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claudinedaussyart · 1 year
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LE CHANT DES FOURMIS
le chant des fourmis, Série des insectes Etain sur pcb plus cuivre, claudine Daussy adagp 14×19 janvier 2023 SCAS 38 PO 261 Le chant muet des fourmis n'est qu'une odeur de colle La reine, n'a pas le choix, pond, jamais ne s'envole. Leur Jung , maintes fois né, a tenté l'analyse. Cette fois sera la bonne, dans son crane vocalise. Claudine Daussy adagp SCAS 38 PO 261
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laplaze-marion · 2 years
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2t2r · 9 years
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Scott Raabe, un artiste de la soudure
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/scott-raabe-un-artiste-de-la-soudure/
Scott Raabe, un artiste de la soudure
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information-2-0 · 7 months
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grandevacances · 2 years
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chic-a-gigot · 4 months
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Le Petit écho de la mode, no. 3, vol. 13, 18 janvier 1891, Paris. 13. Dentelle en guipure Renaissance. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
I pulled this plate today, and totally by chance, found myself on a Bordeaux library's website and came across an earlier version of this same plate, from 1879, 12 years earlier:
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La mode française, no. 38, 20 septembre 1879, Paris. 3. — Dentelle en guipure Renaissance. Bibliothèque municipale de Bordeaux
They even have nearly identical descriptions:
Le Petit écho de la mode, 1891:
Dentelle en guipure Renaissance. — Le modèle de cette dentelle est des mieux réussi, et l’effet obtenu par son exécution des plus heureux.
Il faut comme toujours reproduire son dessin sur moleskine, ou sur percaline lustrée, puis coudre son lacet avec beaucoup de soin et comme s’il devait rester à demeure sur ladite moleskine; à certains endroits on peut se dispenser de couper son lacet, il faut bien consolider et le plus proprement possible, l’espèce de soudure si je puis m’exprimer ainsi, que l’on ne peut éviter dans la tulipe, à certaines feuilles où les brins sont trop rapprochés; on peut éviter ces coupures en repliant le lacet l’un sur l’autre, mais il faut que ce soit fait avec une grande précision, sous peine de nuire à la perfection du travail.
Dans les intervalles on fait des barrettes vénitiennes festonnées.
Renaissance guipure lace. — The model of this lace is most successful, and the effect obtained by its execution is most successful.
As always, you must reproduce your design on moleskin, or on glossy percaline, then sew your lace with great care and as if it were to remain permanently on said moleskin; in certain places we can dispense with cutting the lace, we must consolidate and as cleanly as possible, the kind of welding, if I may put it that way, which we cannot avoid in the tulip, on certain leaves where the strands are too close together; These cuts can be avoided by folding the lace one over the other, but this must be done with great precision, otherwise the perfection of the work will be compromised.
In the intervals we make scalloped Venetian barrettes.
La mode française, 1879:
Le modèle de cette dentelle est des mieux réussis, et l'effet obtenu par son exécution des plus heureux.
Il faut, comme toujours, reproduire son dessin sur moleskine, ou percaline lustrée, puis coudre son lacet avec beaucoup de soin; à certains endroits, on ne peut se dispenser de couper son lacet, il faut bien consolider, et le plus proprement possible, l'espèce de soudure, si je puis m'exprimer ainsi, que l'on ne peut éviter dans la tulipe, à certaines feuilles, où les brins sont trop rapprochés; on peut éviter ces coupures, en repliant le lacet l'un sur l'autre, mais il faut que ce soit fait avec une grande precision, sous peine de nuire ¡a la perfection de son travail.
L'intérieur du dessin est rempli par des jours variés.
The model of this lace is most successful, and the effect obtained by its execution is most successful.
You must, as always, reproduce your design on moleskin, or glossy percaline, then sew your lace with great care; in certain places, we cannot avoid cutting our laces, we must consolidate, and as cleanly as possible, the kind of welding, if I may put it that way, which we cannot avoid in the tulip, to certain leaves, where the strands are too close together; These cuts can be avoided by folding the lace one over the other, but this must be done with great precision, otherwise it will harm the perfection of the work.
The interior of the drawing is filled with varied days.
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Psychanalyse, enfance et sexualité …ou sexuation?
(Partie III)
«Si les hommes savaient tirer la leçon de l’observation directe des enfants, il n’aurait pas été utile d’écrire ces trois essais. […] Mais pour ce qui concerne l’“extension” du concept de sexualité nécessitée pour l’analyse des enfants et de ce qu’on appelle des pervers, qu’il nous soit permis de rappeler à tous ceux qui, de leur hauteur, jettent un regard dédaigneux sur la psychanalyse, combien la sexualité élargie de la psychanalyse se rapproche de l’Eros du divin Platon.» Sigmund Freud
35 - Mais de quoi parle donc Freud dans ses Trois essais sur la théorie sexuelle (Drei Abhandlungen zur Sexualtheorie) lorsqu’il évoque la "sexualité infantile" (infantile Sexualtheorien), la satisfaction (Befriedigung), le plaisir (Lust), la jouissance (Genuss)? Gardons-nous d’entendre les mots de Freud autrement que comme des termes qui renvoient à des positions purement psychiques, faute de quoi il est impossible d’entrer dans la forme de la pensée freudienne. Tout terme chez Freud renvoie à une position psychique, dans un contexte singulier d’élaboration psychique, en tant que c’est par l’élaboration psychique que l’enfant se sera efforcé de surmonter sa séparation d’avec le corps maternel en imaginant son propre corps dont la construction est co-extensive de l’autonomie de sa pensée.
36 - Freud note cependant que si la vie sexuelle de l’adulte ne se déduit pas forcément de celle de l’enfant qu’il a été, c’est que d’avoir été définitivement séparé du corps maternel (l’objet sexuel originel perdu à jamais) l’aura fait traverser des errances (Abirrungen) causées par une multiplicité de découpages et de déplacements de l’attrait imputé à l’objet sexuel primordial qui reste unique et irremplaçable, la pulsion dite sexuelle ne visant pas dès lors à créer un objet, mais à retrouver, dans les objets existants, sur les différentes scènes de la réalité, des traces de l’objet originaire.
37 - S’il appert que Freud fait remonter la sexualité à la prime enfance, ses précises investigations sur la sexualité infantile pour la période antérieure à la sortie de l’Œdipe et à la puberté, l’amènent à la nécessité d’inventer nombre de concepts nouveaux, scandaleusement négligés, déformés et trahis par les traductions: parmi lesquels la Geschlechtstrieb (que je traduis donc par «pulsion d’espèce» et la Verlötung (soudure), deux termes qui apparaissent dans le même paragraphe, en conclusion de la première section du premier des Trois Essais: «Il nous apparaît que nous nous représentions le lien (die Verknüpfung) entre la pulsion sexuelle (Sexualtrieb) et l’objet sexuel sous une forme trop étroite. L’expérience des cas considérés comme anormaux nous apprend qu’il existe dans ces cas une soudure (Verlötung) entre pulsion sexuelle et objet sexuel, que nous risquons de ne pas voir en raison de l’uniformité de la conformation normale, dans laquelle la pulsion semble porter en elle l’objet. Nous sommes ainsi mis en demeure de relâcher [ou assouplir: zu lockern] dans nos pensées les liens entre pulsion et objet. Il est vraisemblable que la pulsion sexuelle [traduction fausse: il s’agit ici de la pulsion d’espèce (Geschlechtstrieb)] est d’abord indépendante de son objet et que ce ne sont pas davantage les attraits de ce dernier qui déterminent son apparition.» 
38 - Pour Freud, il n’y a donc pas d’objet adéquat à la pulsion : il repère dans les cas dits "anormaux" une soudure artificielle entre la pulsion et l’objet, mais en vérité c’est la pulsion qui littéralement investit les objets conformément aux tendances du sujet en cours d’émergence. Chaque sujet invente et produit sa propre réalité comme source de plaisir par la médiation de ses fantasmes qui trouvent support dans des objets. La pulsion sexuelle (Sexualtrieb) sera dès lors apparue sous les auspices d’une recherche désormais active et répétée de plaisir [alors que pour le nourrisson, le plaisir ne se prenait que de manière passive, placé sous le signe de la satisfaction (Befriedigung) ou cessation du déplaisir par l’action extérieure du soin maternel].
Quant à la jouissance (Genuss) — qui est à distinguer de son acception lacanienne tirant les conséquences de la lecture de Hegel par Kojève et de la notion de dépense développée par Bataille — elle n’apparaît que corrélativement à la pulsion d’emprise (Bemächtigungstrieb) par laquelle se manifestent toutes les formes de violence à l’égard de l’Autre, que l’enfant sera conduit à sublimer par la pulsion d’élaboration psychique (Bewältigungstrieb) se doublant d’une pulsion de savoir (Wisstrieb) qui l’ouvre au travail de conception psychique en lui permettant d’expérimenter une forme de maîtrise (Bewältigung) sur ce qui lui échappait jusque là et le faisait se sentir impuissant jusqu’à la détresse…
39 - Par ses possibilités d’élaboration psychique, l’enfant peut non seulement compenser l’absence de la mère, mais aussi bien s’absenter de la mère, se retrouver seul, séparé du corps maternel, sans pour autant éprouver cet état de détresse absolue ou de perte d’appui que Freud nomme Hilflosigkeit. Dans Au-delà du principe de plaisir, il raconte ainsi le passage du Fort/Da au miroir: «Un jour où la mère avait été absente pendant de longues heures, elle fut saluée à son retour par le message «Bébé O-O-o-o», qui parut d’abord inintelligible. Mais on ne tarda pas à s’apercevoir que l’enfant avait trouvé pendant sa longue solitude un moyen de se faire disparaître lui-même. Il avait découvert son image dans un miroir qui n’atteignait pas tout à fait le sol et s’était ensuite accroupi de sorte que son image dans le miroir était “partie”.»
De ces jeux de substitution, d’occultation et d’escamotage, Freud puis Lacan tireront patiemment les plus précieux enseignements sur la structure: à savoir la façon dont s’élabore la question de l’identité sur le fond de séparations premières, l’identité imaginaire  et aussi l’identité de jouissance ou de symptôme, en bref l’identité moïque. Car ce sont les conditions de ces séparations primitives qui font l’étoffe d’un sujet et partant feront aussi la cause de son moi, l’ombilic à partir duquel, le sujet humain pourra se figurer lui-même (stade du miroir chez Lacan).
40 - Il est désormais clair que le "sexuel" dont Freud parle dans la "sexualité infantile" est un sexuel qui ne concerne pas encore la sexualité, mais qui est à entendre au sens d’une quête d’identité, en guise de réponses, jamais satisfaisantes à la première question que se pose l’enfant sur son origine : «D’où viennent les enfants ?» (Woher die Kinder kommen ?), «Qu’étais-je avant d’être né?»…
La quête d’identité met en évidence l’importance primordiale et outrageusement négligée de la Geschlechtstrieb par laquelle l’enfant peut déjà s’identifier par l’image du corps à l’espèce humaine, en deçà (ou par delà) la division sexuelle, antérieurement à l’apparition des autres objets, la "pulsion d’espèce" donc, qui est indépendante de tout objet, et dont pour Freud «les cas considérés comme anormaux nous apprennent qu’il existe dans ces cas une soudure (Verlötung) entre pulsion sexuelle et objet sexuel».
C’est donc seulement parce que pour l’enfant se séparant du corps maternel il est impossible de rendre compte d’un lien (die Verknüpfung) entre la pulsion sexuelle (Sexualtrieb) et un objet sexuel sous une forme déterminée que Freud emploie l’expression "polymorphiquement pervers" pour signifier la jouissance non fixée de l’enfant, et comme le souligne avec à propos Jacques Sédat, lecteur attentif de Freud: «Il n’y a pas d’articulation fixe, permanente ou nécessaire, entre la pulsion, c’est-à-dire un sujet, et l’objet investi comme autre sujet sur la scène de la réalité. Autrement dit, la disposition polymorphiquement perverse de la sexualité infantile est pour Freud le contraire de la perversion au sens où nous l’entendons aujourd’hui. Cette disposition polymorphiquement perverse constate l’inadéquation initiale, originaire, entre la pulsion et les objets disponibles sur la scène de la réalité, que la pulsion va pourtant investir.»
41 - «[…] entre la pulsion, c’est-à-dire un sujet, et l’objet investi comme autre sujet sur la scène de la réalité»: la formulation est ici plus que pertinente pour ce qui définit en propre le Discours Analytique dont Lacan attribue la paternité à Freud: la pulsion est du côté du sujet, comme le souligne Freud, car pour lui la pulsion (Trieb) n'est pas à confondre avec l'instinct (Instinkt): «les pulsions sont des êtres de mythe, grandioses par leur indétermination», la notion de mythe impliquant structure. Alors que l’instinct est un savoir inné qui met en rapport l’animal et son environnement, l’Umwelt de l’homme est toujours déjà médié par le langage, raison pour laquelle le sujet humain déploie ses pulsions (orale, anale, génitale, scopique et invoquante) comme autant de montages langagiers…
Les pulsions dont la source est le corps n’en réfèrent pas moins à la structure, et leur poussée constante ne relève pas de la physiologie, leur objet étant indifférent, leur but la satisfaction…
Pour les trumains, l’Unbewusste (un savoir qui ne se dit pas, un dire qui ne se sait pas) s’est substitué à l’instinct animal. Le langage venu à la place du "rapport sexuel" absent (non rapportable à la structure), une trace de l’instinct perdu reste perceptible dans la reproduction de l’espèce...
42 - Les quatre pulsions mises à jour par Freud à partir de ce moment inaugural de la sexuation en tant qu’arrachement de l’enfant au corps maternel, et tentative de compenser la déchirure qui en résulte par la construction d’un corps propre susceptible d’assumer la séparation, pour résumer, s’articulent donc ainsi:
-la pulsion d’espèce (Geschlechtstrieb) qui n’est ni sexuelle ni sexuée, ni fixée sur un objet extérieur, mais vise l’image du corps de l’Autre en tant que reconnaissance identitaire permettant à l’enfant de se situer dès l’origine comme "sujet pensant" toujours déjà séparé de son être et devant se constituer un corps propre à partir de l’image de l’autre [que Lacan notera i(a)]…
Par les nécessités de l’existence (départ inopiné de la mère, inaccessibilité du corps maternel, sentiment anxiogène d’impuissance…) la Geschlechtstrieb se trouve, destinée à rencontrer
-la pulsion d’emprise (Bemächtigungstrieb) qui pousse l’enfant non pas à investir un objet, mais à arraisonner un objet pour tenter d’établir un lien plus ou moins fixe avec cet objet, le maîtriser assez pour supprimer l’aspecr aléatoire qui caractérise les objets extérieurs, quitte à maltraiter l’objet en lui imposant violemment sa volonté, afin qu’il soit toujours maintenu à disposition, rendu conforme à la visée de la pulsion asexuelle, qui anime son objet…
La Bemächtigungstrieb est celle qui correspond au "Fort", premier moment du Fort/Da (cf. 31) qui en tant que volonté de maîtrise exercée sur l’Autre. Ceux qu’on appelle des "casseurs", par exemple, en restent à ce niveau là de la pulsion d’emprise, cherchant à entrer dans le secret des choses (ou des autres) en les brisant... se double de
-la pulsion d’élaboration psychique (Bewältigungstrieb) qui apparaît comme la seconde étape du Fort/Da, le "Da" en tant qu’il permet la sublimation de la pulsion d’emprise à laquelle la Bewältigungstrieb est directement corrélée, car promettant une maîtrise (Bewältigung) plus complète de l’objet comme de soi-même, en permettant à l’enfant de s’extraire de l’agressivité physique pure en rétablissant l’objet malmené par la pulsion d’emprise, en le faisant revenir, et dans cette restauration de l’objet s’opère non seulement l’élaboration de l’absence de la mère, qu’on n’a plus besoin de détruire, mais surtout un travail psychique sur soi-même, une maîtrise (Bewältigung) psychique de soi qui se substitue à la pulsion d’emprise, maîtrise qui, à ce moment-là, dépasse la destruction et la contrainte de répétition. C’est ce que Freud appelle la pulsion d’élaboration psychique par la possibilité d’articuler la maîtrise psychique de l’objet (jusqu’à là physique, portée jusqu’à la maltraitance…) par une élaboration psychique (représentation) â partir de laquelle l’enfant parvient non seulement à symboliser l’absence de la mère, mais apprend à se séparer lui-même du corps maternel par la médiation de
– la pulsion de savoir (Wisstrieb) qui génère en partie la sublimation de la pulsion d’agression par l’assomption pour le sujet dans ce passage du physique au psychique d’une forme radicale d’altérité fondée sur la perception qu’il y a toujours de l’inconnu chez l’autre et même de l’inconnaissable, que l’altérité de l’autre fait qu’il échappe toujours, au moins partiellement à toute emprise, que le sujet ne peut jamais être sûr des pensées de l’Autre qui lui restent opaques (la cure analytique apprendra au sujet à renoncer à vouloir savoir a priori ce que pense l’autre pour apprendre à l’écouter: puisque les corps sont séparés, les pensées doivent être séparées tout aussi bien).
43 - Rappelons ici que si Freud fait remonter l’activité sexuelle à la prime enfance, c’est qu’il en situe l’origine dans la sexuation opérée avec le corps maternel, ce qui fait de la mère l’objet libidinal primordial toujours déjà perdu pour l’enfant des deux sexes, appelé à structurer cette séparation constitutive par la traversée de plusieurs stades pulsionnels ainsi que du complexe d’Œdipe qui consiste à intégrer la fonction paternelle comme métaphore dans le développement de l’enfant (ce qui le conduira logiquement à choisir son objet dans l’autre sexe…)
Freud note toutefois que «l’activité sexuelle de l’enfant ne se développe pas du même pas que ses autres fonctions; elle entre au contraire, après une brève période de floraison de la deuxième à la cinquième année dans ce qu’on appelle période de latence» durant laquelle, l’activité pulsionnelle donnant lieu à la production d’excitation sexuelle ne serait nullement suspendue mais persisterait et livrerait une provision d’énergie qui serait utilisée en grande partie à des fins autres que sexuelles, à savoir d’une part à la fourniture des composantes sexuelles des sentiments sociaux, d’autre part (moyennant refoulement et formation réactionnelle) à l’édification des barrières sexuelles ultérieures.
Puis Freud ajoute que: «le fait de l’amorce en deux temps du développement sexuel chez
l’homme, soit l’interruption de ce développement par la période de latence, nous a paru mériter une attention particulière, semblant contenir l’une des conditions de l’aptitude de l’homme à développer une culture supérieure, mais aussi de son inclination à la névrose», non sans prendre le soin d’avertir: «Nous avons en outre constaté par des expériences que les influences externes de la séduction peuvent provoquer des brèches prématurées dans la période de latence, voire aller jusqu’à l’abolir, et qu’en l’occurrence la pulsion sexuelle de l’enfant s’avère être de fait de type pervers polymorphe ; également, que toute activité sexuelle prématurée de ce genre porte atteinte à l’éducabilité de l’enfant.»
44 - Insistons en citant une nouvelle fois Freud dans le texte: «Es ist lehrreich, dass das Kind unter dem Einfluss der Verführung polymorph pervers werden, zu allen möglichen Überschreitungen verleitet werden kann. Dies zeigt, dass es die Eignung dazu in seiner Anlage mitbringt.» (Il est instructif que l’enfant puisse devenir, sous l’influence d’une séduction, un pervers polymorphe, et puisse être entraîné ainsi à toutes les
transgressions possibles. Cela montre qu’il apporte cette aptitude avec lui dans sa disposition.)
Ce que Freud vise avec le mot "aptitude" n’est rien d’autre que la jouissance non fixée de l’enfant du fait que les objets ne font leur apparition qu’après la pulsion et lui sont par conséquent toujours inadéquats, la pulsion n’investissant un objet extérieur qu’à partir de l’apparition de la pulsion d’emprise (cf. supra) toujours couplée à une pulsion d’élaboration psychique qui amène le sujet à pouvoir étendre sa maîtrise mais aussi devenir lui-même, par les lois du langage, objet de jouissance (puissance) d’un autre…
Dans la perspective freudienne, la jouissance ne concerne que la pulsion de l’adulte exercée sur l’enfant ou un adulte.
Lorsqu’il s’agit des enfants, le sexuel dont parle Freud est donc bien cette compensation mise en place au plan psychique pour permettre au petit sujet d’assumer sa sexuation, c’est à dire sa séparation d’avec l’objet libidinal primordial qu’est le corps maternel, en se soutenant de son activité pulsionnelle qui est de l’ordre du fantasme et doit rester au strict plan du fantasme.
Pour le dire avec Lacan: «Faire l’amour, comme le nom l’indique, c’est de la poésie. Mais il y a un monde entre la poésie et l’acte. L’acte d’amour, c’est la perversion polymorphe du mâle. Ceci chez l’être parlant, il n’y a rien de plus assuré, de plus cohérent, de plus strict quant au discours freudien.»
45 - Si Freud insiste sur la déliaison fondamentale entre pulsion et objet, ce qui met l’enfant dans la disposition (mal interprétée) d’avoir été dite, par lui, polymorphiquement perverse — à savoir a priori non-fixée sur une jouissance spécifique — il ne manque pas de signaler qu’une séduction précoce et le non-respect de la période de latence chez l’enfant peut provoquer des brèches dans sa construction psychique, jusqu’à l’endommager gravement, rendre l’enfant inéducable, susceptible de développer des troubles sévères de la personnalité, pouvant aller jusqu’aux aptitudes à la prostitution et à toutes les perversions répertoriées par les adultes dont il sera devenu objet. Ce que Freud dénomme chez l’enfant du «polymorphiquement pervers» est le contraire absolu de la perversion telle qu’elle se donne dans le langage courant, où l’acception "pervers" désigne un comportement invasif envers un objet sexuel, pouvant aller jusqu’à l’extrême brutalité et l’asservissement aux sévices qui lui sont infligés…
NB: Dans la perspective psychanalytique, nonobstant le fait que psychose paranoïaque et perversion sont de structure différente, elles visent toutes deux à la maîtrise de l’Autre et gardent un lien étroit avec la sexualité:
-du côté de la paranoïa, on vise à maîtriser l’Autte par le contrôle de ses pensées, en cherchant à les diriger… Nous sommes ici dans le registre de la seconde des théories sexuelles infantiles, la théorie dite cloacale (cf. 19, 20, 21) qui correspond à un état maniaque où il y a deux corps mais un seul appareil psychique, de façon à ce que l’autre ne puisse échapper au sujet parce que ses pensées ne lui sont pas étrangères. Pour Freud, la paranoïa se soutient essentiellement d’une homosexualité refoulée, le persécuteur étant toujours du même sexe…
-dans la perversion (prise dans sa stricte acception psychanalytique, la perversion de structure n’étant pas à confondre avec la perversité, ni les traits pervers…) le pervers se fait l’instrument, et donc l’objet de la jouissance de l’Autre afin de pouvoir s’instaurer en maître et éducateur de sa victime-partenaire, dans la mesure où se sentant exclu de la jouissance, il a pris le parti de dénier l’inadéquation fondamentale de la pulsion à l’objet qui est toujours substituable à un autre… Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion…
46 - Pour conclure provisoirement: la sexuation (génératrice de la douleur d’ex-sister) force le sujet à passer par une série de compensations fantasmatiques, dont la mise en branle de l’appareil psychique déterminera, en fonction du contexte d’éducation, les motions sexuelles qui l’animeront selon le Lustprinzip (principe de plaisir), dans une dialectique jouissance/séparation, où la jouissance consiste à se fondre dans quelque chose de plus vaste que soi, et la séparation à jouer la limitation de cette jouissance par l’assomption de son destin en tant qu’il définit la singularité du sujet porté par la tension du désir. Il y a donc ici deux pôles et ce qui gît dans l’intervalle, ce qui fait pour le sujet la distance qu’il peut maintenir entre les deux limites pour y respirer pendant le temps qu’il lui reste à vivre, et c’est cela que Lacan appellera le désir.
Le sujet (symbolico-réel) ne peut se construire que dans la séparation d’avec l’objet, mais le moi (imaginaire) souhaite selon Freud: « être en indivis (non séparé) avec l’objet externe».
L’éthique de la psychanalyse se conditionne donc depuis son origine d’une assomption des difficultés de la séparation (Abschiedsschwierigkeiten) et nous sommes en tant que sujet toujours confrontés à l’alternative : séparation ou soumission.
Voilà l’une des façons d’aborder le problème actuel du «Malaise dans la civilisation»…
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gregor-samsung · 8 months
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“ Hassan era di alta statura, bianchissimo di pelle, calvo. Parlava a voce bassa per timidezza, ma anche per gioco. Ribelle, non poteva non essere giudicato male da una società tradizionale dove molte cose si facevano di nascosto. Voci persistenti circolano da sempre in quella città: gli uomini di Tétouan sarebbero avari e le donne si amerebbero tra loro. Maldicenze? Forse. Diciamo, più seriamente, che gli uomini sono parsimoniosi e le loro donne piene di mistero. Fatto sta che in due anni di scuola non ho incontrato nemmeno una donna tetuanese e sono stato invitato in una sola famiglia, quella di un collega professore di arabo: Si Mohamed, uomo raffinato e simpatico. Era il solo a manifestare amicizia per Hassan il marginale. Quell’uomo colto, che parlava solo l’arabo e un po’ di spagnolo, ci nascondeva sua moglie. Hassan mi disse che nemmeno lui era mai riuscito a vedere il viso di quella donna. Usciva di rado e non appariva che velata. Una volta all’anno, suo marito la portava in vacanza in Spagna. Dal momento in cui saliva sul traghetto diventava un’altra donna, senza velo né djellaba. Gli stranieri potevano ammirare la sua bellezza – non così gli amici né i parenti. Bella o no, non doveva scoprire il viso a Tétouan. La cosa non mi stupiva. La città era piccola. La gente pigra e maldicente. Potevo capire il comportamento di Si Mohamed che non aveva nessuna voglia di sconcertare le radicate certezze di persone che, come diceva lui, avevano un dossier su ciascun abitante. Appunto, il dossier di Hassan era brutto: scapolo, bevitore di birra e di vino, corteggiatore di donne straniere, amico di qualche prostituta, spendaccione, generoso e irrispettoso delle buone maniere della città. Lui era davvero tutto quanto si diceva e bisogna ancora aggiungere che Hassan era lucido, curioso degli altri e disposto “a una vita migliore”. Quell’uomo, di grande fedeltà, mi aiutava a sopportare il grigiore della città e la ristrettezza mentale dei suoi abitanti. Avevamo una complicità quasi naturale. È stato l’amico di un’epoca. Ci rivediamo, ogni tanto, e rievochiamo con bonomia quegli anni di Tétouan, fatti di tristezza e di rari momenti di gioia. “
Tahar Ben Jelloun, L’amicizia, Einaudi (collana Tascabili; traduzione di Egi Volterrani), 1999⁹; pp. 23-25.
[Edizione originale: La soudure fraternelle, Arléa, Paris, 1994]
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loup-venant · 1 year
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0.0.0...000.
Hier, j'ai démonté le clavier de mon ordinateur. La touche D était un peu récalcitrante et ne s'enregistrait pas bien quand j'appuyais dessus.
Je l'ai depuis des années, c'est un clavier mécanique rétro éclairé d'une compagnie dont les produits sont relativement médiocre en terme de qualité. J'ai un jour renversé un bol de flocons d'avoine trop près de ce cher outil de tous les jours. Autant dire que le lait végétal a les même effets que n'importe quel autre liquide qui se serait malencontreusement retrouvé coincé à chercher un chemin de sortie entre les touches et le fond du clavier.
Ma patience a cet instant n'a pas été des plus exemplaires, j'ai gardé le tout branché et me suis contenté d'éponger avec une serviette ce qui était visible. Il semblait encore fonctionner et ça aurait été un détail dans la vie si quelques jours plus tard les touches 0 et . du pavé numérique ne s'étaient pas soudainement offert des vacances au retour alors encore indéterminé.
Mais en l'ouvrant hier soir, ma curiosité s'en est allé bras dessus bras dessous avec mon courage. Et dans les règles de l'art pour peu que s'en soit un, vis après vis déposées sur un schéma dessiné rapidement sur une feuille de papier pour les replacer au bon endroit, j'ai inspecté l'engin et tous ses recoins. J'ai nettoyé à l'alcool la carte électronique qui contient tous les switchs en insistant un peu sur celui de la touche d.
Là, j'ai reconnu les victimes de ma négligence, le 0 et le . du pavé numérique. J'ai alors ouvert mon bouquin favoris pour me sortir de toutes les situations, internet. Après de nombreuses heures, je trouve un guide d'un gars qui ouvre le même clavier et qui répare façon mc guyver les même touches que les miennes, si ça s'est pas beau. Seul hic, je suis novice en électricité et les mots résistance et diode font autant de sens pour moi qu'un texte de loi.
J'ai tout de même compris de mon cher guide anglophone que s'assurer que la diode responsable pour ces deux touches soit capable de faire le même boulot que les autres diodes pour d'autres couples de touches. Détail qui m'a fait sourire et comprendra qui pourra, la diode en question était nommée d66.
Elle semble faire son job normalement, que faire alors ? Les soudures des deux touches affichent des traces assez marquées de corrosion. Je décide alors de dessouder le tout pour remettre de l'étain neuf. Néanmoins il faut bien comprendre que cette diode n'est pas plus grande que 1mm sur 0.5mm, et ses trois pattes sont à peine visible. J'en arrache évidemment une en la dessoudant. La chance devait bien tourner à un moment où un autre. Un peu désespéré, je la teste tout de même. Elle semble vraiment continuer à fonctionner. Je me décide alors à la replacer en imaginant simplement faire monter l'étain jusqu'à l'endroit où la troisième patte se trouvait. À cet instant elle me saute des mains vers mon sol en osb. Il fait nuit et ma seul lumière vient d'une part de la led de mon téléphone et d'autre part de ma lampe d'ambiance. Ce qui pourra vous projeter sans mal je suppose dans mon état d'esprit du moment "c'est fini..."
J'ai pas ouvert ce clavier pour rien, me dis-je, mon courage est là et je me met à quatre pattes. Je prépare la fouille d'un premier balayage des yeux. Je ne voit rien. En même temps, sa taille et la texture du sol n'aidant pas, j'avais peu d'espoir de la retrouver du premier coup d’œil. Après une recherche plus minutieuse, je retrouve la fameuse diode. Sa troisième patte n'a pas repoussé entre temps mais j'arrive à la replacer et elle semble toujours fonctionnelle. Les deux touches aussi on reçu un petit coup d'étain.
Je branche alors le clavier sans vraiment y croire. D'ailleurs, à cet instant je me dis juste que ça serait fou que ça fonctionne après l'avoir autant charcuté.
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semena--mertvykh · 1 year
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Apprendre à tomber
Peut-on espérer rencontrer quelqu'un d'intéressant quand on a une vie de merde ?
C'est une vraie question.
Mon Responsable de Master est un rêve de célibataire, du genre agaçant toujours à l'aise partout : grand, beau mec, des yeux de renard, métier prestige, suradapté socialement, bardé de diplômes & d'honneurs ET pas (plus ?) marié. Caréné à peine moins que Thomas Pesquet, du genre à me faire chercher le sommeil longtemps. Mon âge à peu près, en tout cas un Gen X comme moi, et encore scandaleusement attirant. C'est bien simple, à côté de lui les autres types ont l'air de gnomes agités de tics.
Quand il instruit quelqu'un d'important – pas nous, mais un journaliste ou d'autres chercheurs – il a une manière de souligner les points de soudure logiques de son discours avec un merveilleux sourire imperturbable qui semble ne s’adresser à personne d’autre qu’à lui-même, et on sourit à notre tour, quand même conquis par ce chatoiement impérial de muscles sous la fourrure, et puis soudain le sourire disparaît, aussi machinalement qu’il est venu, le tigre reprend sa route et sans bien savoir pourquoi, on se sent d’un coup malheureux, dérouté et un peu floué.
Un jour de grand décolleté, j'ai surpris son regard dans le couloir me laissant supposer qu'il est bien hétéro (?). La nuit suivante, alors que je me retournais dans mon petit lit en me grattant - me demandant quel genre de fille pouvait bien avoir accès à une merveille pareille - d'un coup je me suis vue, avec mon squat de punaises, la solitude qui me colle aux semelles pire qu'un bout de PQ, mon compte en banque à sec, ma reprise d'études que jeunes et vieux prennent comme un prétexte de plus pour me regarder de haut ; et ma vie, tellement suturée de partout comme une face de boxeur que je ne saurais même pas par quel bout la prendre, si je devais la raconter.
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Le rire m'est venu comme çà.
Quand tu es une fille, on te bourre le crâne avec du plâtre pendant ta jeunesse pour que tu ne te laisses jamais aller, que tu ne profites jamais de la vie et que tu te sentes toujours du mauvais côté de la médaille : coupable de tout et libre de rien.
On te raconte, par exemple, que si tu te mets en colère, si tu ne cherches pas à plaire, si tu picoles, si tu sors tous les soirs, si tu dis toujours ce que tu penses... et surtout si tu nommes la violence masculine partout où tu la vois, non seulement tu ne trouveras pas de gars potable, mais même : çà sera entièrement de ta faute. Et comme tu es un peu con - et comme, soyons honnêtes, on éduque les filles pour qu'elles soient décoratives, pas pour qu'elles réfléchissent - tu y crois.
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Jusqu'au jour où tu prends un marteau et tu en assènes un grand coup sur tous ces petits flics qui patrouillent dans ta tête. Et si tu sens la vieille culpabilité revenir, par exemple lorsque tu as fini la plaquette de chocolat en rotant de béatitude, tu t'aperçois vite que quelque chose a changé.
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Pourtant c'est Kendrick qui a raison :
Love, let's talk about love / is it anything or everything you hoped for ? / Or do the feeling haunt you ?
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claudinedaussyart · 8 months
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THETIS
THETIS acier arc Claudine Daussy adagp scas 63 PO 303 2022 Le jour est venu où L'aurore s'unit à la terre, Où le vent épouse la mer, Les noces sont célébrées avant que la métamorphose Ne vint nous révéler l'essence de toute chose. THETIS Claudine Daussy SCAS 63 PO 303 09 2023
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quartzkale93 · 2 years
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Raccords Per À Sertir
Le tuyau PER (polyéthylène réticulé) haute densité est un matériau plastique très utilisé aussi bien dans le domaine de la plomberie que du chauffage. Il est en voie pour remplacer les tuyaux cuivre qui sont nettement plus chers et pour lesquels des soudures sont nécessaires alors que le PER est moins coûteux, ne nécessite aucune soudure et est flexible. La plomberie PER représente une installation de plomberie sans soudure. Les tuyaux de plomberie sont composés de polyéthylène réticulé haute densité ou de polybutène. Les tubes PER ne sont, lorsqu'ils sont bien installés, pas moins fiables que le cuivre. J ai été amené de nombreuses fois a effectuer des remplacements de tubes en cuivre. Là, t’es serein et si tu veux rajouter un point d’eau un peu plus tard, tu pourras le faire, tu auras suffisamment de débit. Chez les anciens plombiers, ramifier un tube (partir d’une grosse section vers une petite) est important. Chez les jeunes plombiers, respecter le DTU est important (on part d’une nourrice pour dédier une ligne à un élément sanitaire).
Le PER est un matériau plastique garantissant une très bonne résistance à la pression et une excellente résistance aux variations de température.
Ces trois techniques de raccordement bénéficient toutes d’une grande facilité de mise en œuvre.
Ainsi, le Multicouche se révèle parfois plus délicat à installer derrière des cloisons qu’un tube en PER, qui offre plus de flexibilité.
Pour raccorder une bonde de lavabo ou de lave-main, il faudra par exemple prévoir un diamètre de 12 mm, de 16 mm pour un lave-vaisselle ou une baignoire, et de 20 mm pour un chauffe-eau.
Kit permettant de cacher les tubes PER de Départ et Retour radiateur.Boîtier... Maison en travaux vous conseille dans la rénovation et l´entretien d´une maison au travers de guides travaux complets. Coupez délicatement les tubes et les gaines à l’aide d’une pince coupe tube. Ensemble, ils permettent de mettre en place le réseau d’alimentation en eau froide, et sont aussi utilisés au sein d’un système de chauffage. Combien coûte la pose d’une nouvelle installation de plomberie PER ? Pour une réalisation complète de plomberie PER en maison neuve, le prix s’échelonne entre 9000€ et 15000€.
Comment Maîtriser Léquilibrage Des Réseaux À Débit Variable ?
J’envisage faire un piquage à partir de l’alimentation d’un évier (+lave linge) dans le cellier pour créer le nouveau réseau à l’étage (cumulus+douche à l’italienne+vasque). Je suppose que le diamètre du PER utilisé pour l’alimentation du levier est standard car c’est une maison de 2013 . Parce qu’il est beaucoup plus simple de tout faire d’un seul et même diamètre. https://quadsandbikes.de/miele-fully-integrated-washing-machine-k.html Résultat génial, tant au niveau de la mise en œuvre que de l'entretien, jamais vu de boue et les débits sont identiques au 1er jour. Une étude de prix complète en ne vous arrêtant pas seulement aux tubes eux-même vous aidera sans doute à prendre votre décision. Kit de recharge Sécurisé pour voiture électrique, installation. Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site web dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Permalien Article pertinent et permettant de comprendre les enjeux derrière l’usage de chaque matériau utilisé en plomberie. Permalien La fiabilité du PER et du tuyau plastique réside dans sa résistance. Comme tout équipement, il présente également son lot d’inconvénients, relativement réduits, si l’on tient compte des avantages précédemment cités. Le PER est aussi viable que le cuivre, a condition que l'installation soit bien faite. Pour l'instant rien nous permet de dire si le PER tiendra mieu ou moins bien que le cuivre.
Et Dans La Pratique, Les Diamètres De Tuyau En Per Sont
L’idéal serait un raccord à glissement PER 10mm et M15x21. Je suis un amateur, je refait tout un immeuble moi même (Plomberie mais aussi électricité, menuiserie, maçonnerie,…), la plomberie c’est le dernier domaine que je n’ai pas encore fait. Alors moi, plutôt que de partir sur une nourrice, je partirai sur une colonne de PVC pression qui remonterait dans les parties communes de la copropriété. Idéalement, un ballon d’eau chaude doit se situer à 8 mètres des robinets d’eau chaude. Ma grosse inconnu est la plomberie ,sanitaire et chauffage…et je me lance . Je vous propose une première mouture de ce que j’ai penser . Si tu reportes 6 sur l’abaque, il t’est demandé 15,5 en diamètre intérieur. Pour ne pas s’emmerder avec différentes tailles de tuyaux lorsqu’ils font une maison neuve, certains plombiers passent tout en 13/16 mm et il n’y a pas de problème. Cet ouvrage vient en complément d'un autre plus généraliste sur les travaux de plomberie. Il est assez complet sur le sujet du multicouche, produit que je souhaite mettre en oeuvre. Il aborde également d'autres sujets tels que les évacuations d'eaux usées qui complètent les connaissances. Bon ouvrage facile à aborder et très clair dans ses explications.
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2t2r · 2 years
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De nouvelles sculptures en assemblage de pièces métalliques par Brian Mock
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/assemblage-metallique-brian-mock/
De nouvelles sculptures en assemblage de pièces métalliques par Brian Mock
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grandevacances · 2 years
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guidedestravaux · 14 days
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Soudure en plomberie : réparer vos fuites comme un professionnel
La soudure en plomberie est une compétence précieuse pour tout propriétaire ou bricoleur souhaitant maintenir son système de plomberie en bon état. En comprenant les avantages de la soudure, les outils et matériaux essentiels, ainsi que les mesures de sécurité nécessaires, vous pouvez aborder les réparations de fuites avec confiance. Cependant, il est également important de savoir quand il est…
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sabaneevaldml · 15 days
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Les sculptures en métal étaient une forme d'expression artistique populaire en URSS. Les artistes soviétiques ont utilisé des métaux tels que l'acier, le fer et le bronze pour créer des œuvres monumentales et durables. Dans cet article, nous explorerons les techniques et les défis auxquels les sculpteurs en métal étaient confrontés en travaillant avec ce matériau résistant, tout en créant des œuvres d'art expressives et novatrices. Choix du Métal Les sculpteurs soviétiques choisissaient des métaux adaptés à leurs projets en fonction de leur résistance, de leur durabilité et de leur flexibilité. L'acier et le fer étaient souvent privilégiés pour les sculptures monumentales en raison de leur robustesse, tandis que le bronze était utilisé pour des sculptures plus détaillées et raffinées. Chaque type de métal offrait des possibilités créatives uniques aux artistes. Les Sculptures en Métal : La Forge et la Soudure La forge et la soudure étaient des techniques clés utilisées par les sculpteurs en métal soviétiques. La forge permettait de façonner le métal à chaud, donnant forme et texture à la sculpture. La soudure était utilisée pour assembler les différentes parties de la sculpture et garantir sa solidité. Les artistes devaient maîtriser l'utilisation de la chaleur et des outils de forge pour créer des formes précises. Le Martelage et le Façonnage Le martelage était une technique courante utilisée pour donner texture et relief aux sculptures en métal. Les sculpteurs utilisaient des marteaux et des outils spécifiques pour créer des motifs et des formes sur la surface du métal. Le façonnage était également important pour donner vie aux idées des artistes, en pliant, tordant ou courbant le métal pour obtenir les formes désirées. Les Finitions et les Patines Une fois la sculpture en métal réalisée, les artistes soviétiques accordaient une attention particulière aux finitions et aux patines. Ils utilisaient des techniques de polissage pour rendre la surface du métal lisse et brillante. Les patines, obtenues par l'application de produits chimiques spéciaux, ajoutaient des nuances de couleur et de texture à la sculpture, lui conférant une apparence unique et expressive. Les Sculptures en Métal : Les Défis Techniques Travailler avec le métal présentait des défis techniques pour les sculpteurs soviétiques. Le métal est un matériau résistant et exigeant, nécessitant des compétences spécifiques pour le manipuler efficacement. Les artistes devaient maîtriser les techniques de coupe, de pliage, de soudure et de façonnage du métal pour créer des sculptures précises et esthétiquement équilibrées. La taille des sculptures monumentales était également un défi logistique. L'Expression Artistique Malgré les défis techniques, les sculptures en métal soviétiques ont permis aux artistes d'exprimer leur créativité et de transmettre des messages puissants. Les formes audacieuses, les lignes épurées et les textures dynamiques du métal ont permis aux artistes de créer des œuvres d'art expressives et contemporaines. Les sculptures en métal représentaient souvent des symboles de la force, du progrès et de l'innovation. Les sculptures en métal étaient un moyen important d'expression artistique en URSS. Les artistes soviétiques ont su relever les défis techniques de travail avec le métal pour créer des œuvres d'art durables et significatives. Aujourd'hui, les sculptures en métal de l'époque soviétique continuent d'être admirées pour leur esthétique puissante et leur contribution à l'héritage artistique de cette période.
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