Tumgik
#chapitre 36
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Good People s03
Chapitres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40
/!\ TW /!\ : violence, sang, arme à feu
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Chapitre suivant
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edlim-sims · 1 year
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Ce n'est pas une vraie fête d'anniversaire s'il n'y a pas de drame. Cette fois, Alyssa est triste et jalouse de ne pas être le centre de l'attention. Encore aujourd'hui. Et c'est comme ça depuis l'arrivée de Soly. Elle s'en va bouder dans son lit.
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Ève: Pourquoi es-tu triste ma puce?
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Alyssa: Soly, Soly, Soly! Et moi plus rien!
Ève: C'est vrai que papa et maman passent beaucoup de temps avec Soly. Il a besoin de nous. Mais on t'aime encore beaucoup!
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Alyssa: Tu m’aimes encore maman?
Ève: Oui je t'aime!
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Alyssa: Gros comme ça?
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Ève: Papa aussi t'aime gros, gros comme un cheval!
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Alyssa: Hi! hi! hi! Papa, tu es un cheval! Oh! Tu as du vert sur toi!
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Ève: Papa sent mauvais, beurk! Tu veux lui donner un bain?
Alyssa: Nooooon! Hi! hi! hi!
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Guillaume: Je vais continuer de puer alors!
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Et la journée se termine avec une petite fille heureuse d’être enfin le centre de l’attention… pendant que l'ennemi dort profondément!
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Prochain chapitre ➡️
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nnjzz · 8 months
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CONTUMACE + CIGUË + BLASE OF 69 + BORDS BRUTS
SAMEDI 07.10
CONTUMACE CIGUË BLASE OF 69 BORDS BRUTS
20:00 portes
20:36 action !
CAFÉ de PARIS 158, r Oberkampf 75011 M° Ménilmontant P.A.F. 6€ https://www.facebook.com/events/696971665740688
CONTUMACE
De la guitare bien Synthi ?
Lionel " que-l'on-ne présente-plus " Fernandez ( SISTER IODINE, ANTILLES, MINITEL, HAINE, IBIZA DEATH, ... ) instille - en mini-chapitres bien condensés - la bande-son marécageuse et lancinante d'un long cauchemar éveillé.
C'est du cinéma ( d'horreur ) pour l'oreille, charriant en intraveineuses bien chargées leur  potion-mystère.
" ( ...) la tonalité est (... ) radicale et bruitiste. (... ) avec la volonté d’en explorer ici le versant post-industriel et minimal/électronique. Travail autour du signal dont il s’agit de contourner le routage traditionnel, ce disque frappe par la cohérence de son propos et son caractère sans concession. Le caractère contraint du dispositif, son réductionnisme, constituent la principale caractéristique opératoire du disque : minimal au sens d’une économie de moyen qui s’impose comme levier créatif, c’est du côté de la double filiation Throbbing Gristle/Esplendor Geometrico qu’il faut ici se tourner. Mais ceci avec une ambition esthétique bien éloignée de la citation trop appuyée, ou du revival rétro-futuriste un peu trop rencontré ces derniers temps.
( Section 26 ) 
CONTUMACE / LIONEL FERNANDEZ se lance dans une corrida statique avec lui-même, faite de miniatures synthétiques, de lacérations fréquentielles, de concaténations austères & de mouvements pétrifiés, le tout avec 666 paires de lunettes de soleil au pays de la nuit éternelle ( pour ) une musique de pure distanciation sociale, tel un shoot sonique superbement angoissant, formidable relent fantomatique_bruitiste Throbbing Gristelien._yes! ( Cave 12 )
" On laisse derrière soi l’écoute de cette musique, la quittant avec un sentiment de malaise, un peu honteux du plaisir pris dans ce masochisme sonique. (... )
Lionel Fernandez reprend les stratégies soniques de la musique industrielle portées sur de courtes unités de temps, fracturant notre écoute, chaque titre semblant une étape nous faisant franchir les cercles de l’enfer contemporain. Step by step passant d’un morceau inquiétant à un autre tout aussi oppressant, délétère.
Aucune envolée fracassante avec sa Fender, de claquage de cordes métalliques, de corps cogné rudement pour en extirper ces bruits sourds oppressants qui rappelleraient la dépense festive de Sister Iodine, la promesse d’une danse en apnée. Il ne s’embarrasse pas de patterns rythmiques qui fixeraient notre écoute dans une métronomie rassurante, jouissive, mais efface nos repères, nous perd dans l’angoissante solitude des machines. On songe aux mantras lancinants des tondeuses à gazon (... ), aux sifflements des frigidaires, aux crépitements des néons, tous ces soliloques solitaires des objets industriels qui font la musique de notre modernité dans notre absence.
Guitares et synthétiseur EMS sont joués ici avec une rage rentrée, la tension palpable pour autant. La musique de Lionel Fernandez s’écoule comme un poison dans nos veines, saturant notre écoute de laideurs électriques, de lumières blanches troublantes, corps perdus dans les lignes de fuite des circuits électriques. Musique de frottements, d’usures, qui nous laisse épuisé, vaguement nauséeux comme après une gueule de bois, alors pourquoi y replonger ? Parce qu’elle nous parle de notre présence aux mondes, de cette oppression bruitiste qui nous entoure et reconfigure notre rapport à l’autre, parce qu’elle dit notre angoisse d’être séparé, seul dans la symphonie électrique des objets célibataires." ( Revue & Corrigée / Michel Henritzi )
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CIGUË Une autre manière d'aborder l'instrument et de d'infuser petit à petit sa concoction vénéneuse : Catherine Guesde fait ( aussi ) de la guitare électrique - augmentée par tout un attirail électronique, distillant ainsi du drone ( " approximatif " dit-elle ), allant même jusqu'à flirter avec des ébauches des mélodies fantomatiques ( quoi ? ! ) et tissant des textures capiteuses d'un certain  " indus rural " ( paraîtrait-il ) avec. Elle a publié plusieurs albums en cassette dont une en duo avec l'Australien Kole Galbraith. Une certaine idée d'un cadeau empoisonné.
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BLASE OF 69 Les plus averti.e.s d'entre vous auront deviné de quoi il y retourne :   deux duos parisiens, excellents et électroniques de surcroît - BLASON + CLASS OF 69 - fusionneront ( commande spéciale du N_J ) de manière éphémère ( mais - qui sait ? ) et que l'on anticipe des plus oufs.
On a confiance - ces Messieurs savent y faire !
Étant donné qu'il s'agit d'une première, on ne dispose à ce jour d'aucun lien illustrant cette future rencontre - ou clash ? - des Titans, on vous re-soumet néanmoins quelques indices afin d'établir quelques hypothèses quant à la teneur de cette occurrence.
BORDS BRUTS Chloé et Lucas forment le duo-joker de la soirée :  repérés dans la fameuse série BROKEN IMPRO ( se déroulant plus ou moins bimensuellement au Chair de Poule sous la houlette du maestro Roro Perrot ) : ils manipulent électronique, cassettes, micro-contacts, voire une machine à coudre et puis quoi encore.
Projet tout nouveau - pas de lien utilisable non plus pour le moment. Fly - Jo L'Indien
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kalincka · 2 years
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I GOT QUESTIONS FOR THE FIC ASK :D
1, 3, 5, 8, 11, 16, 21, 22, 23, 29, 31, 32, 33, 36, 35, 39, 41, 43, 45, 51, 53, 57, 62 (fic of your choosing), 69 (nice), 70, 74, 75, 78, 79 ! 💕
LA LONGUEUR DE CETTE LISTE ??? BREF.
1. Do you daydream a lot before you write, or go for it as soon as the ideas strike? Ça dépend, ça peut m'arriver d'ouvrir immédiatement mon ordi dès que j'ai un bout de dialogue qui me vient, mais la plupart du temps je passe beaucoup de temps à fixer le vide en exploitant mon idée pour avoir une vague idée de ce que je peux en faire ✌ the true writing experience
3. Do you share your fic ideas, or do you keep them to yourself? Si mes idées sont drôles, oui. Si elles sont tristes, oui. Si elles sont nulles, oui. Je suis juste incapable de fermer ma gueule
5. How many wips do you have? What fandom/pairings are they for? 💀 beaucoup troooop. Petite liste non-exhaustive :
Il me reste 2 chapitres à écrire avant de finir la publication de L'enfant au renard
WIP VDF, Henrisiteur
WIP VDF, Henrisiteur (aussi) (un peu moins drôle cette fois)
WIP VDF, sur le film à venir et Judith (oui)
WIP AC Unity, sur Arno barista dans un coffee shop qui commence à en avoir ras la casquette du Corse qui ne sait pas commander un café
WIP AC Odyssey, sur Kassandra & Barnabas my beloveds mais aussi sur Barnabas/Herodotos my beloveds
WIP Assassin's Creed, sur Kassandra & Basim en train de se partager le bâton d'Hermès comme une manette de Playstation
WIP Koh-Lanta (do not fucking ask)
8. Post an out-of-context spoiler from a wip. Alice est effectivement la seule à voir un fantôme et oui, le fantôme est rousse
11. Do you write scenes in order, or do you jump around? Je suis littéralement incapable de mélanger des scènes, quand j'écris je suis systématiquement chronologique (sauf dans les cas où la première scène – généralement l'idée première de la fic – se passe à un instant T dans la chronologie globale, mais dans ce cas je continue d'écrire jusqu'à la fin puis je reprends pour écrire le début !)
16. Do you write by hand, on your phone, or on your laptop? Avant le Covid, c'était souvent les trois. Maintenant, j'écris beaucoup beaucoup plus sur ordi et sur téléphone 👩‍💻 en mode le clavier qui chauffe ratatata
21. Do you prefer writing chaptered fics or one-shots? J'ai plus l'habitude d'écrire et de lire des OS (surtout que maintenant, j'ai moins de temps à consacrer à lire des trucs longs). Mais les fics à chapitres sont très funs à écrire une fois qu'on se sent sûr d'aller au bout ! (ce qui n'est pas mon cas puisque j'écris toujours au fil de l'eau, mais ça mon lectorat ne le sait pas quand je poste)
22. Do you title your fics before, during, or after the writing process? How do you come up with titles? À moins d'être frappée par la grâce je ne trouve JAMAIS de titre pour mes fics, donc je suis forcée d'y penser à la fin.
Comment je cherche mes titres ? Jeux de mots. Littéralement tous mes titres de fics sont des jeux de mots. Péter un câble ? Jeu de mots. Le chant du signe ? Jeu de mots. Aux grands hommes les grands remèdes ? JEU. DE. MOTS.
23. Is writing the beginning, middle or end of the story easiest? Hardest? Le plus facile c'est pas le début, le milieu ou la fin, c'est les dialogues. Par contre écrire une fin c'est l'enfer
29. What's something about your writing that you're proud of? Je pense que je suis très drôle
31. Do you use a beta reader/editor? non 🏌‍♀️
32. Do you take fic requests? Why or why not? Ça m'arrive de poster des listes de prompts en demandant à ce qu'on m'envoie un fandom/des personnages mais je suis toujours ouverte aux requests ! Demandez-moi ! Je suis gentille et moyennement déjantée
33. Is there a specific word count that you hold yourself to/enjoy writing the most? Jamais ! Dans cette maison le maître mot est : yolo
36. What fic are you proudest of? TROOOP DUR 😭 J'ai honte d'aucun de mes textes. Actuellement, peut-être Le chant du signe est l'acomplissement dont je suis le plus fière ? Probablement parce que j'ai adoré l'écrire, la relire, et que je suis infiniment heureuse de voir qu'elle a plu aux autres autant qu'à moi, parce que retranscrire l'esprit BD à l'écran n'était pas si facile que ça mais je trouve que je m'en suis très bien sortie :D
35. What's your favorite fic you've posted? Péter un câble sans hésiter. Je me suis éclatée à l'écrire, c'est sur des personnages que j'adore, c'est de l'humour, c'est Henry-centric, c'est ma première fic à chapitres sur ao3 🥰 Et Judith est dedans 🥰🥰🥰
39. What's your most self-indulgent wip? Moi quand j'écris n'importe quoi sur Vidocq
41. Who's your favorite character you've written? Vidocq AC Unity je t'adore, je t'ai presque inventé une personnalité à partir de tes 30 secondes de screentime, je te chéris, je te fais tourner à 360° dans ma tête comme dans un micro-ondes
43. Is there a trope or idea that you'd really like to write but haven't yet? Oui, le réincarnation trope avec Kassandra immortelle qui retrouve tous les gens qu'elle aime. Cela m'obsède
45. What genre/trope do you tend to write the most? Le hurt/comfort. Je m'en gave comme d'une poignée de popcorn au cinéma
51. Does what you like to write differ from what you like to read? Pas vraiment, souvent les deux sont très similaires 👊 je vis pour le hurt/comfort avec une pointe d'humour et d'aromantisme
53. What is the most-used tag on your ao3? Parfois, une image vaut plus que des mots
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57. How conscious are you about including symbolism or foreshadowing in your fics? Le plus gros foreshadowing que j'ai jamais écrit c'est le tabouret qui craque dans les premiers chapitres de Péter un câble quand Renard s'asseoit dessus et qui cède enfin dans le chapitre 9. C'est tout
62. In [insert fic of your choice], what inspired the idea for the plot? Je vais choisir Et enfin, le perfectionnement de l'Homme, parce que ça c'est passé très exactement comme ça :
Moi : Imagine si Arno Dorian forçait le marquis de Sade à prendre les contrepoids qu'il utilise pour se propulser sur les toits de Paris. Comment ça se passerait ?
@moodydisorder, hochant la tête : De façon horny
Ainsi l'une de mes collabs préférées vit le jour. Amen 🙏
70. Are you subscribed to any writer on ao3? Je viens de regarder et non... Je rôde simplement sur la page d'accueil des fandoms et je cherche, inlassablement
75. Is there a particular fic that readers gravitated towards that you didn't expect? Mon ciel n'est pas bleu (c'est une averse violente) : je pensais que c'était trop introspectif/poétique/whatever, du coup ça m'a surprise que des gens me laissent des commentaires aussi gentils dessus 🥺
78. What motivates you during the writing process? La musique que j'ai dans les oreilles à ce moment-là... PZK, you fanfiction life saver 🙏
79. Do you have any writing advice you want to share? ÉCLATEZ-VOUS !!! On s'en fout du reste. Si ça vous plaît à vous c'est tout ce qui compte, le cringe est mort, si vous souriez devant votre écran en écrivant vous avez tout bon. On s'en fout du niveau de qualité, de si vous avez écrit 500 mots ou 50 000, on s'en fout de si vous avez fait prépa littéraire ou si vous avez gagné des concours de nouvelle, on. s'en. fout. Je crois que le truc qui me casse le plus les pieds c'est l'élitisme dans un fandom, qui n'a pas besoin d'un Victor Hugo mais d'idées intéressantes et ce qui fait qu'une idée est intéressante c'est quand on lit la passion de son auteur-ice. Donc : éclatez-vous, c'est comme ça qu'on progresse en plus ❤ (mais aérez vos paragraphes quand même)
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latribune · 4 days
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yes-bernie-stuff · 7 days
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Qui est mon prochain ? 18/05/2024
Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Lévitique 19.18
Qui est mon prochain ? Pour beaucoup à l’époque, le prochain c’est le compatriote, plus étroitement encore celui qui fait partie de la même confrérie religieuse. Au moyen d’une parabole, Jésus explique que le prochain, c’est avant tout celui qui se rend proche de l’autre.
Un voyageur est agressé par des brigands et laissé à demi-mort. Des personnes passent à côté de lui, mais elles ne s’arrêtent pas ! Un fait divers comme on en trouve dans nos journaux.
Dans cette parabole, un homme va cependant s’arrêter. Il s’agit pourtant d’un habitant de Samarie, un peuple ennemi des Juifs ! Qu’importe, cet homme est pris aux tripes. Ni une ni deux, il vient au secours du blessé. Non seulement il panse ses blessures, mais ensuite il le conduit dans une auberge, et il prend soin de lui. Et comme si cela ne suffisait pas, il donne à l’aubergiste un chèque en blanc pour couvrir les dépenses supplémentaires.
L’attitude, la compassion et les bons soins du Samaritain sont à l’image de la compassion de Jésus qui s’est approché de chacun d’entre nous. Il est même venu parmi nous. Ému de compassion (pris aux tripes), il nous a arrachés à la mort, il nous a rachetés à grand prix. Et lorsqu’il nous a quittés, il n’a pas dit « maintenant, débrouillez-vous » : il nous a laissé sa Parole. Oui, véritablement, chacun de nous a été son prochain.
José Frédérick
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 10, versets 25 à 37.
25 Un docteur de la loi se leva, et dit à Jésus, pour l'éprouver: Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle?
26 Jésus lui dit: Qu'est-il écrit dans la loi? Qu'y lis-tu?
27 Il répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée; et ton prochain comme toi-même.
28 Tu as bien répondu, lui dit Jésus; fais cela, et tu vivras.
29 Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus: Et qui est mon prochain?
30 Jésus reprit la parole, et dit: Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba au milieu des brigands, qui le dépouillèrent, le chargèrent de coups, et s'en allèrent, le laissant à demi mort.
31 Un sacrificateur, qui par hasard descendait par le même chemin, ayant vu cet homme, passa outre.
32 Un Lévite, qui arriva aussi dans ce lieu, l'ayant vu, passa outre.
33 Mais un Samaritain, qui voyageait, étant venu là, fut ému de compassion lorsqu'il le vit.
34 Il s'approcha, et banda ses plaies, en y versant de l'huile et du vin; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit à une hôtellerie, et prit soin de lui.
35 Le lendemain, il tira deux deniers, les donna à l'hôte, et dit: Aie soin de lui, et ce que tu dépenseras de plus, je te le rendrai à mon retour.
36 Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands?
37 C'est celui qui a exercé la miséricorde envers lui, répondit le docteur de la loi. Et Jésus lui dit: Va, et toi, fais de même.
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christophe76460 · 11 days
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En 1948, nous sommes nés en tant que nation qui était au bord de l'anéantissement chaque jour – chaque jour de cette année, et l'année suivante, et l'année suivante. Chaque jour était un jour qui était un cadeau de Dieu parce que nous étions censés être détruits. Tous nos ennemis autour de nous se demandaient jour et nuit : « Comment allons-nous les détruire ? » En 1948, deux heures après que nous ayons déclaré notre État, le Liban, la Syrie, la Jordanie et l'Égypte ont envahi. Et comme si cela ne suffisait pas, même l'Irak a envahi. Et comme si cela ne suffisait pas, les Arabes locaux ont commencé de l'intérieur. Et nous avons terminé la guerre avec 30 % de terres en plus que ce que nous avions au début de la guerre. Et faire ça avec quoi ? Deux avions – mais nous devions tenir le bâton dans une main et lancer la bombe de l'autre – et cinq véhicules blindés et des dizaines de milliers de soldats qui n'avaient absolument aucune expérience. Ils venaient de survivre aux camps de la mort, comme mes grands-parents.
C’est un miracle. Maintenant, ils ont essayé d'apporter certaines des victoires d'Israël à West Point pour enseigner aux officiers comment mener une guerre. Ils ont parcouru toutes les histoires des guerres, et ils ont tout jeté à la poubelle parce qu'on ne peut rien en tirer. Les Israéliens n'ont rien fait de grand. Dieu s'est battu partout pour eux. West Point ne peut pas accepter les guerres d'Israël et enseigner quoi que ce soit. En 1948, le Psaume 83 s'est accompli. Toutes les nations mentionnées dans le Psaume 83 sont tous les pays qui nous entourent, et Il dit même : « Et l'Assyrie les a même rejoints » – l'Irak d'aujourd'hui – et qu'est-ce qu'ils voulaient de nous en 1948 ? Huile? Gaz? Nous n'avions rien de tout cela. Ils voulaient que nous soyons coupés de notre statut de nation parce que nous venions de changer le nom de Palestine en Israël. C'était donc cette guerre. Et regardez, combien d'entre vous ici étaient en vie au cours des 10 dernières années ? Vous voyez, au cours des 10 dernières années, nous, la génération qui vit en ce moment, nous avons assisté à une transition étonnante d'Israël petit, vulnérable, peu sûr, dangereux et très pauvre à Israël sûr, sécurisé et prospère. À tel point que nous sommes aujourd'hui considérés comme la huitième nation la plus puissante de la planète Terre.
C'est Dieu qui se bat pour Israël
Malheureusement, la grande majorité de l'Église aujourd'hui voit la nation d'Israël comme rien de plus qu'une entité politique et non comme l'accomplissement de la prophétie. Cela nécessite beaucoup d'oubli de l'évidence.
Ézéchiel 36 :22-24
« Dis donc à la maison d'Israël : Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel : Je ne fais pas cela à cause de vous, maison d'Israël, mais à cause de mon saint nom, que vous avez profané parmi les nations partout où vous êtes allés. Et je sanctifierai mon grand nom, qui a été profané parmi les nations, que vous avez profané au milieu d'elles ; et les nations sauront que je suis l'Éternel, dit le Seigneur, l'Éternel, quand je serai sanctifié en vous sous leurs yeux. Car je vous prendrai d'entre les nations, je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous ferai entrer dans votre pays.
Ézéchiel 37 donne des détails spécifiques sur le rassemblement du peuple élu de Dieu dans son pays. Les chapitres 38 et 39 rapportent une bataille qui n'a pas de parallèle historique et qui, par conséquent, se déroule dans le futur. Ézéchiel 40-48 décrit un temple qui n'a pas encore existé et qui sera le temple du règne millénaire de Christ sur terre.
Le chapitre 48 d'Ézéchiel dit que les 12 portes de la ville porteront le nom des 12 tribus d'Israël. Si Dieu a rejeté son peuple élu, alors pourquoi les portes du terrain du temple d'où Jésus régnera seraient-elles nommées d'après les tribus d'Israël ? Pourquoi retournerait-il au mont des Oliviers à Jérusalem, et pourquoi notre demeure éternelle qui descend du ciel s'appellerait-elle la Nouvelle Jérusalem ?
Rien de ce qu'Ézéchiel a écrit ne s'est accompli à l'époque de Jésus. En fait, rien de tout cela ne s'est accompli pendant environ 2600 ans jusqu'au 14 mai 1948, date à laquelle, comme le dit Ésaïe 66 :8, une nation est née en un jour.
Zacharie 14 :1-3
Voici, le jour de l'Éternel vient, et votre butin sera partagé au milieu de vous. Car je rassemblerai toutes les nations pour combattre contre Jérusalem ; la ville sera prise, les maisons pillées et les femmes violées. La moitié de la ville ira en captivité, mais le reste du peuple ne sera pas retranché de la ville. Alors l'Éternel sortira et combattra contre ces nations, comme il combat au jour de la bataille.
Le jour du Seigneur est une référence à la Grande Tribulation qui est la même que la 70e semaine de Daniel. Zacharie prophétise qu'un jour viendra où le Seigneur passera à l'offensive contre les ennemis d'Israël et combattra comme il se bat au jour de la bataille.
Nous avons vu Dieu rassembler son peuple de toutes les nations où il les a dispersés. Nous l'avons vu leur donner le pouvoir d'être victorieux contre toute attente. Et, un jour, après que l'église sera partie et dans la maison du Père, Il combattra toutes ces nations qui se rassemblent contre Jérusalem. Le monde se tourne dans cette direction maintenant. Cela signifie que puisque nous voyons Ézéchiel 36 et 37 s'accomplir, alors la guerre des chapitres 38 et 39 doit approcher, et le contenu lié au millénium d'Ézéchiel 40-48 n'est pas loin derrière.
Ésaïe 43 :2-3
Quand tu passeras à travers les eaux, je serai avec toi ; et à travers les fleuves, ils ne vous submergeront pas. Quand tu marcheras à travers le feu, tu ne seras pas brûlé, et la flamme ne te brûlera pas. Car je suis l'Éternel, ton Dieu, le Saint d'Israël, ton Sauveur.
Comment savons-nous que l'Israël moderne est l'Israël biblique ? Ce que Dieu a dit d'eux par les prophètes se passe sous nos yeux. Il les a miraculeusement défendus et renforcés, et bientôt il se battra contre tout le monde qui veut soulever Jérusalem. Il est toujours avec eux !
Rappelez-vous, le Sauveur d'Israël est le Seigneur notre Dieu, et le Saint d'Israël est le même qui est le chef de l'église. C’est qui? C'est Jésus. Comme il était et est avec Israël, il le sera aussi avec nous. Il ne les a pas abandonnés et Il ne nous abandonnera pas, même lorsque l'eau de la vie est profonde et les épreuves ardentes intenses comme elles le sont maintenant pour Son peuple élu. Il est notre Sauveur et il n'y en a pas d'autre.
Viens vite, Seigneur Jésus,
Amir TSARFATI
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shalomelohim · 16 days
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La Parachah « Qedochiym » (Saints, vous serez !)
Pensée Qédochiym… saints vous serez ! Quelle sublime finalité ! Sainteté soit, mais si c’est pour nous congratuler, sans propager la sainteté… Alors, comment ceux qui n’ont pas connu Celui qui est « La Parole » pourraient-ils rechercher Celui qui est « Qadosh » ?
“Comment donc invoqueront-ils Celui en qui ils n’ont pas cru ? Et comment croiront-ils en Celui dont ils n’ont pas entendu parler ? Et comment en entendront-ils parler, s’il n’y a personne qui déclare ? Et comment y aura-t-il des messagers, s’ils ne sont pas envoyés ? Selon qu’il est écrit : Qu’ils sont beaux les pieds de ceux qui annoncent la paix, de ceux qui annoncent de bonnes nouvelles !” (Romains 10:14-15)
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Lectures Parachah : Vayyiqra / Lévitique 19 et 20 Haftarah : Yéhézqél / Ezéchiel 20:1-20 Bérith Hadachah : MatthithYahou / Matthieu 3:1-12
Rappel Les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yahshua.
Résumé de la parachah  Notre lecture de la semaine est très courte : 2 petits chapitres qui exposent pourtant 49 mitsvoth (recensées du 212 au 262) sur les 613 retenues par la tradition. 
En voici quelques unes : 
le respect dû à la mère et au père (Vayyiqra 19:3),
le respect du Shabbat,
l'interdiction de constructions et de pensées idolâtres,
l'interdiction de récolter sur le dernier angle du champ, de la vigne (19:9-10),
le devoir de veiller au pauvre (19:10),
l'interdiction de fausser les mesures, de manquer à la parole, de ne pas payer à temps, de voler, de prononcer des verdicts injustes, de porter tort à autrui, de donner de mauvais conseils, de maudire, de ne pas porter aide aux victimes ni aux frères dans le besoin,
le devoir d'exhorter autrui (19:17), d'aimer son prochain comme soi-même (19:18),
l'interdiction de se venger (19:18),
de manger des fruits avant plusieurs années de croissance, de boire et manger avec gloutonnerie (19:18-24),
de pratiquer la divination (19:26), de se coiffer comme les adeptes d'autres cultes, d'imiter leurs pratiques et leurs usages (20:23),
le devoir d'honorer les vieillards (19:32),
le devoir de respecter l’étranger,
le devoir d'avoir des balances justes (19:36) et le devoir d’exécuter les décisions de justice qui concernent toutes ces fautes,
les interdictions nombreuses relatives à une conduite sexuelle déviante et inconséquente.
Ces lois de sainteté peuvent donc revêtir un aspect juridique légaliste réservé aux seuls initiés.
Or, l’invitation formelle – l’ordre divin non négociable – de devenir « saint / Qadoch » revêt un caractère universel qui ne peut souffrir le désintérêt, a priori, d’une parachah peu relevée et de lecture rébarbative.
Car au-delà de l’absence d’une histoire qui ravirait petits et grands, ces mots de Vayyiqra révèlent l’Histoire avec un grand H : celle du rapprochement de YHWH avec Son peuple.
La consigne de vie individuelle et collective d’Élohim, qui s’apprête « à descendre du mont ‘Horev et à prendre place » au sein du camp d’Israël, se résume en deux axes :
- soyez saints - ne vivez pas selon les règles et usages des autres peuples (conséquence du premier point). Or, la Haftarah [Ezéchiel 20:1-20] et les livres de la Nouvelle Alliance sont associés à notre Parachah pour nous rappeler que le mauvais penchant est plus fort et que ce n’est pas notre Élohim qui a quitté le camp et abandonné Son peuple. 
C’est nous qui – quotidiennement – ne permettons pas à notre Élohim de s’installer dans notre camp et de faire Sa demeure chez nous.
« Saint, vous serez… » : un futur en forme de promesse et d’encouragement. Attention, cet ordre divin révèle également une évidente non-bénédiction en cas de non-respect. Telle est la logique qui réunit cette semaine nos 3 textes en un seul.
« Il tient en sa main la pelle à vanner et séparera le grain de la paille. Il amassera son grain dans le grenier, mais il brûlera la paille dans un feu qui ne s’éteint jamais. » (Matthieu 3:12).
« Saints, vous serez… »
« Et YHWH parla à Moshéh, disant : parle à toute l’assemblée des fils d’Israël, et dis-leur… » (19:2)
L’introduction originale de cette parachah commence par l'indication d'un rassemblement de tous les bnéi Israël : c’est la seule dans toute la Torah.
Les autres mettent en scène Moshéh, seul face à Élohim, qui ensuite restitue à Aharon et aux sacrificateurs, qui ensuite restituent à leur tour à l’ensemble du peuple. Le moment est donc solennel et voulu comme tel par le Créateur.
Pourquoi ?
1/ Alors que de nombreuses mitsvoth (commandements) s'adressent uniquement à certains individus ou à certaines catégories de la communauté (sacrificateurs), la sainteté s'adresse à la nation tout entière. 
Elle est accessible et concerne chacun sans distinction aucune. C'est pourquoi le verset dit : Parle à toute l’assemblée.
2/ Parce que cette parachah va résumer toute la Loi, les dix Paroles et toute la Torah.
La parachah commence par une injonction particulière au futur* qui lui donne son nom :
« qédochiym tiyou : saints, vous serez ».
Par contre, elle se termine (20:26) par la même injonction à l’impératif :
« soyez pour Moi saints : vihéyitém li Qédochiym ».
*Certains commentateurs ont vu dans cette forme de futur une assurance qu’Israël serait Saint dans les temps messianiques.
Entre le début et la fin de ce discours, toute une série de mitsvoth s’impose. Nous apprenons par là que, pour passer d’un futur à une réalité effective, le croyant va devoir respecter commandements et limites. 
La sainteté n’est pas un concept philosophique et spirituel, une qualité morale vague, mais elle est liée à une limite posée et clairement identifiée.
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La sainteté est un état de séparation : elle sépare de ce qui est impur et qualifie, en l’identifiant, ce qui est pur. Dès lors, il ne s’agit pas simplement de ne pas faire le mal - critère vague qui resterait soumis aux définitions aléatoires dans le temps, l’espace, les cultures - mais de pratiquer le bien, lequel est défini précisément et non soumis aux appréciations humaines.
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Cette définition de la sainteté donnée à tout Israël rassemblé, en un moment unique et solennel, n'est pas qu’un privilège. C’est une exigence, dont il est dit qu’aucun autre peuple n’avait souhaité en hériter ; une exigence terrible qui a sa source dans les lieux célestes.
Voilà pourquoi il n’est pas dit « vous êtes saints et les meilleurs parmi les hommes alors Je vous choisis comme peuple et résiderai au milieu de vous » mais :
« c'est parce que Je suis saint que vous devez l'être. Vous le serez ou vous mourrez ! »
Si nous voulons que YHWH soit notre Élohim, si nous le choisissons entre tous les autres (faux) dieux pour qu’Il soit le nôtre, nous devons croire en cette parole. 
Ajoutons-nous à la Parole en paraphrasant de la sorte ? Au contraire, toute la suite de la Torah, l’histoire des prophètes d’Israël et les annonces de jugements sur la maison du Père et du Fils nous y invitent et nous confortent dans cette lecture.
Ainsi, en Ezéchiel 20, Haftarah de la semaine :
« Je leur enseignai les règles et les lois que j’ai établies pour que tous ceux qui les pratiquent puissent vivre. J’instituai le jour du shabbat pour manifester la relation qui les unit à moi et leur rappeler que moi, le Seigneur, je les consacre à mon service. Mais les Israélites se sont révoltés contre moi dans le désert. Ils ont négligé mes règles et méprisé mes lois, qui permettent de vivre à ceux qui les pratiquent. Ils ont gravement violé le jour du shabbat. J’ai donné ces recommandations à leurs enfants dans le désert : Ne vous conduisez pas selon les règles et les lois que vos pères se sont fabriquées, ne vous rendez pas impurs en adorant leurs sales idoles. C’est moi qui suis le Seigneur votre Élohim ! Conduisez-vous selon mes règles et acceptez d’obéir à mes lois. Consacrez-moi le jour du shabbat pour manifester la relation qui vous unit à moi et vous rappeler que je suis le Seigneur, votre Élohim. Mais eux aussi se sont révoltés contre moi. Ils n’ont pas observé mes règles et ils ont refusé de se conformer à mes lois, qui permettent de vivre à ceux qui les pratiquent. Ils ont violé le jour du shabbat. J’envisageai alors de ne plus contenir ma colère… »
Et de même, en Matthieu 3:7 le plus grand des prophètes d’Israël est obligé de démasquer publiquement la duplicité des pharisiens et des saducéens qui viennent à lui pour se faire immerger dans le Jourdain, conscients de leur état de non-sainteté, mais se satisfaisant de leur état génétique et de leur appartenance communautaire pour échapper au jugement :
« Yohanan vit que beaucoup de Pharisiens et de Sadducéens venaient à lui pour être baptisés ; il leur dit alors : Bande de serpents ! Qui vous a enseigné à vouloir échapper au jugement d’Élohim, qui est proche ? Montrez par des actes que vous avez changé de mentalité et ne pensez pas qu’il suffit de dire en vous-mêmes : Abraham est notre ancêtre.»
L’histoire d’Israël et l’histoire des premières communautés de croyants sont aussi NOTRE histoire.
Et la question de Yohanan se pose aujourd’hui à nous dans les mêmes termes : « Qui nous a enseigné à vouloir échapper au jugement d’Élohim qui est proche ? »
Sommes-nous devant les eaux du baptême comme une bande de serpents, ou respectons-nous les termes de l’Alliance d’Élohim que nous prétendons avoir fait nôtre ?
« La hache est déjà prête à couper les arbres à la racine : tout arbre qui ne produit pas de bons fruits va être coupé et jeté au feu. Moi, je vous baptise avec de l’eau pour montrer que vous changez de comportement… » (3:10)
Quand le verset nous ordonne « Vous serez saints », nous ne devons pas penser que nous pouvons être aussi saints qu’Élohim Lui-même car la suite du verset précise « car Moi, YHWH votre Élohim, Je suis saint » : ce qui signifie que la sainteté d’Élohim est au-dessus et plus grande que celle des justes les plus illustres.
Ce verset nous demande alors de travailler à imiter la sainteté d’Élohim en sanctifiant notre vie.
« Vous serez saints » signifie donc que nous atteindrons la sainteté d’Élohim :
« car Moi, YHWH votre Élohim, Je suis saint », et « J’ai le pouvoir de communiquer Ma sainteté à ceux qui gardent mes commandements » (ceci est un commentaire-midrash en forme de paraphrase pour faciliter la compréhension !).
N’oublions pas qu’Élohim a créé l’être humain « à Son image » comme un « partenaire et un fils pour la création ».
Avons-nous donc le pouvoir et la vocation d’être comme Élohim, d’être Son image dans son attribut de sainteté ? Oui, car en nous conférant Sa sainteté, Il nous a doté de la capacité de devenir Ses enfants, conçus de Sa nature supérieure, des bnéi Élohim.
Qédochiym nous parle donc de ce potentiel infini.
Un commentateur explique qu’être saint consiste avant tout à s'écarter de la débauche et des pêchés en général car, dit-il, partout où tu trouveras une barrière devant la débauche, tu trouveras mention de la sainteté.
Ainsi, dans la cérémonie du mariage, lorsque l'homme passe la bague au doigt de sa future épouse, il lui dit : te voilà sanctifiée pour moi selon la loi de Moshéh et d'Israël, ce qui n'est pas sans rappeler la demande faite aux bnéi Israël par YHWH : « Soyez saints ».
Car finalement le mariage est un rempart contre la débauche : lorsqu'un homme épouse une femme, celle-ci n’est consacrée désormais qu’à lui, elle est interdite aux autres hommes. L'acte du mariage consiste dès lors à se séparer de la débauche.
Respecter le Shabbat, respecter ses parents, respecter le Shabbat de ses parents, respecter le Shabbat de YHWH.
Qédochiym ne traite pas simplement de la sainteté du corps et des croyants, car il s’agit également de sanctifier l’espace et le temps dans lesquels nous nous plaçons.
Ainsi, la sanctification du temps est-elle acquise par le respect du Shabbat, qui ne doit pas être seulement le dernier jour de la semaine. En effet, dans la Parole écrite, les jours de la semaine n'ont pas un nom de planètes ou de dieux comme dans les calendriers occidentaux usuels mais chaque jour biblique a un chiffre qui le nomme “premier jour dans le Shabbat”, etc.
Ainsi, chaque jour en sa nature est coparticipant de la sainteté du Shabbat et doit être vécu en conséquence.
Il faut noter la primauté donnée par Élohim au respect des parents. En fait, juste après l’annonce solennelle d’appel à la sainteté, deux piliers indissociables constituent le premier commandement : respect…
1/ …des parents, et pour le judaïsme, de la mère d'abord, instigatrice et propagatrice de la morale et de l'éducation,
2/ …du Shabbat.
La Torah a élevé l'honneur, le respect et la vénération dus aux parents au niveau des sentiments que nous devons éprouver pour notre Père des cieux.
Nous devons obéir à nos parents, accepter leur autorité et leur témoigner notre gratitude. Depuis le berceau jusqu'à la tombe, le respect du Shabbat et des parents sont des facteurs éducatifs qui forment l'homme à la sainteté.
Mais le premier pas vers la Qedouchah, la sainteté, est le respect des parents.
Malheureusement le sens de notre époque est à la déstructuration de la famille, à la séparation des parents qui n’offrent plus alors la protection spirituelle et sociale nécessaire aux enfants, bientôt livrés à eux-mêmes. La Torah intégrait bien ces notions pour y pallier.
Un être humain, à partir de sa naissance, est conçu de telle sorte, que plus il grandit, plus il coupe le lien qui le rattachait originellement à ses parents. Le “non” du bébé, qui devient enfant, ainsi que des remises en cause de l'adolescent sont inscrits dans le développement normal de chaque être.
La Torah ordonne de mettre une limite à cet éloignement naturel. Cette limite est l'expression d'un comportement saint.
Voici un commentaire célèbre sur ce commandement : « Révérez chacun votre mère et votre père, et observez mes jours de Shabbat ».
Cela veut dire : toi et tes parents devez obéissance, collectivement, de génération et génération. Mais si tes parents te demandent de transgresser l'un des commandements, notamment le Shabbat, c'est à Élohim qu’il faut obéir.
Le respect dû aux parents est donc subordonné à l'obéissance aux autres lois éternelles de notre Créateur.  Ce sont Mes Shabbat que vous devez observer. Toi et ton père vous me devez obéissance. C'est pourquoi ne l'écoute pas pour abolir Mes paroles. Ainsi, si les parents veulent être respectés, ils s’efforceront de montrer qu’ils gardent la Torah. Et ainsi, de générations en générations… jusqu’à l’avènement du Mashiah.
Respect des parents et observance du Shabbat : tant que ces deux piliers subsistent nos rapports avec Élohim se maintiennent sur un terrain solide, mais l'expérience nous apprend que si l'un des deux piliers vacille, le second est entraîné dans sa chute.
L'idéal de sainteté commence à prendre forme quand l'homme respecte ses parents non point par piété filiale, mais par obéissance au commandement et quand il observe le repos shabbatique, non point au nom du progrès social mais en tant que journée consacrée et bénie par le Seigneur et prophétique du royaume à venir.
La retenue qui sied aux Qédochiym
Le qualificatif « saint » implique la retenue personnelle. Confronté à de nombreuses tentations, l’homme est invité à contrôler ses impulsions immédiates.
La parachah nous commande également de ne pas se venger ni de garder rancune. Cela nécessite très certainement la maîtrise de soi, dans nos actions, nos paroles et même dans nos pensées. 
Mais une personne qui parvient à ce contrôle existe-t-elle ? 
Nous pouvons imaginer qu’une telle personne serait un individu simple, naïf ou inspiré, qui ne voit jamais de mal en quiconque. Or, il s’agit plus vraisemblablement d’un homme puissant qui a atteint un véritable contrôle de sa personne.
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Dès lors, qu’est-ce que la puissance selon la parachah Qédochiym ? Pendant longtemps, les gens ont pensé qu’il s’agissait d’acquérir la domination sur les autres. Désormais nous réalisons qu’il s’agit en fait de la maîtrise de soi-même.
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« Et pour cette raison même, concentrant tous vos efforts, joignez à votre foi la vertu, à la vertu la connaissance, à la connaissance la maîtrise de soi, à la maîtrise de soi la ténacité, à la ténacité la piété, à la piété l’amitié fraternelle, à l’amitié fraternelle l’amour. » (2 Pierre 1:5-7)
La Parole nous met dès lors en garde contre la tendance opposée : ne pas agir à l'image des bêtes qui vivent sur terre et éviter de devenir esclave de nos sens en recherchant les plaisirs qu'une curiosité croissante et malsaine prétend épuiser sans jamais pour autant y parvenir.
C'est pourquoi la Torah proclame ici l'ordre général de la retenue dans le domaine des actes licites après avoir auparavant spécifié les actes rigoureusement interdits. 
La sainteté implique la tempérance qui consiste à modérer les désirs et les passions. Elle comporte la sobriété dans la satisfaction de nos appétits, la fuite devant toutes les espèces d'impureté, la modération dans le langage. Elle transcende ainsi le niveau de la morale ordinaire.
Vue sous cet angle, la sainteté ne constitue pas un commandement biblique faisant partie des 613 mitsvoth mais représente un ordre général qui caractérise toute la Parole. Une grande partie de la parachah est consacrée à des directives aidant à atteindre ce contrôle de soi, dans des domaines divers de la vie sociale et donc dans les relations humaines. Le point d’orgue sera le célèbre enseignement : 
« Aime ton prochain comme toi-même » (Lévitique 19:18)
« Aime ton prochain comme toi-même » 
« C’est là toute la Torah, le reste en est le commentaire : aime ton prochain comme toi-même ».
L’idée que toute la Torah se concentre autour du thème des relations avec autrui est intrigante. Très souvent, on divise les lois de la Torah en deux groupes :
celles qui concernent les relations de l’homme avec Élohim, comme l’observance du Shabbat et,
celles qui relèvent des relations avec autrui, comme l’interdiction de voler ou de porter un faux témoignage dans une affaire de justice.
Nous devons comprendre que si nous observons convenablement ce commandement, nous ferons de même pour les autres commandements telle l’interdiction de voler ou de porter un faux témoignage. 
Toutes les lois régissant les relations avec le prochain sont en effet incluses dans l’injonction « Aime ton prochain ». C’est un grand principe parce qu’il inclut quasiment la moitié de la Torah : toutes les lois concernant les relations humaines.
La perle de notre parachah : preuve de Sa grande connaissance et de Sa maitrise de la Torah, Yahshua cite ce commandement en faisant explicitement référence à Qédochiym :
« respecte ton père et ta mère ; aime ton prochain comme toi-même. » (Matthieu 19:19)
La juxtaposition de ces deux commandements dans un même verset ne peut être le fruit du hasard mais témoigne que ce commentaire est le fruit d’un grand commentateur de la Torah, et pour cause : ce commentateur en est aussi l’auteur !
« A ce moment-là, un docteur de la Loi intervint et posa à Yahshua une question pour l’embarrasser. - Maître, lui dit-il, qu’est-ce que je dois faire pour être sûr d’obtenir la vie éternelle ? Yahshua lui répondit : - Qu’est-ce qui est écrit dans notre Loi ? Que dit-elle à ce sujet ? Comment la comprends-tu ? Aime le Seigneur ton Élohim, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, lui répondit-il, et aime ton prochain comme toi-même. Excellente réponse, lui dit Yahshua, fais cela et tu auras la vie. » (Luc 10:25)
Confirmation que cette parachah révèle le secret de la Sainteté et donc de la vie.
Alors que ce docteur de la Loi interpelle Yahshua en Sa qualité de Maître, il tente néanmoins de Le provoquer et de Le mettre en difficulté. 
Pour répondre à cette question essentielle de la vie éternelle, Yahshua n’invente pas de nouveaux commandements mais renvoie son contemporain à la Torah de Moshéh.
« Que dit-elle ? ». En sommant le docteur de la Loi de faire ce qu’il vient opportunément de dire en résumant la Loi, Yahshua le renvoie à ses propres contradictions et faiblesses : car en tentant de déstabiliser Yahshua, il n’a pas appliqué ce commandement. 
D’où la réponse du Maître : « fais cela… sous-entendu, tu le l’as pas fait… et moi que tu croyais surprendre, je te surprends dans tes mauvaises pensées. »
Nous sommes tous des « docteurs de la Loi » qui répondons parfois correctement à la question du Maître. Oui, nous avons bien compris, mais il nous reste encore à faire !
« En effet, des commandements comme : Tu ne commettras pas d’adultère, tu ne commettras pas de meurtre, tu ne voleras pas, tu ne convoiteras pas, et tous les autres, se trouvent récapitulés en cette seule parole : Aime ton prochain comme toi-même. » (Romains 13:9)
« Car la Loi se trouve accomplie tout entière par l’obéissance à cette seule parole : Aime ton prochain comme toi-même. » (Galates 5:14)
Ce commandement tiré de Qédochiym a clairement été valorisé par Yahshua. De fait, ce commandement devenu central pour la « chrétienté » renvoie à notre parachah Qédochiym « soyez saints… ».
Loin d’être rébarbative et réservée aux initiés, Yahshua nous dit combien cette parachah résume tout ce qu’Il fut et que nous devons, à sa suite, nous efforcer d’être. 
A tous nos amis chrétiens encore prisonniers du paganisme de Nicée, nous devons maintenant dire avec force : 
“ Notre Sauveur nous renvoie tous, collectivement, à cette parachah Qédochiym qui stipule solennellement : respectez vos parents, gardez mes shabbat, aimez votre prochain comme vous-même. “
Shabbat shalom vé shavoua tov.
Source : Juda & Ephraïm
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He makes likenesses of Us and forgets his own Creation, saying, "Who will give life to bones when they are decayed?" Say "He Who made them in the first place will bring them back to life." (Quran chapter 36 verse 78-79)
Hace semejanzas de Nosotros y olvida su propia Creación, diciendo: "¿Quién dará vida a los huesos cuando estén podridos?". Di: "Quien los hizo en primer lugar les devolverá la vida". (Corán capítulo 36 versículo 78-79)
Er macht sich ein Abbild von Uns und vergißt seine eigene Schöpfung, indem er sagt: "Wer wird den Knochen Leben einhauchen, wenn sie verfallen sind?" Sprich: "Er, der sie zuerst erschaffen hat, wird sie wieder zum Leben erwecken." (Koran, Kapitel 36, Vers 78-79)
Il nous ressemble et oublie sa propre création. Il dit : "Qui redonnera vie aux ossements lorsqu'ils se seront décomposés ? Dis : "Celui qui les a créés les ramènera à la vie." (Coran, chapitre 36, versets 78-79)
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edlim-sims · 1 year
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Le moment est venu pour Ève de souffler ses bougies!
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plumdepan · 2 months
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7 ans sur Wattpad
Aujourd'hui, ça fait exactement 7 ans que j'ai créé mon compte Wattpad 🥳
Pour l'occasion, j'ai préparé une nouvelle histoire, dont le premier chapitre est déjà disponible :
J'ai écrit cette histoire l'année dernière, mais je ne l'avais pas encore postée. L'occasion est donc toute trouvée 🤗
Je me suis inspirée de la performance de ZengYan sur Lost, avec Jiamin, pour la partie danse :
(La chanson commence à 1:19:36)
Au passage, ZengYan est incroyable sur cette chanson 😯
Et bien sûr, la choré de Jiamin est magnifique (même si je ne suis pas très objective 😅)
Tout de même, la fin est touchante et je pense que c'est ce qui m'a poussée à en faire une histoire
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blogdimanche · 5 months
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Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 1,22-38
 
22 « Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur,
23 selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur.
24 Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
25 Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
26 Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
27 Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
28 Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant :
29 « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.
30 Car mes yeux ont vu le salut
31 que tu préparais à la face des peuples :
32 lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
33 Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
34 Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction
35 – et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
36 Il y avait aussi une femme prophète, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser. Elle était très avancée en âge ; après sept ans de mariage,
37 demeurée veuve, elle était arrivée à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. Elle ne s’éloignait pas du Temple, servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière.
38 Survenant à cette heure même, elle proclamait les louanges de Dieu et parlait de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
(Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
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(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Lc 2,34
« Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. » (Lc 2,34) L’attente du Messie était très vive dans le peuple juif à l’époque de la naissance de Jésus ; tout le monde n’en parlait pas de la même manière, mais l’impatience était partagée par tous. Certains parlaient de la « Consolation d’Israël », comme Syméon, d’autres de la « délivrance de Jérusalem », comme la prophétesse Anne. Certains attendaient un roi, descendant de David, qui chasserait les occupants, les représentants du pouvoir romain. D’autres attendaient un Messie tout différent : Isaïe l’avait longuement décrit et il l’appelait « le Serviteur de Dieu ». Il semble que Luc, ici, nous invite à voir en lui le serviteur annoncé par Isaïe (dans les chapitres 42, 49, 50, et 52-53). Rappelons-nous comment le prophète le présentait : « Voici mon serviteur que je soutiens, mon élu qui a toute ma faveur… » (Is 42,1)… « J’étais encore dans le sein maternel quand le SEIGNEUR m’a appelé, j’étais encore dans les entrailles de ma mère quand il a prononcé mon nom » (Is 49,1)… « Chaque matin, il (le SEIGNEUR) éveille, il éveille mon oreille, pour qu’en disciple, j’écoute ; le SEIGNEUR mon Dieu m’a ouvert l’oreille… » (Is 50,4-5). C’est une manière de dire que ce serviteur était très docile à la parole de Dieu ; et il avait reçu pour vocation d’apporter le salut au monde entier. Isaïe disait : « Je fais de toi l’alliance du peuple, la lumière des nations » (Is 42,6)… « Je fais de toi la lumière des nations, pour que mon salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre » (Is 49,6). Ce qui prouve qu’à l’époque d’Isaïe, on avait déjà bien compris que le projet d’amour et de salut de Dieu concerne toute l’humanité et pas seulement le peuple d’Israël. Enfin, le prophète ne cachait pas le sort terrible qui attendait ce sauveur : il accomplissait sa mission et par lui l’humanité était sauvée, mais parce que sa parole était jugée trop dérangeante, il était maltraité, méprisé, persécuté. Isaïe disait : « J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. » (Is 50,6). Apparemment, sous l’inspiration de l’Esprit-Saint, et parce qu’il connaissait parfaitement les prophéties d’Isaïe, Syméon a tout de suite compris que l’enfant était ce Serviteur annoncé par le prophète. Il a pressenti le destin douloureux de Jésus dont la parole inspirée devait être refusée par la majorité de ses contemporains. Mais Syméon a compris également que l’heure du salut de toute l’humanité venait de sonner : « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu le salut, que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. » Consolation d’Israël, délivrance de Jérusalem, Serviteur, cet enfant était bien le Messie qu’on attendait, c’est-à-dire celui qui apporte le Salut ; comme le disait encore le prophète Isaïe (chapitre 53) : « Par lui ce qui plaît au SEIGNEUR réussira. » (Is 53,10). Or, depuis Abraham, on sait que la volonté du Seigneur, c’est le salut de toutes les familles de la terre. (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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latribune · 4 months
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yes-bernie-stuff · 10 days
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Heureux comme des bœufs de Kobé ? 15/05/2024
Mais Dieu lui dit : Insensé ! cette nuit même ton âme te sera redemandée. Luc 12.20
C’est dans la région de Kobé au Japon que vivent les bœufs les plus heureux du monde. Les éleveurs sont aux petits soins de ces animaux de race contrôlée. Ils les chouchoutent avec une alimentation de haute qualité, des massages, la diffusion de musique classique… Tout est fait pour leur éviter le moindre stress et pour leur témoigner… de l’amour.
Tout cela pendant 500 jours. Après, ces bœufs (et ces génisses) partent à l’abattoir… pour fournir la viande la plus tendre du monde.
Dans le verset d’entête, Jésus nous montre le sort d’un homme vivant sans se soucier de Dieu, et qui n’avait pas envisagé que sa mort pourtant proche allait mettre fin brutalement à sa belle prospérité matérielle. Et dans la lecture proposée, Jésus dénonce la même insouciance coupable de la part de ceux qui allaient être engloutis par les eaux du déluge ou consumés par les flammes de l’incendie de leur ville.
Et nous ? Si nous sommes heureux comme des bœufs de Kobé, contrairement à eux, – nous savons que cette vie prendra brusquement fin, – et nous pouvons échapper à notre triste sort !
Non pas que la mort soit évitable, mais par le sacrifice de Christ à notre place, nous pouvons échapper au terrible jugement qui suivra¹ et connaître la vie éternelle avec Dieu.
Alors choisissez ce vrai bonheur sans fin !
Claude Schneider
¹ Hébreux 10.26-27
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 17, versets 26 à 37.
26 Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même aux jours du Fils de l'homme.
27 Les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche; le déluge vint, et les fit tous périr.
28 Ce qui arriva du temps de Lot arrivera pareillement. Les hommes mangeaient, buvaient, achetaient, vendaient, plantaient, bâtissaient;
29 mais le jour où Lot sortit de Sodome, une pluie de feu et de souffre tomba du ciel, et les fit tous périr.
30 Il en sera de même le jour où le Fils de l'homme paraîtra.
31 En ce jour-là, que celui qui sera sur le toit, et qui aura ses effets dans la maison, ne descende pas pour les prendre; et que celui qui sera dans les champs ne retourne pas non plus en arrière.
32 Souvenez-vous de la femme de Lot.
33 Celui qui cherchera à sauver sa vie la perdra, et celui qui la perdra la retrouvera.
34 Je vous le dis, en cette nuit-là, de deux personnes qui seront dans un même lit, l'une sera prise et l'autre laissée;
35 de deux femmes qui moudront ensemble, l'une sera prise et l'autre laissée.
36 De deux hommes qui seront dans un champ, l'un sera pris et l'autre laissé.
37 Les disciples lui dirent: Où sera-ce, Seigneur? Et il répondit: Où sera le corps, là s'assembleront les aigles.
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christophe76460 · 1 month
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ÉTUDE BIBLIQUE~ÉSAÏE 17-18
👉Ésaïe 17:1-14 ; 18:1-7
Au chapitre 7 verset 1, nous avons vu Retsin, roi de Syrie attaquer Juda avec la complicité de Pékach fils de Remalia. 2 Rois 16 verset 5 à 9 complète ce récit par son dénouement : la prise de Damas par Tiglath-Piléser et la mort de Retsin.
Cependant « l'oracle touchant Damas » se rapporte à l'avenir tout comme les jugements précédents. La Syrie moderne fera apparemment partie de cette « multitude de peuples nombreux » (verset 12; Apocalypse 17:15), laquelle, comme une mer tumultueuse tentera de submerger Israël… mais, « avant le matin », elle ne sera plus (Psaume 37:36).
En contraste, le chapitre 18 nous présente un pays maritime étendant sa puissance protectrice (l'ombre de ses ailes) pour venir en aide au peuple élu. Ainsi Dieu distingue entre les nations du monde selon qu'elles sont ou non favorables à Israël. Et voyez ce qu'Il pense de son pauvre peuple terrestre pendant que le monde le méprise et le foule aux pieds.
À ses yeux Israël est « merveilleux » dès ce temps et au delà… N'est-il pas le peuple de Celui qui est appelé : « Merveilleux »… (Ésaïe 9:6; Bible version Darby) ? — Une nation qui attend, attend…
Et nous, amis croyants, l'attendons-nous, celui qui n'est pas seulement notre Roi, mais l'Époux céleste de l'Église ?
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shalomelohim · 2 months
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La Parachah “Tsav” (Ordonne !)
Pensée  Moshéh revêtit Aharon des vêtements et des signes de sa charge…
“Et le grand sacrificateur d’entre ses frères, sur la tête duquel l’huile de l’onction aura été versée et qui aura été consacré pour revêtir les saints vêtements, ne découvrira pas sa tête et ne déchirera pas ses vêtements.” (Lévitique 21:10)
Déchirer les vêtements était un signe de deuil. Porter le deuil n’était pas requis au Grand Sacrificateur…
Or :
“Et Yahshua dit : Je le suis (Messie) et vous verrez le fils de l’homme assis à la droite de la puissance, et venant avec les nuées du ciel. Et le souverain sacrificateur, ayant déchiré ses vêtements, dit : Qu’avons-nous encore besoin de témoins ?” (Marc 14:62-63)
Le Grand Sacrificateur fit ce qui n’était pas autorisé à cause de sa dignité !
La rupture de son habit fut le signe de l’abandon de sa charge qui revenait au Vrai Grand Sacrificateur, qui l’endossa pour toujours : Yahshua.
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Lectures  Parachah : Vayyiqra / Lévitique 6:1 à 8:36 Haftarah : Yirméyahou / Jérémie 7:21 à 8:3 Bérith Hadachah : 1 Képhas / 1 Pierre 1:1 à 2:10
Rappel Les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yahshua.
Résumé de la parachah La parachah « Tsav » reprend les éléments déjà évoqués dans la parachah précédente de Vayyiqra. Les qorbanoth, ou divers types d’offrandes sont revisités, au regard du service des seuls sacrificateurs. Comment ces derniers doivent avec précision, opérer dans le service sacré.
Ainsi après avoir été instruits scrupuleusement à leur office devant Elohim, Aharon et ses fils seront consacrés par Moshéh au cours d’une cérémonie tout aussi méticuleuse et strictement réalisée selon l’ordonnance d’Elohim.
Un mot sur le livre du Lévitique « Vayyiqra » (Il appela)
Placé au centre des cinq livres composant la Torah (pentateuque), il s’adresse aux Kohanim – les prêtres ou sacrificateurs, y compris au Grand Sacrificateur - haKohen haGadol - d’une manière générale aux lévites, d’où son appellation grecque « Lévitique ». Son contenu semble à première lecture très technique, tant les détails apportés sur le sacerdoce et les règles de pureté ressortent majoritairement de ses 27 chapitres.
De ce fait, peu dans le christianisme, s’attache à sa lecture, vite jugée « dépassée, archaïque, rébarbative » car relative à des ordonnances qui seraient « abolies » dont on ne comprend pas, ou plutôt dont on ne cherche plus à comprendre, ni l’intérêt, ni l’importance de leurs aspects pédagogiques.
Négliger la pédagogie, l’enseignement profond et supérieur, porté par le riche ensemble de ces prescriptions, revient à nous amputer de précieux éléments utiles pour le témoignage de la bonne nouvelle.
Témoignage dont la démonstration doit s’engager au-delà des phrases leitmotivs telles que « Jésus est le sauveur ». Phrases qui gardent bien sûr toute leur valeur déclarative, mais qui ne trouvent guère de crédit auprès d’esprits cartésiens qui aimeraient être convaincus à l’aide d’éléments plus concrets.
A leur question : Pourquoi devrais-je croire que « Jésus est le sauveur » ? La réponse du discours basique d’évangélisation convainc peu. S’il s’y trouve immanquablement des formulations de foi, il manque souvent d’arguments et de preuves robustes et recevables interpellant véritablement un esprit critique.  
Ce n’est pas ainsi que Paul confessait le Seigneur, il annonçait toujours en prouvant ses dires sur la Parole connue en son temps, en reprenant toute l’histoire biblique et avec un langage d’intelligence et de connaissance qui ne reposait pas sur la sagesse des hommes.
Chers amis, Qu’en était-il à l’époque de Yahshua, lors de son ministère ? Comment ceux qui ont cru en Lui se sont-ils déterminés ?
Sur un coup de cœur ! Peut-être, car il est écrit qu’ils eurent le cœur vivement touché.
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Le cœur touché, car ils attendaient tous et surtout la consolation d’Israël, ils connaissaient bien les écritures de l’époque et l’ensemble des « détails » qui gravitait autour du sacerdoce aharonique, qui seul en ce temps représentait l’accès au Père, le salut possible dans le cadre de l’Alliance d’Élohim faite avec Israël.
Le Seigneur Lui-même convainquait ses contemporains par la Parole et par ses actes.
C’est à travers la connaissance des éléments du sacerdoce aharonique que beaucoup ont compris que Yéshoua était Celui qu’ils attendaient, le Messie fils d’Élohim, Roi d’Israël et Roi des rois, Agneau et Grand Sacrificateur. Il suffit de lire l’épître aux hébreux pour s’en persuader.
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Tous ces juifs-là avaient intériorisé la Torah dans la pureté d’un cœur bien disposé à l’égard d’Élohim, et voilà que cette Torah se réalise « en vie » devant eux, tous les « détails » de ce rébarbatif Lévitique / Vayyiqra prennent corps (rappelons que vayyiqra signifie “Il appela”). Et ils en eurent le cœur vivement touché. Nous pouvons dire que les juifs, premiers disciples de Yahshua, ont cru « du cœur », parce qu’ils étaient aussi en capacité de comprendre, car ils étaient instruits de la Torah.
Les païens qui ont cru par les seules paroles de ces derniers, ont reçu la grâce par la foi et cela, comme pour Abraham fut pour eux une justice. Ces ex-païens restèrent-ils pour autant sans connaissance des écrits dits de la première alliance, certainement pas ! 
Ils crurent puis ils apprirent, ils furent assidus aux synagogues (lieux d’instruction de l’époque) pour y apprendre « Moïse », pour mieux discerner « Yahshua ».
Oui, dès ce moment, les disciples juifs, puis les païens immergés, instruits :
dans la connaissance (le nom) du Père,
dans la connaissance du Fils,
dans la connaissance de la Vérité (le souffle et les écritures),
purent annoncer au monde :
« Yahshua est l’Agneau d’Élohim, qui ôte le péché de quiconque croit en Lui »
et ils pouvaient de plus le prouver par les écritures et par leurs actes.
Ne négligeons donc pas la connaissance, toute la connaissance de la Parole, car :
« Mon peuple est détruit, parce qu'il lui manque la connaissance. Puisque tu as rejeté la connaissance, Je te rejetterai, et tu seras dépouillé de mon sacerdoce; Puisque tu as oublié la loi de ton Élohim, J'oublierai aussi tes enfants. » (Osée 4:6)
Quel avertissement ! Mais qui y prend garde…
Tsav-ordonne
C’est un ordre !Ordre qui s’adresse ici à Aharon et à ses fils et par extensions à tous les sacrificateurs qui succéderont. Le mot « tsav » est de la racine de mots comme « mitsvah » commandement, précepte.
L’expression « tsavvéh bérakhah » signifie répandre la bénédiction. N’est-ce pas là aussi un ordre :
« Parle à Aharon et à ses fils, disant, Vous bénirez ainsi les fils d’Israël, en leur disant » (Nombres 6:23)
« Bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous diffament. » (Luc 6:28)
« Bénissez ceux qui vous persécutent ; bénissez, ne maudissez pas. » (Romains 12:14)
« Ne rendez pas mal pour mal, insulte pour insulte. Bénissez, au contraire, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin d’hériter la bénédiction. » (1 Pierre 3:9)
Mais quelle relation y a-t-il entre l’ordre donné aux sacrificateurs selon l’ordre d’Aharon, qui officiaient au tabernacle puis au temple en sacrifiant des animaux et en offrant tout ce qui est prescrit par Moshéh selon un mode procédurier précis et dans un état rituel de pureté exigeante… et la « nouvelle condition » dite de la nouvelle Alliance ?
D’ailleurs les sacrificateurs ont-ils encore une fonction légitime sous la nouvelle alliance ?
Car depuis la destruction du Temple en 70, il n’y a plus de qorbanoth (sacrifices, offrandes…) donc en substance plus de sacrificateurs selon Aharon.
Néanmoins, si le sacerdoce ancien était sur le point de disparaitre, et prêt d’être remplacé par un nouveau, il semble évident qu’une nouvelle « génération » de sacrificateurs devait être consacrée.
“ Mais vous, vous êtes une race choisie, une sacrificature royale, une nation sainte, un peuple acquis, pour que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière ” (1 Pierre 2:9)
“Je vous exhorte donc, frères, par les compassions d’Elohim, à présenter vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Elohim, ce qui est votre service intelligent.” (Romains 12:1)
Ainsi, après s’être offert librement selon les modalités du sacerdoce aharonique, qu’IL accomplit en sa chair, Yahshua Agneau d’Elohim et Grand sacrificateur, inaugure un sacerdoce nouveau correspondant à la transformation de l’ancien qui atteignait sa plénitude en sa chair.
En sorte que la justice et la fidélité ordonnées par Moshéh, étaient entièrement respectées et accomplies.
La « réparation parfaite » de la relation « créature-Créateur » était actée !
Yahshua affirmait aussi par l’acte sa légitimité de médiateur d’un sacerdoce beaucoup plus puissant, car par la mort d’un seul, Lui-même, les substitutions animales recouvrant péché par péché devenaient superflues, son sang étant répandu cette fois en rémission définitive de la transgression pour tous ceux qui y adhéreraient en englobant par le même acte tous les aspects des diverses offrandes et sacrifices décrits dans la parachah.
Si les sacrifices animaux « couvraient » le péché, le sacrifice de l’Agneau d’Élohim « ôte » le péché. La supériorité du sacrifice de Yahshua est claire.
“ Le lendemain, il voit Yéshoua venant à lui, et il dit : Voilà l’Agneau d’Élohim qui ôte le péché du monde ! ” (Jean 1:29)
“ C’est pourquoi, en entrant dans le monde, Il dit : Tu n’as pas voulu de sacrifice ni d’offrande, mais Tu M’as formé un corps. Tu n’as pas pris plaisir aux holocaustes ni aux sacrifices pour le péché ; alors J’ai dit : Voici, Je viens, – il est écrit de Moi dans le rouleau du livre– pour faire, Élohim, ta volonté. Ayant dit plus haut, Tu n’as pas voulu de sacrifices, ni d’offrandes, ni d’holocaustes, ni de sacrifices pour le péché, et Tu n’y as pas pris plaisir – lesquels sont offerts selon la Torah, – alors Il dit : Voici, Je viens pour faire ta volonté. Il ôte le premier afin d’établir le second. ” (Hébreux 10:5-9)
Dès lors IL redéfinissait un sacerdoce adapté à la nouvelle réalité de la relation avec le Père en son Corps. Le corps sacerdotal prenait une nouvelle forme selon le Souffle, conforme à la dimension du sacerdoce sublimé.
Pierre, disciple de proximité du Maître, définit une caractéristique de la nouvelle sacrificature, elle sera de dimension « royale » (1 Pierre 2:9). 
Quant à Paul il aborde le principe même du sacerdoce agréable à Élohim le Père, par l’entière assimilation des nouveaux sacrificateurs à l’imitation de leur Seigneur Yahshua.
« Présentez vos corps en sacrifice vivant » c'est-à-dire ; vivez complètement votre sacerdoce pour le Seigneur, en accomplissant sa volonté.
“ Et tout cela vient de Elohim, qui nous a réconciliés avec lui par le Messie, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. “(2 Corinthiens 5:18)
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La nuance de sacralité et de pureté aurait-elle évoluée pour autant ? Oui, elle est encore plus exigeante, le savions-nous ? Avons-nous bien pris conscience de Qui nous nous sommes approchés en termes de sainteté…
Sainteté telle que le Grand Sacrificateur selon Aharon, était lui-même en danger ! Il est très agréable et motivant de nous dire « nous sommes sacrificateurs avec le Seigneur » ! Mais à ce propos, ne soyons pas inconsidérés, faisons précisément sans suffisance ni laxisme, notre bilan… en termes de sanctification, de pureté, d’adéquation au modèle du Messie. Tout un programme !
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“afin que lui se présentât l’assemblée à lui-même, glorieuse, n’ayant ni tache, ni ride, ni rien de semblable, mais afin qu’elle fût sainte et irréprochable.” (Ephésiens 5:27)
“C’est pourquoi, bien-aimés, en attendant ces choses, étudiez-vous à être trouvés sans tache et irréprochables devant lui, en Shalom ” (2 Pierre 3:14)
Le contact de pureté
“Et ce qui en restera, Aharon et ses fils le mangeront ; on le mangera sans levain, dans un lieu saint ; ils le mangeront dans le parvis de la tente d’assignation. On ne le cuira pas avec du levain. C’est leur portion, que je leur ai donnée de mes sacrifices faits par feu. C’est une chose très sainte, comme le sacrifice pour le péché et comme le sacrifice pour le délit. Tout mâle d’entre les enfants d’Aharon en mangera ; c’est un statut perpétuel en vos générations, leur part des sacrifices faits par feu à YHWH, quiconque les touchera sera saint.” (Lévitique 6:16-18)
Voila une information bien intéressante. Si je touche de l’eau, je suis immédiatement mouillé ! Si je touche du feu, je suis brulé, cela va de soi.
D’une façon toute aussi logique, la Parole nous dit : Si quelqu’un touche à une part «sacrée » la sacralité se transmet !
Et par effet de nature opposée, il est aussi dit : Si quelqu’un touche à un cadavre ou à une souillure il sera impur !
Tant et si bien qu’il est dit :
“Partez, partez ; sortez de là ; ne touchez pas à ce qui est impur ! Sortez du milieu d’elle, soyez purs, vous qui portez les vases de YHWH !” (Esaïe 52:11)
“C’est pourquoi sortez du milieu d’eux, et soyez séparés, dit le Seigneur, et ne touchez pas à ce qui est impur, et moi, je vous recevrai.” (2 Corinthiens 6:17)
Question simpliste : le sacré et le pur, le profane et l’impur seraient-ils contagieux ?
“Les uns, ceux qui hésitent, cherchez à les convaincre ; les autres, sauvez-les en les arrachant au feu ; les autres enfin, portez-leur une pitié craintive, en haïssant jusqu'à la tunique contaminée par leur chair.” (Jude 1:22-23)
“Et Elohim faisait des miracles extraordinaires par les mains de Paul, de sorte que même on portait de dessus son corps des mouchoirs et des tabliers sur les infirmes ; et les maladies les quittaient, et les esprit malins sortaient.” (Actes 19:11-12)
“N'impose les mains précipitamment à personne et ne participe pas aux péchés d'autrui ; garde-toi pur toi-même.” (1 Timothée 5:22)
“Et voici, une femme qui avait une perte de sang depuis douze ans s’approcha par derrière et toucha le bord de son vêtement ; car elle disait en elle-même, Si seulement je touche son vêtement, je serai guérie. Et Yahshua, s’étant retourné et la voyant, dit, Aie bon courage, ma fille ; ta foi t’a guérie. Et la femme fut guérie dès cette heure.” (Matthieu 9:20-22)
Nous n’abonderons pas dans le sens des superstitions liées aux reliques et autres subtilités qui favorisent l’idolâtrie, détournant les croyants de la source de Vie en projetant leur espérance de guérison ou autres sur un objet. Bien que pour appuyer un message, une parole, le Seigneur puisse se servir d’un objet comme signe.
“Et la mère du jeune garçon dit, YHWH est vivant, et ton âme est vivante, que je ne te laisserai point ! Et il se leva, et s’en alla après elle. Et Guéhazi les devança, et il mit le bâton sur le visage du jeune garçon, mais il n’y eut pas de voix, pas de signe d’attention. Et il s’en retourna à la rencontre d’Elisée, et lui rapporta, disant, Le jeune garçon ne s’est pas réveillé.” (2 Romains 4:30-31)
Le bâton d’Élisée n’eût aucun effet sur l’enfant mort ! Et cependant que de miracles Moshéh et Aharon ont-ils réalisés en levant le bâton.
La Sunamite était consciente que la vie, la puissance ne pouvait pas se trouver dans un bâton ou un objet, mais bien dans celui qui en était le propriétaire.
Alors qui était le propriétaire des offrandes et sacrifices offerts par l’intermédiaire des sacrificateurs ? Elohim, bien sûr, c’est cette appartenance qui détermine le sacré. Si nous nous approchons de ce qui est « propriété » de notre Père, alors nous sommes dans un environnement sacré, celui du Royaume.
Si notre coeur est bien disposé, nous « contractons » plus de sanctification par le travail du Fils, de Sa parole en nous.
Mais si nous avons un coeur double à la manière d’Ananias et Séphira ou si nous sommes profanes comme Nadav et Avihou les fils d’Aharon, alors nous ne vivrons pas en présence de la sainteté.
Car le profane ne peut côtoyer le sacré.
Une bénédiction de clôture du Shabbat s’énonce ainsi :
« Béni sois Tu YHWH, notre Elohim, Roi de l’univers qui distingue le sacré du profane ».
La réponse à notre question simpliste sera donc : Oui ! Si nous recherchons la sainteté, la sainteté est contagieuse !
« N’abandonnez pas de vous assembler (ou votre rassemblement) » dira Paul,
« Entretenez-vous par des hymnes, des prières… recherchez ce qui est agréable, veillez à cela, etc. »
Mais si nous nous plaisons dans un environnement malsain, si nous nous laissons pénétrer de la pensée mondaine, ou si nous introduisons de la pensée mondaine dans nos assemblées, l’impureté ne peut tenir face à la sainteté, nous serons profanes, impurs, et nous ne tiendrons pas parmi ceux qui se sanctifient.
Parce que notre Élohim, est un Élohim qui distingue. Il n’est ni laxiste, ni tolérant, mais patient.
“Mais que ni la fornication, ni aucune impureté ou cupidité, ne soient même nommées parmi vous, comme il convient à des saints ; ni aucune chose honteuse, ni parole folle ou plaisanterie, lesquelles ne sont pas bienséantes, mais plutôt des actions de grâces. Cela en effet vous le savez, connaissant qu’aucun fornicateur, ou impur, ou cupide (qui est un idolâtre), n’a d’héritage dans le royaume du Messie et de Elohim. Que personne ne vous séduise par de vaines paroles ; car, à cause de ces choses, la colère de Elohim vient sur les fils de la désobéissance. N'ayez donc pas de participation avec eux.” (Ephésiens 5:3-7)
Revenons au sacerdoce
Quel acte-symbole sacerdotal le Seigneur nous a-t-il laissé ? Le partage du pain sans levain et de la coupe de vin. Il initialisa ce geste au dernier repas pris avec ses disciples avant Péssah. IL renouait par la même occasion avec le symbole du sacerdoce de Mélkiy-Tsédeq dont a bénéficié Abram. (voir Genèse 14:17-24)
Le corps glorieux du Mashiah et son sang versé, c'est-à-dire la valeur de son sacrifice, donc du sacerdoce, est perpétuellement en présence du Père en lieux célestes.
“Et je vis au milieu du trône et des quatre animaux, et au milieu des anciens, un agneau qui se tenait là, comme immolé, ayant sept cornes et sept yeux, qui sont les sept Esprits de Elohim, envoyés sur toute la terre.” (Apocalypse 5:6)
Ceux qui s’approchent de la « sainte commémoration » ne font pas que s’adonner à un « geste banal du souvenir ».
Ils mettent en action un « ordre-Tsav » de notre Grand Sacrificateur qui a traversé le sanctuaire céleste. 
IL dit : « Faites ceci en mémoire de Moi ». Ils s’adressent ainsi à ceux qu’IL estime être des sacrificateurs, des Kohaniym (prêtres).
Ces derniers s’offrent alors par obéissance, si toutefois la conscience de l’acte est présente, comme sacrificateurs rangés derrière leur Grand Sacrificateur - heKohen haGadol - engagés dans un même service, celui du culte au Père !
Ils se placent en situation de sainteté extrême
“Yahshua lui répondit : Ce que je fais, tu ne le comprends pas maintenant, mais tu le comprendras bientôt. Pierre lui dit : Non, jamais tu ne me laveras les pieds. Yahshua lui répondit : Si je ne te lave, tu n’auras point de part avec moi.” (Jean 13:7-10)
“Vous-mêmes, qui étiez devenus jadis des étrangers et des ennemis, par vos pensées et vos œuvres mauvaises, voici qu’à présent Il vous a réconciliés dans son corps de chair, le livrant à la mort, pour vous faire paraître devant Lui saints, sans tache et sans reproche.” (Colossiens 1:21-22)
“Si nous disons que nous avons communion avec Lui, (…) si nous marchons dans la lumière, comme lui-même est dans la lumière, nous avons communion les uns avec les autres, et le sang de Yahshua Messie son Fils nous purifie de tout péché. Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous.” (1 Jean 1:6-8)
Néanmoins, ces paroles ont tellement été dites et redites que beaucoup en ont oublié la « sainte crainte » qu’implique la présence du Messie de Elohim dans Sa Sainte Qéhiyllah (assemblée des saints d’Israël).
Paul est obligé de rappeler que personne ne peut s’approcher ainsi à la légère du camp des saints et du sacerdoce. Celui qui s’approche du sacré ne peut encore être enclin au profane, car le profane ne peut côtoyer le sacré.
“ C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts. Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.” (1 Corinthiens 11:26-31)
Tsav ordonne
« Tsav » demeure un ordre qui ne se discute pas ; non seulement parce qu’il émane du Père, mais parce qu’il est l’expression d’un ordre « salutaire » hors du commun, dont dépend le sort de tout un peuple, de l’humanité, du cosmos.
« Tsav » nécessite, courage, résolution, abnégation, générosité, don complet de soi, pour une mission « extraordinaire » qui nous dépasse et dépasse nos petits intérêts.
Le sacrificateur-prêtre est dès lors ce soldat qui s’engage à protéger et à mener les siens à « bon port » en obéissant aux ordres, quitte à y laisser sa vie.
Lorsqu’il entend l’ordre, il sait ce qu’il doit faire, il en mesure les risques, mais il accomplit généreusement, avec toute son énergie, toute son âme, tout son cœur, la mitsvah, l’ordre, qui s’inscrit dans le grand dessein de son Elohim.
Source : Juda & Ephraïm
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