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#si quelqu'un craque
soeurdelune · 1 year
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avatars (400 x 640): arthur darvill ; signés lune/soeurdelune
📣 on demande Jack Everleigh à l'accueil, je répète, on demande Jack Everleigh à l'accueil de Noctivagus!
— chasseur de créatures malchanceux et maladroit métamorphosé en stryge, le bougre est attendu avec impatience par sa famille de sang et de pierre. • faceclaims suggérés: arthur darvill, jeremy allen white... liens pratiques: préliens de la famille everleigh + pl du nid de stryges
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loup-venant · 8 months
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Vivantes
"Comment veux-tu que je reste calme ?" Melhurmur accompagne sa plainte d'une voix geignarde et de coups dans l'eau. "Il fait noir. Je suis trempée jusqu'aux os. J'ai mal partout. Le grimoire est au fond de la Brume. J'ai aucune idée d'où nous sommes. Et, on continue à s'enfoncer dans ce marais nauséabond qui me glace le sang!" Elle doit être au bout de ses limites.
Une branche craque à une dizaine de mètres et capte mon attention. "Chhhhhhhhh!" "Madeaaa," gémit Melhurmur, non convaincue par ma vigilance. "Ce lieu est désert. Je n'ai pas entendu ne serait-ce qu'un seul oiseau chanter depuis qu'on y est entré". "Exactement, c'est ce qui m'inquiète," En temps normal, les oiseaux alarment le reste du bois quand on pénètre dans leur domaine. Et ici, pas un cris, ni d'autre bruit, si ce n'est l'eau qui clapote. "J'aimerais bien les voir ceux qui nous suivent, avec de l'eau jusqu'au dessus du nombril." soutient Melhurmur d'un ton agacé. J'estime que si je ne vois rien, nos éventuels poursuivant n'en voit pas plus. Je m'approche de Melhurmur et cherche à attraper sa main. Elle sursaute, "Hey ! Qu'est ce que tu fais ?!" J'essaie de la rassurer, "Donne moi ta ma main, allons-y." "Je ne suis plus une enfant !" crie-elle, indignée. J'en ai plus qu'assez de ses crises et je laisse s'échapper d'un coup toute ma frustration, "Tu préfères te débrouiller toute seule pour sortir d'ici ? Peut-être que tu serais mieux avec ces quatre guerriers aux sourires libidineux et la dague tranchante ?". Je m'arrête et respire, mais la tension reste, alors je poursuis, "Non ? Alors, donne moi ta main," sur un ton qui ne laisse aucune place au choix. Melhurmur ne répond pas tout de suite. Je ne la vois pas mais je sais qu'elle est là, car l'eau reste calme. Après un instant, je sens sa main contre moi. Elle reste silencieuse.
J'avance doucement, une main devant moi me sert de guide, et l'autre derrière tient celle de Melhurmur. Mes pieds cherchent leur stabilité et se posent l'un après l'autre. Melhurmur n'a rien dit depuis que j'ai haussé la voix. Je ne pensais pas que ce serait si efficace, et une partie de moi s'en veut de lui avoir crié dessus. "Tu sais, ce n'était pas contre toi." C'est vrai. "C'est la première fois qu'on me demande d'escorter une enfant." Melhurmur ne répond pas, mais une légère tension dans sa main trahis sa frustration. Elle n'apprécie sans doute pas être considérée comme une enfant.
J'avais vingt et un ans quand j'ai quitté Val Tereigne pour la première fois, et même si elle n'a que deux ans de moins, j'ai du mal à cerner autre chose que la naïveté qui rayonne de son comportement. Qu'est ce qu'elle croit, honnêtement ? Un vieil homme frappe à la porte de chez ses parents et la presse de le suivre sans lui expliquer quoi que ce soit. Et elle le fait sans se retourner. Une semaine plus tard, ils arrivent à Holiad. Quelqu'un essaie de les tuer tous les deux, et elle continue à le suivre. Ce même vieil homme lui explique qu'il a une affaire urgente à régler. Qu'il l'attendra à Val Tereigne à la fin du mois quand le premier quart d'Ismeer soulignera l'absence d'Or. Pour s'y rendre, il lui indique uniquement le chemin qui permet de descendre le long de la Brume jusqu'à sa rencontre avec le Raenor, et elle accepte à nouveau sans broncher. Si je n'avais pas entendu leur conversation à Holiad, elle y serait restée dans la Brume.
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cellobis · 1 year
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dans le ciel
Cher L.. , j'éprouve le besoin de t'écrire. Tu le sais, j'aime tant écrire, c'est ma thérapie depuis que je suis ado. Des tas de poèmes et puis un livre ou deux parfois. Alors cet après-midi juste au milieu de l'océan si large, celui qui sépare le pays de ta naissance et celui de la mienne, là juste au milieu de ce qui devient maintenant ta vie et de ce qui reste de la mienne, je suis tout proche à tes côtés. Notre destin a inversé les choses : tu as quitté ton Brésil, et tu es maintenant en France chez moi, dans ce pays que tu as choisi pour faire les études qui te permettrons d'atteindre le sommet de tes prétentions avec ton violoncelle, et j'ai quitté ma France pour arriver dans une autre, la Guyane où j'ai choisi de continuer encore de travailler. Je t'abandonne, mais pas longtemps, vas.
Tu en as vu d'autres et tu t'en remettras. Tu es quelqu'un, toi
Comment eus-tu voulu que je ne craque pas devant tes yeux, quand tu m’as raconté toute ton histoire, l’exil, la rue, et tout ça.
Alors comment voulais-tu que je ne t’invite pas chez moi, quand tu es tombé du ciel , mon Prince, à côté de chez moi, comme ça.
Car pour moi ce n’est rien de donner à manger, que je t’ouvre la porte de ta chambre qui n'est que jamais tienne, même si tu y fais déjà venir tes copains. Après tu me raconteras en souriant vos histoires. Et nos sourires se regarderont cachant nos pudeurs dévoilées. 
Reste surtout gamin, ça me rappelle trop que j’ai toujours encore ce côté coquin encore aussi de gamin, insouciant, poète, ado, rêveur.
C’est drôle, tu sais, la poésie avec ses rimes : j’aurai été ton hébergeur, et tu auras été mon professeur.
Grâce à toi, ça y est, je l’ai eu ce concerto mythique d’Elgar. Jamais j’aurais cru arriver à jouer ça avec mes pauvres doigts quand guidés par les tiens. Même si tu te moquais de mes maladresses et mes chagrins. j'ai emmené avec moi la partoche. Je la réviserai te temps à autre pour ne pas oublier. Je chanterai dans ma tête les notes en regardant bouger mes doigts. Et en pensant à toi.
Quand seront finis les échanges de mon frigo ouvert pour ton ventre d’ado d'à peine 55 kilos toujours affamé, et de tes cours donnés à un ancien ado musicien amateur, 
Quand tu seras parti en septembre pour un autre conservatoire
Quand tu partiras vers d’autres terres molles
Quand je ne pourrai comme jamais laisser de côté mes idées folles  
Que deviendront avec le temps qui file nos vies,
la tienne qui s’ouvre, et la mienne qui se ferme,
ainsi va la vie avec les souvenirs qui fout la nostalgie.
Allez, j’arrête mon cinéma
et je te laisse à toi.
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jkpfr · 1 year
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Hier soir, elle est passée devant un garçon qui pleurait. Il était assis par terre contre un mur, renfermé sur lui-même, et cachait très mal le bruit de ses sanglots. Hésitante, elle s'est arrêtée à quelques pas de lui, mais il ne l'a visiblement pas remarquée. Pour une raison ou une autre, elle avait beaucoup de peine pour lui, mais sa crainte d'être en retard à la maison la dépassait de loin... alors elle a passé son chemin.
Ce soir, elle est contente ; le prof de maths a laissé sa classe sortir plus tôt. Elle aurait pu en profiter pour bavarder avec ses copines, exceptionnellement, mais elle a décidé de rentrer. Elle se demande si c'est normal. En fait, plus elle avance, plus elle se demande s'il ne va pas trouver un moyen de s'énerver, s'il ne va pas croire qu'elle a séché...
C'est alors qu'elle le revoit – pas lui, le garçon. Exactement au même endroit, il cache une fois de plus son visage contre ses jambes, un peu plus silencieux cette fois.
Il n'a pas dormi là, quand-même.. ? Il ne vit pas dans la rue... si ? Non, non, se dit-elle. Elle l'aurait vu ce matin aussi. Pour une raison ou pour une autre, il est revenu. Au fond, on pourrait dire que « pour une raison ou pour une autre, elle a décidé de rentrer tôt... » Elle ne peut pas reprocher à d'autres de faire des choix inexplicables.
Une fois de plus, elle s'arrête. Une fois de plus, il ne réagit pas. Elle le regarde quelques instants en silence... Peut-être qu'il sait qu'elle est là, car il fait d'audibles efforts pour faire taire ses larmes.
Elle ne sait pas pourquoi ce garçon la dérange. Hier même, elle aurait pu passer son chemin sans y prendre garde, mais quelque-chose a attiré son attention. Quand elle le voit, son cœur se serre... Elle sait qu'elle est sensible, mais elle se bat chaque jour pour ne plus l'être. Est-il une preuve de son échec ? Ça, ça la dérange...
C'est pourtant une pensée différente qui finit par dominer son esprit : « je serai à l'heure. »
Elle décide alors de s'asseoir par terre à côté de lui, et elle reste là, à le regarder, plusieurs minutes en silence.
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Il doit être un peu bizarre, pour décider de l'ignorer aussi longtemps, mais il n'est probablement pas complètement idiot ; en fait, il essaie plus fort encore de retenir ses sanglots, mais ça a l'air d'empirer les choses.
C'est peut-être parce qu'il craque qu'il lève enfin la tête pour la regarder. Il a séché son visage contre son jean, mais ses yeux sont rouge vif.
« - Qu'est-ce que tu veux ? »
Il ne parle pas très fort, au point où il doit s'agir de plus que de se retenir de pleurer. Il doit être timide.
Elle est un peu surprise qu'il lui parle enfin, alors elle hésite quelques instants avant de répondre :
« - T'as l'air triste, alors forcément, je me demande ce qui va pas. »
Il la regarde comme si c'était elle qui était bizarre, et tourne lentement la tête pour fixer ses propres jambes, puis marmonne :
« - Forcément.. ?
- Quoi ?
- Forcément de rien du tout. Plein de monde s'en fout.
- Oh. »
Elle hésite une fois de plus. Elle peut facilement s'imaginer qu'il se sent isolé à l'école, ou quelque-chose comme ça. À voir enfin son visage, elle réalise qu'il est un peu plus âgé qu'elle, mais il ne doit pas être beaucoup plus vieux. Peut-être un an, maximum deux ans de plus.
« - C'est pour ça que tu es triste ?
- ...Non. »
Il tourne encore plus la tête, pour ne pas la regarder. Elle reconnaît ce « non, » c'est un non qui veut dire « j'ai réalisé que c'était un peu oui alors que j'étais en train de le dire. » Elle continue néanmoins...
« - Alors pourquoi ?
- C'est... c'est n'importe quoi. Je vais pas raconter mes problèmes à une gamine que je connais pas. »
Une gamine ? C'est un peu condescendant, non ? C'est ce qu'elle se dit, mais sa voix contient tellement de peine... qu'elle n'arrive pas à ressentir quoi que ce soit d'autre envers lui.
« - Moi, quand je me sens seule, j'aimerais bien que quelqu'un me laisse lui raconter tout ce qui va pas.
- ... »
Quelques secondes s'écoulent, puis un gros sanglot lui échappe.
« Pour une raison ou pour une autre, » d'un coup, elle tremble.
« - Je peux vraiment.. ?
- Oui ! »
Est-ce qu'elle est cruelle ? Quand elle réalise qu'au lieu de s'énerver, il pleure plus fort, elle se sent rassurée. Elle se sent mieux... elle n'a pas de peine à attendre qu'il se calme un peu avant de continuer à parler.
« - … Ma maman me manque. »
En guise de ponctuation, il choppe son propre visage avec violence, comme s'il regrettait ce qu'il vient de dire. Pourtant, quand le cœur de la jeune fille se met à battre plus vite, ce n'est toujours pas par peur.
« - Elle est partie ?
- Elle est... elle est... morte. Il y a longtemps.
- Oh, je suis vraiment désolée de l'apprendre. »
Elle secoue de la tête... oui, c'est vraiment très triste. Elle ne sait pas pourquoi sa réaction le fait grimacer.
« - Moi non-plus, je n'ai pas ma maman. Mais je ne me souviens pas d'elle, et je ne sais pas ce qui lui est arrivé.
- Hein ? »
Il fronce les sourcils et la regarde droit dans les yeux. Quoi, il ne la croit pas ? Enfin, ce qui compte, c'est qu'il pleure un peu moins fort.
« - … J-Je vois. Alors peut-être qu'on se comprend un peu. »
Il détourne une fois de plus la tête, mais qu'il dise ça, ça lui fait plaisir.
« - Après, si tu es triste parce que tu es en deuil, je ne peux pas forcément comprendre complètement, mais...
- Je ne sais pas si c'est pour ça que je pleure.
- Ah ? »
Il cache une fois de plus son visage contre ses jambes. Elle est obligée d'approcher sa tête pour mieux l'entendre.
« - J'ai peur.
- De ? »
Il hésite longuement. Elle ne peut pas s'empêcher de regarder l'heure sur sa montre... mais ça va, elle est encore dans les temps.
« - Mon père.
- ...Oh. »
Elle... rigole.
Elle rigole, et ça les choque visiblement tous les deux.
« - Moi aussi !
- Quoi ?
- J'ai même pas le droit d'être dehors ! Mais si je rentre tôt, il va dire que je lui mens, et que j'ai séché un cours. »
Le garçon ouvre grand la bouche, et quand il lui répond, elle est surprise d'entendre sa voix normale.
« - Papa, par moments il est extrêmement strict sur nos horaires, et par d'autres il rentre super tard le soir, et je ne sais jamais s'il va me traiter comme un... un abruti d'avoir été trop sage, ou m'engueuler pour ne pas avoir respecté toutes les règles quand-même.
- P-Pareil, un peu. J'essaie d'apprendre par cœur les règles, mais des fois, j'ai l'impression que quoi que je fasse, il va s'énever.
- Est-ce qu'il te frappe ? 
- Euh... »
Tout d'un coup, le garçon s'est emballé, et tourné vers elle, la main par terre pour se rapprocher d'elle. Il ne pleure plus, et la regarde une nouvelle fois droit dans les yeux. Elle s'imagine encore une fois que c'est l'élève un peu bizarre, à l'école.
Elle est un peu embarrassée... Mais il a l'air tellement sincère... Qu'elle fait un effort.
« - Pas trop. Enfin, pas souvent. En-enfin, pas vraiment. Ça arrive, mais j'irais pas dire « mon père me frappe, » c'est... je pense pas que ce soit ça, tu vois ?
- Même s'il te frappe que des fois, c'est pas juste. »
Elle sursaute. Il... Il lui a mis les larmes aux yeux.. ! Qu'est-ce qu'il lui prend ?
« - Je déteste me faire frapper. Ça me donne pas envie qu'une fille plus jeune que moi se fasse frapper. »
Il la traite vraiment comme si elle était beaucoup plus jeune.
« - J-Je... C'est vrai... Je trouve que c'est pas juste.
- Je... suis désolé. »
Il fixe le sol entre eux, cette fois.
Elle se trouve légèrement troublée. Ce qu'il dit, ça l'énerve d'une manière qu'elle a du mal à comprendre – mais en même temps, son cœur bat fort à l'idée d'être tombée sur quelqu'un qui la comprend.
Elle ne sait plus quoi dire. Elle hésite... hésite... hésite encore... Et c'est lui qui coupe le silence.
« - Il est quelle heure ? Tu vas être à l'heure à la maison ?
- Han ! »
Rougissant, elle regarde à nouveau sa montre. Quand elle voit qu'elle est pile dans les temps... elle pousse un long soupir.
« - Oui... ça va... il faut que j'y aille, par contre.
- D'accord. »
Elle se lève immédiatement et replace son sac correctement sur son épaule. Il reste assis par terre, la fixant d'en bas, et elle réfléchit à toute vitesse... elle veut lui dire quelque-chose avant de partir.
Mais quoi ?
Quelle est la bonne chose à dire ?
« - … Et toi ? Tu ne vas pas avoir de problèmes ? »
Pour la première fois, il sourit.
« - J'en sais rien. »
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baby-lalune · 2 years
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depuis le début de l'année, je constate avec beaucoup de tristesse que la majorité des fois où j'ai réussi à pleurer, c'est dans ses bras à lui. souvent, j'ai pleuré comme j'ai rarement pleuré devant quelqu'un. j'ai été dans la plus grande vulnérabilité, sans retenir aucun de mes sanglots.
petite, j'ai toujours été réprimandée pour mes pleurs. pleurer était signe de faiblesse, c'était de l'hypocrisie, du caprice, de la demande d'attention, et si je continuais elle allait « me donner une bonne raison de pleurer ».
elle ne saisit toujours pas aujourd'hui, à quel point ça m'a traumatisée. à quel point ça m'a empêchée d'être gentille avec moi, d'avoir la capacité émotionnelle de laisser l'espace aux autres pour être ce qu'ils sont, pour ressentir. ça a eu un impact considérable sur ma façon de considérer mes relations, de prendre en compte le take care.
cette année, j'ai pu le lui dire. verbalement et clairement : « toute mon enfance, tu m'as empêchée de pleurer. durant mon adolescence, tu m'as souvent menacée parce que je pleurais. tu détestes mes larmes, mais c'est ma façon de m'exprimer. je pleure quand je suis heureuse, quand je suis fatiguée, agacée, énervée, triste. je pleure, je m'exprime et je n'attends pas que ça te plaise, juste que tu arrêtes de m'enfermer. »
comment la personne qui m'a souvent empêchée d'être pleinement moi-même, peut-elle s'étonner que je sois aujourd'hui, à l'approche de mes 23 ans, fuyante, froide, secrète, et que je veuille à tout prix cette liberté.
aujourd'hui, c'est la fête des Mères.
entre amour et haine, empathie et déception, tous mes sentiments envers ma Mère à moi se sont creusés au fil du temps. j'essaie du mieux que je peux de casser certains schémas, mais son emprise est encore là et m'empêche de sortir de cette sphère de la peur. elle m'empêche de parler avec authenticité, c'est d'ailleurs pour cela qu'elle ne s'explique pas « cette manière de s'exprimer », quand avec elle j'en suis à contrario, quasiment incapable. parfois je craque, et je lui lâche tout ce que je lui reproche, mais jamais elle n'écoute vraiment, jamais elle ne comprend, toujours elle se victimise. et peut-être que mes sentiments, enfouis sous une couche immense de neige, quand ils sortent sont aussi tranchants que des pics de glace.
casser un cercle seule lorsqu'on est deux, c'est comme essayer de retenir une grosse corde qui défile à toute allure; portant à son autre bout une cage remplie d'amertume, de ressentiments, de traumas et blessures passées, auxquelles je suis sûre, ma Mère a aussi du mal à faire face.
comment évoluer quand sa Mère n'est pas forcément le modèle que l'on veut suivre ? encore plus si le père est absent. comment faire quand la relation Mère-Fille s'est tellement abîmée, qu'on en vient à célébrer ce jour-là en pensant plus aux mauvais qu'aux bons moments ?
c'est avec beaucoup de culpabilité d'écrire tout cela que je célèbre aujourd'hui cette fête: que je vais sourire à table, que je vais faire comme si je n'avais pas encore des larmes coincées dans la gorge, et que je vais espérer secrètement, être capable de rompre le cercle toute seule.
bonne fête Maman.
je t'aime, en dépit de tout cela. tu as fais de ton mieux, je n'en doute pas.
sache juste une chose : je ne ferais jamais comme toi.
- Fille.
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a-purse · 4 months
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1er janvier 2024.
J'ai décidé de te laisser derrière moi. Tu resteras dans le passé car je ne veux plus de toi dans ma vie. Ces mots sont peut être fort mais ils sont a la hauteur du mal que tu m'as fais. Je venais de me reconstruire quand on s'est connu et tu as réussi à me réduire en un champ de ruines.
Je t'ai donné beaucoup d'importance. Peut être trop. Je t'ai fais confiance et tu as trahis ma confiance plus d'une fois, mais je voulais voir le bien en toi. Alors je me disais c'est pas grave, garde contact avec lui c'est quelqu'un de bien et tu l'aimes sincèrement.
Mais sur ces derniers mois, tu n'as pas tenu compte de l'effort que je fais de ne rien dire a chacun de tes messages, de prendre sur moi, de patienter, de continuer à être une source positive pour toi. Tu ne te rends pas compte que c'était de l'énergie pour moi, que c'était de l'espoir que je posais en toi. Tu crois sûrement que c'est acquis et que tu peux avoir ça de moi quand tu veux. À vrai dire oui tu aurai pu avoir ça de moi en tout temps, mais pas au prix de mon bien-être.
En gardant contact avec toi je me suis rendu compte que je te donnais le droit de revenir me faire du mal. Je m'en suis rendu compte parce que tu l'as fais encore dernièrement et je me suis vraiment sentie comme une serpillière qui doit éponger, absorber quand tu fais n'importe quoi. Une serpillière que tu réutilises à chaque fois que tu craques pour libérer ton venin.
Alors je te le dis clairement, je ne veux plus que tu me parles. Je ne veux plus que tu me contactes, car tu me fais du mal. Je veux être en paix et tu perturbes la paix que je recherche avec tes mensonges, tes faux espoirs, tes fausses promesses, tes belles paroles... Tu n'es pas digne de confiance. Tu blesses les gens qui t'aiment sincèrement et qui veulent ton bien au détriment de plaisirs passagers.
Souviens toi que nous ne sommes que de passage également. Viendra notre mort. Il ne restera que nos actes dans la balance. Nous serons jugé pour le mal que nous avons fait et nous supplierons d'être pardonné. Allah dans toute Sa miséricorde peut nous pardonner, mais nous devrons aussi avoir le pardon de ceux à qui nous avons fait du mal. C'est sur ce chantier qu'on doit se concentrer. Prier, se repentir sincèrement, demander pardon et œuvrer dans le bien. Et c'est pour ça que toi et moi ça doit s'arrêter parce que ça ne nous profite en rien. Ni dans cette vie, ni dans celle d'après.
Prend soin de ton âme, plus que de ton corps car même si le corps est une amana d'Allah et qu'il faut certes en prendre soin, seul l'âme restera. Je te souhaite sincèrement d'être en paix avec toi même. D'avoir une vie plus heureuse et plus apaisée que celle que tu as eu jusque là. Pour ça il ne tient qu'à toi de délaisser ce qui te fait du mal, et de le faire une bonne fois pour toute, pour goûter à la véritable liberté.
Que la paix soit sur toi.
Salam aleyka.
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ditesdonc · 5 months
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Et pour vous, c'est quoi le bonheur?
Dans les pas du numéro 1, encore quelques productions des élèves de Mme Pabiot, école de Trept, Classe de CE1-CE2, année 2022-2023.
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Et des participations libres!
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"Le bonheur pour moi, c'est quand on retrouve quelqu'un et que ça nous rend heureux". Léo
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"Le bonheur pour moi, c'est toute la terre." Camille, 7 ans
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"Le bonheur pour moi, c'est quand on fait des choses bien, comme retrouver nos amis et nos cousins à la place." Robin
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Pour moi le bonheur c'est d'être réuni avec sa famille dans les jours difficiles. Et aussi... beaucoup de choses à la fois! Aloïs, 9 ans.
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Même si j'ai quitté les bancs de l'école il y a longtemps, j'ai mon âme d'enfant qui me dit: pour moi, le bonheur ça peut être, simplement, regarder mon chien dormir. Manue
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Mais les chiens n'aiment pas seulement dormir, et le bonheur, ça peut être aussi de monter une chanson drôlement méchante un jour de pluie!Merci à la même Manue et à son compère Adrien pour leur grinçante et pétillante chansonnette "Raoul le Pitbull". Et ça poume, et ça tchaque, ça craque sous la dent et ça frétille à souhait! Ecoutez!
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Pour moi le bonheur, c'est l’œil ouvert à toutes les surprises, au possible et à l'impossible, au trop beau pour être vrai, aux merveilles invisibles, à l'espoir palpitant au cœur des petites trouvailles. Une aiguille dans une botte de foin. Puis une autre. Et s'ouvre, improviste, un tricot d'avenir. Pö
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givenchiraq · 1 year
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Lundi 8 mai 2023
Depuis une semaine, j'essaie de mettre le doigt sur ce qui ne va pas, sur c'est quoi le problème. La semaine dernière, j'ai fait une crise. Pas vraiment d'anxiété, ni de panique, juste de douleur. Les poids que je porte que ma sœur me dit être légers, mais qui me pèsent pourtant. Bref, j'ai gueulé. Dans l'auto, à force de me faire parler fort dessus par C, qui était visiblement frustré de quelque chose que je n'arrive pas à identifier, je me suis mise à crier et à pleurer en même temps. "J'ai mal" "J'ai mal", c'est le moins qu'on puisse dire.
En tout cas, depuis une semaine, j'essaie de revirer de bord tout ce que j'ai étouffé. Je veux tellement être la fille qui est stable, qui n'a jamais mal, sur qui on peut compter. C'est aussi le type d'ami que je veux avoir de moi, le genre qui ne se plaint jamais, avec qui je peux juste faire des activités et discuter. J'ai pas ça vraiment de toute façon, ça sert pas à grand chose d'en parler.
Aujourd'hui, avec ma psychologue, j'ai essayé de m'ouvrir plus. J'ai réalisé que je ne laisse personne entrer en moi - même pas moi-même. Je sais que j'ai de l'anxiété sociale, mais pourquoi? Qu'est-ce qui se passe? À force de parler, on s'est rendue compte que je ne me crois pas aimable. Juste que peu importe ce que je fasse, lorsque les gens vont finalement se rendre compte de qui je suis, ils vont arrêter de m'aimer. C'est ma seule expérience de la vie à ce jour, parce que je n'ai jamais eu réellement quelqu'un d'assez proche pour me rendre compte que peut-être, à la fin, je suis aimable. C'est probablement aussi parce que je n'aime pas vraiment les gens. Pas assez pour vouloir passer du temps avec eux, pas assez pour me sentir bien et respectée et vue. Je les empêche peut-être d'être près de moi et de me "voir", mais à la fin le résultat est le même.
La dernière fois, on avait discuté du fait que justement je ne manque pas réellement de confiance en moi. Je sais que je peux accomplir tout ce que je veux accomplir. Mes capacités techniques sont fortes et je peux apprendre tout ce que je veux pour performer. Mes failles sont plutôt humaines. Dès que des humains s'en mêlent, là j'ai peur. Les mots de manquent, je n'ai plus de courage pour parler, pour bouger même, pour être moi-même. Alors je ne sais pas qui je suis, parce que je me cache. Si je me cache de qui je suis lorsque je suis entourée, comment est-ce que je peux savoir qui je suis? Dans ma tête, je n'ai pas à dire de blagues, d'être douce, d'être patiente, je n'ai pas non plus à soulever des faits, ou être certaine d'être entendue... de mettre des limites; ce que je veux, ce que je ne veux pas; ce en quoi je crois, ce en quoi je ne crois pas. Alors, entourée des autres, je ne suis personne. Je ne suis rien. Quelques craques peut-être laissent transparaître mon fond, mais ces craques peuvent aussi être un mélange maladroit et accidentel de la personne que j'essaie d'être et celle que j'essaie de cacher. C'est à dire, pas du tout moi même?
Je suis assise devant mon ordi et je me demande ce que serait la prochaine chose à écrire. Lorsqu'on a terminé la séance, ma psy a juste dit que j'ai un lourd bagage, que je ne sais pas si je suis aimable parce que je ne l'ai pas souvent senti quand j'étais jeune. Je pense que c'est vrai. Pourtant, maman était tellement affectueuse et démonstratrice? Mais aussi le tout mélangé avec de la violence, de la frustration, de l'impatience, de l'irritabilité. Peut-être que je suis née insensible? Comment est-ce que je peux donc être les deux à la fois? MAIS QUI SUIS-JE?
Comment le savoir? Je n'arrive pas à sauter, pas à faire le pas, je les sens les murs qui me retiennent, les bras collés sur les côtés de mon tronc. C'est con parce que dans la dernière année, j'ai fait un immense effort, d'arrêter d'être dans moi-même. D'arrêter de toujours penser à moi, à mes problèmes, à mes peurs, mes failles, mes souvenirs douloureux. J'arrive à vivre, mais en ignorant qu'il y a des chantiers que j'ai abandonnés à la fois. Alors, c'est quoi la solution? Aucune idée.
Dans un autre ordre d'idée, on a eu un 4some la semaine dernière, mardi dernier. Pour vrai, je vais toujours dans ces évènements avec surtout de la curiosité. C'était avec un couple qu'on avait rencontré sur 3fun et avec qui on s'entendait bien. On était allés dans un bar pour parler il y a un mois à peu près, et là on allait chez eu pour chiller et probablement coucher ensemble. Quand ça commence, j'entre un peu dans une zone dans ma tête dans laquelle je suis "numb". Certaines actions seront entreprises, comme sucer, ou embrasser, dire des choses dans l'oreille de la personne, je sais pas. Mais honnêtement, je ne me rappelle même pas trop comment c'est arrivé. J'étais pas mal saoule. Je me suis mise à genou devant lui, il a sorti sa queue, je l'ai sucé. Son pénis était vraiment petit, c'était déstabilisant, je ne sais jamais quoi faire avec ceux là. J'ai fait comme si de rien était, et je lui ai donné du plaisir. On est tous allés dans la chambre et on a continué. C avait ben du plaisir. Moi, vraiment pas tant. Certaines fois, j'ai plus de fun, comme avec Mélodie ou Mégane, ou évidemment Isabella, parce qu'elles sont plus folles et elles sont excitées d'essayer des trucs différents, mais les gars c'est rare. J'avais eu du plaisir avec Laurent, le chum de Kristelle, probablement parce qu'il avait l'air très excité par moi. Mais autrement... Pourtant c'est les gars que j'aime. Mais, je sais pas, j'imagine que la chimie c'est rare. Le gars du couple avec qui on a couché, honnêtement, j'ai aucune idée s'il me trouvait chaude. Il a dit durant qu'on parlait que lui la fille qu'il trouve la plus chaude c'est Kendall Jenner, et il arrêtait pas dans le chat de dire à quel point il aime le corps de sa blonde. Je ressemble ni à sa blonde, ni à Kendall Jenner. Déjà, je suis plus petite en grandeur, et j'ai des gros seins, et elles ont des seins plus petits qui sont très fermes. Pour vrai, je sais qu'on a décidé de faire des expériences. J'aimerais ça qu'on en discute plus avant que les choses arrivent, que ça dérape, qu'on ne soit plus capable de retourner en arrière. Peut-être que je dois me lancer plus, lâcher prise totalement, avant de vouloir retourner en arrière, parce que ce ne sera plus pris au sérieux quand je voudrai le faire. Il veut que ça se refasse, mais perso je n'ai pas eu de plaisir tant que ça. Rien qui me donne envie que ça ré-arrive. L'expression qui me vient toujours en tête dans ces moments là c'est "taking one for the team". En même temps, je n'ai pas envie de penser en fonction de ce qui pourrait arriver, toujours manipuler le présent pour que ce qui se passe dans le futur soit à mon avantage. Est-ce que c'est honnête faire ça?
J'ai du boulot devant moi, mais ma priorité c'est être qui je suis, sans limite. Sans filtre. Sans me retenir. Et peut-être que là je me saurai aimée.
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sweetshysuga · 2 years
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Safety Zone
"En y consacrant mes 20 ans, je vis une vie incommensurable. Comme si c'était une chose que tout le monde puisse regarder, je réponds. Mais, comme si on me disait que je devrais regarder en moi-même, le bourdonnement dans mes oreilles devient plus fort.
Le monde change vite, et à chaque instant, un sentiment de solitude différent me frappe. C'est douloureux, comme s'il n'y avait pas d'allié, ma vie devient solitaire (ma vie est remplie d'ennemi après ennemi). Oh mon dieu.
Je vis en gardant le rythme, mais cela craque. C'est comme si je me forçais à crier pour moi-même 'Break a leg'. Dans ma zone, je suis le rythme de la ville animée et je rencontre même des gens. Mais comme ces voitures coincées sans contrôle de la circulation, je me fais pousser et percuter, à gauche et à droite.
Pourquoi n'en ai-je pas une ? Où dois-je aller pour en trouver une ? Même dans les jeux, quand on regarde bien autour de soi, on trouve une zone de sécurité. Oui, je tape inutilement des pieds en signe de frustration. C'est comme une Porsche en fer blanc.
J'ai aussi envie de partir, mais où est cet état d'esprit ? Est-ce qu'un tel endroit existe même dans mon esprit aussi ? Moi aussi, j'ai dû avoir quelqu'un qui était mon arbre généreux, mais où est la souche sur laquelle je peux m'asseoir et regarder en arrière un instant ?
Où est le rayon de lumière qui me soulage dans l'obscurité ? Est-ce une maison tranquille ? Ou le bleu qui est loin, très loin ? Où se trouve ma zone de sécurité. Gauche, droite, tout droit ? Quelle est ma zone de sécurité. Ici, là, ou X ?
Les acclamations des gens qui croient en moi ? (Mais j'aurai froid quand même quand ils me tourneront le dos) Les gens qui m'ont guidé ? (Mais en réfléchissant bien, j'ai peur) Même avec quelqu'un qui partage le même sang, il y a un sens de la mission que je ne peux pas partager. Ces jours-ci, j'ai tendance à préférer les animaux aux humains. Mais je ressens un sentiment d'auto-désespoir.
C'est comme un coucher de soleil sur le point de rendre son dernier souffle, ( Brille, s'éteint) une lumière pour réconforter la nuit et l'aube ( Juste, pour moi). Où est cette zone ? Ma zone verte que même les grands désastres trouvent un moyen de contourner (Green Zone, qui était connue comme la zone la plus sûre de Bagdad). Mais au moment où je choisis cette voie, existera-t-elle seulement ? Ma zone de sécurité."
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sous-le-saule · 3 years
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L'imparfait / Au bout du couloir 
Il y a du bruit à l'étage. Cette fois, elle en est certaine. Comme si quelque chose était traîné sur le sol par intermittence. Ou comme si quelqu'un marchait lentement sans lever les pieds. Elle n'a pas quitté la maison de la journée, les portes donnant vers l'extérieur sont toutes verrouillées - elle vérifie, par acquit de conscience, mais ce serait bien la première fois qu'elle aurait oublié. Serait-il possible qu'un cambrioleur se soit introduit par une fenêtre de l'étage ? Mais il aurait fallu qu'il la force sans qu'elle entende rien car, comme chaque matin, elle a refermé soigneusement toutes les fenêtres à huit heures précises, après l'aération des chambres. De cela aussi, elle est certaine. Elle n'est pas tête en l'air - cela fait partie des choses dont elle s'enorgueillit.
Ça recommence. Un animal, entré par un interstice du toit ? Vérifier l'état de la toiture faisait partie des tâches de son mari. Le connaissant, ça n'a pas dû être fait depuis des années. 
Elle jette un regard sur le téléphone, mais elle aura l'air fin, si elle appelle la police pour une chouette ou une fouine en vadrouille. Il vaut mieux qu'elle aille voir par elle-même. Avec circonspection, le tisonnier à la main, elle pose le pied sur la première marche, qui grince un peu, et tend l'oreille longuement.
Plus un bruit. Elle se met à douter d'elle-même. C'était peut-être seulement son imagination. Elle n'est pas encore habituée à vivre seule dans cette vieille demeure qui craque de partout. Son époux avait ses défauts - et Dieu sait qu'ils étaient nombreux - mais sa présence était rassurante. Son coeur se serre un peu en réalisant que c'est la première fois en deux semaines qu'elle regrette qu'il ne soit plus là. Évidemment, après trente ans de mariage, ce n'est plus la même chose, n'est-ce pas ? Elle doit bien admettre qu'elle est surtout soulagée de ne plus avoir à endurer ses agaçantes manies. Ses ronflements insupportables, pour commencer - et il avait eu le culot de prendre un air peiné quand elle avait suggéré qu'ils fassent chambre à part. Sa répugnante habitude de se curer le nez devant la télévision. Et ce ridicule petit nom - "mamour" ! - qu'il persistait à vouloir lui donner malgré ses rappels à l'ordre, parce qu'il trouvait ça mignon. Elle avait envisagé le divorce, mais les gens n'auraient pas compris. Ils l'auraient jugée, comme cette amie à qui elle s'était ouverte de son projet et qui avait rétorqué qu'on ne brise pas une si longue union avec un époux travailleur, aimant et fidèle sous prétexte qu'il se cure le nez. Que le mariage est une affaire de compromis. Qu'il faut accepter les petits défauts de son conjoint, qu'on ne peut exiger qu'il soit parfait. 
Et pourquoi pas ? Ne méritait-elle pas la perfection ? Ne faisait-elle pas assez d'efforts pour rester désirable et garder leur maison impeccable ?
Arrivée en haut des escaliers, elle est prise de tremblements. De l'ancienne chambre conjugale, au bout du couloir, lui parvient le son étouffé d'un ronflement. Son ronflement. 
C'est impossible. Ce doit être le surmenage. Les préparatifs de l'enterrement ont été épuisants pour que tout - sa robe, les fleurs, le choix des musiques - soit parfait. Puis elle a réaménagé le salon, faisant disparaître l'hideux fauteuil de cuir marron auquel son mari tenait tant. C'est ça. C'est la fatigue. Ce ne peut être que ça. Quand elle aura ouvert la porte de la chambre et constaté qu'elle est vide, son imagination la laissera en paix. 
Mais ses jambes flageolantes refusent de lui obéir. Une suée froide lui coule entre les omoplates tandis qu'elle ne peut détourner les yeux de la porte, loin, loin au bout de ce sinistre couloir lambrissé devenu soudain interminable.
Les ronflements cessent brusquement. Elle entend un bruissement, puis sa voix - aucun doute, c'est bien cette voix qui lui tapait tellement sur les nerfs, cette voix molle et geignarde avec laquelle, pathétique jusqu'au bout, il s'est exclamé incrédule, lorsqu'il a compris pourquoi le porto qu'elle lui avait servi avait un drôle de goût :
"Mamour ?"
(14/08/21)
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this-is-krikkit · 2 years
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hello ! tu t'attendais peut-être pas mais j'y tiens bizarrement.
first impression: oh new follower, icon avec guenièvre, header avec brienne, on a affaire à quelqu'un qui a du goût
now: elle est venu me parler de syberia donc vraiment des goûts impeccables. même si on est pas mutu c'est tjrs très fun de te voir dans mes notifs surtout quand tu craques sur des text posts avec downton abbey et mary parce que je te comprends tellement étant passée par là aussi haha (saison 3 forever là plus traumatisante pour moi ✌) bref un petit coucou comme ça parce que t'as l'air super sympa 😁
AH BEH NON EN EFFET JE M'ATTENDAIS PAS TROP NON
Écoute merci à toi, ptit coucou right back 😁 T'as l'air bcp trop sympa également, j'adore ce mix de fandoms français totalement niche (sur tumby anyway) vs des bails anglophones plus classiques sur ton blog, donc change rien ma foi !!
(team déni perso, je rewatch le début de DA en full gay-for-mary/str8-for-maryxmatthew disque rayé pépouze 😎)
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allen-kunekune · 3 years
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Une chute vers la brume
Titre :  Une chute vers la brume
Fandom : Mystery Skulls
Relation : Unilatéral  Lewthur ? 
Il tombait.
Il savait qu'il devait paniquer, il était même normal qu'il panique alors que son corps tombait vers une mer de piques affamés de son sang et en partie cachait par une brume violette. Il devrait paniquer mais son esprit était occupé par un autre choisi. Arthur n'arrivait pas à comprendre, son visage déchirait par la confusion, et un lent sentiment de trahison.
Ses efforts avaient été inutiles, comme toujours. Toutes ses recherches, tous ses espoirs pour un jour retrouver Lewis. Cela ne servait plus à rien, et Arthur n'arrivait pas à comprendre se qui s'était passé pour que tout s'écroule ainsi. Commenter tout autours de lui s'était effondré en le laissant impuissant.
Lewis était le fantôme.
Lewis était mort.
Lewis était le spectre qui n'avait pas arrêté de chercher à le tuer.
Lewis venait de le jeter dans le vide.
Pourquoi Lewis était mort ? Il ne pouvait pas l'être, Arthur le cherchait depuis si longtemps, trop longtemps pour qu'il soit mort. Qui l'avais tué, pourquoi l'avoir tuer, pourquoi son ami sa mort ? Il y avait tellement de question, et malgré les cris et la colère de Lewis il se sentait perdu.
Arthur pouvait sentir des larmes fleuries sur le bord de ses yeux. La chute semblait interminable, lui laissant tout le temps pour observer la forme furieuse du spectre, de Lewis. Jamais son ami ne l'avait regardé avec des yeux remplir de haines. Personne n'avait même regardait Arthur avec toutes cette haine, toutes cette douleur et cette rancune.
Même ses parents ne l'avaient jamais regardé comme ça. Le jeune homme sentait sa poitrine se serrait de réaliser que son meilleur ami le détester à se point. Qu'avait-il fait pour mériter cette haine ? Où avait-il échoué pour être détesté, pour avoir échoué pour être quelqu'un d'utile, un bon ami pour Vivi et Lewis.
"Pourquoi Lewis ?" Demanda le blond, sachant qu'il approchait du sol, et des nombreuses photos qui l'attendaient. Il n'avait pas encore pénétré la brume violette que le spectre semblait créer, mais ce n'était qu'une question de seconde.
Ils avaient été ami, il avait toujours été là pour lui et Vivi, même quand il avait parfois l'impression d'être de trop. Arthur avait tant fait pour le retrouver, pourquoi Lewis le détesté-t-il ?
Il avait tenté de tout faire pour être un bon ami. Le blond n'arrivait pas à comprendre se qu'il avait fait de mal. Avait-il bénit Lewis ? Sinon pourquoi aurait-il voulu tuer Arthur. Il était ami, il avait été ami alors pourquoi ? Qu'est qu'Arthur devait réparer, qu'est qui devait changer pour mériter un peu de leur amour ? Il savait qu'il ne pourrait jamais avoir plus que l'amitié de Lewis, mais pourquoi avait-il perdu cette amitié ?
Arthur pouvait sentir ses larmes sur ses joues alors qu'il était dévoré par la brume, se préparant au choc éminent. Autant en finir. Il était tellement fatigué, Vivi ne se souvenait plus de rien, arrivant si facilement à oublier la grotte alors que le blond cherchait toujours Lewis. Une recherche maintenant vaine.
Vivi allait déjà de l'avant, c'était lui qui la forçait à reculé et refusé d'avancer pour chercher leur ami. Lewis mort, il était un spectre qui voulait la mort. Vivi a dit que les esprits allaient mieux une fois leurs objectifs atteins. Il pourrait aller mieux une fois que son corps toucherait le sol.
Qu'allait faire son oncle sans lui ? Peut-être que c'était pour le mieux aussi. Ses parents n'avais plus voulut de lui, pourquoi son oncle voudrait d'un enfant à problème comme lui. Vivi disait parfois qu'il était incapable de s'occuper de lui-même. Arthur réalisait qu'il ne devait être qu'un poids pour Oncle Lance.
Tout le monde serait mieux sans lui.
Arthur fermait les yeux, refusant de fixé plus longtemps ses yeux haineux. Il espérait que cela soit rapide, apaisant le fantôme vengeur de sa mort. C'était pour le mieux se rassura Arthur. Il n'allait pas se battre ou fuir cette fois.
Mais son corps arrêta lentement sa chute une fois entrée profondément dans l'étrange brume violette de la grotte, qui changeait lentement de couleur. Le choc ne vient jamais. Le blond semblait juste rester en apesanteur dans cette étrange brume qui virait au vert, chassant toutes traces de magie du spectre pour autre choisi de plus familier.
"Pauvre petite étoile trahit" Se moqua soudainement une voix qui semblait venir de partout.
Un frisson d'horreur glissa sur sa peau, la voix résonne en lui comme le pire des souvenirs malgré qu'Arthur ne reconnaissait pas la voix. Ses yeux cherchaient la source de la voix sans pour autant la trouver. Comme si la brume elle-même parle.
"Trahit par son meilleurs ami. Malgré tout tes efforts pour être accepté, pour lui être utile." Continua la voix, Arthur criant quand son bras se remet un craché des étincelles jaunes et violettes, une vague de douleur résonnant à travers son épaule sous le choc. "Un horrible traitre et homme si froid. Il ne te mérite pas une petite étoile."
« Non ! » Pleura le blond, Lewis ne feras jamais ça. Il n'était pas froid, bien au contraire. Il n'avait qu'un rayon de soleil qui avait bénit sa vie. « Lewis ne fera jamais ça. Il était un homme bon ! » Cria Arthur, ses yeux tentant d'apercevoir la forme du spectre pour se rassuré dans ses croyances, seulement pour rencontrer la brume verte si dense que tout semblait avoir disparu autour de lui.
Son bras de métal laissait échapper un spasme et de nouvelle étincelle, n'aidant pas à rassurer Arthur qui tremblait piégé dans l'étrange brume qui n'avait pas sauvé la vie. Le blond n'arrivait toujours pas à croire que Lewis l'avais regardé avec tant de haine, le laisser tomber dans le vide alors qu'ils se retrouvaient après une si longue absence.
Arthur voulait simplement retrouver Vivi et Mystery, fuir cet endroit. Ou simplement mourir sans être à face d'autre a choisi de paranormal.
"Il était un homme bon, mais combien de temps faut-il pour laisser un homme bon être changé par ses propres sentiments." Rit la voix, donnant presque l'impression de se soucier du jeune homme terrifié et trahit. "Mais regarde comment tu étais seul, comment ils t'ont laissé seul. Il n'a jamais été bon pour toi petite étoile."
Le brume semblait l'entourait d'avantage, presque comme des bras qui piégait le blond dans une prise ferme. Mais après avoir été agrippé par sa chemise, le visage de Lewis si haineux, le jetant dans le vide comme si il n'était rien de plus d'un indésirable en brisant les restes de son cœur. C'était presque agréable, comme quand son oncle l'avais pris dans ses bras quand il l'avait rapporté.
"Il ne méritait pas ton dévouement, tout l'amour que tu étais prêt à lui offrir sur un plateau d'argent." Consola la voix, semblant presque orienter ses pensées.
Un simple déchet aux yeux de Lewis. Peut être qu'il l'était pour lui, l'ombre à son tableau si parfait avec Vivi. L'ami en trop à l'arrière, celui qu'on gardait simplement pour ne pas être méchant, mais qu'on espérait pouvoir un jour évité du cadre idéal. Que serait un Arthur, le garçon maladroit et facilement remplaçable, quand on avait la belle et talentueuse Vivi ? Une boule d'énergie avec un visage d'ange.
Arthur pouvait sentir de nouvelles larmes coulaient sur ses joues, refusant de libérer les sanglots de peur que Lewis les entendaient et ne s'énerve d'avantage. Il ne voulait pas le revoir aussi haineux, au risque de briser d'avantage.
"Ne pleure plus petite étoile." Réconforta l'inconnu, souriant sans doute au son de sa voix. "Je ne te trahirais jamais, et ne te quitterais plus jamais non plus." La brume devenait plus épaisse, sentant l'humain lentement se fissurer à son contacte. Il suffisait de peu pour que le blond ne craque enfin, sans le moindre combat.
Le bras d'Arthur laissa échappé un dernier jet d'étincelle violet avant de tombait mollement contre lui, laissant la brume s'infiltré lentement dans son mécanisme quand l'énergie du spectre. Arthur laissant étouffer un cri surprit, sentant la brume ramper sur sa peau dans une parodie de geste rassurant.
"Laisse moi le contrôle, et tu n'aurais plus à souffrir petite étoile." Proposa la voix, riant silencieusement quand Arthur ferma en laissa échappe un sanglot. Il était si fatigué. C'était agréable de sentir la brume contre sa peau, traçant des cercles apaisant sur son bras de chaire. La voix le terrifiait mais elle voulait de lui, même si Arthur ne demandait pas pourquoi.
"Tu es plus précieux que tu ne le pense petite étoile." Répondu la voix, Arthur ne remarquant pas que sa peau change lentement de couleur alors qu'il absorbait la brume qui l'avait protégé de cette chute mortelle. Sa prothèse crachait maintenant des étincelles vertes, s'animant doucement sans qu'Arthur ne le remarque.
Il était si fatigué. Il voulait juste disparaitre. Il ne voulait plus souffrir, et sentir son cœur se d'avantage. Pas après avoir dut vivre toutes ses déceptions.
"Ne t'inquiète pas pas petite étoile. Je te protégerais maintenant, tu n'auras plus à pleuré pour tes amis." Rassura une nouvelle fois la fois la voix, avant que la bouche d'Arthur ne continue avec un sourire. "Je m'occuperait de tes amis petite étoile. Ils ne nous causeront plus aucun ennuis."
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lilouaya · 3 years
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Pourquoi vous me critiquer ?
Pourquoi vous me regarder de travers ?
Pourquoi vous me juger ?
Je ne vous ai rien fait.... Pourtant...
C'est peut être ça ... Je ne fais rien et ça ne vous convient pas.....
Je ne vais pas bien et ça se voit que quand je craque, je n'arrive plus à retenir quoique ce soit en moi. Mais sinon je le cache, et tout les jours je fais comme si..
À me regarder on dirait une dépressive .. une susceptible qui a chaque chose qu'on va lui dire ça ne va pas lui plaire et elle va se mettre à pleurer. Mais vous savez quoi ? Bah je vous emmerde ! Et vous savez pourquoi ? Parce que vous n'êtes pas dans ma tête ! Voilà tout.
Tout ce que j'avais à dire.
Et je le dis car depuis que je suis rentrée (enfin j'ai envie de dire que ça fait des années que jsuis rentrée dans une zone d'inconfort permanente) on me balance des reproches, des remarques quoique ça ne change pas de d'habitude. Et après ils vont me sortir des "oui bah t'as qu'à parler si tu veux qu'on te comprenne !" ... Mais .. comment ? Comment puis je faire ?! Aidez moi je vous en conjure !! S'exprimer alors que dès le moindre mot avec un soupçon d'émotion sorti, on vous coupe la chique.
Chaque parole comminatoire, me marque d'une blessure plus ou moins profonde. Comme si on m'enfonçait un coteau dans la poitrine. On ne s'en rend pas compte, mais peu importe l'âge, la portée des mots est d'une importance capitale qui n'est en aucun cas à négliger. Et je pense que l'on ne s'en méfie pas assez car involontairement on peut blesser quelqu'un.
Un acte indéniable qui peut en piquer plus d'un. Alors gare a vos langues sournoises qui pourrait vous porter préjudice si mal intentionnellement elles venaient à s'ouvrir.
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dyns33 · 4 years
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Coucou! J'espère que tu vas bien? Pourrais-tu écrire quelque chose avec Xavier? Ou y/n et lui étaient ensembles avant qu'ils ne meurent. Puis, elle le vois tuer quelqu'un et il tente de s'expliquer, mais elle craque et elle lui dit que pour elle aussi c'est difficile d'être morte. Ils se mettent ensuite d'accord pour ne tuer que Margaret. Merci!
Hmm j'ai déjà lu une histoire comme celle-ci, écrite par @7-wonders, ici. Du coup je ne sais pas vraiment si je peux faire mieux, mais j'ai relu et je peux essayer de faire quelque chose de différent, puisque sa fin n'est pas tout à fait comme celle que tu me demandes !
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           (Y / N) had always known that Xavier was not perfect. Nobody was perfect. Although he could be adorable with her, he was also very selfish, egocentric, always worried first about his appearance than anything else, because he wanted to be the most beautiful, the most muscular, the freshest, so that all the producers would want him and he would become the star he was destined to become. Before she died, killed by Margaret, but she did not know that right away, because the bitch had attacked her from behind, he had shown her a new part of him, more fragile, but also braver, mature, he had wanted to save everyone instead of running away like Ray. (Y / N) had been proud of him at the time, even though he had failed. He had proved to her that he could have become a good man, a good husband, a good father, they could have been happy together, have a wonderful life, she could have counted on him because he would have taken his responsibilities, he would have known what to do if they had a problem, he would have been there to help. Even with his burned face, the last thing she saw before she died, she had never loved him so much and she had told him before her heart stopped beating and she died in his arms, praying for his survival or to meet him in heaven. Except that there was no heaven for them. A few hours later, without knowing how or why, (Y / N) had woken up in Redwood camp, the sun had risen and she had discovered the massacre. Almost everyone was dead and they came back as a ghost. Only Brooke had managed to survive, as well as Margaret, who turned out to be the real killer, according to Chet and Xavier's testimony. At first she was glad to have found them, to be able to hug her lover, to kiss him, to touch his pink cheeks that had become soft again, but she felt that something had changed in him. It was quickly clear that it was Montana's fault, who made long speeches, claiming that they were now the gods of this place, that they could do what they wanted and that no one had the right to come here without permission, on pain of death. Nobody seemed to agree with her, Ray told her she was crazy, Chet went crying in a corner, the guy they had knocked down and who were in fact a ghost simply shrugged, and (Y / N) took Xavier's hand, wishing to go away, but she saw in his bright eyes that he was listening to her. That he was interested, tempted. After all, even if he could not become a star anymore, his dreams of grandeur were not dead. A God, it was better than an actor. She wanted to believe that he was just going to find the idea amusing, but when the first intruders arrived, he and Montana did not let them go. (Y / N) found their bodies near the lake, blood everywhere, as both killers laughed, rummaging through their bags.
           "You... you are monsters !" she screamed, crying, before running into the forest.
           "(Y / N) ! Wait !"
Xavier followed her, holding her by the arm, trying to calm her by sticking her head against his chest, but she hit him several times, until he gave up, not understanding her reaction.
           "They were innocent ! They did not do anything ! Why did you kill them ?!"
           "Yes, innocent ! Like us ! And yet we are dead ! It's not fair ! In the end, I wanted to be nice, I wanted to help, and how was I rewarded ? My girlfriend is dead I was burned and that fucking Margaret killed me when I saved her ! It's not normal that this only happens to us, so if someone dares to come here, they will have to suffer the same fate !"
           "But... what are you saying ?" she sobbed. "It does not make any sense..."
           "We are free (Y / N) ! We can do what we want here."
           "And you want to become a killer ? An asshole ? You want to be like Margaret ?"
He opened his mouth to answer her, but no sound came out, as if realizing that she was right, he had no excuse, he was turning into what he hated, becoming like the bastard that had made them suffer, and even if his fury was legitimate, that did not justify killing innocent people, only because he would have wanted to be saved after doing good deeds. Xavier was selfish, yes, a little silly at times, tractable, but if he had fallen in love with (Y / N), it was because she did not judge him, that she was not trying to change him, that she accepted him as he was. He did not want to lose that, to lose her, even though they did not really have a future.
           "I... I do not know why I did that... It made me... I felt alive, and powerful, and I was able to express all my rage. We're dead. (Y / N), we're dead, we're not going to get old, we're not going to have children, we're not going to be able to travel, this fucking bitch has stolen all of this from us. I do not know what to do anymore... I want to avenge us, I need revenge, do you understand ?"
           "Yes, I understand. But it's Margaret who's responsible, she's the one who has to pay, not the poor people who have not asked for anything. If someone has to die, it's her. If you have to kill someone, it will only be her, promise me."
           "But... she left, and we can not follow her !" Xavier growled.
           "I know, it will probably take a long time, but she will come back. She has already come back, after she had massacred these campers by accusing Jingles, it's only a matter of time and... we have eternity to wait for her, together."
(Y / N) extended her hand to him, trembling, hoping he'd accepted this proposal and would not kill anyone else, even though he liked it. It would be hard to forgive him, but if he kept his word, maybe she could trust him again. Slowly, Xavier squeezed her hand, approaching to kiss her, tears of sadness and shame running down his face. They would kill Margaret and for the rest, they would be happy because they were there for each other, even if it was not life, or rather the death, that they would have wanted. This did not prevent Montana from killing campers and tourists... but as that was what attracted Margaret, with her ridiculous idea of ​​a music festival, they could not totally be angry at her.
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payetoncouple · 4 years
Quote
“Arrête de pleurer ! T'as bientôt 30 ans, tu chiales comme une enfant. T'as pas fini de faire ta victime. Tu ressembles à rien. T'es qu'une merde. On baise pas ! Je nique pas ! Pourquoi ? Parce que t'es pas bien mais t'es jamais bien. Si je n'ai pas ce que je veux, j'irais voir ailleurs. Connasse ! Chieuse ! Tu me fais chier. T'es pas quelqu'un d'intéressant de toute façon.”
En couple depuis 13 ans avec un conjoint qui ne gère pas ses émotions. Son comportement au quotien est insupportable par moment et je craque. Jamais, il ne remet en cause sa responsabilité. Rarement, il s'excuse.  Le couple est une relation bienveillante dans laquelle on doit se sentir en sécurité. Si tu trouves que ton partenaire te tient des propos blessants, n’hésite pas à lire l’article Il/elle me rabaisse souvent
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bnjsld · 4 years
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J'aimerai me tromper, mais je pense que ça n'est plus utile de continuer à espérer te retrouver. J'ai l'impression que tu resteras avec lui, qu'importe ce que je fasse.
C'est pas la première fois que je le dis, mais l'amour ça ne semble pas fait pour moi, et je dois m'y résoudre.
Une fois en France, je me concentrerai sur mes projets, et continuerai ma vie, malgré le fait qu'on sera dans la même région.
Je devrais essayer d'ouvrir mon coeur à quelqu'un d'autre, surement ce que je devrais faire depuis plus de 2 ans. Je crois que je continuerai à t'aimer toute ma vie, donc si je veux être heureux un jour je pense que je dois t'oublier et réelement m'engager dans une nouvelle relation. Même si cela doit prendre du temps, je dois commencer à penser ainsi, et non plus espérer pour une femme qui est déjà engagée dans une relation. J'ai eu de l'espoir lors de certaines de nos dernières discussions, mais je pense que t'étais juste perdue à ce moment là, et que tu ne pensais pas vraiment à recommencer une nouvelle histoire avec moi. Au moins ça m'aura apporté du bonheur pendant quelques jours.
Maintenant je devrai écouter les autres et penser à mes besoins et mes envies. Il y a un tas de choses que je rêvais de faire avec toi, il faut que je me trouve une motivation à les faire sans toi.
Si un jour tu venais à revenir vers moi, et si jamais je me suis reconstruis dans une nouvelle relation, il va pas falloir que j'oublie tout ce qu'il s'est passé avant d'en arriver là, et que craque facilement. J'ai des valeurs, si je m'engage sérieusement avec quelqu'un il ne doit pas y avoir d'autres histoires en parallèle.
C'est pas facile d'écrire tout ça car j'ai l'impression que j'ai envie de dire tout le contraire. Tu es la seule personne à laquelle je pense plusieurs fois par jours, avec les choses qui me font penser à toi ou les moments où j'aimerai que tu sois là. Mais là c'est la raison qui parle, et j'ai peur d'arriver dans quelques années et que ma vie amoureuse se résume à continuer d'aimer mon premier vrai amour tandis qu'elle vivait sa vie avec d'autres partenaires. J'aurais honte si j'en arrivais là.
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