contre-ombre comme une armure ; le ciel s’est arrêté de battre ; et la ville grise a chassé la ville blanche ; la promenade n’aura cédé aucune couleur
© Pierre Cressant
(dimanche 3 octobre 2022)
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Summa - architectures et couleurs par Matthias Heiderich
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/summa-architectures-et-couleurs-par-matthias-heiderich/
Summa - architectures et couleurs par Matthias Heiderich
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Je reviens ENCORE une fois à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ). On est en 2017 et comme ce blog est né en 2017, j’arriverai donc au bout de cette présentation.
Marseille, au printemps.
- le port de la Joliette, vue des bien-nommées ‘Terrasses du Port”
- Sous la Cathédrale de la Major, une fontaine aux dauphins
- les deux suivantes : deux atriums des Docks
- la Gare Saint-Charles
- à Noailles, dans la Rue Longue des Capucins, le magasin “Saladin”
- Rue Bussy-l’Indien
- Rue Pastoret
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Global Style Battles
Modes et Sud Cultures Urbaines
Daniele Tamagni
Préface de Rosario Dawson et Abrima Erwiah
Dominique Carré, Paris 2015, 292 pages, 17x24cm, ISBN 9782373680096
euro 28,00
Ce livre est un mélange de situations spontanées. Son maître mot - identité - est illustré dans des contextes géographiques très différents, où est née une métaculture populaire, profondément enracinée, qui est à la fois un pied de nez à la culture coloniale ou occidentale et la source d'une grande créativité. Le fil rouge est tissé des nombreuses interviews réalisées au cours de ses différents voyages par Daniele Tamagni, interviews qui rendent compte de façon personnelle des modes de vie, des styles et des rêves d'une autre identité, de la part des sujets photographiés. En choisissant des pays ou des villes loin du contexte habituel de la mode, le livre donne un aperçu du phénomène de globalisation des styles, mais aussi de la résistance et de la préservation des traditions. Le livre détaille le quotidien de différentes populations dont le rapport à la mode est signe d'un activisme créatif et joyeux créatif. Les rockers du Botswana, les hipsters de Johannesburg, les dandys du Congo, les lutteuses de Bolivie, la jeunesse cubaine bling-bling, tous sont photographiés et se racontent dans la consciences de leur univers marginal dont ils veulent se démarquer. Etre à la mode, se déguiser, est un outil plantaire d'identité. Le livre vise à offrir un large éventail de pratiques urbaines, sans exclusion d'aucun aspect en termes de race, de sexe, d'âge ou de zones géographiques. Les gens sont dépeints dans différentes situations et contextes mais photographiés comme ils apparaissent naturellement dans un mélange des portraits posés, des portraits en mouvement et de détails. Les couleurs vives sont une des clés communes. Chaque chapitre est introduit par un écrivain (journaliste, chercheur) qui a été au contact de chacune des communautés. Tous racontent la multiplicité des relations et des contradictions à l'oeuvre : l'élégance vs kitsch, luxe / consumérisme vs pauvreté, tradition vs modernité, transformation vs uniformité, l'individuel / particularité vs généralité, originalité vs stéréotype.
Daniele Tamagni (1975-2017), de nationalité italienne, débute sa carrière comme historien de l'art avant de devenir photographe free-lance. Il se fait connaître en remportant en 2007 le Canon Young Photographer Award avec un reportage sur les dandys congolais. Il publie en 2009 Gentlemen of Bacongo avec une préface de Paul Smith, qui s'est inspiré de ses photographies pour sa collection printemps-été 2010. Il remporte en 2011 le World Press Photo in Arts & Entertainment avec son reportage sur les catcheuses de La Paz, en Bolivie.
05/04/24
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