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#terre celte
grandboute · 1 year
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Bretagne magique
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Mai Atelier & Festival Mère Nature
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guesswhogotaname · 1 year
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Here we go again... 
Ça faisait loooooongtemps l'équipe ! Me revoilà après avoir ouvert un dossier perdu sur le bordel de mon ordi intitulé "FICS" et boum je tombe sur cette pépite hehehe! On est toujours sur cet ✨AU multilanguage kt ✨j'espère que ça va vous plaire, n'hésitez pas à partager vos idées et vos critiques ! 🤟 Voilà, kiffez bien votre lecture les djeunes !
Le jour qu'elle avait tant attendu arrivait enfin.
Son cœur battait à la chamade dans sa poitrine, tout le monde la regardait s’avancer vers l’autel. Elle souriait, ravie, impatiente, nerveuse. Tous les représentants des terres celtes étaient venus en Carmélide pour son mariage ; elle était épiée, chaque geste, chaque pas étaient méticuleusement observés, détailler. Elle n’était pas belle, elle le savait, mais elle se sentait fière. Fière d'être la digne fille de sa mère et de son père ; celle qu'on avait choisi pour l'Élu des Dieux. En silence elle leur adressa une prière ancienne, espérant être à la hauteur de ce qu'on attendait d'elle. Son fiancé était là, habillé d’une tunique bleu ciel, la couronne de fleur posée sur sa tête, son air bougon, agacé, ses cheveux noirs, coupé court, tellement différent des hommes d’ici. 
Elle arriva à sa hauteur, mais n’osa pas rencontrer son regard. C'était encore un geste trop démesuré pour elle. Devant eux, le prêtre s’avança, vêtu d’une longue robe sombre, et d’une lourde croix pendant à son cou. Il avait un calice doré entre ses mains. 
« Au commencement, le Seigneur Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul. » Il prononça lentement, pesant contre sa langue le poids de ses mots. 
Ghenifar ne connaissait pas les rites ou les coutumes des chrétiens. Sa mère crachait sur leur pratiques barbare et austère. Son père n’en pensait pas mieux. Son enfance avait été bercée de contes et de légendes ; des Dieux puissants qui se transformaient en rivières ou en forêt, des géants qui siégeaient au sommet des plus hautes montagnes, et qui observaient les Hommes avec compassion et une certaine forme de sévérité. Créatures omniprésentes, toujours parmi eux, témoins silencieux. Ils étaient impétueux et sa famille lui avait appris à craindre la foudre, à lire les signes des sécheresses, les corbeaux morts qui annoncent la peste, les hivers trop rudes qui présagent la guerre. Elle obéissait aux croyances de sa mère et de son peuple. 
Le prêtre continuait son sermon dans cette langue bizarre, aux sonorités écorchées, aigües ; la dévotion dans ses paroles et dans ses yeux rendait son discours presque touchant. 
Ghenifar s’agita, inconfortable ; elle tritura nerveusement la manche de sa robe de noce, inquiète de ce que les Dieux pensèrent d’elle. Ils la foudroieraient sur place si elle prêtait un serment à une icône factice. Elle essaya discrètement de faire signe à sa mère qui se tenait à sa gauche. Cette dernière hocha la tête, grande Reine-Guerrière, elle ne fléchira pas devant les envahisseurs et leur idole de bois. Mais aujourd’hui, les Éternels feront exception pour le bien du peuple celte. 
Ghenifar retourna son attention sur la cérémonie. L’homme, qui se fait appeler « Père » par les invités, approcha le verre des lèvres de son époux. Il prit une gorgée, avant un soupir. 
« Le sang du Christ. » Confia le prêtre devant elle, lui tendant la coupe où reposait un breuvage odorant et ocre à l’intérieur. 
Ghenifar ne comprenait pas les mots, mais elle obéit. Les druides de son pays faisaient ça aussi, ils partageaient dans une jatte plate le sang d’un animal sacrifié et ils le buvaient chacun leur tour, subissant la prophétie envoyée. Dans ces croyances, ce n'était pas anodin, le sacrifice d'un être vivant était nécessaire seulement pour mes fêtes importantes ou avant les batailles décisives. Ici, les gens boivent du sang comme d'autres boiraient-ils du vin ou du lait... Les druides ne prenaient jamais part, ils n'avaient pas de chef, ils servaient les Dieux. Pourquoi alors cet homme que tous appelle "Père" est au service du Roi ? Ghenifar eu soudainement une boulé d'angoisse logée au dessus de sa poitrine, le prêtre était peut-être un mauvais présage, il apporte le dieu usurpateur... Mais tout le monde attendait, impatiemment, elle devait faire comme eux.
Elle fut surprise quand elle prit une lampée du liquide âpre qui puait le vinaigre. C’était du vin. Elle ne put retenir une grimace, le goût infect restait sur sa langue et descendait dans sa gorge. Ce n'était pas du sang. Son futur époux l’observa, étonné de sa réaction, mais il eut un demi-sourire amusé. 
Ghenifar ne put s’empêcher de rougir. 
Le prêtre reprit, dans une voix monotone et solennelle. « Vous avez écouté La parole de Dieu qui a révélé aux Hommes le sens de l’amour et du mariage. Vous allez vous engager l’un envers l’autre. » 
Son époux leva les yeux au ciel, marmonna quelque chose entre ses dents, ses iris sombres ne masquant rien de son agacement absolu. « Oui, bon, allez, grouillez-vous, on n’a pas toute la journée… » 
« Je peux pas aller plus vite c’est les codes ! » 
« Vous savez où je les mets vos codes à la con ? » Il menaça, la mâchoire crispée par sa colère contenue.  
Des murmures se propagèrent dans l’assemblée. Outré, le prêtre semblait avoir les yeux qui sortaient de son crâne. Il souffla un « Enfin Sire ! » en faisant un signe de croix sur son cœur. 
Ghenifar restait muette, elle observait la scène sans en saisir le sens. Les coutumes chrétiennes étaient particulières. Dans sa famille, la foi était pratiquée par des chants et des danses. On appelait les Dieux à rejoindre les festivités, les gens voulaient les honorés par des jeux et d’immense banquet. 
Arthrhy se tourna vers elle et enfin leurs yeux se rencontrèrent. Ghenifar resta suspendue à ses lèvres, observant méticuleusement son futur époux prononcé des mots en brittonique pour que tous ici puis comprendre son affection. Tous allaient être témoins du début de la plus belle histoire d’amour jamais écrite. Elle était si heureuse d’entendre ses vœux, et son cœur s’envolait comme un oiseau libre et fou. 
« Aujourd’hui, Naofa Gwenhwÿfar… » Il n’arriva pas à terminer sa phrase ; les mots avaient pourri sur sa langue et l’odeur amère de la trahison emplissait ses narines. Il la regarda un instant. Elle était d’une beauté attendrissante, presque triste. Elle aussi portait une couronne de fleurs sur ses cheveux bruns, quelques pétales s’étaient perdues dans ses boucles, son visage rond à peine sorti de l’adolescence, ses grands yeux noisette, pétillant d’une joie immense. Elle était trop jeune pour être une épouse, pour être Reine. En déclarant ses vœux d’un mariage éternel et heureux, Arthrhy la condamnait à une vie bien malheureuse. Il avait honte. « Je vous prends pour être ma femme. » Il eut le temps d’une inspiration, les mensonges collaient à sa langue et son palais, il avait l’impression de s’étouffer. La dernière fois qu’il avait prononcé ses mots, c’était par amour et non par devoir. Il trahissait Aconia, et il trahissait cette jeune femme dont il ne connaissait que le nom. Tout les Dieux, anciens et nouveau, devraient le maudirent à l’instant pour son impunité. « Je promets de vous aimer pour le meilleur, pour le pire, dans la maladie ou dans la santé, jusqu’à ce que la mort nous sépare. » Il termina rapidement son scandaleux mensonge, le cœur serré dans sa poitrine.
Lui qui avait cru être un homme intègre, loyal et juste… Il était comme tous les autres ; avide de pouvoir, ce mariage n’était qu’une passerelle pour affermir son privilège sur le trône de Bretagne. Il n’était qu’un menteur, un lâche. Il n’avait rien de l’étoffe des héros et des rois de légende. Ses poings se serrèrent, et sa mâchoire se crispa. Il aurait voulu hurler de rage, mais il resta droit, digne de l’image que le peuple avait d’un souverain. Son règne commençait et le poids sur ses épaules était déjà incommensurable. 
Le roi Léodagan se racla la gorge, il était légèrement embarrassé. 
« Ma fille ne parle pas brittonique, sire. » 
« Elle peut le dire en sa langue natale, ce n’est pas important. » Répondit le Roi, indifférent. 
Les mots rassurants, mais autoritaires de son père lui parvinrent ; un ordre força le serment hors de sa bouche. C’était à son tour de prononcer les vœux qui l’uniraient à jamais à cet homme. 
Ghenifar était terrorisée, ses lèvres tremblèrent, le sang pulsait dans ses veines à une cadence vertigineuse. Elle n’avait pas la force d’élever les yeux, elle fixa le médaillon de son époux, et elle serrait si fort le bouquet dans ses mains que les fleurs elles-mêmes vacillaient. Ce n'était que des mots, elle les avait apprit par cœur dès son enfance, sa mère lui récitait en coiffant ses cheveux indociles, elle répétait "un jour, ma fille, tu épousera un homme, et tu nous rendra fière." Elle avait vécu avec cette épée au bord de la gorge. Elle était une fille, elle devinerait femme et mère, c'était son devoir. Maintenant, elle devait prouver son héritage de femme. Rendre ses parents fiers, être digne. Elle avait presque envie de pleurer et s'enfuir en courant.
« Tha mi… Tha mi… » Elle regarda ses parents qui lui firent un signe impatient de continuer. « Tha mi a' mionnachadh… » Ghenifar balbutia, effrayée du son de sa propre voix dans le silence respectueux de la cérémonie. Toutes ces hommes et ces femmes qui écoutaient son élocution bancale, incertaine, proférer des paroles sacrées, elle était indigne de ce qu’on lui donnait. Elle devina son visage écarlate, ses joues en feu. Ses yeux se levèrent, acte absurde et maladroit, mais elle vit le regard de son époux, sincère et patient. Quelque chose se dénoua dans ses entrailles, libéra sa gorge, et elle sentit les mots coulés hors de ses lèvres avec sérénité et douceur. 
« ‘S mi-mionnachadh air sith 's air gaol a bhi seasamh. Cridhe gu cridhe 's làmh an làimh. Gus an diugh, gu m’ anail mu dheireadh, cha bhi mi ach leatsa. » Elle lui jura un dévouement éternel avec une conviction troublante, Arthrhy en avait mal au cœur. 
L’épouse qu’on lui avait promise était une âme douce, innocente, charmante. Il regrettait de ne jamais pouvoir l’aimer ni de lui offrir ce qu’elle désirait. 
Le prêtre posa sa paume à plat sur sa croix, sans dissimuler son émotion. C’était un mariage réussi, contrairement au précédent qu’il avait eu le malheur d'officier… 
«Le Créateur dit : Voilà pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. » Il déclama à l’assemblée, captive par les Saintes Écritures. «  Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! »
Des invités applaudirent, des convertis chrétiens, ou des amateurs de belles paroles. La famille de la mariée ne semblait pas autant ravie par ces déclarations. Le Roi de Carmélide maugréait dans sa barbe et tapait du pied. Un païen reste un païen. Les paroles des chrétiens ne valaient rien, et le Roi de Carmélide ne se laisserai pas duper. Il cracha derrière son épaule, ces Dieux à lui maudissaient déjà cette union. Mais pour le pouvoir, il fallait faire des sacrifices, même si c'était sa fille qu'il déposait devant l'autel du jugement. C'était elle qui subirait les conséquences de l'avarice de ses parents...
« Vous pouvez embrasser la mariée. » Le prêtre Blaise frappa dans ses mains joyeusement. 
« Hein ? Quoi ? »  Demandèrent à l’unisson Arthrhy ainsi que le père de l’épousée. 
« Bah, c’est dans le livre, il faut que… »
« Devant tout le monde ? » Le Roi s’exclama, le bout des oreilles rouges, et il essaya de toutes ses forces de ne pas prendre compte du fou rire de Léodagan.
« Bah Sire… C’est pour prouver que votre amour est — »
« Ah non, ne commencez pas ! Bon bah… »
Arthrhy ne savait plus où poser son regard, déconcerté, il marmonna une insulte envers le prêtre, ou Dieu, ou peut-être lui-même. 
Ghenifar tourna la tête vers ses parents, cherchant une réponse auprès d’eux, mais son père se tenait les côtes pour ne pas rire, sa figure transformée par une grimace. Sa mère, avec une discrétion immense, murmura de sorte que tous les invités pouvaient l’entendre « Feumaidh tu pòg ris  ! » Ghenifar était rouge jusqu’à la racine de ses cheveux. 
Arthrhy prit les mains de sa femme dans les siennes. Ce n’était qu’un baiser, rien de bien compliqué. Il avança légèrement son visage vers elle, et il avait l’impression que son cœur tremblait. C’était elle qui franchit la dernière limite, un peu brutalement, leurs bouches se rencontrèrent, comme un choc. Le monde se mit à gronder des hurrahs et autres acclamations des invités. Ghenifar sentait le soleil fondre dans son ventre et l’irradier de lumière et de bonheur. 
Arthrhy s’éloigna rapidement sans considérer celle qui venait de devenir sienne, son visage fermé dans une expression rude. Il gagnait un royaume, un peuple obéissant et soumis à son pouvoir indiscutable. Son destin était lancé, et pourtant il était vaincu. Il avait perdu. 
Elle le suivit du regard, interdite devant l’autel, son bouquet à la main, ses rêves plein les yeux. Elle comprit sa place : aux premières loges du début d’une tragédie. 
Les paroles du prêtre résonnaient dans sa tête comme un avertissement, un oracle ombrageux. Les dés étaient jetés ; elle eut comme un vertige, au fond d'elle-même, elle sombrait. Elle devait enterrer cette enfance candide et son adolescence naïve, pour devenir Autre. Elle s’était liée à un homme, le peuple voulait d’elle la bénédiction de porter ses héritiers, cette figure fidèle et inébranlable aux côtés d’un roi tout puissant. Voilà son rôle, épouse et mère. Un devoir qui lui semblait effroyable, impossible. Le monde comptait sur elle pour accomplir une tâche épouvantable et colossale. Elle prit une profonde inspiration, essayant vainement de calmer les battements hystériques de son cœur. Elle savait ce qui l’attendait désormais. 
La nuit de noces. 
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aurevoirmonty · 4 months
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"[.. ] il est intéressant de reproduire cette significative formule d’exhortation guerrière de l’antique tradition celte : « Combattez pour votre terre et acceptez la mort s’il le faut : car la mort est une victoire et une libération de l’âme ». C’est le même concept qui correspond dans nos traditions classiques à l’expression : mors triumphalis."
Julius Evola, Métaphysique de la Guerre (1935)
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bonsoirs37 · 1 year
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29/05 jour 2 Excursion
6 Arrêts de prévu avec commentaires en Espagnol, anglais et français.
MUROS , culture de moules. 8000 habitants, village de pêcheurs.
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Orio : pour conserver maïs, poisson, pommes de terre... obélisque a chaque extrémité des orios , signe de fertilité, (origine celte) En bois , brique, granit suivant la région.
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A suivre
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whencyclopedfr · 8 months
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Invasion de la Grèce par les Celtes
Entre le Ve et le IVe siècle avant notre ère, les tribus celtes se déplacèrent en masse vers le sud de l'Europe, avec l'intention de s'emparer des terres et des richesses pour nourrir leur nombre croissant. En franchissant les Alpes, ces tribus entrèrent en conflit avec les Romains et les Grecs qui vivaient autour de la Méditerranée. La mort d'Alexandre le Grand (356 av. J.-C. - 323 av. J.-C.) fit de la Grèce une cible facile pour de nombreux chefs celtes opportunistes qui conduisirent leur peuple dans les Balkans, d'abord en Thrace et en Illyrie, avant d'avancer vers la Macédoine.
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faichilleach347 · 1 year
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#SolsticeHiver #SolsticioDeInvierno #WinterSolstice #Celte #Celtique #Celta #Celtic ☸️🌳À chaque instant,un signal. À chaque signal,une réaction de ta part. C'est là alors VIVRE POUR DE VRAI ! Manuscrit des Paroles du Duir-Weid sans nom et sans visage🌳☸️. 👋Madainn mhath!Bonjour tout le monde!👋 🎄🌿🌿🌿🌿🎄 Le Solstice d’Hiver est demain, Mercredi 21 Décembre 2022. 🎄❄️🍎🎁 Les maisons sont décorées de gui, de houx, de pommes de pin, de pommes, de noix, de lierre, de bûches, de petites bougies, d’une Couronne de branches de sapin et de fougères avec du gui et du houx accroché sur la porte, d’un bougeoir de terre cuite en forme de tour à côté de l’Arbre Sacré, craobh an beatha, un petit Chêne Vert en forme de cône, dans un gros pot en terre cuite. Nous le décorons de petits cristaux de roche, de pommes de pin, de petits rondins de bois gravés d’animaux, de guirlandes de lierre et de houx, de petits objets en métal doré, d’autres en terre cuite et peints. Il est replanter en terre 3 jours après les festivités. Dans la cheminée brûle une grosse bûche en chêne. Nous mangeons du porc, chou, carottes, poireaux, endives, purée de pommes de terre à la crème avec ail et persil, pain au levain au seigle et petit épeautre, compote de pomme, en buvant de l’eau, du jus de pomme, du cidre et de la bière. Après le repas, La Veillée, nous buvons le Lait d’or chaud (lait, pâte de curcuma, miel) devant la cheminée en mangeant du gâteau aux pommes et noix et des agrumes, dons nous jetons les écorces dans la cheminée à côté du feu, pour aromatiser la veillée. Nous échangeons des petits cadeaux fait-main en bois, en laine, coton ou lin tissé, en fer, et nous racontons alors histoires et légendes. Un bouquet de gui, de houx, d’olivier et de fougère, cueillis par le Duir-Weid est accroché au-dessus des portes d'entrée, comme protection. Les jours celtes commençant le soir au coucher du Soleil, les festivités commenceront ce soir🎁🍎❄️🎄 👋Grian-Stad Gheamhradh sona a h-uile duine ! Heureux Solstice d'Hiver tout le monde !👋 🎄🌿🌿🌿🌿🎄 https://www.instagram.com/p/CmY__4wNg6N/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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castellsipalaus · 2 years
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Schloß Heidelberg
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L’origen de la ciutat de Heidelberg, més enllà de l’homo heidelbergensis, la mandíbula del qual fou trobada el 1907 i van datar la presència de vida humana a Europa en prop de 600.000 anys, es troba a l’emplaçament del seu castell, on els celtes ja s’hi havien instal·lat pels volts del segle V a.C. bastint una fortalesa.
La seva situació a la riba del riu Neckar, un dels afluents més cabalosos del Rin, li va dotar d’una importància estratègica que els romans, en el seu avanç per terres de Germània van saber veure. L’any 40 d.C., en temps de l’emperador Calígula, van instal·lar un campament a l’antiga fortificació celta i s’hi van estar fins el 260, quan la pressió dels pobles germànics va fer recular la frontera imperial.
La foscor de l’Alta Edat Mitjana va proporcionar poca informació sobre la població que havia crescut a recer de l’antic campament romà. Cap al 769 se la cita com a Bergheim i el 863, la muntanya Heiligenberg acull un monestir consagrat a Sant Miquel.
Cap al 1155, l’antiga fortalesa celta, reconvertida en campament romà, ja és un castell i cau sota l’autoritat dels Hohenstaufen. La ciutat, vinculada geogràficament a la regió de Suàbia, va quedar lligada als destins del Palatinat, un territori del Sacre Imperi Romano-Germànic que acabaria sent regit per la branca bavaresa dels Wittelsbach, i del que Heidelberg es constituí en capital.
Les vicisituds religioses i bèliques van fer que els segles XVI i XVII portessin la inseguretat a Heidelberg, que va viure diferents setges i saqueigs, des de l’inici de la Guerra dels Trenta Anys. Al segle XIX va acollir una Assemblea Nacional Alemanya i una rebel·lió contra Prússia, que llavors estenia els seus territoris per Renània i la seva conca.
La vida cultural de la ciutat té en la seva universitat, la més antiga d’Alemanya (1386) un dels seus baluards, on es va desenvolupar l’Humanisme i la Reforma i on Martí Luter va defensar les seves tesis el 1518.
En l’epoca moderna hi van destacar especialment alguns dels més prestigiosos filòsofs dels segles XIX i XX, com Georg Hegel, Hannah Arendt, Jürgen Habermas o Karl Jaspers. Potser per això, hi existeix el anomenat Passeig dels Filòsofs (Philosophenweg, en alemany), que resumeix el que va representar el Romanticisme alemany per a la ciutat, amb bucòliques vistes de Heidelberg des de la muntanya Heiligenberg.
El Romanticisme alemany va tenir força presència a la ciutat, on van sobresortir autors com Clemens Brentano o Jospeh von Eichendorff. El 1925 el compositor Fred Raymond va escriure la música d’una cançó (Lied, en alemany) a la que Firtz Löhner-Beda y Ernst Neubach van posar la lletra, que resumeix l’esperit d’una època llavors ja llunyana: Ich hab’ mein Herz in Heidelberg verloren (Vaig perdre el meu cor a Heidelberg).
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notrebellefrance · 2 years
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Venasque
L’étymologie du nom « Venasque » viendrait du celto-ligure, « Vindasca (VIème siècle) ou « Vendasca » (Xème siècle). « vind » le préfixe d’origine celte, signifie blanc et « asca », le suffixe ligure, signifie rocher donc rocher blanc, et par extension, qui se voit de loin. En effet, l’expression prend tout son sens puisque Venasque est visible de loin, notamment de Carpentras, dans la plaine.
Venasque a donné son nom au Comtat Venaissin. Cette dénomination dériverait de « Comitatus Vendascensis », Comité de Venasque, une alliance entre les habitants des villages du pays de Venasque contre les attaques extérieures. De Comité, on passa à Comté puis Comtat.
Le village de Venasque possède trois monuments classés Monuments Historiques :
Le baptistère (1840)
Les tours (1892)
L’église (1906)
Le Baptistère
Un des plus anciens édifices religieux de France
« L’histoire de Venasque et celle du baptistère sont fortement liées à l’histoire de la Provence et chaque grande période historique semble avoir marqué la configuration architecturale de ce dernier.
Il a été rendu en 1er lieu à l’Antiquité puis progressivement au Moyen-Age. » thèse E.Dupuis
Il est possible qu’un groupe épiscopal ait pu s’ancrer sur le rocher suite au déferlement des invasions barbares qui auraient incité les évêques de Carpentras à trouver refuge à Venasque du VIe au IXe siècle et repartir ensuite à Carpentras.
le baptistère est situé au nord de l’église Notre Dame, relié à celle-ci par une sorte de « couloir ». Non visible de l’extérieur, il sert de soubassement au presbytère qui date du XIIIème siècle.
Son plan est en forme de croix grecque, l’espace central vouté d’arêtes, s’ouvre sur quatre absides englobées dans des massifs quadrangulaires. Le décor d’arcatures aveugles repose sur des colonnes de réemploi. On dénombre un total de 32 colonnes dont 8 de taille plus importante. Dans le sol se trouve l’emplacement, dans un mortier très ancien, de la cuve baptismale d’origine qui est octogonale.
Au même niveau que le sol de l’édifice, une petite crypte, située sous le chœur de l’église et datant du IVe siècle prouverait qu’une communauté religieuse s’est installée très tôt.
La base de tout évêché, dès le IVème/ Vème siècle, est représenté par une église-cathédrale où se trouve le siège de l’évêque, la cathèdre et un baptistère, dédié à Saint Jean-Baptiste.
A cette époque, il y a de nombreux catéchumènes et l’évêque célèbre le baptême des adultes par immersion deux fois par an, veilles de Pâques et de Pentecôte. Le mot baptême viendrait d’un verbe grec qui signifie « plonger, immerger ».
Le baptistère, bâti au VIème siècle peut-être sur les ruines d’un temple romain, a été remanié aux XI, XII, XIIIème siècles et restauré au XIXème siècle par les Monuments Historiques. Les chapiteaux présents dans l’abside ouest dateraient de l’époque mérovingienne. On trouve à l’abbaye de Montmajour, des chapiteaux similaires à ceux de Venasque.
Dans la voute de l’abside nord se trouvent l’emplacement des vases résonateurs en poterie fine pour améliorer l’acoustique. Cette technique romaine, empruntée aux grecs, sera employée dans les églises jusqu’à la période gothique.
Prosper Mérimée, inspecteur des Monuments Historiques, découvrit l’édifice lors de son voyage dans le midi de la France, en 1834. Il sert alors de cave, son sol est en terre battue et il ne comporte aucune fenêtre. Restauré, il intègre la première liste des Monuments Historiques en 1840.
Les Tours
Extrait de « VENASQUE – Archéologie et Histoire » - Groupe Archéologique de Carpentras et de sa région.
« Les tours constituent le vestige le plus visible et le plus emblématique de l’Antiquité tardive. En avril 1995, le Service Départemental d’Archéologie du Vaucluse et le GACR ont réalisé des sondages sur la place publique au pied des tours. »
Extrait du Texte de Dominique Carru décrivant les résultats de cette opération :
« Les remparts de Venasque forment une ligne défensive placée au sud de l’agglomération perchée et il barre l’éperon naturel de son côté le plus exposé. Depuis longtemps les historiens sont intrigués par l’architecture singulière de cette enceinte, en particulier par la forme de ses trois tours massives, très détachées des courtines. D’abord considérées comme gallo-romaines, ces murailles furent attribuées avec réserve au Moyen-Age (XIIe siècle).La tradition locale tranchait pour une datation sarrasine plus que légendaire mais qui traduisait l’ancienneté du monument. Le rempart est fondé sur le rocher.
Son soubassement formant glacis est conservé sur 1,5m d’élévation. Au-delà en hauteur, sur une moulure de pierre de taille, trois à huit assises de petit appareil irrégulier appartiennent à la phase de construction antique. L’enceinte médiévale se superpose exactement à ces murs selon une reconstruction fidèle du plan originel. »
« …ces sondages ont donc apporté des éléments précis de datation pour le rempart de Venasque dont l’origine doit être désormais placée durant le Bas Empire (IIIe – IVe siècles). Ils ont révélé l’existence d’une nécropole paléochrétienne et mis au jour des éléments architecturaux (d’une porte monumentale ?), dont l’étude s’annonce prometteuse. »
« En 2013, le GACR participa de nouveau à un sondage effectué par le même service d’archéologie, sur l’emplacement dit de la Maison des Tours. Là encore, nous avons découvert un tronçon d’enceinte datant de l’antiquité tardive, comportant des blocs de remploi, dont l’un comporte une moulure identique à celles que l’on trouve à la base des Tours. Ces blocs, « hâtivement agencés », se situent sur un axe nord-est/sud-ouest, et ne sont pas alignés sur les courtines encore visibles. Le mobilier retrouvé a permis de dater cette portion de mur des Ve-VIe siècles. Si les précédentes observations avaient permis de trouver des traces d’une enceinte protohistorique dans l’épaisseur des tours restées en élévation, nous avions ici une juxtaposition des trois murs d’époques différentes : protohistorique au nord, médiévale au sud, antique entre les deux.
Ainsi donc, du IVe au VIe siècle, Venasque fut dotée d’une nouvelle enceinte, qui barrait à nouveau (et de manière monumentale cette fois) l’éperon rocheux, au nord du fossé sec, doublant l’enceinte protohistorique. Il est possible que la première fonction de l’enceinte ait été plus symbolique que réellement défensive, et qu’ensuite il ait fallu la renforcer en divers points, ce qui expliquerait les différents remplois, ainsi que l’abandon partiel des éléments architectoniques abandonnés au sol, peu de temps après leur élévation initiale.
Il est difficile d’émettre une hypothèse sûre expliquant cette nouvelle fortification. De nombreux historiens ont vu là les effets des incursions barbares, mais rien ne l’assure de manière indiscutable.Il semble que l’époque de construction de cette muraille corresponde plus ou moins à la fin de l’occupation du vicus de Notre-Dame-de-Vie, illustrant possiblement un énième (et dernier) mouvement de la population entre le site perché et le vicus de la plaine. La nécropole située sur le galcis des tours, ainsi que les tombes rupestres trouvées à proximité, indiquent clairement une nouvelle occupation du village autour du Ve siècle.
Selon D. Carru, les 18 inscriptions et 5 autels retrouvés sur le site de Venasque laissent à penser que l’oppidum avait gardé, malgré son abandon par sa population, un caractère cultuel important, expliquant possiblement et partiellement ce retour. »
L'église paroissiale Notre-Dame
Une source historique nous éclaire sur la datation de l'église. En 1258, l'abbé de Montmajour fit un don à l'évêque de Carpentras pour qu'il reconstruise l'église de Venasque. Le terme de reconstruction induit donc un édifice antérieur. Cet édifice primitif a du être bâti au VIème siècle, peut-être sous l'épiscopat de Saint Siffrein, car nous savons que ce dernier fit bâtir à Venasque une église dédiée à Sainte-Marie.
L'église du XIIIème siècle fut ensuite remaniée aux XVIIème et XVIIIème siècles.
L'aspect extérieur : des volumes francs bien équilibrés et une silhouette caractéristique
donnée par la toiture de pierre. Les proportions de cette église, aux arêtes nettes, donnent une apparence massive et imposante à l'édifice.
Le monument est orienté, c'est-à-dire que son choeur est dirigé vers l'est. Cette disposition classique d'une église est ici marquée d'une particularité : l'abside n'est pas dans l'axe de la nef. Cette singularité, que certains ont voulu voir symbolique, car rappelant le visage penché du Christ sur la croix, est plutôt due à l'intégration de l'édifice primitif du VIème siècle qui a pu être conservé dans la nouvelle édification du XIIIème siècle.
Des bas-cotés jusqu'au sommet du clocher, les masses architecturales s'étagent élégamment en s'amenuisant. Le clocher, est surmonté d'une balustrade. Sa toiture, à quatre pans, est décorée de motifs de crochets courant le long des arêtes. Surgissant des angles du clocher, quatre gargouilles saillantes permettent de cracher les eaux de pluie à distance des murs. La toiture est faite de dalles de pierre. Ce choix de matériaux pour la couverture d'un édifice est assez courant dans le Comtat, riche en carrières de pierre. Les murs et les toitures sont harmonieusement unifiés à travers ce matériau commun.
Deux portes pour cette église, la principale de style roman du XIIIème siècle et la
seconde du XVIIIème siècle aux lignes influencées par le baroque.
Le portail principal est d'époque romane. Abritée sous un porche voûté en berceau, la porte est encadrée par quatre colonnettes engagées, réunies par un corps de moulures passant au dessus de la porte : l'archivolte.
Les chapiteaux des colonnettes sont ornés de feuillages stylisés. L'un d'eux figure un aigle, un autre, endommagé, un visage humain.
A l'inverse du portail roman en retrait de la façade principale, la porte d'accès côté sud semble, elle, venir à l'avant des fidèles. La maçonnerie forme, en effet, un arrondi en saillie par rapport au mur. C'est notamment ce mouvement ondulatoire qui rapproche cette porte du style baroque. Le fronton triangulaire surplombant l'entrée est orné d'une inscription entourée d'un motif de guirlande. Au sommet de la porte, une statuette de la Vierge est placée dans une niche. Sa gestuelle des bras croisés sur la poitrine exprime sa dévotion à la mission qui lui a été confiée. Placée au-dessus de la porte, la statue rappelle le vocable de l'église dédiée à Sainte-Marie.
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frenchwitchdiary · 2 years
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 Choc des cultures spirituelles (mais cordial) entre mon ami (monothéiste très croyant) et moi (sorcière) sur nos systèmes de croyances respectifs xD
(moi en gras, lui en italique.)
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- Qu’est-ce que tu penses qui arrive aux âmes quand leur corps humain meurt ?
- Quand on meurt, nos âmes vont au paradis avec Dieu Tout-puissant. 
- Tu penses qu’il y a un paradis, un enfer ? Ou bien penses-tu que les âmes errent sur Terre parmi les vivants ? Ou que l’âme retourne dans le corps d’un nouveau-né, pour commencer une nouvelle vie ?
- Oui, il y a le Paradis pour ceux qui font le bien et obéissent à Dieu, et ceux en Enfer qui ont désobéit à Dieu.
- Tu penses que je vais aller en enfer comme je ne suis pas ton Dieu ? :0
- Oui mon ami, mais peut-être que si tu entres dans *nom de sa religion*, tu pourras gagner de m'accompagner au paradis.
- Est-ce que tu veux entendre mes croyances personnelles sur la vie après la mort ? ^^ (Je ne dis pas que j’ai raison et que tu as tort, je crois qu’il y a une part de vérité dans toutes les croyances de chacun. Parce qu’on ne peut pas savoir pour sûr ce qui arrive après la mort, donc basiquement, tout peut arriver, et tout peut être vrai.)
- Oui mon ami, mais *nom de sa religion* est la seule religion dans le monde entier à être vraie. 
- Je crois personnellement que toutes les religions sont un petit fragment de la vérité ineffable.  Je crois en la réincarnation (oui comme les bouddhistes haha). Je crois que lorsqu’on meurt, nous renaissons pour une autre vie, parce que les âmes ont besoin d’expérimenter différentes vies, pour grandir et devenir meilleures. Je crois que les gens ont des vies antérieures, et qu’ils en auront des suivantes après leurs morts. Je pense qu’il y a des jeunes âmes (qui n’ont pas expérimenté beaucoup de vie encore), et des plus vieilles (les vieilles âmes sont souvent des personnes très sages, et elles sont peut-être ici sur Terre pour aider les autres - consciemment ou non - avec la sagesse qu’elles ont accumulé de leurs vies précédentes). Je crois que parfois, certaines âmes ne peuvent pas se réincarner. Elles sont coincées dans le monde des esprits, parce qu’elles n’ont pas achevé leur mission qui leur a été donné (ou qu’elles ont choisi ?) dans cette vie, ou qu’elles ont des regrets, qu’elles n’ont pas finit quelque chose. Donc ces âmes alourdies par des peines et regrets, ne peuvent pas renaître dans un nouveau corps, donc elles deviennent ce qu’on appelle communément des fantômes.
- Je crois que les âmes ont leur propre but et leurs propres intérêts qui nous dépassent. Nous avons des missions dans la vie (peut-être attribuées par Dieu ?) mais nous naissons et l’oublions à la naissance. Nous devons expérimenter la vie pour le découvrir. Nos âmes apprendront des choses de nos vies, de nos erreurs comme de nos succès, elles grandiront chaque fois qu’elles renaîtront. - Je crois aussi que parfois, les âmes se sont perfectionnées elles-mêmes au travers de tout un tas de vies différentes, nous sommes tous au début de nos parcours comme des pierres brutes, et certaines âmes deviennent comme des diamants si elles ont fait beaucoup de bien dans toutes leurs vies.  - et quand on achève ce perfectionnement de l’âme, alors il n’y a plus aucun besoin pour nous de renaître sur la Terre. Alors, nos âmes iront ailleurs, peut-être seront-elles devenues suffisamment pures pour entrer dans le royaume de Dieu.
- Je crois aussi que tous les dieux, de toutes les religions connues, sont des créations de l’esprit humain. Parce que l’âme se souvient qu’il y a quelque chose d’autre, quelque chose de plus haut et de plus pur. C’est pourquoi, dans nos vies terrestres, nous créons des religions et des fois (pluriel de foi) pour retrouver cette hauteur perdue, pour rejoindre cette pure perfection qu’est le Divin. - Donc toutes les divinités que nous connaissons, le Dieu chrétien, le Dieu musulman, le Dieu juif, les dieux païens du panthéon celte, nordique, ceux de la Grèce et de l’Egypte antiques, je crois qu’ils sont tous réels et bien vivants dans le cœur des humains. Ils sont comme les pièces d’un puzzle, chaque religion a une pièce du grand et mystérieux puzzle qu’est Dieu. ^^ On peut seulement lae connaître et lae comprendre après avoir atteint cette perfection de notre propre âme.
- Ce sont toutes tes croyances mon ami ?
- Oui , comme tu peux le voir, mon système de croyances est très large haha. Et je l’aime ainsi, car il valide toutes les croyances des autres aussi ^^  - Je crois que la magie est un outil naturel, qui nous a peut-être été offert par une très vieille force/entité (qu’on pourrait appeler Dieu).
- Tu as de très grandes croyances. Je suis *nom de sa religion*, mais tout le monde a sa propre religion après tout.
- oui, je respecte ta religion. Je ne pense pas les exactes mêmes choses de l’après-mort, mais si on prend le temps d’y penser, nos croyances ne sont pas si différentes dans le fond  :  nous croyons tous les deux en une forme d’identité supérieure, un.e tout-puissant. Nous croyons aussi que les personnes faisant le bien autour d’eux dans leur vie, deviennent meilleures dans leur âme, et ainsi plus proche de Dieu. - Tu crois en un paradis pour les gens bons, je crois que ce paradis advient quand une âme a vécu suffisamment de vies pour devenir pire telle un diamant, et devient de ce fait capable d’entrer dans un autre royaume, celui du tout puissant, et que tu appelles paradis. Tu vois, nos croyances ne sont pas si différentes dans le fond ^^  La seule différence est que tu crois que tu seras jugé par Dieu au moment de ta mort, en se basant sur cette vie que tu es en train de vivre. Je pense personnellement que nos âmes seront jugées (si elles doivent l’être) sur la totalité des différentes vies qu’on aura expérimenté ! ^^
- Certaines personnes renaitront plus de fois, parce qu’elles auront échoué plus de fois, ou se seront égarées parfois. Mais leurs âmes ont besoin de ces traversées du désert, pour finalement trouver leur voie/Dieu après ^^  Toutes ces différentes voies sont valides dans mon système de croyance, parce que l’âme (notre Soi Supérieur) sait mieux que nous ce qu’elle a besoin dans telle vie pour grandir. Et nous ne grandissons pas en empruntant les mêmes chemins, en faisant les mêmes choses.
- Nous avons seulement quelques différences en effet, pas de très grandes, et j’espère qu’un jour tu seras rassuré.e et deviendra *nom de sa religion*. Quand nous serons tous les deux, tu apprendras plein de choses sur *nom de sa religion* et tu l’aimeras beaucoup. Je ne te force à rien du tout mon ami. Je préfère que tu choisisses pour toi même.
- Je ne pense pas me convertir à ta religion, même si je respecte la voie empruntée par les *pratiquants de cette foi* dans cette vie. Le chemin de nos âmes est différent.  - C’est comme si c’était un puzzle géant ineffable comme j’ai dit ^^ Toi, un *nom de sa religion*, as une pièce de ce puzzle. Moi, sorcière qui voue un culte à la nature, a une autre pièce du puzzle. Mais au bout du compte, toutes ces pièces différentes sont réelles et valides, c’est pourquoi nous avons besoin d’un grand nombre de foi et systèmes de croyance différents. Parce que lorsque tu prends toutes ces pièces dans leur ensemble, tu peux alors avoir une meilleure vue plus complète du puzzle entier de ce qu’est le Divin ^^ - Peut-être plus comme une géante boule disco divine en fait hahaha.  Chaque religion ou croyance différentes est une facette. Et toutes ces facettes sont bonnes, parce qu’au fond, elles ne font que leur rôle, refléter la lumière du Divin toute à leur propre manière. 
Et je trouve ça poétique de cette façon.
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Et vous, qu’est-ce que vous croyez qu’il y a après la mort ? ;)
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arnaud-cendrin · 2 years
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Edgar
Edgar prétendait professer la religion des anciens Celtes. Fondamentalement, il n’y avait pour lui ni futur, ni présent, ni passé. Toute chose était appelée à revenir et à se répéter éternellement. Il croyait au Kali-Yuga. Il croyait qu’un fleuve sans fin serpentait au milieu de terres fantasmagoriques, et que dans l’eau de ce fleuve s’entremêlaient toutes les périodes de l’histoire des hommes. Il appelait notre temps : les Âges Sombres.
Selon lui, une guerre effroyable allait avoir lieu, ensanglantant la France, l’Allemagne et les autres pays qui avaient jadis colonisé le monde. Depuis toujours, aussi dément que cela puisse paraître, Edgar se préparait à cela, en sculptant son corps et son esprit. Il ne cherchait pas seulement à assurer sa survie : il attendait le moment où toute forme d’Etat et de pouvoir structuré s’effondrerait en Europe occidentale, pour instaurer de nouveau, sur ses ruines encore fumantes, le règne du druidisme et du paganisme.
Mais d’autres que lui, plus organisés, attendant depuis au moins aussi longtemps l’avènement des mêmes prophéties, s’étaient dressés en travers de sa route.
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Extrait de mon roman "Wild boys" disponible sur kindle
https://www.amazon.fr/dp/B0B5PSX9TP...
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lepartidelamort · 15 days
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« On va rester dans la gentillesse » : le père de Matisse refuse « la haine » et les amalgames de la « droite »
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Christophe Marchais refuse la haine et les amalgames, il est gentil
Depuis quand être un lâche et un mauvais père est devenu valorisant au point de se répandre dans les médias comme la dernière des traînées ?
C’est une véritable question, on ne trouve aucune date officielle.
La Dépêche :
Deux jours après la mort de Matisse à Châteauroux, des roses blanches ont été déposées à l’angle de la rue où le jeune homme a été pris en charge par les secours, ainsi que devant le restaurant du père de la victime. « Ça fait plaisir, ça nous montre que beaucoup de gens nous soutiennent et aimaient ‘Matou’, Matisse », a soufflé son père. Au micro de RTL, Christophe Marchais s’est dit touché par ces attentions.
Mais le père de Matisse a tenu à mettre en garde face aux premières réactions politiques sur le drame… « Ne mélangeons pas tout. Faites attention à tous les bords de droite ou d’ailleurs qui s’approprient ce genre de chose », a-t-il notamment confié. En appelant à attendre la fin des investigations avant de parler des circonstances de la mort de son fils : « Personne ne sait ce qu’il s’est passé, j’entends de tout et de rien, donc ne croyez pas ce qu’il se dit partout, attendez la fin de l’enquête, on saura, ça avance bien déjà ».
Il faut dire que Christophe Marchais, restaurateur, travaille dans un « métier en tension » avec une équipe formidablement multiraciale.
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Marchais, deuxième rang, à droite
« On va faire les choses en mémoire de notre fils, qui était un vrai gentil, donc on va rester dans la gentillesse et puis ne pas partir dans la haine ni la violence« , a témoigné Christophe Marchais avant de conclure : « Pour ‘Matou’, qui était un vrai gentil, soyez pareil ».
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C’est étrange cet usage du mot gentil.
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Avant que la France ne devienne pleinement juive – à la faveur de l’Affaire Dreyfus – et que par suite les Français ne deviennent, littéralement, des « gentils » assumés, comme le dit ce sous-homme, un autre sang coulait dans les veines de la Gaule. Et ces gens-là étaient très différents quant au tempérament.
La Gaule était régie par une somme de peuples guerriers dont les dieux commandaient la défense du clan, de la tribu, de la nation, ici au sens régional.
La vengeance y est un devoir sacré auquel personne ne peut se soustraire sans encourir une vie de souffrances en retour, pour lui et les siens, sur cette terre et dans l’autre monde. Chez les Gaulois, le nom de « vengeur » est un nom de gloire, Divicius. Il répond à l’injustice. C’est l’être méprisable, injuste par faiblesse, qui abandonne les dieux en refusant la vengeance. Il pue autant qu’un cadavre de chien crevé et sa compagnie porte malheur.
Chez les Celtes existe un dieu, Arawn, qui règne sur le monde du dessous où convergent les morts, tous soumis à sa justice par delà le monde sensible. C’est à cette justice éternelle, donc parfaite, que sont soumis les hommes. Toute vengeance létale est à ce titre un sacrifice offert aux dieux, conformément aux obligations de son état.
Quiconque refuse la vengeance insulte ce qu’il y a de plus sacré. A contrario, le vengeur est toujours récompensé par son peuple, mais plus encore par les dieux.
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Démocratie Participative
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guesswhogotaname · 2 years
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Petite idée qui traîne dans mes brouillons☀️
Bah dit donc, ça faisait traping longtemps les djeunes qu'on avait pas causé tranquillou ! Je fais un comeback la mif après un loooooong moment de silence (en même temps, il y avait Kenobi, les teaser de la nouvelle série du seigneur des anneaux, faut pas m'en vouloir de m'être perdue) mais kaamelott c'est comme rentrer à la maison après les vacances, ça fait du bien de prendre de la distance, mais on est tellement heureux de rentrer chez soi... Bref... Sur ses belles paroles, emplies de sentiments et de poésies, je voulais vous partager une idée qui attendait dans mes drafts depuis des siècles...
« La mort n’est qu’un autre chemin » disait un proverbe quelconque, prononcé par un abruti qui se pensait génie visionnaire. 
Non, la mort est une épopée périlleuse, pénible, encore plus épuisante que la vie même. Les chanceux mourraient heureux, pénards, en plein sommeil. Mais Arthur Pendragon ne faisait pas parmi de ces chanceux-là. Sa vie avait été une longue suite de mésaventures plus ou moins catastrophiques et absurdes. Pour qui il se prenait pour penser bêtement que sa mort allait être paisible ? Même avec ses cheveux gris et ses rides, qui n’étaient qu’une preuve du temps qui passe inlassablement, des gens venaient quand même le faire chier. Et plus particulièrement une fée qui proclame à trois heures du matin, alors qu’une toux l’assène, qu’elle doit l’emmener à Avalon. 
Et puis quoi encore ? Sa vie avait été au service des Dieux, son destin tout tracé dès l’âge de trois ans où de la pierre il avait retiré l’épée. 
Sa mort, elle lui appartenait. 
« C’est pénible de mourir. » pensa Arthur, agacé, alors qu’une nouvelle quinte de toux brûlait sa gorge.
Dans son souvenir, ce n’était pas comme ça. 
En temps que Roi, il avait frôler la mort plus d’une fois, au combat par exemple, c’était un instant insaisissable, une seconde où le monde se renverse, et le temps se suspend, l’épée qui porte le coup de grâce, et la force salvatrice qui l’évite, promettant de vivre un jour de plus. La mort ou la vie, étrangement lié, à quelques secondes près. 
Il avait cherché la mort aussi, un moment perdu, l’eau chaude du bain, les yeux qui peinent à rester ouvert, cette sensation de se laisser glisser lentement, le cerveau devenu bouille de rêves, tout qui s’arrête, ralenti, la machine infernal qui enfin, s’éteint. Une autre fois alors que les ruines de son ancienne demeure s’effondrait, lui offrant le parfait tombeau, pour lui et sa culpabilité. 
Ces tentatives avaient été des échecs terrible : il avait survécu à tout. Le « destin » sans doute, qui avait à chaque fois décidé de l’épargner. 
Alors il avait vécu, profitant, jouissant, dévorant les secondes qu’on lui offrait. Il avait rempli son devoir de souverain : protéger et gouverner son peuple. Tardivement, il avait rempli son rôle d’époux. Il avait chéri ses amis et battu ses ennemis. Et voilà.
Bien-sûr, il n’avait pas trouvé le Saint Graal. Bien-sûr il avait échoué dans l’unification total d’une nation celte. Bien-sûr, il n’avait pas fait tout ce qu’il aurait dû, aurait pu faire. 
Mais il était en paix et comblé de cette pérégrination sur la Terre. 
Hélas, la mort ne venait pas. 
« C’est compliqué de mourir. » Il rectifia à lui-même, et il eut cette réflexion de vieux con qu'il avait toujours méprisé dans sa jeunesse, mais qui, en vieillissant, était devenu son adage "Aujourd’hui tout est compliqué."
Monter les escaliers de pierre de sa forteresse était un supplice pour ses vieux genoux. Se baisser pour ramasser une fleur, un papier, ou même son épée, étaient une torture, son dos en miette, grinçait comme une vieille porte. Devoir rester éveillé lors des audiences ou autres séances de doléance, un calvaire. Il s’endormait, et ronflait comme un bien heureux lors des réunions sur la stratégie de la défense du royaume. Les progrès technique au niveau militaire le laissait bouche-bée, dépassé, on lui disait "Mais Sire, maintenant, on ne fait plus comme ça..." Et la nouvelle génération avait forcément raison.
Son corps et son esprit étaient épuisés de sa longue et trépidante existence. C’est vrai, il avait tout fait : orphelin, soldat à la milice romaine, centurion, Dux bellorum, Roi de Bretagne, exilé, mendiant, esclave, puis roi de nouveau. 
Il essaya en vain de se redresser sur ses oreillers. Les servantes dormaient déjà, épuisées de leurs corvées, et il n’avait pas le cœur à les emmerder davantage. 
Arthur ne put contenir le dessin d’un sourire, il s’était adouci au fil des années. Il n’avait jamais été cruel ou tyrannique, et on lui avait reproché bien souvent sa « gentillesse » ou de son « altruisme ». Depuis qu’il était membre du club du troisième âge, il s’était ramolli, comme un bonbon au miel laissé une journée au soleil. 
Quand il voyait les servantes monter les escaliers pour lui apporter son petit déjeuner, il les remerciait chaleureusement de leurs terribles efforts. Elles gloussaient « Oh Sire, vous être trop bon avec nous ! », et du coin de l’œil, il jurait reconnaître les traits de Nessa. Parfois, il confondait. La petite cuisinière était le portrait d’Azenor. Le fils du seigneur Aglován avait le même regard ahuri et benêt qu’Hervé de Rinel. 
Tout se mélangeait : les visages, les prénoms et les souvenirs. 
Ceux qu’il avait fréquenté avaient disparu, ou comme lui, étaient assis parmi les vieillards, qui prenaient la poussière, des grimoires, emplis de sagesse d’un autre temps.
Beaucoup étaient rentrés chez eux, et avaient laissé la place à leurs descendants pour habiter le château. 
Les chevaliers qui comptaient dorénavant à la Table Ronde, il les avait connus, adolescents, bambins pour certains. Il voyait le seigneur Lucan dans les couloirs, et il ne pouvait pas effacer l’image du petit garçon aux joues rondes, pas plus haut que trois pommes, qui lui courrait dans ses pattes en l’appelant « oncle ». Le pauvre, il rougissait d’embarras à l’évocation de ces souvenirs, et le cœur d’Arthur en était gonflé d’attendrissement. 
Alors qu’il était profondément perdu dans ses remémorations, comme souvent pendant ses nuits d’insomnie, il entendit comme un chant.
« Arthur… Arthur… Arthur… »
En plus d’être un vieillard, il devenait maboul. Il regarda autour de lui, méfiant. Il tendit l’oreille, guettant le moindre bruit…
C’est alors que dans un tourbillon de lumière, un nuage d’or et de bleu, une silhouette apparut au pied de son lit. 
Arthur, qui avait passé plus de quinze ans avec les apparitions de la Dame du Lac, ne fit pas totalement terrifier. Il risquait l’arrêt cardiaque à chaque instant. 
Le brouillard se dissipa et une femme se tenait là. La peau pâle telle la mort. Les cheveux aussi sombres que la nuit, attaché en chignon, et sur son front pendait un lourd diadème blanc, brillant comme une étoile. Des yeux d’un vert amande et sur ses joues des spirales étranges, des larmes noires. Elle était habillée d’un immense manteau en fourrure d’ours. 
« Ravie de vous revoir Arthur. Ça faisait longtemps… » 
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aurevoirmonty · 6 months
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"[…] il est intéressant de reproduire cette significative formule d’exhortation guerrière de l’antique tradition celte : « Combattez pour votre terre et acceptez la mort s’il le faut : car la mort est une victoire et une libération de l’âme ». C’est le même concept qui correspond dans nos traditions classiques à l’expression : mors triumphalis."
Julius Evola, Métaphysique de la Guerre (1935)
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finaguide · 3 months
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Le Portugal est un pays de contrastes étonnants
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Voulant suivre l'Europe moderne, certaines régions du pays ont l'air de style européen.  Il y a aussi des régions où les traditions sont respectées.  Au Portugal, il existe encore des colonies où la terre est labourée avec des bœufs et les gens continuent de porter des vêtements noirs.
 L'histoire séculaire de l'État a laissé une marque indélébile sur les régions, les villes et les habitants.  Les Phéniciens ont été les premiers à s'installer sur le territoire du pays, puis les Romains sont arrivés au pouvoir, laissant en héritage des villes nouvelles et des routes de grande qualité.  Les Juifs travaillaient comme spécialistes dans le domaine médical et comme artisans.  Les Maures étaient des maîtres bâtisseurs de forteresses, cultivaient des jardins étonnants et construisaient des colonies où des rues étroites s'entrelacent de manière fantaisiste.
 Intéressant à savoir !  Des personnes à la peau blanche et aux yeux bleus vivent dans le nord du pays - descendants de Celtes et de tribus germaniques.  Les habitants des régions du sud se caractérisent par une peau mate et des yeux noirs.
 Dans les moments difficiles, de nombreux habitants ont émigré du Portugal, mais aujourd'hui, en période de prospérité économique, le pays se renforce à nouveau - de nouveaux bâtiments résidentiels apparaissent (principalement dans les régions du nord).  L'État attire de nombreux immigrants.  C'est la meilleure preuve que le Portugal est devenu un pays véritablement démocratique, européen et stable.
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christophe76460 · 3 months
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Joyeux Noël ! L’expression semble vieille comme le monde. Pourtant cette fête ne fait pas l’unanimité.
Qu’en est-il exactement ?Fêter Noël ? Qu'est-ce que c'est son historique et origine?
Ce qui ressort de mes différentes lectures, c'est qu'un peu partout dans le monde, Noël était la fête du soleil, et donc de la lumière, ce qui en confirme l'origine païenne. Elle correspondait en effet au solstice d'hiver, daté au 21 décembre du calendrier julien, et au 25 décembre de notre calendrier. A partir de cette date, les jours commencent à rallonger, et donc la lumière à reprendre du terrain sur les ténèbres..
Certains attribuent à Noël une origine hébraïque, à cause de sa terminaison en El, d'autres une origine grecque, d'autres romaine ou celte … Les deux étymologies les plus vraisemblables seraient latine et celte.
- Noël pourrait venir de Natalis : naissance, en latin. Cette fête célébrait la naissance du soleil.
- Noël pourrait aussi avoir une origine celte (gauloise) : Noïo Hel, ce qui signifie nouveau soleil.
Depuis quand fête-t-on la naissance de Jésus ?
Les premiers chrétiens ne fêtaient pas Noël. Ils célébraient avant tout la mort et la résurrection de Jésus.
La date de la naissance de Jésus n'était et n'est toujours pas connue avec certitude. Des anciens la situaient en automne, d'autres pensent au contraire qu'elle serait plutôt au printemps, car la bible nous dit que les bergers gardaient leurs troupeaux et dormaient dehors.
C'est vers la fin du IVè siècle que l'église catholique romaine a commencé à célébrer Noël le 25 décembre. Un savant calcul aurait défini la naissance de Jean, le cousin de Jésus, dit le Baptiste, au 24 juin, et donc celle de Jésus six mois plus tard, le 25 décembre.
Si Noël n'est pas la date d'anniversaire de Jésus, alors pourquoi le fêter ?
voici quelques raisons qui fait que nous fêtons Jésus-Christ pas juste le 25 décembre mais bien tous les jours de l'année…
- Jésus est la lumière du monde (Jean 8:12), c'est lui-même qui nous l'a dit. Associer Jésus à la lumière a un vrai sens biblique.
- Jésus est Dieu, et Dieu est amour (1 Jean 4.16). Noël est par définition la grande fête de famille de l'année, celle où les gens seuls souffrent le plus. Celle où les gestes de fraternité et de solidarité sont multiples, quelles que soient les croyances des gens.
- Jésus est le prince de la paix (Esaïe 9.5). La nuit de Noël est la seule de l'année où les combats sont mis en pause, et où les ennemis acharnés peuvent même pour quelques heures chanter ensemble, comme cette belle histoire dans les tranchées de la guerre de 14-18 entre soldats allemands et français.
Noël est souvent le seul moment dans l'année où on peut parler ouvertement de Jésus, de sa naissance et de la raison de sa venue dans le monde.
"Marie mit au monde son premier-né : un fils. Elle l’emmaillota dans des langes et le coucha dans une mangeoire, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux à l’intérieur des auberges.
Dans les champs environnants, des bergers passaient la nuit à la belle étoile et surveillaient tour à tour leurs troupeaux.
Tout à coup, ils virent apparaître devant eux un ange du Seigneur resplendissant d’une gloire divine. La peur s’empara d’eux.
Mais l’ange les rassura : — N’ayez pas peur, car je viens vous annoncer une heureuse nouvelle qui sera, pour tout le peuple, un très grand sujet de joie :
cette nuit même, dans la ville de David, est né votre Sauveur, celui qui vous délivrera. C’est le Messie, le Seigneur."
Luc 2:7-11
Une chose est certaine nous devons annoncer à tous peuples sur la terre qu'un sauveur est venu sur terre pour accomplir le plan divin pour le salut de l'humanité!
Passez une belle journée entouré de vos bien-aimés et soyez béni abondamment
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