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#fils et filles de france
roehenstart · 23 days
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Portrait of Louise Elisabeth of France (1727-1759), Duchess of Parma, in court dress. By Jean-Marc Nattier.
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chic-a-gigot · 5 months
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La Mode nationale, no. 2, 12 janvier 1907, Paris. Costume de promenade. Bibliothèque nationale de France
Toilette de promenade pour jeune femme ou jeune fille; gros lainage écossais, quadrillé largement de fils noirs sur fond mélangé de blanc, de vieux rouge et de vieux bleu de plusieurs tons. Au bas de la jupe, biais doubles arrondis devant. La jupe-corselet est biaisée devant et couturée. Boléro de drap bleu dans le ton, garni de biais écossais et de boutons de velours. La manche ample est resserrée dans un poignet auquel s'ajoute un parement écossais. Les biais du boléro se font de préférence en velours ou en panne assortis de tons; c'est plus coquet que le gros lainage; les pochettes sont en velours vieux rouge bordées de bleu. (Voir le dos.)
Walking ensemble for young women or girls; heavy Scottish wool, widely squared with black threads on a mixed background of white, old red and old blue of several tones. At the bottom of the skirt, double rounded bias front. The corselet skirt is biased at the front and seamed. Blue cloth bolero to match, trimmed with Scottish bias and velvet buttons. The loose sleeve is tightened into a cuff to which is added a tartan facing. The bias of the bolero is preferably made of velvet or panne in matching tones; it's more stylish than heavy wool; the pockets are in old red velvet bordered in blue. (See back.)
Matériaux: 4m,50 de lainage écossais; 2m,50 de lainage uni; 1m,50 de velours écossais.
Chapeau de feutre bleu, très garni de velours écossais.
Blue felt hat, heavily trimmed with Scottish velvet.
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Quelques trucs bien. Octobre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Accueillir ma fille, mon gendre et mon petit M. pendant les quelques jours de leur déménagement. Rassembler la famille  
Profiter des vacances d’automne. Se laisser bercer par l’arrière-saison avant l’hiver 
Écrire un poème sur la fin de l’été. Ode à septembre 
Reprendre les ateliers d’écriture avec les ados 
Récupérer mon petit M. après sa journée de garde. Le bercer, inventer une chanson pour le faire patienter en attendant le retour de sa maman. L’écouter pleurer pour évacuer le stress de sa journée puis le sentir se calmer dans mes bras
Bouquiner dans mon fauteuil jaune de lecture 
Dénicher deux bd romans graphiques chez mon bouquiniste 
Préparer une brioche maison pendant une insomnie. Me recoucher en pensant au délicieux petit déjeuner qui sera tout chaud 
Faire la grasse matinée après une longue insomnie 
Acheter une robe de soirée pour l’anniversaire déguisé de ma sœur. Soirée folle en perspective 
Visiter le prochain appartement de ma fille, tout près de chez moi. La sentir heureuse de se rapprocher et de faire des projets 
Bricoler avec mon fils. Trier, ranger, nettoyer. Réorganiser la vie 
Accueillir un rouge-gorge qui vient m’annoncer personnellement que l’été est fini et que l’hiver est en chemin 
Recevoir des nouvelles baskets. Plaisir des pieds 
Commencer à rassembler le groupe de de peinture, petit à petit. Laisser s’exprimer et s’apaiser les craintes. Séance en atelier la semaine prochaine 
Aller au restaurant et au cinéma entre filles. Passer une belle soirée à rire de bon cœur. La vraie vie comédie 
Passer tout un week-end avec mon petit M. faire encore une insomnie mais l’écouter dormir à poing fermés
Avancer sur les démarches administratives. Espérer que ça aboutisse vite maintenant 
Aller à une lecture d’un jeune poète syrien réfugié de la guerre et exilé en France. Écouter son témoignage en français, langue de la raison et ses poèmes en arabe, langue du cœur 
Aller à un événement en soutien aux femmes iraniennes et afghanes. Me laisser submerger par l’empathie à l’écoute des témoignages et l’émotion des chants orientaux. Sentir les larmes aux yeux de tristesse et de colère 
Aller à un spectacle de Résistances poétiques de Cyril Dion, vibrer de sa voix grave et des accords de guitare de Sébastien Hoog. Apprécier son humour et l’ironie du sort 
Recevoir des photos de mon petit M. dans la journée. Savoir qu’il s’adapte bien à son mode de garde chez ma sœur 
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ernestinee · 11 months
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Congééééé du coup je lis je joue à acnh je lis je mange je dors je regarde Netflix je lis je vais me balader avec l'ado ou avec son père, je joue à acnh (beaucoup ohlala), je lis encore, je dors un peu devant le tour de France ou la F1 et voilà voilà le programme du bonheur et du coup comme je voulais acheter des BD à mes patients pour la fin de l'année scolaire, je me suis dit que c'était l'occasion de commencer une nouvelle série de manga parce que justement j'ai pleeeiiin de place dans la bibliothèque (c'est faux) et j'ai opté pour Arbos anima. C'est en 5 tomes, ils sont édités par Glénat pour la VF depuis 2016 et là ça n'a pas l'air ni d'être terminé ni de continuer donc peut-être que la fin du tome 5 me laissera dans un état de frustration insupportable mais en attendant c'est une chouette lecture.
On est dans un seinen assez sympa qui m'a attirée avec sa couverture, puis le résumé m'a plu parce qu'il est question de botanique. Un jeune garçon, Noah, possède le don de lire la mémoire des plantes, ce don est vécu comme une malédiction par sa famille, qui l'enferme pendant 15 ans dans la serre. Sympa sympa.
Il devient "collecteur botaniste", il reçoit des missions pour lesquelles il doit chercher et collecter des plantes rares. Au fil des chapitres du premier tome, on fait la connaissance du personnage central ainsi que de ses deux acolytes : un ancien pirate qui lui sert de garde du corps, et une jeune fille qui souhaite venger sa forêt, brûlée il y a longtemps par un autre collecteur. D'ailleurs elle déteste les collecteurs parce qu'elle les prend pour des pilleurs et c'est un peu ça, mais Noah c'est pas pareil, il aime les plantes, il les traite bien, et il veille à en laisser dans leur milieu naturel.
Le tome 2 voit l'arrivée de l'ennemi principal, qui est justement le type qui a brûlé la forêt, c'est fou les hasards de la vie hein, sauf qu'il s'en fout de cette forêt, pour lui c'est de l'histoire ancienne, il veut juste tout savoir sur le don de Noah parce qu'il est un tantinet jaloux. Et manifestement, il est plutôt belliqueux.
Ça me fait seulement 9 livres depuis le début de l'année, les examens ont fait baisser les stats et celui-ci et les autres sont résumés dans le billet épinglé
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mmepastel · 6 days
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Zadie Smith est presque trop brillante.
Quand la semaine dernière j’ai appris qu’elle avait sorti un roman, se déroulant à l’ère victorienne, j’ai failli m’évanouir de joie. Je me suis précipitée dessus évidemment.
J’en ressors un peu déçue, je ne sais pas trop bien pourquoi puisque je n’ai pas de reproches à lui faire.
Elle nous mène tambour battant à travers l’Angleterre du XIXe, avec de courts chapitres enlevés, à travers la conscience d’Eliza Touchet, femme ayant réellement existé, au statut bancal, pourvue d’une famille étrange et d’un esprit drôlement affuté.
Le style est lumineux mais très sec. On sent que l’autrice s’est voulue exigeante, pas de sentimentalisme, des faits, un œil acéré sur l’époque. Roman victorien, non. Pas de narration linéaire, pas d’effusion, pas de chichis.
Eliza Touchet a été mariée et a eu un fils. Les deux sont morts tôt. Désargentée, elle a rendu service en vivant avec son cousin, un écrivain populaire (lui aussi réel mais aujourd’hui oublié), étant à la fois sa relectrice, sa gouvernante, son amante, sa confidente. Ça n’a pas empêché ledit cousin de se marier deux fois, ainsi la maisonnée, souvent délocalisée suite au déclin du succès des romans de William, est devenue un genre de microcosme composite : une épouse officielle (la deuxième) issue des bas quartiers, leur jeune fille, les trois filles de William de son premier mariage (avec Frances, avec laquelle Eliza a vraiment connu l’amour), et Eliza, qui gère tout ce beau monde et essaie de comprendre sa place dans cette maison, dans ce pays, dans cette époque.
Justement, le pays se passionne pour un procès célèbre. L’histoire d’un imposteur qui voudrait bien croquer une part des restes de l’argent généré par l’esclavage en Jamaïque, à peine aboli. Cette idée est très forte dans le livre et elle en est le cœur. A travers ce personnage et son domestique Bogle, un noir remarquablement stoïque, le pays se déchire. Eliza se passionne pour Bogle et sa conscience catholique abolitionniste s’en trouve renforcée.
Mais c’est là que cela s’est corsé pour moi : je n’avais pas les connaissances suffisantes pour comprendre toutes les subtilités économiques et politiques que soulevaient ce procès. La mort d’une époque, la fin de certains privilèges, je ne les ai compris que péniblement car Zadie Smith est plus ironique que pédagogue (et elle a raison !) ; n’empêche que c’est dur de suivre. Avec les sauts dans le temps aussi. La navigation d’une époque à une autre. Je n’aurais pas craché sur un poil plus d’explications contextuelles.
La meilleure idée du livre selon moi, celle que j’ai pleinement comprise et aimée, en riant souvent, c’est de placer au cœur de cette société patriarcale et raciste une femme intelligente et sarcastique, qui observe tout et a pris l’habitude de tout cacher pour sa sécurité et sa tranquillité. Eliza voit tout, observe tout, juge tout et tous, même Dickens en personne (et il n’est pas épargné par sa sagacité). Elle comprime ses pensées car une femme n’est pas censée penser ni parler politique. Elle supporte en serrant les dents les discussions des littéraires plus ou moins avisés ou alcoolisés, essaie de naviguer dans le petit sillon qui est le sien, se faire sa propre conscience, et agir selon ses convictions. Elle n’a pas beaucoup de marge de manœuvre, mais elle s’y tient. Cette droiture va de pair avec une immense solitude. Solitude que j’ai pleinement ressentie quand elle pose des questions existentielles en son for intérieur, questions qui comptent, cruciales, qu’elle ne peut poser à personne et qui résonnent dans le livre comme autant de coups contre une boîte dans laquelle les femmes et les noirs étaient enfermés en ces temps qu’on voudrait résolument révolus…
Peut-être faudrait-il que je relise ce livre, un jour, en ayant pris les informations nécessaires, en ayant bossé en quelque sorte ! Je crains d’être passé un peu à côté du bijou que ce doit être. Je vous dit, Zadie Smith est plus intelligente que nous. Enfin moi. Mais bon, franchement, elle est au-dessus du lot, largement.
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ekman · 7 months
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Ah, le joli mois d’octobre ! La déplorable situation au Proche-Orient – disons en Palestine pour préciser les choses –, révèle, en Occident essentiellement, les peurs, les lâchetés, voire les renoncements de bien des populations et de leur gouvernement. Ce que j’observe, avec amusement autant qu’avec inquiétude, c’est l’immaturité des réactions de la plupart des nations de “l’Occident global” face aux derniers développements de problèmes pourtant vieux comme Mathusalem. Le fond, comme la forme, sont désespérants. L’Europe, et la France en particulier, attestent l’effacement définitif de leur rôle historique dans le bassin Levantin. Les médias, comme c’est leur habitude, hystérisent les événements et prennent aveuglément le parti de leurs actionnaires. “Israël ! Israël ! Israël !” entends-je partout, à tout bout de champ, tout le temps. Il faut défendre Israël avec les Israéliens, parce qu’Israël, c’est le rempart de notre civilisation contre les sauvages musulmans. Quand Israël sera tombé, c’est tout le continent qui sera attaqué, la nuit, à l’aube, au couteau, à l’AK. Nous serons tous pogromisés, kippa ou pas, pour le seul crime d’être des kafirs.
Je résume là ce qui me semble être, plus ou moins explicitement, plus ou moins bruyamment, le mot d’ordre – ou plutôt la “parole de panique” – qui s’installe sous nos latitudes. Et je joins quelques capsules mnésiques liées à ces événements :
• Il est navrant le spectacle de cette aube automnale si belle qui dévoile le défilé des assassins à moto, bouchers amateurs partis massacrer des familles endormies. Éternel recommencement de l’insupportable injustice frappant les populations prises à parti, flinguées, étripées, égorgées – cadavres et scènes de crimes arrangés à des fins de terrorisme par l’image. “Allah u-akbar”, comme toujours, ici ou là-bas. Tout  a été filmé, par les caméras d’inutile surveillance des victimes et les go-pros des instigateurs. Tout a été montré. • Scènes à peine croyables – je dis bien “à peine croyables” – des commandos palestiniens faisant détonner des explosifs contre des murs en béton et des rideaux de barbelés pour pénétrer des périmètres de sécurité placés sous surveillance automatique 24/7. Les drones qui ont largué leurs charges explosives au-dessus des relais de communication et autre appareil de détection, volent sans ambage d’un pylône à l’autre. Pouvait-on être plus prévisible ? Des ailes volantes motorisées sillonent le ciel, ouvrant le feu sur tout ce qui court en dessous. Pouvait-on être moins discret ? Et pourtant, la petite base armée prise d’assaut regorge de cadavres en slip, tirés du lit dans la panique, la plupart n’ayant même pas eu le loisir de défendre leur peau face aux assaillants brailleurs.
• Grand rassemblement décadent, scènes et chapiteaux. Les fumeurs de oinjes, les raveurs, les filles et fils de bobos, les zoneurs à dreadlocks et leurs meufs à cheveux bleus fuient dans le désert pour échapper au flinguage venu du ciel. Grand Bataclan à ciel ouvert. On a tous rêvé de débarquer dans une rave en Hummer pour remettre un peu d’ordre. Mais là, je vois courir tous ces hébétés et je pense aux parents qui, dans quelques heures, recevront qui un coup de téléphone, qui la visite d’amis ou d’officiels venus leur annoncer ce qu’aucun parent, jamais, ne devrait être contraint d’entendre.
• Un prof a été égorgé dans un lycée français, le deuxième et certainement pas le second. Héros, hommage, hugs. Les trois “H” du cancre élyséen. À la lumière des “massacres du Hamas”, de nombreux chroniqueurs ne peuvent s’en empêcher : mais combien sont-ils chez nous, nous les braves et pacifiques Français, à attendre le grand soir et son fameux croissant de lune ?
• Prendre parti. Ceux qui déplorent les Palestiniens écrasés sous leurs immeubles à coups de bombes sont d’infects islamo-collabos. Les chroniqueurs, chefs de plateau et autres inutiles s’agitent bruyamment, distribuent des bons points et offrent à qui en veut une tournée de moraline. Ça va de “j’ai d’excellents amis Juifs” à “et la Shoah alors, vous en faites quoi ?”. Pathétiques agitations, pitoyables guignolades.
• Je n’entends quasiment personne rappeler ce qu’était encore la diplomatie française d’après guerre. Ce que nous avions perdu en puissance militaire, nous pouvions encore le compenser en influence. Le refus d’être inféodé, comme l’obsession de la souveraineté, allait favoriser l’émergence d’une autre voie – le non-alignement –, unique chemin vers la préservation d’une forme d’indépendance géopolitique dans un monde violemment bi-polaire. L’exceptionnel domaine ultra-marin de la France lui conférait alors une dimension internationale quasi naturelle, préservée des affres d’une décolonisation dramatique. Que reste-t-il de tout cela ? Rien. Absolument rien. La France a perdu partout, elle qui est maintenant devenue une colonie du tiers-monde, le champ d’expérimentation européen du globalisme assassin.
• Pathos, pathos, pathos ! J’ai du pathos à pas cher, en voulez-vous ? L’heure est donc à l’effroi et à l’indignation. Idéal pour nous rappeler que le peuple juif est un peuple héroïque. Légèrement dominateur – comme nous le rappelait le grand Charles – mais courageux, combattif, résolu. Idéal aussi pour déshumaniser le Palestinien de base et fermer les yeux sur les tonnes de bombes balancées sur des gens qui rêvaient sans doute d’égorger des Juifs mais qui, étant donné leur condition physique nouvelle, n’auront pas le temps de passer à l’acte. Je sais, je fais du mauvais esprit. Précisément. Ce qui est triste, là-dessous, c’est le cautionnement inconditionnel de la scénarisation tous azimuts. Ces gens-là, Monsieur, n’ont honte de rien. Ceux qui montrent avec le regard fixe, la mâchoire d’acier, le geste calme, et ceux qui regardent, le teint livide, la bouche ouverte, l’œil mouillé et la gorge nouée. Images de salle à manger transformée en abattoir, de jardinet jonché de tripaille, de trainées de sang chaud dans les couloirs. Ça change des parents gris qui beuglent comme des bougres avec le cadavre tout cendré de leur môme de quatre ans et demi dans les bras. “Oui, mais en même temps, il y a les agresseurs et les agressés, hein, non ?”. Et dire qu’ils sont payés pour oser proférer de telles ignominies.
• François Cevert est mort le 6 octobre 1973 sur le circuit de Watkins Glen. C’était le jour du commencement de la guerre du Kippour. Un demi-siècle plus tard, alors que je raconte à qui veut bien m’écouter la carrière fulgurante et la mort tragique de celui qui fut mon idole, le Hamas fourbit ses armes pour son attaque du 7 octobre. Coïncidence ? Je crois bien, oui.
J.-M. M.
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La maison du célèbre banquier Rothschild a confirmé que l’éco-activiste suédoise Greta Thunberg est l’arrière-petite-fille du célèbre banquier Lionel Walter Rothschild, fils du premier baron Rothschild. Les médias se sont intéressés à cette relation présumée après qu’une source de Handelsbanken, banque suédoise, a affirmé que la Fondation Rothschild avait effectué des virements sur les comptes de la famille Thunberg. L’arrière-grand-père de l’activiste, Joachim Thunberg, était le fils illégitime mais reconnu de Lionel Rothschild en 1928. Sa mère l’ayant élevé seule pendant les deux premières années, il a hérité du nom de famille de cette dernière. Joachim a ensuite été pris en charge par son père biologique et, à partir de l’âge de 12 ans, il s’est installé en France. A 26 ans, Joachim Rothschild-Thunberg devient l’un des banquiers les plus prospères de Suède.
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Voir le lien https://www.aap.com.au/factcheck/no-greta-thunberg-is-not-related-to-the-rothschild-family/
Allez savoir la vérité avec tout ça 😮‍💨
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roehenstart · 27 days
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Marie-Anne de Bourbon (1666-1739). Atelier de Hyacinthe Rigaud.
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dreamconsumer · 27 days
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Marie-Adélaïde de France (1732-1800). By Johann Ernest Heinsius.
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chic-a-gigot · 13 days
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La Mode nationale, no. 20, 17 mai 1902, Paris. Groupe de toilettes de voyage pour dames, jeunes filles et enfants. Bibliothèque nationale de France
(1) Manteau de voyage pour jeune femme ou dame d'âge moyen, en fil et soie beige ou en homespun léger. Paletot long à plis cousus jusqu'à une distance de quarante centimètres du bord. Autour, plis repincés ou straps étroits. Grand col en forme et col rabattant. Gros boutons de nacre blonde.
(1) Travel coat for young or middle-aged ladies, in beige thread and silk or light homespun. Long overcoat with pleats sewn up to a distance of forty centimeters from the edge. Around, re-pinched pleats or narrow straps. Large shaped collar and turn-down collar. Large blond mother-of-pearl buttons.
Matériaux: 5 mètres de lainage ou 8 mètres de tissu fil et soie.
Chapeau de paille beige relevée, genre marquis, enroulé de dentelle blanche. De chaque côté, le bord est maintenu par une barrette de velours noir et un motif d'acier.
Raised beige straw hat, marquis style, wrapped in white lace. On each side, the edge is held by a black velvet bar and a steel pattern.
(2) Robe de voyage pour jeune femme ou jeune fille, en corskrew bleuté. Jupe en forme, garnie de straps disposés en pintes. Boléro croisé à la taille, orné de longs revers châle en taffetas damassé noir et blanc. Manche chemisette. Plastron et cravate d'homme en soie noire.
(2) Travel dress for young women or girls, in blue corskrew. Shaped skirt, garnished with straps arranged in pints. Bolero crossed at the waist, decorated with long shawl lapels in black and white damask taffeta. Shirt sleeve. Men's bib and tie in black silk.
Matériaux: 6 mètres de lainage.
Matelot de paille bleue, garni de velours noir et d'un couteau beige.
Blue straw sailor, trimmed with black velvet and a beige knife.
(3) Manteau pour fillette de 10 ans, en lainage fantaisie gris-souris. Grande pèlerine encadrée d'un large biais écossais de tons doux. Pattes de drap gris pour fermer et boutons de nacre.
(3) Coat for 10-year-old girl, in fancy mouse-grey wool. Large cape framed with a wide Scottish bias in soft tones. Gray cloth tabs to close and mother-of-pearl buttons.
Matériaux: 2 mètres de lainage; 1 mètre d'écossais.
Chapeau auréole en paille rouge mélangée, drapé de liberty rouge et piqué d'un nœud rouge.
Halo hat in mixed red straw, draped in red liberty and adorned with a red bow.
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charleslebatman · 6 months
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Je pense que la raison qu'on peut trouver le comportement de Charles bizarre est qu'il essaie de jouer un rôle. Il est issu de la petite classe moyenne qui aspire à monter socialement. Il imite les codes des élites sans les avoir et ça se voit, c'est assez malaisant. Il ne vend pas l'élite mais ce que les classes moyennes l'imaginent. Donc il va servir les intérêts des élites même si ça va à l'encontre de ses intérêts. ça explique aussi sa nouvelle copine. Alexandra représente une sorte d'ascension sociale via les relations. Il veut montrer qu'il est passé une fille qui porte du zara à une autre qui porte du dior.
C'est du marketing pure et simple. Pas étonnant qu'il fasse la promo de yatchs sur Instagram. Ce n'est pas le seul à jouer ce rôle qui est indispensable pour survivre dans ce milieu. Il est très difficile de réussir quand on est pas fils de milliardaire ou de pilote.
Il se crée une nouvelle identité pour se faire accepter par ce monde d'élite. Malheureusement, il aura toujours quelque chose qui vendra la mèche.
Translation:
I think the reason you might find Charles' behavior odd is that he's trying to play a role. He's from the lower middle class who aspire to move up the social ladder. He imitates the codes of the elites without having them, and it's obvious, it's quite uncomfortable. He's not selling the elite, but what the middle classes imagine it to be. So he's going to serve the interests of the elites, even if it goes against his own interests. That also explains his new girlfriend. Alexandra represents a kind of upward social mobility. He wants to show that he's gone from a girl who wears Zara to one who wears Dior.
It's marketing pure and simple. No wonder he's promoting yachts on Instagram. He's not the only one to play this role, which is essential for survival in this business. It's very difficult to succeed when you're not the son of a billionaire or a pilot.
He creates a new identity to gain acceptance in this elite world. Unfortunately, he'll always have something to fall back on.
C’est ce que je disais depuis le début, mais on me prenait pour la tarée de service. J’essayais d’expliquer en privé, que c’était une sorte d’influence très européenne ou que l’on voit énormément en France. Si vous comprenez le français, le post de cette poule/bestie est encore plus juste et impeccablement écrit.
That's what I've been saying all along, but people thought I was the weirdo on duty. I was trying to explain privately, that it was a kind of very European influence or one that we see a lot of in France. If you understand French, this poulette/bestie's post is even more accurate and impeccably written.
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yanncavell · 7 months
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Au fil de l’intrigue du téléfilm américain "Talking to Heaven" (2002), également connu sous le titre "Living with the Dead" et rebaptisé "Apparitions" pour sa diffusion sur le territoire français, un médium, en communication avec les esprits de jeunes garçons kidnappés puis assassinés par un tueur en série, entre en transe et, ce faisant, s’identifie à l’une des victimes du meurtrier, se visualisant ligoté au moyen de cordes et bâillonné avec du ruban adhésif, à l’intérieur du coffre d’une voiture.
Dans un autre téléfilm américain, intitulé "Nightworld : Lost Souls" (1998) et connu en France sous le nom "Les Étranges conversations de Meggan", c’est une fillette autiste qui dialogue avec les âmes d’enfants disparus, enlevés puis assassinés par un mystérieux inconnu. L’auteur de ces méfaits ne tarde pas à s’en prendre au grand-frère de la petite fille : le garçon est capturé dans une forêt, lors d’une promenade en vélo, et finit ficelé au fond d’une grotte, bâillonné par une fine cordelette passée entre ses lèvres.
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claudehenrion · 6 days
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Démocratie / religion : un couple inséparable ?
Pendant ces dernières vacances, j'ai eu la chance de lire un livre récent de Hartmut Rosa, ''Pourquoi la démocratie a besoin de la religion''. Ce bouquin m'a transporté au septième ciel (Petit rappel, pour sourire : les astrologues babyloniens avaient découvert que six étoiles semblaient hors de l'organisation de la ''voûte céleste'' (alors dite ''fixe'') : Soleil, Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne avaient donc été associées, chacune, à un ''ciel'' spécifique. Cette image a été reprise par Ptolémée, et jusqu'à Copernic... Puis les sexologues ont détourné ce ''septième ciel'' vers d'autres cieux…).
Hartmut Rosa est un des sociologues majeurs de la modernité. Largement inconnu en France (il n'est pas assez ''de Gauche'' pour l'être, puisqu'il a formulé de grandes réserves sur la modernité –qu'il critique, ce qui est un péché mortel contre la doxa, ceci expliquant cela !), c'est un disciple de Habermas dont Il partage la vision d'un capitalisme prédateur. Mais s'il poursuit des rêves de justice et d'émancipation, il refuse la mode qui voit la solution à tous les problèmes dans la seule critique du catholicisme, qui était si ''prégnant'', il y a 250 ans, que les Lumières en avaient fait l'ennemi à abattre (''Ecrelinf'', écrasons l'infâme, écrivait Voltaire...). Au moment où il ne représente plus aujourd'hui que 2 % de la population française, les fils des prétendues ''Lumières'', définitivement éteintes, ne voient même pas l'anachronisme de toutes leurs prises de position ! Mon Dieu (si j'ose dire ça en leur présence) ! Sont-ils périmés !
Les lecteurs réguliers de ce Blog ont tout de suite compris pourquoi ce livre m'a tellement séduit : depuis notre n°1, le 15 novembre 2013, je n'ai jamais caché ma croyance profonde que le retour aux fondamentaux chrétiens –sources profondes de la civilisation dite occidentale, fille d'Athènes, de Rome et de Jérusalem-- pouvait encore sauver le monde de sa chute vertigineuse actuelle.. idée dans laquelle je persiste, même si je me sens souvent bien seul et en opposition avec ''ce qui est à la mode et que les pouvoirs officiels font croire vrai'', càd. avec cette doxa-du-jour qui égare tant de braves gens, contaminés par cette pathologie tellement plus mortifère que les ''fake-pandémies'' (genre covid) dont nous gavent les médias ''main stream'' (ce terme désignant les destinataires des subventions de l'Etat, donc les suppôts de la mensongère ''vérité officielle''). Vous imaginez mon bonheur devant cet ''essai'' stimulant, à contre-courant de toute la pensée officielle (donc dépassée, par définition : le temps que leur fatras conceptuel atteigne leur lobe droit... l'info est obsolète !).
Le ''script'' est d'une simplicité... biblique : face à une accélération sociale toujours plus agressive pour les individus comme pour les groupes humains, Hartmut Rosa affirme que la religion offre une sorte d'antidote à ce mouvement de destruction de l'individu qui est une tendance lourde de notre monde en marche vers sa fin programmée --et apparemment voulue par certains. Pour lui, la religion –et plus particulièrement son rameau chrétien (nous y reviendrons)-- favorise une manière ''d'être au monde'' qui rejette les excès de contrôle, de domination et de normes inutiles, pour ''se tenir comme un cœur qui écoute...'' comme le dit la prière de Salomon...
Son point de départ est la constatation du mécontentement (en voie de généralisation) qu'engendre notre mauvaise habitude de ne plus voir, juger et évaluer le monde qu'en termes et en fonction de critères économiques (en France, nous en vivons un exemple permanent : nous sommes condamnés à survivre dans un monde où le discours de Macron et de Le Maire sont les références prépondérantes. Quel désastre !). Rosa explique :''Le sentiment que ''ça ne peut pas continuer comme ça'' est devenu culturellement dominant... et il ne débouche sur rien que la violence et le chaos...''.
(NB : on le vit ''H 24'', avec l'appel à l'aide de nos paysans qui demandent respect, considération, écoute, fin des idées absurdes (donc de l'emprise néfaste des malfaisants de Bruxelles) et restitution de leur dignité volée... et à qui on répond : 50 millions d'Euros ici, 30 millions là et 20 ailleurs... en leur vantant les beautés de l'Europe et de la Norme.. comme ne peuvent s'empêcher de le faire Macron et Attal, jetant ainsi de l'huile sur le feu, en plein drame civilisationnel... ).
Devant ce grand doute collectif, H. Rosa parie que ''la religion peut aider à retrouver ce dont nous avons vraiment besoin'' et veut quitter les modalités de l'agression-seule-solution-possible, en retrouvant un iso ''pari de Pascal'' : ''Qu'est-ce que j'y gagne, moi ?'' Et ''Qu'est-ce que cela me coûte / me rapporte'' ?... ce qui invite et incite à la redécouverte d'une attitude résolument ''autre'', tournée vers le bien-être inhérent à se laisser parcourir par un autre souffle. Dans cet essai audacieux, le sociologue nous invite à envisager volontairement que la voie que nous avons choisie et privilégiée n'est sûrement pas la seule, et sans doute loin d'être la meilleure. Lui, offre, en un mouvement contraire, la ''face lumineuse'' de la religion –en espérant la guérir de ses pathologies, qu'il estime plus facilement guérissables que … tout ce qui ne va pas dans le bon sens dans le système actuel.
En tout état de cause, son analyse ouvre la porte à de nouvelles possibilités de dialogue entre croyants et non-croyants... et rien que l'espoir de ce seul authentique progrès justifierait qu'on donne sa chance à ce ''on ne l'a plus essayé depuis des siècles... On dit Chiche ? Il y a, depuis peu, tant de pays qui s'ouvrent enfin à un retour de l'intelligence dans les systèmes politiques que si on ouvrait cette porte hermétiquement interdite par des idéologies dont pas une seule n'a réussi, jamais, même un peu... ça n'irait sans doute pas plus mal, et peut-être même mieux. Après tout, tout va si mal qu'on n'a pas grand chose à perdre ! Il suffit de voir à quelle vitesse le rouge et le rose disparaissent de notre ciel –et ''c'est pas trop tôt !''-- pour avoir envie de se remettre à croire à nos lendemains...  Merci, Monsieur Rosa !
H-Cl.
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🇫🇷Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, quel est le dernier Fronsac que vous avez dégusté🇫🇷
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🍇🍷AOP Fronsac Rouge 2020 cuvée Haut de Carles du domaine @hautcarles_officiel 🍇🍷:
🍇 :
96 % Merlot
4 % Cabernet Franc
💰:
33,50€ / bouteille
🏺:
Élevage 18 à 24 mois en fûts
📆:
Age moyen des vignes : 35 ans.
👁️ :
Robe de couleur pourpre soutenu
👃 :
Un nez sur des notes de fruits noirs, épices.
💋 :
En dégustant ce vin, on est enveloppé par des tanins d'une douceur veloutée, une rondeur exquise. Les papilles sont submergées par une explosion de fruits noirs (Cassis, mûre, Myrtille), des touches de poivre noir et de réglisse. Le boisé est parfaitement équilibré, sans excès. Une délicieuse persistance en bouche se termine par une finale délectable de pruneaux et de délicates notes de chocolat.
📜En résumé📜 :
Un sublime Fronsac, fier étendard du domaine, a enchanté mes papilles ainsi que celles de mes convives. Un vin d'une élégance remarquable qui saura vous combler dès à présent ou dans quelques années, sans la moindre hésitation. La patience sera récompensée à coup sûr. Un vin d'exception qui peut rivaliser sans difficulté avec les plus grands Bordeaux.
🧆Dégusté sur une joue de bœuf 🧆.
🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : Agneau mijoté, Bavette de boeuf grillée, Cailles rôties, Charcuteries,...
📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver un vigneron📌.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞.
La plupart des vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🗣️🇫🇷Description du domaine @hautcarles_officiel🗣️🇫🇷
Au flanc du tertre de Fronsac, au-dessus de la vallée de l’Isle et entouré de 20 hectares de vignes en coteaux, ce château fortifié à la fin du 14e siècle prend son aspect actuel au cours de la Renaissance deux siècles plus tard. Célébré par Ronsard, il a vu défiler les esprits les plus brillants : Montaigne, La Boétie, Rousseau, et de nombreux autres… Il y a 120 ans, le Sénateur Guillaume Chastenet de Castaing entre en scène. Il est suivi par son fils Jacques, illustre historien de l’Académie Française, et par son petit-fils Antoine. Depuis 1983, l’aventure vigneronne familiale se poursuit par la qua-trième génération, celle de Constance et de son époux Stéphane Droulers. Dans une même quête de qualité sans concession, respectant au plus proche la nature, et entourés des conseils avisés d’Hubert de Bouärd, les deux époux produisent, sur le domaine de ce noble château chargé d’histoire, des vins modernes, équilibrés et respectueux de la magie du grand terroir historique de Fronsac.
Notre ambition est de consacrer tous les moyens nécessaires pour que le domaine de Carles et ses vins retrouvent et pérennisent la gloire et la renommée qui étaient les leurs au tournant du 19ième siècle lorsque les vins de Fronsac, Carles en tête, étaient mieux cotés que ceux de Pomerol et faisaient jeu égal avec les plus illustres des crus de Saint-Emilion. Notre volonté est de transmettre à nos deux filles, Eléonore et Oriane, les mêmes passions et la même recherche d’exigence pour qu’elles puissent à leur tour les trans-mettre aux générations futures.
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🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹
🇺🇸Hello corkscrew lovers. And you, what is the last Fronsac you tasted🇺🇸
🍇🍷AOP Fronsac Rouge 2020 vintage Haut de Carles from the domain @hautcarles_officiel 🍇🍷:
🍇:
96% Merlot
4% Cabernet Franc
💰:
33.50€ / bottle
🏺:
Aging 18 to 24 months in barrels
📆:
Average age of the vines: 35 years.
👁️:
Deep purple dress
👃:
A nose with notes of black fruits and spices.
💋:
When tasting this wine, we are enveloped by tannins of velvety softness and exquisite roundness. The taste buds are overwhelmed by an explosion of black fruits (blackcurrant, blackberry, blueberry), touches of black pepper and licorice. The woodiness is perfectly balanced, without excess. A delicious persistence on the palate ends with a delectable finish of prunes and delicate notes of chocolate.
📜In summary📜:
A sublime Fronsac, proud standard of the estate, enchanted my taste buds as well as those of my guests. A wine of remarkable elegance which will satisfy you now or in a few years, without the slightest hesitation. Patience will definitely be rewarded. An exceptional wine that can easily compete with the greatest Bordeaux.
🧆Tasted on a beef cheek🧆.
🍷Some possible food and wine pairings with this vintage🍷: Slow-cooked lamb, Grilled flank steak, Roasted quail, Charcuterie,...
📌Don't forget, drinking a barrel is saving a winegrower📌.
🔞“Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation”🔞.
Most of the wines have been tasted and spit out. Unpaid tasting.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🗣️🇬🇧Description of @hautcarles_officiel 🗣️🇬🇧
On the side of the mound of Fronsac, above the Isle valley and surrounded by 20 hectares of hillside vineyards, this castle, fortified at the end of the 14th century, took on its current appearance during the Renaissance two centuries later. Celebrated by Ronsard, it has seen the most brilliant minds parade: Montaigne, La Boétie, Rousseau, and many others... 120 years ago, Senator Guillaume Chastenet de Castaing entered the scene. He is followed by his son Jacques, an illustrious historian of the French Academy, and by his grandson Antoine. Since 1983, the family winemaking adventure has continued with the fourth generation, that of Constance and her husband Stéphane Droulers. In the same uncompromising quest for quality, respecting nature as closely as possible, and surrounded by the wise advice of Hubert de Bouärd, the two spouses produce, on the estate of this noble castle steeped in history, modern, balanced and respectful of the magic of the great historic terroir of Fronsac.
Our ambition is to devote all the necessary means to ensure that the Carles estate and its wines regain and perpetuate the glory and reputation that they enjoyed at the turn of the 19th century when the wines of Fronsac, Carles in the lead, were better rated than those de Pomerol and were on a par with the most illustrious of the Saint-Emilion crus. Our desire is to pass on to our two daughters, Eléonore and Oriane, the same passions and the same quest for high standards so that they can in turn pass them on to future generations.
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🇮🇹Ciao amanti dei cavatappi. E tu, qual è l'ultimo Fronsac che hai assaggiato🇮🇹
🍇🍷AOP Fronsac Rouge 2020 vintage Haut de Carles del dominio @hautcarles_officiel 🍇🍷:
🍇:
Merlot al 96%.
4% Cabernet Franco
💰:
33,50€/bottiglia
🏺:
Invecchiamento da 18 a 24 mesi in botti
📆:
Età media delle viti: 35 anni.
👁️:
Abito viola intenso
👃:
Un naso con note di frutti neri e spezie.
💋:
Degustando questo vino veniamo avvolti da tannini di vellutata morbidezza e squisita rotondità. Le papille gustative sono travolte da un'esplosione di frutti neri (ribes nero, mora, mirtillo), tocchi di pepe nero e liquirizia. La legnosità è perfettamente equilibrata, senza eccessi. Una deliziosa persistenza al palato si conclude con un delizioso finale di prugne secche e delicate note di cioccolato.
📜In sintesi📜:
Un sublime Fronsac, orgoglioso vessillo della tenuta, ha incantato le mie papille gustative così come quelle dei miei ospiti. Un vino di notevole eleganza che saprà soddisfarvi, adesso o tra qualche anno, senza la minima esitazione. La pazienza sarà sicuramente ricompensata. Un vino eccezionale che può facilmente competere con i più grandi Bordeaux.
🧆Degustato su una guancia di manzo🧆.
🍷Alcuni possibili abbinamenti enogastronomici con questa annata🍷: Agnello alla cottura lenta, Fiancata alla griglia, Quaglia arrosto, Salumi,...
📌Non dimenticare, bere una botte salva un viticoltore📌.
🔞“L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione”🔞.
La maggior parte dei vini sono stati degustati e sputati. Degustazione non retribuita.
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🗣️🇮🇹Descrizione i @hautcarles_officiel 🗣️🇮🇹
Sul lato del tumulo di Fronsac, sopra la valle dell'isola e circondato da 20 ettari di vigneti collinari, questo castello, fortificato alla fine del XIV secolo, ha assunto l'aspetto attuale durante il Rinascimento due secoli dopo. Celebrato da Ronsard, ha visto sfilare le menti più brillanti: Montaigne, La Boétie, Rousseau e molti altri... 120 anni fa, entrò in scena il senatore Guillaume Chastenet de Castaing. È seguito dal figlio Jacques, illustre storico dell'Accademia di Francia, e dal nipote Antoine. Dal 1983 l'avventura vitivinicola di famiglia prosegue con la quarta generazione, quella di Constance e del marito Stéphane Droulers. Nella stessa ricerca intransigente della qualità, nel rispetto della natura il più possibile, e circondati dai saggi consigli di Hubert de Bouärd, i due coniugi producono, nella tenuta di questo nobile castello ricco di storia, moderno, equilibrato e rispettoso della magia del grande terroir storico di Fronsac.
La nostra ambizione è quella di dedicare tutti i mezzi necessari per garantire che la tenuta di Carles e i suoi vini riguadagnino e perpetuino la gloria e la reputazione di cui godevano all'inizio del XIX secolo, quando i vini di Fronsac, Carles in testa, erano valutati meglio di quelli de Pomerol ed erano alla pari dei più illustri cru di Saint-Emilion. Il nostro desiderio è trasmettere alle nostre due figlie, Eléonore e Oriane, le stesse passioni e la stessa ricerca di standard elevati in modo che possano a loro volta trasmetterli alle generazioni future.
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selidren · 9 months
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Champs-les-Sims - Automne 1913
1/2
Cher cousin,
Me voici enfin revenu en France. Quel dommage que nous n'ayons pas eu l'occasion de nous rencontrer à nouveau, j'aurai pu vous montrer les croquis et les notes que j'ai fait de mon expédition.
Mais en premier lieu, il me faut vous avertir que je suis à nouveau père depuis l'année dernière. Mon Albertine a donné naissance à notre fils, Jean-François. Enfin une idée de prénom qui a plu à mon épouse. Par ailleurs, mes autres enfants ont sept ans et ont pas mal grandit. Il est cependant encore difficile d'avoir une conversation vraiment intéressante avec eux. Ils ont des préoccupations très enfantines qui ne m'évoquent absolument rien. Arsinoé, mon héritière, est une petite fille superstitieuse qui s'évertue à chercher sous les meubles des monstres imaginaires. J'imagine que c'était une sorte de fatalité au regard des idées parfois étranges de ma grand-mère qui croit aux revenants. Fort heureusement pour elle, la petite tient de sa mère et est plutôt jolie.
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abbedartigue · 2 months
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« Les causes de la décadence sont presque partout les mêmes dans l’histoire : individualisme et hédonisme excessifs, amollissement des mœurs, égoïsme social, dévirilisation, mépris des valeurs héroïques, intellectualisation des élites, déclin de l’éducation populaire, détournement ou abandon de la spiritualité et du sacré, etc.  Panem et circenses… L’Europe connaît aujourd’hui une telle situation. La plupart du temps, la décadence est mal perçue comme telle et refusée par ses contemporains. Ceux qui la dénoncent sont assimilés à des prophètes de malheur. Les époques de décadence se parent souvent du masque de la renaissance. Ces attitudes sont des comportements de conjuration du réel, d’occultation des symptômes dans le but de rassurer. Aucune décadence ne doit être considérée comme irréversible. Il faut cultiver l’optimisme tragique de Nietzsche. “Paris-Marseille en un quart d’heure, c’est formidable ! Car vos fils et vos filles peuvent crever, le grand problème à résoudre sera toujours de transporter vos viandes à la vitesse de l’éclair. Que fuyez-vous donc, imbéciles ? Hélas, c’est vous que vous fuyez, vous-mêmes”. »
Georges Bernanos La France contre les robots, 1946
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