« Pour quâune Ă©lite se dĂ©gage vĂ©ritablement, il faut donc quâil y ait une lutte. Cette lutte doit ĂȘtre assez Ă©gale pour que lâissue nâen soit pas prĂ©visible dâabord, assez longue pour quâelle exige de lourds sacrifices, assez Ăąpre pour quâelle engage de gros tonnages dâĂ©nergie, assez dramatique pour quâelle soit une occasion dâhĂ©roĂŻsme. »
Maurice BardĂšche. Sparte et les Sudistes.
đ @gudparis
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C'est bientÎt l'été !!!
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Eloge du fascisme.
Grand Ă©pouvantail de notre siĂšcle, lâexpĂ©rience fasciste fut le dernier sursaut de vie du gĂ©nie europĂ©en prĂ©cĂ©dant la longue agonie que nous lui connaissons.
Discipline de vie et façon dâĂȘtre au monde plus encore que doctrine, elle Ă©rigea au rang de nĂ©cessitĂ©s absolues â ce quâelles sont par ailleurs â grandeur, qualitĂ©, beautĂ©, sacrifice et violence.
Elle parvint, bien quâimparfaitement, Ă lâunique fin du politique : rĂ©aliser la synthĂšse de lâhomme en vue du bien du Tout, rĂ©concilier en son ĂȘtre le guerrier et le moine, le poĂšte et lâascĂšte.
Reposant sur des rĂ©alitĂ©s immuables, il est universel tout en demeurant intimement national car se devant dâĂȘtre digĂ©rĂ© et interprĂ©tĂ© par le gĂ©nie propre des peuples qui lâembrassent ; le fascisme est la clef de la rĂ©gĂ©nĂ©ration du Vieux continent qui, comme Ă lâaccoutumĂ©e, lorsquâil renaĂźtra, entraĂźnera lâhumanitĂ© derriĂšre lui.
Plus que compatible avec le catholicisme, la voie du faisceau est, Ă mon sens, sa plus juste actualisation politique, ni la grĂące ni la nature nây sont frustrĂ©es par la vĂ©racitĂ© de ses principes.
En somme, que « lâhomme qui se sent une Ăąme », qui aspire Ă la qualitĂ© et hait la bassesse sous toutes ses formes, se lĂšve contre la dĂ©bĂącle de notre temps et prenne la banniĂšre de la Croix et du Faisceau.
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Coopérez avec vos voisins
Achetez local et sain.
Faites du sport.
Lisez plus.
Ayez des réserves.
Soutenez les alternatives.
Faites des bébés.
Entretenez la joie.
Payez en liquide.
Gardez espoir.
Laurent Ozon
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L'Ă©galitĂ© n'existe pas. Et son institutionnalisation n'induit Ă court terme qu'Ă abaisser le niveau gĂ©nĂ©ral et Ă moyen terme, gĂ©nĂ©rer frustration et rancĆur.
Les progressistes sont des pompiers pyromanes.
(J'ai mis des fleurs car c'est beau. La beauté sauvera le monde )
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Becoming a Fascist Pirate
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Woven textiles from a French album (circa 1878).
Images and text courtesy The Met.
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Plus que jamais ....
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Un rĂȘve mâobsĂ©dait.
Jâimaginais la naissance dâun mouvement baptisĂ© ConfrĂ©rie des Chemins Noirs.
Non contents de tracer un rĂ©seau de traverse, les chemins noirs pouvaient aussi dĂ©finir les cheminements mentaux que nous emprunterions pour nous soustraire Ă lâĂ©poque.
DessinĂ©s sur la carte et serpentant au sol ils se prolongeraient ainsi en nous-mĂȘmes, composeraient une cartographie mentale de lâesquive. Il ne sâagirait pas de mĂ©priser le monde, ni de manifester lâoutrecuidance de le changer. Non ! Il suffirait de ne rien avoir de commun avec lui.
LâĂ©vitement me paraissait le mariage de la force avec lâĂ©lĂ©gance. Orchestrer le repli me semblait une urgence. Les rĂšgles de cette dissimulation existentielle se rĂ©duisaient Ă de menus impĂ©ratifs : ne pas tressaillir aux soubresauts de lâactualitĂ©, rĂ©server ses colĂšres, choisir ses levĂ©es dâarmes, ses goĂ»ts, ses Ă©cĆurements, demeurer entre les murs de livres, les haies forestiĂšres, les tables dâamis, se souvenir des morts chĂ©ris, sâentourer des siens, prĂȘter secours aux ĂȘtres dont on avait connu le visage et pas uniquement Ă©tudiĂ© lâexistence statistique. En somme, se dĂ©tourner. Mieux encore ! DisparaĂźtre. « Dissimule ta vie », disait Ăpicure dans lâune de ses maximes (en lâoccurrence câĂ©tait peu rĂ©ussi car on se souvenait de lui deux millĂ©naires aprĂšs sa mort). Il avait donnĂ© lĂ une devise pour les chemins noirs.
Nous serions de grandes troupes sur ces contre-allĂ©es car nous Ă©tions nombreux Ă dĂ©velopper une allergie aux illusions virtuelles. Les sommations de lâĂ©poque nous fatiguaient : Enjoy ! Take care ! Be safe ! Be connected ! Nous Ă©tions dĂ©goĂ»tĂ©s du clignotement des villes. Si nous Ă©crasions Ă coups de talon les Ă©crans livides de nos vies high-tech sâouvrirait un chemin noir, une lueur de tunnel Ă travers le dispositif. Tout cela ne faisait pas un programme politique. CâĂ©tait un carton dâinvitation Ă ficher le camp.
Vivre me semblait le synonyme de « sâĂ©chapper ». NapolĂ©on avait dit au GĂ©nĂ©ral de Caulaincourt dans le traĂźneau qui les ramenait Ă Paris aprĂšs le passage de la Berezina : « Il y a deux sortes dâhommes, ceux qui commandent et ceux qui obĂ©issent. »
Du temps oĂč je mâĂ©tais passionnĂ©ment intĂ©ressĂ© Ă lâEmpire, jusquâĂ prendre mon bain coiffĂ© dâun bicorne, jâavais trouvĂ© cette phrase dĂ©finitive. Aujourdâhui, tordant mes chaussettes sur un banc de vase du Var, je pensais que lâEmpereur avait oubliĂ© une troisiĂšme colonne : les hommes qui fuient. « Sire ! » lui aurais-je dit si je lâavais connu, « Fuir, câest commander ! Câest au moins commander au destin de nâavoir aucune prise sur vous. »
Sur les chemins noirs -
Sylvain Tesson
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