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#professeure de dessin
caroline-tsnt · 2 months
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8 idées de super métiers dans le domaine du dessin
On y pense pas forcément, mais le domaine du dessin offre énormément de perspectives professionnelles qui peuvent être variées et passionnantes !Si à une certaine époque, les débouchés étaient peu nombreux, aujourd’hui, il est beaucoup plus facile de se diriger vers des métiers dans le domaine du dessin tout en gagnant convenablement sa vie ! L’image joue en effet un rôle central dans notre…
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ascle · 3 months
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Hello my old friend
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Oh Capitaine, mon Capitaine...
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Cette réplique du Cercle des Poètes Disparus résonne toujours.
Pour la première fois en France, le Théâtre Antoine adapte le film, avec dans le rôle du magn��tique John Keating, Stéphane Freiss.
Ce professeur charismatique et iconoclaste inspire ses jeunes élèves s'ouvrant à la vie, loin du carcan des conventions qu'incarne leur établissement.
Histoire émouvante et contemporaine, la pièce célèbre l'amitié, l'émancipation, la transmission au moment où se dessinent personnalités et destins.
Un cri à la vie ! Un cri à la Liberté ! Carpe Diem ! Carpe Diem !
Auteur : Tom Schulman
Artistes : Stéphane Freiss, Ethan Oliel, Hélie Thonnat, Audran Cattin, Maxence Seva, Pierre Delage, Maxime Huriguen, Yvan Garouel, Olivier Bouana
Metteur en scène : Olivier Solivérès
J’ai adoré la pièce! Les jeunes sont incroyables, le prof est inspirant et l’histoire est toujours actuelle.
Avant le début ils ont même fait monter les gens sur scènes pour danser :)
Gros coup de ♥️
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profenscene · 9 months
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Jeudi 7 septembre
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Le jeudi, j'aurai donc huit heures de cours. Quatre fois deux heures. Le jeudi, je verrai donc tous mes élèves. 71 secondes plus 48 premières, 119 jeunes gens (j'arrive plus à dire mômes).
Je les vois arriver, écrasés par la chaleur de cette interminable canicule bretonne. Les cahiers et les éventails s'agitent, "on dirait une installation d'art contemporain." Quelques-uns rigolent, deux ou trois sincèrement. Cette journée est interminable, mais elle me permet de commencer à "voir le dessin" de la classe. C'est une expression que j'ai emprunté à R., ma prof de théâtre. Elle parle souvent du "dessin du texte", et ça parle beaucoup aux élèves.
Il y a d'abord les Premières Galopa. Pour une raison que j'ignore je m'imagine que je suis leur professeur principal (alors que pas du tout). Ils sont farouches. À m'observer comme un spécimen à la fois pittoresque et dangereux, une sorte de cobra qui ferait du standup. Parce que certes, j'ai des tatouages et des chaussures rigolotes, mais je tiens leur bac de français entre mes mains, quand même. Ça donne un cours étrange, entre réponses enthousiastes et silences brutaux, amplifiés par la montée progressive de la température, en cette matinée au lycée Keves.
Suivent les Premières Herbizarres, seule classe dont je me méfiais au premier cours. Petits rires et regard entendus échangés. Impression d'être le sujet d'une blague commune. Non pas que je m'en formalise - ça arrive fréquemment quand on est prof - mais ça n'est jamais agréable, surtout au début. Et aujourd'hui, des questions, des suggestions, un cours qui passe à une vitesse folle et beaucoup de sourires. "Vous me rassurez beaucoup, monsieur."
Ça fait du bien, sur le trajet qui me mène au lycée Agnus. Où je retrouve les secondes Germignon. Mon ethos de prof de collège reprend le dessus. Ils sont encore fragiles et un peu perdus. Les bon vieux trucs de les remettre en confiance en bossant sur ce qu'ils connaissent. Le très léger silence lorsqu'ils commencent à partir dans tout les sens. - c'est la seule manifestation de mécontentement que j'ai dû montrer depuis le début de l'année - et les quelques blagues pendant la pause entre les deux heures. Ce sont de bonnes personnes. De chouettes secondes en devenir. "On n'a pas encore tout à fait commencé le programme de seconde" leur dis-je à la fin du cours. Mais ça ne saurait tardé.
Et je termine, dans un état proche de l'Ohio, avec les secondes Ixon. Une sacrée bande de potes - ils se connaissent presque tous - avec l'éternel groupe de garçons, forts en gueule et en français, et de filles, faussement timides, n'attendant qu'un mot pour se changer en guerrières. À ce stade, difficile de discerner les individus. J'en ai plein la rétine et la matière grise, des élèves.
"Je vais avoir du mal à retenir tout de suite vos noms, j'en suis désolé."
Mais ça va venir. Vos noms, vos façons de parler, ce que vous préférez dans le cours et ce que vous fuyez. Les manies de certains, les tics de langage d'autres.
Bienvenue dans ce monde partagé, crée par chacun d'entre nous.
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loup-venant · 4 months
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Remonter l'escalier du temps en ouvrant la trappe du grenier. Au-dessus de ses jambes repliées contre le vieux planché poussiéreux, Sophie relit ses travaux d'écoles. Des feuilles qui portent l'encre de nombreux stylos, presque illisibles.
Elle les parcourt en les soulevant d'une mains à l'autre, avant de les reposer avec relativement de soin sur le coté formant une nouvelle pile. Elle regarde la classe qui représente sa troisième secondaire. Elle a changé d'école après l'avoir terminée. Le titre, lui, annonce le cours et parfois le sujet. Elle sourit devant la sobriété de certains d'entre eux qui ne veulent plus rien dire pour elle désormais. "FR.A.T. 2" Français A? Test? 2? se demande-t-elle sans y porter plus d'importance.
Enfin vient la note ou les points qui varient beaucoup. Ce qui varie moins, c'est son implication plutôt inexistante face à l'étude de la théorie quand il est question de la restituer. Un des travaux la questionne sans détour en ce sens. 0 / 15 "Etude ?". Trois mots de vocabulaire à définir. Trois mots à coté desquels elle a laissé l'espace de la page prendre la place sans l'alourdir de plus d'encre.
A l'époque, ça avait du être un stress immense. Se retrouver devant ce test. Écrire ces trois mots les uns après les autres. Se rendre compte qu'elle était incapable d'écrire quoi que ce soit de plus. Se retrouver seule face à son ignorance. Qu'allait penser le professeur quand il allait ramasser sa copie ? Qu'allait penser son voisin en ne la voyant pas écrire ? Qu'allait-elle faire pour rattraper cette occasion manquée de marquer des points ? Un sourire de compassion se dessine sur son visage alors qu'elle imagine la peur que ce moment avait du engendrer chez elle. Alors même qu'elle n'est plus cet élève effrayée à l'idée de rater un test de Français. Elle en discerne les contours qui, au fond, se sont ancré malgré elle dans son être. Une plaie invisible jusqu'alors. Une plaie sans pansement. Douloureuse, encore aujourd'hui.
Analyse de Texte ! Ce doit être une analyse de texte ce FR.A.T 2, interrompt ses pensées.
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On commence ici à partir de la forêt des captifs chapitre 2 !
- Apparemment les formes de dance sur terre intéressent particulièrement les professeurs de l'académie. Ça me fait penser aux Gil'Sayan qui voulaient découvrir la politique de notre monde...c'est sympa la danse mais j'ai l'impression qu'ils ont des lacunes plus grave dans d'autres domaines.
- "Bjorn, dont la vie était rythmée par d’éternelles quêtes romantiques" hein quoi 🥲 (réaction originelle en m'imaginant Bjorn en serial dragueur). Apparemment il drague la mère d'Ewilan à l'ancienne (chevalier servant).
- Intéressant passage : le sculpteur de branche, qui laisse apercevoir d'autres pouvoir accessibles aux Alaviriens qui n'ont apparemment rien à voir avec l'art du dessin. Ça aura quelque résonance avec d'autres événements plus tard...(perso : il s'agit peut-être d'une évolution différentes des pouvoirs des dessinateurs ou d'une autre des sept familles ; ou un pouvoir juste propre à ce monde).
- Bon avec l'ouverture glauque de ce tome et maintenant le meurtre d'un pauvre type bourré qui va finir dans le ventre de son tueur qu'on aille pas me dire que Bottero est pas un peu dark parfois.
- Maniel a de l'humour
- Ah mince j'avais oublié qu'ils sont quand même recherchés par la police 😬
- D'ailleurs je le remarque maintenant mais Camille est bien et bel Ewilan dans la narration maintenant qu'elle s'est installée de manière permanente chez ses parents dans leur appartement de luxe à Al-Jeit.
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zinouillezetrunoodle · 5 months
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Post n° 61:
Dessins d'observation en cours d'histoire de la classe et surtout de mon professeur Mr De Carli :^).
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Chaque dessin m'a pris entre 5 et 15 minutes. J'ai utilisé des crayons HB et des stylos Bic.
J'ai travaillé sur l'anatomie et les caractéristiques physiques de Mr De Carli, que je trouvais très "cartoony" de base!
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J'avais commencé ce dessin digital lorsque Mr De Carli était venu nous parler dans la cour du lycée. Pour travailler sur la perspective de ma vue (haha je n'ai même pas oublié de dessiner l'arrière de la tête d'une amie qui se trouvait juste devant moi).
Je l'ai ensuite fini chez moi en travaillant sur les couleurs, textures et mon lineart!
Durée: 1h30
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sergedehaes · 8 months
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L'atelier de dessin à l'académie de Molenbeek avec Danièle Aron comme professeur.
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thewul · 9 months
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Karaboudjan! Voila Professeur nous etions dans l'exuberance, et ici nous sommes dans le mystère, l'image proviens du Temple du Soleil, il se trouve que le PACHACAMAC ressemble comme deux gouttes d'eau au KARABOUDJAN, qu'en pensez vous? C'est tout a fait cela! Ce n'est pas une aventure en solo donc? Non Haddock est la, il cherche a tout prix a retrouver Tintin tandis que vous vous fourvoyez au milieu d'une bataille au Yémen en faisant vos fouilles archéologiques A propos Professeur nous ne sommes pas les seuls a faire de nouvelles couvertures, d'autres Tintinophiles s'y essaient, cependant notre travail concerne également les histoires de ces albums Cette fois ci il transporte des armes avions nous dit? Exact Professeur, opium, cigarettes de contrebande, clandestins, armes, Allan Thompson transporte tout ce qui rapporte Ces couvertures sont finales? Ce sont des propositions Professeur, certaines sont a dessiner a la main, nous ne voulons pas introduire l'image de synthèse dans l'oeuvre d'Hergé, tout est dessiné a la main Certes il y a eut des exceptions pour les productions cinématographiques il n'y en aura pas pour les albums, les Tintinophiles achètent des dessins, de belles planches, et des histoires
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stramberrycheesecake · 9 months
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Un geste inconscient mais présent,
Qui contrôle mes journées, d’une facilité déconcertante,
Être à l’école, c’est donner mais recevoir,
Une boule au ventre écoeurante me vint automatiquement,
De mes doigts, que j’aurais rêvé, bon à quelque chose,
Je prends un stylo à bille,
Je préfère écrire au noir,
Mais le bleu m’aide tout autant, voire plus,
Je peins les feuilles, d’écriture à boucles arabesques qui parsèment mes feuilles blanches comme le reflet du tableau;
Je ne peux m’empêcher de parler à la fin du cours,
A quiconque,
Honnêtement,
J’adore revenir à l’endroit d’où je suis partie au départ,
Écouter, dans un volume sonore , qui ferait saigner les oreilles d’un chien,
Je suis seule dans cette chambre trop décoré,
Je danse, chante, dessine, peint, parle, lit,
Tout dans cette musique
Qu’importe,
Tchaikovsky, Fiona Apple, Queen,
J’écoute de tout,
Et j’adore écouter de tout;
J’aime parler de cela, l’art d’être vivante,
L’art difficile de ne rien faire de sa vie,
Être seulement sur son lit , allonger comme un mort en regardant le plafond,
Tandis que j’écoute David Bowie,
L’art de moisir dans son lit,
Regrettant cette pause de plusieurs mois,
Qui maintenant, est remplacé à un emploi du temps ,
Qui , nous pouvons le dire,
Fatiguant,
L’art de discuter,
De malgré, s’être levé à 6h du matin,
De raconter , rien et tout, à ses professeurs,
De leur partager le récit de mes vacances , d’un air enjoué,
De raconter à mes amies , toute ma vie,
Même les choses que je ne raconte, d’habitude à personne,
L’art de se fatiguer,
Avoir la gorge sèche , preuve de mes discussions ardentes,
Avoir des cernes, preuve de mes nuits passées à lire,
Avoir l’audition insensible, preuve de la musique trop forte,
Avoir parfois,
A une heure comme celle de 3 heures,
D’avoir envie de terminer ce livre qu’est ma vie,
Écrire , demain l’épilogue,
Je n’oublierais pas d’écrire les remerciements en fin de chapitre,
Je remercierai, les gens qui m’ont regardé, qui m’ont parlé et écouté,
Je remercierai, les gens qui ont respiré chaque jour de leur vie,
Je les remercierai, honnêtement et sincèrement,
Merci d’être encore en vie.
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photos-de-france · 1 year
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Théophile Vautier (maître de conférence à la Faculté des Sciences) et Gabriel de Loriol (exportateur de houilles). Deux des 20 cofondateurs de l'Ecole Centrale de Lyon à la Villa Vermont, Lyon-Vaise, 1871. Photo de E. Milsom.
Le 3 novembre 1857 naît « l'École Centrale lyonnaise pour l'Industrie et le Commerce » à l'initiative de François Barthélemy Arlès-Dufour, homme d'affaires et humaniste lyonnais, et de Désiré Girardon, professeur à l'école de la Martinière désireux de « former les meilleurs élèves de la Martinière à la chimie, la mécanique industrielle, la construction civile et le dessin industriel ». L'École est installée à Lyon, à l'angle de la rue d'Enghien (future rue Vauban) et du cours de Bourbon (futur quai Castellane, puis quai Général-Sarrail). La première promotion est constituée de 14 élèves, qui seront diplômés en 1860.
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plrecco · 1 year
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Du 16 au 31 Juillet : Paul Louis Recco tous les jours de 10h à 13h et de 15h à 19h, à l'Espace Saint-Jacques. Né en 1956 à Tunis (Tunisie),il est originaire d'un petit village du Sartenais: Santa-Maria-Figaniella, ou il a des attaches familiales. Cet artiste peintre et professeur de dessin ,vit et travaille en Corse à
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etzrnalbliss · 1 year
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Cho Chang
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Elle a une passion pour l'architecture et désire en faire son métier plus tard.
Contrairement à Luna, sa colocataire à Poudlard, elle est très organisée et porte une importance particulière à son matériel de dessin.
Elle consomme un peu trop de cafféine pour son propre bien.
Elle s'est passionnée pour la médecine moldue lors des cours d'étude des Moldus, car elle trouvait le principe de la chirurgie complètement étonnant.
"Cho" n'est pas son vrai nom. Elle s'appelle Chao-Xing, ce qui signifie "étoile du matin". "Cho" est un surnom qui lui a été donné par ses amis et qui est resté tout au long de sa scolarité, si bien que les professeurs se mirent à l'appeler ainsi de temps à autre.
Elle est très protectrice envers ses amis depuis la mort de Cedric et ne supporte pas qu'on s'en prenne à eux. Franche, elle n'hésite pas à confronter les autres quand elle en a besoin.
Sa matière préférée à l'école des sorciers est le cours de sortilèges.
Sa mère a fréquenté l'école de Poudlard, tandis que son père est allé à Fenghuang Xuéxiào (école de l’oiseau de feu), en Chine. Ils se sont rencontrés lors d'une coupe de monde de Quidditch, donnant ainsi leur passion pour ce sport à leur fille par la suite.
Son endroit favori après le terrain de Quidditch est la mer, son odeur favorite celle de l'iode ou de l'encre fraîche sur le parchemin.
Son animal préféré est le lapin.
Elle a des taches de rousseur, qu'elle tient de sa mère Irlandaise. (et surtout parce que je ferai tout ce qui est en mon possible pour mettre des taches de rousseurs sur chaque personnage de ce monde.)
Texte
Cho Chang est l'heure bleue qui mène à l'aube, le jour naissant. Elle est un bureau éclairé tard dans la soirée, le bruissement calme et précis d'un critérium traçant le long d'une équerre. Elle est la couleur blanche, celle de l'écume et du lait frais le matin. Cho est le vent froid de l'hiver, la neige sur les toits en décembre. Elle est un assortiment de post-it au-dessus du lit, une pile de vêtements soigneusement rangés dans une valise. Cho une écoute attentionnée, la craie qui s'effrite contre l'ardoise, l'admiration devant une statue de marbre. Elle est un panier de myrtilles, une carte postale à l'écriture calligraphiée, un sofa en velours indigo. Cho est un service à couverts en argent, une grande bibliothèque organisée par ordre alphabétique, un portrait réaliste dans les couloirs d'une prestigieuse école.
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marciamattos · 1 year
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LA LUMIÈRE DANS LA NUIT CHEZ Jakub Schikaneder. Czech (1855 - 1924)
Né le 27 février 1855, à Prague, Jakub Schikaneder est issu d'une famille de douanier qui encourage très tôt son goût prononcé pour les arts. Que ce soit la musique, la peinture ou le théâtre, Jakub se montre talentueux et touche à tout. Un de ses parents de Vienne, n'est autre qu'Emmanuel Schikaneder, grand acteur comique et auteur du libretto de la Flûte enchantée de W.A. Mozart. C'est néanmoins pour la peinture que Jakub montre une plus grande attirance ; dès sa plus tendre enfance, il se consacre beaucoup au dessin.
Il commence à étudier à l'Académie des beaux-arts, à Prague, à l'âge quinze ans et se fait tout de suite remarquer par son talent exceptionnel. Les jeunes artistes de l'époque essaient de sortir du style classique enseigné à l'Académie, et Jakub Schikaneder, Frantisek Zenisek, Mikolas Ales, Maximilian Pirner ou Emanuel Krescenc Liska suivent plutôt les tendances dégagées par les idées de la Commune de Paris.
Le jeune Schikaneder expose pour la première fois au Salon de Zofin à Prague en 1876 : 'La Dernière Oeuvre' (Posledni Dilo), tableau égaré dans le temps. La critique est positive, Jan Neruda notamment (poète et critique Tchèque très connu) s'exprimera en des termes très favorables sur la toile, représentant un jeune peintre mourant devant son dernier tableau.
Jakub Schikaneder part pour Paris en 1878, et est fasciné par la richesse culturelle et esthétique de la capitale en cette fin de siècle. Il part pour Munich peu après. Il continue ses études aux Beaux Arts chez le professeur Gabriel Max. Il passera plusieurs années en Bavière, mais revient souvent à Prague, notamment pour participer à la décoration de la loge royale au Théâtre National. Les tableaux représentent trois moments importants de l'Histoire de la Bohême : l'époque des Premyslides, le règne des Habsbourgs. Malheureusement, ils sont détruits dans l'incendie du Théâtre. Vaclav Brozik sera chargé de décorer la loge lors de sa reconstruction.
Il termine ses études à Munich et en profite pour voyager beaucoup en Europe : France, Italie, Suisse, Angleterre, Ecosse etc. Le peintre Frantisek Zenisek propose à Jakub Schikaneder de devenir son assistant à l'Ecole supérieure des arts décoratifs, en 1885. Il devient professeur de peinture décorative en 1891. Le style du peintre change durant cette période, ses tableaux deviennent plus mélancoliques, souvent peints dans un cadre automnal.
En 1890, il peint 'Meurtre dans la Maison' (Vrazda v Dome), une de ses oeuvres les plus connues représentant une jeune femme assassinée allongée sur le sol de la cour d'une maison praguoise, entourée de badauds. Jakub Schikaneder situe souvent ses tableaux dans ces petites ruelles sombres de la la ville de Prague, au crépuscule ou au petit matin, souvent en hiver. Schikaneder se replie sur lui-même et ses tableaux sont le reflet de son âme, triste, mélancolique. Il ne reçoit presque plus personne et voit très peu ses amis, il passe son temps à peindre et à jouer de l'harmonium, sa grande passion. Il se rend souvent au bord de la mer adriatique ou à l'île Helgoland où il peint quelques tableaux poignants.
Jakub Schikaneder meurt à l'Automne 1924, alors qu'il jouait de l'harmonium.
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dfartproject · 1 year
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Performance: Live Painting de Jérôme Royer le 8 avril 2023 à 18h30 @jeroy94 Jérôme Royer dessine depuis son plus jeune âge, guidé par un oncle peintre. A l'école, il reçoit déjà la reconnaissance de ses professeurs et de son entourage. A cette époque, l'art est pour lui un passe-temps et un simple moyen de s'exprimer. Il continue alors ses études et se dirige vers la filière du bâtiment. Pour son Baccalauréat, il choisit l'option art. Il est l'un des rares élèves à recevoir un très bon résultat. Malgré tous ces indices, il continu son chemin professionnel. Il travaille dans une société de construction et arrête de dessiner pendant un certain temps. Les circonstances de la vie le conduisent à quitter cette entreprise, pour devenir dessinateur en bâtiment et en architecture. Les #réseaux #sociaux sont alors le déclencheur de son parcours artistique. Après quelques "posts" de dessins, il est encouragé par bon nombre d'internautes. Il dessine de plus en plus : un dessin par semaine puis un par jour, puis plusieurs par jour... Grâce à tous ces encouragements, il découvre enfin la peinture et plus particulièrement l'aquarelle. Lors de la crise financière, il travaille moins, cela lui permet de perfectionner sa peinture, de trouver des endroits pour exposer... Comme pousser par le destin pour devenir un réel artiste, sur la voie du #professionnalisme et de la reconnaissance. "Nous aurons le destin que nous aurons mérité." (A. Einstein ) Les #arts martiaux, particulièrement l'Aïkido et le #Tai-chi-chuan, sont très importants dans son développement artistique. Grâce à la pratique de ses arts, Il #perfectionne son #geste, manie son #pinceau avec détermination et utilise le #mouvement et l'énergie pour rendre vivant ses tableaux. Il jette la peinture d'un mouvement sec, fait glisser son pinceau sur la toile avec légèreté, #écoute son cœur. Jérôme #aime #mélanger une peinture fine et détaillée avec des courbes #stylistiques #intuitives et spontanées. #laportemaubec #larochelle #performance #liveperformance #exposition (at La Porte Maubec) https://www.instagram.com/p/Cqlg0hgIUd9/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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alexar60 · 2 years
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Transylvanie express (35)
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Vous trouverez ici les précédents épisodes
Pendant que j’attendais sagement assis, le vieil homme apporta une pile de livres tous aussi anciens et poussiéreux les uns que les autres. Il posa sa sélection sur la table, prit le premier, et, tout en présentant un large sourire, il ouvrit le recueil à l’aide d’un marque-page. Soudain, son visage blêmit. Il tourna les feuilles, de plus en plus vite. Il grommela, s’énerva, ses yeux grossirent presqu’à sortir de leurs orbites. Il vociféra des insultes en allemand avant de dire : « Je ne comprends pas ».
Je le regardai sans comprendre non plus. La panique s’emparait de son corps. Il attrapa un second livre, l’ouvrit à son tour. Mais comme pour le premier, il tourna vite les pages en s’énervant. Il fit de même avec les autres. La poussière volait à chaque page tournée. Je l’observai attendant une explication. Cependant, il m’oublia, se souciant de ces livres qui semblaient lui faire perdre raison.
-        Ce n’est pas possible, c’est insensé, cria-t-il en approchant de l’étagère la plus proche.
-        Que se passe-t-il ? demandai-je.
Klaus choisit au hasard un bouquin. Il l’ouvrit, le feuilleta tout en répétant les mêmes mots, mélange d’insultes, d’incompréhension et de stress. Il jeta le livre au sol avant d’en attraper un autre. Il recommença à feuilleter encore et encore.
-        Mais, qu’y-a-t-il ?
-        Je ne comprends pas ! s’écria le professeur. Ils sont vides. Il n’y a que des pages blanches !... Partout, que des pages blanches !
Aussi, je me levai afin de vérifier ses propos. Je pris un de ces livres apportés. Effectivement, les pages demeuraient vierges de mots et d’écriture ou de dessins. Je vérifiai les livres un par un sans trouver la moindre trace d’imprimerie. Même le papier, qui était censé avoir été timbré, ne comprenait aucune marque de vente ni de taxe. Klaus Möller cherchait encore un livre contenant quelque-chose, rien qu’un mot.
-        Celui-ci est un herbier. Il y avait de nombreux croquis. Regardez, tout est effacé ! déclara-t-il en tendant un classeur de parchemins. Et celui-là, c’est le livre qui annonçait l’avenir. Il ne reste que des pages jaunies par le temps !
-        De l’encre sympathique, peut-être ? questionnai-je.
-        Sur tous ? Non ! Ce n’est pas possible ! Je deviens fou !
Il s’éloigna, passa devant la statue de bois. Sur le coup, je crus voir sa bouche pencher comme si elle souriait. Klaus s’arrêta devant une nouvelle étagère et choisit un livre. Je reconnus la couverture d’un atlas aperçu lorsque j’examinai la bibliothèque. Il déplia l’ouvrage et montra les pages blanches. Il était désabusé devant cette disparition inexplicable. Soudain, il sursauta.
-        Mes notes, dit-il. Mes notes, elles ne sont pas…
Il revint à la table, attrapa une sacoche qu’il avait apporté. Il ouvrit le sac et sortit des cahiers aussi jaunes que les livres exposés devant moi. Il se mit à crier en découvrant que ses notes, ses écrits avaient aussi disparus.
-        Cinq ans de recherches ! Ce n’est pas possible !
Il était de plus en plus perdu. L’incompréhension remplaça la panique. Il s’assit, et resta amorphe en regardant le tas de livres et de cahiers, dans un silence absolu. Je pouvais entendre ma respiration. J’attendais bêtement, sans savoir quoi dire ni quoi faire. Je comprenais son désappointement, seulement, je ne pouvais que l’observer en train de fixer la table et les livres.
-        Et Johann, votre disciple ? Peut-être devriez-vous l’informer de cet événement ?
-        Vous avez raison, dit-il avant de se lever. Il aura surement une explication à tout cela.
Malgré son vieil âge et ses rhumatismes, Klaus se précipita rapidement vers la sortie, m’abandonnant dans cette bibliothèque pleines de surprises. Je demeurai assis dans le silence profond. Un oiseau cogna une fenêtre. Le bruit rappelait celui d’un caillou sur un vitrail d’église. Pour patienter, je pris le fameux ouvrage qui expliquait le futur. Je tournai bêtement les feuilles à la recherche de traces d’encre. J’inspirai fortement en fermant les paupières ; j’espérai qu’une prière permettrait de restituer les lignes disparues. Voyant ne rien se passer, je refermai le livre sur l’établi. J’attendais le retour de l’historien. De temps en temps, je regardais autour de moi, particulièrement la statue de bois dont le sourire s’affichait de plus en plus, au-dessus de sa longue barbe. Je frémis en réalisant que ses yeux me fixaient quelque-soit ma position. Aussi, j’approchai afin de le défier.
-        Cette situation semble te plaire, apparemment. Ou as-tu mis les mots ? dis-je en m’amusant.
Je fis un pas en avant lorsque j’entendis un long râle dans mon dos. Le livre de prédictions remua doucement laissant échapper un nouveau son étrange. Je restai immobile à l’observer bouger. Et en voyant les pages se déplier toutes seules, je fus saisi de peur car, une page prenait la forme d’une main, tandis qu’une autre se dessinait en un visage. La main ouvrit entièrement le livre de l’intérieur. La figure se changea en tête. Je me sentis horrifié en reconnaissant le visage sans cheveux de mon amie. Elle ouvrit la bouche, laissant apparaitre un noir profond. L’encre avalée sortit en un liquide épais et visqueux pour s’étaler sur la table.
La main s’appuya contre le livre permettant aux épaules de se présenter. Puis, alors que la Ludmilla de papier me dévisageait de ses yeux jaunes, sa seconde main intervint afin d’aider le corps à sortir.
Elle râla… un râle inhumain… un râle long et bestial… le râle d’un démon quittant l’enfer.
Je fis un pas en arrière, sans me soucier de la sculpture de vieillard qui, avait changé de position. Il croisait les bras tel un fier Artaban affichant un sourire édenté. Il regardait le monstre sortir péniblement du bouquin. Je reculai en direction de la sortie. Le corps nu de la créature de papier se dévoila. Elle utilisa ses bras pour prendre appui. Ses mains agrippèrent le bord de la table et dans un grand fracas, elle tomba sur le carrelage, au milieu d’une flaque d’encre noire.
Je continuai à marcher en arrière. Je cognai contre une étagère. Par réflexe, je pris un livre et l’envoyai contre la chose qui rampait en ma direction. Bien que son corps fût de papier, il raclait le sol tel un bloc de pierre trainé. Le bruit assourdissant résonnait entre les murs jusqu’à faire saigner mes oreilles. Le livre toucha sa cible mais ne put l’empêcher d’avancer.
Le monstre ouvrit encore la bouche pour râler en même temps que libérer un jus noir. Son corps étala l’encre laissant une large trainée derrière lui. Il rampait toujours lentement s’aidant de ses coudes pour avancer. Son regard se faisait de plus en plus sombre. Il n’était assurément pas humain.
Le longeai les étagères pour retrouver un couloir. Soudain quelque-chose frôla mes cheveux. Je m’éloignai, et découvris une nouvelle main de papier qui, sortait d’un livre sur une rangée, à hauteur de ma tête. Une troisième main bondit d’une autre revue, détruisant en cendres la couverture. Et déjà, des têtes apparurent. Je reconnus immédiatement, celle de Catalina. Elle soupira longuement avant de prononcer un prénom : « Yannick ».
Je courus pour fuir les livres qui se transformaient à mon passage. Ils devenaient les uns après les autres des monstres de feuilles. En tombant de leur place, ils ralentirent la Ludmilla de papier. Ses mains poussèrent les nouveaux venus sans ménagement. Plus elle avançait, plus elle se transformait. Elle n’était plus faite de papier mais bien de roche. Son corps de plus en plus lourds faisait vibrer l’établissement à chaque mouvement.
-        La porte ? Où est la porte ? me demandai-je. Ou se trouve cette putain de porte ?
Je courais à travers la bibliothèque. Elle parut encore plus grande. Je vis la statue de bois sur un nouveau socle. Elle souriait tout en caressant sa longue barbe. Je passai à droite, tournai à gauche, mais en découvrant une pile de livres au sol en train de se métamorphoser, je fis demi-tour. Les étagères semblèrent s’approcher. Je courais à en devenir fou. Derrière moi, le raclement du monstre continuait de retentir. Je ne savais plus où aller. Je crus ma dernière heure venue quand je vis les avant-bras du monstre apparaitre au bord d’une étagère. La Ludmilla de papier présenta sa tête. Elle grimaça un sourire noir tout comme la statue de bois, heureux spectateur d’un carnage. Elle essaya de se relever. Dès lors, dans un ultime effort, je m’éclipsai en courant à travers le couloir rempli de livres et de mains de papiers. Je sautai, donnai des coups de pieds ; je poussai une étagère afin d’écraser un maximum de livres d’horreur. Et enfin, je vis la sortie !
La grande porte de bois rayonnait, à l’image de la porte du paradis. Je courus. Le monstre approcha. Son grognement se mêla au crissement de son corps rampant. Elle tendit le bras pour attraper ma cheville. Mais sa main se ferma sur le vide, tandis que la mienne attrapa la poignée. J’ouvris, tirai la porte et, me trouvai brutalement nez à nez avec Klaus et Johann médusés.
-        Hé bien, mon ami, qu’avez-vous ? vous semblez avoir couru, remarqua Klaus.
Je tournai la tête et fus stupéfait de voir la bibliothèque parfaitement propre et rangée. Aucune étagère n’était renversée, aucun livre ne trainait par terre si ce n’est qu’un seul. Il portait un titre, les seuls mots écrits dans toutes la bibliothèque : « Prémonitions »
Alex@r60 – septembre 2022
Sculpture de Paola Grizi
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zinouillezetrunoodle · 4 months
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Post n°127:
Collection de dessins d'observation lors de mon voyage scolaire à Malte.
-> crayons graphite gras et crayons de couleurs
Chaque dessin m'a pris environ 3 à 5 minutes.
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Mes amis jouant du piano
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Ma vue sur mes amis lorsque j'étais assise dans le bus
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Ma vue sur mes amis et professeurs lors d'une conférence sur le rôle des femmes maltaise lors de la 2nde guerre mondiale.
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Mes amis: Youssef de dos et Meyssa de face
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