c’est la marijuana. Lorsque je fume, je peux totalement décrocher. C’est mon échappatoire. Mais plus je vieillis, plus je déteste fumer. Je n’aime pas avoir l’air dépendante à une substance, je ne le suis pas, j’aime simplement le sentiment de légèreté et le fait que ça apaise mes douleurs aux muscles. Je remplacer ça avec quelque chose de plus sain pour mes poumons, je suis encore à la recherche de ce qu’il me faut. 
Me voilà maintenant à 27 ans, j’apprends tranquillement à lâcher prise. Il le faut, parce que je ne serai jamais parfaite. Ni le modèle de sagesse exemplaire que je désire être. Dieu m’accompagne dans ce cheminement. Plus les jours passent, plus j’arrive à me détacher de cette idée. Mais il y a encore des matins ou je me rend au travail avec cette boule au ventre lorsque je n’ai pas suivi à la lettre mon horaire planifié à la minute près. J’espère pouvoir être capable de lâcher prise bientôt. Un jour...
2 notes · View notes
eilosyne · 2 years
Text
CYCLE
Peut-être que c'est parce que tout paraît flou.
Que je me réveille le matin et que rien ne me paraît important.
Les visages s'éloignent et reviennent et ne sont que des petits points dans la mémoire qui s'écrasent dans une grande plaine, la grande plaine de l'esprit où l'herbe pousse, où les nuages laissent leur place au soleil puis à la pluie, et ainsi de suite. Les visages ne sont que des petits points.
Si je ferme la fenêtre l'esprit se tue lui-même : il est isolé, bloqué, et réfléchit sans cesse. Migraines incessantes, consommation excessive de paracétamol, consommation excessive de poison peu importe sa consistance et sa constitution. Je bois ce que je pense, faites cesser la machine. Faites en sorte de bloquer la machine.
J'aimerais être libre. Coincée et insatisfaite, confrontée aux choix, je deviens plurielle. Insatisfaction continue où la foi pourrait me sauver et me montrer le chemin, mais je ne crois pas je suis une de ces sceptiques affirmées. Peut-être que je ne le suis pas vraiment au fond puisque j'ai déjà cru.
Je sais que c'est août et que rien n'existe encore. Je suppose que je fais de mon mieux, et que je ne peux que me rabattre sur ce "je fais de mon mieux", sortes d'efforts exposés en permanence pour maintenir des habitudes, des belles habitudes, des belles habitudes qui rythment et permettent à la routine d'être rassurante et incassable.
J'ai envie de casser la machine. De la détruire et de me libérer, et lorsque je pense à me libérer je ne pense pas à la douce libération, je pense à une forme de danse incontrôlée, à un tango au Paradis où la mort est déjà en moi, et où je n'ai plus peur du futur car il n'existe pas. Je veux casser la machine, je veux casser le futur, et ne jamais le ranimer. Je veux la solitude éternelle et apaisante.
Écharde au milieu du cœur comme une maladie qui surveille et qui pique dès qu'elle sent qu'elle n'est plus piégée par l'anti-douleur. Migraines éternelles, de dehors tout va bien à l'intérieur c'est un carnage. Un chaos de pensées qui vont et viennent et ne s'arrêtent jamais. S'arrêteront-elles un jour. Dans les bras de mes sœurs qui vivent sous le même battement cardiaque que le mien, à 100.000 à l'heure, dans le contrôle constant de l'existence. Perfectionnisme assuré pour que l'image reste, et que le masque ne tombe pas. Théâtre nô, pourtant, nos masques semblent sortir tout droit d'un cauchemar. Dans nos rêves ils sont plus apaisants et moins terribles que ce qui croule en nous, la masse, la flaque, cette sorte de bouillie immonde qui coule et transforme le sang en une sorte de liquide qui veut sortir des jambes et des bras. La lame est l'objet divin. Elle devient symbolique. Personne ne veut nous voir sauf elle, sauf elles. Conscience aigüe que quelque chose croupit là au fond. C'est affreux. La douleur tient à rester au milieu de la gorge comme une tumeur qui gonfle, elle reste là en suspens, on attend qu'elle éclate. Parfois c'est dans le bras, parfois c'est dans la jambe, parfois c'est ailleurs mais à chaque fois ça finit par exploser et ça blesse. Aujourd'hui, je crois que ça me blesse. Puisque je saigne j'y pense, encore, et ça ne me lâchera jamais. Vous non plus j'imagine.
Respiration pensée souffle
Je rêve de mails sans destinataire. Ils me manquent ces mails sans destinataire.
S'endormir sur un oreiller de lilas. S'endormir en se disant que rien ne pourra revenir, que le quotidien s'arrête demain. Que la boucle va finir. Que les matins ne reviendront pas. Que c'est la dernière nuit. Quelle affaire, quel bonheur ! Je ne rêve pas du suicide mais je rêve de la fin de cette amnésie collective, de cette illusion crée à plusieurs. Comme si tout ceci était normal, comme si toute cette vie était naturelle. Gros bâtiments remplacent arbres, gros billets se pensent gros cerveaux, la fin de notre amour pour l'autre, mépris des classes. Course pour être intelligent (cela ne veut rien dire), course pour avoir sa place ici-bas (cela ne veut rien dire), compétition obligatoire sans cesse, sans cesse, sans cesse, quelle affaire !
À quoi je pense À quoi je pense
Peut-être à l'art. À ce que nous faisons. Mais tout l'ordre qui régit l'art me terrifie. Je ne pense pas que l'art s'étudie vraiment. Je pense que les règles sont bonnes mais qu'elles peuvent être contournées. Je pense que c'est intelligent (encore une fois, ça ne veut pas dire grand chose) de les contourner et de les respecter parfois. J'aime contourner les règles. J'aime les règles rassurantes. J'aime me sentir en sécurité dans un monde réglé mais je n'aime pas forcément faire partie de ce tout-là. J'aime évoluer ailleurs. J'aime ne pas aller là où ils sont tous. J'aime les endroits calmes. J'aime aimer ce que les autres veulent oublier. J'aime être ailleurs, j'aime être invisible. Autre plan de la réalité.
J'aimerais être libre ????? Libre
J'aime l'art libre j'aime la peur de l'avenir parce que ça compte comme moteur de l'angoisse, une angoisse de reproduire les erreurs. C'est l'angoisse ultime. Le club des 27 artistes dénoncent et meurent en héros et laissent une trace indélébile et deviennent ces sortes de figures de liberté. Je ne suis pas de ces héros je n'ai rien d'une héroïne mais j'aime observer et écrire et créer et surtout surtout observer et rêver d'un monde meilleur, et agir pour ce monde meilleur, et le suicide me paraît si vain quand on sait que l'on peut faire de sa vie quelque chose de réconfortant pour quelqu'un d'autre. Une main tendue quelque chose qui persiste et existe et devient un guide. J'aurais aimé qu'on soit là aussi. J'aime être insaisissable peut-être que je le suis pour que mon existence soit fugace et que celle des autres soit en surimpression. Je deviens un papier calque, un gros crayon 2B qui repasse, repasse sur les traits fins et indicibles. J'aime m'instruire peut-être ? J'aime contenir quelque chose en moi, des paroles de chansons, des mots, des lettres, des sons, des poèmes, de l'art. J'aime avoir tout un panel de choses et d'autres qui évoluent ensemble pour créer une identité. Je suis un réceptacle, on puise quelque chose en moi, on en retire quelque chose peut-être, je veux être une encyclopédie, je veux être un objet, quelque chose de très humain tout de même quelque chose qui peut se consumer à la lumière des bougies l'hiver mais qui ne peut pas être touché. Je suis allergique au toucher empathique, je suis un réceptacle, mon corps est un réceptacle, j'existe ailleurs peut-être sur un autre plan, peut-être que je suis là pour être la passeuse de quelque chose, peut-être que ce qui compte ce n'est pas qui JE suis mais ce que l'AUTRE est. Je suis à fleur de peau mais ce n'est pas un trait de caractère d'être à fleur de peau. C'est une façon d'endurer le monde. C'est une façon de le percevoir. Je veux continuer de le percevoir sous toutes ses formes ces jolies formes je veux continuer de tendre les mains à ceux qui veulent hurler. De colère de rage de tristesse. L'injustice s'immisce partout c'est insupportable. Certains vous diront qu'il faut de tout dans un monde mais je ne suis pas vraiment d'accord. Parce que de tout ça fait surtout beaucoup d'injustice et de morts inutiles à porter sur nos épaules. Des enfants qui grandissent et meurent par idéologie ou par la violence.
Je veux que mon existence soit pleine de l'autre. Je ne veux pas être quelqu'un. Je veux simplement être ici sur Terre et aider à la cohésion. C'est ça.
C'est trop peut-être. Migraine migraine migraine
C'est un message qui parle de lui-même. Il n'y a pas grand chose à comprendre c'est un message sans grande portée. C'est flou et chaotique voici l'idée et l'image neutre de ce que c'est, d'être en moi dans un grand moment d'émotion.
Il y a des jours comme aujourd'hui où l'autre me paraît être loin. Je me sens loin, seule et peut-être que c'est mon état de base. J'écris moins, pourquoi d'après vous ? Petit être solitaire qui cherche sa voix dans le chaos et le désordre, et rêve de quelque chose de concret et de tangible. La frontière entre ce que je suis et ce que je perçois est si fine, est devenue si fine, est devenue si intime. J'appréhende. Je suis un tout peut-être. Un tout qui n'aime pas être disséminé. Je veux être moi et pas à demi-moi à demi-toi à demi-rien. Il me faut gober l'existence avant qu'elle ne me soit retirée.
2 notes · View notes
omagazineparis · 7 days
Text
L'Afro Box ou l'art de se démêler les cheveux !
Tumblr media
S’il y a un moment crucial qu’on évite de mentionner lorsqu’on évoque la routine capillaire, c’est bien le démêlage des cheveux. Et pourtant, c’est certainement l’étape à ne surtout pas zapper. Mais pourquoi la séance de coiffage résonne pour beaucoup d’entre nous comme l’instant redouté ? La marque Afro Brush répond à nos appréhensions liées au fameux "coup de peigne" avec l'Afro Box. Suivez le guide d'une révolution capillaire sans prise de tête !  Mais pourquoi les cheveux s’emmêlent-ils ? À partir d’une certaine longueur, personne n’échappe aux cheveux emmêlés. C’est pourquoi, à bout de patience, on est parfois tenté de passer aux rageux coup de ciseaux pour couper court aux luttes fastidieuses. En effet, la friction des cheveux entre eux, les frottements avec les vêtements ou les éléments naturels comme le vent, ainsi que tous les mouvements de la tête entraînent l’apparition des nœuds. Afin de limiter les dégâts, on encourage vivement le recours aux coiffures protectrices. En effet les queues de cheval, chignons, nattes ou tresses maintiennent les cheveux protégés des manipulations constantes. On peut ainsi varier avec les foulards ou bandeaux le jour et porter un bonnet de satin la nuit, pour dormir. D'autre part, contrairement à certaines idées reçues,  laver ses cheveux les emmêle ! En effet, le contact avec l'eau et le shampoing enlève le sébum qui hydrate les longueurs. Les cheveux ne sont donc plus lubrifiés et s'enchevêtrent les uns aux autres au lieu de glisser. La routine capillaire s’impose alors en rituel salvateur avec les accessoires en première ligne de feuille de route. Quels accessoires pour un démêlage réussi tout en douceur ? La guerre aux nœuds étant déclarée, il faut maintenant se procurer les armes qui assureront la victoire. Pour ce faire, la marque Afro Brush nous propose une alliée de taille : l’Afro Box ou l’essentiel des accessoires pour cheveux dans une Box 5 en 1 : L'essentiel des accessoires dans l'Afro Box pour un démêlage sans douleur, sans perte de temps, ni de cheveux ! Vidéo : ©Afro Brush - À commencer par la brosse Afro Brush au design unique qui va démêler votre chevelure tout en douceur. Son hyper malléabilité et ses dents larges garantissent un démêlage sans douleurs et une réduction de pertes de cheveux. Pour les petites astuces : procéder au démêlage avant le shampoing. En effet, l’eau fragilise la fibre capillaire et augmente le risque de casse. L'après-shampoing ou masque intervient pour faciliter le passage des peignes Afro Brush avant ou après le rinçage. - Pour un séchage doux et ultra-rapide, on utilise la serviette microfibre de l'Afro Box qui va éponger l'humidité sans frictions agressives.  - Pour dormir, le bonnet de nuit en satin de l'Afro Box permet de garder votre chevelure enveloppée. On évite ainsi les frottements sur l’oreiller qui accentuent l’entremêlage des cheveux. - Le vaporisateur de l'Afro Box va optimiser vos séances d’hydratation. Sur l’ensemble de la chevelure, la diffusion d'un leave in (conditionneur sans rinçage) ou d'une de vos composition L.O.C (Liquid + Oil + Cream) va hydrater et gainer les cheveux. - Et enfin, la petite touche subtile très tendance : on laisse tomber la brosse à dents (dédiée aux dents, à la base) pour une vraie brosse baby hair Afro Box qui va finaliser votre coiffure. Afro Box : pour quels types de cheveux ? Quel que soit le type de cheveux, la nature semble nous reléguer dans les mêmes confins des traumatismes de l’enfance. En effet, la vision de la brosse menaçante qui s’agrippe enfin à la crinière, pour tenter de se frayer un passage entre les fameux paquets de nœuds est un souvenir quelque peu piquant dans la mémoire collective. Mais ça, c’était avant l’Afro Box. Des cheveux texturés aux cheveux lisses, ce pack exceptionnel va en ravir plus d’une : moins de casse, moins de douleurs, moins de temps perdu. Initialement conçu pour les cheveux ondulés à crépus, l’action de la brosse Afro Brush va également redéfinir les boucles en plus de les démêler. En effet, de par leur forme en vrille, les cheveux texturés favorisent les accrochages. De plus, l'hydratation a du mal à circuler sur les longueurs. Ils manquent donc de sébum et se lient entre eux. Quant aux cheveux raides et fins (et surtout s’ils sont secs), ils ont la particularité de s’emmêler très vite. Leur fragilité accentue les chutes de cheveux. L'épreuve du brossage devient un jeu d'enfants avec les peignes Afro Brush. L'un à dents larges pour un démêlage rapide et efficace, et l'autre aux dents plus fines pour les petits noeuds. Quels que soient leur nature, autant dire que l'Afro box s'adapte à tous les besoins capillaires ! Adultes comme enfants sauront apprécier ce combo indispensable pour se réconcilier avec son capital capillaire. La bonne nouvelle ? La marque Afro Brush offre l'Afro Box à la prochaine gagnante du Jeu Concours Afro Box & Ô Magazine ! Alors, seriez vous tentées ? Read the full article
0 notes
Text
Tumblr media
Le conditionnement social et mental font en sorte que la plupart des gens regarde ceux qui ont des réussites hors du commun en se disant : ---> Ah c'est sûr qu'il vient d'une famille riche. ---> C'est juste un chanceux, à sa place je ferai mieux. ---> Il a un bon réseau ou alors il est dans les sectes c'est obligé... Pourtant, en discutant avec tous les self-made men que j'ai eu l'immense privilège de rencontrer, une chose m'a frappée : –·–⟩ POUR DEVENIR RICHE ET VIVRE SA VIE, IL FAUT D'ABORD APPRENDRE À PENSER COMME UN RICHE Partenaire en relisant attentivement cette phrase. Elle contient 3 mots très puissants : DEVENIR 90% des milliardaires ne sont pas Nés milliardaires. Ils le sont devenus. Pire. Beaucoup d'entre eux sont parti de rien. Ils ont connu la frustration et la douleur de la misère. Partenaire le plus jeune multimillionnaire que je connais - a 27 ans - issu d'une famille très pauvre. Il a vu son père, perdre son emploi et ensuite enchaîné les petits boulots afin de pouvoir subvenir aux besoins de sa famille, avant de mourir quelques années après, cela a été l'événement déclencheur de ses ambitions m'a t'il révélé, à cette époque il n'avait que 13ans. APPRENDRE (LIRE) Celui qui arrête d'apprendre meurt. Son cœur bat toujours, mais son cerveau travaille en boucle. Au lieu de créer, de progresser, il vit dans la routine et dans les habitudes. Il devient un esclave. Ceux qui réussissent au-delà de tous leurs espoirs apprennent sans cesse. Cesse d'apprendre, et tu commenceras à mourir. PENSER Partenaire penser s'apprend. Trouver des idées là où les autres ne voient rien s'apprend. Bâtir des plans qui mènent au succès s'apprend. Il est difficile d'admettre que nous pouvons modifier notre façon de penser.Ce serait reconnaître que notre façon de penser est limitée. Que nous avons quelques fois tort... et nous aimons avoir RAISON. Quel qu'en soit le prix ! Certains préfèrent "avoir raison" et perdre de l'argent, au lieu d'admettre qu'ils se sont trompés... Notre pensée peut évoluer, progresser, s'enrichir, atteindre des niveaux de lucidité qui font de nous des êtres hors du commun car le pouvoir de la pensée est infini, La puissance mentale est illimitée. Partenaire les épreuves qui sont derrières toi et celles qui sont devant toi, ne sont rien comparativement à la puissance qui est en toi. Utilise ces 03 secrets pour réveiller le génie financier qui sommeille en toi... https://savoirentreprendre.net/?p=12724&feed_id=6730
0 notes
iteracare-wand · 22 days
Text
Le monde a connu des changements dans notre façon de vivre et nous sommes constamment exposés à des influences extérieures qui affectent notre santé mentale et physique. Dans ce nouveau scénario, les médicaments de synthèse et les visites coûteuses chez le médecin ne sont plus la seule option. Il est temps de se réveiller et de prendre notre santé en main. C'est pourquoi de plus en plus de personnes recherchent des alternatives plus proactives et responsables pour équilibrer leur corps et atteindre un état de santé exempt de stress, d'anxiété et de maladie. Le yoga, la respiration consciente, le contact avec la nature, l'exercice physique régulier, la méditation, une alimentation saine, le temps passé en famille et la recherche de moments de repos font partie des nombreuses modalités qui font désormais partie de la routine quotidienne de nombreuses personnes. Dans cet article, nous allons explorer l'une des 10 technologies les plus avancées pour changer notre mode de vie: la fréquence TeraHertz et la technologie tricore d'iTeraCare. iTeraCare est un appareil portable qui utilise la technologie térahertz pour aider notre corps à atteindre naturellement un état d'équilibre et d'homéostasie. Avec des milliers de témoignages et de clients satisfaits dans plus de 50 pays, iTeraCare est devenu la première technologie quantique de ce type dans le monde. Ses nombreux avantages ont été reconnus par beaucoup et on lui a donné divers noms, tels que "l'onde de lumière", "la lumière de la vie" et "la bande d'ondes de Dieu".. L'utilisation de cet appareil est simple : il suffit de consacrer quelques minutes par jour pour se sentir plus énergique au fur et à mesure que les cellules se revitalisent et se réparent. Au fur et à mesure que les vieilles cellules disparaissent, une nouvelle vie commence. L'appareil iTeraCare offre huit avantages principaux pour améliorer notre bien-être général : 1. Élimination des cellules malsaines: iTeraCare travaille à l'élimination des cellules malsaines dans notre corps, favorisant ainsi un environnement cellulaire optimal. 2. Activation des cellules dormantes: en stimulant les cellules dormantes, iTeraCare améliore la fonction cellulaire et renforce la capacité d'auto-guérison de notre corps. 3. Augmentation de la capacité d'autoguérison: La technologie iTeraCare active les mécanismes d'autoguérison du corps, permettant une récupération plus rapide en cas de maladie ou de blessure. 4. Nettoyage des méridiens et du système lymphatique: iTeraCare travaille en harmonie avec les méridiens et le système lymphatique, améliorant le flux d'énergie et aidant à éliminer les toxines. 5. Amélioration de la microcirculation: La technologie iTeraCare améliore la microcirculation sanguine, ce qui favorise une meilleure oxygénation des tissus et des organes. 6. Régulation des glandes: iTeraCare aide à réguler le fonctionnement des glandes de notre corps, ce qui est essentiel pour maintenir un bon équilibre hormonal. 7. Élimination de la rétention d'eau: Grâce à sa capacité à favoriser le flux lymphatique, iTeraCare peut aider à réduire la rétention d'eau dans le corps. 8. Amélioration de la circulation: en améliorant la circulation sanguine, iTeraCare offre de multiples avantages, tels qu'une peau plus éclatante, un soulagement de la douleur et un rétablissement plus rapide en cas de blessure ou de maladie. Comme l'a dit le philosophe grec Hippocrate, si nous pouvons guérir les os, nous pouvons traiter toutes les maladies. Avec iTeraCare, vous avez entre les mains un outil simple et efficace pour prendre soin de votre santé et de votre bien-être. Ne perdez plus de temps, d'argent et d'énergie. Votre meilleure santé vous attend et il est temps de prendre votre bien-être en main. Modèles de dispositifs iTeraCare Il existe différents modèles d'appareils iTeraCare, chacun étant conçu pour répondre à des besoins et des préférences différents. Il s'agit notamment des éléments suivants: iTeraCare Classic 2.2 - Modèle de 4ème génération
Avec ses 800 watts de puissance, le modèle Classic 2.2 a été conçu pour être plus abordable, ce qui lui permet d'entrer dans plus de foyers à un prix plus bas. Bien qu'il ne soit pas aussi robuste que d'autres modèles, il est tout aussi efficace. Il est important de noter que les traitements peuvent prendre un peu plus de temps et qu'il convient de l'éteindre après une demi-heure d'utilisation pour qu'il se refroidisse. Il dispose de trois réglages de vitesse et de température pour répondre à vos besoins. iTeraCare Premium - Modèle de 5e génération Le modèle Premium est plus robuste que le modèle Classic et est livré dans un étui de protection rigide bien rembourré avec des serrures externes. D'une puissance de 650 watts, il est plus silencieux que les deux autres modèles et offre trois réglages d'arrêt et deux réglages de vitesse. Ses réglages de chaleur sont beaucoup plus élevés que ceux du modèle Classic. iTeraPremium Plus - Technologie avancée pour un bien-être profond L'iTeraPremium Plus est l'un des modèles les plus avancés de la gamme iTeraCare. Cet appareil allie puissance et polyvalence pour offrir une expérience de bien-être profonde et efficace. Avec une puissance de 800 watts, l'iTeraPremium Plus peut pénétrer jusqu'à 30 cm de profondeur dans le corps, atteignant l'épiderme, les muscles et la moelle osseuse. iTeraCare PRO - Modèle de 3e génération Le modèle PRO est conçu pour une utilisation plus continue, par exemple en milieu clinique ou dans les familles nombreuses. D'une puissance de 1200 watts, il nécessite moins de temps pour les traitements grâce à sa plus grande capacité. Il est plus solide et plus silencieux que le modèle Classic et est livré dans un étui rigide de protection avec des serrures externes. Il dispose de quatre réglages de vitesse et de température, dont une option sans chaleur pour les applications froides. iTeracare Shop Questions fréquemment posées sur iTeraCare 1) iTeraCare est-il sûr ? Oui, les appareils iTeraCare sont des appareils sûrs et certifiés qui utilisent des technologies de pointe. Si les instructions du fabricant sont respectées, ils peuvent être utilisés sans crainte. 2) Combien de temps faut-il pour obtenir des résultats avec iTeraCare ? Les résultats peuvent varier en fonction de l'individu et de l'affection spécifique traitée. Certaines personnes peuvent constater des améliorations significatives en peu de temps, tandis que d'autres ont besoin d'une utilisation continue pour obtenir des résultats optimaux. En général, il est recommandé d'utiliser iTeraCare régulièrement pour en maximiser les bénéfices. 3) Une formation spéciale est-elle nécessaire pour utiliser iTeraCare ? Aucune formation particulière n'est requise pour utiliser iTeraCare. Les appareils sont faciles à utiliser et ne nécessitent pas de connaissances médicales spécialisées. Il suffit de suivre les instructions du fabricant et de consacrer quelques minutes par jour à ses bienfaits thérapeutiques. Conclusion iTeracare est bien plus qu'un simple appareil. Il s'agit d'un outil révolutionnaire qui utilise les fréquences Terahertz pour aider notre corps à atteindre un état d'équilibre et de bien-être intégral. Grâce à ses multiples avantages, iTeraCare est devenu un choix de premier plan pour ceux qui recherchent une alternative naturelle et efficace pour améliorer leur santé. Que vous choisissiez le modèle Classic 2.2, Premium, Premium Plus ou PRO, vous avez entre les mains un outil puissant pour prendre soin de votre bien-être et mener une vie pleine et équilibrée. N'attendez plus, visitez notre site web à www.iteracare.life et découvrez comment iTeraCare peut transformer votre vie. Votre meilleure santé vous attend ! iTeracare Shop ITERACARE TÉMOIGNAGES Les dispositifs iTeraCare peuvent être achetés dans la boutique en ligne iTeraCare, qui se trouve à l'adresse www.iteracare.life. Dans cette boutique, les clients peuvent consulter une sélection de produits iTeraCare et faire leurs achats en toute simplicité.
Les prix des appareils iTeraCare sont très raisonnables, ce qui fait de la boutique un excellent choix pour ceux qui recherchent un bon rapport qualité-prix et qui peuvent acheter l'appareil dans notre boutique. Adrián Sánchez Contact Acheter l'appareil iTeraCare Boutique iTeracare
0 notes
Text
Le Thé au Gingembre reste et demeure une Boisson aux Multiples Vertus pour la santé de l'homme. Selon l'American Association of Retired Persons, le gingembre possède des propriétés anti-inflammatoires. Râpez-le ou coupez les racines dans une tasse à laquelle vous rajouterez un peu d'eau chaude. Vous pourrez l'acheter séché, en morceaux ou en sachets. Thé au Gingembre: Une Boisson aux Multiples Vertus les dangers du thé au gingembre 1 Le thé au gingembre est une boisson millénaire, appréciée pour son goût piquant et ses nombreux bienfaits pour la santé. Utilisé depuis des siècles dans diverses cultures pour ses propriétés médicinales, le gingembre est aujourd'hui reconnu par la science moderne pour ses effets positifs sur le bien-être. ### La Recette Traditionnelle du Thé au Gingembre les dangers du thé au gingembre Pour préparer un thé au gingembre authentique, vous aurez besoin de: - Racine de gingembre frais - Eau chaude - Miel ou citron (optionnel) Commencez par râper finement environ une cuillère à soupe de gingembre frais ou coupez-le en fines tranches. Placez le gingembre dans une tasse et versez de l'eau chaude dessus. Laissez infuser pendant quelques minutes, puis, si vous le souhaitez, ajoutez une touche de miel ou quelques gouttes de citron pour adoucir le goût. ### Les Bienfaits du Gingembre Le thé vert contient-il de la caféine Découvrez ce que disent les experts Le gingembre est célèbre pour ses propriétés anti-inflammatoires, comme le souligne l'American Association of Retired Persons. Ces propriétés peuvent aider à soulager les douleurs musculaires et articulaires, ainsi que les inflammations liées à diverses affections. De plus, le gingembre est connu pour: - Stimuler la digestion - Apaiser les nausées et le mal des transports - Renforcer le système immunitaire - Favoriser la circulation sanguine - Réduire le taux de sucre dans le sang ### Comment Consommer le Gingembre les dangers du thé au gingembre 2 Le gingembre peut être consommé de différentes manières: frais, séché, en morceaux, ou en sachets. Chaque forme conserve les propriétés bénéfiques du gingembre, bien que le gingembre frais soit souvent considéré comme ayant une puissance supérieure. Conclusion Thé au Gingembre: Une Boisson aux Multiples Vertus Le thé au gingembre n'est pas seulement une boisson réconfortante pour les journées froides ou les moments de détente; c'est aussi un allié de votre santé. Facile à préparer et agréable à consommer, il représente une méthode naturelle pour prendre soin de soi au quotidien. →A lire aussi Amandes : Les 12 Bienfaits Et Dangers Cachés Pour La Santé N'hésitez pas à intégrer le thé au gingembre dans votre routine et à découvrir par vous-même ses multiples vertus. Santé et plaisir peuvent se trouver dans une simple tasse de thé.
0 notes