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#armure tissu
4nuttyaddict · 1 year
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Tenue de mage gris: Armure torse et ceinture terminées. Lien facebook: https://www.facebook.com/4-nutty-addict-850962241666113
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chic-a-gigot · 6 months
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Le Petit écho de la mode, no. 45, vol. 17, 10 novembre 1895, Paris. Chapeau feutre. Costume en armure miroitante faisan. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Chapeau feutre orné plume amazone avec panache de côté composé de deux plumes.
Costume en armure miroitante faisan. — Jupe simple unie. Corsage froncé devant et dans le dos, orné de ruban disposé gracieusement sur le devant et retenu par des choux Col drapé en ruban avec coques. Manche à poignet uni.
Felt hat decorated with Amazon feather with side plume composed of two feathers.
Pheasant shimmering armor suit. — Simple plain skirt. Gathered bodice at the front and back, adorned with ribbon gracefully placed on the front and held in place by cabbages Draped ribbon collar with cups. Sleeve with plain cuff.
Matériaux: 7 mètres tissu, 4 mètres ruban.
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oneiric-misfit · 8 months
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Serie Master list / Master List
Oberyn x Afab!OC
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Résumé : "Et quand il posa son regard sur elle, il sut. Inévitablement, indéniablement, il sut. Comme il savait que le soleil se levait chaque matin, comme il savait que la lune brillait chaque et que le printemps succédait à l'hiver. Il sut, qu'il mourrait pour elle. Et quand elle le regarda, elle sut. Indubitablement, incontestablement. Jusqu'à ce que le soleil ne se lève plus sur leur monde, jusqu'à ce que les étoiles se meurent et que l'hiver soit éternel. Elle sut, qu'elle vivrait pour lui."
Mots : 3K
Rating : Mature
Partie 2
Un tic d'impatience secoua la jambe d'Inan tandis qu'il attendait que Myrcella choisisse une tenue. Il était posté le dos droit devant la porte de sa chambre, la jeune fille l'avait fait entrer à l'intérieur de la pièce. Il avait été soulagé de voir que Septa Églantine n'était pas présente, son humeur maussade ne passerait pas au travers de son armure aujourd'hui, il se sentait tendu. 
- Qu'est-ce que tu penses de celle-ci ? 
Myrcella était sortie de sa salle de bain avec une longue robe, au tissus léger et diaphane, de couleur ocre. Des perles dorées avaient été minutieusement cousus sur l'encolure. 
- Vous portez des vêtements dorniens ? 
- Tu trouves que cela ne me sied guère ? 
- Vous êtes jolie, ce n'est pas ce que j'ai dit, n'en doutez jamais. 
Une jeune femme se mit à s'occuper des cheveux de la princesse en silence, les coiffants doucement, appliquant une huile ambrée sur sa chevelure d'or. Une odeur de vanille emplie la pièce. 
- Tu as réussis à t'intégrer depuis que nous sommes arrivés ? 
- Vos préoccupations me touchent princesse, mais je suis ici pour garantir votre sécurité, et non pour m'intégrer. Et pour vous ? 
- Pour moi c'était difficile, la maison me manquait beaucoup, elle me manque encore beaucoup, ma mère aussi... Tout est différent ici. Mais je crois que ça va mieux. Je voudrais aller me promener. 
Elle se leva et intima à Inan l'ordre de la suivre. Les pas de la princesse les menèrent sur la muraille qui bordait le palais, on pouvait y voir la ville s'étaler en contre-bas en une multitude de maison blanche aux toits ocres. Le soleil de l’après-midi réchauffait l'air autour d’eux. 
- Finalement, je crois que je me plais vraiment ici, il fait si beau ! Les gens sont si gentils ! 
- Et Trystan l'est également ? 
L'enfant se mit à rougir, riant nerveusement. 
- Oui... Il est très gentil, et très beau. 
- Cela doit être une qualité Dornienne.
- Ah oui ? Tu trouves que les dorniens sont beaux ? Arianne est très jolie également, je l'ai vu, venir te parler. 
Ce n'était pas à Arianne qu'Inan avait pensé en premier lieu, mais elle était effectivement très belle. 
- Je suis chevalier, ce n'est pas tellement mon sujet de préoccupation. 
- Tu ne cesses de répéter cela. Est-ce que tu te plais ici, tu ne m'as même pas répondu ! 
- Je me plais où vous vous plaisez princesse.
- Tu n'es pas drôle. Tu pourrais respirer de temps en temps tu sais.
Inan souffla un rire discret et leva son regard vers l'horizon. Il entendit, bien avant de le voir, un petit groupe de personnes arriver dans leur direction. Il plaça sa paume sur le pommeau de son épée, avant de détendre sa main quand il s'aperçut qu'il s'agissait d'Arianne, accompagnée de jeunes femmes qu'il reconnut comme étant Tyerne et Sarella, deux filles d'Oberyn. 
- Ser Inan ! Myrcella ! Vous étiez bien cachés, nous vous cherchions ! 
Inan les regarda s'approcher jusqu'à être à leur niveau. Il n’avait pas fait attention au premier abord mais Trystan les accompagnait également. 
- Je m'étais dit que nous pourrions les laisser tous les deux, Tyerne et Sarella voudraient faire découvrir le palais à Myrcella par la même occasion. 
- Je ne sais pas si... 
- Aller Inan s'il te plait ! Je ne suis pas en danger ici ! 
- Myrcella, ce n'est pas que je ne veux pas, c'est une question de sécurité. 
- Je garanti sa sécurité sur mon honneur de princesse de Dorne. Ils ne quitteront pas le palais vieux. Remettez-vous en doute l’honneur de ma famille ?
Arianne appuya son regard pour lui faire comprendre qu’elle ne lui laissait pas véritablement le choix.  
- Absolument pas. Je vous laisse le soin de la garder en sécurité Tyerne, Sarella.  
- Est ce que tous les chevaliers sont aussi barbant à la capitale ? Souffla Sarella. 
- Bien sûr Ser Inan, comptez sur nous. Ajouta Tyerne, narquoise. 
Inan mima un sourire crispé, se retenant de lever les yeux au ciel. Il regarda le petit groupe s'éloigner rapidement, Myrcella riait déjà aux éclats. 
- Venez, je vais vous faire visiter les jardins ! 
Inan laissa Arianne l'emporter dans les jardins intérieurs du palais vieux. 
- Ces fleurs ci, les bleues, broyées, elles peuvent provoquer un arrêt cardiaque à la personne qui les consomme. Discret et efficace. 
- Merci pour cette information, je ne saurais quoi en faire. 
- J'aime les plantes, elles semblent si fragiles, et pourtant, les apparences sont parfois trompeuses. Vous vous plaisez à Dorne ? 
Inan se crispa, si on lui demandait encore une fois s'il se plaisait ici, il allait imploser. 
- J'ai mis un moment à m'habituer à la chaleur.  
- Vous saviez, si vous portiez autre chose que votre armure...
La voix d'Arianne se fondit dans le décor tandis qu'il aperçut Oberyn au loin. Le prince s'entraînait, il se sentit subitement absorbé par les mouvements de son corps. Le voir de l'extérieur était tout à fait différent de ce qu'il avait pu expérimenter au combat. Quand ils s'affrontaient, il n'avait pas eu une seconde de répit, il n'avait pas eu l'occasion d'analyser sa manière de se battre, ni de voir ses gestes. Ils étaient encore plus impressionnants en tant que spectateur, loin du danger. Le prince se mouvait avec une précision et une souplesse hors du commun, il y avait quelque chose de terriblement gracieux dans sa démarche, de terriblement animal. Il détailla un long moment sa technique de combat, faites d'esquives et d'attaques rapides, d'acrobaties minutieusement exécutées, rien n'était laissé au hasard. Il ne remarqua pas quand il arrêta de se concentrer sur sa technique pour seulement le regarder, lui. Il détailla sa silhouette, son torse nu qu'il n'avait pas remarqué immédiatement, ce sourire sournois qui ne quittait jamais son visage, la courbe de son dos... 
- Je vois... Peut-être que je ne suis tout simplement pas du bon genre... 
La voix d'Arianne le ramena brutalement à la réalité, trop brutalement. Il sentit ses joues s'empourprer aux mots que la princesse venait de prononcer, à ces mots qui avaient lu dans ses pensées. 
- Ce n'est pas... 
La princesse lui fit un clin d'œil et s'éloigna jusqu'au camps d'entraînement, directement vers son oncle. Les doigts d'Inan s'enfoncèrent dans sa paume, il les regarda discuter, et vit Oberyn se tourner dans sa direction, un sourire aux lèvres. S'il avait pu se liquéfier sur place, disparaitre en poussière, il en aurait saisi l'occasion avec plaisir. Même être écrasé par une harde de chevaux aurait été accueilli avec gratitude en cet instant où il voyait le prince s'approcher de lui. Il le regarda essuyer son torse avec un linge et mettre un châle sur ses épaules pendant le trajet. S'il avait voulu cacher son corps, la tentative était vaine, Inan avait la sensation que le tissu transparent aux motifs mordorés ne faisait que mettre en évidence les muscles de son torse. 
- Arianne te pense insensible à ses charmes, elle pense que tu serais plutôt du genre à préférer les hommes. 
- Arianne est une femme magnifique. Et je ne faisais que regarder vos techniques de combats. 
- Donc tu étais bien en train de me regarder. 
Oberyn arbora un sourire fier. Inan ne survivrait pas longtemps à Dorne s'il n'apprenait pas à être plus vigilant et à ne pas vendre le fond de sa pensée sans y être invité. Le moindre mot prononcé de manière insouciante pouvait se transformer en arme ici. Et il n'avait aucune envie qu'Oberyn puisse avoir la moindre ascendance sur lui. Inan poussa un soupir résigné.
- Il semblerait. 
- Marches avec moi, veux-tu ? 
Inan suivit Oberyn dans les jardins aux senteurs de miel et de fleurs sauvages. Il n’avait pas remarqué ces odeurs, lors de sa visite avec Arianne. 
- Il y a une question que je me pose, tu n'es pas d'une famille noble, ta maison n'a connu aucun exploit, je ne connaissais pas ton nom avant que tu deviennes bouclier lige.
- Je n'entends pas de question. Constata Inan, glacial. 
- Comment es-tu devenu bouclier lige de la jeune Myrcella ? 
- J'ai été repéré pour mes qualités au combat, comme vous avez pu le remarquer, mais aussi pour ma bravoure. Il y quelques temps la princesse a été victime d'une tentative d'assassinat. Il se trouve que j'étais sur place, je l'ai sauvé et Tyrion Lannister m'a fait sacrer bouclier lige. 
- Tu ne me dis pas tout, si toutes les personnes qui sauvaient ou aidaient la famille royale étaient sacré bouclier lige, il n'y aurait plus de place au palais pour tous les accueillir. 
- Ils étaient six. Je les ai tués, les uns après les autres, tout en protégeant la princesse, mes collègues sont morts, j'ai reçu une blessure grave en protégeant la princesse de mon corps. Myrcella ne voulait plus se déplacer dans le château sans moi.
- Quelle chance, que vous vous soyez trouvé au bon endroit au bon moment. 
- En effet, c'est une chance, pour la princesse. 
- Bien entendu, pour la princesse. Depuis combien de temps êtes-vous son bouclier Lige ? 
- Un an. 
- Peu de temps avant que les fiançailles avec Trystan soient annoncées ? Décidément, que de hasard. 
- Vous faites beaucoup d'insinuations, pour un homme qui clame l'honnêteté, Prince Oberyn Martell. 
- Je t’en prie, appelle-moi Oberyn. 
- Je n'y tiens pas particulièrement, je vous remercie. 
- Tu appelles pourtant Arianne par son prénom, n'est-ce pas ? 
- Peut être qu'elle ne me laisse pas insensible finalement ? 
- Ou peut être as-tu une dent contre moi ? 
Inan posa sa main sur son flanc gauche. 
- Je ne vois pas ce qui vous fait penser cela.
- Comment se passe tes premières semaines à Dorne ? 
- Est ce que tout le monde s'est donné le mot pour me demander comment se passe ma vie depuis que je suis à Dorne et me rappeler à quel point je suis coincé ? 
- Tu l'es, c'est un fait. 
- Je me plait à Dorne, merci. Et je ne suis pas coincé, je suis chevalier. 
- Crois moi, j'ai côtoyé des chevaliers qui étaient loin d'être coincés, ce n'est pas inhérent à ton rôle, seulement à ta personne. 
- Je vais vous laisser, je n'ai aucune envie de me montrer désagréable. 
Il étendit son rire moqueur pour seule réponse tandis qu’il se dirigeait vers sa chambre. 
Quand Myrcella rentra ce soir-là, elle était surexcitée et plus que ravie. Elle raconta à Inan comme le palais était magnifique, elle adorait les mosaïques et les couleurs qui parcourait les murs et les salles.  
Chapitre 3 : L’ordre appelle le chaos.
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omagazineparis · 8 months
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Le corset, instrument de torture vecteur d'un message féministe ?
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Le corset, autrefois un sous-vêtement répandu dans la garde-robe des femmes, a été longuement critiqué. Connu pour avoir fait souffrir les femmes, et pour répondre à des fantasmes patriarcaux, le corset aurait été délaissé et troqué contre des régimes et des interventions chirurgicales afin de garder la taille fine. Néanmoins, il serait aujourd’hui synonyme de féminisme et fait son grand retour sur les catwalks.  Le corset est un sous-vêtement, principalement féminin, porté du xvie siècle au début du xxe siècle. Cependant, on trouve des habits similaires au corset dès 1600 av. J.-C comme des ceintures en tissu portés en dessous de la poitrine. Le corset est d’abord un vêtement de femme et d’homme : venu de l'univers masculin et militaire, le corset est conçu pour enlever les différences morphologiques entre les deux sexes afin de laisser place à une silhouette la plus masculine possible. Plus tard, on le perçoit plutôt comme une « armure » physique et morale réservée à la haute société : il magnifie le corps en obtenant une taille svelte pour le différencier de celui du peuple.  Portrait de Louis XIII par Rubens. Portrait de la Reine d'Autriche par Rubens. ...Ou symbole d’oppression patriarcal  Publicité issue du Petit Echo De La Mode le 10 mars 1895. Ce n’est qu’au xixe siècle que l’utilisation du corset est synonyme d’érotisation des atouts féminins. Ce dessous, qui parfait la lingerie féminine de l’époque, cherche à modeler le buste suivant des critères esthétiques variables selon les tendances. Il a pour but premier d’affiner la taille d’une part, et d'autre part de maintenir la poitrine. D’abord portées par les femmes de la haute société, il s’est démocratisé auprès des bourgeoises et des femmes du peuple. Au cours du xixe siècle, certains médecins ont conclu que le port du corset était la cause de maladies respiratoires, de dégâts des organes internes, de déformation des côtes et même de complication lors de grossesses. Pour d’autres, le corset aurait des vertus thérapeutiques : il servirait à maintenir le dos et à corriger les déviations de la colonne vertébrale. Néanmoins, il est évident que le corset fut semblable à un instrument de torture visant à assouvir les fantasmes masculins sur la féminité. De ce fait, Paul Poiret est le premier couturier qui le bannit de ses collections. En effet, il délivre la femme grâce à des robes droites qui lui permettent de se mouvoir.  Le corset, incarnation du féminisme  Violet Chachki pour Harper's Bazaar Chine. Corset doré métallique par Thierry Mugler. Aujourd’hui le corset traditionnel, de par sa notion de douleur, reste présent dans les pratiques sexuelles fétichistes. On le retrouve aussi au sein du travestisme et les déguisements burlesques d’antan.  Ce n’est qu’au xxe siècle, alors que la femme s’affranchit de l’emprise de l’homme, que le corset devient l’expression du renouvellement de la notion de féminité. En effet, dans la haute couture, on utilise le corset comme symbole fort de l’émancipation de la femme, rendue maîtresse de sa propre féminité et de sa sexualité.  On se rappelle notamment du corset rose poudré aux seins coniques de Jean Paul Gaultier porté par Madonna, qui deviendra une représentation mythique d’une sensualité assumée. Le corset deviendra même l’emblème de ses fragrances pour femmes. On retrouve également le corset dans la collection punk de Vivienne Westwood, érotique et libertine, qui confère à la femme un « pouvoir, notamment sexuel, une allure un peu guerrière, dominatrice », d’après Emilie Coutant, sociologue et consultante en mode.  "Une femme en corset affiche un corps qui est à la fois érotique et qui en impose, car il se perçoit comme une prise de pouvoir." Emilie Coutant A l’époque, on considérait le corset comme étant un sous-vêtement. Aujourd’hui cet accessoire de lingerie a tendance à être porté en tant que survêtement, à la façon d’une ceinture ou revisité en jupe. Le corset donne une allure assurée pour la femme, au même titre qu’un costume pour un homme. Selon Emilie Coutant, « une femme en corset affiche un corps qui est à la fois érotique et qui en impose, car il se perçoit comme une prise de pouvoir ».  Ceinture corset par Jacquemus. Jupe corset par Balmain. Un corps magnifié pour une sexualité assumée Le corset a longtemps été marque de faiblesse car il a été synonyme de souffrance et de soumission aux fantasmes et aux normes de beauté établies par les hommes. Néanmoins, le corset est dorénavant symbole d’hyper-féminité, assumée et appartenant aux femmes. A lire également : Mode à Paris – Voyage dans un siècle d’élégance parisienne Read the full article
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freelance-informatique · 10 months
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Les chenilles processionnaires : menace, danger... Tout ce que vous devez savoir !
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Découvrez l'impact des chenilles processionnaires sur la santé humaine et animale. Apprenez-en plus sur leur propagation et protégez-vous. Les chenilles processionnaires : une menace dissimulée dans nos forêts Elles sont discrètes, elles se camouflent dans le feuillage dense des chênes et des pins, et pourtant, elles présentent un risque sanitaire non négligeable. Qui sont-elles ? Les chenilles processionnaires. Ces insectes au comportement grégaire et aux nids soyeux peuvent causer des problèmes de santé significatifs chez les humains et les animaux. La cause Sans même un contact direct, ces chenilles peuvent constituer une menace. Comment est-ce possible, vous demandez-vous ? Leur armure de défense consiste en des milliers de poils urticants qu'elles libèrent dans l'air environnant en cas de menace. Ces poils microscopiques sont dotés de propriétés urticantes et peuvent facilement être transportés par le vent. A lire également : Découvrez 6 astuces naturelles et efficaces pour éloigner les moustiques et éviter les piqûres Les effets Leurs poils microscopiques peuvent provoquer de nombreux problèmes de santé chez l'homme, allant de l'irritation cutanée, comme des rougeurs et des démangeaisons, jusqu'à des réactions allergiques plus sévères. Dans certains cas, des individus peuvent développer des œdèmes, qui sont des gonflements causés par un excès de liquide dans les tissus de votre corps, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur. Autres cibles Nos amis à quatre pattes ne sont pas non plus à l'abri de ces insectes nuisibles. Les animaux peuvent subir des inflammations ou des œdèmes simplement en entrant en contact avec ces chenilles par la truffe ou la langue. Les chenilles processionnaires sont vraiment dangereuses, voyez pourquoi : Un danger à prendre au sérieux Ne sous-estimez pas le risque que représentent les chenilles processionnaires. Bien que minuscules, ces insectes peuvent avoir des effets dévastateurs sur notre santé et celle de nos animaux de compagnie. Restez informé et conscient de leur présence dans votre environnement, particulièrement si vous habitez à proximité de forêts de chênes ou de pins. Prenez soin de surveiller vos animaux de compagnie lors de promenades en forêt ou dans des zones où ces chenilles sont connues pour être présentes. A voir aussi : Voici 5 remèdes naturels pour soulager une piqûre d'araignée La prolifération des chenilles processionnaires Le changement climatique, déjà coupable de nombreux maux environnementaux, est aussi un facteur favorisant la propagation des chenilles processionnaires. Sachez que le réchauffement planétaire crée des conditions propices à leur développement et à leur reproduction. A part cela, la diminution de leurs prédateurs naturels, tels que certains oiseaux et insectes, contribue à leur prolifération. La protection de la biodiversité est une voie à explorer pour contenir cette menace. La lutte contre la propagation des chenilles processionnaires nécessite des efforts collectifs. En attendant, restez vigilant et n'hésitez pas à consulter un professionnel de santé en cas d'exposition à ces chenilles. ________ Important : Nous conseillons à tous les visiteurs de notre site web de consulter un médecin en cas de problème de santé. Retrouvez toutes les infos santé et bien-être sur notre page Google Actualités ou sur notre page Pinterest. Read the full article
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louduvelleroy · 1 year
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Quel est le rapport entre un schéma d’armure, utilisé comme modèle pour la réalisation d’un objet textile et l’affichage numérique d’un écran d’ordinateur ? A priori, ces objets font partie de deux champs diamétralement opposés, aux pratiques, visées et enjeux totalement divergents. 
Je m’étais déjà intéressée au rapprochement étymologique des termes texte et textile dans le cadre de mon premier mémoire, sans pour autant être arrivée au terme de mes ambitions. Je cherchais à établir un lien entre le domaine du design graphique et celui de la production textile et pour ce faire je m’étais posée la question de l’abandon de la page. Quand le texte quitte le support papier auquel on l’associe communément, cela ne dépasse généralement pas la transposition de l’imprimé à l’écran. Et je m’étais donc demandée quels autres types d’objets matériels, notamment textiles,  pouvaient être amenés à exister si le livre n’était plus l’unique réceptacle du texte. 
Or l’analogie entre le tissage et l’écriture est extrêmement riche et je n’en avais pas encore pris conscience à ce moment. C’est en lisant un article de Claire Kail, paru dans le deuxième magazine Tools Tisser, To weave datant de septembre 2022, que mon intérêt pour le sujet a resurgi avec vivacité. 
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L’autrice est une designer et chercheuse française, diplômée de l’école nationale supérieure de création industrielle depuis 2020. Claire Kail concentre sa recherche sur les textiles et leur dialectique propre entre gestes d’écriture, codage et tissage. Aujourd’hui, elle poursuit son étude à la fois théorique et pratique : elle écrit des articles et donne notamment des conférences (la dernière en date intitulée a quick history of textile, s’est tenue à l’école nationale des arts et du design de Karlsruhe en Allemagne, dans le cadre d’un colloque sur le textile) mais développe également différentes manières de coder du texte, traduits en motifs tissés. 
L’article Langage du tissage, The language of weaving, entend nous démontrer l’existence de liens entre le tissage et l’informatique et nous expliquer ce que ces points communs peuvent nous apprendre sur le savoir faire propre au textile. La chercheuse explique dans un premier temps que le tissage repose sur un geste technique d'entrecroisement des fils. De façon orthogonale, les fils  à angle droit que constituent respectivement la chaîne et la trame sont entrecroisés. Invoquant des principes mathématiques complexes, le tissage est composé d’une structure, aussi appelée armure. Cette dernière constitue l’architecture du tissu et permet l’élaboration de motifs. 
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Par la suite, elle nous expose le principe de mise en carte. En effet, pour se représenter mentalement la forme à tisser avec précision et exactitude, une matrice a été inventée. « Ce schéma peut être déjà considéré comme un algorithme, amorçant l’idée de programmation informatique ». Ces schémas constitués de carrés noirs et blancs ont un but pratique mais ils mettent également en évidence et rendent visible la logique binaire inhérente au tissage. Ce premier système mécanique programmable avec carte perforée a été inventé par Joseph Jacquard en 1801. Son principe de motifs par tissage a constitué une grande source d’inspiration notamment pour des ingénieurs, et c’est à ce moment précis que le lien de parenté entre tissage et informatique est établi car il a notamment été utilisé comme modèle par Ada Lovelace considérée comme pionnière de la programmation informatique. 
Enfin, Claire Kail conclut en élargissant son raisonnement et en précisant que le tissage va au-delà de la question du langage informatique. « Le travail du fil semble dès lors être un système qui cristallise la pensée, une écriture […] Bien au-delà de ses fonctions utilitaires, le tissage a contribué à diffuser les symboles, les savoirs et à déployer nos civilisations. » Le tissage et plus largement le maniement des fils sont des inventions antérieures à celles de l’écriture et des alphabets. Utilisé par exemple, par la civilisation Inca pour transmettre des messages et remplir des fonctions de comptabilité, nous sommes en droit de nous demander si le tissage peut être considéré comme un langage.
Lou Duvelleroy 
Publié le 12 mars (4175 caractères). 
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shopises · 2 years
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Description: Nom du tissu: Nylon/Nylon Nombre de fils D numéro: 51-60D Fonction: ascenseur de hanche, respirable Armure: Tricot Style: mémoires Composition du tissu principal: nylon/nylon Le contenu des composants principaux du tissu: 85 (%) Doublure entrejambe composition: coton Contenu de la doublure de l'entrejambe: 15 (%) Type de taille: taille basse Caractéristiques de conception: évider Gamme d'erreur: 0.5 Couleur: 332 # noir, 332 # abricot Taille: M,L,XL Poids: 80g Spécifications: 1 [taille moyenne et abdominale] sans couture et respirant 2 [maille respirante] sec et respirant 3 [conception en nid d'abeille] trous de ventilation en nid d'abeille sur la couche de surface 4 [éponge intégrée] bombe q confortable 5 [élargissement de la taille] marques anti-rayures, Anti-bouclage Le paquet Contient: Slips de levage des hanches * 1
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logicamp · 2 years
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Naturehike P-Serie
Fonction anti-ultraviolet : le facteur de protection UV est de 50+, ce qui peut résister efficacement aux rayons ultraviolets sous le soleil brûlant, adapté aux activités de plein air telles que le camping, la randonnée et les voyages en famille.Conception du hall principal : l'espace devant la porte peut être agrandi en une pergola pour l'ombrage, élargissant l'espace confortable à l'extérieur de la tente ; conception de la porte à double sens et de la fenêtre de ventilation : favorise la circulation de l'air dans la tente.Matériau de haute qualité : la tente extérieure est en relief avec une armure toile en polyester 210T, qui est épaisse et durable, avec un indice d'étanchéité de 3000 mm ; la tente intérieure est en gaze respirante B3, et le fond de la tente est en tissu Oxford 150D, avec un indice d'étanchéité de 3000mm.Tente pour 2 personnes série P : taille dépliée : 200*(45+130+40)*100cm/78.7*(17.7+51.2+15.7)*39.4in ; taille de stockage : Φ16*49cm/Φ6.3*19.3in ; poids : Environ 2,1 kg/4,63 lb (accessoires compris).Tous les poteaux de tente en alliage d'aluminium, la tente intérieure est équipée d'un crochet simple, facile à construire, même si vous n'avez aucune expérience ; Le sac de rangement dans la tente peut stocker des téléphones portables, des mouchoirs et d'autres articles ; le crochet de la lampe dans la tente peut être utilisé pour accrocher des lumières pour l'éclairage.
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yumeka-chan · 2 years
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De retour de campagne
Les chevaliers étaient en effervescence.
Leur combat contre les envahisseurs s'étaient conclut sur une victoire écrasante. Ils n'avaient jamais été aussi bien organisés.
Tout le monde voulait faire la fête. Arthur, lui, rêvait de retrouver sa femme. Une semaine entière sans la voir. Elle lui manquait.
A peine arrivés, Arthur commença à effeuiller son armure. Deux jeunes le suivaient, récupérant les morceaux au fur à mesure. Le roi avait pris l'habitude de laisser traîner son armure dans les couloirs quand il revenait de quête ou de combat. Il voulait se changer. Il voulait pouvoir se mouvoir librement.
Lancelot, son bras droit, avait fait engager deux jeunes aspirants chevaliers pour ramasser et reconstituer l'armure sur un mannequin. Ils apprenaient à attacher chaque morceau, quelle plaque protégeait quoi.
Aujourd'hui ne faisait pas exception à la règle. Lancelot l'avait vu commencer à défaire les liens de l'armure avant même de descendre de cheval. Il était discret, mais Lancelot était son bras droit. Il savait qu'il mourrait d'envie de prendre un bain. Comme la moitié des chevaliers.
Lancelot n'avait été qu'une fois dans la salle de bain du roi. Il lui avait laissé l'accès, et Lancelot s'était demandé pourquoi une salle aussi grande pour prendre un bain. Mais il en avait profité. Elle était d'un calme, il n'entendait personne, il n'avait pas eu peur d'être interrompu.
- Sire, les chevaliers voudraient dîner avec vous ce soir...
- On verra ça!
Lancelot leva les yeux au ciel. Que le roi soit la ou pas ce soir serait un total hasard. Il s'éloigna rejoindre ses collègues.
Arthur, lui, s'acharna sur sa genouillère gauche. La lanière s'était emmêlée entre deux plaques. Il s'arrêta dans sa course pour se pencher, retirer le cuir, et repartir en laissant la genouillère au sol. On aurait pu le suivre à la trace. Il s'en fichait royalement. Et ces andouilles de gardes qui ne sonnaient que maintenant leur retour. Il détachait sa dernière pièce d'armure lorsque Guenièvre apparu au bout du couloir. Elle avait couru en entendant les cors. Arthur la fixa un instant, avant de lancer aux jeunes son épaulière.
- Cassez-vous.
Les deux petits avaient pris l'habitude des mots d'Arthur. Ce n'était pas contre eux. Il voulait son intimité. Ils ne prirent même pas le temps de saluer la reine et s'enfuirent avec les bras chargés de l'armure du roi.
- Ces imbéciles ont encore oublié.
Il avança jusqu'à sa femme, le pas rapide, avant de la prendre dans ses bras et de la coincer contre le mur tout en l'embrassant. Elle s'agrippa à son cou, passant sa main dans ses cheveux. Elle tenta maladroitement de relever ses jambes pour s'accrocher à ses hanches, et il lui fallu l'aide d'Arthur pour y arriver. Un petit gémissement plaintif passa entre les lèvres de Guenièvre. Arthur soupira d'exaspération.
- C'était qui, cette fois?
Pas de réponse. Arthur savait qu'elle ne pouvait pas répondre. Elle avait presque le souffle coupé. Il la colla un peu plus au mur, pour pouvoir passer son bras droit derrière lui et attraper son poignard. Il le sorti de son fourreau, et le saisit par la lame. Il glissa jusqu'aux reins de Guenièvre, et se mit en quête de ce qu'il cherchait.
- J'en ai pour quelques secondes. Je vous libère tout de suite.
- Non, ne...
Il écrasa ses lèvres sur celles de sa femme, pour la faire taire. Il venait de trouver le criminel. Les lanières de la robe. Comme il s'y attendait, serrées à l'excès. Un nœud trop dur pour qu'il puisse le délacer seul. Quelqu'un avait encore enfermé Guenièvre dans un corset.
Lentement, il laissa son doigt suivre la courbure de la lame, pour être sûr de ne pas blesser sa femme. Jusqu'à ce qu'il sente à nouveau la lanière. La cordelette habituelle avait été remplacée par du cuir. Il grogna, glissant la lame entre le tissu et le cuir, et tenta de le sectionner. Il s'y reprit à plusieurs fois, alors qu'il tentait de maintenir Guenièvre. Il avait lâché ses lèvres pour s'enfoncer dans son cou. Lorsque la lanière céda, Il lâcha son poignard. Il senti les lanières se desserrer, les poumons de sa femme s'emplir d'air. Elle avait été en apnée tout ce temps. Arthur passa ses mains sous ses cuisses, retenant la lourde robe.
- Je vais faire changer vos servantes, si elles ne tiennent pas compte de mes demandes.
- Ce n'est pas leur volonté.
- Qui a ordonné que vous soyez ainsi maltraitée? Ce n'est pas moi.
- Votre mère est en visite officielle, et elle trouve que j'ai pris du poids depuis sa dernière visite.
Arthur grimaça, avant de chercher dans le dos de Guenièvre où en était la lanière. Assez haut pour qu'il puisse tirer sur le haut, pour ôter sa femme de ce carcan. Elle l'aida. Rapidement, elle se retrouva avec à peine cette petite robe fine qu'elle mettait sous ses robes pour éviter les frictions. Elle n'eut aucun mal à s'accrocher à nouveau à ses reins. Il laissa tout en plan, alors qu'il se dirigeait vers la salle de bain. Une fois la porte fermée, il l'assit sur une des petites tables où étaient posés les sels.
- Cette femme n'a aucun ordre à donner ici. Vous êtes la reine. Vous êtes ma femme.
- C'est la reine mère. Et elle fait peur aux servantes.
- Personne n'a d'ordres à vous donner. A part moi. Vous êtes magnifique.
Elle se mit à rire, alors qu'il tentait de se déshabiller dans trop la lâcher. Il vociférait contre ses habits, comme il l'avait fait contre son armure.
- Arthur?!
Il lâcha un soupir bien bruyant, avant de hausser la voix.
- Mère.
La situation ne lui plaisait pas. Il avait Guenièvre, à moitié nue, les jambes contre ses reins, et de l'autre côté de la porte, sa mère.
- Vous n'êtes pas venu me saluer.
- J'ignorais que vous étiez là.
Il ajouta, plus bas, à Guenièvre.
- C'était prévu, sa visite?
Elle secoua la tête.
- Votre femme m'a prêté une chambre, un peu froide. J'aurai préféré une chambre plus accueillante.
Il embrassa Guenièvre sur le lobe de l'oreille.
- Ma femme aurait pu vous mettre dans les geôles aussi.
Elle esquissa un rire, léger.
- Votre femme a encore grossi.
Arthur releva la tête, pour fixer Guenièvre.
- Vous avez grossi?
Avant qu'elle ne puisse répondre, les mains d'Arthur se posèrent sur ses cuisses. Il remonta lentement, jusqu'à ses hanches, jusqu'à sa taille, sous le tissu déjà fin qui cachait la peau de sa femme. Elle se mordit la lèvre, pour retenir un gémissement, une envie. Il était brûlant. Il pourrait la marquer rien qu'en gardant ses mains contre elle.
- Ma femme, c'est mon affaire. Je vous serai gré de ne pas vous mêler de mes choix. Maintenant, veuillez me laisser. Je reviens de combat, j'ai besoin de calme.
Il jeta un petit sourire à sa femme. Pas sûre que le calme était ce qu'il avait prévu. Mais elle avait hâte de le découvrir.
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mtfg14 · 2 years
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kaantt · 3 years
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Un classement bien évidemment Totalement objectif des tenues de Galessin dans Kaamelott de la tenue la plus.. Décevante à celle qui fait le plus buguer mon cerveau :
12 : Son armure du livre III, je ne sais pas pourquoi ils ont changé son armure et sa coupe de cheveux dans ce livre et honnêtement ça lui va pas très bien
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11 : Le casque, comparé aux autres c’est pas si mal mais bon voilà quoi c’est pas génial, l’armure rattrape le coup
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10 : La tunique bleue dans “Les chiens de guerre”, mims mais fade comparée à ses autres tenues plus tard dans la série (Mention spécial pour le cuir aux poignets I love it)
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9 : L’armure classique, c’est basique mais il la porte bien, les pilotes nous montrent l’effet de cette armure debout et... Franchement? Neat
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8 : Sa deuxième tenue d’hiver dans le livre V, le problème c’est le bleu je sais pas s’il est trop sombre ou pas assez et je suis pas fan de son premier manteau sous sa cape. Looking good tho.
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7 : Tenue classique du livre IV, il y a trois variante de cette tenue et j’ai mis celle avec le manteau par dessus en dernière, j’aime BEAUCOUP la ceinture mais les autres variantes sont mieux
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6 : Même tenue sans le manteau, c’est plus haut parce qu’on voit mieux la chemise blanche et le médaillon, puis la ceinture comme ça.... Fuck me (A.A give us the look with only the white shirt challenge)
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5 : Livre VI, Tbh c’est surtout les cheveux qui font tout l’effet mais la tenue avec la double ceinture (une en tissu et une en cuir) avec le bleu sombre comme ça juste... Oh god.. La cape est pas ouf par contre.
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4 : Livre V premier habit d’hiver, le bleu clair est juste hyper pur, c’est super soft, I love it et puis ça a l’air tout chaud et tout doux (Mon envie de m’acheter une cape est SI supérieure à mon self-control)
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3 : Livre IV dans “Double dragon”, dernière variation de la tenue du livre IV, on parle pas assez de la petite protection en cuir et de la ceinture qui tombe sur ses hanches
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2 : Mariage livre VI, je sais pas si c’est la couronne de fleurs, le mélange bleu-gris super doux ou le pantalon à carreaux... Ouais, c’est l’ensemble en fait (C’est surtout la couronne et le pantalon tbh)
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1 : Livre V tenue d’été, Do I even need to explain??
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sebgaillard · 2 years
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Boba Fett : un reboot du personnage par son évolution du blanc au noir, puis noir et armure.
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Faire évoluer la “couleur” de la tenue d’un personnage du clair au sombre est un choix chromatique que Georges Lucas a exploité sur la première trilogie de Star Wars pour souligner le parcours et l’évolution de Luc Skywalker. Une idée visuelle reprise pour la mise en scène de The book of Boba Fett où les couleurs organiques enrichissent aussi le résultat final. Ce personnage quasi inexistant à l’écran jusqu’ici doit être complètement reconstruit par les scénaristes et réalisateurs via cette série. Ils ont donc repris un chemin visuel déjà très structurant dans la saga. Description et comparaison...
SPOILER ALERT : évoque les intrigues et traitements visuels des films Star Wars, les séries Mandalorian et Boba Fett.
Luc et Boba, même évolution par la direction artistique, mais qu’est-ce que ça nous dit des personnages dans leurs histoires respectives ?!
L’évolution de la tenue de Luc définie par G.Lucas sur la première trilogie est  donc étonnamment reprise dans la direction artistique du personnage Boba Fett dans les 3 premiers épisodes de la série qui lui est dédiée. 
Pour Boba le passage du blanc au noir se fera en seulement deux phases, là où il y a eu plus de subtilités pour Luc avec aussi tout un travail des bruns en intermédiaire avant le noir, ce qui n’est pas repris pour le chasseur de primes.
Le rôle et la nature des personnages de Luc et de Boba Fett sont plutôt différents. Il n’est pas question de la force pour Boba. Adopter un même choix d’évolution visuelle pour les deux personnages peut donc étonner.
Mais cela s’avère finalement assez logique si nous retournons le miroir pour s’amuser à regarder Luc finissant comme Boba ! Luc va progressivement d’un habit blanc vers une tenue noire (ce qu’il porte vers la fin du 3ème film), mais par dessus lequel il pourrait, comme Boba, aussi porter une armure du monde technique opposé au monde organique. N’est-ce pas une possibilité que se laissait l’intrigue des 3 films de la 1ère trilogie en symétrie avec son père Dark Vador, qui lui même a été ainsi mis en scène entre son évolution d’Anakin vers Dark Vador dans les Episodes 1 à 3 ?! 
Au fil des 3 films des Episodes IV à VI les vêtements de Luc Skywalker suivent l’évolution et les hésitations du personnage: blanc, quelques bruns organiques, puis la main noire, suivie de la tenue noire.
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Cela aurait donc pu aussi aller jusqu’à l’armure, comme pour Dark Vador (ou dans une moindre mesure pour Boba Fett), si le personnage avait finalement choisi une bascule vers l’obscur. 
Luc aura semble-t-il gardé un temps le noir vu ce que nous dit le dernier épisode en date du Mandalorian (image ci-dessous), même si on sait qu’il retrouve aussi des couleurs organiques (mais aussi du noir) dans sa fin de vie traitée dans les 3 derniers films avec Riley.
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Boba Fett : du blanc au noir, puis au noir + armure, en 3 épisodes
Dans les flash-back faisant remonter l’intrigue à la période du Retour du Jedi, Boba passe par ces étapes :
1. Le personnage doit enlever son armure fumante et se mettre à nu. Évidemment il repart de zéro alors que tout le monde le croit mort.
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2. Au sein de la tribu des Tusken, Boba Fett est habillé tout de blanc. Logique dans le désert, et conforme à la ligne monochrome que la direction artistique de Star Wars a toujours décliné sur Tatooine pour mieux mettre en valeur les bruns “du monde organique” (G. Lucas) très exploité pour les Tusken et leurs animaux. Mais c’est surtout une approche visuelle qui fait repartir le personnage de zéro et le mêle dans les blancs en hautes lumière du sable de Tatooine. Il disparait donc dans le décor, avant de revenir plus tard avec une identité réaffirmée et rebâtie, et la tenue qui ira avec...
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3. Son évolution relationnelle avec les Tusken le conduira à une forme d’intégration à la tribu, jusqu’à être « intronisé »: il est alors couvert de noir dans une cérémonie.
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Boba Fett : de la tenue de tissu à l’armure
C’est dans la série The Mandalorian qu’il bouclera la boucle et retrouvera son armure dont les verts et bruns sont considérés par Georges Lucas comme ses deux couleurs pour « le monde organique » opposé au “monde technique”. 
Cette armure de verts et bruns sur fond noir, complique le personnage : à la fois axé sur les noirs associés aux personnages sombres versés sur la haine, et en même temps aux couleurs organiques associées à la vie qui est l’anti-thèse du “monde technique” de l’ex-empire.
La tenue complète de tissu noir + armure marque l'aboutissement du personnage à sa nouvelle identité et fonction, et à sa nouvelle complexité. Maintenant que l’empire a chuté, Boba Fett cherche sa place en voulait siéger sur une partie de Tatooine et pour cela tout reste à construire, comme il s’est construit au fil de ces étapes du blanc au noir puis au noir + armure.
Cela crée également une symbiose dans son duo formé avec Fennec et sa tenue noire.
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Images de la série et des concept arts issues du site officiel starwars.com
Star Wars Origins : Boba le super soldat blanc
L’ironie c’est que le personnage à l’origine de Boba Fett était un super soldat en armure, cape et jet pack tous entièrement blancs. 
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Faute de budget pour en produire la quantité suffisante et constituer ce groupe de “Super Soldats”, Georges Lucas a laissé carte blanche à l’équipe SFX pour que l’armure soit peinte afin d’en faire un unique personnage de chasseur de prime.
On sait le peu de plans qu’il occupe à l’écran dans la première trilogie, pour autant cette armure, ce casque avec visière en T, ont suffi à intriguer et en faire un personnage retenant l’attention, suscitant l’imaginaire...
La série The Book of Baba Fett reprend presque ce cheminement chromatique de l’évolution du Super Soldat tout blanc à Boba chasseur de prime en vert et bruns. 
La DA permet de bien s’amuser et de bien amuser les fans ;-), tout en servant l’intrigue heureusement !
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histoiresdevies · 4 years
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La Mère - Série Métro, Première
Paris, Ligne 4 du Métro, 06h52
Cette histoire, c’est celle de beaucoup d’autres femmes, celle des invisibles qui se fondent dans les sièges sales du métro. Toujours avec un sac, un panier, un cabas de Franprix souvent, de Carrefour parfois. Le sac n’est pas tout neuf, comme elle, il a servi plus d’une nuit. Il comporte d’autres sacs plastiques avec une myriade de choses, des petits riens. Des médicaments, une petite bouteille d’eau accidentée et à moitié vide, des documents dans des pochettes plastiques chipées aux enfants, des mouchoirs, un vêtement ou deux, le trésor de ceux qui n’ont rien. 
La Mère est digne, épuisée, mais digne. On dirait un Vermeer, avec son tissu sur la tête, soigneusement noué. On aurait presque l’impression qu’il pourrait tomber à tout moment et, en même temps, que cela est impensable. C’est peut-être là, le charme des choses que l’on pense fragiles. Elle serre, dans sa main gauche, un petit mouchoir tout fripé. Elle desserre la main, pour le faire tourner un peu, puis le froisse de nouveau. Elle a le regard un peu vide, le corps ankylosé, la peau noire, le vêtement coloré. Son visage est beau, ses cernes sont creusées, ses lèvres sont très sombres, surtout celle du bas, certainement tatouée. Elle a l’air un peu maigre, mais son pagne lui donne de la prestance, une seconde peau, une armure. En travers de son corps, une bandoulière au bout de laquelle flotte un petit sac noir en skaï. La lanière raye le grand châle épais qu’elle a jeté sur ses épaules.
La Mère sort d’une nuit de travail, elle a nettoyé des bureaux, des administrations, un hôpital, plusieurs ? Des yeux, elle balaye brièvement les lieux. Elle sonde les gens dans le wagon puis s’autorise à laisser tomber ses paupières, juste quelques instants. Mais ne vous y méprenez pas, la Mère ne dort pas, elle s’assouplit seulement, elle sait tout, elle voit tout. Même derrière le tissu de ses paupières, elle connaît l’endroit, elle le fréquente tous les jours.  
La Mère est un voyageur francilien assidu. Elle prend, chaque jour, plusieurs métros avec ses affaires, sa fatigue, son châle, ses pensées. Je vois qu’elle touche le lobe de son oreille. Ce lobe est percé à plusieurs endroit, déchiré à certains autres. Les cicatrices sont bien nettes et laissent paraître, au milieu de des chaires, des petits faisceau de vide. C’est certainement le poids des boucles d’oreilles, celles qu’elle porte sont assez imposantes. Elles pendent au bout d’un trou déjà bien éprouvé par le poids. Avec son épaisse chaîne autour du coup, c’est certainement, parmi ce qu’elle a, sur elle, qui a le plus de valeur. Je me dis que ces bijoux lui ont sûrement été offerts à son mariage. Il faudrait que j’arrête de la scruter autant même si c’est plus fort que moi. J’arrête. Je la regarde par intermittence. Ce qui est piégeux, c’est qu’elle ouvre les yeux de manière alternative, parfois à des moments très proches dans le temps. Je pense qu’elle sent mon regard. Je me tourne légèrement sur la gauche pour l’observer dans le reflet de la vitre
La Mère me regarde aussi. À son tour après tout ! Je sens son regard de mère, ceux qui sont appuyés. Elle toise avec bienveillance, mais elle toise quand même. Elle pense, un moment, au milieu de deux assouplissements. Elle regarde mes chaussures, et analyse de haut en bas. C’est efficace, méticuleux, plus organisé que moi. C’est un regard de mère. Une fois que c’est fait, c’est fait. Elle n’a sûrement plus rien à regarder.  Elle regarde les autres passagers, elle pense si fort qu’on l’entendrait presque dire “ah ! la jeunesse ! et tous ces jeunes ivrognes dépravés qui rentrent de soirée après avoir vomi des chips. vos parents ne vous ont-ils pas appris mieux que ça ?”. Elle a sûrement raison d’ailleurs. Peut-être qu’elle pense juste à un café, mais cette pensée a moins d’intérêt à raconter. Par accident, je lève les yeux en même temps qu’elle, elle me sourit, je lui souris, elle tourne lentement la tête vers la vitre, fouille dans sa petite sacoche. Je me demande comment est-ce-que l’on peut véritablement fouiller dans quelque chose d’aussi étique. Sa manière de faire me fait sourire. Elle se penche sur la droite, elle gratte avec le bras gauche au fond de sa besace en tournant les yeux sur la droite en ma direction. Elle a presque l’air de mépriser le contenu de cette sacoche. Elle s’agace un peu et expire un peu plus fort qu’à l’habitude. 
La Mère sort son petit bigo noir, elle l’éloigne de son visage. La tête en arrière, les épaules en retrait, elle fronce les sourcils et plisse les yeux. Sur son petit téléphone prépayé, elle regarde l’heure. Pour le déverrouiller c’est d’abord sur l’astérisque, en bas à gauche, puis l’option “déverrouiller” qu’elle active grâce au petit bouton, en haut à droite du clavier. Son téléphone, c’est ce dont elle se sert le plus dans le métro. Elle lit l’heure puis le repose sur son genou, dans sa main droite. Chaque fois, elle rabat ensuite son châle sur elle. Elle relit l’heure plusieurs fois, elle attend, reprend son téléphone, souffle puis chuchote, regarde de nouveau, le repose sur son genoux, le reprend encore, rabat son châle. Toujours le même geste, la même énergie. Je me demande ce qu’elle attend. Elle n’a pas l’air surprise de voir que l’heure n’a pas beaucoup changé entre temps. 
La Mère appelle quelqu’un, il est huit heures passées. Le métro marque l’arrêt, à la station, les portes restent ouvertes quelques minutes. J’entends la tonalité de son téléphone puis une petite voix qui répond. La Mère ne parle pas ma langue mais cet appel me semble familier. J’entends à peine la petite voix mais je reconnais du français. Je pense que c’est sa fille. La Mère confirme plus qu’elle converse, elle interrompt, demande ce qu’il faut demander. Quelques mots suffisent pour savoir ce qu’elle veut savoir, pas le reste. Je tends l’oreille. J’entends sa fille dire qu’elle a “posé le petit déjeuner pour les petits”. La Mère acquiesce d’un mouvement de tête vers le haut. J’imagine qu’elle vérifie que les enfants sont bien réveillés, certainement pour aller à l’école. J’ai l’impression de voir ma propre mère, soucieuse de savoir, quand elle n’est pas là, si son omniprésence à la maison ne manque pas trop, si les opérations tournent bien. Après tout, rien d’original. C’est un acte normal pour les gens normaux. Pas pour ceux qui, comme moi, viennent de passer la journée entière, puis la nuit, dehors.
La Mère est toujours présente. Là sans être là, elle dort sans dormir. Elle sait sans savoir, lire, écrire ou parler. Compter ? Elle sait, ça. Elle fait partie du métro et en même temps elle a quelque chose de si particulier, la Mère. Elle a son histoire, le poids de sa vie, mais elle le porte mieux que moi, mieux que nous. Elle a dans les yeux, ce petit quelque chose qu’on ne sait pas, qu’elle ne dit pas, qu’elle pense pourtant très fort mais que l’on ne peut imaginer. Dans sa main, c’est plus que ce petit mouchoir qu’elle sert pour rester éveillée. Sur son téléphone, c’est plus que l’heure qu’elle regarde. Autour de son cou et à ses oreilles, ce sont plus que des bijoux qu’elle porte. Elle me rassure et m’impressionne en même temps. La Mère, je la croise souvent dans le métro et pourtant, à chaque fois, je la regarde. J’ai envie d’imaginer ce qu’elle pense, ce qu’elle me dirait si on parlait. Je lui parle parfois, pour lui indiquer son chemin. C’est rare, elle sait tout, la Mère. J’aime bien lui sourire, être là, pas loin. La regarder faire ses affaires, ces petites choses qu’elles font toutes. Ce qui m’intéresse c’est les aspérités de chacune d’entre elles. 
La Mère se redresse un peu et je prends mon téléphone pour écrire quelques idées, rassembler un maximum d’informations, des mots, des détails, je relève les yeux, regarde ce qu’il y a dans son sac, je liste tout. Je ressens une urgence, il faut que je gribouille quelque chose pour écrire sur elle ensuite. Je suis fatigué et lent, mon téléphone n’a plus beaucoup de batterie, je veux tout de même avoir du matériel, des choses à dire, tout ce que j’ai vu. J’écris avec des tirets, plus rapide. Je fais une longue liste, la voix du métro annonce “Gare du Nord”, je réalise que je descends à la prochaine station. J’accélère. 
Les portes se referment derrière cette sirène horrible. Je pense, à ce moment, que cette sirène est sûrement stridente pour réveiller la Mère, à chaque station. J’écris ça. Je cherche quelque chose d’intelligent à dire dessus. Je me perds. Je relève les yeux pour prendre plus d’informations, sur ses affaires, son visage, ses mains peintes de henné très noir. Je n’ai pas parlé de ses mains. Trop tard, la Mère n’est plus là. Elle est sortie, partie se noyer dans la mer de mères, happée par les vagues. 
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omagazineparis · 8 months
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Le corset, instrument de torture vecteur d'un message féministe ?
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Le corset, autrefois un sous-vêtement répandu dans la garde-robe des femmes, a été longuement critiqué. Connu pour avoir fait souffrir les femmes, et pour répondre à des fantasmes patriarcaux, le corset aurait été délaissé et troqué contre des régimes et des interventions chirurgicales afin de garder la taille fine. Néanmoins, il serait aujourd’hui synonyme de féminisme et fait son grand retour sur les catwalks.  Le corset est un sous-vêtement, principalement féminin, porté du xvie siècle au début du xxe siècle. Cependant, on trouve des habits similaires au corset dès 1600 av. J.-C comme des ceintures en tissu portés en dessous de la poitrine. Le corset est d’abord un vêtement de femme et d’homme : venu de l'univers masculin et militaire, le corset est conçu pour enlever les différences morphologiques entre les deux sexes afin de laisser place à une silhouette la plus masculine possible. Plus tard, on le perçoit plutôt comme une « armure » physique et morale réservée à la haute société : il magnifie le corps en obtenant une taille svelte pour le différencier de celui du peuple.  Portrait de Louis XIII par Rubens. Portrait de la Reine d'Autriche par Rubens. ...Ou symbole d’oppression patriarcal  Publicité issue du Petit Echo De La Mode le 10 mars 1895. Ce n’est qu’au xixe siècle que l’utilisation du corset est synonyme d’érotisation des atouts féminins. Ce dessous, qui parfait la lingerie féminine de l’époque, cherche à modeler le buste suivant des critères esthétiques variables selon les tendances. Il a pour but premier d’affiner la taille d’une part, et d'autre part de maintenir la poitrine. D’abord portées par les femmes de la haute société, il s’est démocratisé auprès des bourgeoises et des femmes du peuple. Au cours du xixe siècle, certains médecins ont conclu que le port du corset était la cause de maladies respiratoires, de dégâts des organes internes, de déformation des côtes et même de complication lors de grossesses. Pour d’autres, le corset aurait des vertus thérapeutiques : il servirait à maintenir le dos et à corriger les déviations de la colonne vertébrale. Néanmoins, il est évident que le corset fut semblable à un instrument de torture visant à assouvir les fantasmes masculins sur la féminité. De ce fait, Paul Poiret est le premier couturier qui le bannit de ses collections. En effet, il délivre la femme grâce à des robes droites qui lui permettent de se mouvoir.  Le corset, incarnation du féminisme  Violet Chachki pour Harper's Bazaar Chine. Corset doré métallique par Thierry Mugler. Aujourd’hui le corset traditionnel, de par sa notion de douleur, reste présent dans les pratiques sexuelles fétichistes. On le retrouve aussi au sein du travestisme et les déguisements burlesques d’antan.  Ce n’est qu’au xxe siècle, alors que la femme s’affranchit de l’emprise de l’homme, que le corset devient l’expression du renouvellement de la notion de féminité. En effet, dans la haute couture, on utilise le corset comme symbole fort de l’émancipation de la femme, rendue maîtresse de sa propre féminité et de sa sexualité.  On se rappelle notamment du corset rose poudré aux seins coniques de Jean Paul Gaultier porté par Madonna, qui deviendra une représentation mythique d’une sensualité assumée. Le corset deviendra même l’emblème de ses fragrances pour femmes. On retrouve également le corset dans la collection punk de Vivienne Westwood, érotique et libertine, qui confère à la femme un « pouvoir, notamment sexuel, une allure un peu guerrière, dominatrice », d’après Emilie Coutant, sociologue et consultante en mode.  "Une femme en corset affiche un corps qui est à la fois érotique et qui en impose, car il se perçoit comme une prise de pouvoir." Emilie Coutant A l’époque, on considérait le corset comme étant un sous-vêtement. Aujourd’hui cet accessoire de lingerie a tendance à être porté en tant que survêtement, à la façon d’une ceinture ou revisité en jupe. Le corset donne une allure assurée pour la femme, au même titre qu’un costume pour un homme. Selon Emilie Coutant, « une femme en corset affiche un corps qui est à la fois érotique et qui en impose, car il se perçoit comme une prise de pouvoir ».  Ceinture corset par Jacquemus. Jupe corset par Balmain. Un corps magnifié pour une sexualité assumée Le corset a longtemps été marque de faiblesse car il a été synonyme de souffrance et de soumission aux fantasmes et aux normes de beauté établies par les hommes. Néanmoins, le corset est dorénavant symbole d’hyper-féminité, assumée et appartenant aux femmes. A lire également : Mode à Paris – Voyage dans un siècle d’élégance parisienne Read the full article
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lamesangebleue-blog · 4 years
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Shadow Warrior
Les ordinateurs sont arrivés vers l’an 2000.
On nous a livré un jour un ordinateur Compaq, avec un grand écran blanc équipé d’une large molette et une tour blanche ornée d’un bouton d’allumage vert d’eau. L’ordinateur a été installé d’abord dans la chambre des parents, mais maman ne supportant plus les bruits du jeu de tank de papa, iPanzer’44, et il a finalement été déplacé au salon. “Jawohl Herr Kommandant”. Pendant environ cinq ans, aucun de nous n’a vu dans cette grosse boite blanche d’autre utilité que de faire des dessins sur microsoft paint, et de faire grossir ses effectifs d’hoplites sur Age of Empires. Charles, un peu plus aventureux, avait mis la main sur un First Person Shooter à gros pixel, Shadow Warrior. Après deux mois de frags intenses menés en cachette de Papa et maman, on lui a retiré son jeu. Maman l’avait tout d’abord trouvé de plus en plus pâle, et avait découvert avec inquiétude qu’il était sujet à des spasmes de tremblements de plus en plus fréquents. A partir de ce jour-là, et durant toute mon enfance, il y a eu comme un tabou autour de Shadow Warrior. Il parait que le jeu avait été interdit dans le monde à la suite de crises répétées chez les joueurs les plus sensibles, et que Charles possédait un des rares exemplaires encore sur le circuit. Des paquets d'hémoglobine rouge-brun presque coagulés qui jaillissaient en jeyser, aux insectes arachnoïdes qui courraient sur le sol pour se jeter soudainement à votre gorge, on disait que gameplay n'avait été conçu que dans un seul objectif: choquer profondément le gamer. Le studio avait cherché dès 1997 à avertir le monde : la pop culture serait plus trash. C'était une nouvelle ère.
Je relis dans ma mémoire l'épisode Shadow Warrior à l'évocation du site Rotten.com. Mes grands cousins germains, que j'ai toujours trouvé particulièrement lents et benêts, nous en avaient parlé un jour, alors que nous déjeunions ensemble à l'occasion de je ne sais quelle cérémonie de profession de foi. C'était le plus agé d'entre eux, Jean-Philippe, qui avait jugé amusant d'évoquer à ses petits cousins de 8 ans l'existence d'un site accessible par n'importe qui, et qui diffuse des photos de corps humains en décomposition, de cadavres grillés dans des transformateurs électriques, de membres atrophiés purulents. Pour jeter un œil, il n'y avait qu'à taper "rotten.com" dans la barre URL. D'un seul coup, l'ordinateur élargissait son potentiel, il n'était plus seulement question de mettre le feu aux murailles assyriennes, ou de dessiner des copies tremblantes d'Achille Talon sur paint, il était désormais question de voyeurisme, de péché, de douleur. Il était question du mal. Je n'ai jamais mis les pieds sur Rotten.com, de la même manière que je n'ai jamais cherché à regarder "Two girls One cup", la fameuse vidéo pornographique dans laquelle deux filles mangent leurs excréments. Je suis trop sensible aux images.
Quoiqu'il en soit Charles avait annoncé la couleur, il était de ceux qui pouvait s'enferrer dans des parties de FPS à rallonge, et jusqu'au petit matin. De manière inattendue, la relève de Shadow Warrior allait venir d'Hélène, notre grande sœur première de classe, et grande lectrice du magazine Je Bouquine. Le hors-série Aventure de l'été 1999 s'intéressait "au pays des Elfes et des Dragons". Il comportait sous son blister une démo d'un jeu de RPG qui allait changer notre enfance: Baldur's Gate. Nous avions fébrilement passé l'été 1999 a regarder cette pochette de CD-ROM (elle mettait aux prises un guerrier en armure à un gigantesque monstre à corne), en espérant qu'il serait compatible avec le système d'exploitation Windows 95 de notre ordinateur resté à Paris.
Les grandes thématiques de notre éducation couvraient jusqu'alors un spectre large et varié, allant des tableaux de Bonnard, aux chants de la légion étrangère en passant par le rugby, Star Wars et Leonard Cohen, mais on nous avait rien dit sur l'Heroic Fantasy. Le retour rue Spontini a été un émerveillement. La pochette cartonnée annonçait en lettres celtiques "En cadeau : 20h de jeu" mais nous avons probablement passé 15 fois 20h à refaire éternellement la même portion de l'histoire, qui commençait dans l'auberge de Winslow, jusqu'à la lisière de la forêt de Bois-Manteau. C'est après avoir tenté toutes les variantes possibles dans nos interactions avec les rodeurs et les magiciens croisés tout au long de la quête, que nous nous lassâmes petit à petit de notre démo de Baldur's Gate. Pour prolonger le plaisir, Charles qui n'avait jamais vraiment lu autre chose qu'un vague Chair de Poule demanda pour son anniversaire les trois livres du Seigneur des Anneaux. Il les lut aussi sec, puis il lut Bilbon le Hobbit, et enfin tous les autres recueils de nouvelles de Tolkien aux jolies couvertures ornées de dragons et de mages. Par chance, Peter Jackson préparait à ce moment-là son adaptation cinématographique du Seigneur des Anneaux, qui sortit en 2001. En un sens, Charles vécu quasiment cinq ans non-stop dans un monde d'elfes. Il s'identifiait naturellement plutôt à Aragorn, et j'écopais du terne Légolas.
Autour de 2004 nous passâmes sur Windows XP. Notre ordinateur n'était plus blanc, il était noir, c'était un DELL. En cadeau nous reçûmes deux lecteurs mp3 de 64mb, c’est-à-dire qu'on pouvait y charger l'équivalent de 12 morceaux. Le jour de l'arrivée de l'ordinateur, Charles installa Counter Strike.
Cela faisait une ou deux années qu'on trainait autour du mythique FPS (first person shooter). Le déclencheur avait sans aucun doute été la kermesse de notre collège, où Hélène avaient été admise vers 1998 grâce à ses bonnes notes, et où Charles et moi fîmes progressivement notre entrée grâce aux bonnes note de notre soeur. Tous les ans au milieu du mois de juin, l'école se transformait en gigantesque centre de stands de pêche à la ligne, en étalage de bonbons, en magasin de bricoles. De la sixième à la terminale, chaque classe prenait la responsabilité d'une activité, tandis que les petits faisaient tourner les chamboule-tout ou les rase-ballon, les plus grands investissaient la salle de technologie pour la transformer en unité de jeu en réseau, branchée sur Counter Strike 1.5. Le week-end tournait en continue sur une seule map: cs_mansion. Maman nous donnait des coupons de jeu qu'elle nous imaginait dépenser aux grand air avec des camarades de classe pleins d'énergie, mais nous passions nos week-end encagoulés, avec une AK-47, à tenter de libérer des otages dans une maison en parpaings, tristement isolée au bout d'un jardin sec et entourée de murs gris. La salle de techno était une entre recluse et qui sentait la transpiration, elle était connue des initiés seulement et il me semblait que Charles y régnait en maître. Dès l'année de première, il prit le contrôle de l'activité jeux en réseaux lors de la kermesse. Devant son pseudo de joueurs il inscrivit "Miasme BTC", le nom de sa team, bâtie en collaboration avec ses deux copains de lycée Baudoin et Tancrède qui était en somme la combinaison d'un mot qu'ils venaient d'apprendre en cours de biologie, et de leurs trois initiales. Charles était le plus gros fraggeur de la salle. Au beau milieu du samedi je déboulais en salle de techno, mon cher frère m'apercevant de loin, me faisait passer devant la queue des collégiens, probablement tous interdits de jeux vidéos chez eux, comme c'est l'habitude dans les familles bourgeoises de l'ouest parisien, et qui venaient jusqu'à ce coin reculé de l'école, dans un couloir désert du 3ème étage en cachette des parents. Charles virait un petit et m'installait derrière un ordinateur pour deux ou trois heures. Le soir à la maison, quand maman nous demandait comment la journée s'était passée, je répondais que j'avais surtout donné un coup de main à Charles pour son stand. Alors elle faisait rouler ses yeux dans une fausse impression de colère, papa disait "ça va péter!" en imitant la voix enregistrée du jeu qu'il avait souvent entendue quand Charles jouait et qui retentit au moment où le joueur balance une grenade. Hélène, qui était en pleine période emo avait passé sa journée de kermesse dieu sait où, probablement avec ses amies emo. Généralement, Charles ne venait pas à la messe le lendemain, il se rendait directement au 3ème étage avec Tancrède et Baudin. 
Nous passâmes notre Noël 2013 au Hameau, chez mes grands-parents. Pour emmerder papa, et pour faire plaisir à maman, j'ai toujours dit détester cette grande maison bourgeoise sans charme. L'ameublement n'y était ni beau, ni précieux, ni pratique, avec ses sièges recouverts d'une tapisserie jaune criarde, ses commodes massives, ses pendules empire aux dorures grossières et aux thématiques antiques sans surprise. Sur la commode du fond seulement, il y avait un point de repère rassurant: une bonbonnière chinoises pleines de sucreries à la violette achetées chez Auchan. "Daddy" et "Granny" avaient fait tendre sur tous les murs un tissu gris-vert qui tenait l'ensemble dans un mouvement esthétique que j'estimais assez bancal. Enfin, j'étais gêné par cette impression de propreté maniaque, la collection de plumeaux, les boules de naphtalines dans les armoires vides des chambres, cette odeur de savon noir qui polissait les carreaux marrons qui couvraient tout le rez de chaussée. Les chambres de la maison était nettes, les draps se trouvaient recouverts d'un dessus de lit fleuri, sans un coussin pour déborder, sans un mouton de poussière pour dépasser. Elles donnaient l'impression d'être là pour la forme, en attendant d'être occupée le temps d'un week-end par une famille de passage. D'ailleurs maman se demandait bien ce que ses beaux-parents étaient allé faire à s'enterrer comme ça dans la Sarthe, le trou du cul de la France, eux qui avaient toujours vécu à Paris, se foutre à la campagne comme ça, près du Mans, où ils ne connaissaient personne… Incompréhensible… Il devait y avoir une théorie derrière, un plan scientifique, un diagnostic froid, tout droit sorti du cerveau de son beau-père médecin. La posologie était simple: 6 mois dans la Sarthe, 6 mois à Nice. Il ne connaissaient personne non plus à Nice.
Autrefois la campagne avait dû y être belle c'est certain, mais depuis quelques années, elle était barrée de voies rapides, lézardées de bretelles d'autoroutes, et envahie de giratoires. Il fallait maintenant prendre la voiture pour espérer trouver un coin de promenade encore à peu près préservé. La Zone d'activité Le Mans Nord rejoignait maintenant Neuville à plus de 20km, et s'arrêtait maintenant à 2km du Hameau. Elle s'était tellement étendue durant les dernières années qu'on finissait la plupart du temps par rester à la maison, et la grande sortie du week-end consistait désormais à faire le tour des enseignes : Auchan, Toy's R Us, Decathlon… Nous ramenions de nos virées des trophées variés: mini-saucissons aux noix, Pringles paprika, figurines Action Man, filets de badminton, jeux de croquet… Cette maison ennuyeuse trouvait une nouvelle vie avec la ZAC. Pour mes grands-parents, finies les parties de belottes puisqu'on pouvait maintenant aller au cinéma voir la dernière comédie française, finies les tristes omelettes du dîner, puisqu'on pouvait déguster des wild wings au Buffalo Grill, finies les rillettes du paysan de Neuville puisque le rayon apéritif de chez Auchan était grand comme la Sarthe.
Charles avait réussi à mettre la main sur une vieille Nintendo 64, avec 3 manettes, et 8 jeux, que nous installâmes dans la cuisine du Hameau. Avec les années, papa et maman devenaient de plus en plus coulants avec leurs grands principes sur les consoles de jeux. Ils nous trouvaient globalement raisonnables.
Dans ce coin de campagne française, il n’y avait en tout et pour tout qu’une seule véritable balade, qui longeait un chemin boueux sur un ou deux petits kilomètres. Elle passait devant un gros platane qui faisait s’extasier papa et devant une grosse maison cossue qui avait fait dire à notre grand-père “si tu l’achètes, je te tue”. Cette phrase-là avait marquée maman au point qu’elle nous l’avait répétée, à nous trois, ses petits enfants chéris. Cette phrase, elle nous l’avait dite sur le ton de la confidence, comme quand on s’adresse à un ami, à une oreille alliée qui opine du chef avant même que la révélation ne soit faite. Je devais avoir 10 ans mais j’avais été troublé par cette menace d’un père à son fils, alors même que toute l’éducation de maman était dans la douceur et l’amour sans condition. Cet épisode avait achevé de rendre irréconciliable cette différence profonde avec mes grands parents bizarres et leur campagne désolée. A cet âge deux questions ont commencé à m’agiter: mon grand-père, qui était cet homme? Et plus profondément encore, mais qui est papa?
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