Tumgik
#surplace
stellisonica · 2 years
Photo
Tumblr media
“Surplace” Chiara Bettazzi @lagallerianazionale @lagallerianazionaleteens 📸 @artigiano2.0 _____________________________________________ #chiarabettazzi #surplace #lagallerianazionale #alessiomingiardi #photographer #silk #exhibition #arte #fotografia #chiarabettazziwork #selfportraitphotography #gnam #rome🇮🇹 #photography #contemporaryart #storiadellarte #historyofart #artblogger #me #myself #artistsoninstagram #womensinmuseums #museum #artlover #igersroma #timeisoutofjoint #weareigersit #romecity #artshare #artlovers @quiriters @scatto_roma @clickfor_roma (presso Galleria Nazionale Arte Moderna) https://www.instagram.com/p/Cj2bEyDthA1/?igshid=NGJjMDIxMWI=
6 notes · View notes
academicgloss · 2 years
Text
France en plein été
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Since I'm free to wander, I have been. Beurre Noisette caught my eye today with a yummy cake au citron placed on top of glass casing.
I want this blog to be useful so here's some advice from my three days in Tours:
Bring a reusable bag around with you
Don't smile at people's children or dogs (you can but I just would save smiles for nice boys, haha)
Floral dresses are ideal! & it's okay to wear them with sneakers if you're confident doing so.
Straws are often paper & we call them "paille"
"Sur place" means inside or outside eating at the restaurant. À emporter means take out/away.
6 notes · View notes
ruemorinpointcom · 7 months
Text
Équipe du Renouveau Démocratique (ERD)
Mi-mandat de Julie Dufour: « On fait du surplace depuis deux ans ! » – Marc Bouchard Continue reading Untitled
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
casualist-tendency · 1 month
Text
Tumblr media
44 notes · View notes
polkadotmotmot · 1 year
Photo
Tumblr media
Peter Keizer - Surplace, 2023
#up
274 notes · View notes
les-portes-du-sud · 9 months
Text
*Le film intitulé "Sorry"* qui ne dure qu'une minute et 58 secondes, a remporté l' Oscar du meilleur court métrage. Cependant, son message est profond !اللهم سترك ولطفك وحفظك (Que Dieu vous bénisse et vous protège!)
Il y a surcharge. L'ascenseur ne bouge pas.
Mais personne ne veut sortir.
Ainsi se trouve l'état du monde actuel.
👉Notre individualisme, notre égoïsme et notre inaction font que nous faisons du surplace. Chacun ne pense qu'à lui même. Chacun pense qu'il a raison ou qu'il a droit à tout avoir. Mais on ne pense plus au groupe.
Personne ne veut se sacrifier pour le groupe.
👉Réfléchisons-y... A méditer 🙏
17 notes · View notes
Text
 le désir est un sommet caché où d'impossibles fleurs s'épanouissent ; formant colline sur le plat de nos vies, nous le gravissons sans cesse pensant par là pourvoir cueillir leur réponse par le seul fait d’y croire ; sans ce relief pour nous guider sur l’informe des jours nous n’existerions pas pour le monde ; tantôt montant, tantôt descendant, ballotés par un effet grandiose d’illusion, nous contournons sans cesse cette plaie béante qui finit par nous guider pour éviter l’effroi du surplace
© Pierre Cressant
(mercredi 7 juin 2006 - dimanche 16 avril 2023)
youtube
13 notes · View notes
mntch-c · 3 months
Text
Tu respires quelque chose, tu transparais une couleur particulière, mais tu restes encore sombre à certains moments. Pourquoi? Tu voudrais avancer mais tu fais du surplace. Tu voudrais aller de l’avant, et tout envoyer valser. C’est ainsi que tu te sens vivre. Les freins se défont. Les retenues ne sont plus présentes. Les flaques d’eau ont séchées et tu peux désormais sauter à pied joints dans tous les trous de ton bonheur sans être éclaboussé. Tu avances lentement, tu le sais mais tu préfères cette allure et vitesse plutôt que de brûler les étapes.
Tumblr media
2 notes · View notes
stranger-nightmare · 2 years
Text
so I’ve just thought
Eddie was wearing that vest from the army surplace store right? so like we can assume that thing was pretty hefty, like probably bulletproof right?
but my beloved dumbass didn’t zip it closed bc he couldn’t sacrifice his aesthetic
like maybe if he’d done it up the bats wouldn’t have been able to eat his fucking sides out asdfghjkl he’s an idiot
okay anyways ima go cry again
44 notes · View notes
itsme-vally · 11 months
Text
Oser.
Il y a très longtemps que je n’ai pas écrit ici. Dernièrement, j’ai repris l’envie de grandir, de vivre de nouvelles expériences. J’ai réalisé que j’avais un peu arrêté de vivre. Rassurez-vous, j’allais tout de même bien. On peut dire que j’étais heureuse. Mais, je faisais du surplace. Je mettais un pied devant l’autre, mais je ne faisais pas beaucoup de distance. Ce ne fut pas une grande…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
profenscene · 2 years
Text
Lundi 7 novembre
Tumblr media
Nous sommes entrés dans la saison de la contestation.
C'est peut-être un invariable du collège, ou quelque chose que je provoque par mon comportement, mais le retour des vacances de la Toussaint met systématiquement face à des élèves qui, d'une façon ou d'une autre, se mettent en révolte.
Oh, pas - souvent - de grandes explosions ou de volontés de renversement du régime, hein ! Seulement, on sent des envies. De traiter les adultes avec davantage de familiarité. D'écorner un peu son image de marque. De montrer qu'on n'a pas peur, en vrai, des profs.
Avant, j'avais envie de rabrouer les mômes, de leur dire que des rebelles dans leur genre, j'en avais déjà vu, et des plus impressionnants. Désormais, j'observe avec intérêt et, je dois l'avouer, un peu de nervosité. "Il faut que jeunesse se passe." L'axiome n'est pas si débile qu'il en a l'air. Oui, c'est aussi une exploration qui doit se faire. Jusqu'où mon pouvoir de dire non est-il légitime et pourquoi ? Mais cette contestation peut aussi abîmer. Parce qu'elle enivre. Et qu'elle ouvre, étrangement, les portes de l'apathie. On finit par se révolter parce que ça permet, tout simplement, de ne plus faire d'effort. "C'est facile, de dire non." dit ce vieux boomer de Créon à Antigone, et il n'a pas tort. Pas toujours Antigone, c'est vrai. Mais souvent. Souvent c'est facile de refuser.
Refuser de se confronter à la difficulté, parce que comme ça on n'a pas à avoir peur d'échouer, refuser de reconnaître que ceux qui ne sont pas de notre groupe ont à nous apporter, parce que ça évite de se confronter à la complexité du monde. Refuser pour se créer un monde qui nous convient, où le dissensus n'existe pas.
La saison de la contestation est une danse entre les épines. Dites non, les mômes. Opposez-vous. Mais dans cette danse, acceptez aussi qu'on ne fasse pas de surplace. La génération d'après a tort, c'est entendu. Je ne serai pas de ceux qui sauveront le monde, ce sera peut-être - je le souhaite - vous. Mais pour cela, écoutez. Si ce n'est vos profs, au moins les infinis dont ils peuvent vous entrebâiller les portes.
Et croyez-moi, si vous devenez parfois de petites machines à refuser, nous sommes, nous, de grosses machines à résister.
11 notes · View notes
alain-keler · 2 years
Photo
Tumblr media
Lundi 5 septembre 2022.
Le train déverse son flot de passagers gare de Lyon. Je suis sans doute l’un des derniers à quitter mon siège. Nous venons de traverser une grande partie de la France. Les ouvrages d’art succèdent aux paysages bucoliques où paissent tranquillement des vaches de toutes couleurs, noires, blanches et autres couleurs non discriminées, aux rivières franchies à très grande allure. Les voitures sur les autoroutes qui longent la ligne de TGV semblent faire du surplace. On passe d’un monde à un autre presque sans s’en apercevoir.
Perpignan d’où je viens est très vite loin. La ferveur de Visa pour l’image s’estompe à 300 km/heure. On m’y a décerné samedi soir le Visa d’or  d’honneur du Figaro Magazine qui récompense le travail d’un photographe confirmé et toujours en exercice pour l’ensemble de sa carrière. Ce fut un grand moment de bonheur, mais un moment qui donne au photographe que je suis une étrange impression du temps qui passe, plus vite aujourd’hui qu’il y a vingt, trente ans. Des images défilent sur l’écran géant du Campo Santo. Je les connais par cœur et c’est peut-être la le cœur du problème. Un photographe qui veut rester en vie se doit de continuer à photographier, tant que son souffle lui permettra de respirer et que ses jambes le soutiendront malgré le poids des années qui commencent à se faire sentir.
Ma vie de photographe se mesurait autrefois au nombre de kilomètres parcourus par année. L’âge aidant, ou pas, le kilométrage de mon compteur fut remplacé, tout au moins je l’espère, par la réflexion sur l’image, sur le genre humain et autres choses que je découvrais, plus importantes que tout le reste qui se transformait lentement en souvenirs d’aventures de jeunesse. La vision du photographe évolue avec l’âge, l’expérience, la retenue. Des images cachées dans le nombre de films et d’années revenaient à la lecture de planches contact, mémoire intraitable du photographe, des souvenirs, des moments oubliés refaisaient surface, les échecs et les loupés, les bons moments.
En me d��cernant ce prix prestigieux, Jean-François Leroy et Cyril Drouhet  m’ont fait un immense honneur, et bonheur, et je les en remercie de tout coeur.
Nous avons partagé tous les trois une petite partie du temps de nos vies de photographies. Jean-François fut avec certains photographes, Pascal Maitre et moi-même* , au début de l’aventure d’Odyssey images en 1989, Cyril Drouhet travaillait avec l’agence GLMR où, après la guerre interne qui mena à l’arrêt d’Odyssey nous nous réfugiâmes en créant une entité « Saga images », longtemps avant qu’il ne rejoigne le Figaro Magazine. Je perdis un long moment sa trace.
Jean-François quitta le navire Odyssey avec la création de Visa pour l’image où il m’exposa dés 1990 (l’arbre témoin). Tout cela pour vous expliquer que nos destins furent parallèles, éloignés, proches aussi, modestes moments dans une minuscule partie de l’histoire de la photographie.
Cyril réapparut un jour.
Je les remercie tous les deux pour l’immense honneur et plaisir qu’ils viennent de me donner, et je ne suis pas du genre à passer de la pommade aux personnes de la profession, mais là il s’agit pour nous tous de  vies dédiées à la photographie.
À ce duo je rajoute Pascal Maitre, avec qui j’ai navigué dans cet univers qu’est la photographie, aujourd’hui au sein de la merveilleuse agence MYOP.
 Le train est arrivé Gare de Lyon. Il déverse sont flot de passagers dans l’inconnu de la grande ville, de la vie.
 Le temps me manquera sans doute un peu pour continuer la grande aventure qui fut la mienne pendant toutes ces nombreuses années, mais c’est ainsi que le monde tourne. Déjà de nouvelles figures apparaissent,  c’est normal et souhaitable, beaucoup de jeunesse enthousiaste et talentueuse, à MYOP et ailleurs.
Que reste-t-il de notre mémoire si ce n’est une photographie !
*Odyssey image : Jean-luc Maneaud, Yves Gellie, Serge Sibert, François Guenet, Hélène Bamberger, Michel Viard er Eric Bouvet.
15 notes · View notes
clochardscelestes · 1 year
Text
Tout à l'heure, alors que j'étais en train de me mettre minable sur mon vélo d'appartement, j'ai repensé à ma séance avec ma psychologue juste avant et je me suis fait la réflexion que c'était une belle métaphore de ma vie. Comme sur le vélo, j'ai beau faire tous les efforts, faire preuve d'abnegation, de courage, de volonté et de résilience, je n'avance pourtant jamais, je fais du surplace et je m'épuise pour rien.
1 note · View note
critiquedumoment · 26 days
Link
Civil War - Dans une réalité près de chez vous (or not)
0 notes
spotjardin · 1 month
Text
La demoiselle
Tumblr media Tumblr media
La demoiselle ou zygoptère
PRÉSENTATION
Quelques petites différences permettent de les différencier. En effet, la demoiselle a les yeux et les ailes différents de la libellule. La demoiselle a les ailes jointes quand elles est perchée sur une plante. Les yeux de cette dernières sont bien séparés de chaque coté de sa tête. Par contre, elle vole plus lentement, de façon plus hésitante et surtout plus nerveusement par rapport à la libellule. Son vol est silencieux et souvent elles font du surplace avant de se poser. On l'appelle également Zygoptères ou agrions. Parfois les femelles et les mâles sont de couleur différente. Les prédateurs de la demoiselle sont essentiellement, les araignées, les oiseaux, les batraciens, les mouches asilides ou bien encore les libellules.
SON MODE DE VIE
Elles se nourrissent des mêmes insectes que la libellule (mouches, papillons, moustiques, cicadelles.. ). Quand arrive la période de reproduction, la femelle pond plusieurs centaines d’œufs qu'elle dispose dans le creux d'une tige de plante immergée dans l'eau ou bien sur le feuillage d'une plante à la surface de l'eau. Quand les larves vont éclore, elles vont se nourrir d'insectes aquatiques en allant dans l'eau. Elles auront plusieurs mues. Elles passeront l'hiver sous l'eau, sous forme de larves plus grosses grâce aux différentes métamorphoses. Suivant l'espèce de demoiselle, à la saison printanière ou bien à la saison estivale, les larves décident de remonter le long d'une tige de plante afin de sortir de l'eau. Elle se font sécher, la peau se déchire et chaque insecte sort pour faire sécher ses ailes et ensuite prendre son envol. La demoiselle adulte va rapidement rechercher un partenaire pour s'accoupler et donc se reproduire. Le mâle meurt juste après l'accouplement. Quand la femelle a pondu ses œufs, elle meurt à son tour. Les demoiselles sont présentes uniquement pendant la saison estivale dans les régions tempérées. Dans celles qui sont chaudes de l’Équateur, elles sont présentes toute l'année. Et pour terminer je vous propose cette vidéo de National Geographic Wild France https://youtu.be/qMKSXX_3VTQ Read the full article
0 notes
christophe76460 · 1 month
Text
Tumblr media
Et je considère même tout comme une perte à cause du bien suprême qu’est la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur. (Philippiens 3 :8)
Jésus grandit en nous au fur et à mesure que nous avançons: c’est le chemin de la vie. Chaque fois que nous arrivons à un niveau où nous pensons «je sais, je l’ai, j’y suis arrivé!», et que nous nous contentons de cela, nous pouvons être certains que le Saint Esprit aura cessé son action en nous, et que notre vie sera paralysée, arrêtée.
Prenons l’exemple de l’apôtre Paul, les paroles qu’il utilise pour définir et exprimer ce qui lui est arrivé dès le départ : «Il plut à Dieu... de révéler en moi Son Fils». Paul a eu une vie très remplie, non seulement dans la sommes des révélations qu’il donna, mais dans leur essence concentrée,que n’ont pas réussi à épuiser toutes les tentatives de tant de siècles. .
A la fin de cette longue vie, cet homme qui disait au commencement: «Il plut à Dieu de révéler en moi Son Fils», laisse échapper ce cri du cœur: «je regarde toutes choses comme une perte... afin de le connaître, Lui , Christ» (Philippiens 3:7)
Connaître Christ, voila l’essence même d’une vie gouvernée par le Saint-Esprit. C’est cela qui va nous délivrer de la mort, de la stagnation, du surplace. L’œuvre de l’Esprit au sein de l’Ecole de Christ consiste à nous présenter Christ , et à maintenir Christ en vue dans Sa grandeur, dans sa plénitude. C’est ainsi que, dès le commencement, Dieu, révèle Christ, Le présente, Le reconnaît et nous dit: «C’est à Lui que je veux te faire ressembler, à Son image !
T.Austin-Sparks : L’Ecole de Christ
0 notes