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#Libération de la France
carbone14 · 29 days
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Après son entrée dans Paris avec les troupes de la 2e Division blindée, Simone Segouin, résistante française dans les Francs-tireurs et partisans (FTP), et deux de ses camarades participent à l'élimination des dernières poches de résistance – Libération de Paris – Opération Overlord – Août 1944
Photos Robert Capa
©Magnum photos
Simone Segouin rejoint les Francs-Tireurs et Partisans en 1944 à l'âge de 18 ans sous le pseudonyme de Nicole Minet. Après de nombreuses missions en tant qu'agent de liaison entre Dreux, Chartres et Châteaudun, les FTP lui propose de prendre les armes et devient l'une des rares femmes à prendre part aux combats. Attaques de convois, de trains, de détachements ennemis et opérations de sabotage lui valent le respect au sein de la résistance.
Elle participe activement à la libération de Chartres et s'illustre le 20 août 1944 en prenant part à la capture de 25 allemands à Thivars, à 7 km au sud de Chartres. A cette occasion elle récupère un pistolet mitrailleur MP40 avec lequel elle pose fièrement lors de la venue du Général de Gaulle à Chartres le 23 août pendant sa tournée d'inspection des régions libérées.
A la suite de cette cérémonie, les différents groupes de résistants du département prennent la direction de Paris pour participer aux combats insurrectionnels. La plupart regagnent Paris et font la jonction avec la 2e Division blindée de Leclerc le 25 août à six heures du matin.
C'est la raison pour laquelle, un cliché de Robert Capa présente Simone Segouin aux côtés de deux de ses camarades face aux dernières poches de résistance allemande.
Sa conduite valeureuse dans la clandestinité et son action dans les combats de la Libération lui valurent le grade de sous-lieutenant.
Elle fût décorée de la croix de guerre par Charles Tillon, ministre de l'Armement et ancien chef des FTP le 24 mars 1946 à Chartres.
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fredericbrumby · 5 months
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Les couleurs de la ville.
Mur
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sergephilippelecourt · 2 months
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Philippe de Gaulle (1921 - 2024)
© Serge Philippe Lecourt, Philippe de Gaulle, 1994. L’Amiral de Gaulle, fils du Général, est mort aujourd’hui à l’âge de 102 ans. Philippe de Gaulle serait le dernier compagnon de la Libération et reposerait donc au Mont Valérien, si son père lui avait décerné cette décoration… Ce qu’il refusât, pour ne pas donner l’impression qu’il bénéficiait d’un passe-droit. © Serge Philippe…
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angelitam · 2 years
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Les crimes nazis lors de la libération de la France 1944-1945 de Dominique Lormier
Les crimes nazis lors de la libération de la France 1944-1945 de Dominique Lormier
Les crimes nazis lors de la libération de la France 1944-1945 Dominique Lormier   tous les livres sur Babelio.com Les crimes nazis lors de la libération de la France 1944-1945 de Dominique Lormier, présentation éditeur Cet ouvrage richement documenté d’archives et de témoignages pour la plupart inédits, dresse un tableau complet des crimes nazis sur l’ensemble du territoire français en…
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thebusylilbee · 4 days
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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aurevoirmonty · 1 month
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Le Très Respecté Piotr Tolstoï : la France est gouvernée par des « pervers » homosexuels.
Piotr tolstoï est tellement excellent, que chacune de ses déclarations mérite un article.
Le gouvernement français ?
« Un ramassis de pervers » en faisant allusion aux homosexuels qui contrôlent désormais la France, ou ce qu’il en reste.
« Décadent »: un proche de Vladimir Poutine vise Gabriel Attal avec des propos homophobes pic.twitter.com/J887lU7ZeU — BFMTV (@BFMTV) March 21, 2024
J’échange la totalité de la classe politique française contre Piotr.
La Russie mène une guerre sainte contre l’empire du mensonge.
Il n’y a pas d’argument contre cette réalité.
La caste au pouvoir est si malfaisante, si objectivement inspirée par le mal, déterminée à tout détruire et avilir, qu’à part les boomers, personne ne veut la suivre dans ses projets de guerre démoniaques.
C’est une des raisons de la haine intense qu’éprouve la clique au pouvoir à Paris pour la Russie : elle sait que des millions de gens en France souhaitent la victoire de la Russie, et même, si c’était possible, l’invasion de la France par l’armée russe pour la nettoyer du haut en bas. C’est pour ça que ces gens deviennent hystériques à propos des « complotistes » et des « collabos », tout en parlant de « 1938 ». Ils se savent en minorité, seulement maintenus au pouvoir par les États-Unis et l’OTAN, leur bras armé.
Qui ne voudrait pas que l’armée russe atteigne Paris pour tout purger par le fer et le feu ? Ce ne serait pas les volontaires qui manqueraient pour former des escadrons de la mort.
Si ce n’est par voie de terre, cette libération peut partiellement intervenir par la voie des airs avec les missiles hypersoniques de la grande Russie.
Ce n’est pas dans les plans de la Russie à ce stade, mais une guerre produit des revirements imprévisibles. Le Tsar ne prévoyait pas non plus en 1811 d’être à Paris en 1814.
Mais c’est surtout nécessaire à ce stade.
Je pense qu’il faut un comité de libération implanté à Moscou, disposant d’une radio en français, qui travaille dans le sens de la purification du territoire français de tous les traîtres, ennemis du peuple et autres éléments antisociaux irréformables, pas même éligibles pour le camp de travail.
Soutenir l’armée russe, c’est soutenir la justice historique.
Démocratie Participative
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lounesdarbois · 5 months
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"Ordure multipliée par merde" Céline.
L'affaire Crépol accumule tous les éléments de scénario rêvés par le pouvoir profond en France .
Des Français "font la fête" dans une salle polyvalente réservée pour l'occasion. En 2023 en pleine invasion on ne fait pas la fête. On ne vit pas sous occupation comme on vivait libre il y a 35 ans. "Faire la fête" c'est prendre le risque de voir rappliquer des intrus qui n'ont rien à perdre et tout à gagner. Les pires horreurs adviennent toujours parce que des cons font la fête, qu'ils ont avec eux des meufs et contre eux des prédateurs. Lire une page de faits divers de n'importe quel journal depuis les années 80.
Des intrus sont arrivés. Qui les a appelé ? Des meufs de la fête ? Si oui elles doivent en porter la responsabilité devant les parents des victimes et payer pour les conséquences ultérieures, elles en tout premier lieu, et les meurtriers en second. Celles qui ont de près ou de loin participé à légitimer les barbares se sont mises elles-même hors de la Civilisation et ne peuvent plus recevoir ni bienveillance ni protection.
Rieu et Bassem prennent des positions. Chacun a ses raisons mais chacun se garde bien de parler des intermédiaires qui se trouvent derrière. Rieu a Gilles-William et Bassem a David. Le jour où chacun congédiera son encombrant agent la vrai paix sur le terrain se fera entre les vrais gens de terrain. N'avez-vous pas étudié le processus libanais ? Ce sont les triangulations absurdes et les alliances contre-Nature qui ont détruit le Liban maronite et ismaëlite (pays jadis florissant), au bénéfice d'une troisième équipe. À E&R (dont la vocation profonde est d'empêcher la guerre civile) AS nous à toujours dit "surtout, n'appelez pas aux vengeances, et pour parler évitez les intermédiaires !"
Des natios organisent une contre-manif avec les pires slogans possibles. Qui a scandé ces mots le premier? Qui les ont fait reprendre ces slogans ? Pourquoi le seul terme qu'il fallait mentionner, et qui est "racaille", est-il absent des slogans?
La police manœuvre de manière curieuse sur le terrain. Rappel en actes pour ceux qui croient encore que la police protège les Blancs. Il est impossible que les services n'aient pu anticiper la venue de 80 jeunes natios sur les lieux. Voilà les méthodes du pouvoir et de ses préfets, commissaires-divisionnaires tous franc-maçons.
Les images tournent en boucle partout, avec leur effet désastreux, elles renforcent les médias, la troisième équipe, tous les prédateurs, tous les salopards. Tous les attentistes, tous les profiteurs se frottent leurs sales mains. On ne lutte pas contre la racaille en attaquant un château-fort à 1 contre 10 mais se retirant du terrain afin que le poids des racailles repose entièrement sur les bobos/FM/médias/canaille comme lors des émeutes de juin 23. La Libération du pays commence lorsque la canaille d'occupation supporte seule le poids de la racaille d'occupation sans aucune intervention des Français. Relisez Bagatelles pour un massacre.
Crépol est la contraction des termes crépu et créole, c'est là un signe qui nous rappelle la véritable menace qui pèse sur la civilisation: non pas l'ismaëlisme mais l'invasion crépue et la créolisation (métissage, abrutissement) au profit du sémitisme (ingénierie sociale de prédation sur les Blancs). Dans cette vraie lutte les femmes sont le vrai enjeu. Les hommes de bonne volonté qui connaissent l'Histoire savent ce qu'il convient de faire avec les femmes qui franchissent la ligne en période d'invasion aggravée. "Ils nous persécutent, ils nous tuent, tu leur ouvres ton cul? D'accord alors voilà ce qui va se passer..."
Il reste à attendre la prochaine "fête" d'imbéciles, les prochaines putes pour les livrer à la racaille, les prochaines racailles pour rafler les putes et poignarder les imbéciles, les prochains David et Gilles-William pour en tirer la sève dans les médias, tout le bordel de merde habituel puisque tout le monde aime cela et ne comprend jamais la leçon. En vrai tout le monde s'en fout et personne n'aime son frère. "May God help us all".
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lours-postal · 5 days
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fashionbooksmilano · 3 months
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La Couture Epinglée
Voyages aux pays de la Mode
Hyppolyte Romain
Ed.Plume - Callman Levy, Paris 1990, 126 pages, 21x28cm, broché, illustrations en noir & couleurs, ISBN 978 2702 119 280
euro 30,00
email if you want to buy [email protected]
Nato nel 1947 a Parigi, nel quartiere di Montmartre , Romain lavora fin da giovane nella salumeria di quartiere, contemporaneamente pratica il karate e inizia a disegnare per vendere i suoi disegni per strada. Notato dal direttore di Vanity Fair, gli vengono offerte quindici pagine sulla moda a Milano. Dal 1980 Hippolyte Romain  collabora a Libération, Rock and Folk, L’Express. Più che testimoniare la moda, ama metterne in satira il mondo, le sfilate, le addette. Ha pubblicato i libri Simple mais couture, Les dessous de la mode e La Couture épinglé, voyages au pays de la mode.
Hippolyte Romain, né le 28 août 1947 à Paris, est un illustrateur, peintre et écrivain français. Il travaille d'abord dans les milieux de la mode et de la couture, se spécialisé dans la connaissance du xviiie siècle, et sa vie et son travail se partagent entre la France et la Chine. Né dans le quartier de Montmartre, il travaille très jeune dans la charcuterie, comme représentant en salaisons, en même temps qu'il pratique le karaté et commence à dessiner pour vendre ses dessins dans les rues. Remarqué par la rédactrice en chef du magazine Vanity Fair, il se voit offrir quinze pages sur la mode à Milan. Il dessine dans les défilés et se lie avec les grands couturiers. Il passe toutes ses nuits à dessiner au Palace dès sa création en 1980. Il illustre divers ouvrages, et en écrit et illustre lui-même plusieurs sur des sujets comme la mode, les voyages ou l'art de vivre au xviiie siècle. 
23/01/24
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Des policiers et un membre de la résistance surveillent les quais de la Seine, près de la préfecture lors de la libération de Paris – Août 1944
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lameravigliadoro · 10 months
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I'm a English native and I'm learning French I can have a short conversation in French but I'm really slow and takes time to understand some words. I used to be in French classes in highschool (I'm going to be a senior in highschool when it starts up) what would you recommend for me to use to help learn more? I'm currently using droplets and Duolingo for studying (Droplets for vocabulary and Duolingo for grammar, reading things like that) what would you recommend for me to use thats free or doesn't cost that much? It would help a lot thank you
Hi!
Duolingo and Droplets are good resources for starters.
there are several things you can do if you want to go further.
Check out RFI (Radio France International) : You'll find free listening and reading resources abt French speaking news. I highly recommend you listen and then read the podcast episodes of LES MOTS D'ACTUALITÉ (words that are the news - they will explain the origin and meanings of 1 word that is relevant these days in France). but be curious and check out the rest, they have lots of good stuff.
Read news articles for free on official news website France Info, RTBF (Belgium). you'll find some free articles on Le Monde, Libération, Le Parisien, etc.
find lessons and exercises on Francaisfacile.com to get a better understanding of grammar, conjugations, tenses, etc.
Read 19th Guy de Maupassanant's (King of French fantastique genre) short stories on Wikisource. Highly recommend "La Main" ("The Hand", kinda horror, but really famous)
-> when you're more confident abt reading novels in French, just search for any 19th writer + Wikisource and you should be able to find their works in full for free. My favs are Zola, Balzac, Victor Hugo (Les Misérables' writer !), Flaubert, Dumas (Les Trois Mousquetaires' writer !), George Sand, Stendhal (esp La Chartreuse de Parme) etc.
if you have doubts about how to say something like a native, ask someone on HiNative you'll always have some French speaking ppl to help you.
- Familiarise yourself with spoken French with youtube/podcasts/etc (anything that's material for listening skills). If you're on youtube you can check channels like
Vogue France and their street style, with subtitles and lots of fashion and slang vocab! I used it in my French lesson and it worked quite well.
Yes Vous Aime was a comedy skits channel, with French subtitles. They did parodies, you can check it out!
Paul Taylor is a British stand up comedian. He's doing skits and specials in both French and English, and he's honestly perfect at grasping and vulgarising French oddities either in the language or the french society.
Clément Viktorovitch and his weekly analysis on French politics/news on Franceinfo. As you may already know, we're very passionate about our political life in France. so you can get used to the vocab have a gist of it with these chroniques radio.
Karambolage - it's a bilingual channel (German & French - l'amitié franco-allemande is a big thing! 🙂) that explains social, cultural differences between the two countries. You can find illustrated explanations of Le Verlan, expressions like "Monter à Paris" etc etc. It worked so well with my students! they found it easier to understand.
Damon Dominique is a language American youtuber and he's good at explaining and vulgarising French grammar and slang. Sometimes you gotta look at a foreign point of view :)
Konbini (especially their Club Lecture, Vidéo Club where famous authors/film directors show their favourite works, their inspirations and talk abt it, you probably won't find any subtitles tho)
and ofc you have dozen of french youtubers like Squeezie, Seb, Lena Situation, Aurélien Prévaux, Zen (talkshow) etc.
And when you're more confident, you can pick a day when you'll try to think only in French, another day when you'll translate what's written on your food package/friends convos/emails etc etc
put your phone settings in french, follow vocab accounts on Instagram, follow French ppl on social media so that you get accustomed to read in French on a daily basis.
and find a book to read in french, or fanfics if you're into it, anything that'll make you read in French :)
I hope that answers your questions! and sorry if it looks like too much, I'm getting back at a language I used to learn in high school too, it's not easy and it takes time. so take your time with French, I just put everything I thought might help in the first months/first year!
good luck! bonne chance !
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sergephilippelecourt · 10 months
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Cérémonie d'hommage à l'école Jean Moulin
© Serge Philippe Lecourt Le 28 juin 2023 s’est déroulée une cérémonie en hommage à Jean Moulin, grande figure de la Résistance. 250 personnes environ étaient réunies dans la cour de l’école Jean Moulin à Vire Normandie. © Serge Philippe Lecourt A l’occasion du 80e anniversaire de son arrestation par la Gestapo et de sa disparition le 8 juillet 1943, les élèves avaient préparé une exposition…
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barbiemonamie · 5 months
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Elevons nos voix contre les violences faites aux femmes !
Magnifique exposition d'hier soir !
1. La femme en fleurs; "La noirceur s'en va et les couleurs reviennent".
2. La libération; "Vivre pleinement l'instant présent".
3. La danseuse; "L'expression de ma joie".
4. Un nouvel horizon; "Vers une nouvelle vie qui commence".
5. Etre une femme; "Ne vous fiez pas aux apparences".
6. Retour à la source; "La petite fille".
1 femme sur 2 a déjà subi une violence sexuelle en France. 80% des femmes en situation de handicap ont été victimes de violences. 85% des personnes transgenres agressées au cours de leur vie. 213 000 femmes victimes de violences physiques ou sexuelles de la part de leur conjoint ou ex-conjoint chaque année. Dans 91% des cas de violences sexuelles, les femmes connaissent les agresseurs. 1 femme sur 6 fait son entrée dans la sexualité par un rapport non consenti et désiré. 94 000 femmes sont victimes de viol ou tentatives de viol chaque année. 75% des agressions islamophobes visent des femmes. Et 1 femme sur 9 porte plainte. 
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thebusylilbee · 5 months
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« Parce que bat aujourd’hui son plein en France une propagande qui manipule le signifiant féminisme, comme elle manipule le signifiant d’antisémitisme, il nous appartient, en tant que féministes, non seulement de la dénoncer pour ce qu’elle est, mais d’affirmer un positionnement radicalement solidaire de la lutte contre le colonialisme et l’impérialisme. » Une tribune signée, entre autres, par les intellectuelles et militantes féministes Sam Bourcier, Elsa Dorlin, Sara Farris, Silvia Federici, Émilie Hache et Isabelle Stengers.
« Cet appel n’est pas politique. Cet appel est purement féministe et humaniste ». Ainsi se conclut la récente tribune publiée par Libération appelant à la « reconnaissance d’un féminicide de masse le 7 octobre ». 
Pas politique mais purement féministe. Pas politique, mais purement signé par, non pas un, mais deux ex-ambassadeurs d’Israël (dont l’un fut également conseiller de presse...) . Les souliers sont gros, les ficelles, exhibées, l’ironie, évidente : cette tribune n’est pas féministe, mais politique. Parce qu’elle ne relève que d’une pure opération de propagande, faisant sienne la stratégie longuement éprouvée du pinkwashing israélien, son contenu ne saurait même être l’objet d’une discussion aussi polémique soit-elle. La colonisation, le génocide en cours et la propagande qui les accompagne ne se discutent pas, mais se combattent radicalement. 
La possibilité que le terme de « féminisme » soit utilisé dans une si abjecte opération résulte également de notre faiblesse à la contrer, voire à la prévenir : il s’agit donc, urgemment, de refermer la porte ouverte à ce que de telles idées deviennent formulables et audibles. L’obscène propagande de guerre qui soutient cette tribune fait sciemment l’impasse de toute contextualisation de la situation pour la réifier et in fine réitérer la vision d’un monde musulman barbare contre une population israélienne féminisée et ainsi lavée et blanchie de tout soupçon. La condamnation sans appel des combattants du Hamas s’arrime en effet à la construction d’un Orient monstrueux, nécessairement coupable des pires atrocités contre les femmes, permettant ainsi une fois de plus d’annuler toute perspective historique quant à la violence intrinsèque à la colonisation.
C’est précisément parce que cette propagande bat aujourd’hui son plein en France, y compris en manipulant le signifiant féminisme (comme elle manipule le signifiant d’antisémitisme), qu’il nous appartient, en tant que féministes, non seulement de la dénoncer pour ce qu’elle est, mais d’affirmer un positionnement radicalement solidaire de la lutte contre le colonialisme et l’impérialisme.
Comme dans tout conflit armé, la mort de civil.e.s et d'enfants en particulier nous indigne. Mais nous n'oublions pas, pour notre part, les citoyen.ne.s israélien.ne.s qui servent volontairement dans Tsahal et qui, hommes ET femmes, entravent par la force la population Palestinienne aux checkpoints, larguent leurs bombes au phosphore sur la population gazaouie, brutalisent et humilient les palestinien.ne.s, y compris des grands-mères et des grands-pères, dans les territoires occupés, tirent à bout portant sur des manifestant.e.s, arrêtent et emprisonnent illégalement des adolescent.e.s. 
Nous n’oublions pas non plus le traitement spécifique réservé aux prisonnières politiques palestiniennes sur lesquelles le viol a été pratiqué par les services de renseignement israélien, parmi d’autres techniques, pour obtenir des informations. Nous n’oublierons ni Ahed Tamimi, jeune fille arrêtée par l’État Israélien et emprisonnée en dehors de tout cadre légal, ni Mariam Abu Daqqa, militante palestinienne de 72 ans, violemment arrêtée en pleine nuit par 4 policiers français avant d’être brutalement expulsée.
Si tant est qu’une perspective « féministe » soit activable face à la situation en Palestine occupée, celle-ci ne peut s’enraciner que dans un positionnement embarqué, situé : c’est parce que, en tant que mères, sœurs, filles de, compagnes, amies, militantes, nous savons ce qu’il en coûte de violences sur nos corps et nos esprits de vivre dans un monde mutilé par le capitalisme et l’impérialisme, que nous devons nous exprimer sur la situation en Palestine. C’est parce que, toutes autant que nous sommes, nous luttons avec acharnement au quotidien pour en finir avec un monde de violences, que nous ne devons pas céder à la lâcheté des mots d’ordres moraux, lesquels ont la paix à la bouche, mais jamais la justice. Et c’est parce que, enfin, nous tenons intensément à la vie, que notre solidarité va à tout le peuple palestinien : ses femmes et ses enfants, évidemment, mais aussi ses hommes, ceux qui portent les enfants extraits des décombres, ceux qui revendiquent la terre pour nourrir leurs familles, ceux qui avec dignité continuent sans répit de lutter pour la survie et la liberté des leurs. C’est dans leurs luttes, leurs désespoirs et leurs déterminations, mais surtout leur refus de toute résignation, que nous, militantes féministes, souhaitons nous reconnaître.
À cette fin, nous faisons nôtres les revendications du peuple palestinien pour un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza, l’arrêt des ventes d’armes à l’État colonial d’Israël, la libération de tou·te·s les prisonnier·e·s palestinien·ne·s. Nous invitons également tou·te·s les organisations féministes à relayer la campagne Boycott Désinvestissement Sanctions, pour un boycott des produits israéliens, et rejoindre massivement les mobilisations en cours pour faire cesser le massacre en Palestine. ●●
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aurevoirmonty · 3 months
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En 1976, Patrick Henry enlève et assassine un enfant de 7 ans, Philippe Bertrand. L'année suivante, il est jugé devant la cour d'assises et son avocat parvient à lui éviter la peine capitale. Ce même avocat considérera toute sa vie que sauver les miches de ce tueur de gosse a été l'une de grandes affaires de sa vie et une grande partie de l’œuvre médiatique et politique ayant conduit à sa glorification repose sur le fait qu'il a réussi à éviter la guillotine à un tueur d'enfant.
L'avocat, vous l'avez compris, s'appelait Robert Badinter. Et Patrick Henry n'est pas la seule bête à qui il a sauvé la peau.
Patrick Henry, au lieu d'être rapetissé pour son crime sordide, a pu s'engraisser dans une prison d'où il a été libéré avant l'heure contre la promesse formulée en 1977 de son emprisonnement à perpétuité. Ce tueur d'enfant, peu de temps après sa libération, a été arrêté tandis qu'il tentait de faire passer de la drogue en France.
Autres titres de «gloire» de la divinité républicaine Badinter :
Il évite la peine capitale à Mohamed Yahiaoui coupable d'avoir assassiné un couple de boulangers en 1975 ;
Il évite la peine capitale à Michel Rousseau coupable d'avoir assassiné lui aussi un enfant de 7 ans en 1979 ;
Il évite la peine capitale à Norbert Garceau, meurtrier récidiviste coupable d'avoir assassiné une jeune femme en 1978, coupable également d'avoir assassiné une adolescente de 15 ans en 1953.
Liste non-exhaustive. L'obsession de Badinter était de sauver les miches des pires assassins qu'on puisse imaginer, des assassins récidivistes et des tueurs d'enfants.
Ne comptez pas sur moi pour pleurer devant sa dépouille. Comme le disait une célèbre publicité pour des rillettes, lui et moi n'avions pas les mêmes valeurs. Dans l'arc des miennes, il n'y a aucune place pour cette douteuse préoccupation qui consiste à sauver des assassins d'enfants.
Quand Badinter meurt tranquillement à 95 ans, c'est à Philippe Bertrand que je réserve ma peine.
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Autre chose que la diarrhée macronarde habituelle.
Je n'ai pas plus d'affinité avec lui aupurd'hui qu'avec son grand-père Charles par le passé, mais cette lettre "vise juste, elle vient au bon moment. Pierre de Gaulle par cet Appel s’est positionné là où il le fallait: au dessus." (Bruno Bertez)
Mes Chers Compatriotes,
En cette fin d’année 2023 et à la veille des fêtes de Noël, qui symbolisent la paix et le partage, je voudrais vous adresser ces quelques mots de confiance et d’espoir.
Cette année fut éprouvante, une année marquée par des guerres, ainsi qu’une profonde crise économique, causée par des sanctions qui n’ont fait qu’appauvrir l’Europe et la France. Une année aussi, qui a vu le retour du terrorisme, aggravant encore le sentiment d’insécurité et la fracture sociale. Notre sérénité collective, nos engagements de solidarité entre les peuples sont ébranlés. Notre Gouvernement et en premier lieu, son Président, ont réussi à nous fâcher avec la plupart des pays du monde, détruisant ainsi des dizaines d’années de diplomatie et abaissant considérablement notre capacité d’arbitrage sur la scène internationale. Notre pays, notre belle France, est confronté à une perte d’identité qui a pu nous laisser, à bien des égards, désabusés.
Nous avons vécu des jours où notre confiance en nos institutions a été mise à rude épreuve, où le contrat social qui nous unit semble se défaire sous le poids des épreuves. Les valeurs républicaines et fondamentales de la famille et de la foi sont bafouées. Il serait aisé de céder au désespoir, de s’abandonner à la morosité, d’abdiquer face à la démagogie. Mais aujourd’hui, je souhaite nous rappeler ce que nous sommes, ce que nous avons été et ce que nous pouvons devenir.
La France, notre pays, n’est pas seulement un territoire délimité par des frontières géographiques, mais une somme d’idées, de principes et d’histoire. Notre nation est bâtie sur des siècles d’aventure humaine, d’invasions, de combats, de victoires et d’une culture rayonnante qui a su inspirer le monde entier. Oui, nous sommes actuellement dans la tourmente, mais n’oublions jamais que dans les pages de notre histoire, chaque crise a été suivie d’une renaissance.
Souvenons-nous des paroles immenses du Général de Gaulle à la Libération de Paris, qui ont bercé La France d’un chant de fierté et de gloire : « Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé, mais Paris libéré! Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l’appui et le concours de la France tout entière : C’est-à-dire de la France qui se bat.»
La France est un grand pays, mais elle ne sera jamais grande sans son peuple, ni sans une jeunesse ambitieuse, avec des aspirations élevées. Elle ne sera jamais grande si les élites qui nous dirigent n’indiquent pas la voie et ne montrent pas l’exemple, avant que le peuple de France ne s’éveille et suivant son esprit de résistance, ne renverse une classe politicienne incompétente et malhonnête. Les Français ont toujours eu ce sursaut. C’est dans nos gênes, c’est dans notre caractère et dans notre histoire. Seul compte, au fil des siècles, la capacité d’un pays à rester grand. La France reste grande assurément, grâce à son peuple, grâce aux sacrifices de nos ancêtres, grâce à vous tous.
Les frustrations que nous ressentons aujourd’hui sont le symptôme d’un besoin de changement, d’une volonté profonde de réaffirmer nos idéaux démocratiques et républicains et de promouvoir un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Un gouvernement où le bon sens n’est pas seulement un idéal, mais la pratique quotidienne. Un gouvernement qui respecte l’esprit de la République et la voix des Français, au sein de débats parlementaires véritables, de référendums pour les questions essentielles et non pas par l’abus de décrets-lois, aveu de mépris et d’impuissance. Un gouvernement qui respecte la Nation, plutôt que de se soumettre à une technocratie étrangère, en refusant notamment de voter des directives européennes iniques et contraires aux intérêts de notre pays. Un gouvernement enfin, qui respecte la famille, les croyances de chacun, la conscience collective et le sacré. Un Président et son gouvernement qui aiment la France et les Français.
Nous avons parmi nous tant de talents, d’artistes, d’entrepreneurs, de défenseurs de nos libertés et de notre santé, de scientifiques, de penseurs et d’artisans qui œuvrent chaque jour à faire de la France cette terre d’innovation et de création admirée de tous. En eux repose l’espoir, l’esprit indomptable du peuple français qui jamais ne s’est avoué vaincu.
Alors à la veille de Noël, laissons de côté nos inquiétudes pour un moment de répit et de fraternité. C’est ensemble, dans l’unité, la solidarité et la volonté, qu’il nous faudra refaire notre présent et bâtir l’avenir pour la réussite de nos enfants. Un avenir où la liberté, l’égalité, et la fraternité ne sont pas seulement des mots gravés sur nos édifices, mais le reflet de notre ardeur et de notre courage.
Que les fêtes de fin d’année soient pour vous et vos familles, un havre de paix et un commencement nouveau. Que l’espoir renaisse dans nos cœurs et que nous retrouvions, ensemble, la force de surmonter les défis qui sont devant nous. Chaque réalisation, si petite soit-elle, est une bénédiction dans les incertitudes de notre époque. Croyez-en vous-même, croyez en notre belle France, croyez en Dieu, quelle que soient vos religions ou vos croyances.
Avec foi en notre pays et confiance en chacun de vous, je nous souhaite à tous un joyeux Noël, et une France toujours plus fière, plus unie, et plus forte.
Vive la République, et vive la France!
Pierre de Gaulle
10 décembre 2023
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