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#l'air de famille
dasistleeway · 1 month
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Great 3-course lunch menu @ Toulouse...
We were lucky to get a table via online booking, the restaurant was very popular...They served delicious food and the staff provided friendly service...
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interludebloom · 1 year
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quand je dis famille de merde vraiment je le pense.
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nibelmundo · 2 years
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Cette hypothèse d'un lien entre créativité et troubles mentaux sera désormais au coeur de notre réflexion. La génétique a montré que les troubles mentaux ont toutes les chances d'être le fruit d'un processus de sélection joué à l'apparition de l'Homo sapiens. Dans le même temps, cette apparition est aussi celle de la culture issue du pouvoir de création de l'Homo sapiens. Dans cette perspective, notre hypothèse centrale apparaît: les troubles mentaux seraient le pendant, voir le vecteur, de la créativité des êtres humains. Leurs fréquences seraient, par conséquent, à la mesure de la créativité. Ils sont la part émergée et incontournable d'un iceberg profondément immergé dans le cerveau des Hommes. L'évolution de nos gênes et les performances exceptionnelles de notre cerveau nous ont dotés de ce pouvoir de créer en même temps qu'ils nous ont rendus vulnérables au désordre de l'esprit.
Raphaël Gaillard, Un coup de hache dans la tête: Folie et créativité
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girafeduvexin · 2 months
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Unpopular opinion de ouf mais j'aime trop faire la bise et qu'on me fasse la bise, pas à n'importe qui non plus mais j'aime trop ce moment de ta relation avec quelqu'un où t'es "bon bah j'ai envie de coller ta joue contre la mienne et faire semblant d'embrasser l'air pour te dire bonjour", insane ritual, tu embrasses sans embrasser.
Et j'aime encore plus quand c'est vraiment des ami.e.s/famille et la bise devient de vrais bisous sur la joue, genre allez on arrête de faire semblant, je t'aime trop pour ça.
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kilfeur · 9 months
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On peut sentir sa culpabilité et sa peine quand elle parle à sa famille. Elle aimerait pouvoir les sauver mais comme la menace d'Aaravos se fait de plus en plus grande, elle met de côté ses besoins pour sauver ceux qui en ont besoin. Or sa famille ne semble pas la blâmer pour ça au contraire, ils ont l'air d'être fière d'elle. Et je suis sûre qu'ils lui en voudront pas pour ça.
You can feel her guilt and grief when she talks to her family. She wishes she could save them, but as the threat from Aaravos grows, she sets aside her needs to save those in need. But her family does not seem to blame her for that, on the contrary, they seem to be proud of her. And I'm sure they won't blame her for that.
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sabinerondissime · 5 months
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Calendrier de l'Avent , jour 5
Première grippe de la saison dans la famille. Elle a l'air bien mauvaise cette année.
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France, 2024:
- T'as pris combien toi ?
- 1 an et toi ?
- 5 ans.
- 5 ans ? Putain mais t'as fait quoi ?
- Un soir, alors que tout le monde dormait dans la maison, j'ai entendu un bruit dans le salon, je pensais que c'était ce putain de chat qui avait fait tomber un truc. J'y suis allé pour aller voir et là, à peine en sortant de la chambre, y'a un mec qui m'a foutu un couteau sous la gorge. Il m'a amené dans le salon où y'avait un autre gars. Ils m'ont mis à genoux et ils sont allés chercher ma femme et mes enfants. Ça avait l'air de les faire rire. Quand mes enfants sont arrivés, j'ai vu qu'ils étaient terrorisés...
- Ils ont quel âge tes gosses ?
- 4 et 10 ans. Donc là, ces deux connards ont commencé à leur faire peur, comme si c'était un jeu. Tu vois, au début, j'étais tétanisé, mais quand j'ai vu la terreur dans les yeux de ma petite dernière, j'ai pété un plomb.
- Qu'est-ce que t'as fait ?
- Y'avait une paire de rollers Peppa Pig qui traînait à côté du canapé, j'ai profité d'une seconde d'inattention et j'ai réussi à assommer un des deux gars et l'autre s'est jeté sur moi, j'ai pris un coup de couteau dans le bide mais j'ai réussi à le faire tomber, là j'étais dans une rage de malade et je lui ai défoncé le crâne avec les rollers. Le mec est mort avant l'arrivée des secours. Le pire c'est que c'était même pas moi qu'ils visaient, c'était la maison de mon voisin, c'est le maire de ma ville.
- C'est chaud comme histoire. Mais je pige pas, t'étais chez toi, tu t'es défendu, je vois pas ce que t'as fait de mal.
- La juge n'en avait rien à foutre, soit disant que ces deux enfoirés avaient eu une enfance difficile. Bon et sinon, toi, pourquoi t'es là ?
- J'ai imité l'accent africain pendant un repas de famille.
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France, 2024:
- How much did you take?
- 1 year and you?
- 5 years.
- 5 years ? What the fuck did you do?
- One evening, while everyone was sleeping in the house, I heard a noise in the living room, I thought it was this fucking cat that had dropped something. I went there to have a look and there, as soon as I left the room, there was a guy who put a knife to my throat. He took me into the living room where there was another guy. They put me on my knees and went to get my wife and children. It seemed to make them laugh. When my children arrived, I saw that they were terrified...
-How old are your kids?
- 4 and 10 years old. So there, these two assholes started to scare them, as if it was a game. You see, at first, I was paralyzed, but when I saw the terror in my youngest's eyes, I lost my temper.
- What did you do ?
- There was a pair of Peppa Pig rollerblades lying next to the sofa, I took advantage of a second of inattention and managed to knock out one of the two guys and the other threw himself at me, I took a stab in the stomach but I managed to make him fall, then I was in a mad rage and I smashed his skull with the roller skates. The guy died before help arrived. The worst thing is that it wasn't even me they were targeting, it was my neighbor's house, it was the mayor of my town.
- It's a hot story. But I don't understand, you were at home, you defended yourself, I don't see what you did wrong.
- The judge didn't give a damn, saying that these two bastards had a difficult childhood. Well, if not, why are you here?
- I imitated the African accent during a family meal.
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Filtrage de l'air, Maison et décoration Famille n°2, 1971.
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quemajoiedemeure · 6 months
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Y a tellement de maisons vides et délabrées, ma mère dit que c'était pareil à Paris dans les années 80. J'ai bu de l'alcool à tous les repas (vihno verde), y a jamais de légumes nulle part dans les restaus mais ils vendent des mangues au kilo et pas à la pièce, j'ai volé : des tablettes de chocolat, une statuette religieuse, un bracelet de pierres volcaniques qui s'est cassé sur le trottoir dès que j'ai voulu le mettre. J'ai acheté des mini kiwis qui ont un goût de kiwi mais pas pareil. A Braga il y a un magasin Rolex et toute la journée il y a un flic posté devant. Quand on est allés dans le village de mon père j'ai mis sa playlist dans la voiture, quand on s'est mis à erer dans les rues des gens sont sortis parce qu'ils devaient être inquiets de voir des inconnus dans leur bled où il se passe jamais rien et en fait c'était des gens de ma famille qu'on connaissait pas. On a traîné dans le petit cimetière et y avait encore plein de gens avec notre nom de famille, mais morts. Et plein de cercueils posés à l'air libre dans des tombeaux de famille avec des portes vitrées. On a marché jusqu'à aller dans une forêt d'eucalyptus qui appartenait à ma grand mère avant qu'ils vendent tout pour s'acheter un appartement de merde en France, on a marché un peu et puis il y avait un arbre tout tordu qui était pas comme les autres alors on s'est arrêtés, ma sœur s'est mise à pleurer, j'ai demandé à ma mère si elle voulait que je le fasse et elle a dit si tu veux mais je voyais bien qu'elle était un peu soulagée si c'était moi, alors j'ai pris l'urne je l'ai ouverte et j'ai mis les cendres tout autour de l'arbre, en fait y avait beaucoup beaucoup de cendres alors j'ai tourné plusieurs fois autour de l'arbre et puis mes mains tremblaient fort comme si j'arrivais plus à rien porter, j'avais un peu l'impression que j'allais tomber et puis finalement c'était terminé - je me suis dit : tout ce qui reste de sa présence sur Terre c'est là et maintenant et quand on va partir on sera loin de tout ce qui reste de lui sur Terre,
et on est partis
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e642 · 5 months
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Aujourd'hui :
j'ai mal tourné et j'ai pris la porte de l'amphi (clairement un pb de parallélisme à mon corps), j'ai fait genre que ma souffrance n'était pas réelle devant tout ces 2005, mais l'hématome, lui, l'est
également j'ai eu une réunion bu avec ma famille nombreuse (mon groupe de travail de 7) et genre c'est pas les pierres les plus précieuses de la mine et clairement elles m'ont saoulées et du coup jai mis en note insta "séquestrée à la bu avec des débiles". J'avais oublié que je les avais sur insta :)
En prenant le tram j'ai croisé un mec avec un ensemble en pilou pilou vert qui avait l'air ultra confortable. Et j'étais obsédée genre je voulais sauter dans ses fringues toutes douces. Très dérangeante l'impression.
Puis en amphi une meuf ma dit "j'adore ta coiffure, t'as mis de la laque pour que ça tienne ?". Non ma biche, mes cheveux sont juste gras. 100% sébum. J'étais désarçonnée mais j'ai quand même inventé une marque de cire pour plaquer les cheveux en ajoutant c'est gluten free et elle m'a dit toute contente "j'irai voir merci !". Tu sais ce que ça veut dire gluten free ? Ptdr aled
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Regarde-moi cet endroit, t'y crois ? L'Hôtel du Centre, tout pimpant, tout blanc avec ses volets rouges, comme pour dire : « Hey, je suis là, au milieu de nulle part ! » Et puis ces petites montagnes, derrière, qui regardent de haut tout ce petit monde. Les voitures qui se pointent, à la va-comme-j'te-pousse, cherchant un coin pour poser leurs carcasses. Les arbres, discrets, qui se tiennent à carreau, histoire de pas déranger. Et puis ce petit trottoir, qui mène on ne sait où… Tout a l'air si tranquille, si posé, comme un dimanche après-midi où tout s'arrête. Mais dedans, qui sait ? Peut-être que ça bouillonne, que ça s'agite, que les verres trinquent et que les rires fusent. C'est un monde de contrastes, où la quiétude côtoie le tumulte, où l'apparence cache mille et une vies. Mais bon, de loin, on n'y voit que du feu. Tu sais, y'a des lieux comme ça, qui bravent le temps, qui résistent quand tout autour semble se déliter, s'effondrer. Cet hôtel, c'est un peu ça. Un vestige, un symbole. Quand tout ferme, tout change, tout est transformé, lui, il tient bon la barre. À l'origine, imagine, c'était en 1958, une simple pension de famille, la pension Mallet. Et puis l'appétit grandissant, la vision s'agrandit. En 1965, deux étages de plus viennent couronner l'édifice, pour faire face à une station de sports d’hiver en pleine expansion. 27 chambres pour accueillir les âmes en quête de repos et de glisse. Les Mallet, une famille de battants, l'ont tenu jusqu'en 1984, puis est venu le temps de la transmission, au fils, qui a veillé sur les lieux jusqu'à ce qu'il range ses clefs pour une retraite bien méritée en 2019. Aujourd'hui, de nouveaux visages sont aux commandes. L'Hôtel du Centre continue de vivre, de respirer, de témoigner de ce qu'il était autrefois et de ce qu'il sera demain. Un phare immuable, défiant l'obscurité des métamorphoses.
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perduedansmatete · 8 months
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ce matin j'ai râlé dans mon coin car j'avais mal au ventre et que je me suis dis oh putain voilà j'ai encore des douleurs de règles une semaine avant de les avoir j'en ai marre mon corps a vraiment décidé de me faire chier depuis quelques temps genre un an ou deux mais en allant aux toilettes je me suis rendue compte que non j'avais juste mes règles et j'ai encore plus râlé car on ne peut plus se fier à rien elles sont encore en avance et ça m'énerve c'est pas normal puis j'étais pas bien car j'ai l'impression et souvent mes impressions se vérifient qu'on me ment et j'aime pas ça j'ai stalké quelqu'un aussi et ça m'a pas apporté grand chose finalement à part faire passer le temps, d'ailleurs je pense que les gens qui croient qu'on leur ment tout le temps (moi) y croient parce qu'eux-mêmes mentent et je n'aime pas mentir mais je suis bien obligée pour un ou deux trucs toujours les mêmes et ça me pèse car c'est des mensonges généralisés dans le sens où c'est le même mensonge mais à plusieurs personnes et j'aime pas ça, je pense que j'aime aussi pas trop mentir car souvent c'est pas du tout dans mon intérêt car je cache juste mes émotions et mes ressentis en me disant qu'ils ne sont pas valables ou que ça me porterait préjudice de les exprimer et ça me met dans des situations merdiques enfin bref c'est peut-être pour ça que j'ai encore essayé de faire plein de tri aujourd'hui car j'ai besoin de me vider de beaucoup de choses je crois mais j'y vais petit à petit même si à force je commence quand même à me sentir démunie de tout et pourtant j'en amasse des trucs mais j'ai besoin de me défaire de certaines choses j'ai envie d'être une nouvelle moi et ça prend du temps, dans l'après-midi mon amie qui habitait à trente secondes de chez moi m'a appelé car elle passait à l'appart une dernière fois et qu'elle savait que je voulais le voir avant de tourner la page avec elle, ça m'a fait bizarre mais j'ai bien aimé on a laissé une dernière trace en me mesurant sur la porte de la salle de bain comme ça je serai toujours là avec elle et sa famille avant le coup de peinture des nouveaux propriétaires, en repartant de l'appart on a croisé le chat que j'aime bien car il me colle tout le temps = le chat qu'elle aime pas car il la colle tout le temps, il avait l'air d'avoir extrêmement chaud donc elle a voulu le mouiller avec un peu d'eau mais c'est sorti tout seul et il a fui le pauvre mais au moins on peut dire qu'il est bien hydraté et là je suis rentrée chez moi avec l'envie de revoir fleabag car j'ai besoin d'avoir le cœur brisé mais je crois que je vais juste m'abrutir le cerveau car j'ai vu qu'il y avait de nouveaux épisodes de love is blind où ils vont se taper dessus (j'espère) donc voilà mon programme de cette fin d'après-midi et de journée peut-être si je ne m'arrête pas (passionnant n'est-ce pas)
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empiredesimparte · 11 months
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Napoléon V: It's strange to be back in Paris Charlotte: Really? Napoléon V: As Emperor, yes.
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Napoléon V: I understand better why my ancestor, Louis XIV, settled at Versailles Charlotte: We can stay at Versailles, I suppose. I'd be curious to live there for a while Napoléon V : Father was very fond of Versailles
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Marie-Joséphine: So Your Majesty and Mademoiselle, how was the Croisette? I'm so happy to see you again.
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Napoléon V: So am I, Mother, everything went well. I'll take you next time Marie-Joséphine: With pleasure
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Manon (Charlotte's mother): This edition was very charming, and the weather was very nice Casimir (Charlotte's father): We'll be delighted to have you with us next year, Madame Mère
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Charlotte: And how was the visit to Scotland? Hortense: Fantastic
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Charlotte: I've never been there, but your uncle told me a couple of stories about his travels Hortense: Really? Charlotte: It looks pretty wild, really, so it's all the better if you enjoy it Hortense: The rest of the world can't be like Paris, Charlotte
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Napoléon V: Le Duc and his family will dine with us this evening. Marie-Joséphine: It's a pleasure to dine with you this evening, dear Duc.
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Casimir : A pleasure too, chère amie, it's an honour to be in the Tuileries this evening
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Manon: What generosity, Your Majesty Napoléon V: You are like my family, Duchesse
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Henri: Everything went well, Hortense, don't worry. I'll tell you all the gossip Hortense: Thank you uncle! I would have loved to have attended the Cannes Festival
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⚜ Le Cabinet Noir | Yacht impérial l'Aigle, 9 Prairial An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Napoléon V : C'est étrange de revenir à Paris Charlotte : Vraiment ? Napoléon V : En tant qu'Empereur, oui
Napoléon V : Je comprends mieux pourquoi mon ancêtre, Louis XIV, s'est installé à Versailles Charlotte : Nous pourrons séjourner à Versailles, je suppose. Je serais curieuse d'y vivre un temps Napoléon V : Père aimait beaucoup Versailles
Marie-Joséphine : Alors Votre Majesté, comment était-ce la Croisette ? Je suis si heureuse de vous revoir.
Napoléon V : Moi aussi Mère, tout s'est bien passé. Je vous emmènerai la prochaine fois Marie-Joséphine : Avec plaisir
Manon (la mère de Charlotte) : Cette édition était fort charmante, et il a fait très beau Casimir (le père de Charlotte) : Nous serons ravis de vous avoir avec nous l'an prochain, Madame Mère
Charlotte : Et comment était la visite en Ecosse ? Hortense : Fantastique
Charlotte : Je n'y ai jamais été, mais ton oncle m'a raconté deux trois anecdotes de ses voyages là-bas Hortense : Ah oui ? Charlotte : Cela a l'air assez sauvage, en vérité, tant mieux si tu y trouves ton compte Hortense : Le reste du monde ne peut être comme Paris, Charlotte
Napoléon V : Le duc et sa famille dîneront avec nous ce soir Marie-Joséphine : C'est un plaisir de dîner avec vous ce soir, cher duc
Casimir : Heureux pareillement, chère amie, c'est un honneur d'être aux Tuileries ce soir
Manon : Quelle générosité, Votre Majesté Napoléon V : Vous êtes comme ma famille, Duchesse
Henri : Tout s'est bien passé Hortense, ne t'en fais pas. Je te raconterai tous les ragots Hortense : Merci mon oncle! J'aurais aimé assister au Festival de Cannes
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ernestinee · 10 months
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Congééééé du coup je lis je joue à acnh je lis je mange je dors je regarde Netflix je lis je vais me balader avec l'ado ou avec son père, je joue à acnh (beaucoup ohlala), je lis encore, je dors un peu devant le tour de France ou la F1 et voilà voilà le programme du bonheur et du coup comme je voulais acheter des BD à mes patients pour la fin de l'année scolaire, je me suis dit que c'était l'occasion de commencer une nouvelle série de manga parce que justement j'ai pleeeiiin de place dans la bibliothèque (c'est faux) et j'ai opté pour Arbos anima. C'est en 5 tomes, ils sont édités par Glénat pour la VF depuis 2016 et là ça n'a pas l'air ni d'être terminé ni de continuer donc peut-être que la fin du tome 5 me laissera dans un état de frustration insupportable mais en attendant c'est une chouette lecture.
On est dans un seinen assez sympa qui m'a attirée avec sa couverture, puis le résumé m'a plu parce qu'il est question de botanique. Un jeune garçon, Noah, possède le don de lire la mémoire des plantes, ce don est vécu comme une malédiction par sa famille, qui l'enferme pendant 15 ans dans la serre. Sympa sympa.
Il devient "collecteur botaniste", il reçoit des missions pour lesquelles il doit chercher et collecter des plantes rares. Au fil des chapitres du premier tome, on fait la connaissance du personnage central ainsi que de ses deux acolytes : un ancien pirate qui lui sert de garde du corps, et une jeune fille qui souhaite venger sa forêt, brûlée il y a longtemps par un autre collecteur. D'ailleurs elle déteste les collecteurs parce qu'elle les prend pour des pilleurs et c'est un peu ça, mais Noah c'est pas pareil, il aime les plantes, il les traite bien, et il veille à en laisser dans leur milieu naturel.
Le tome 2 voit l'arrivée de l'ennemi principal, qui est justement le type qui a brûlé la forêt, c'est fou les hasards de la vie hein, sauf qu'il s'en fout de cette forêt, pour lui c'est de l'histoire ancienne, il veut juste tout savoir sur le don de Noah parce qu'il est un tantinet jaloux. Et manifestement, il est plutôt belliqueux.
Ça me fait seulement 9 livres depuis le début de l'année, les examens ont fait baisser les stats et celui-ci et les autres sont résumés dans le billet épinglé
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pauline-lewis · 3 months
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Now I too can say that I've been happy
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J'aime bien, parfois, quand les films se suivent et s'emboîtent d'une manière un peu particulière. Ces dernières semaines, j'ai vu à la suite Past Lives de Celine Song, Nuits blanches de Luchino Visconti et revu Two Lovers de James Gray (je ne sais pas si parfois ça vous arrive de revoir les films et d'avoir l'impression de les redécouvrir sous un jour tout à fait nouveau comme si on vous avait remplacé les yeux, le cœur ou le cerveau — mais en y réfléchissant vous vous rendez compte que ce sont juste quinze ans de vie, de lectures, d'expériences qui ont réarrangé complètement votre manière de regarder).
Trois films, donc, qui racontent à leur manière la solitude, les amours dont on sait qu'elles n'existeront jamais, les cicatrices que laissent le passé sur le cœur et aussi une forme d'incommunicabilité qui rend mélancolique.
Je suis allée voir Past lives sans trop savoir de quoi il en retournait, j'étais intriguée par la hype. J'ai été surprise, donc, des émotions très fortes que le film faisait parfois naître en moi. Il a une façon très juste de raconter ces relations à distance qui se cristallisent autour de conversations qui remplissent cette solitude bizarre qui a pour moi été synonyme de la fin de l'adolescence. Le film retrace donc l'histoire d'une jeune fille qui quitte la Corée avec ses parents alors qu'elle n'a qu'une petite dizaine d'années et qui se retrouve des années plus tard à discuter en ligne puis sur Skype avec son crush de l'époque. Et puis iels arrêtent de se parler, les années passent, chacun rencontre quelqu'un d'autre, vit sa vie. Et, encore dix ans plus tard, le contact est renoué. Celine Song a une manière vraiment très douce de filmer le léger malaise ces retrouvailles, on peut presque voir se balader à côté des deux ami·es le fantôme de celleux qu'iels ont été. À 10 ans, à 20 ans. Elle rend palpable le temps qui passe et ce qu'il nous fait. J'ai adoré que dans l'invisible, dans les silences, flottent les années, les expériences partagées mais aussi tous les instants que l'on a raté de l'autre. Il y a une scène assez magnifique dans laquelle l'héroïne discute avec son mari et ils se demandent ce qu'il se serait passé s'ils ne s'étaient jamais rencontrés. Ils délient, comme ça, par les mots, tout ce qu'ils ont noué ensemble. J'ai moi-même eu cette conversation plusieurs fois, cette conversation qui nous met au bord d'un précipice, qui nous donne un vertige.
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Et puis quelques jours plus tard j'ai découvert Nuits blanches de Visconti et je pense que cela faisait quelques temps que je n'avais pas aimé un film aussi fort. Adapté d'une nouvelle de Dostoïevski, Nuits blanches raconte l'histoire d'un homme très seul, Mario, incarné par Marcello Mastroianni (définitivement l'un de mes acteurs préférés) qui, alors qu'il erre dans les rues de la ville où il vient d'emménager, croise le chemin d'une jeune femme un peu perdue. Tout le film se passe le soir et cultive ce sentiment d'entre-deux : entre la nuit et le jour, entre la fiction et la réalité, entre la vérité et le mensonge. La jeune fille dont Mario est amoureux en aime un autre : celui qui l'a elle-même sortie de la solitude et d'une famille qui contrôle ses moindres faits et gestes (elle raconte dans un rire triste que sa grand-mère aveugle attache sa jupe à la sienne avec une épingle à nourrice). Il lui a promis de revenir la chercher et elle l'attend, fébrile, comme au bord de la folie.
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Comme dans Two Lovers et dans Past Lives, les relations se répondent mais ne semblent jamais parfaitement alignées. Mario se persuade qu'il est amoureux et se jette à corps perdu dans cette relation qui semble pourtant vouée à l'échec, tant le fantôme du précédent amant (qui, en plus, est incarné par Jean Marais, forcément ça en jette) prend de la place entre elleux. Dans une scène vraiment magnifique, Mario aide Natalia à écrire une lettre d'amour pour cet autre homme et il a l'air de penser que ces mots d'affection pourront peut-être, par ricochet, s'adresser à lui. (Il m'est arrivé de conseiller des chansons d'amour à faire écouter à une autre et d'espérer que la même illusion se produirait) Ils se baladent le long du canal, dans la brume, vont danser. Mario veut y croire, espère jusqu'au bout l'absence de ce deuxième homme qui n'a pas de prénom. Rien ne peut lui arriver puisqu'il sait désormais qu'il peut être heureux. Il est beaucoup question dans le film d'un amour idéalisé, rêvé et de la façon dont il se mesure à la réalité. Une femme qui aime un homme dont elle garde un souvenir qui semble vague, un homme qui tombe amoureux d'une image dans la brume. J'ai évidemment adoré le décor fabriqué à Cinecittà qui donne aux éclairages de nuit un aspect parfaitement irréel — je crois que j'aime le cinéma quand il a cette fausseté là et qu'il sait s'en servir et en jouer.
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Je l'ignorais lorsque j'ai vu le film à sa sortie mais Two Lovers de James Gray est aussi fortement inspiré de la même nouvelle de Dostoievski ("J'ai trouvé cette nouvelle très émouvante. Cet homme souffre de toute évidence d'une sorte de trouble psychologique, mais l'histoire se penche avant tout sur son rapport à l'amour."). Quand je l'ai vu la première fois il semblait me dire qu'il existait deux choix dans la vie, l'un de la sagesse et un de l'aventure. La brune, la blonde. Quand je l'ai revu la semaine dernière il me semblait bien plus profond : j'y ai vu les souffrances des un·es et des autres, le poids de la famille contre un certain désir d'émancipation, la possibilité de la fuite, une violence de classe aussi (dans la scène, cruelle, du restaurant). J'y ai vu de nombreux parallèles avec le film de Visconti (Two Lovers aussi se passe surtout de nuit) même cette scène de l'opéra qui se déroule dans Two Lovers presque hors champ (le personnage de Gwyneth Paltrow est invitée par son amant à en écouter en live tandis que celui de Joaquin Phoenix écoute un CD des plus grandes arias chez lui) et qui est celle de la cristallisation émotionnelle dans Nuits Blanches — Natalia y est emmenée avec sa grand-mère par son amant et elle en profite pour se rapprocher de lui. C'est la scène de la véritable naissance du désir, de la signature d'un pacte silencieux. C'est aussi, dans les deux cas, une scène d'éloignement. Il y a quelque chose qui, avec le temps, m'a touchée d'une manière très différente dans le film, peut-être dans une forme d'incommunicabilité. Il m'est apparu qu'il ne s'agissait pas tant d'une question de "choix" de vie que de questionner une vision de l'amour. J'ai été touchée par la manière dont le personnage principal cherche une vérité pourtant impossible à trouver dans le flou des sentiments, dont il pense que l'amour va le réparer. Peut-être, me suis-je dit en le terminant, que tous les films que j'ai aimé dans ma vie mériteraient que je les revois ne serait-ce que pour que j'ai l'occasion de constater ce que le temps leur a fait et a fait à mon regard. Voilà une résolution comme une autre pour 2024 !
(Si vous êtes arrivés jusque là je vous recommande fortement la BO de Past Lives composée par deux membres de Grizzly Bear, Christopher Bear et Daniel Rossen, et qui est sublime ! Elle est partie direct dans ma playlist "musique pour écrire").
youtube
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 75
Petit Week End calme.
Dimanche matin,
Comme nous nous sommes couchés tôt la veille, nous sommes debout de bonne heure. Il ne fait pas chaud mais nous partons faire notre jogging en short.
Alors que nous arrivons à la bifurcation qui nous fait passer par les ruines, nous retrouvons Arnaud et Bruno dans le même équipement que nous. Après les bises , nous nous remettons à courir. Nous sommes bien chauds en arrivant sur le lieu de notre première rencontre. Un arrêt s'impose et pour éviter de refroidir, je me colle à Marc et Arnaud à son Bruno.
Très vite je sens son beau sexe se développer derrière les tissus. De ma main je frotte sur le nylon augmentant la température intérieure. De son coté Arnaud fait de même sur la bite de Bruno. Dans un même mouvement avec Arnaud, je glisse à genoux dans les feuilles mortes et le visage à la bonne hauteur, je mange la bite de Marc. Il la sort vite du short pour éviter que je le lui détrempe de salive et me l'enfourne direct dans la gorge. Surpris je tousse un peu puis prend le rythme. A nos cotés, Bruno fait de même avec Arnaud. Pendant un moment les seuls bruits qui perturbe le silence de la forêt son ceux de deux bouches avides pompant deux beaux dards.
Je me redresse, baisse mon short et tourne le dos à Marc en me penchant. Arnaud collé contre mon épaule prend la même position. Nos deux culs ne restent pas longtemps à l'air et bientôt nous nous faisons enculer par nos mecs respectifs. J'attire la tête d'Arnaud vers moi et nous nous roulons une pelle bien que secoués par les va et vient dans nos culs. Je bande mais ne peux me branler mes mains stabilisant ma position. J'avise une grosse pierre plate un peu plus loin. Je propose de m'y mettre en 69 avec Arnaud pendant qu'ils continueraient à nous saillir. Alternative acceptée, je fait coucher Arnaud sur le dos, vient le couvrir en 69, puis nos mâles reprennent leurs places. Arnaud et moi pouvons maintenant nous sucer la bite et avec une grosse queue dans le cul, ça devient franchement trop bon. Nous atteignons bientôt le point de non retour et lors qu'on nous dose le trou, nous nous jouissons dessus.
5mn de repos puis nous reprenons notre course. Nous nous séparons à la sortie du bois. Arnaud ayant du travail a finir, ils ne peuvent finir le WE avec nous. Dommage, Igor et les jumeaux doivent nous rejoindre pour déjeuner !!
Arnaud dès qu'il le sait aurait bien fait l'impasse sur ses devoirs mais Bruno est inflexible et lui rappelle qu'il avait tout le temps de les faire la veille !
Dimanche midi,
Vers 13h, Igor arrive avec Tic et Tac. Embrassades, bisous sur les bouches et j'accapare nos jeunes amis pendant que Marc offre l'apéro à Igor. Nous nous racontons nos dernières aventures. Ils me racontent que leur père à trouvé dernièrement une meuf hyper chaude que l'idée de se faire baiser par toute la famille ne rebute pas et même excite un maximum. Ils la prennent aussi bien à deux qu'à trois et quand ils s'enculent devant elle, elle ne joue pas les prudes outrées de telles pratiques. Ils me précisent qu'elle n'a que 35 ans et qu'elle est assez canon niveau seins et cul. Comme elle est plutôt du genre insatiable, ils ont testé pas mal de combinaisons et sont déjà passés à deux dans ses trois trous. Tic me dit que quand il a sa bite collée à celle de son père, il bande encore plus dur. Tac me confirme.
Tous ces récits nous ont échauffé la tête. Quand nous rejoignons Marc et Igor, nos yeux brillants les amusent. Il ne faut pas longtemps avant que nous jetions sur eux, les dévorant de bisous. Nous nous retrouvons tous les 5 à poils au milieu du salon et sans leur laisser le temps de réfléchir nous entamons direct pipes et pelles. Il faut dire qu'encore en shorty, ils bandaient déjà !
Tic, Tac et moi, suçons aussi bien une bite que l'autre. Comme elles se ressemblent tellement qu'on dirait des jumelles, nous n'avons aucun mal à les avaler totalement. Les " mâles " bien excités, nous retournent pour nous fourrer. Je me fait prendre par Igor quand Tac se prend les 22 de Marc dans le cul.
Si les deux bites se ressemblent, leurs façons de bouger sont totalement différentes et il n'est plus question de se tromper de propriétaire ! Tic en reste, se met à genoux et nous suce l'un après l'autre. Tac et moi même n'avions pas besoin de ça pour bander mais c'est toujours agréable de sentir la moiteur d'une bouche couvrir son sexe pendant un ramonage en règle.
Tic me Kpote et vient se faire enculer en premier par moi. Sans difficultés, je rentre dans son cul poussé par les assauts de son père. Je le défonce 5mn avant qu'il n'aille tester la queue de son frère.
Nous modifions nos positions pour me retrouver face à face avec Tac, la table basse entre nous. Puis avec un peu d'acrobatie, Tic sur le dos sur la table se fait enculer par l'un tout en pipant la bite de l'autre et inversement. Sa tête bien basculée en arrière, je m'enfonce jusqu'aux amygdales, lui bloquant la respiration. Nos deux enculeurs sont bien excité et je sens les coups de reins augmenter de cadence, ça chauffe le cul ! mon collègue subit les même assauts et nous commençons à avoir du mal à nous retenir.
Bientôt les grandes mains d'Igor me bloquant, sa bite enfoncé au plus loin dans mon cul, je ressens intérieurement sa kpote se remplir de jus. Au même moment Marc se vide en Tac. J'ai juste le temps de sortir de la bouche de Tic pour le couvrir de jus mais son frère, lui, reste au chaud et se vide direct au fond de ses boyaux (pas de Kpote en famille !).
Nous nous désemboîtons les uns des autres et reprenons nos souffles en finissant l'apéritif. Puis nous allons vite nous doucher au sous sol avant de déjeuner en slip.
Pendant le café, Igor raconte à Marc sa trouvaille féminine et lui dit qu'elle est aussi un support de " jeux " pour les garçons. Pendant ce temps là, les jumeaux me questionnent sur les copains, Jean, Ric , Pierre et les autres.
Je leur dit que Pierre file le parfait amour avec son Olivier et qu'il a même réussit l'exploit de persuader ses parents de le changer de lycée pour qu'il puisse vivre avec lui. Je leur précise que j'ai du pas mal argumenter auprès de ses vieux, allant jusqu'à leur montrer l'enquête de police pour les rassurer. De plus Pierre s'est engagé à maintenir une moyenne générale de 15 minimum. Ils sifflent devant un tel engagement car, pour eux, c'est plutôt le minimum syndical et ils se contentent de 12 soumis aux ires de leurs professeurs persuadés qu'ils peuvent faire mieux si ils se décidaient à travailler.
Ils me questionnent aussi sur Ric dont ils admirent la musculature et ses aptitudes sexuelles hors normes. Je leur confie qu'il prend toujours son pied à se faire enculer par la mégabite de son père et qu'il est toujours en demande de plans comme ceux de l'autre WE où nous étions tous réunis. Je ne leur dis pas que je lui organise des gang bang, c'est plutôt perso comme info !
Comme ils demande à Marc quand aura lieu la prochaine touze, il leur répond qu'il ont failli en avoir une mini aujourd'hui si Arnaud avait fini ses devoirs pour lundi.
Ils grognent que la prochaine fois qu'ils vont le voir, il y aurait droit !
Les " males " bandant de nouveau, nous les avons soulagé en mettant tout notre savoir faire dans une succession de pipes simples ou à deux. Puis tous les trois (Tic, Tac et moi) nous nous sommes amusés ensemble au sous sol. Les douches comme les bancs de muscu et pour finir le sling nous ont servi de lieux de débauche. Pour finir j'enculais Tic pendant que son frère lui fourrait la gorge de son gland. Quand Tic à recouvert ses abdos de sperme, j'ai contribué à l'élargissement de la mare en lui jutant dessus pendant que Tac le gavait. Le voir avaler avec autant de plaisir le jus de son frère c'était très jouissif ! Ils ont fini par une pelle ou les langues se sont battues pour trouver les dernières trace de sperme.
Quand nous sommes remontés enfin propre, nous avons eu des remarques sur le temps que nous avions mis à nous laver.
JARDINIER
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