Tumgik
#puis il se fait buter
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i should stop rewatching slg because every time i get feels again
episode 99 god.
#hhhhh wanna rant about it#anyway le Présentateur est genre tellement génial comme perso#mon préféré reste le panda (développement récent à l'époque d'slg c'était le geek)#mais god que le présentateur lui-même est tragique#déjà tu peux te douter qu'il est arrivé de la merde quand mathieu était gisse car un tdi ça apparaît pas de nulle part#mais même sans ça.#le fait que le présentateur était dans l'ignorance totale durant tout ce temps.#il se fait kidnapper pour être enfermé dans un asile (il a jamais rien demandé! l'homme au masque l'a fait!)#et finit par apprendre la vérité brutalement et subir un traitement inhumain après une 'rechute'#il se fait tirer de là mais finit kidnappé à nouveau#cette fois pour faire face à la conséquence de ses actes#il est complètement paumé à nouveau et en pleine détresse#il sait qu'il va crever il apprend qu'il a causé la mort de quelqu'un et il peut rien dire pour sa défense#hormis la seuke vérité: il pensait pas que ça irait aussi loin. que l'émission irait aussi loin que son impact irait aussi loin#et la dernière chose qu'il entend c'est ta gueule espèce de taré#puis il se fait buter#(il va mieux après mais même là ça va pas mieux)#urggggh y a tellement à dire sur lui#(et maître panda. putain l'un de mes plus grands regrets de la fin d'slg c'est qu'on a jamais eu le fanmade d'angelmj#et j'aurais adoré avoir son analyse du perso. il a réussi à donner des feels sur le prof et montrer du tragique dans le hippie.)#brefouille FEELS i need to keep writing my fic maybe also write short stuff for each characters idk#slg#salut les geeks#mathieu sommet
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 129
Marc et moi avons été très excité de notre virée de l'autre soir (aire de repos). Ça nous a rappelé les premiers temps de notre rencontre ou nous étions beaucoup plus audacieux.
Il est vrai que ces derniers temps, à part nos vacances à La Palmyre, nous ronronnons avec le groupe d'amis que nous nous sommes fait.
C'est décidé, samedi soir il me remmènera à la boite de nuit de nos débuts.
Dès le mercredi soir, je vérifie que je peux toujours fermer le collier de chien à piques qu'il m'avait offert dans nos débuts. C'est juste, il ne reste qu'un trou de plus ! C'est là que je m'aperçois que j'ai pris musculairement. Quand je reprend mes premiers jeans taillés en shorts spéciaux, c'est pareil, à la taille ça va. Par contre coté cul, je suis serré, mes fesses se sont arrondies façon black (c'est à dire que du muscle). ;Le tissu est hyper tendu et dans la glace, je vois bien que la couture des fesses est décousue et que les bords s'écartent quand je marche. Ça fait encore plus salope ! Je teste aussi les plugs pour savoir lequel s'harmonise le mieux avec le reste de ma tenue. Je pense que le noir moyen fera l'affaire. Quand je me penche, sa base apparaît entre mes fesses dans l'écartement du jeans.
Quand Marc rentre je suis dans cet accoutrement. Il me prend dans ses bras dès l'entrée et alors qu'on se roule un patin, je sens ses doigts écarter le jeans et buter contre le plug. Sans que sa langue quitte ma bouche, il tire sur la base et fait coulisser le plug sur le cm de son étranglement, puis me le sort sur sa partie renflée et le rentre à nouveau.
Il se recule pour admirer l'ensemble. Pour voir il me demande de passer mes chaps en cuir par dessus. Ça va faire un bail que je ne les ai mis. A la ceinture c'est bon, par contre si les mollets passent bien, ce n'est pas le cas de mes cuisses qui ont forcies. Les zip fermés, je suis moulé et la bande de chair entre le cuir et le bas du short en jeans a un effet très sex. Pour les chaps il va falloir que je les détende, juste un cm de plus de diamètre suffirait. En attendant Marc me dit d'enfiler une paire de Cat et mon vieux blouson cuir (celui qui à une attache qui me passe entre les fesses et fait un Y devant pour encadre mon paquet). Pas la peine de gâcher ma préparation. Nous prenons nos casques et allons chercher nos motos. La traversée de la cour me donne un aperçu des effets que je vais ressentir. L'attache du blouson appuyant fortement sur la base du plug ! Je le suis ne sachant pas ce qu'il veut faire. Il nous fait prendre des petites routes histoire que je ressente bien les irrégularités du goudron au fond de mon trou transmissent par le plug, puis autoroute. Je devine que nous allons rejoindre l'aire de repos que je connais. Autres jour de la semaine, autres camions de garés. Nous garons nos motos en pleine lumière devant le block sanitaire. Nous nous approchons et je reste dans la partie éclairée, devant l'entrée, blouson ouvert sur mon torse glabre, lanière du blouson qu'à demi détachée devant. Je me penche pour me laver les mains au robinet extérieur, laissant deviner le plug qui me rempli. S'il n'y avait pas de chauffeurs à pisser, 2mn plus tard, je suis entouré de 3 mecs. Le premier visuellement 25 ans, 1,80m musclé juste recouvert d'un short nylon flottant tendu par un sexe en phase de raidissement. Le second la trentaine boule à zéro et boucle d'oreille, dans le même équipement mais sa bite bandée le long de sa cuisse laisse dépasser du short un gland pas mal gros. Le troisième a dépassé les 50ans, bedonnant en short et chemisette ouverte (beurk pas mon style !).
Marc sort des WC où il avait vérifié la présence de clients potentiels et l'absence de gendarmerie. Il éconduit gentiment le vieux et me vend aux deux autres. L'annonce du tarif refroidi un peu les deux mecs. Négociations, pour emporter le morceau, je me penche et leur fait admirer ma rondelle couverte par la base du plug. Ils acceptent et un des chauffeur propose de faire ça à l'arrière de son camion, il n'est pas chargé à fond et cela laisse une place suffisante. Entrée par la petite porte de coté. Il éclaire la remorque et un halogène nous aveugle jusqu'à ce qu'il pose une caisse devant pour en atténuer la violence. Marc s'installe dans un coin et me laisse entre leurs mains. Le plus jeune se colle à moi et tire sur la lanière qui passe entre mes cuisses. Le plug me rentre dans le cul et je me lève sur la pointe des pieds. Il laisse retomber. Le deuxième est derrière moi et lève mon blouson. Je le quitte. Devant, le mec me masse la bite, je bande sans pouvoir développer normalement, bloqué par le jeans. Il n'a pas l'air de vouloir me libérer de cette pression. Mes mains ne sont pas restées inactive et je lui ai descendu le short sous ses fesses, libérant sa bite. En main, je l'estime à 20/22cm par un bon 5 cm de diamètre, circoncise. Ses boules imberbes se rétractent sous mes caresses et viennent se coller à sa tige. Le second presse son paquet contre mon cul et je sens entre mes fesses coulisser un sexe de bonne taille. J'ai faim !! Je prend un préso et l'enfile au mec devant moi. Cela fait je me penche en avant et commence une pipe de bonne salope. La tête en arrière, je me l'enfourne jusqu'aux boules. Il n'en revient pas et me bloque en position " étouffement ". Je m'agite, il relâche la pression et je lui dis que s'il me laisse faire je recommencerai ça. Comme je me suis penché, le jeans s'est ouvert et la base noire du plug est apparu sous le nez du second client. J'ai bientôt senti ses doigts tirer dessus. Il admire ma rondelle s'écarter alors qu'il retire le plug. Puis il le relâche et ce dernier rentre brutalement. Je sursaute mais c'est excitant ! Il finit par me l'arracher totalement. Ses doigts (au moins trois) viennent combler le trou avant qu'il ne se referme. J'entend une pochette de kpote se déchirer et après quelques instants, je sens la pression du gland sur ma rondelle. Heureusement que j'étais bien graissé d'avance car le mec ne se préoccupe pas de savoir comment ça va glisser et pousse durement. Mon anneau se déplisse et je laisse son sexe m'envahir. Bon, très bon ! il me tient aux hanches et me bourrine le cul. Chaque buttée de ses couilles contre les miennes m'envoi prendre le gland de son collègue dans la gorge. Il ne faut pas longtemps avant que le mec se tire de ma bouche, gueulant que si ça continu il va juter avant de m'avoir enculé. Il presse son pote d'en finir pour m'enculer à son tour. Chose faite 5 mn plus tard. L'échange de place n'a pas laissé le temps à mon trou de se refermer qu'il subissait de nouveau un assaut. Pas le même genre. Comme le type était déjà passablement excité, il y est allé doucement pour pas juter dès le début. J'ai apprécié le fait qu'il tourne son bassin pendant la pénétration, qu'il se suffise à jouer à entrer et sortir son gland uniquement, puis sur 5cm seulement, puis 10/12 cm avant de me faire prendre sa bite sur la longueur totale. Cette façon de faire m'a emmené très près de ma propre jouissance et c'aurait été chose faite, si Marc ne m'avait pas dit que la soirée ne faisait que commencer.
Une fois mes deux premiers clients purgés, le plug remis en place, ;je suis ressorti faire le " trottoir ", Marc à 10 m derrière moi. Le casque à la main, j'ai déambulé sur la bordure passant devant toutes les cabines des camions. Beaucoup avait les rideaux tirés mais je me suis pris des réflexions de chauffeurs prenant le frais, assis sur les marches pieds. Plusieurs m'ont demandé " combien la pipe ?". Je me suis arrêté dans un groupe de 4 mecs en train de se passer une bouteille. Ils étaient plus jeunes que les autres chauffeurs et leurs physiques m'allaient bien. Un m'a filé la bouteille et une lampée m'a fait prendre conscience que c'était loin d'être de l'eau. Je la rendais en toussant ce qui m'a valu le commentaire que c'était une boisson d'Homme. Je répliquais d'un " c'est pas la boisson qui fait l'Homme mais le poids de sa queue ". Ça les a excité et j'ai vu sortir des jeans et shorts 4 paquets, plus qu'au repos même si pas encore bandés à fond. Je sortais le mien qui n'avait pas débandé depuis le premier assaut de mon cul. Quatre sifflements on accompagné mon exhibition. Faut dire que mes 20cm sont sortis comme poussés par un ressort. Les mecs ont bandé ferme de suite. Concours de longueur et de diamètre. J'étais dans la moyenne. Deux bites plus courtes mais plus larges et deux plus longues même largeur que moi. Pour m'en assurer, je les avais toutes prise en mains l'une après l'autre, sans provoquer de recul. Les boules, elles étaient plus ou moins poilues mais aucunes rasées, dommage ! Un des mecs à queue plus courte était " sévèrement burné ", deux très grosses boules pendaient sous sa queue. Marc s'est alors approché et leur a mis le marché en main. Leur disant qu'il était prêt à faire un tarif groupe. Les types qui dans un premier temps s'étaient méfié de son approche, ont négocier dur et je me suis trouvé vendu pour 160€ (les chauffeurs routiers ne roulent pas sur l'or !). Le premier qui m'a mis la main au cul a été surpris de le trouvé plein de mon plug. Il a rameuté les autres pour qu'ils viennent voir. J'ai lâché les bites que je branlais et je me suis plié. Mes fesses se sont écartés pour laisser voir le rond noir de la base du plug. Commentaires : " qu"elle salope, il en veut de la bite, j'vais te mettre du vrai ce sera meilleurs..." Marc a veillé à la distribution de kpotes au déplaisir de certains mais à ma grande sécurité !! Rapidement je me suis trouvé la bouche prise par une bite envahissante, le cul ramoné consciencieusement et les mains pleines des deux autres participants. J'ai subit une vraie tournante. Dans le sens des aiguilles d'une montre, il ont échangé leurs places. Bien que cachés entre deux de leurs camions, nous avons attirés quelques spectateurs. Marc a laissé faire, essayant de repéré dans le lot mes prochains clients. Au deuxième tours, ils ont tous déchargés au fond de mon cul leurs spermes bloqués par le latex. Il a fallu que je pense à des trucs moches pour ne pas juter.
Alors que les choses étant finies et que l'attroupement se dispersait, un beau viking a abordé Marc avec un billet de 100€. Occupé à replacer mon plug, je n'ai pas suivi l'arrangement. Marc m'a juste dit de le suivre dans sa cabine. Nous montons, les rideaux sont tirés et l'espace ainsi protégé est conséquent. Quand mon viking tombe le short, je vois apparaître un sexe blanc juste surplombé d'une ligne de poils taillés. Encore mou, il doit faire déjà dans les 12cm par 3. je me penche et le prend en main pour le faire bander et le kpoter. Il se développe, encore et encore pour finalement avancer un sexe hors norme de 24/25 cm de long par plus de 6 de large à la base. Je Kpote et commence ma pipe. Marc s'est calé contre une portière et nous laisse faire. Je suce donc à m'écraser les cordes vocales, son gros gland rose envahissant régulièrement ma gorge. D'ailleurs, à chaque fois que ses couilles tapaient mon menton, il gémissait de plaisir. Ce traitement devait avoir trop d'effet car il m'a repoussé et tourné. Plié sur le siège passager, la tête sur sa couchette, il m'a écarter les cuisses et à joué quelques minutes avec le plug. Je laissais coulisser facile puis serrant mon anneau j'ai bloqué tout mouvement, je ne voulais pas qu'il croit que mon cul était une chatte molle. Il a grommelé un " yeh, good ass ". Comme il s'apprêtait à m'enfiler ses 25 sans précautions particulières, Marc m'a rapidement fait sniffer du poppers. J'ai pris du coup la totalité du mec dès le premier coup de rein ! Son limage profond et puissant m'a emmené rapidement aux portes de la jouissance. Il faut dire qu'il venait après tous les autres qui m'avaient bien chauffé. Il m'a tourné la tête vers la portière et à baissé la glace pour mettre ma tête dehors. Je l'ai senti s'immobiliser quelques instants au fond de mon trou puis reprendre ses va et vient. Je l'ai senti après la pause, plus rapide et encore plus gros dans mon cul. De plus lui qui m'avait jusque là sauté sans un mot, geignait à chaque fois qu'il reculait. (j'ai su plus tard que Marc à ce moment là l'enculait sévèrement, à sa demande). J'ai eu aussi du mal à ne pas geindre aussi et nos bruits ont alerté le camion d'à coté. Nous avons eu un spectateur qui n'a pas tardé à se branler devant notre prestation. J'ai senti simultanément : le viking s'enfoncer à fond et remplir sa kpote, une morsure du même individu sur mon trapèze droit et vu le jus de notre voyeur s'écraser sur notre portière juste sous mon menton. Quelques secondes plus tard, de nouvelles secousses dans mon cul me transmettaient l'éjaculation de Marc dans le cul du viking.
J'ai remis le plug pour le retour histoire de pas saloper la selle, les limages successifs m'ayant bien ouvert le trou (demain exercices de contraction d'anus !!).
Nous sommes rentrés à 3 h du matin moi, sur les rotules, et Marc ravi de mon comportement. J'aime être à sa botte, lui peut tout me demander, il le sait et n'en abuse pas. Je finis la nuit blotti au creux de ses bras.
JARDINIER
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nvminnd · 5 months
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Je viens de revoir KV1 pour la 1ere fois depuis sa sortie en salle et voici quelques random thoughts :
Venec le Fenec 💯💯
Je trouve que le jeu de Guillaume Gallienne va pas trop avec l'écriture de AA, ça a l'air un peu forcé (le perso en lui-même est sympa par contre)
Loth est complètement à bout, prions pour un putsch dans KV2 sinon j'ai peur pour sa santé mentale
Le Duc d'Aquitaine est incroyable, manupilation émotionnelle tout en délicatesse
Bohort et Gauvain ces petits choux à la crême avec leur petite table ronde je les aime
Fière de Bohort et de son évolution capillaire
Calo se fait toujours tailler parce qu'il est trop chiant j'aime ce running gag
Lui par contre je comprends moins son cheminement capillaire, d'où il sort ces cheveux ?
Séli et Élias : wlw et mlm BFFs 🏳️‍🌈
Galessin a sûrement passé ces 10 dernières années à bronzer sur un rampart et franchement mood
Gareth a la même manière de parler que Gauvain 🥹
Les filles de Karadoc qui ont AUCUN PROBLÈME à l'idée de buter leur mère 😃
D'ailleurs Mevanwi est incroyable, l'attitude, le costume, une reine
Toujours aussi déçue des retrouvailles entre les semi-croustillants, les resistants de Gaunes et Arthur. Ça fait 10 ans que vous vous êtes pas vus, vous étes censées être proches (surtout Perceval et Arthur), où est la grande séquence émotion ?
Ah pardon, non, on a quand même de très jolies retrouvailles entre Léodagan et les catapultes 🥰
Guenièvre. Juste Guenièvre 💜
D'ailleurs y'a quand même un gros progrès au niveau des personnages féminins par rapport aux debuts de la série
J'aime beaucoup la nouvelle génération, même si je suis pas toujours convaincue par leur jeu
Je trouve que les flashbacks sont pas super utiles niveau narration ou même développement du personnage d'Arthur. Ca nous apprend pas grand chose de plus. À voir si ça a de l'importance plus tard.
La partie de robobrole j'aime bien, c'est l'évolution logique des jeux bizarres de Perceval
Je suis pas fan des répliques qui sont là pour le fan-service, mais y'en avait moins que dans mon souvenir
J'aime bien le running gag des frères et soeurs qui ont l'air de sortir de nulle part (alors qu'ils ont tous été mentionnés à un moment dans la série si je me trompe pas ? À part Gareth peut-être ?)
Du coup j'attends la nièce et la soeur de Galessin et la tatan de Karadoc dans KV2 hein.
Dagonet je me demande ce qu'il a fait pour mériter être à peu près au même rang que Loth, Blaise et le Jurisconsul, et pas sur les ramparts avec Galessin
La bataille finale est parfaite, que ça soit le plan avec les burgondes ou le duel Lancelot/Arthur
Conclusion j'ai beaucoup plus apprécié le film lors de ce deuxième visionnage. J'avais peut-être trop d'attentes quand je l'ai vu au cinéma. Il se passe un peu trop de trucs, y'a un peu trop de nouveaux personnages pas toujours utiles, mais ça pose bien les bases pour la suite. En espérant un retour d'Yvain, et aussi d'Anna parce que je me demande ce qu'elle a foutu pendant 10 ans 🫡
(et puis c'est grâce à ce film que j'arrive enfin à peu près à reconnaître Sting donc c'est toujours ça de prix)
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elleferrocerium · 5 months
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En 2023
Je re-rencontre un homme aux yeux si malicieux. Sous les cheveux blancs, le crâne est rose comme une crevette.
Je regarde l’homme qui danse-vole en ailes de pardessus, devant le cercueil de son amour assassiné. Mon cœur s’est remis en marche.
Mon cœur repart en chamade. Attention.
Attention à celui qui a les yeux aux rides jolies.
C’est une folle envolée. C’est une pointe d’amour.
Au final, point d’amour, en 3 jours. Je ris. J’ai pleuré puis je ris. De m’observer être si nulle en ça. Je ne m'y entends pas en rétention d'homme.
A tout âge, on apprend. En 2023 je rencontre un goujat.
En 2023, Dominique A, Bertrand Belin, Inspector Cluzo, Arthur H, et aussi des plus et aussi des moins au Bateau Ivre.
Je fais un pogo à Aucard. J'adore Aucard comme tous les ans.
Je ne dors pas pendant une semaine. J'arrive avec mes valises à la librairie. Il y a foule et je sors les rames et ma honte.
Orelsan à Terres du Son. J'ai supporté Terres du Son comme il y a 15 ans.
En 2023, c'est l'été. J’attire la curiosité de deux petits alpagas. Je mange des larves d'insectes. Goût de chips. Je mangé des grillons. Goût d'amande. Je fais du pédalo, du VTT cross, du paddle, du canoë. J'ai le mal de mer en rêve tous les soirs au bord du lac.
Je suis claustrophobe quand je ferme le gilet de sauvetage. Ma fille rit.
En 2023 je rencontre Galaad le facho de 18 ans. Son espoir en la vie est de buter une racaille. Il a le bac, il reçoit un mail, il est admis dans un truc militaire pour devenir instructeur en arme à feu. Son papa chéri conduit un Duster avec un très gros autocollant " Support our troups". Il fait du jogging avec un sac à dos rempli de pierres.
Le chien vomit à l'avant de leur canoë kayak.
Je visite des trucs qui se visitent. Je pense aux trucs qui se pensent.
J'écris au calme et au cagnard au bord du Cher chez E et A.
En 2023, je fais l'amour deux fois pour la dernière fois avec l'homme de ma vie qui ne m'aime plus depuis 3 ans. On ne peut pas faire l'amour à deux, seule.
En 2023, je veux acheter un bidon d'eau.
Je serre fort Fanie ma belette dans les bras deux fois par semaine car la tendresse se partage.
Je récupère des bidons d'eau dans la rue.
Je perds beaucoup de kilos. Je cours des kilomètres en portant mes parpaings.
En 2023 j'entends bien creuser une cave ou un abri antinucléaire au milieu de mon jardin. Creuser la nuit.
En 2023 j’ai peur de manquer d’eau
En 2023 je fais l'amour quelques fois avec un homme qui se demande encore après 50 ans si elle est assez grosse.
Je veux me couper les cheveux en juillet.
En 2023, S tombe dans les bras d'un camion de pompiers.
Je prends M dans mes bras parce qu'elle tremble de peur. Je serre S dans mes bras car elle tombe d’effroi. Je prends J dans mes bras parce qu'elle est trop fière. Pour le faire. Je prends B dans mes bras parce qu'elle, son amour est mort à 47 ans. Je pleure longuement.
Je me coupe les cheveux en août et ils se rebiquent en biquelettes.
En 2023 je parle et pense espagnol, beaucoup. Je pense breton beaucoup à l'intérieur de moi.
Jane B. est morte et je pleure une avalanche
Je me souviens d'Agnès Varda. De Gainsbourg. Je pense à Charlotte. Tous ils sont mes intimes. Je ne suis pas la leur. J'ai écouté tous les podcasts. J'ai pleuré pour tous ceux qui étaient tristes.
En 2023, je me fonds toujours, en grâce, avec elle et eux: la Nature. Je suis devenue longuement une biche.
Je discute avec un rouge gorge très gourmand.
J'entends une invasion de geais.
En 2023 les deux canards en planeur sont empêchés par un grand bouclier de vent de traverser l’autoroute.
Le cormoran se prend les pieds dans les glouglous tourbillonnants du Cher.
Je parle des écrevisses de Californie, qui marchent des heures pour disperser leurs gènes.
En 2023, je m'inquiète pour Miossec. Je discute avec ma collègue MC. Pour qu'elle sauve sa voix. Elle dit que c’est du carton maintenant.
En 2023 j'ai dû faire un choix de merde. J’ai dit adieu à la libido. Le choix de vivre.
Je me suis enfin lancée pour expliquer aux miens comme Noël m’est un odieux moment. Je me sens libérée de Noël.
Je pense beaucoup trop à F et son amoureux décevant.
J’écrase une souris écrasée. Je la remets sur ses pattes. Plate.
Je compte 23 oiseaux. Mangés par mon chat.
Je mange une tarte au fenouil et au saint nectaire. Les Studio, un lieu safe, une deuxième maison, une tanière.
J’aime encore plus mon vélo d'amour, ma ville-cité, les cinés Studio, mes chats.
J’ai de nouveaux voisins. Ils sont gentils et silencieux.
Je fusionne avec ma fille enchantée.
Je glisse sur l'asphalte. Fais du roller à toute bombe
En 2023 je suis correspondante fière des Studio, je vais voir un match de Roller Derby.
Mes lunettes me vont bien.
En 2023, au Bateau Ivre j’ai porté à bout de bras une drag queen magnifique et terrifiante de désespoir.
Je compte 31 oiseaux.
Tu fais chier Paprika - c'est le chat.
J'aime encore plus fort Piment- c'est le chat.
En 2023, j’affine la légende de moi. Comment les autres nous voient. Est-ce soi ? Est-ce un bazar de soi ?
Je m’interloque.
Je réponds à la journaliste.
J’ai mon comportement-ben-ouais.
J’en fais trop mais avec conviction.
J’écoute les autres.
En 2023 je rencontre un plaintif,
Ça me fait chier.
Ma fille prépare une cape jaune fluo en crochet pour le chat.
J'aime mettre des chaussettes colorées. C'est du soleil aux chevilles dès le matin, et la fierté.
Je crois que j'ai fait une grosse boulette au boulot. Il y a 15 ans, j’ai couché avec le mari d'une collègue avant qu'il soit son mari, avant qu'elle soit ma collègue. Il y a des trucs à ne pas raconter mais aussi bon, je ne pouvais pas deviner hein. La reine des boulettes mais c'était drôle.
Je m’interpelle.
J’ai failli pleurer. Le film était si réussi. Ce n’est pas un film. Little Girl Blue. Et la tendresse en ce jour.
La boutique Emmaüs s’est rapprochée de la maison tendrement. Ma fille et moi déposons quelques euros pour des tas de vêtements à mettre en tous sens. C’est chaud et coloré, c’est vivant et plein de cœur de plein de gens.
Je parle beaucoup avec l’homme aux yeux malicieux. Il est tendre froid, il aime et n’aime pas, il est seul et entouré. Il aimerait, mais abandonne. Il aime, mais pas trop longtemps. Il ne sait pas, il est perdu au milieu de sa vie
On met les vêtements au congélateur pour ôter les phobies de punaises.
En 2023, j’ai envie de donner une vie entière et mon royaume pour la santé de mon fils.
Je fusionne tendrement avec mon amie I au poignet qui se tord de rire, mon amie A qui fuit à l'intérieur, mon amie A à l'épaule qui tressaute d'envie, mon amie B au bras qui s'enfuit déjà. Oublier le temps.
Je mange une galette FCPE. Ecoute attentivement ma copine D, chargée de comm'. On ne croirait pas comme cela, mais elle aussi a besoin des autres.
En 2023 je marche sur le fil des émotions de mon fils. Je me sens éléphant dans son magasin de porcelaine.
Je ne peux plus pleurer.
C'est l'hiver. J’écris au calme et encheminée chez E et A. J’y rencontre Totoro le vrai.
En 2023 je pense encore avec tendresse au goujat plaintif.
J’aime tant serrer dans mes bras celui aux yeux si malicieux et perdus.
Je fais arrêter les voitures pour la traversée lente du brocard. Il me sourit.
Le douanier Bolo, lui, ne laisse rien passer, son képi lui va comme un gant.
En 2023, je fais un doggy bag avec les macarons au fois gras du séminaire.
Dans le train du retour, j'ouvre mon doggy bag devant le gros monsieur qui fait semblant de lire le dernier F.O.G. Il regarde par-dessus, un peu en biais comme tous, les fesses rouges serrées de la belle lurette entrée après moi dans le wagon. On ne regarde plus mes fesses comme une belle belette.
J'emmène ma fille au spectacle encore. Elle parle au micro.
Mon fils est dans le dur.
En 2023 l’homme de ma vie qui ne m’aime plus depuis trois ans envoie en sms en décembre. Qu’en faire.
Quand.
Paprika ramène un 32ème oiseau.
Avec la cape jaune fluo en crochet, sa saison 2024 sera une saison maigre.
On ne peut pas laisser ce chat gourmet liquider tous mes efforts pour la biodiversité de ces jardins urbains.
Il n’y aura plus un seul hérisson dans deux ans, dit l’article.
Le 31 je marche seule dans les rues qui se donnent et j’m’en fous de ces chaines qui pendent à nos cous. J’apprends ce qu’est un Rashômon. Je reste jusqu’au bout du bout du film, je sors la toute toute dernière de la salle de la toute toute dernière séance. Je rentre à pied. Je verse des petites étoiles dorées dans les boîtes à lettres des gens de mon quartier.
Je monte une toute dernière fois en 2023 sur mon tabouret magique pour mieux y voir ce qui est tout petit, de haut.
Un petit tour de 2023.
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grand-mechant-loup · 11 months
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Maintenant c’est moi qui vais te baiser !
Cela fait plusieurs minutes maintenant que tu me suces avec cette force et cette profondeur qui me rendent dingue. Parfois tu ressors furtivement mon gland de ta bouche pour faire tourner ta langue autour et brusquement tu fonds sur ma queue avec avidité et c’est au contact de ta gorge que je sais à quel point tu vas loin. Pourtant tu ne sembles pas trouver cela suffisant et tu forces encore, par à–coups, faisant progresser mon gland plus loin au fond de toi, millimètres par millimètres. La sensation est d’une puissance incroyable. Le plaisir dans mon gland irradie jusqu’à mes couilles et même plus loin. Je sens mon cul qui palpite à un rythme que je ne maîtrise pas. Plusieurs fois je t’ai senti presser l’entrée de mon trou pendant que ta bouche allait et venait le long de mon sexe. Parfois même c’est ta langue qui est venue me lécher. Tu as réveillé une envie profonde. L’envie de me sentir pris… rempli…
- J’ai envie que tu me mettes le plug. - D’accord.
Tu souris. Tu vas chercher le plug et le tube de lubrifiant. Tu reviens ensuite t’agenouiller entre mes jambes écartées. De mon côté, je suis sur le dos et je trouve une position confortable. Je suis prêt à t’accueillir, impatient.
Tu fais couler du lubrifiant sur tes doigts et tu viens te pencher vers moi, en appui sur une main tandis que ton autre main descend entre mes cuisses, puis entre mes fesses.
Je sens le gel froid à l’entrée de mon cul. Tu le masses doucement, la sensation est délicieuse. Mais je veux plus et toi aussi. Ton doigt s’enfonce alors en moi d’un mouvement que tu veux lent, continu et profond.
Je soupire. Le plaisir est immédiat.
Je te sens alors bouger ton doigt. Je ne sais pas bien ce que tu fais mais tu sembles avoir trouvé ma prostate sur laquelle vient buter ton doigt à répétition. La sensation est intense et vive. J’ai l’impression que je pourrais éjaculer à tout moment mais le ressenti est inhabituel car le plaisir vient de l'intérieur de mon ventre.
Avant que je puisse seulement essayer de comprendre ce que tu me fais, tu enfonces un deuxième doigt en moi. Tu fais alors jouer tes doigts pour me dilater et de fait mon cul s’écarte peu à peu.
Quand tu ressors enfin tes doigts, je sais ce qui m’attend. Je te regarde recouvrir le plug en verre d’un peu de lubrifiant puis le glisser entre mes fesses. Tu me regardes dans les yeux avec ce sourire…
Je te sens pousser le plug dans mon cul. Cette fois la progression se fait par petites poussées progressives. Mon cul s’écarte un peu plus à chaque fois. Je sais ce qui va se passer : quand le plug arrivera à la partie la plus large, mon cul se refermera sur lui dans un spasme. Ça va faire mal mais je veux ressentir cette douleur. Je ne tiens plus.
- Vas-y… vas-y…
Tu fais durer encore peu, jouant avec ma frustration quand brutalement, tu fais rentrer le plug en entier. Mon cul se contracte. La douleur est vive mais elle laisse rapidement place à un plaisir incroyable. Ma tête tourne et je me sens soudain rempli d’une incommensurable reconnaissance à ton égard. Reconnaissance pour le plaisir que tu me donnes et pour la compréhension que tu as de ce plaisir.
Je prends ton visage entre mes mains et je t’embrasse. Je voudrais que tu comprennes et que tu saches à quel point c’est bon. Mes mains viennent alors se poser sur ton cul. Je presse tes fesses entre mes doigts puis je descends encore mes mains sur tes cuisses et je t’invite à les écarter de manière à ce que tu ne sois plus entre mes jambes mais que tu me chevauches. Une fois tes jambes de part et d’autre des miennes, je te prends par la taille et je te pénètre. Ta chatte est trempée et je m’y glisse avec facilité. Je m’y glisse loin. Nous commençons alors nos mouvements de va et vient. Chacun de ces mouvements fait bouger le plug en moi. Il atteint ma prostate, il me remplit, il m’écarte. Combiné au plaisir que je ressens à te pénétrer… mes pensées s’affolent. Toi tu gémis, tu donnes des coups de bassin qui font entrer ma queue à chaque fois un peu plus loin dans ta chatte qui coule sur mon ventre.
Nous  roulons sur le lit. Je te demande de te mettre à plat ventre et je viens derrière toi. Ma queue tendue retrouve immédiatement le chemin de ta chatte ouverte. Je m’enfonce en toi profondément. A Chaque coup de reins je presse un peu plus mon corps contre tes fesses, à chaque fois ma queue va plus en toi. Je te baise fort et tu sembles apprécier.
Ce jeu dure de longues minutes jusqu’à ce que le rythme s'apaise et laisse place à des caresses d’une tendresse infinie.
Puis tu me regardes dans les yeux. Tu parais pleine d’envie.
- Maintenant c’est moi qui vais te baiser ! - Ah bon ? - Oui ! Je veux t’enculer fort.
Ces mots me font frémir de désir.
- D’accord.
J’ôte le plug tandis que tu vas chercher le strap-on-me. Je te regarde le sortir doucement de son sachet en tissu puis tu passes une main entre tes cuisses et tu écartes les lèvres de ta chatte. De ton autre main, tu guides le bulbe dans ton vagin. Tu l’avales entièrement et te voilà désormais équipée d’une belle bite, large et recourbée vers le haut. Son gland est assez impressionnant mais je sais qu’il passera sans trop de problèmes après le plug et que tes mouvements seront rendus plus simples mais aussi plus profonds.
Tu as dit que tu voulais m’enculer fort et tout ce que je veux c’est rendre cela possible et que ce soit le plus simple pour toi. Alors je me dresse sur mes genoux, je te tourne le dos (et plus précisément le cul), je pose mes mains écartées contre le mur, je creuse mes reins et j’écarte les jambes. Dans cette position mon cul est ouvert. Il t’est offert. Tu peux à ce moment-là faire ce que tu veux de moi. Et cette idée de t’appartenir, que ce moment te donne tous les droits, tout cela m’excite au plus haut point et me fait espérer que tu abuses de moi.
Et tu commences par des claques lourdes et répétées. Je sens mon cul chauffer, j’ai envie que tu continues. Par moment tu arrêtes les coups et tu passes une main entre mes jambes, tu prends mes couilles dans ta main, tu les presses, tu me branles un peu puis tu recommences à me claquer le cul.
Quand cette douce torture cesse, je te sens te rapprocher de moi, je sens aussi ton gland pointer contre mon cul. Tu pousses par petites pressions, comme pour sentir à quel moment tu es bien positionnée. Quand tu as trouvé le chemin tu me force alors le cul sans ménagement. Le gland puis toute la bite factice s’enfoncent en moi. Je gémis sans retenue. Je te sens au plus profond de mon ventre et tu te mets à aller et venir dans une série de mouvements amples. Je me sens secoué, disponible pour ton plaisir mais récoltant le mien au passage. Tes coups de reins sont puissants et répétés. Un liquide clair et épais s’échappe de ma queue. Tu me tiens par les hanches et tu m’attires vers toi pour me baiser plus loin.
Pendant de longues minutes tu me baises quasiment avec violence. Le plaisir qui naît dans mon ventre est d’une puissance à me faire tourner la tête et comme tu sens peut-être que je m’affaiblis, tes mains quittent mes hanches et tu viens enrouler tes bras autour de mon corps. Et bien que la tendresse et la douceur soient de mise, cette position te rapproche encore de moi, permettant à notre jouet de continuer à me pénétrer toujours aussi loin.
Tu as désormais pris ma queue dans ta main et alors que tu me pénètres doucement, tu as entrepris de me faire jouir en me branlant.
La sensation est trop forte et je ne résiste pas longtemps à l’orgasme qui me submerge.
A chaque spasme dû au plaisir, mon cul enserre un peu plus le gode, le maintenant fermement ancré en moi et l’incitant même à aller plus avant.
Quand tu quittes enfin mon cul, la sensation de libération est jouissive et j’en garde des spasmes dans mon ventre de nombreuses minutes encore.
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camashumaro · 1 year
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Tarot
Michel se fait chier en salle de repos, attendant que Richard veuille bien finir son meeting (parce que Richard ne dit jamais réunion mais toujours meeting, et Michel trouve que ça fait drôlement classe en anglais quand même) avec Constance, des histoires de comptabilité.
Etc comme à chaque fois que Michel se fait chier en salle de repos, ça va devenir le problème de tout le monde.
- Mattéo tu veux pas faire au tarot avec moi?
- Non.
Mattéo est un des vieux de la brigade temporelle, il connaît assez Michel depuis le temps qu'ils ont faillis le buter à l'époque où il travaillait encore pour le visiteur. Alors Mattéo adopte la méthode qu'il a pu définir comme la plus efficace dans cette situation; la fuite. Il ramasse sa gourde et se tire hors de la salle sans un mot de plus.
Mais heureusement pour Michel, c'est à ce moment précis que Louise rentre dans la pièce pour se faire son shake de protéines.
- Louise, chaude pour un tarot?
- Va y, distribue les cartes.
- Ah non mais j'ai pas de cartes.
Louise reste un instant immobile, comme si elle avait bug. Puis son cerveau se souvient de la personne face à elle, et parvient à accepter la réponse comme totalement logique.
- Placard droit en haut.
Michel obéit et ba chercher le paquet avant de se mettre à distribuer les cartes. De son côté Louise finit sa boisson protéine et s'installe tranquillement face à l'autre homme.
- Par contre moi je sais pas jouer donc je comptes sur toi pour m'apprendre.
- Ah non mais je sais pas jouer non plus.
Louise reste silencieuse. Meme de la part de Michel il y a des choses qu'elle ne peut accepter et là c'est trop pour sa patience. Alors elle regarde le paquet de carte face à elle et utilise la seule option qui lui semble raisonnable. Elle attrape son shaker et elle fuit.
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randomnameless · 1 year
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Je pensais à un truc avec Lycaeon le demi-lézard, ce serait tellement triste qu'il soit mort justement parce qu'il avait des oreilles pointues, mais ça expliquerait pourquoi Rhea délaisse totalement Adrestia après la guerre
Oh -
C'est marrant parce que je lisais de la merde ce week-end - une fanfic après m'être maté la version longue du seigneur des anneaux - où grosso merdo Eldarion décide de ne plus parler/fréquenter son grandpapi parce qu'il a des oreilles pointues et que les oreilles pointues sont parties de la terre du milieu donc grandpapi doit plus avoir d'influence, pas même passer du temps avec ce qui lui reste de famille et leur apprendre des chansons où je ne sais quoi, imagine le pauvre Eldarion il revient de sa visite chez grandpapi et il se comporte comme un oreilles pointues!
(et c'est rigolo parce que je suis sûre que dans les commentaires pour dire "ouais c'est génial" j'ai reconnu un dedelstan lol)
Enfin bref -
Ca fait peut-être un peu trop cliché sur les bords - mais après une guerre menée par des mecs en mode "tolérance 0" faire en sorte que la force principale en Fodlan qui les a dégommés soit justement, menée par un hybride (oui oui la coexistence entre deux espèces c'est possible) ce serait cool - mais justement, le twist c'est que l'hybride en mode "espoir d'un monde meilleur" se fasse descendre, ça pourrait vraiment être un coup au moral qui ferait descendre le héros aux enfers -
Ou alors faire plonger Seiros, qui a plein d'espoir pour l'avenir de Fodlan et qui pense que tout pourra aller mieux après la guerre, dans le désespoir et la croyance que seule sa mère, la déesse peut remettre de l'ordre dans ce monde.
Et du coup, Luca qui se fait buter pour des raisons aussi connes que la fic dont je parlais - ça pourrait être la goutte d'eau.
Après, le souci c'est le jeu (et même FEH dans son FB pourri) veut absolument nous faire croire que Rhea désespère toute seule comme une grande parce que Sothis n'est plus là...
Mais mis à part le pandering tout pourri pour soulager les oranges du joueur (gna gna gna toute seule sans toi uwu) j'y crois moyen. Par contre, une Rhea au fond du trou après Zanado, qui se remet à avoir espoir et croire en l'avenir pendant la guerre, pour repartir au fond du trou (voire en creuser un plus profond) après la guerre, alors que tout était censé repartir sur de bons rails...
Avec la double lose que ptet elle pensait que Sothis reviendrait toute seule avec l'épée du créateur, et qu'elle pourrait voir que Fodlan est enfin un endroit où les lézards et les humains vivent tranquillement ensemble, mais boulette, Luca se fait buter et Sothis ne revient pas, ça c'est du désespoir plus "gros" qu'après Zanado qui pourrait justifier le pourquoi du comment elle hyper focus sur Sothis et pense que Sothis peut tout gérer ; Rhea a essayé de gérer avec ses alliés et s'est loupée.
-> c'est sûr que le jeu ne dira jamais que le but de Sothis c'est que les lézards et humains (même agarthens) vivent tranquillou, parce que bon, Dedel met son veto et on peut pas s'opposer à Dedel - mais avec le petit peu de Nopes où Sothis est émerveillée en voyant Flayn (pour des raisons qui ne seront jamais expliquées) c'est pas trop tiré par les cheveux de penser que Sothis voulait dès le départ bien s'entendre avec les humains - ce que ses enfants font - mais que Thales et compagnie avaient d'autres plans.
Et puis ça jouerait encore plus dans le parallèle avec Sephiran/Lehran, là où Sephiran perd pieds et veut détruire le monde (ou juste ses habitants) Rhea garde encore un peu "foi" en Fodlan et veut que Sothis prenne la relève -
Tout en recommençant, petit à petit, à s'attacher à Fodlan et ses habitants encore une fois, refonder une famille avec Citrus et tout, même ne plus utiliser sa teinture blonde...
Et puis Dedel arrive avec ses gros sabots lol
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unalm · 1 month
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67.
En arrivant en bas de chez lui, il s’arrête, regarde son immeuble, envisage un temps la possibilité puis se ravise. Pour faire quoi ? Il n��a pas envie de dormir. Il va tourner dans son appartement, buter contre les bouteilles de lait qui se sont accumulées un peu partout. […] A cet instant, il sait qu’il ne va pas rentrer. La nuit n’est pas terminée. Il veut autre chose. Alors il tourne les talons et s’engouffre dans la première avenue, et ce qu’il ressent à ce moment-là, lorsqu’il laisse l’immeuble dans son dos, c’est le soulagement de celui qui échappe à son châtiment.
76.
Sparak marche. Cela lui fait du bien. Il a mis du temps  à se réveiller. La prise d’Okios l’a engourdi. Son corps tout entier est comme ralenti. Il sait que l’Okios endommage la continuité de la conscience et qu’il faut qu’il en use avec parcimonie mais les plongées dans les images en noir et blanc sont un tel vertige qu’il ne peut plus s’en passer. Il se secoue la tête. Il lui faut un peu de temps pour retrouver ses esprits. Le ciel du matin est traversé de longs nuages jaunes qui s’étirent comme des fils de laine sale. Le vent fait rouler quelques canettes de bière le long des trottoirs. Il se dirige lentement vers la Niche dans l’espoir d’un café qui le réconciliera avec ce matin.
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biarritzzz · 6 months
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Les connasses (presque toujours des meufs) qui déchirent les affiches d’otages israéliens sont vraiment des crevures.
Des petites filles, des enfants, des jeunes filles, des femmes adultes kidnappées par le Hamas et il leur arrive quoi à leur avis ? Des horreurs absolues. Mais ces putes déchirent quand même les affiches alors qu’elles auraient pu simplement passer devant et continuer leur chemin.
Des voilées bien sûr mais pas que. Des arabes sans voile qui ne font que réagir selon leur nature profonde de musulmane frustrée et complexée. Des noires aussi mais ce n’est pas étonnant: le QI ne suit plus dans ces cas-là et tout ce qui évoque la réussite (Israël, pays occidental) les fait enrager.
Et puis des blanches, débiles et paumées, qui il y a seulement un mois n’auraient pas pu placer Israël sur une carte du monde mais qui ont enfin découvert le moyen de se rebeller contre papa-maman à peu de frais.
Ce massacre atroce m’a fait réaliser que les femmes sont finalement pires que les hommes. Les mecs adorent le viol mais c’est parce que l’idée de violer une femme/une fille les excite. Ou du moins mater une vidéo d’une femme se faisant violer les excite.
Dans leur cas, il y a au moins une ‘raison’. Horrible mais logique: tirer leur coup.
Mais les femmes qui se réjouissent tranquillement du viol d’autres femmes (et je ne crois pas une seconde à leur insistance qu’il s’agit de fakes) ne le font pas parce qu’elles espèrent une gratification sexuelle. Non, c’est par pur sadisme. Alimenté par leur tribalisme et leur complexe d’infériorité.
C’est pire que tout.
J’espère qu’elles se feront buter. Pas violer parce que contrairement à elles, je ne souhaiterai jamais ça à aucune femme.
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verver · 1 year
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MAUVAIS GENRES
Épisode 22
Ils eurent le temps de voir le vieux s'écrouler sur la piste de danse.
Le poison que lui avait administré Dana avait fait son effet rapidement, plus vite qu'elle ne l'escomptait.
La blonde aux gros nibards , l'amie du vieux apparemment, s'aperçut que le couple fuyait .
Elle les prit en chasse en les poursuivant dans la rue en beuglant :
- revenez ici ! revenez ici!
La blonde surenchérit :
- assassins ! assassins !
Léo et Dana accélèrent le pas pour prendre de la distance avec la furie.
La blonde avait retiré ses escarpins et courait pieds nus à même le trottoir , les chaussures à la mains , à bout de souffle, elle continuait de poursuivre le couple
Maintenant la sueur coule dans leur dos , ça dégouline, c'est chaud , poisseux . Léo fouille dans ses poches pour vérifier qu'il a bien son flingue.
Les gens sur le trottoir jettent un regard inquiet vers ce couple qui court à perdre haleine fuyant un danger éventuel.
Dana est à fond , elle travail méthodiquement son souffle en courant. Le long des rues les vitrines éclairées avec leurs enseignes défilent à une vitesse de dingue.
La femme aux gros seins coupe sans ménagement un groupe de jeunes stationné devant le cinéma continuant sa course effrénée. Les jeunes mécontents d'avoir été bousculés l'apostrophe en hurlant dans sa direction :
- hé ! tu vas où comme ça ?
- t'as le feu au cul ?
- t'as perdu quelque chose ?
Elle stoppa sa course un instant puis balança ses escarpins vers les jeunes .
Elle repris sa course en sortant son pistolet.
Arrivés en haut de la rue Dana et Léo virent la blonde qui les poursuivait en soufflant comme une locomotive un peu fatiguée, seulement elle agitait avec détermination au bout de sa main un flingue. Ça changeait la donne . Apparemment avec la ferme intention de buter le couple .
Pour Leo la situation changeait radicalement.
Il entraîna Dana entre deux voitures et sortit son arme.
- je vais être obligé de la buter !
Il rajouta à bout de souffle :
- Elle a vu nos visages , elle est capable de nous reconnaître et de nous balancer aux flics , il faut s'en débarrasser.
- vas y tire ! éructa Dana
Léo tira deux fois , une fois dans la poitrine, la deuxième dans la tête.
La femme s'écroula sur le trottoir comme une masse.
Les badauds sont collés contre les vitrines , cachés dans les portes cochères pour se protéger et surtout regarder le spectacle.
Ils continuèrent leur fuite dans une rue adjacente puis tournèrent à droite puis se dirigèrent vers le grand carrefour qui se trouvait au bout de cette grande rue.
Ils ont fait le tour de ce carrefour et ont pris une autre rue qui donne sur un boulevard.
Dana serrait la main de Léo de plus en plus fort . Arrivés à un croisement ils s'enfoncèrent dans une rue où les immeubles étaient obscurs. Ceux-ci formaient comme une même façade noire de chaque côté et de haut en bas de la rue.
- t'inquiètes pas Dana ! on tourne à droite et on est chez nous
Dana reconnue l'école primaire du quartier. Elle poussa un soupir de soulagement .
- On arrive ! enfin ! dit-elle
Plus tard dans leur chambre Léo approcha son visage de Dana pour l'embrasser tendrement, la main dans ses cheveux il murmura :
- mon amour !
Dana l'embrassa en lui griffant le dos , en lui mordant le cou , Léo la pénétra vigoureusement avec un rythme régulier...
Vers quatre heures du matin , allongée près de lui , elle distilla tout bas à son oreille :
- Léo ! je crois que je suis enceinte...
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Note
Jpasse par ici pour pas encore écrire un roman dans les tags de la pauvre personne qui a fait le post original mais oui!!! C'est assez fort à quel point antoine réussi à séparer son perso & ce que don perso sait Dr ce qu'il sait. Le fait que ses actions sont vraiment influencées par ce que son perso connait & sait & ressent plutôt que par lui-même c'est la base pour un bon RP et j'ai TELLEMENT hâte qu'on en voie plus dans le contexte du lore.
Et pour ce qui es de code!pomme jsuis au bout de ma vie j'ai pas arrêté d'y penser depuis avoir rb ton post avec mes tags, j'ai tellement envie d'écrire quelque chose pour ce scénario!!! Juste le fait qu'Antoine même sans avoir été mis au courant du code secret pour savoir que c'est bien pomme se demanderait ce qui cloche mais qui dans sa paranoïa et sa peur de ne pas bien faire, en tire une conclusion qui le détruirait probablement même après le reveal !!!! À partir de ce moment là il y'aurait plus moyen qu'il se sente légitime en tant que parent , et!!! l'ampleur des remords!!!! (Humhumpointcommunsupplementaireavecmaxhumhum) Bref. Desolax d'envahir ta askbox <3
(-icoweatgrass)
T'excuse pas pour envahir la askbox nanméo >:)
aaah l'idée qu'Antoine tire les mauvaises conclusions et s'en veuille, c'est tellement vicieux!
J'admets que lorsque j'ai fait le post, je suis restée dans le believable, mais le délire était partit loin. On parle de code!pomme qui prétend qu'il y a une attaque de code quand Antoine émet des doutes, et Antoine la laissant se faire attaquer car même si il sait pas ce que c'est, il sait que c'est pas sa fille... mais au final il va quand-même la sauver, car peut-être que c'est vraiment elle et il s'inquiète trop??? Puis il se fait buter par code!pomme, qui change son apparence au dernier moment.
Petit moment pour renforcer qu'en fait la paranoia c'est bien, avec maintenant en plus une légère paranoia envers le seul être en qui il avait full confiance <3
(gdrsrsr je te vois avec ton max&antoine là >:) )
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 94
Dans la soirée du dimanche, nous discutons de son absence (Marc doit s'absenter une semaine pour son taf). Il me dit qu'Eric passera le lundi soir pour s'occuper de mon cul. Le mardi il a demandé à Igor de me prendre chez lui. Le mercredi après le plan client de Jean, je n'ai qu'à aller voir Xavier et sa femme (il lui a déjà téléphoné et ce dernier est d'accord). Pour le jeudi il m'accorde généreusement toute liberté avec Emma et vendredi soir je doit être prêt à servir dans le donjon pour son retour. Si je pensais avoir une semaine toute à moi, c'est loupé ! Enfin, le programme qu'il m'a concocté est loin de me déplaire !! (serais je devenu un véritable accro au sexe.... Faut peu être que je me soigne ?!?).
Lundi soir :
Je rentre tout content de la soirée en perspective. Eric n'arrivera que vers 20h, ses cours de code moto ne se finissent pas avant. En attendant, je me prépare, lavement, graissage de mon petit trou, rodage au gode et mise en attente avec un plug, pas celui de " musculation ", un qui m'écarte la rondelle. Si je veux être dispo dès son arrivée, il faut que je maintienne une certaine " ouverture " ses 26cm par 5 à 7cm de diamètre le demandent !
Une fois bien prêt, en jock et le cul bouché, je me mets à la cuisine. Un truc qui sera facile à tenir chaud si l'envie lui prend de me baiser avant le repas (ce qui est fort probable).
J'entend sa moto. Je suis derrière la porte quand il entre dans la maison. Je me colle à son cuir (froid !!) et il me roule un patin d'enfer. Je bande ! lui aussi, je sens sa bite écarter le cuir pourtant épais de sa combi. J'entreprend de le déshabiller. Je lui retire le casque des mains et le pose sur la console, je dé zippe sa combi totalement, jusque sous les couilles. A genoux je déclipse ses bottes et les lui retire. Enfin, après avoir ouvert les fermetures éclair de ses poignets et mollets je peux enfin lui retirer sa " carapace ". Pendant que j'accroche le tout au porte manteau à coté de la mienne (de combi), il retire son Tshirt et ses chaussettes pour ne rester qu'avec son shorty déformé par son énorme pieu.
Je me recolle à lui. Même s'il me serre dans ses bras, j'arrive à lui descendre le slip pour dégager sa bite. je la fais glisser entre mes jambes et alors qu'elle cherche à se dresser à la verticale je m'assois dessus. Son gland pousse entre mes fesses. Je les écarte un peu et il vient buter sur la base du plug.
Eric me traite gentiment de salope, il pose ses mains sur mes fesses et les écarte. Le plug est légèrement tiré vers l'extérieur. Il me dit qu'on va en bas (salle de muscu), qu'il a besoin d'une douche après sa journée de travail. C'est vrai qu'il sent un peu le fauve !! Je me charge de le savonner. Sous mes mains ses muscles roulent. Je lui masse les épaules pour le détendre. Il apprécie et me le fait savoir. Je nous rince (évidement, j'ai reçu des éclaboussures) puis armé d'un grand drap de bain je le sèche, de la tête au pieds. Mon passage sur son bas ventre lui a redonné toute sa vigueur et il bande comme un taureau. A son tour, il me sèche. Il s'attarde entre mes fesses jouant avec le plug (rotation, retrait jusqu'au renflement puis réintroduction). Il me chauffe grave ! Je ne tiens plus et me penche pour gober sa bite. un coup de rein impérieux ponctue mon initiative, je manque de m'étouffer !
La position ne me permet pas d'avaler la " bête " entièrement. Je me dégage et vais me poser le dos sur un banc de muscu. La tête en dehors, poussée en arrière je l'attend. Eric se positionne au dessus de moi, il plie les genoux et sa bite se présente devant ma bouche. j'ouvre grand, elle me pénètre. Le gland est sur ma glotte, j'avale au moment ou il passe. Ma gorge se distend sous la pression (je vais encore parler grave demain matin !!). Il me lime deux trois fois. Mon cul me démange, je relève les jambes pour passer mes chevilles sous ses aisselles. Il se penche pour prendre appui sur le banc derrière mes fesses, il a une vue imprenable sur ma rondelle bouchée par le plug. Il me lime maintenant la gorge avec une régularité de métronome. Ça facilite ma respiration ! Il commence à jouer avec mon plug. Il le tire jusqu'à ce que son diamètre le plus gros m'écarte l'anus puis le relâche. Le plug rentre comme attaché à un élastique. Il me fait cela plusieurs fois, mon anneau s'étire à chaque fois un peu plus facilement. Quand il me sent bien prêt, il se libère de ma bouche et change de position. Je me retrouve mes chevilles prenant appui sur ses épaules à trouver le bon niveau en soulevant le bassin.
Il attrape la base du plug et me l'arrache. Surpris, j'ai une sensation de fraîcheur sur l'anus. Elle ne dure pas car, vite, Eric pose son gland dessus et s'enfonce doucement. Il est sacrément bien monté ! je le sens qui m'écarte bien la rondelle. Les derniers cm ont toujours un peu de mal à entrer. Il faut dire que le diamètre de sa bite à la base fait presque 7 cm, ça explique !
Je m'accroche à son cou. Il me dit que cette position lui donne une idée. Est ce que quand il se lève, je peux garder la position. Nous tentons. Je croche bien mes chevilles sur ses épaules, j'assure ma prise sur son cou et doucement il se redresse. Je décolle du skaï du banc. Il fait une pause assis sur le banc et moi planté sur son pieu. Il se lève (c'est une bête de muscle) je sens mes fesses s'écarter encore plus sous l'effet de mon poids et Eric rentre en moi comme jamais. Mon anus est carrément posé sur ses poils pubiens. Il m'aide à tenir en posant ses mains sur mes fesses (les écartant encore plus).
Une fois l'équilibre assuré, il donne un coup de rein en avant et se recule brusquement. Je recule aussi mais avec un temps de retard, ça fait sortir sa queue de mon cul et me la rentrer plus durement. C'est trop bon et je bande comme un malade. Il le fait une dizaine de fois et je ne peux me retenir de juter. Je nous éclabousse nos visages de sperme pendant que lui rempli sa kpote. Avant qu'il ne me repose, j'approche mon visage du sien et avec ma langue le débarrasse des coulées blanches qui marbre sa peau noire. Il débande doucement et sort avant de risquer de laisser sa kpote dans mon cul.
Je suis cassé ! Mon cul ne l'avais jusqu'à présent jamais pris aussi profond. Cette nouvelle position a fait écarter ma rondelle au plus fort. Même Eric ne s'y attendait pas.
Une nouvelle douche pour éliminer la sueur, résultat de notre fornication puis nous remontons dîner.
Je le cuisine pour savoir comment s'est passé le retour du nouvel an avec Kev.
Il me dit qu'ils avaient fait un crochet par chez lui avant qu'il ne le remette au train .... le lendemain matin seulement. Je lui demande des détails. Après tout c'est nous qui lui avons présenté et on a bien le droit de savoir !
Il me raconte alors leur soirée.
Pour le retour sur la moto, il avait dit à Kev de bien s'accrocher et ce dernier avait immédiatement passé ses bras autour de sa taille pour s'ancrer à son volumineux paquet. Après lui avoir ajusté ses mains comme il fallait et lui avoir expliqué qu'en cas de freinage, il devait les appuyer sur le réservoir, il lui a clairement dit que si il venait chez lui, il n'en ressortirait pas sans être passé sous sa bite. Kev lui a répondu qu'il l'avait bien compris comme ça et qu'il en avait une furieuse envie.
Pendant tout le trajet, Kev lui a malaxé le paquet le faisant bander sans discontinuer. Quand ils sont arrivés dans son garage, il l'a fait descendre et après avoir mis la moto sur sa béquille, il s'est occupé de lui. Lui, l'actif de compétition, l'enculeur sur commande, s'est retrouvé direct à genoux le nez plaqué sur le cuir tendu de l'entrejambe de son pilote.
Eric a ouvert sa combi et arrivé sous les couilles, son slip n'a pu continuer à maintenir son manche trop lourd de sang et sa bite s'est déployée sur le visage de Kev. Comme en manque, il s'est jeté dessus pour lécher et sucer le gros gland violacé. Eric me dit qu'il le faisait assez maladroitement. Il lui a pris la tête entre ses mains pour le guider. Après quelques minutes brouillonnes, Kev s'est calmé et s'est mis à le pomper comme il faut. Pour la profondeur c'était pas ça. Faut dire que 1èrement il a pas l'habitude et que 2èmement la taille de l'engin n'aide pas les débutants !
Assez vite, ils se sont mis nus (le garage est chauffé rassurez vous) pour continuer. Très excité par le retour en moto, Eric l'a entrepris plus directement. Le ventre plaqué en travers d'un établi, il s'est retrouvé avec une langue à lui détendre l'oignon. Un, deux puis très vite trois doigts lui ont écarté l'anus. Kev a protesté un peu du manque de progressivité. Je connais mon Eric, quand on le chauffe trop faut pas s'attendre à de la douceur. Il s'en est vite aperçu !
Les doigts on été très vite remplacé par sa queue. Kpoté, il s'est badigeonné d'huile de synthèse (utilisée pour la lubrification du moteur de sa moto) et après lui avoir enfoncé le bout de la burette dans le cul a pistonné deux/trois fois pour lui en entrer une bonne dose. Sans lui laisser le temps de réfléchir, il lui a demandé de pousser et en a profité pour s'enfoncer. Eric m'a dit que c'était trop bon. Un cul vierge trois jours plus tôt, pas encore aussi souple que les nôtres (Ric, Jean, Phil, Luc ou moi), avec une bonne résistance, y'a rien de meilleur. Il m'a dit qu'il lui avait tout mis d'une seule et lente poussée. Avec ce genre de mec, ça sert à rien de rentrer quelques cm puis reculer pour en entrer un peu plus. Kev sait parfaitement ce que c'est qu'une enculade, il l'a suffisamment fait subir aux autres. Quand il ne lui ait plus resté que 2cm à enfiler, il l'a pris aux épaule et l'empêchant d'avancer, c'est enferré d'un dernier coup de rein. Kev n'a pu se retenir et un long gémissement à accompagné son envahissement total.
Eric me dit que sous sa bite il a trouvé un vrai mec (musclé, bm 21x5,5) hyper chaud et salope. Il a pu le bourrer encore trois fois avant de le raccompagner à son train le lendemain matin. et depuis, Kev est revenu un WE pour se faire enculer grave. Quand je lui demande si il est passé passif exclusif, Eric me répond que non, il a garder ses " clients " qui lui assurent ses dépenses d'étudiant.
Je lui dis que nous aurons plaisir à revoir Kev dans nos touzes surtout si il est recto/verso et de ne pas le garder pour lui tout seul. Ça le fait rire.
Après dîner, Eric me laisse. Il m'a crevé, je me couche tôt non sans avoir fait une heure d'exercice pour mon anus sur le plug étroit, histoire de refermer mon cul pour le lendemain soir chez Igor et ses jumeaux. Là ça risque d'être chaud aussi !!
JARDINIER
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lesombresdeschoses · 1 year
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LE GOUFFRE
« Parfois l'esprit ne fait pas la différence entre la fiction et la réalité. Seule la douleur peut t'apporter la certitude d'être réel... mais parfois, trop de douleur peut pousser ton esprit dans le gouffre d'une réelle folie... J'essaie de ressentir la réalité par delà la douleur... »
*
Se souvenir de Dell a complètement bouleversé Law. Comment a-t-elle pu oublier ? Brixton ! Le ventre noué, elle sort pour arrêter un taxi.
*
Brixton.
Shoshana lui donne sa drogue habituelle, puis lui propose de rester un peu :
— Pose toi. C'est quoi cette fois-ci ?
— La même merde.
— Fuck ma poule, tu vas te tuer, à force !
— C'est ma dealeuse qui dit ça ! Mourir... Il faudrait déjà vivre... Je me suis collé une balle dans la tête, je suis toujours là !
— Tu... arrête ça ! On dirait que tu passes ton temps à foncer dans le mur. Un jour tu vas y passer ! Je te connais un peu et j'avoue que ça m'emmerde. De la pharmacie aux bas fonds, j'ai fais mon choix, c'est la nature humaine qui m'a attirée ici...
— C'est pas un peu contradictoire ?! Tu refourgues de la came aux rebuts de l'humanité et tu t'inquiète de leur sort ?!
— Je leur donne de la bonne came, aucun de mes clients n'est mort, je ne produis pas de la merde.
— Et tu vas écrire un bouquin avec ce que tu as appris sur la nature du junky ?!
— Je me fous de la thune...
— Je sais pas comment tu fais, on dirait que le glauque t'attire !
— Non, j'essaie de les faire décrocher... t'es allée le voir ?
— Un bon samaritain en immersion dans la vase...
— T'es allée le voir ?
— Va te faire foutre.
— Raconte.
— Ce monde c'est n'importe quoi. J'ai des hallu maintenant ! Il m'a enlevée, torturée, j'ai essayé de me buter ! Je suis toujours là, dans ce bourbier infect... J'ai besoin d'oublier, alors tes questions... Oui j'y suis allée.
Law se lève, prête à s’enfuir de l'appartement. Elle s'arrête brusquement, se retourne vers la trafiquante :
— Tu te trouves cohérente ? Bourgeoise qui s'ennuie en pharmacie, décide de plonger dans la fange de Brixton, pour vendre de la « bonne came » aux rebuts de la société ! En cheville avec un psy de renom, elle décide de faire décrocher les moins désespérés... Dans la vrai vie tu n'aurais pas tenu une semaine ici.
Mortensen tourne les talons, puis sort en claquant la porte. Shoshana reste assise, impuissante comme si elle venait de perdre sa fille.
Le rituel de la défonce. Même si Law n'est qu'une consommatrice occasionnelle, les prétextes commencent à devenir de plus en plus fréquents. Se souvenir de ce que l'on a enfoui dans les « limbes » de son esprit, semble être un processus dangereux. La douleur ne quitte plus la jeune femme.
Il faut que ça s'arrête !
Au centre de la boite de nuit, Law danse, l'esprit engloutie dans la musique, engourdie par la drogue et l'alcool. La mélodie se transforme progressivement en un bruit indéfinissable. Tous ces souvenirs abjects, toute cette misère, les images de tous ces morts, cette violence, l’assaillent. L’ex-flic s’échappe du SUPERMASSIVE BLACK HOLE. Elle se tient à un mur et vomis. Le même rituel, à chaque fois. Errant dans les rues sombres du quartier, sans but, l’enquêtrice s'engouffre dans une ruelle. S'assoit par terre, contre un mur. Sort une trousse de la poche de sa veste, seringue, garrot. Se pique, range tout, puis reste un moment, immobile. Elle finit par se relever tant bien que mal, marche un peu en titubant pour s'effondrer quelques mètres plus loin, au milieu de la chaussée.
*
W. Agency. Victoria.
Ren entre dans le bureau, Law est assise dans son fauteuil, face à la fenêtre, fumant une cigarette, son whisky posé sur la table.
— Tu dérailles ou quoi ? Lâcher l'affaire comme ça ?!! Paris ! Tu pouvais prévenir !
— Vas chier ! Ça te fait des vacances à toi aussi, dis pas le contraire, à moins que...
L’enquêtrice se retourne vers son associée en la dévisageant. La blonde, se sentant accusée, recule horrifiée :
— Tu ne crois tout de même pas que j’ai quelque chose à voir dans cette affaire ?
— Faut que je dorme... lui répond Mortensen, blasée par la situation, se levant pour s’effondrer dans le canapé du salon.
La tête dans un cousin la jeune femme se demande si elle a déjà vraiment dormi ? A-t-elle déjà ressenti la fatigue ? Est-ce qu’elle ressent vraiment quoi que ce soit ?
J'ai l'impression de rêver... Quel intérêt à tout ça ? Quel intérêt ?
Soudain son téléphone portable vibre dans la poche arrière de son pantalon. Law consulte sa messagerie, puis lit un texto :
« On ne me quitte pas comme ça. »
L’ex-flic se retourne dans le canapé :
— Tu m’écris des SMS maintenant. Numéro inconnu. Ben voyons ! Mais ne compte pas sur moi pour te répondre. En même temps, je ne peux pas...
Ren entre dans la pièce, intriguée :
— Tu parles à qui ?
— A ton avis ?
Elle lui jette son cellulaire à la figure, qui le ramasse pour lire le message :
— Tu ne peux pas lâcher l’affaire comme ça ! Il va finir par s’en prendre à tes proches ! Bon sang, bouge toi ! Pense à Mac, tu veux que ce soit le prochain cadavre ?!
— C'est une menace, Ren ? Il est assez grand pour s’occuper de ses miches tout seul... Besoin de dormir.
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losttranslator · 3 years
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En vrai les circonstances de la scène de la tour sont super drôles quand même. Genre on a Arthur qui s'est fait trainer dans l'action par la peau du fion, qui s'est fait poignarder et jeter en prison, puis y a des couillons qui débarquent de sous terre comme des taupes ex machina alors qu'il est à peine lucide, et là y a un connard qui était avec eux complètement par hasard qui essaye de le buter - bonjour le réveil - et qui veut se taper sa femme ??? Et qui est genre une des seules personnes au monde à savoir où est Guenièvre ??? Et il faut aller ouvrir la porte pour lui ??? Mais après il veut plus d'elle ???
Les Dieux s'amusent de fou, et pendant ce temps Arthur doit être tellement done et paumé, genre *internal screaming* en continu.
C'est vraiment comique avec du recul, le pauvre.
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ismisevy · 2 years
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Taggé par @kaantt​
Après avoir retourné tous mes wips dans tous les sens, je les ai vite renommé donc c’est pas des titres très réfléchis mdr déso.
Bon je tag déjà @madame-claude  @trekkedin @yumeka-chan @enez-sun puis tous ceux qui le veulent j’ai envie de dire faites le j’ai pas l’énergie pour réfléchir ce soir
Si le WIP est bien écrit je mettrais un extrait, sinon un résumé plus complexe / des infos sur le déroulement de l’histoire :)
Je met plus ou moins de résumé selon les wips
1) Kaamelott :
Bon déjà on a : 
A look into the past, la grosse fic sur le passé de plein de persos et centrée sur le Léodagan/Séli, mais comme les chapitres sont assez gros je peux les considérer comme différents wips : 
Chapitre 1 : Uther veut pécho, Cryda veut plus pécho
Chapitre 2 : Séli enchaine les emmerdements sur 12 pages
Chapitre 3 : Une réunion et et des princes/princesses en crise d’ado
Chapitre 4 : La bagarre, Uther voit un monsieur bizarre dans son placard
Chapitre 5 : Hector est une grosse pourriture
Quête Léo/Séli : Techniquement il va être refondu pour être intégré à ALITP plus tard mais c’est Séli et Léo qui doivent buter un truc sans se buter entre eux avant.
Les bijoux de la couronne: un smut que je n’écrirai jamais mais dont j’ai l’idée
La considération : Léodagan demande conseil à Bohort mais c’est pas très efficace.
Offensé : “Vous non plus j’en aurais pas voulu comme mari” c’est pas très gentil à dire à la personne qui partage votre vie depuis plus de 30 ans.
Bal de printemps : Léodagan veut pas aller danser avec sa femme, alors quelqu’un d’autre le fera à sa place
2) MCU, Thor (attention spoiler on part sur du très rare ship, je me demande même si je l’ai pas inventé):
A forgotten past 
Dear Diary
3) Death Note
 Start from scratch (mon plus vieux wip omg au moins 3 ans) : Near is dead, so is Mello. But Matt has survived.
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chifourmi · 2 years
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[SQUID GAME]
J'ai parlé avec mon meilleur pote et on a débattu sur cette série que je trouve EXTRÊMEMENT surcôtée. Au final, on s'est entendu pour dire qu'elle était vraiment mal foutue et ça me frustre tellement que les gens ne le voient pas ?!
Déjà, l'acteur qui fait le perso principal joue très mal. Ses expressions sont exagérées, on dirait qu'il essaie de faire un effet "dessin animé"?? D'accord, il doit jouer quelqu'un de naïf mais ça doit rester un minimum réaliste!!
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Ensuite, la séquence émotion lors du jeu entre potes ne m'a personnellement rien procuré parce que je n'ai même pas eu le temps de m'attacher à Ji-yeong. Durant les épisodes, nous n'apprenons RIEN d'elle jusqu'au moment du sacrifice. D'ailleurs, les 2 meufs ne connaissaient rien l'une de l'autre mais sont tout à coup devenues meilleures amies?!
Dans la vraie vie, un sacrifice n'arrive pas aussi vite. C'est juste tiré par les cheveux, je suis désolée.
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Puis le fameux plot twist du vieux qui dirige le jeu. D'accord, mais c'est archi nul en fait? Oui, ça change notre regard sur lui mais bon est-ce que ça amène quelque chose de vraiment important à l'histoire à part ça? Une morale nulle à chier qui dit "ne faites confiance à personne dans ce monde de merde" peut-être ?? On dirait que les réal ont fait ce plot twist juste pour qu'il y en ait un à la fin.
Et l'histoire du policier qui cherche son frère et dès qu'il l'a trouvé il se fait buter par lui. Donc, tout ça pour ça?? Mais le déroulement n'a aucune allure!! Ce n'est pas épique, ça ne tient pas en haleine, ça s'arrête juste d'un coup!! Le policier n'a même pas les réponses à ses questions, il n'a même pas eu l'occasion de raisonner son frère, ou n'a pas pu essayer de démanteler le réseau, tout ça n'a servi à RIEN.
Puis le perso principal qui n'utilise pas son argent après avoir gagné. Pourquoi?? Il est riche mais il vit à la rue!! Ce n'est pas réaliste putain. Surtout que justement il devrait l'utiliser pour que tout ça n'ait pas servi à rien?! Tous ces morts pour que le gagnant n'utilise pas la récompense???
Puis à côté de ça, la lenteuuuur de certaines scènes qui n'apportaint rien!! Souvent c'était lent quand il y avait des discours un peu héroïques en mode morale incroyable.
Bref, archi nul. Je ne comprends pas le succès, mais vraiment, ça me dépasse à un point!
(19/12/2021)
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