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#boudeuse
emaadsidiki · 5 hours
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French Frigate Boudeuse, Paris.
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laudys83 · 2 years
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😱😱😱😱
J’avais jamais remarqué le coup d’œil de Venec vers Alzagar dans cette scène
😱😱😱😱
En mode “on dit quoi?” quand Quarto demande qui est le gars qu’ils cherchent.
J’aime trop leur relation 😭
Purée s’il avait pas éclaté la tronche d’Arthur ce serait trop un headcanon qu’ils ont manigancé ça ensemble pour libérer Arthur de sa condition d’esclave et le ramener à Kaamelott 😭😭😭
Cool je vais sûrement encore écrire un OS 😂
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eucanthos · 3 months
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eucanthos
Euthydikos Kore (also known as “La Boudeuse”) by Frédéric Boissonnas, Daniel Baud-Βovy, 1919
Petrus Christus Portrait of a Young Woman, 1470
Two pieces from nude Alexandra's torso by Evgeniy Mokhorev
https://en.wikipedia.org/wiki/Euthydikos_Kore#
https://en.wikipedia.org/wiki/File:Petrus_Christus_-Portrait_of_a_Young_Woman-_Google_Art_Project.jpg
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justineportraits · 10 months
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Francis Bellanger La Boudeuse
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amertumedelamer · 16 days
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Mine boudeuse non contractuelle ; si la bouche fait la moue, c'est un gage de concentration.
Autoportrait nocturne, en retrouvailles avec le critérium.
D'ailleurs, c'est assez curieux mais j'aimerais, non sans effort, trouver intérêt et plaisir, pleine satisfaction à dessiner autre chose que ma tronche. J'ai essayé : légumes, statues, fruits, plantes... Le défi d'autoportraits sur trente jours est théoriquement bien achevé, et c'est comme si tout l'intérêt et la profondeur du projet ne s'éveillait qu'à présent.
Mis à part ça, mon scanner est toujours trop petit face à mon carnet d'autoportraits. Et la partie qui s'avère la plus pénible de mon visage sont mes yeux... Ma peine à les transcrire est intacte. J'aimerais pouvoir les aborder avec plus de distance et d'abstraction, moins les penser, ni intellectualiser leur forme : dessiner ce que je vois, et non ce que je sais.
Au fond, je ne peux plus me voir ?
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enjoypaitings · 8 months
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Henri van Straten (Belgian, 1892 - 1944) - La boudeuse
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More by #henri van straten enjoypaitings
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traitor-for-hire · 9 months
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Coeur de soldat, chapitre 8 est en ligne !
La faim finit par les tirer du lit. Pour leur petit-déjeuner, Cassian tient sa promesse de faire la cuisine et prépare de simples tacos aux pommes de terre et aux œufs pendant que Jyn le regarde, assise sur le comptoir, les jambes battant dans le vide. Il sort son comal et le laisse chauffer sur le feu avant de préparer les tortillas, récoltant des louanges exagérées pour sa bravoure à chaque fois qu’il en retourne une avec les doigts. « Quand on est sarcastique, on reste l’estomac vide », l’informe-t-il quand un autre retournement est salué par des applaudissements polis et un hochement de tête neutre. « C’est rarement le cas des personnes bien armées », rétorque-t-elle, en dérobant un couteau de cuisine sur la planche à découper, qu’elle jette dans les airs avec le même geste blasé que la veille avec l’emballage de capote. Les yeux de Cassian suivent la lame pendant deux autres jets, incapable qu’il est de détourner le regard en dépit de ses efforts. « Jyn », dit-il, d’une voix moins assurée qu’il ne l’aimerait. « Pas de lancer de couteaux, s’il te plaît. » L’air coupable, les yeux de Jyn se braquent sur lui, et il éprouve un éclair de pure panique quand elle ne fait plus attention au couteau. Heureusement, elle est bien la fille de Saw, et même avec les yeux sur lui elle rattrape le couteau sans problème. Rapidement, elle le remet là où elle l’a trouvé. « Tu ne risquais rien, tu sais. Je ne le lancerais pas si je ne pensais pas pouvoir le rattraper », dit-elle, les yeux rivés au sol de la cuisine, en balançant les pieds, un brin acerbe. Soudain, elle pousse un soupir spectaculaire qui la laisse les joues roses et les lèvres boudeuses. « Argh, je suis pourtant pas si bête. » Cassian s’approche, se penche sur elle jusqu’à ce que leurs fronts se touchent « Merci. »
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perduedansmatete · 1 year
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mis à part le fait que je ne réponde plus qu'au nom de lana del khey il s'est passé d'autres choses ce week-end qui n'incluent ni crise d'urticaire, ni crise névrotique, ni crise de douleur trop insupportable et ça me fait du bien, pour une fois. même s'il a commencé par un échec en bonne et due forme puisque l'ami platonique voulait se faire une coloration bleu nuit sauf qu'on l'a complétement raté. ça n'a pas pris sur ses cheveux trop foncés donc il a juste le crâne tout bleu et une mine boudeuse depuis hier comme le bisounours que je lui ai offert, mais je m'en fiche j'ai bien aimé jouer à la coiffeuse et puis je suis contente que ça ait foiré car je les aime bien comme ça ses cheveux moi. après cet échec cuisant j'ai retrouvé des potes pour fêter l'anniversaire d'une amie chez une autre amie pour profiter de son appartement avant qu'il ne soit vendu, il renferme définitivement trop de souvenirs et c'est étrange de se voir grandir. mais hier soir j'avais l'impression qu'on avait tous de nouveau quinze ans, avec plein de nouvelles têtes et finalement c'était assez agréable comme sensation. c'était un joli au revoir, tout doux et festif. on s'est retrouvé avec certains pour pique-niquer ce midi, on a joué aux cartes et on s'est questionné sur les cinq langages de l'amour avant de se demander à juste titre quels étaient alors les cinq langages de la haine ? sans trouver de réponse satisfaisante, malheureusement. puis en rentrant on s'est dit qu'il était temps de dire au revoir à l'appartement de ma meilleure amie, qui venait de déménager. il était tout vide et ça m'a fait tout bizarre, lui qui renferme tant d'histoires aussi. il restait néanmoins un petit panneau disposé sur la fenêtre de la cuisine, le genre de truc qu'on faisait pour la fête des mères quand on était petites et sur lequel il était inscrit maman en majuscule, et cuisine juste au-dessus. j'ai trouvé ça vraiment très drôle mais mon amie moins et s'est défendue de tout procès en sexisme en m'expliquant que la chambre de ses parents n'avait pas de porte et qu'à l'époque elle avait remarqué que sa mère passait beaucoup de temps dans la cuisine. (tiens donc étonnant) puis j'ai fini accrochée à un radiateur par les liens des rideaux du salon, je me suis entendu dire que c'était pour prouver mon attachement à l'appart, mais je crois que j'étais juste fatiguée de toutes ces interactions sociales, de tous ces au revoir et que je suis mieux maintenant dans mon lit. (oui parce qu'on m'a décroché quand même, et on est tous rentrés: fin de l'histoire)
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lilias42 · 5 months
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Tagged by recurringwriter to post a wip snippet, thank for a tag !
Taggué par @recurringwriter pour poster un extrait d'un WIP, merci beaucoup de m'avoir taggué !
Le plus jeune fit une moue boudeuse en se recroquevillant encore plus autour de leur Relique, même si elle réagit aussi à son tour, le faisant grommeler : – Tu vas pas t’y mettre aussi… – Si c’est grand-père qui te le dit, c’est qu’il a probablement raison, le taquina doucement Glenn alors que son cadet finissait par s’endormir, vaincu par la fatigue. Rodrigue ronronna un peu en voyant Glenn recommencer à taquiner son frère… malgré tout ce qui était arrivé, il restait toujours le même dans le fond… il allait ramener Félix dans leur chambre pour qu’un médecin vérifie qu’il ne se soit pas exploser les veines à cause de la surcharge de magie, quand son ainé l’arrêta, le suppliant du regard. – Attend… attend papa… est-ce… est-ce Félix peut rester encore un peu ici ? S’il te plait papa… je… je veux pas le perdre de vue… pas après ça… je sais que ce monstre est mort… et que je ne peux plus vraiment le défendre maintenant… pas dans cet état… mais… on ne sait jamais… je ne veux plus le perdre… pas aussi vite…
(pardon de répondre aussi tard, vous semblez apprécier Lambert mais, il s'en prend plein la figure dans ce que j'ai écrit dernièrement alors, je ne voulais pas vous mettre sous le nez un texte où un personnage que vous appréciez est montré comme un antagoniste qui est allé trop loin pour avoir une rédemption)
Ah ! Et aussi, un petit projet en cours, comme ça, aussi :
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J'espère que ça vous plaira malgré le retard !
Et pour les tags... @ladyniniane évidemment et sinon, je ne sais pas trop... à la personne qui passe alors ! Que ce soit votre propre travail, histoire ou pas, un billet en cours que vous écrivez, quelque chose que vous avez vu et que vous aimez... bref, quelque chose qui fait plaisir à partager ! (vu que c'est pas que de l'écriture : @mwezina )
Et bien sûr, pas de pression ! Vous partagez si vous voulez, quand vous voulez, quand vous en avez envie !
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soeurdelune · 1 year
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j’adore jeremy allen white en ce moment (:
et toi, quel•s est/sont tes visages préférés?
rhoh yes, je l'aime fort aussi (je referais peut-être des avas pour sa bouille tiens)
en général, mes fc préférés concordent avec les films/séries tv coup de cœur que j'ai en ce moment hihi, du coup:
lakeith stanfield, que j'aimais déjà beaucoup beaucoup mais j'ai regardé atlanta dernièrement et il est adorable dans cette série
adam scott, parce que je rebinge parks & rec et je trouve qu'il a un faciès assez versatile, je l'imagine facilement incarner aussi bien un connard fini qu'un chic type à qui il arrive que des poisses?
carey mulligan, dont j'ai (re)vu quelques films dernièrement et elle a un truc tellement spécial, puis sa voix un peu grave me fait chavireeer
shalom harlow, parce que la mode m'a toujours fascinée et cette femme est sublissime et iconique
stephanie hsu; quelle actrice i n c r o y a b l e, je la connaissais de marvelous mrs maisel mais elle est bluffante dans eeaao
paul dano; il a une trogne tellement reconnaissable, je l'ai vu dans the fabelmans récemment et il est formidable dedans
suki waterhouse; elle a une vibe classe et boudeuse à la fois que je trouve très attachante (même si daisy jones & the six c'était vraiment de la merde mdrrrr)
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nofraildoll · 2 years
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Une nouvelle Jinx
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|| Fan Art by Sam Yang ||
Imaginez un instant Jinx, à 12 ou 13 ans, se réveillant un matin avec une sensation bizarre entre ses jambes. Elle touche son lit, il est mouillé. Elle rit amèrement, ne croyant pas, qu'à son âge, elle ait pu avoir un tel accident. Elle regarde ses doigts et panique. Quelqu'un est entré dans sa chambre et lui a planté un couteau ? Non ce n'est pas possible, elle l'aurait senti. Elle n'a pas fait pipi, elle ne s'est pas faite poignarder. Après s’être nettoyée, elle part à la recherche de quelqu’un. Il n'y a qu'une seule personne qui puisse l'aider. Elle toque donc au bureau de Silco. Il l'autorise à entrer et Jinx ouvre la porte plus timidement que d'ordinaire. Silco sent tout de suite qu'elle n'est pas comme d'habitude, car d'habitude elle est sans gêne et toujours à l'aise, même lorsqu'il y a du monde dans le bureau de Silco. Elle analyse tous les visages présents jusqu'à ce qu'elle tombe sur la personne recherchée. Mais Silco s’inquiète : — Tout va bien ? Jinx l'ignore et son regard se fixe sur l'improbable personne qui pourra lui venir en aide dans cette situation. À la grande surprise de tout le monde, elle s’adresse à elle pour lui demander un service :
— Sevika, tu peux venir deux minutes ?
Silco n’aime pas du tout ça. Jinx n’a jamais demandé quoi que ce soit à Sevika. Si elle a besoin de quelque chose, elle s’adresse directement à lui. Elle a déjà fait des conneries et il ne s’est jamais vraiment mis en colère contre elle, alors qu’est-ce qu’elle peut bien redouter ? Si c’est vraiment grave au point de lui cacher, il veut être le premier au courant :
— Jinx, qu’est-ce qu’il se passe ?
Sa voix devient plus sévère et il commence à perdre patience — et à paniquer : il craint qu’elle ait des problèmes et soit en danger.
— Je veux juste parler à Sevika.
Silco est pris de court. Jinx ne lui avait jamais rien caché. Il laisse Sevika partir avec elle car il est sûr qu’elle, au moins, finira par tout lui raconter.
Jinx emmène Sevika jusque dans sa chambre en silence.
Sevika s’est demandé pendant tout le trajet ce qu'il en était : si c’était un piège pour l’emmerder ce serait grossier. Toutefois, Jinx est une jeune fille et elle ne veut parler qu’à la seule femme dans son entourage - dont elle est certaine qu’elle ne lui fera pas de mal.
— Qu’est-ce que tu voulais me dire ?
Jinx fait la moue, comme si elle était agacée de devoir s’adresser à Sevika. Elle ne préfère pas lui parler mais lui montrer. Les bras croisés et la mine boudeuse, elle lui fait signe de regarder devant elle.
Sevika aperçoit alors la tache de sang au milieu de son lit et se rassure : ce n’était pas un piège mais bien un problème de filles.
Elle est soulagée et cache son amusement.
— Tu sais ce que c’est au moins ?
Jinx s’énerve :
— Oui, je sais ! Vi m’a déjà expliqué quand ça lui est arrivée. Je veux juste que tu m’aides à la retirer.
— Le matelas est imprégné, il faut le changer complètement.
— Où je peux en trouver un nouveau ?
Sevika prend un malin plaisir à taquiner Jinx.
— Demande à Silco de t’en acheter un, c’est lui qui gère tes dépenses.
Mais si Jinx a demandé à Sevika, ce n’est pas pour avoir à en parler à Silco.
    ***
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|| Fan Art by Yilok-Draws ||
Sevika retourne à ses affaires et Silco s’impatiente qu’elle lui dise ce qu’il en est.
— Qu’est-ce qu’elle te voulait ?
— C’était rien...
— Dis-moi ce qu’elle a fait. Si elle a un problème, elle doit venir me voir.
— Ce n’est pas le genre de problème que vous pouvez résoudre, Patron.
— Foutaises ! Tous les problèmes ont une solution.
— Pas celui-là. La nature a ses droits.
— Mais enfin, tu vas me dire ce qu’il se passe ?
Sevika le fixe un instant, se demandant si elle doit lui en parler ou préserver l’intimité de Jinx. Après tout, ce n’est qu’une petite peste et Silco allait le savoir tôt ou tard.
— Il se passe que votre petite fille adorée est devenue une femme.
Silco met quelques secondes pour percuter l’information.
— Quoi ? Déjà ? ... Ce n’est pas un peu tôt ?
— C’est l’âge moyen.
Silco est à la fois soulagé que la vie de Jinx ne soit pas en danger, mais est aussi inquiet des changements qui vont sûrement arriver. Il s’assoit dans son fauteuil et se passe la main sur son visage en soupirant.
— Tu lui as parlé ?
— Elle était déjà au courant, dans les grandes lignes.
— Alors... c’est réglé ? Je n’ai pas besoin de le faire ?
— Disons qu’elle sait ce qui l’attend désormais.
— Et pour tout ce qui concerne... les perturbateurs ?
— Les perturbateurs ?
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|| Anonyme - From Pinterest ||
Le soir-même, Sevika trouve Jinx en train de travailler dans son laboratoire. Elle l’appelle et exécute l’ordre confié par Silco - on peut encore sentir la force de la menace qui s’abattrait sur elle, si elle ne le faisait pas.
— Ok Jinx. Maintenant que tu as tes règles, tu peux tomber enceinte. Ce sera douloureux, parfois gênant ; tes seins vont pousser, tes fesses vont grossir, les mecs vont avoir envie de les toucher : s’ils le font, tu peux les buter et personne ne te blâmera ; si tu tiens à la santé de ton père, tu restes éloigner de tout ce qui a des poils sur le visage ; si un mec te dit que tu es la plus belle, qu’il t’aime, qu’il va te demander en mariage, que tu es la seule personne qui compte pour lui, c’est que des conneries : il veut juste te sauter. Bon courage.
Et une fois son devoir accompli, Sevika repart en laissant une Jinx encore plus perplexe qu’au réveil.
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aaronburrdaily · 1 year
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March 4, 1809
Couche at 2. Rose at 8. Bruille hier au soir av. Madame P.¹ Madame had been out and met some one who talked of Gamp! That she should have met any one who spoke of Gamp was a little surprising and not pleasant. Inde² many conjectures, under what name. Of R. was impossible; of B. not probable, yet possible! The first suggestion was that he must instantly remove. Went to bed thinking much and concluding nothing. Madame would not explain. Parted boudeuse³. Madame made the fire and got breakfast as usual. Regard triste, sombre. Pas maligne⁴. A sort of explanation ensued. Madame said that one of her acquaintances had met us walking the evening of the second, and knowing lui⁵, had followed and on meeting lui on Friday had made the remarks by description and not by name. Consoled but not satisfied, parted amis⁶. Packed up some, and transported to Q.S.P. other of my things. Mem.: Wrote last evening to Mr. Gordon of Craig. To Q.S.P. 1/4 before 1. To Gilbert’s bootmaker’s; boots not done! To corner of Swallow and Oxford streets; stage not arrived. Bought paper of Wedgewood, 4 shillings; two pamphlets, 2 shillings; coach hire 3 shillings 6 pence. Set out at 1/2 p. 1. A decent young man and the French paper-maker. The jeu. hom.⁷ complimented me on my speaking English so well that he did not know I was a foreigner till he heard me speak French! Arrived at Little Gaddesden at 7. Bartlett’s servant waiting to receive me. Engaged bed at tavern and went up to B.’s. T: The family and M’lle Baillie. Grand, blanche, chev. noi. bel. tranq.⁸ Bien rec.⁹ After tea called on Major Gamble, who offered me a room, but Madame Bartlett had provided a room, fire, &c; would take no refusal. So went for my trunk and took my quarters at B.’s. (Mem.: Passing through Nettleden this evening, saw McCarthy and family.) Couche 12.
1  Had a fuss last evening with Madame P. (Brouillé.) 2  Latin. Hence. 3  Sulky. 4  Her look sad, melancholy. Not malicious. 5  Him. 6  Friends. 7  For jeune homme. Young man. 8  For grande, blanche, cheveux noirs, belle, tranquille. Tall, white, black hair, good-looking, calm. 9  For bien reçu.
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aurevoirmonty · 1 year
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L’air mi hébété mi exaspéré de l’étudiant à qui tu réponds « bonjour monsieur » quand il vient te brandir un bout de papier sous le nez en disant : « C’est où ça ?» est tout à fait fascinant. C’est une sorte de mélange entre la moue boudeuse du chiard contrarié par la perte de son hochet et l’œil vide et vitreux du bovin en phase de digestion…
Xavier Eman
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aquila-m · 1 year
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✦ DAMNATIO ; 1.1. ━━
˖ 𝐖𝐇𝐀𝐓 ..⃗. Aquila a revu sa jumelle, cheffe des Nahash.
˖ 𝐖𝐇𝐄𝐍 ..⃗. 10.12.20 at 8.00 pm.
˖ 𝐖𝐇𝐄𝐑𝐄 ..⃗. Aquila's House.
˖ 𝐖𝐈𝐓𝐇 ..⃗. @maiestas-a
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  La douce brise mordante annonce l’orée crépusculaire, les murmures garnis d’appétit d’agonie s’étiolent dans l’obscurité, le paysage devient bien pâle sous cette délicieuse couverture cristalline. Les pléiades célestes réchauffent les cœurs et promet la luisance nécessaire pour les quelques survivants philanthropiques. Les sibylles belliqueuses préparent l'offrande fastidieuse pour Morphée tandis que les ondols tendent à leur assurer un repos suffisant. Le peuple de Maiestas qui s’éternisait dans ce douloureux combat contre une possible banquise fut subitement interrompu dans son affaire lorsque l’annonceur des patrouilleurs acclama la rentrée de la Préciosité volatile. Un regard, un sourire et le bras droit disparut des champs de vision pour le plus grand malheur ─ ou plutôt le bonheur ─ des citoyens.
  L’âpreté de l’hiver transforment les épices saupoudrant la physionomie apostolique de l'Aigle en divins cristaux ivoirins. Ses pas aussi éthérés que ceux d’un félin des neiges creusent le chemin de sa glorieuse résidence. Il n’est qu’une howlite qui se fond dans la nappe nacrée de cette saison à l'épine étonnamment brûlante de sa fraîcheur. Seules les dorures du vêtement le distinguèrent de la pureté glaciale. Soudain, ses pattes cessèrent leur mouvement pour une caresse presque leste dans la neige. Le corps fut tourné vers cette ombre quasiment confondue dans son environnement pour lui offrir l’oppression d’une sentence prochainement névralgique. Un mutisme royal alors que les prunelles de Morozko annonçaient l'amende boudeuse pour ce protecteur qui avait osé prévenir sa Majesté de sa petite aventure ─ presque ─ traîtresse.
  Les étoiles phosphorescentes tachaient sa luxueuse pièce intime et appelaient la crainte d’un courroux royal. Cette douce acrimonie l’étreint dans une délicieuse flatterie, l’écarte de toute espérance d’une quiétude fugace, happe son cœur avec une véhémence victorieuse et darde son être tout entier de la sarisse de Zeus. Cette fureur oiseuse, l'Aigle tend à une probable fuite, mais cela ne ferait qu’agrémenter ce péché capital du Roi. Alors, dans ces enfers romanesques, il fait ce pas vers sa déchéance passionnelle.
Ô exquis Onyx ! Offre-lui donc ton vin vireux pour l'emporter dans ton euphorie au pourpre aviné. Égare-le dans ta folie et désaltère-le de quelques jours de son illustre essence !
  Sa lenteur ferait pâlir le souverain d’hiver. Néanmoins, il parvient finalement à cette destination à l'allure cauchemardesque et entra après avoir soufflé une bourrasque de tous ses doutes. Dans les ténèbres étoilés par les bougies, ce regard ─ qu’il ne prit pas la peine de considérer au départ ─ le poignarde et empiète l’espace ─ vitak. Pièce spacieuse, ses mimines frêles accablées de spasmes grêles arrachent le manteau fourré et le firent s’échouer sur le parquet réchauffé. En simple pantalon et chemise opalins, il succombe au parterre dans une tentation vaine d’envelopper son épiderme de l’ardeur de l’ondol. Écrasé par les iris du Diable, il fuit cette considération étouffante à la recherche d’une idée qui lui épargnerait le courroux impérieux.
   « Je comptais te le dire. Tonalité au baryton enchanteur, écourtée aux faibles convulsions causées par la brume de glace, l'Aigle ose porter ses prunelles peintes d’azur blafard sur l'amant écarlate. »
  Le démon impérial confortablement assis au bord de la couche de la véritable Reine, son aigreur le fige, l’âcreté caresse ses pupilles noircies par son âme méphistophélique. La peur devrait abattre la Sélénite nymphique de sang froid, mais seule la froidure l’assomme pendant que la chaleur tente du mieux qu’elle peut de lui accorder une quiétude illusoire. Le Second se mit en quête d’une autre ─ probablement moins chimérique que la première. Prunelles chaudes ancrées dans la fraîcheur d'acier, le galbe de l'ancien soldat arpente jusqu'à son délicieux souverains, ses phalanges glacées agrippent la ceinture ambrée du monarque infernal et l’obligent ─ lui quémandent ce service ─ à s'asseoir à même le sol, dos contre leur nid ─ à peu près ─ commun.
  Son Altesse se laisse faire, toujours enfermé dans un cocon mutique, sans jamais lui permettre la gloire de quelque harmonie de ses paluches sur cette chair lactescente ─ au parfum tentateur de l’épicurisme. Le trentenaire au faciès de poupon s’installe entre les jambes de l'Empereur, écarte les siennes pour surplomber les hanches de ce dernier. Les peaux s’effleurent, échappent à la bousculade d’une étreinte succulente, les souffles se mêlent dans cette proximité encore trop piteuse à leur goût. Le chérubin fallacieux pose ses petites dextres ─ merveilleuses ─ sur le parterre en bois et écourte cet espace de quelques millimètres.
   « Don't be mad. Il est vrai que je l'ai rencontrée et ce de mon bon vouloir. Elle reste ma jumelle. Mais, permettez-moi Votre Altesse de vous confier un plus grand péché. Cette voix n’est qu’une mélopée envoûtante, incitant l'amant à croquer ce fruit défendu dont l’allure a des traits communs à celle d’une concubine éternellement désirable. Les chairs pulpeuses et rosâtres s’enjôlent dans la curiosité obscène sans jamais s'égarrer et voguer dans l’hédonisme. L'hérésie la plus abjecte et pourtant la plus appétissante régit dans ma décision de devenir, dans l'ombre, votre Reine. Quand bien même mon rôle officiel est d'être votre amant et de votre second, je passerai le reste de mon existence à vos côtés et non aux siennes. »
𝐋𝐞 𝐯𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝒄𝒂𝒋𝒐𝒍𝒆, 𝐥𝐚 𝐬𝐮𝐚𝐯𝐢𝐭𝐞́ 𝒄𝒂𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆, 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐠𝐚𝐫𝐝 𝒇𝒍𝒂𝒕𝒕𝒆, 𝐥’𝐨𝐝𝐞 𝒂𝒎𝒊𝒈𝒏𝒐𝒏𝒏𝒆. 𝐀𝐥𝐞𝐱 𝐬’𝐞𝐧𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝒅𝒆́𝒄𝒂𝒅𝒆𝒏𝒄𝒆 𝐞𝐭 𝐚𝐜𝐜𝐥𝐚𝐦𝐞 𝐬𝐚 𝐬𝐞𝐧𝐭𝐞𝐧𝐜𝐞 𝒍𝒆́𝒕𝒂𝒍𝒆.
   « Que puis-je faire pour me faire pardonner, Votre Majesté ? »
Ô Jeong-Han, qu'as-tu donc fait ? Ce n'est qu'une sorcière au pelage séraphique, une naïade qui t'enlace dans sa niche prohibée afin de t'acculer dans la démence.
Continueras-tu cette délicieuse folie ?
          ──────────────.•
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patoune-prod · 2 years
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Avalanche chapitre 57 bis
Oui alors heu...
Comment dire.
En relisant les chapitres 57 et 58 j'ai réalisé qu'une scène avait été coupée au montage, cad la dispute entre Cid et Vincent .
Je ne suis pas sure de comprendre comment s'est arrivé, et je m'en excuse, vu que la transition devient incompréhensible sans ça.
Bref, je vais mettre les chapitre sur FFnet et AO3 à jour, mais en attendant, voici la scène en question. Pour rappel, le chapitre s'achevait sur Cid qui découvre qui squatte dans le crane de Riku.
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“PUTAIN VINCENT !”
Il ne fut pas content en effet.
“Cid, je…”
“Pourquoi tu ne m'as rien dit avant ? !”
“J’ai… j’ai oublié…”
“Oublié ? tu as oublié de me dire qu’une Errante squatte la tête de Riku ? !”
“Je n’étais pas sûr," tenta de se défendre Vincent, “j’ai... je croyais que ce n'était que des souvenirs, des mémoires héritées de sa grand-mère…”
“Depuis quand tu le savais ? !”
“J’ai eu des doutes lors de son réveil... j’étais certain… depuis le jour des amis… avant-hier.”
“Et tu ne m'as rien dit ? !”
“J’ai oublié !” répéta Vincent, réalisant que ce n’était probablement pas un bon argument.
“C’est à cause d’elle qu’il est dans cet état ? !”
“Oui ! Mais… Je… Je ne pensais pas…”
Cid baissa les mains vers le sol, soufflant des nuées de fumée qui allait probablement déclencher un des détecteurs à incendie de la caserne. Vincent leva les siennes pour les poser sur ses bras, essayant de calmer son amant.
“Cid, calme-toi, tu…”
“Me calmer ? ! Drekaskìtur, Vincent ! Riku a une morte dans la tête ! Une morte qui peut aussi squatter le cerveau de Zéphyr ! Et Aérith ! Et Ifalna ! ! Et tu ne m'as rien dit !”
“Qu’est-ce que tu aurais pu faire ? !” rétorqua Vincent, saisissant Cid par les épaules, “ tu ne sais rien des Anciens, tu ne sais même pas leur parler, qu’est-ce que tu aurais pu faire contre une Déesse ? !”
“J’aurais essayé de protéger Riku !”
“Je n’ai pas besoin de toi pour protéger mon...”
Vincent tourna vivement la tête vers la porte, légèrement entrouverte. Surpris de son brusque silence, Cid l’imita, à temps pour voir Yuffie passer la tête par l’ouverture.
“Elmyra dit que le repas est pr��t,” annonça Yuffie d’un ton anormalement timide...
“Tu aurais pu frapper avant d’entrer,” déclara froidement Vincent.
“Je l’ai fait !” protesta Yuffie avec une moue boudeuse qui s'effaça vite, “mais vous… vous n'avez pas dû m’entendre.”
Cid pinça les lèvres avant de se diriger vers la porte, laissant à peine le temps à Yuffie de s’esquiver.
“Cid ! Attends !”
“On en reparle plus tard !” lança Cid du couloir avant que son pas ne retentisse dans l’escalier.
Yuffie jeta un petit regard à Vincent avant d’entrer pour de bon, refermant derrière elle.
“Qu’est-ce que tu as entendu ? ” marmonna Vincent.
“Juste la fin,” admit Yuffie. “j’écoutais pas aux portes, promis, mais c’était pas fermé à clef et quand j’ai ouvert, le sort a sauté.”
Merveilleux, elle l’avait entendu dire qu’il…
Qu’il…
Oh… Minerva.
“Qu’est-ce qui m’a pris…" souffla-t-il en se frottant le visage à deux mains.
Yuffie approcha lentement, prenant sa main démoniaque pour l’écarter de son visage.
“T’as eu une dure journée, grand frère, t’es un peu à cran…”
“Je… je n’aurais pas dû lui dire ça.”
“Ouais. Mais tu l’as dit. Et tu vas devoir t’excuser.”
Vincent hocha la tête. Minerva, il n’avait pas la moindre idée de comment faire ça. Le peu de disputes qu’il avait eues avec ses amants et amantes…
Elles s’étaient toutes soldées par une rupture en bonne et due forme.
Y compris celle avec Lucrécia.
“Hey,” souffla Yuffie, tirant sur sa main pour attirer son attention. “Cid part vite en pétard mais il se calme vite aussi. Attends quelques heures, tu pourras lui parler plus calmement.”
“Je ne sais pas comment,” murmura-t-il.
“Ben, t’as quelques heures pour y réfléchir.”
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Dire que le repas fut tendu était… un euphémisme.
Cid refusait de lui parler.
Shera lui jetait des regards méfiants par-dessus son assiette.
Barret et Elmyra tentaient d’entretenir la conversation avec Elena, restée dormir à Seventh Heaven pour protéger - pardon : surveiller - Zéphyr, mais même elle semblait se douter que quelque chose ne tournait pas rond.
Vincent fut presque heureux que Riku s’effondre dans son assiette au moment du dessert, enfin vaincu par la journée intense qu’il avait eu.
Mais le mettre au lit ne l’occupa que quelques minutes. Vérifier que Zéphyr dormait paisiblement et déposer une assiette de sandwichs sur sa table de chevet de la part d’Elmyra ne prit qu’à peine plus.
Il fallait qu’il affronte Cid. Et il n’avait qu’une vague idée de la façon dont procéder.
Il allait avoir besoin de renfort.
“Qu’est-ce que tu as fait pour qu’il soit autant en colère ? ” grommela Shera quand elle trouva Vincent penaud de l’autre côté de la porte de sa chambre.
Shera n’était pas quelqu’un d’effrayant au naturel. Elle était plus petite que Vincent, admettait volontiers qu’elle négligeait un peu trop son entraînement physique, et portait actuellement un pyjama dont le pantalon était orné de mogs et le haut marqué du mot "kupo" en rose vif.
Mais elle était la sœur de Cid.
Et quand elle prenait sa voix de co-capitaine du Haut-Vent, il ne pouvait s'empêcher de se mettre au garde-à-vous.
Ce qui était probablement la raison pour laquelle elle le faisait.
“J’ai… j’ai oublié de lui parler… de quelque chose concernant Riku.”
“Et dont je ne suis probablement pas au courant non plus,” rétorqua Shera d’un ton sarcastique
Qu’est-ce qu’il avait le droit de dire à Shera au juste ? Il n’était même pas sûr de ce qu’elle savait sur les origines de Cid, sur les Anciens. Elle savait pour la limite de son frère, mais est ce qu'elle savait… pourquoi ?
“Affaire de famille…”
“Du genre de Cid et son père ? ”
Ah… Elle savait.
“Il m’a tout dit,” expliqua Shera en baissant la voix, “et vu ce qui s'est passé quand tu as disparu pour Daguerreo, j’en déduis que c’est la même chose pour toi ? ”
Vincent hocha la tête.
“Et c’est ça que tu ne lui as pas dit ? ”
“Non, il savait déjà, c’est… Riku est… il a ... un esprit errant dans la tête.”
“Oh, kúkalabbi,” souffla Shera, “c’est dangereux ? ”
“Je ne sais pas. C’est son apparition qui épuise Riku.”
“Drekaskìtur. Et ça t'étonne que Cid soit aussi furax ? Il adore Riku !”
Vincent ne baissa pas les yeux, mais c’était surtout parce qu’il les avait déjà fermement et honteusement dirigés vers le sol. Cid adorait Riku, en effet. Il l���avait déjà pratiquement adopté et Cid était une des personnes que Riku écoutait le plus.
“Tu lui as menti,” lui assena Shera d’un ton sans ambages.
Et c’était quelque chose que Cid détestait. C’était ce que les Burméciens avaient fait, que son père… Que Kaen Haifin avait fait.
Vincent commençait à réaliser à quel point il avait… Il n’y avait pas d’autres mots que : merdé.
“Je… Je ne voulais pas. Il n’était pas là quand j’ai compris ce qui se passait et… J’ai … avec tout ce qui s’est passé, j’ai… oublié…”
“Il va falloir faire mieux que ça pour qu’il te pardonne.”
“Je sais. J’ai besoin d’aide.”
“Ne compte pas sur moi pour te souffler quoi dire,” le prévint Shera en levant un index.
“Non. Non, pas comme ça… J’aurais besoin que... que tu m’apprennes à faire une tasse de thé Burmécien.”
Il releva les yeux vers Shera qui le fixait d’un regard abasourdi, les lunettes glissant sur le bout de son nez.
“S’il te plait ? ”
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titania-no-kingdom · 1 year
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Silencieuse - Kanna Alberona, Fairy Tail x Female OC
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Kanna se morfondait au bar de la guilde. A côté d'elle, une pinte de bière restait intacte. Le liquide mousseux dansait dans son verre mais pour une fois, Kanna n'avait pas le cœur à boire. Quelque chose n'allait pas et elle avait beau paraître joyeuse, son visage trahissait sa tristesse.
Un claquement d'ailes familier retentit dans ses oreilles. Happy atterrit près d'elle, un poisson frais entre les crocs. L'exceed la salua chaleureusement mais elle resta coite. Happy la regarda, stupéfait. Il appartenait à la guilde de Fairy Tail depuis un bout de temps maintenant et il ne se souvenait pas avoir déjà vu Kanna dans cet état. Son sourire contagieux avait disparu. Ses yeux paraissaient noyés dans un flot de tristesse.
À l'autre bout du hall, Macao criait son prénom pour attirer son attention mais elle restait désespérément immobile. Happy tenta une nouvelle fois de la sortir de ses pensées. Il posa une patte sur sa main, qu'elle retira brusquement du comptoir. Kanna se leva, balançant son sac en bandoulière sur son épaule.
Elle quitta la cacophonie de la guilde pour rejoindre la lumière du soleil. Le village de Magnolia ronronnait des rumeurs joyeuses de ses habitants.
Kanna déambulait dans les rues, les yeux rivés sur ses orteils. Les silhouettes des passants qui se pressaient autour d'elle n'étaient plus que des taches floues sur les pavés. Les éclats de voix s'étaient transformés en bourdonnement lointain. Les patrons des bars environnants la reconnaissaient et la hélaient avec chaleur mais Kanna poursuivait sa route. Ils la regardaient s'éloigner avec surprise, ne se souvenant pas de la dernière fois où la cartomancienne de Fairy Tail était passée devant leurs bars sans s'arrêter.
Ses pieds la guidèrent malgré elle vers la colline où se trouvait la résidence pour filles de Fairy Hills. Kanna traversa les couloirs, sourde aux salutations chaleureuses de ses voisines de chambre.
Retrouvée seule dans la pénombre familière de sa propre chambre, elle se laissa tomber sur son lit. Un sanglot transperça bientôt le silence de la pièce. Kanna pleurait ; les larmes inondaient son oreiller alors qu'elle se remémorait la discussion qu'elle avait eue la veille avec son amie d'enfance.
Hino et elle marchaient en direction de Fairy Hills, bras dessus, bras dessous. Le soleil déclinait doucement dans la vaste étendue orangée qui surplombait leurs têtes. Kanna observait Hino en silence, le coeur battant ; la façon dont ses cheveux bleus cendrés ondulaient sous la caresse du vent ; ses yeux violets teintés de joie; le satin de sa peau dorée se dessinant sous sa robe d'été ; le rose de ses lèvres boudeuses et les courbes tranchantes de ses hanches. Kanna sentit sa bouche s'assécher.
La veille, elle avait décidé de tout révéler à Hino. Elle n'était pas sûre des sentiments de la jeune femme à son égard mais elle mourrait d'envie de lui faire connaître l'amour qu'elle portait en elle.
Elle s'arrêta de marcher. Hino fit de même, perplexe.
-Pourquoi tu t'arrêtes ? demanda-t-elle en fronçant les sourcils.
Kanna prit une grande inspiration. Ses jambes flageolantes menaçaient de se dérober sous elle à tout moment. Elle prit les mains d'Hino dans les siennes.
-J'ai quelque chose à t'avouer, dit-elle dans un murmure, les yeux baissés vers ses chaussures, incapable de croiser le regard de celle qu'elle aimait.
Hino gloussa.
-Moi d'abord !
Kanna poussa un hoquet de surprise. Se pouvait-il qu'Hino elle-même fusse sur le point d'avouer ses propres sentiments ? Kanna attendit, fébrile, suspendue aux lèvres de son amie.
-Je suis amoureuse.
Le cœur de Kanna s'arrêta de battre un instant. Hino rougissait à vue d’œil. Le haut de ses joues se teintaient d'une poudre vermillon qui mettait en valeur ses grands yeux.
-Ce n'est pas facile.
Hino pouffa et prenant une mèche de cheveux, l'entortilla autour de son doigt. Kanna se força à sourire, sans succès.
-J'ai le béguin pour lui depuis que je suis toute petite. Plus le temps passe, plus mes sentiments à son égard deviennent forts. Quand il est là, je n'arrive pas à marcher droit, je n'arrête pas de sourire, je fais n'importe quoi. Ça c'est l'influence qu'il a sur moi. Je serais prête à tout pour lui. Il est tellement...
Son regard brillait à présent. Elle allait pleurer. Kanna sentit un goût de bile dans sa bouche. Elle savait qu'elle aurait dû parler mais elle en était incapable. Elle se contenta d'écouter, le cœur au bord des lèvres.
-J'avais toujours pensé que ce n'était pas réciproque jusqu'à hier quand il m'a proposé un rendez-vous.
Kanna se tint immobile. Qu'attendait Hino au juste ? Qu'elle lui donne sa permission ? Qu'elle la conseille ?
- Kanna ?
Celle-ci haussa les épaules et tourna les talons. Elle s'en alla sans demander son reste.
Kanna s'enfonça un peu plus sous draps. Elle ferma ses paupières pour apaiser ses yeux irrités par les larmes. Elle avait aimé Hino avec tant de forces que c'en était douloureux. Et elle l'aimait toujours autant, même si elle lui avait avoué aimer quelqu'un d'autre.
Elle se demanda ce que faisait Hino en ce moment, si elle était allée à son rendez-vous. Ses pensées se tournèrent soudain vers la personne qui l'accompagnait. Les pronoms qu'elle avait utilisés laissaient penser que c'était un homme. Faisait-il partie de la guilde ? Etait-ce quelqu'un que Kanna connaissait, qu'elle appréciait ?
Kanna en était sûre, quelque soit l'identité de son rival en amour, elle devait se préparer à le voir tous les jours aux côtés d'Hino. Elle devait s'attendre à la voire heureuse avec quelqu'un d'autre.
La poitrine de Kanna sembla se fendre en deux. Elle se recroquevilla sur elle-même et se laissa happer de nouveau par le chagrin.
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