Tumgik
#Jésus est la vie
ladivinegrace · 9 days
Text
0 notes
bebliafrench · 5 months
Photo
Tumblr media
Lis la bible: beblia.com 🙏
Dis amen si tu es d'accord
Job 42:5-6
beblia.com
3 notes · View notes
nisamisig · 2 years
Text
forme-t-on un disciple de Jésus-Christ alors que la conversion du cœur n'a peut-être pas encore eu lieu ?».
</p><br>https://nisamisig.tumblr.com/post/692276227146498048/collerette-pour-chat-mode-demploi-thermomix, https://dowetopuvebo.tumblr.com/post/692275853988708352/mode-demploi-montre-superdry, https://nisamisig.tumblr.com/post/692276227146498048/collerette-pour-chat-mode-demploi-thermomix, https://nisamisig.tumblr.com/post/692276073561538561/ifit-act-mode-demploi, https://nisamisig.tumblr.com/post/692276227146498048/collerette-pour-chat-mode-demploi-thermomix.
#http://vk.cc/c7jKeU#nofollow#<p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><center>COMMENT ETRE UN BON DISCIPLE DE JESUS PDF >> <strong><u><a href= rel= targ#<br> comment devenir disciple de jésus#<br> la vie du disciple pdf#<br> les caracteristiques d'un bon disciple#<br> leadership et discipolat pdfqu'est ce qu'un disciple selon la bible pdf#<br> qu'est ce qu'un disciple de jesus#<br> les caractéristiques d'un vrai disciple pdf#<br>#<br> </p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p>1. Le disciple de Jésus-Christ est prêt à être rejeté · 2. Un vrai disciple aime son prochain · 3. Le#COMMENT PRIER POUR LA FORMATION D'UN DISCIPLE DE JESUS-CHRIST 6- Seigneur#accorde-lui d'être enseigné sur la nécessité d'être un disciple et qu'il#Les qualités d'un bon disciple. Publié dans Les conditions pour être disciple. L'attitude du disciple vis-à-vis du faiseur de disciple. Com#entourage et d'y fairedes disciples de Jésus-Christ. ÉCOUTER…ET ENTENDRE DE DIEU être une bonne méthode pour entamer la discussion.#L'Eglise est le peuple que Dieu se donne par Jésus-Christ pour célébrer la gloire de sa grâce#pour proclamer la bonne nouvelle du salut et pour être son témoin#Les disciples de Jésus – Etudes. Cette série d'études peut être aussi bien utilisé dans un cadre d'étude Comment un disciple doit-il répond#C'est ainsi que le disciple de Christ devrait être au quotidien. Autrement dit#si une parole n'est pas bonne#pouvant servir à édifier et communiquer#Comment donnons-nous au Christ#jour après jour et concrètement#la priorité sur Etre disciple signifie accepter le Christ comme Sauveur et Seigneur.La question qui s'impose est alors : «Comment
0 notes
dures-annees · 5 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Fête de l’Immaculée Conception (8 décembre).
Dans la région, la tradition veut que la statue de la Vierge Marie soit portée en procession à travers le village et dans les environs par des hommes eux-mêmes vierges. Les prêtres sont intransigeants sur la virginité des porteurs. Ces derniers voient l’étroitesse et le manque apparent d’élasticité de leur prépuce contrôlés par des experts autoproclamés. Une fois adoubés, ils attestent publiquement, lors de deux messes successives, devant Dieu et face à l’assistance, qu’ils sont parfaitement vierges et qu’ils n’ont jamais commis l’acte d’intromission. Pour précise que soit la déclaration, elle permet à l’institution ecclésiastique de détourner le regard des actes solitaires. Ces jeunes gens ou ces hommes célibataires sont bénis deux dimanches de suite et font la fierté de leur famille. Si la statue n’est pas trop lourde, un seul porteur suffit. La procession est suivie d’une messe solennelle durant laquelle le ou les porteurs restent à genoux au pied de l’autel, jusqu’à l’Envoi :
Mon Dieu, donnez-nous des prêtres Mon Dieu, donnez-nous de saints prêtres Mon Dieu, donnez-nous beaucoup de saints prêtres Cœur Sacré de Jésus : j’ai confiance en Vous, je suis sûr de Vous, je m’abandonne à Vous Reine de l’univers : donnez-nous la paix Reine des familles : priez pour nous Ô Marie conçue sans péché : priez pour nous qui avons recours à Vous La vie, la mort, l’éternité Tout est Vôtre, Vierge Immaculée Faites de moi et de toute l’humanité ce qu’il Vous plait Immaculée, Immaculée, Immaculée.
102 notes · View notes
oviri7 · 3 months
Text
Tumblr media
« Que jamais Jésus n'ait songé à se faire passer pour une incarnation de Dieu lui-même, c'est ce dont on ne saurait douter. Une telle idée était profondément étrangère à l'esprit juif; il n'y en a nulle trace dans les Évangiles synoptiques; on ne la trouve indiquée que dans les parties du quatrième Évangile qui peuvent le moins être acceptées comme un écho de la pensée de Jésus. Parfois Jésus semble prendre des précautions pour repousser une telle doctrine. L'accusation de se faire Dieu ou l'égal de Dieu est présentée, même dans le quatrième Évangile, comme une calomnie des Juifs. Dans ce dernier Évangile, Jésus se déclare moindre que son père. Ailleurs, il avoue que le Père ne lui a pas tout révélé. Il se croit plus qu’un homme ordinaire, mais séparé de Dieu par une distance infinie. Il est fils de Dieu; mais tous les hommes le sont ou peuvent le devenir à des degrés divers. »
Ernest Renan - Vie de Jésus
7 notes · View notes
losttranslator · 11 months
Text
Le bail du Graal dans Kaamelott me FASCINE you don't even know. C'est une forme de paganisme tellement méga poussée et pourtant les persos se considèrent christianisés. C'est trop intéressant pcq en plus, le syncrétisme bizarre présenté dans la série n'est même pas historique (mais alors PAS DU TOUT).
J'explique : le concept du Graal dans Kaamelott, c'est que cet objet est supposé être "la lumière pour tous les peuples," qui va apporter la vie éternelle et le salut aux hommes right? Càd les attributs de Jésus dans les évangiles; attributs qui lui sont exclusivement propres.
Ptit récap aux oignons pour ceux qui connaissent pas :
"En [Jésus] nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce." (Ephésiens 1:7)
"Jésus leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie." (Jean 8:12)
"Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes." (Jean 1:4)
"Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous." (1 Timothée 2:5-6)
"Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier." (1 Jean 2:2)
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle." (Jean 3:16)
"Mes brebis entendent ma voix; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main." (Jean 10:27-28)
On voit bien que 1) tout ça, c'est exactement comment les persos parlent du Graal, donc comme si c'était Jésus lui-même, et 2) y a rien dans le texte biblique qui permette que ces caractéristiques de Jésus soient conférées à un objet. Mais c'est intéressant pcq le sacrifice de Jésus est souvent, par métonymie, appelé son sang (versé pour nous). D'où la déformation possible - si on venait à prendre 'sang' littéralement, d'un coup on aurait besoin d'être en présence physique du sang de Jésus pour être sauvé, plutôt que d'avoir foi en son sacrifice. Et du coup, puisque le sang ne peut pas exister par lui-même, il faudrait chercher l'object qui l'a contenu. Et du coup, l'objet devient l'objet de la quête.
(Sauf que cette coupe qui contient le sang de Jésus ? Spirituellement, c'est n'importe quelle coupe utilisée pour boire le vin de la sainte-cène, càd le pain et le vin partagés entre chrétiens en souvenir du sacrifice. Luc 22:19-20. Le rêve d'Arthur, où il s'imagine que Perceval paume le Graal dans les coupes de la taverne ? Bah c'est plus proche de la Bible finalement. Mais comme le Graal, c'est ramener sur le plan matériel des réalités qui le transcendent, ça devient le recipient de la première sainte-cène littéralement utilisé pour récolter le sang de Jésus.)
Et du coup cette quête c'est la chose la moins chrétienne qui soit pcq : - tu mets la grace universelle et sans limite du Dieu créateur dans un objet symbolique (définition de l'idolâtrie) - tu remplaces un salut surnaturel et transcendant qui réconcilie les humains avec le divin par un salut matériel basé sur l'adoration d'une chose terrestre (la foi spirituelle est replacée par la religion/les rites) - et tu prends un message clair et sans ambiguïté ('Jésus est mort et ressuscité pour le péché de ce monde, croyez et soyez sauvés') par une quête abstraite, apparemment impossible, 5 siècles après Jésus (donc personne n'a été sauvé entre temps, alors que sur la croix, Jésus a dit "tout est accompli").
Le Graal est flou, personne sait où il est, ce que c'est, s'il existe, même pas les dieux - ce qui est à l'opposé de Jésus, incarnation de la Parole (càd de la vérité/du sens/de la clarté). Rien dans le concept même du Graal ne colle avec la Bible. (Surtout pas l'interprétation d'Arthur, que Jésus est mort pour que tous soient coupables - pcq pour le coup oui, si la seule chose que sa mort donne à l'humanité c'est une Quête impossible pour le salut, Il a juste condamné tout le monde; sauf que c'est absolument pas ce qui est dit dans la Bible.)
D'où ça vient, alors ? Comment est-ce que cette croyance est apparue dans le monde de Kaamelott ?
Dans la vraie vie, l'apparition du Graal dans les légendes arthuriennes vient de fanfics de la mythologie celte mises à la sauce catho, mais ça s'est fait... au XIIème siècle !! (Plus exactement, le Graal lui-même est introduit au XIIème siècle, recyclé du concept irlandais du chaudron d'immortalité, et il n'est appelé une relique chrétienne qu'au XIIIème siècle.) Ce mélange est un énorme double retcon, en gros. Le Graal n'existait pas chez les celtes du 5ème siècle, ni en temps qu'objet de culte païen, ni en temps qu'objet païen adapté au christianisme.
Pareil avec le Saint-Suaire - la première fois qu'un texte quelconque en parle, c'est au XIVème siècle. (Fun fact : les clous, pas contre, y a des refs qui datent du 4ème siècle.)
Donc en gros, dans Kaamelott, les persos ont des croyances qui sont impossibles pour leur époque. Les anachronismes sont pas méga surprenants, vu par exemple la jeunesse d'Arthur dans une Rome des années 460 où le christianisme est à peu près aussi mainstream que le pastafarisme. Historiquement, Rome était officiellement 100% chrétienne depuis environ 140 ans. C'était plus Spartacus et Astérix.
Mais encore une fois, outre les anachronismes... le Graal vient d'où, dans Kaamelott ? Puisque dans la vraie vie, ce sont des chrétiens qui ont pompés des vieilles légendes celtes pour le créer, pas des celtes qui ont déformés leurs propres mythes quand leurs propres cultes existaient encore.
Pour moi, tout ce bazar justifie une interprétation clairement pas voulu par Astier - que 'in-universe,' on peut voir la Quête du Graal dans Kaamelott comme une invention par les dieux celtes non-sanctionné par le "Dieu unique," dans un pari désespéré pour que leurs cultes disparaissaient pas.
J'irais même jusqu'à dire qu'on peut défendre l'idée que Dieu est carrément contre et qu'Arthur a en fait deux destinées séparées : une avec Excalibur et le Graal, d'après les dieux celtes, suivant les lois et la morale celte, et une selon Dieu, avec la fidélité à Guenièvre notamment.
Pour étayer ��a, y a le fait que la Dame du Lac - qui est très ouvertement celte, envoyée et porte-parole des dieux celtes - est une force moteur de la Quête du Graal sans jamais être capable d'expliquer pourquoi Dieu délègue. Y aussi que les ordonnances des dieux celtes, directement liées au succès de la quête, sont souvent à l'opposé exacte de la loi biblique (ex : Arthur commet une double faute en épousant Mevanwi et en l'épousant sans tuer Karadoc, alors que dans l'histoire de David, le plus grand des deux péchés n'est pas l'adultère mais le meurtre d'Uri, le mari de Bathshéba.)
Il y a bcp, bcp d'autres trucs, mais ce post est bcp trop long donc je détaillerai ça une autre fois.
23 notes · View notes
fidjiefidjie · 1 year
Text
Tumblr media
"Jésus Christ est ressuscité ! L'amour a vaincu la haine, la vie a vaincu la mort, la lumière a chassé les ténèbres !" 🙏 🕊
Pape François
Gif de James Kerr /Scorpion Dagger
25 notes · View notes
raisongardee · 5 months
Text
Tumblr media
"Il a ici-bas un grand et salutaire purgatoire, l’homme patient qui, en butte aux outrages, s’afflige plus de la malice d’autrui que de sa propre injure ; qui prie sincèrement pour ceux qui le contristent, et leur pardonne du fond du cœur ; qui, s’il a peiné les autres, est toujours prêt à demander pardon ; qui incline à la compassion plus qu’à la colère ; qui se fait violence à lui-même, et s’efforce d’assujettir entièrement la chair à l’esprit. Il vaut mieux se purifier maintenant de ses péchés et retrancher ses vices, que d’attendre de les expier en l’autre vie."
Thomas a Kempis, L’imitation de Jésus-Christ, trad. Félicité Lamennais, 1424.
4 notes · View notes
deviance-nocturnale · 9 months
Text
5. Souvenirs d’autres vies
Je n’ai sûrement pas été prophète de Jésus ou SS. Soyons honnêtes, je préfèrerais la philosophe Hypatie, la pacifique Rosa Parks ou l’écrivaine Mary Shelley. Tête rebelle et bouillonnante. Soif de connaissance. Scanner mental.  Peut-être n’ai-je été qu’un humble bousier après tout. C’est ça le karma. Il ne faut guère imaginer un animal totem noble, aigle ou loup, simplement putois ou poule d’eau.  Une réincarnation en chat ne serait pas déplaisante. Dès que le gong a sonné les vacances estivales, je ne me précipite ni à la mer, ni dans le premier train pour l’Italie, seulement dans mon lit. Pour rêver, réinventer ma vie. Célébrité ? Gloire ? Gagnante du Loto ?  Je n’ai pas cette prétention. L’algorithme du monde en a décidé ainsi. Tâche de ne pas gâcher le reste de ta vie. Il faudra sans doute payer les erreurs dans la prochaine.  C’est donc à cause des anciennes que...ma confiance est défaillante, ma vision est anxiogène, mes obsessions incalculables. Je te remercie ex-moi ou future moi ou moi parallèle en mode Everything everywhere all at once. 
9 notes · View notes
ladivinegrace · 1 month
Text
La Glorieuse Lumière de l’Evangile
Le cœur de l’homme dans son état naturel est la salle du trône de l’iniquité, où se préparent tous les actes ignobles et toutes les mauvaises intentions, et où les ténèbres règnent et dominent. Mais lorsque le Seigneur dans sa grâce fait briller la lumière de l’Évangile dans cette pièce, cela permet à l’homme de comprendre la misère de marcher dans les ténèbres. Car il commence à voir où il va. Et le beau mystère de cette gracieuse lumière divine est qu’elle brille de plus en plus à mesure que l’homme grandit dans la connaissance de son divin Sauveur et Seigneur Jésus-Christ. À la naissance du salut, c’est comme un rayon de soleil qui pénètre le cœur de l’homme par la plus petite fenêtre, qui l’oriente vers la source de lumière et lui permet de réaliser qu’il réside dans les ténèbres et de comprendre le danger qu’elles représentent. Et le Saint-Esprit d’amour qui vivifie l'homme le dirige et lui donne le pouvoir de fuir les ténèbres et de se tourner vers la lumière. Et à mesure que l'homme mûrit dans sa marche dans la lumière, ce n'est plus une fenêtre mais une porte par laquelle brille la lumière qui s'ouvre. Et la lumière brille plus fort dans la chambre de son cœur et révèle tous les péchés cachés. Ainsi, à mesure que l’homme grandit en sainteté, il voit davantage de péchés dans la chambre de son cœur à mesure que la lumière brille plus fort; il voit davantage la beauté et les excellences de notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ, ce qui lui permet de voir chaque petit point, même dans le coin le plus caché de son cœur.
0 notes
bebliafrench · 3 months
Photo
Tumblr media
Lis la Bible: beblia.com 🙏
Dis amen si tu es d'accord
Romains 14:11-12
beblia.com
2 notes · View notes
christophe76460 · 25 days
Text
Tumblr media
👉 YESHOUA (Jesus) EST LA VRAIE PORTE.
Il est l’Agneau de Pessah qui a été immolé pour nous et l’ange de la mort est « passé outre » (Pessah) et il n’a pas touché les hébreux. .
👉 LA VRAIE FETE DE PAQUES EST SELON LE CALENDRIER JUIF.
👉 En 2023, la Pâque juive est célébrée à partir du Mercredi soir 5 Avril au Jeudi soir 13 Avril 2023 .
👉 Nous sommes dans la période de la vraie Fête de la Paque juive « Pessah ».
👉 La Fête de la Pâque dure 8 jours.
👉 En Egypte , le peuple d’Israël était esclave depuis plus de 420 ans .
La dernière nuit de leurs esclavages le sang des agneaux étaient appliqués sur les linteaux des portes des hébreux qui étaient esclaves en Égypte .
👉 Ce sang les a préservé de l’ange de la mort qui passé devant les maisons des hébreux.
👉 L’ange de la mort voyait le sang sur les linteaux des portes et il passait outre et les hébreux étaient protégés par le sang.
👉 Le lendemain était leur délivrance .
Pharaon les a laissé partir.
👉 Ce récit historique du peuple juif préfigure ce que Jésus allait accomplir pour nous lorsqu’il mourut à La Croix.
👉 Il y a 2000 ans Jesus a été crucifié et son sang a coulé pour vous libérer si vous l’acceptez comme votre Sauveur personnel .
👉 Lorsque Jésus est arrivé au Jourdain, Jean baptiste a prophétisé sur Jesus et a dit à voix haute :
👉 « Voici l’agneau de Dieu qui hôte le péché du monde, lui (Jésus) vous Baptisera (immergera) du Saint Esprit et du Feu de Dieu ».
👉 Jésus est notre Agneau de Pâques qui a été immolé sur La Croix pour nous préserver de l’ange de la mort.
Son sang a coulé pour nous purifier et nous libérer.
👉 Si vous demandez pardon pour vos péchés et acceptez Jesus comme votre Sauveur personnel , le sang de Jésus sera appliqué sur les linteaux de votre cœur pour vous pardonner, vous purifier, vous protéger et vous libérer de l’emprise de Satan (pharaon) sur votre vie.
👉 Vous pourrez sortir et être libérer de l’esprit d’Égypte pour partir vivre une nouvelle vie avec Jésus Christ.
Pharaon (Satan) sera obligé de vous libérer.
Célébrons Jesus notre « Pessah » notre protecteur et notre libérateur.
Pour huit jours, commence « Pessah » la Pâque juive.
👉 Actuellement Le peuple juif raconte en famille et en communauté le récit de la sortie d’Égypte et l’évocation des miracles qui s’y sont déroulés...
on lit la Haggada qui sont des textes anciens qui retrace l’histoire de l’Exode des Hébreux hors d’Égypte où ils étaient réduits en esclavage.
Tous les Israélites doivent rappeler et transmettre dans leurs familles le souvenir de la libération divine.
Célébrons en temps que croyants en Yeshoua (Jésus le Messie) cette fête qui parle de notre nouvelle naissance en Jesus christ qui nous a libéré de la mort spirituelle et de l’emprise du péché.
BONNE FÊTE DE PÂQUES
(Serge Fortunato)
2 notes · View notes
alain-keler · 28 days
Text
Tumblr media
Vendredi 29 mars 2024, Vendredi Saint.
C’est le jour de la commémoration de la Passion du Christ, commémoration religieuse célébrée par les chrétiens le vendredi précédant le dimanche de Pâques. Il marque le jour de la crucifixion et de la mort de Jésus-Christ.
Jusque-là tout va bien. Je monte au Sacré Chœur. J’attends la procession tout en haut de la butte Montmartre, m’évitant la douloureuse montée à pied. 
Devant moi, les dernières marches qui mèneront la foule au bonheur. Il y a un espace vide quasiment infranchissable, des rubans multicolores interdisant le passage au commun des mortels, vous, moi. Seuls quelques officiels, genre bonne sœurs, haut gradés peuvent franchir ces lignes. Je photographie la vie de cet espace. Soudain, une femme bénévole me prend à parti, violemment, je parle verbalement. Vous n’avez pas le droit de me photographier, si je vois cette photo quelque part je vous fais un procès. Je réplique avec ma voix encore assez grave, même si je m’entends moins bien qu’auparavant. Je lui signale qu’elle se trouve dans un espace public, sous le contrôle de Dieu (ça je le rajoute dans mon texte, mais c’est la vérité, au moins en ce jour saint). En voyant, ou en entendant cela une autre bénévole se joint à la conversation, non moins virulente. Ce que je ne leur dirais jamais, c’est que la photo en question n’était pas assez bonne, elle passera donc à la trappe.
Le droit à l’image, puisque c’est de cela qu’il s’agit, est en train de changer tous nos compatriotes en avocats généraux, ceux qui attaquent dans les tribunaux. Et cela fait longtemps que cela dure. Si j’avais dû entendre, et non pas écouter ces deux charmantes personnes, je n’aurais pas pu faire des photos qui leur déplaise. Sus à la photographie, à l’information, aux photographes.
Il serait temps que la législation évolue et protège cette liberté de photographier.
Il n’y a qu’en France où l’on se fait agresser en photographiant.
Je vais en dire deux mots au bon Dieu. Il me comprendra.
2 notes · View notes
claudehenrion · 29 days
Text
Pâques : une drôle d'invention...
Réfléchissant –même si ça ne sert à rien !-- aux problèmes que pose le fait de préférer vivre en chrétien dans un pays qui se déchristianise et se retrouve à l'opposé presque absolu de tous les modes de vie et de pensée qui ont régi pendant des siècles, directement ou pas, entre la moitié et les trois-quarts de la Terre (en des temps où, sans vivre dans un nirvanâ qui ne peut exister que dans des rêves, les populations n'avaient pas l'air franchement plus malheureux qu'elles ne l'ont aujourd'hui, sur une planète en voie d'effondrement...), je brassais mes idées, dans le vide...
Premier point d'interrogation : le personnage-même de Jésus Christ, qui est tout à fait contre-intuitif et contre-expérimental : ''De la crèche au crucifiement'', toute la vulgate chrétienne est à l'opposé exact de tout ce qu'un homme peut penser, inventer, imaginer... comme chemin vers la gloire, ou plus simplement ''vers une bonne vie'', et personne, à aucune période de l'histoire de l'humanité, n'aurait été capable d'inventer un scénario aussi ''abracadabrantesque'' et aussi invraisemblable que… ce qui a été. Je crois... parce que c'est absurde, disait Tertulien, Père de l'Eglise.(Il n'aurait pas dit ''Credo quia absurdum'', disent les puristes, mais ''Credibile est quia ineptum est'' … ce qui revient au même –sauf pour une poignée de coupeurs de cheveux en 24). 
Aucun autre Dieu, jamais, n'a été ''affublé'' (si j'osais, j'écrirais ''attiffé'' !) comme Lui a choisi de l'être... Et même... jamais un homme qui aurait eu envie de ''changer le monde'' n'aurait commis la folie d'imaginer une telle succession de difficultés initiales, d'échecs et de contre-performances. En fait, au delà de son indiscutable triomphe, le christianisme (plus de 2000 ans d'âge, et à peine quelques rides en Occident, mais ni en Afrique, ni en Sud-Amérique, et même en Asie... où sont les immenses vagues de la relève quanti- et quali- tative à notre inexplicable chute, à nous) pourrait également se lire comme l'histoire d'un homme qui s'était tiré une balle dans le pied avant de partir pour une longue marche !
Nous avions parlé dans ce Blog, à Noël, de la naissance, quasi-impossible, d'un petit bébé juif au milieu de nulle part, pris dans le mouvement brownien d'un recensement ''à l'ancienne'', entre deux animaux, au plus froid de l'hiver... naissance sensée être celle du ''Roi des juifs'' et même, à peine un peu plus tard, du ''Roi du Monde''. Aucun homme ne peut ou ne devrait croire à une telle folie : un roi, même sous la férule romaine... ça ne peut pas naître ''comme ça'' !
Mais cette véritable ''folie'' en termes de marketing, d'image et de ''comm'' devient encore plus déraisonnable si on se penche sur la Semaine Sainte et sur la Fête de Pâques. Là... plus rien n'est plausible, devant le spectacle in-regardable d'un homme ramené à sa plus simple expression, dans une mise-en-scène inhumaine, abandonné de tous, seul avec une douleur insupportable, qui meurt en public, nu, humilié, déformé, tordu, ensanglanté, insulté, flagellé (et avec le redoutable ''flagrum'', ce terrible fouet romain dont chaque lanière est lestée de boules de plomb), sans doute hurlant de douleur (la ''flagellatio'' était le plus souvent mortelle)... sous les quolibets de ses ennemis d'hier, qui se croient victorieux, un court instant...
Hier encore, Il se promenait, libre, un peu redouté sans doute –en des temps où prophètes, magiciens, mages, devins et faiseurs de miracles étaient généralement crus et souvent respectés, ''Rabbi'' aimé des masses, ami des femmes des puissants du jour, ''conférencier'' recherché jusque ''sur la montagne du sermon éponyme'', n'ayant jamais fait de mal réel à qui que ce soit (à peine quelques coups de bâton à des mercantis qui squattaient le Temple)... Hier encore, il entrait dans Jérusalem comme ''une star'' (Je demande pardon pour mon audace... mais je crois qu'il n'est pas inutile de comprendre ce que toute cette Histoire a d'absolument actuel), et le voilà emmuré dans un tombeau fermé ''façon coffre-fort''... d'où il va sortir tout seul, se montrer, marcher sur la route, se mettre à table... bref, disent ses thuriféraires ragaillardis : ''Il est ressuscité, en vérité'', comme le psalmodient si joliment les orthodoxes dans le ''Tropaire pascal'' : Χριστὸς ἀνέστη (=Christos anesti) en grec, ou Христос Воскресе (= Christos voscresse), en russe... et en ukrainien.
Ne venez pas me dire que qui que ce soit, hier comme aujourd'hui, serait prêt à miser deux sous sur la probabilité que cette histoire, ''pas possible'' de A à Z, devienne le ''top-top best seller'' de tous les temps et fasse la fortune de Hollywood et de Charlton Heston, forge un monde nouveau, règne sur Rome et sur Byzance, donne naissance à la seule civilisation qui a été mondiale, impose un vocabulaire, une vision du monde, un calendrier et un ''corpus doctrinae'' pratiquement inattaquables –sauf à se dresser contre par principe, en racontant n'importe quoi-- et reste encore (sans doute pour longtemps) la première référence morale, religieuse, intellectuelle, littéraire, artistique et éthique au monde, avec 2,5 milliards de pratiquants (car contrairement aux idées reçues, les chrétiens sont de loin les plus nombreux sur terre –un petit tiers de la population mondiale-- devant les Musulmans et leur 1,8 milliards de ''croyants'' –plus menaçants, il est vrai !).
Pour que le tableau ainsi proposé soit complet, il faut ajouter que l'immensité-même du succès a –logiquement-- suscité des sentiments hostiles et des envies de rejet (ce qui est, finalement, bien compréhensible), telle la trop connue ''thèse mythique'' (= Jésus n'a pas existé), qui est tellement éventée et démontrée fausse que je m'étonne qu'un esprit aussi délié que Michel Onfray ait pu lui consacrer 10 minutes de son temps : elle est à l'historiographie ce que l'héliocentrisme, la théorie de la Terre plate et celle des astres fixes, ou le vieux créationnisme... sont à la connaissance : des prurits de jeunesse.
En réalité, l'existence de Jésus est confirmée par neuf ''historiens'' indiscutés, ce qui est énorme, pour un personnage de ce temps-là (seul Alexandre-le-grand fait mieux !) et par des dizaines de sources chrétiennes (qu'Onfray rejette comme étant ''parties prenantes au sujet'', ce qui est absurde et reviendrait à rejeter toutes les sources du XIXè qui parlent de Napoléon sous le seul prétexte qu'elles l'ont aperçu, de loin !). Là où le fossé s'est créé entre l'Histoire et la Foi, c'est que les historiens, par excès (ou pas... Je ne prends pas parti) de ''culte de leur science (?)'', ont refusé de regarder Jésus autrement que comme un homme et rien qu'un homme –ce qui est déjà beaucoup, mais vraiment pas assez, dans ce seul cas.
Dans ''Vie et destin de Jésus de Nazareth'' (2019), Daniel Marguérat a posé la question : ''Faut-il rapporter les miracles comme les contemporains les ont vécus... ou leur refuser a priori jusqu'à toute possibilité d'occurrence ?'', et il répond : ''Que Jésus ait été un guérisseur charismatique n'est mis en doute par aucun historien. Mais c'est lorsque les évangélistes affirment que ce pouvoir lui vient de Dieu et de sa propre Déité... que quittons le domaine de l'Histoire pour entrer dans le domaine de la Foi'', et là... ''chacun pense et dit comme il veut'', et c'est très bien comme ça.
Le Triduum pascal est tout de même le moment où jamais pour parler de Jésus –''personnage historique'' vs. ''Dieu fait Homme''... ou les deux-- et pour évoquer cette charpente incontestable des fondamentaux de l'humanité... et de toute civilisation possible et à venir, jusqu'à plus ample informé. A mardi prochain. Je vous souhaite de joyeuses fêtes de Pâques.
H-Cl. 
2 notes · View notes
blogdimanche · 1 month
Text
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 12,20-28
« En ce temps-là,
20 il y avait quelques Grecs parmi ceux qui étaient montés à Jérusalem pour adorer Dieu pendant la fête de la Pâque.
21 Ils abordèrent Philippe, qui était de Bethsaïde en Galilée, et lui firent cette demande : « Nous voudrions voir Jésus. »
22 Philippe va le dire à André, et tous deux vont le dire à Jésus.
23 Alors Jésus leur déclare : « L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié.
24 Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit.
25 Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle.
26 Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera.
27 Maintenant mon âme est bouleversée. Que vais-je dire ? “Père, sauve-moi de cette heure” ? – Mais non ! C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci !
28 Père, glorifie ton nom ! » Alors, du ciel vint une voix qui disait : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore. »
(Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
Tumblr media
(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Jn 12,28
« Père, glorifie ton nom ! » Alors, du ciel vint une voix qui disait : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore. » (Jn 12,28) Nous sommes dans les derniers jours avant la fête de la Pâque à Jérusalem. Jésus a fait ces jours-ci une entrée triomphale dans la ville ; c’est sûr, la foule le prend pour le Messie. Et des Grecs (c’est-à-dire des Juifs de la Diaspora) se présentent juste à ce moment-là et s’adressent à ses disciples : « Nous voudrions voir Jésus » ; pas seulement l’apercevoir, mais le rencontrer, lui parler. Ses disciples viennent dire à Jésus que des Grecs souhaitent le voir ; et il répond « L’Heure est venue pour le Fils de l’homme d’être glorifié », c’est-à-dire révélé comme Dieu. Le mot « glorifier » revient plusieurs fois dans ce texte ; mot difficile pour nous, parce que, dans notre langage courant, la gloire évoque quelque chose qui n’a rien à voir avec Dieu. Pour nous, la gloire, c’est le prestige, l’auréole qui entoure une vedette, sa célébrité, l’importance que les autres lui reconnaissent. Dans la Bible, la gloire de Dieu, c’est sa Présence. Une Présence rayonnante comme le feu du Buisson Ardent où Dieu s’est révélé à Moïse (Ex 3). Et alors le mot « glorifier » veut dire tout simplement « révéler la présence de Dieu ». Quand Jésus dit « Père, glorifie ton nom », on peut traduire « Fais-toi connaître, révèle-toi tel que tu es, révèle-toi comme le Père très aimant qui a conclu avec l’humanité une Alliance d’amour ». Pour aller jusqu’au bout de cette révélation, Jésus a accepté de subir la Passion et la croix : au moment d’aborder cette Heure décisive, l’évangile que nous lisons aujourd’hui nous dit bien les sentiments qui habitent Jésus : l’angoisse, la confiance, la certitude de la victoire. L’angoisse : « Maintenant, je suis bouleversé », « Dirai-je Père, délivre-moi de cette heure ? » On a là chez Saint Jean, l’écho de Gethsémani : le même aveu de souffrance du Christ, son désir d’échapper à la mort « Père, si tu veux, éloigne cette coupe loin de moi ! » L’angoisse, oui, mais aussi la confiance : « Mais non ! C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci ! » et aussi cette certitude que « si le grain de blé meurt, il portera du fruit », au sens où de sa mort, un peuple nouveau va naître. « Si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruits ». À l’heure extrême où il est bouleversé, où il aborde la Passion, Jésus peut continuer à dire « que ta volonté soit faite » en toute confiance : il sait que, de cette mort, Dieu fera surgir la vie pour tous. Angoisse, confiance, et pour finir, la certitude de la victoire « Quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai tout à moi »… « Le prince de ce monde va être jeté dehors ». Dans ces deux phrases apparemment dissemblables, c’est de la même victoire qu’il s’agit : celle de la vérité, celle de la révélation de Dieu. Le prince de ce monde, justement, c’est celui qui, depuis le jardin de la Genèse, nous bourre la tête d’idées fausses sur Dieu. Au contraire, en contemplant la croix du Christ, qui nous dit jusqu’où va l’amour de Dieu pour l’humanité, nous ne pouvons qu’être attirés par lui. La voilà la preuve de l’amour de Dieu : le Fils accepte de mourir de la main des hommes… L’Heure est venue, la mission est accomplie. Quand Jésus a prié « Père, glorifie ton nom », Saint Jean nous dit qu’une voix vint du ciel qui disait : « Je l’ai glorifié (mon Nom) et je le glorifierai encore ». « J’ai glorifié mon Nom », c’est-à-dire je me suis révélé tel que je suis ; « et je le glorifierai encore », cela veut dire maintenant l’Heure est venue où en regardant le crucifié, vous découvrirez jusqu’où va l’amour insondable de la Trinité. Et toute cette pédagogie de révélation n’a qu’un seul but : que l’humanité entende enfin la Bonne Nouvelle de l’amour de Dieu : « C’est pour vous, dit Jésus, que cette voix s’est fait entendre. » (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
2 notes · View notes
jalonvie · 2 months
Text
QU'EST-CE QU'UN SERVITEUR DE DIEU ?
Un texte de Joël Badjonné
Maintenant que la foi chrétienne est devenue dans le monde un amalgame de toutes sortes de choses, il est aussi devenue difficile d'avoir une bonne connaissance des choses basiques de la bonne doctrine de l'évangile de Jésus-Christ. Il me souvient un temps où les chrétiens avaient un peu plus de respect de la part du monde à cause de leur Dieu qu'aujourd'hui. C'est dommage de constater que le milieu chrétien général maintenant devienne toujours plus éloigné de la volonté de Dieu que jamais.
Quelle image a t-on d'un serviteur de Dieu aujourd'hui ? Tant de choses se disent, tant de choses se font que les gens ont perdu de vue ce qu'est un vrai serviteur de Dieu. Et plusieurs âmes sincères envers Dieu ne savent plus qui suivre, tant les séducteurs, les manipulateurs et les imposteurs sont en grands nombres. Il est vrai que de manière générale, tous les enfants de Dieu sont des serviteurs et des servantes de Dieu parce que tous servent d'une manière ou d'une autre leur Seigneur qui les a racheté et qui a fait d'eux des sacrificateurs pour Dieu. Mais Dieu a voulu réserver et mettre à part quelques hommes qui le servent d'une façon particulière. C'est d'eux que nous parlons.
Aujourd'hui, un serviteur de Dieu, aux yeux des gens, c'est un homme qui est orateur, éloquent et capable de développer des sujets intéressants. Il a reçu une formation officielle dans le milieu pour être un prédicateur professionnel (car c'est maintenant sa fonction sociale). Il a ainsi un diplôme ou une attestation de réussite de ladite formation, qui certifie qu'il est un professionnel et qu'il peut exercer partout où on reconnaît cette attestation de profession, même s'il n'a aucun appel de Dieu à servir.
Il a un titre, et il y tient, il en va de ses honneurs. Le titre peut lui avoir été donné de ses précepteurs. Mais il peut aussi lui même prétendre être du rang d'un tel ou d'un tel autre. On ne peut l'appeler que par son titre, et il ne doit jamais être considéré, pas une seule fois, comme un simple frère comme les autres enfants de Dieu.
Il a une église, où il est un conducteur principal. Il a le dernier mot sur tout et il ne se trompe jamais, il n'apprend pas des autres, c'est lui seul qui doit prêcher aux autres. Sa place est spéciale, et peut-être mieux que cela. Si les autres s'assoient sur une simple chaise, pour lui, un trône royal est requis. Son entrée lors d'un culte doit attirer l'attention de tout le monde, sa montée sur un pupitre pour prêcher doit requérir des ovations (acclamations), son vêtement doit être distingué de celui des autres, etc.
Il a une femme qui l'accompagne dans le ministère. Non, plutôt il a une femme qui est son associé dans le ministère. S'il est pasteur, sa femme l'est aussi automatiquement. S'il est prophète, sa femme l'est aussi. S'il est apôtre, sa femme l'est aussi. On parle alors de couple pastoral, prophétique ou apostolique. Eux seuls sont mis en valeur sur la chaire, sur les affiches, sur les lèvres et dans les émissions radio ou TV.
Il a une autorité outre mesure qu'il impose aux autres. Il a un ton intimidant et une fierté mal placée. Quand il le veut il peut chasser quelqu'un de l'église. On le consulte comme on consulterai un PDG d'entreprise, et très souvent, par un long protocole.
Mais ce ne sont pas seulement là les choses qui décrivent les serviteurs de Dieu, aux yeux du peuple. D'autres, par contre, pensent qu'un serviteur de Dieu, c'est quelqu'un de zélé, qui aime parler de Jésus, qui est actif dans l'évangélisation, etc. Mais la vérité, c'est que ce ne sont pas là les choses qui permettent de reconnaître un serviteur de Dieu. Et l'on doit comprendre que l'activisme, ce n'est pas le service de Dieu, non plus que la simple direction d'une église ou l'habitude à parler régulièrement de Dieu.
Un vrai serviteur de Dieu l'est par appel et par sa vie. Ce n'est qu'ensuite que son service est considéré. Par appel, cela signifie que Dieu l'appelle à Le servir de façon pratique dans un couloir de Son œuvre. Dieu l'appelle simplement comme il a appelé Simon, Jean, Jacques, André, Lévi, Paul, Barnabas, etc. L'appel n'est pas un talent oratoire. L'éloquence a son utilité lorsqu'il est bien utilisé mais il n'est qu'un talent naturel et n'a rien avoir avec l'appel de Dieu à servir. Plusieurs sont appelés et utilisés par Dieu, mais ne sont que de piètres orateurs. Bien parler ne fait pas un vrai serviteur aux yeux de Dieu, même si les hommes acclament et disent amen.
Un serviteur de Dieu l'est ensuite par sa vie. C'est ici le point le plus négligé aujourd'hui. Pourtant, un bon arbre porte de bons fruits, cela est connu de tous. Et on reconnaît un vrai serviteur de Dieu à sa vie, et pas à son titre, mais cela les gens n'y prêtent pas attention. Celui que Dieu envoie, Dieu le sanctifie et l'amène à se consacrer profondément, Dieu le façonne à l'image de son Fils afin que le serviteur ressemble à Jésus-Christ dans son caractère et sa manière de servir. Dieu l'équipe du dépôt nécessaire pour servir et lui donne des instructions par rapport à comment servir.
La vie du serviteur de Dieu est alors une première prédication, avant toute parole parlée. Avant qu'il ne prononce douceur, on voit la douceur dans sa vie. Avant qu'il ne recommande de ne pas se metre en colère, lui-même sait se maîtriser et rester calme, et on le voit régulièrement maître de lui-même. Avant de prêcher de s'abstenir du péché, lui-même montre un exemple strict de sanctification et de justice selon Dieu. Avant d'exhorter les autres à manifester l'amour de Dieu et la compassion, on le verra être charitable, et plein d'attention.
Un vrai serviteur de Dieu, je le répète, l'est d'abord par sa vie, avant son service. S'il ne peut avoir une vie digne d'un serviteur de Dieu, une vie exemplaire de vertu, de grâce, de patience, de support et de bienveillance, il ne peut pas non plus exercer son service comme Dieu le veut. Toute sa vie doit être la concrétisation de sa doctrine, sinon il perd son temps.
Un serviteur de Dieu, ce n'est pas un homme à la belle allure, bien habillé. Tout le monde peut se procurer un costume élégant. Mais celui-là est un vrai serviteur de Dieu qui est un homme brisé, qui s'humilie et ne cherche pas à être estimer, qui n'a pas le cœur aux plaisirs du monde et à l'orgueil de la vie, mais qui concentre son coeur sur la vie de Dieu et la pureté de sa voie.
Il ne cherche pas être servi, mais il cherche à servir les autres. Il ne cherche pas à ce qu'on lui donne, il cherche à donner aux autres et se sent heureux de vivre ainsi. S'il reçoit des autres, il est reconnaissant, et continue son chemin. Il ne cherche pas à ce qu'on lui donne de grands honneurs, quoi qu'il inspire l'honneur par sa vie, mais il sait s'appliquer à honorer les autres d'une façon juste, à honorer ses aînés, à honorer même l'un de ces plus petits dans le royaume des cieux. Dans une assemblée locale, il sera celui qui rend le plus service aux autres, celui qui est le plus disposé à soutenir les autres spirituellement, et émotionnellement, voire financièrement.
Avant d'être un bon prédicateur sur une chaire, il est d'abord un bon mari dans son foyer, attentionné envers sa femme et ses enfants, doux dans ses paroles et non blessant, patient et tempérant dans ses actes et non agressif ou dominateur. S'il est colère, et s'emporte rapidement dans ses décisions et ses relations, son service finira par s'avilir et perdre de sa valeur devant Dieu. S'il ne vit pas seul, Il est un bon cochambré digne d'être admiré par son compagnon de chambre. Si à l'église on le loue, et que ceux qui vivent avec lui dans la même concession n'ont que son nom dans la bouche en mal, il perd son temps à servir.
Avant d'être immergé pleinement dans son ministère pour le Seigneur Jésus-Christ, il manifeste une vie de piété qui convient à un serviteur de Dieu. Dans sa vie de tous les jours, il est un exemple à suivre, tant en paroles qu'en actes, par sa douceur, par sa patience, par sa clémence, par sa simplicité, par sa rigueur envers les choses de Dieu, par sa consécration, par son zèle, par sa vie de prière et d'obéissance, par sa promptitude à être utile aux autres, etc.
S'il n'est pas marié, il sait s'éloigner de l'impudicité avec sagesse et garder son coeur de tout ce qui pourrait l'éloigner de la vie qui est en Christ, de peur d'être entraîné loin de la pureté et de devenir une occasion de chute pour les âmes. S'il est marié, il sait gérer son mariage pour avoir à être un époux aimant, aimable, et compréhensif, et un père avec les mêmes qualités. S'il est occupé à un travail, il sait bien faire son travail et cherche toujours à être un modèle afin de laisser derrière lui un bon témoignage partout où il passe. Et s'il n'a pas toujours un travail fixe, il sait néanmoins ne pas être toujours à la charge des gens avec le prétexte d'être serviteur de Dieu devant vivre de l'évangile. Bien qu'il soit respecté au milieu des saints, il sait aussi respecter son patron au travail, ou s'il est patron, respecter ses employés et les féliciter. Il ne se limite donc pas à être un bon moralisateur dans les réunions de l'église, mais est littéralement un exemple à suivre dans tout ce qu'il fait. C'est par un tel serviteur que le service est louable devant Dieu et les hommes spirituels.
Un serviteur de Dieu est un homme simple dans sa vie comme Jésus-Christ l'était, humble et pieux dans ses sentiers, brisé dans ses sentiments, et prude dans son allure. C'est un homme bon, bienveillant, hospitalier, joyeux et capable de communiquer la joie aux autres. C'est un homme vertueux, affable et agréable à Dieu et aux hommes par sa sympathie et sa gentillesse. C'est aussi un homme qui prêche droitement la parole de Dieu selon que le Seigneur Jésus-Christ l'a envoyé. Il ne s'écarte pas du chemin que Dieu a tracé pour lui, juste parce qu'il convoite le titre ou la position de quelqu'un d'autre. Il ne cherche pas à plaire aux gens dans son évangile, mais cherche avant tout l'approbation de Son Seigneur à qui il sait qu'il doit rendre des comptes, quitte à déplaire à la majorité de ceux qui l'écoutent.
Le critère de réussite dans le ministère, pour lui, n'est pas tant le nombre de fidèles qu'il instruit ou évangélise, ou le nombre de ceux qui le reconnaissent comme un serviteur de Dieu. Il ne mesure pas son succès en voyant à la beauté des décorations des chapelles d'église, ou à sa durée dans le ministère. Mais il mesure le succès de son service en voyant au nombre de ceux qu'il a concrètement bâti en Jésus et à la qualité de leur vie devenue accomplie et affermie, et pour qui il a travaillé dur en souffrant les douleurs de l'enfantement jusqu'à ce que Christ fut formé en eux. Il évalue sa réussite en découvrant et en considérant ce que Dieu lui a ordonné, le comparant à ce qu'il fait, savoir si cela est en accord et en accomplissement de ce pour quoi il a été appelé. Ainsi il sera capable de dire : j'ai combattu le bon combat, et j'ai achevé ma course et mon service. C'est là un serviteur de Dieu, peu importe le don qu'il a dû recevoir pour servir dans le champ de Dieu. C'est là un serviteur que Dieu aime et un serviteur dont Dieu est fort fier.
Es-tu ce genre de serviteur de Dieu ? Si oui, gloire soit rendue à Dieu, continue donc à suivre ce chemin étroit que peu empruntent. Si non, qu'attends-tu pour le devenir, toi à qui tant de reproches sont faits tous les jours ? Es-tu un serviteur aventurier qui n'a jamais été appelé spécifiquement par le Seigneur et qui continue néanmoins à être actif ça et là sans être là où Dieu veut que tu sois ? Et toi, projettes-tu de servir Dieu dans l'avenir pour vivre comme les prédicateurs modernes parce que tu admires leurs richesses et leur éloquence, et pas plutôt en aspirant à te dépouiller, renoncer à toi-même, et attendre que Dieu t'envoie où il souhaite que tu le serves et dans le couloir qu'il veut, même si c'est au détriment de ta fierté ?
Et toi, quel genre de serviteur de Dieu suis-tu ? Sur le modèle de qui marche-tu ? Qui aspire-tu à imiter ? Les enseignements et la conduite de qui reçois-tu ? Qui est-il, ce serviteur de Dieu ? Dieu le considère-t-Il comme Son serviteur, comme toi tu le considères ?
Tumblr media
2 notes · View notes