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#éditions le livre de poche
angelitam · 4 months
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Partageons mon rendez-vous lectures #3-2024 & critique
Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion. La dernière mission de Gwendy de Stephen King et Richard Chizmar La dernière mission de Gwendy de Stephen King et Richard Chizmar L’île des morts de P.D. James L’île des morts de P.D. James – Editions Le Livre de Poche Continuer avec Linley et Havers avec Juste une mauvaise action d’Elizabeth George Juste une mauvaise action d’Elizabeth George…
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? #242
Mes lectures en cours : * Canadian West Series, book 1: When Calls The Heart de Janette Oke * Sissi impératrice d'Autriche de Jean des Car * La vie secrète d'une mère indigne de Fiona Neill
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. MENU : DÉFIS DE LA SEMAINE PRÉCÉDENTE : J’aimerais continuer sur cette bonne…
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aforcedelire · 1 year
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Les lieux sombres, Gillian Flynn
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Libby Day est la seule survivante du massacre de sa famille, survenu quand elle avait 7 ans. Son frère Ben a été arrêté et emprisonné, accusé d’avoir participé à des rituels sataniques et d’avoir assassiné ses sœurs et sa mère. Un jour, un membre d’une association un peu spéciale aborde Libby, et lui propose de revenir sur les lieux des meurtres. La jeune femme ne s’attend pas à la tournure que vont prendre les évènements…
Très sympa, ça se met lentement en place mais une fois qu’on est dedans, on y est à fond. Les lieux sombres met en lumière les difficultés financières et les crises de la classe moyenne / basse de la société américaine. Gillian Flynn nous propose un mélange entre plusieurs époques : un chapitre sur Libby qui se replonge dans ses souvenirs et dans l’enquête ; un chapitre en 1985, dans les heures qui précèdent le massacre, avec les points de vue de la mère et de Ben. On ne sait pas trop qui a fait le coup, et la fin, la solution, est satisfaisante. Ça ne vaut pas Les apparences, best-seller de Gillian Flynn, mais c’était très sympa et c’est un bon polar pour passer un bon moment. Pile poile dans la veine thriller psychologique / polar américain.
05/03/2023 - 08/03/2023
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alapagedeslivres · 11 months
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CHALLENGE NetGalley : bilan 2023
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jelepermets · 3 months
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The Preface of this edition of Les Mis (Le Livre de Poche, Édition de Guy Rosa et Nicole Savy) is really good, but I wanted to highlight one passage in particular:
[...] la question de savoir ce qui en lui mobilise la conscience de vivre en société. -- La loi et l'ordre, répond Javert; rien, dit Thénardier; des souveniers pours Gillenormand, l'avenir pours les jeunes étudiants révolutionnaires... Jean Valjean se tait condamné à temps mais exclus à vie, la société ne lui autorise aucune réponse à cette question qu'elle ne cesse pourtant de lui poser violemment.
In English:
[...] the question of knowing what moves him to live in society. -- Law and order, replies Javert; nothing, says Thenardier; memories for Gillenormand; the future for the young student revolutionaries... Jean Valjean stays quiet. Condemned for a time, excluded for life, society does not allow him a single response to the question which it continues to demand of him.
(Sorry if the translation's a bit janky/if you speak French and notice it's not perfect word-for-word. I'm doing it myself, I'm going more for comprehension than word-for-word literalism. Translating decisions are so scary, have mercy.)
I didn't really think about this too much my last time reading through. Of course Valjean was a stoic character to me, but connecting his reticence to the fact that his voice has so long been crushed by society is a bit of a revelation. After all, no one can know who he is. And speaking is dangerous. Nor does the Law want to hear his opinions. Instead they punish him for what he has already done, not giving him the chance to discover the answer for himself.
There are other things mentioned that struck me, this one just did particularly.
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solenewild · 2 months
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Bonjour tout le monde !
Ci-dessus ma première lecture de ce mois de mars. Il s'agit de Là où tu iras j'irai, un roman écrit par Marie Vareille et publié aux éditions "Le Livre de Poche" en 2018.
C'est le deuxième livre que je lis de cette auteure (après Désenchantées sorti en 2020).
On y découvre l'histoire d'une jeune femme rêvant de devenir actrice mais confrontée à de multiples échecs lui rendant la vie bien difficile. De fil en aiguille, elle est finalement embarquée dans une aventure sans queue ni tête où elle doit séduire un veuf riche, fiancé et sur le point de se marier.
Rafraîchissant, parfois drôle et surtout sans prise de tête, je vous conseille ce roman si vous souhaitez vous détendre et vous lancer dans un livre de taille moyenne (environ 300 pages).
Pour ma part, je garde quand même un petit faible pour Désenchantées (place spéciale dans mon coeur).
N'hésitez pas si vous avez aussi des livres à me recommander !
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jeux-raconte · 11 months
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Prélude à fondation, Isaac Asimov
Encore des livres ? Mais y a "jeux" dans le nom du Tumblr...
Oui bon hein, j'ai des billets à faire sur des jeux aussi, mais ça viendra. J'ai eu une période Asimov par inadvertance un été. En me promenant en vacances, je passe comme souvent dans une librairie du lieu de vacances, parce que les librairies, c'est bien.
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Et je tombe sur le premier tome des Robots. Je me dis "tiens c'est vrai que c'est un classique, la charte graphique de la nouvelle édition est sympa, je me lance".
Eh bien ce fut un gouffre, j'ai englouti les 6 tomes sur le temps des vacances d'été. (Plus ou moins, j'ai calé à mi-chemin du 6e tome). Je n'avais jamais lu beaucoup de SF, à part les deux premiers tomes en poche de Dune. Et les romans des Robots d'Asimov m'ont énormément plu parce qu'ils mélangeaient deux choses, une que j'adore, et une que j'ai appris à aimer : respectivement des enquêtes, et la construction d'un monde futuriste cohérent.
Après avoir adoré les Robots, j'ai fait une longue pause dans la SF. J'ai repris mes anciennes lectures, c'est-à-dire plutôt de la fantasy, ou des recueils de nouvelles. Et puis récemment, Philip K. Dick. J'en reparlerai puisque je me suis pris une claque, dans le bon sens du terme. Mais me revoilà plongé dans la SF, et jusqu'au cou !
Bon c'est bien beau mais de quoi ça parle ?
Je m'étais renseigné un peu sur ce livre. Ecrit par Asimov très tardivement, il fait le lien entre deux de ses gros cycles d'histoires : les Robots (!) et Fondation. Sur la fin de mon second roman de Dick, une amie me recommande chaudement la série dérivée de Fondation, et elle commence même à les lire. Or, ce Prélude à Fondation, on me l'a offert il y a déjà un moment ! Etant une créature qui réagit fortement à la hype et à l'incitation de mes pairs, il ne m'en a pas fallu plus.
Dans ce livre, on suis l'histoire d'un mathématicien, Hari Seldon, dont le sujet d'étude est la Psychohistoire, c'est-à-dire la possibilité de déterminer de façon statistiques la probabilité d'arriver de certains événements à l'échelle de l'humanité, entre autres. Bien sûr, cela va intéresser l'empereur, qui va inviter Seldon à le rencontrer. S'en suit une découverte de lieux, civilisations et coutumes assez incroyables dans cet univers de Fondation. Malgré tout, ce n'est pas tant le "world building", l'univers de fond construit par l'auteur, qui m'a fait rester jusqu'au bout des 600 pages du roman, et même s'il est très agréable à découvrir. Mais c'est plutôt l'intrigue, la suite d'événements sans cesse rebondissante vers autre chose, toujours surprenante, pour déboucher sur un final aux multiples "plot-twists" (retournements de situation, mais je n'ai pas signé de charte anti-anglicismes à ce que je sache) qui m'a coupé le souffle. Je pense que sans m'en rendre compte, l'auteur à fait monter la mayonaise en tension scenaristique, densité de l'histoire, et a préparé tous ses pions pour arriver à ce final que j'ai trouvé assez incroyable.
J'avais commandé la suite, l'Aube de Fondation, en étant à peu près à la moitié de celui-ci. Et je ne le regrette pas, puisque je meurs d'envie maintenant de savoir ce qu'il va se passer ensuite. Cependant, je vais peut-être revenir sur le tome 6 des Robots, pour terminer une fois pour toutes cet arc narratif là.
Je vais teinter cet avis dithyrambique avec un tout petit bémol : est-ce parce que j'ai lu la préface écrite par Asimov ou bien est-ce réellement un sentiment que j'ai eu seul à la fin du livre, je ne sais pas. Toujours est-il que j'ai légèrement eu l'impression que toute l'histoire n'était qu'un prétexte pour relier deux cycles d'histoires à priori décorrélées de manière à satisfaire les enthousiaste de l'un ou de l'autre. Après, c'est la volonté de l'auteur dès le début, donc je ne saurais pas trop expliquer ce sentiment qui m'a traversé l'esprit à la fin du roman.
Bon cela dit, ce mince sentiment est à peu près la seule chose de négative que j'ai à dire du roman...
Bon allez pour vraiment creuser au bout du bout, le roman date de 1988, et je trouve que globalement, les rares personnages féminins ne brillent pas par leur originalité ; je ne suis pas certain que le livre passe le Test de Bechdel (https://fr.wikipedia.org/wiki/Test_de_Bechdel) ; et enfin certaines sociétés décrites dans le livre, du point de vue du personnage principal, carricaturent un peu trop certaines coutumes ou traditions réelles, les comparaisons et mise en parallèle sont un peu grossières voire gênantes une fois ou deux en passant.
En résumé, la porte d'entrée dans une saga qui s'annonce plutôt incroyable en terme de scenario et de sf. Le côté science futuriste n'a pas vieilli d'un poil, les moeurs et l'écriture peut-être un poil plus, mais le roman est à remettre dans un cadre aussi : l'auteur à commencé le cycle de Fondation en 1951, et il a 68 ans quand il écrit cette préquelle.
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auda-isarn · 10 months
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Série de livres recommandée par mon patron.
Jacques Abeille était un anarchiste proche de André Breton.
Il a écrit la série de livres appelée le cycle des Contrées.
Un homme un jour, pénètre dans un pays où les hommes cultivent des statues... tout à la fois récit de voyage, roman d'aventure, conte philosophique ce livre vous marquera à jamais. Le style de l'auteur est très beau. Il y'a 9 tomes dans cette série avec également un livre à part.
Je recommande les éditions originales et les éditions grand formats aux éditions du Tripode. Il y'a aussi la version poche en Folio.
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l-avis-de-klervie · 1 year
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La SF c'est pas que pour les geeks La fantasy c'est pas que pour les ados
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Penguin Classics Galaxy est une collection de six titres de la littérature de fantasy et de sciences fiction publiés en 2016 et dirigée par Neil Gaiman. Le directeur artistique Paul Buckley a commissioné le graphiste Alex Trochut pour en concevoir les couvertures. Cette collection a gagné le prix AIGA + Design Observer des 50 meilleurs couvertures de l’année.
Les couvertures sont composée uniquement de lettrage original. Pourquoi n’y a-t’il aucune iconographie ?
En écartant tout recourt à l’image, le lettrage apparaît en majesté, il aurait apparu anecdotique s’il avait été mis en concurrence avec une image. Le lettrage est une image en soit puisque son style est évocateur du titre qu’il illustre. En témoigne le caractère pour The One and Future King qui rappelle les enluminures moyenâgeuses. Quant au «D» de Dune, il ressemble à un vaisseau spatial. Ainsi, c’est le lettrage lui-même qui sert d’iconographie Le lettrage vise à intriguer car le texte n’est pas immédiatement déchiffrage Les caractères typographiques dessinés sont peu lisible. Il faut "quelques secondes de plus pour en décrypter la signification. En effet, certaines lettre semblent incomplètes, brouillées par des interférences visuelles. En effet, les lettres de la couverture de Dune forment des blocs quasi rectangulaires dont on ne discerne la lettre uniquement grâce à la direction prise par les lignes. Des effets de déconstruction sont présents notamment dans le caractère conçu pour la couverture de The Left Hand of Darkness qui déconstruit et superpose une moitié de lettre au dessus d’une lettre. Quant au caractère de The Once and Future King, les lettres s’écartent beaucoup des formes auquel le lecteur est habitué. Par exemple, la lettre "T" contient une arabesque qui se confond de premier abord avec un "G". De plus, le fût est penché vers la droite, ce qui accentue l’ambiguïté. Ainsi, l’ensemble de ces éléments visent à brouiller la lisibilité au profit d’une esthétique originale dont l’objectif est que le consommateur en librairie passer plus de temps à regarder la couverture. Le but est de marquer les esprits par le temps passé à regarder le livre.
L’absence d’image rappelle le design de la collection blanche de Gallimard et la couverture cartonnée rappelle les éditions de La Pléiade. Dans ce cas, l’iconoclasme est un gage de qualité car elle hisse ses publications au rang de classique : le titre suffit.
Chaque lettre a une image, un style particulier propre à lui-même. Il y a une certaine originalité dans le style général de la collection. En effet, les éléments sont reconnaissables dans leur ensemble. Si l’on prend les éléments séparément, on saura les associer immédiatement à la collection. Et dans le même temps, chacun apparaît dans son unicité. Cela n’est pas sans rappeler la collection Insel ou Zulma designée par David Pearson qui ont toutes deux un motif en fond original à chaque couverture.
Quel est le rôle joué par les procédés d’impression et de fabrication dans la stratégie ?
Le marquage à chaud réhausse la valeur des objets livres par leur couleur argent ou doré et la technique qui augmente le prix du livre. L’effet réfléchissant du marquage à chaud attire l’oeil autant qu’il ajoute de la valeur par son apparence dorée. C’est une édition deluxe qui est précieuse. Cela s’explique par le fait que les anglais sont friands des table books. Cette édition est la parfaite intersection entre un livre beau et précieux autant dans son contenu quand dans son contenant.
Le choix d’une couverte rigide ajoute un aspect luxueux à l’objet : il a plus de poids et de prestance. De plus, il est plus durable qu’un livre de poche, on doit en prendre soin, on ne peut pas l’emmener et le lire partout car il risque de s’abimer, sa place se trouve dans une belle bibliothèque. Ainsi, la couverture rigide ajoute ainsi de la valeur à l’objet livre.
Quel est le but concernant la perception traditionnelle des genres littéraires de cette collection ?
L’enjeu de cette collection rappelle la collection New Penguin Shakespeare illustré par David Gentleman. L’enjeu était de redonner une image contemporaine à Shakesperare afin d’élargir son public.
Ici, il s’agit également de bousculer les stéréotypes associés aux genres de la SF et de la Fantasy dont l’image serait celle de geek ou d’adolescents. Cette collection vise à dé-marginaliser ces textes et les hisse au rang de chef-d’oeuvres chic et précieux. Cet objectif est atteint grâce aux procédés d’impression et de fabrication ainsi que l’absence d’iconographie qui rend ces oeuvres intemporelles et universelles.
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mmepastel · 1 year
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Alors alors. J’étais ravie de retrouver Julia Glass, pour ce qui était présenté comme une nouveauté chez Gallmeister, mais en fait, que nenni, c’est un roman qui date de plus d’une dizaine d’années, traduit et sorti directement en poche chez ces éditions un brin facétieuses.
Peu m’importait, un Julia Glass, ça ne se refuse pas.
J’ai eu l’impression de lire parfois du Richard Russo, mais comme si c’était un livre sans relecture. A la vérité, j’ai apprécié ce roman mais je l’ai trouvé un peu long. Plus de 600 pages, on se demande un peu quand ça commence et quand ça finit, pourquoi ne pas rajouter 100 ou 200 pages tant qu’on y est, tant que nulle ligne narrative n’est vraiment privilégiée.
Mais c’est une critique un peu brutale, vu la joie occasionnée. Après tout, ce qu’on aime, c’est la générosité de l’autrice, son intérêt porté aux personnages secondaires. Le personnage de Celestino par exemple, est formidable. Percy, évidemment aussi, avec son caractère légèrement reac, mais qui cumule 1000 excuses, dont celle d’être vieillissant.
Oui, ce qui séduit encore chez Julia Glass, peut-être moins ici que dans d’autres romans, c’est son goût de l’humain, de ses trajectoires et motivations secrètes. Du Guatemala aux bourgeois américains, il n’y a rien, et en même temps, tout un monde. Ce sont les mêmes, et pourtant ils sont lointains. Les conditions sociales, les vexations subies, forgent des caractères qui peinent à s’accorder, mais finissent par y arriver (les dernières pages du roman sont joyeuses, vraiment). Intéressant aussi l’activisme écologique, plutôt d’actualité (!), mais traité brutalement en fin de récit.
Bref, ce n’est pas le meilleur roman de Julia Glass, mais c’est quand même un bonheur de la lire, encore.
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angelitam · 4 months
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L'île des morts de P.D. James
L’île des morts de P.D. James – Editions Le Livre de Poche L’île des morts de P.D. James, présentation L’associé de Cordelia est mort. Il lui a laissé l’agence de détectives. Elle emploie Bevis et Miss Mandsley. Sir George engage Cordelia car sa femme, actrice de théâtre, reçoit des menaces de mort. Cette actrice doit se produire à Courcy dans une pièce montée par des amateurs. Avis L’île des…
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? #241
Une semaine moins productive, moins au top d'un point de vue moral. Cependant, j'ai réussi à lire, j'ai vu des amies. Je ne me laisse pas gagner par l'inactivité. Bon sinon qu'ai-je lu et que suis je en train de lire ?
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. Plouf, mon moral a fait un bon gros plouf et là il remonte. Je suis assez fatiguée…
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aforcedelire · 2 years
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Le Crime d’Halloween, Agatha Christie
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Le 31 octobre c’est Halloween, les sorcières volent sur leurs balais, et Mrs. Drake a organisé une fête pour les enfants du quartier. Elle y a invité son amie Ariadne Oliver, autrice de romans policiers. Et alors que les préparatifs battent leurs pleins, Joyce, une enfant d’à peine 13 ans, se vante d’avoir vu commettre un meurtre. Quelques heures après, elle sera retrouvée morte…
Mon quatrième Agatha Christie, très chouette ! La seule chose qui m’a un peu déçue, c’est que le seul aspect d’Halloween qu’il y avait dans ce roman, c’est la scène d’ouverture avec la fête enfantine ; sinon, c’est « juste » un Agatha Christie. Mais bon, ça reste quand-même une bonne lecture de saison ! L’histoire est sympa, on y suit Hercule Poirot, appelé en urgence par son amie Mrs. Oliver.
Après, ce livre-ci m’a un petit peu fait bondir par moments par la traduction (et je serai curieuse de savoir si Agatha Christie utilise vraiment ces mots en VO). Certes, ça a été écrit en 1969 et c’est une traduction revisitée, mais est-ce que Hercule Poirot a vraiment demandé si Joyce (la victime, une enfant de 13 ans) était « considérée comme sexy » ?? De la même façon (et là ce n’est pas la traduction), on parle beaucoup de meurtriers qu’on relâche parce qu’ils ont des problèmes psychiatriques, et des enfants qu’on enlève dans des camionnettes. C’était peut-être dans l’ère du temps quand Le Crime d’Halloween a été écrit, mais je sais pas, ça m’a fait bizarre (surtout qu’on en parle vraiment beaucoup).
À part ça, comme d’habitude je me suis faite avoir comme une bleue concernant le/la meurtrier.e à la fin ! J’aime vraiment beaucoup suivre les enquêtes de ce fabuleux détective belge avec ses jolies moustaches, et Agatha Christie est une romancière qui m’intrigue beaucoup. J’ai hâte de lire d’autres romans !
24/10/2022 - 30/10/2022
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vicnormansstuff · 1 year
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« J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même. »
— Guy de Maupassant
« Le Horla »1886, éditions Albin Michel, coll. Le Livre de Poche, 1967
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