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#salzbourg
frenchcurious · 5 months
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Une Porsche 356 accrochée à une grue dans une vitrine en juin 2023 dans le salon du groupe Porsche Holding à Salzbourg en Autriche en juin. - source Porsche Museum.
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theodoreangelos · 6 months
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Inner courtyard of the Salzburg Priests’ Seminary Innenhof des Priesterseminars Salzburg Внутренний двор Зальцбургской Духовной семинарии La cour intérieure du Grand Séminaire de Salzbourg Dreifaltigkeitsgasse 14, 5020 Salzburg, Austria Gästehaus im Priesterseminar Salzburg
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bergsmotiv · 2 years
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Salzburg - Salisburgo - Salzbourg
mit / with Hohem Goll, 2.522 m
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the-witcher-parks · 2 years
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tunnel
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tunnel par Freudon Saké Via Flickr : Chemin de traverse, Salzbourg
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manu6259 · 2 years
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La cuisine de la maison natale de Mozart à Salzbourg, Autriche
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retromania4ever · 7 months
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1970 #Le_Mans_24_Hours 🏁
Vic Elford 🇬🇧 & Kurt Ahrens Jr 🇩🇪 (Porsche KG Salzbourg - Porsche 917 LH - Porsche 912)
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k3itoshi · 1 year
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Théo Hernandez and Olivier Giroud (AC Milan) celebrating first goal against Salzbourg (November 11, 2022).
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smokedrunk · 9 months
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Stefan Sweig
Le 22 février 1942, au Brésil, après avoir écrit à leurs proches et aux autorités locales, Stefan Zweig et sa femme Lotte consomment assez de barbituriques pour ne plus se réveiller. Malgré le fracas de la Seconde Guerre mondiale, le suicide de l’écrivain autrichien, dont les livres ont été brûlés quatre ans plus tôt, à Salzbourg, suscite une immense émotion. Pourquoi le romancier, nouvelliste et biographe de génie, qui a connu un succès phénoménal de son vivant, a-t-il cédé à l’appel du vide ? Pour démêler le jeu des forces obscures qui ont emporté sa vie, deux journalistes, François Busnel et Jean-Pierre Devillers égrènent les étapes d’un parcours marqué par la recherche constante de la liberté. Ses premiers succès, qui le rendent célèbre à 30 ans, son enthousiasme pour Freud, son goût du voyage et sa passion pour le progrès technique, annonciateur, croit-il, d’une humanité meilleure… : autant d’éléments biographiques qui éclairent une personnalité complexe. Mais par-dessus tout, l’auteur d’Amok ou du Joueur d’échecs a le culte de l’amitié et exprime une foi profonde en une Europe moderne et cosmopolite. Deux croyances cruellement déçues : l’Europe se déchire dès 1933 et certains des proches de l’écrivain – ainsi que beaucoup de lecteurs – critiquent sa réticence à prendre publiquement parti contre les régimes nazi et soviétique. Mais si Zweig peine à s’engager, c’est qu’il préfère dans ses livres se faire l’archéologue des passions amoureuses. Meurtri, devenu en tant qu’écrivain progressiste et juif un paria en Autriche, il s’exile et ne se relèvera pas de ses désillusions. “La terreur que m’inspire l’époque croît jusqu’à la démesure”, écrit-il peu avant d’en finir.
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jpbjazz · 18 hours
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LÉGENDES DU JAZZ
L’UNIVERS DE STANLEY COWELL 
‘’The wonder of Stanley Cowell will live forever.” 
- Charles Tolliver
Né le 5 mai 1941 à Toledo, en Ohio, Stanley Cowell était le fils de Stanley Cowell Sr. et de Hazel Lytle. Homme d’affaires, le père de Cowell avait construit la première ville modèle. Il était également violoniste amateur.
Cowell avait commencé à étudier le piano classique à l’âge de quatre ans. Enfant-prodige, Cowell avait commencé à composer dès son plus jeune âge. Élevé dans une famille musicale, Cowell avait trois soeurs, Mary, Dolores et Esher, qui avaient toutes étudié le piano. Cowell avait également une nièce qui était devenue musicienne professionnelle. Comme Cowell l’avait expliqué plus tard, ‘’J’ai étudié la musique avant même d’avoir atteint l’âge de 4 ans. A trois ans, mes sœurs m’avaient déjà enseigné pas mal de choses au piano.’’ Se rappelant de ses débuts, Cowell avait ajouté: ‘’Mon père jouait du violon. Il accompagnait les prédicateurs ambulants et jouait avec eux au coin des rues. […] Il jouait des hymnes, de la musique religieuse pendant que le reste de la famille écoutait et chantait.’’
Propriétaire d’un motel à Toledo qui était un des seuls endroits ouverts aux visiteurs de couleur, le père de Cowell opérait également un magasin de disques et un restaurant. Le père de Cowell était également très proche du pianiste Art Tatum. À l’invitation du père de Cowell, Tatum avait d’ailleurs interprété le standard “You Took Advantage of Me” en duo avec le jeune pianiste qui n’était alors âgé que de six ans. Comme Cowell l’avait précisé plus tard, ‘’Art Tatum est venu à la maison une fois, en 1947, j’avais 6 ans. Mon père lui avait demandé de jouer pour moi. Art a répondu qu’il préférait que je joue le premier […]. Art a joué "You Took Advantage of Me”. C’est la seule fois où j’ai vu Art Tatum jouer live.’’
Excellent pianiste de stride un peu comme Jaki Byard et Roland Hanna, Cowell pouvait passer très naturellement d’un style à l’autre. Comme beaucoup de musiciens de jazz, Cowell avait d’abord commencé à jouer dans les offices religieux. Il expliquait: ‘’J’ai été l’organiste et un temps le directeur de la chorale dans une église épiscopale quand j’étais adolescent. Les cloches des églises, les chœurs, les tambourins, les pianos et les claquements de mains se mélangeaient et se fondaient en une expérience sonore. Cette expérience peut m’avoir entraîné à inclure de l’improvisation dans les préludes, interludes et conclusions.’’
Après avoir d’abord étudié le piano et l’orgue, Cowell avait suivi des cours de musicien classique jusqu’au milieu de l’adolescence. À l’âge de seulement quinze ans, Cowell avait interprété le Concerto pour piano no 3 de Dmitry Kabalevsky avec le Toledo Youth Orchestra. Après ses études secondaires, Cowell avait étudié le piano classique avec le légendaire Emil Danenberg au Oberlin Conservatory of Music, en Ohio. En 1973, Cowell avait d’ailleurs rendu hommage à Danenberg dans sa suite "Musa: Ancestral Dreams". C’est dans le cadre de son séjour à Oberlin que Cowell avait fait la rencontre du multi-instrumentiste Rahsaan Roland Kirk. Cowell avait aussi étudié à la Mozarteum Academy, de Salzbourg, en Autriche. Il avait aussi fait des études aux universités du Michigan, de Wichita, au Kansas, et de Southern California.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Après avoir obtenu une maîtrise en piano classique à l’Université du Michigan à Ann Arbor, Cowell s’était installé à New York en 1966. La même année, Cowell avait fait ses débuts sur disque avec le saxophoniste de free jazz Marion Brown et son ancien camarade de classe Roland Kirk, dans le cadre de l’enregistrement de l’album ‘’Three for Shepp’’.
C’est dans le cadre de sa collaboration avec Brown et Kirk que Cowell avait fait la rencontre de l’ancien percussionniste de John Coltrane, Rashied Ali, qu’il avait accompagné lors de ses débuts comme leader au Slugs en mai 1967. La même année, Cowell s’était joint au quintet de Max Roach avec qui il avait participé au Festival de jazz de Newport. Faisaient également partie du groupe le trompettiste Charles Tolliver et le saxophoniste Odean Pope (qui fut bientôt remplacé par Gary Bartz). Cowell était demeuré avec Roach durant trois ans. La collaboration de Cowell à l’album ‘’Don’t Get Weary’’ (1968) de Roach avait joué un grand rôle dans sa formation de compositeur. L’’album ‘’Don’t Get Weary’’ comprenait d’ailleurs deux compositions de Cowell: “Equipoise” et “Effi”.
Grâce à la crédibilité qu’il avait acquise dans le cadre de sa collaboration avec Roach, Cowell avait pu enregistrer un premier album comme leader intitulé ‘’Blues for the Viet Cong’’ (1969), qui était très influencé par la musique électronique et le jazz-fusion. Très engagé politiquement et socialement, Cowell avait abordé dans son travail de compositeur plusieurs enjeux majeurs de l’époque comme les problèmes sociaux, l’histoire des Afro-Américains et le mouvement de la Conscience noire.
Après avoir quitté le groupe de Roach, Cowell avait fait une tournée avec Miles Davis, avant de se joindre aux groupes du vibraphoniste Bobby Hutcherson et des saxophonistes Harold Land et Stan Getz.
Durant la même période, Cowell avait également fait une incursion dans le jazz modal dans le cadre de collaborations aux albums ‘’Patterns’’ (1968) et ‘’Spiral’’ (1979) du vibraphoniste Bobby Hutcherson, qui mettait aussi en vedette le saxophoniste Harold Land (ce dernier avait également participé à Brilliant Circles, un des premiers albums de Cowell en 1969). À la même époque, Cowell avait aussi collaboré avec le batteur Jack DeJohnette dans le cadre de l’enregistrement de l’album ‘’Complex’’, qui mettait également en vedette Bennie Maupin, Miroslav Vitous, Eddie Gomez et Roy Haynes.
Décrivant cette période comme ‘’the beginning of everything’’, Cowell avait collaboré de 1969 à 1973 avec le trompettiste Charles Tolliver, un ancien collaborateur et protégé de Roach, avec qui il avait fondé le groupe Music Inc. C’est en se produisant avec le big band de Tolliver que Cowell avait amorcé sa carrière de compositeur et d’improvisateur, tout en devenant un collaborateur de premier plan avec plusieurs sommités du bebop et du free jazz.
Considérant Cowell un peu comme son frère jumeau, Tolliver avait déclaré plus tard:
“If ever there were two people on this planet who were twins and alter-ego matched it was Stanley and I. From our first meeting at the first rehearsal after being summoned by Max Roach to join his new quintet in 1967, there was an unbroken steadfast musical and personal immortal bond. Stanley’s importance as a great artist and my lifelong comrade can best be explained in that scripture-based hymn, ‘[the Lord] God moves in mysterious ways his wonders to perform.’ The wonder of Stanley Cowell will live forever.” 
À l’époque, des rumeurs avaient laissé entendre que Cowell succéderait bientôt à Herbie Hancock dans le groupe de Miles Davis. Même la rumeur ne s’était pas matérialisée, le seul fait que Cowell ait été mentionné sur un pied d’égalité aux côtés de Chick Corea comme successeur potentiel de Hancock était une bonne indication de sa crédibilité comme pianiste à l’époque.
En 1969, tout en voyageant en Europe avec Hutcherson et Getz, Cowell avait accompagné le violoniste Jean-Luc Ponty à Paris aux côtés de Jean-François Jenny-Clarke et Bernard Lubat. Lors d’un séjour à Londres, Cowell avait enregistré un album (toujours demeuré inédit) avec la section rythmique de Bobby Hutcherson composée de Reggie Johnson et Joe Chambers. C’est d’ailleurs lors de ce séjour à Londres que Cowell avait enregistré son premier album pour leader, ‘’Blues for the Vietcong’’ avec la section rythmique du groupe de Tolliver. Cowell avait enregistré un dernier disque avant de rentrer aux États-Unis, ‘’Ringer.’’
Après avoir collaboré dans le cadre du Detroit Jazz Ensemble, Cowell et Tolliver avaient fondé en 1971 la compagnie de disques Strata-East, avec qui ils avaient enregistré deux albums: ‘’Charles Tolliver Music In’’ (une captation d’un concert au club Slugs de New York en mai 1970) et ‘’Music Inc. & Big Band’’. En plus des albums du duo, la compagnie avait également produit des albums comme ‘’Winter in America’’ de Gil Scott-Heron et Brian Jackson (1974). La compagnie avait aussi collaboré avec de grands noms du jazz comme Clifford Jordan, Billy Harper, Sonny Rollins, les frères Heath et Charlie Rouse. Avec les maisons de disques Black Jazz et Tribe, Strata-East avait ainsi formé une sorte de sainte-trinité des compagnies de disques indépendantes contrôlées par des musiciens de couleur.
En plus de diriger la compagnie de disques et de participer à plusieurs sessions comme accompagnateur, Cowell avait trouvé le temps de participer à de nombreux projets comme leader de ses propres formations. Parmi ceux-ci, on remarquait ‘’Brilliant Circles’’ (avec Woody Shaw et Bobby Hutcherson en 1969) et ‘’Illiusion Suite’’ (1972), un excellent album en trio avec le contrebassiste Stanley Clarke et le batteur Jimmy Hopps, ‘’Musa-Ancestral Dreams’’ (dans lequel il avait utilisé le piano à pouces africain, 1973), ‘’Talkin’s Bout Love’’ (1978) et ‘’New World’’ (1981). Dans les années 1970, Cowell avait également enregistré avec Joe Henderson, Art Pepper, Johnny Griffin et Roy Haynes.
En 1972, Cowell avait aussi mis sur pied un groupe très innovateur qui était composé de sept (et parfois jusqu’à neuf !) pianistes, le Piano Choir. Cowell avait eu l’idée de former le groupe après avoir appris que James Reese Europe, un chef d’orchestre afro-américain du début du 20e siècle, avait déjà donné un concert en utilisant un total de quatorze pianos. Comme Cowell l’avait expliqué au cours d’une entrevue qu’il avait accordée au Washington Post en 2000: “I thought it was a possibility that hadn’t been exploited in modern jazz.’’
Cowell avait également fait partie des membres fondateurs du Collective Black Artists Inc., une organisation à but non lucratif qui avait pour but de donner aux musiciens de couleur plus de contrôle sur leurs compositions, leurs enregistrements et leurs performances sur scène. En 1974, Cowell avait aussi collaboré avec d’autres compositeurs et arrangeurs de talent comme Gil Evans et Sy Oliver dans le cadre d’un concert à Carnegie Hall présenté par la New York Jazz Repertory Company.
Après avoir mis fin à son association avec Tolliver, Cowell avait voyagé en tournée avec les Heath Brother et Roy Haynes durant une dizaine d’années à partir de 1974. Dans le cadre de ces différentes collaborations, Cowell avait un peu joué le rôle d’un facteur ‘’X’’, en ce sens qu’il avait le don de mettre en évidence le talent de ses collaborateurs. Par exemple, sur la pièce ‘’Dr, Jackle’’ avec Cecil McBee et Haynes en 1977, certains des phrasés de Cowell étaient tantôt inspirés par le bebop et tantôt par un jazz plus modal.  En 1975, Cowell avait enregistré l’album ‘’Regeneration’’, dans lequel il avait tenté de réaliser une symbiose entre les instruments d’origine occidentale avec les instruments d’origine africaine.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1980, Cowell a enregistré l’album ‘’In the Tradition’’ avec le saxophoniste de free jazz Arthur Blythe dans le cadre d’une session qui comprenait également la section rythmique du Air Trio composé de Fred Hopkins et Steve McCall. Durant la même décennie, Cowell avait également enregistré l’album ‘’Such Great Friends’’ avec Billy Harper, Reggie Workman et Billy Hart, ainsi que ‘’We Three » avec Buster Williams et Freddie Waits.
À la fin des années 1980 et au début des années 1990, Cowell avait fait partie du quartet du tromboniste J.J. Johnson.
Également professeur, Cowell avait enseigné à la Mason Gross School of the Arts, une composante de l’Université Rutgers, au New Jersey, jusqu’à sa retraite en 2013. Cowell avait aussi été professeur au Amherst College, au Lehman College in New York (1988-99) et au New England Conservatory (1988-89).
En plus de continuer de travailler régulièrement en studio et en tournée, Cowell avait collaboré de façon intensive avec le guitariste de jazz-fusion Larry Coryell, en plus de se produire au Japon avec son trio We Three. Durant cette période, Cowell avait également enregistré plusieurs excellents albums comme leader, et plus particulièrement dans le cadre de ses enregistrements en trio ‘’Sienna’’ (1989), ‘’Departure No 2’’ (1990) et ‘’Live at Copenhagen Jazz House’’ (1993). Parallèlement, Cowell avait aussi composé certaines oeuvres de longue durée comme son Piano Concerto No 1 (composé en hommage à son idole Art Tatum), qui a été présenté en grande première en 1992 par le Toledo Symphony Orchestra. Même si sa carrière de professeur l’avait tenu très occupé jusqu’à la fin de vie, Cowell avait continué de se produire régulièrement dans le cadre de réunions avec ses amis, de projets avec ses étudiants et d’improvisations en piano solo. Parallèllement, Cowell avait continué de diriger à l’occasion ses propres groupes.
En 1999, Cowell avait enregistré l’album ‘’Dancers in Love’’ (d’après la célèbre composition de Duke Ellington) avec Tarus Mateen à la contrebasse et Nasheet Waits à la batterie. Dans les années 2000, Cowell avait commencé à se produire avec sa fille Sunny, une violiste et chanteuse.
Dans les années 2010, Cowell avait continué d’enregistrer régulièrement avec de petites compagnies de disques comme Steeplechase. Parmi ses dernières parutions, on remarquait ‘’Welcome To The New World’’ (2013), ‘’Are You Real ?’’ (2014) et ‘’No Illusions’’ (2017). Après avoir pris sa retraite de l’Université Rutgers, Cowell avait enregistré en 2015 un album intitulé ‘’Juneteenth’’, qui comprenait plusieurs compositions pour piano solo inspirées par les mouvements des droits civiques et du Black Power. Un peu comme l’album ‘’The Prisoner’’ d’Herbie Hancock, le disque avait souvent été sous-estimé malgré l’excellence de sa musique et le message politique qui réflétait plusieurs des préoccupations de l’époque. Rejeté par les maisons de disques américaines, l’album avait finalement été publié par une compagnie française.
Toujours en 2015, Cowell s’était produit durant une semaine au Village Vanguard de New York avec un trio qui comprenait le saxophoniste Bruce Williams. Cowell, qui n’avait jamais cessé d’innover jusqu’à la fin, avait utilisé lors du concert un système appelé Kyma, qui permettait de transformer le son du piano artificiellement grâce à la technologie digitale. La même année, Cowell avit joué au club Barbica de Londres, en Angleterre, dans le cadre d’une réunion avec ses anciens collaborateurs de Strata-East. En 2019, quelques mois avant sa mort, Cowell avait interprété sa suite Juneteenth avec un orchestre de cordes, voix et percussions au An Die Musik Live de Baltimore.
Stanley Cowell est mort le 17 décembre 2020 au Bayhealth Hospital de Dover, au Delaware. Le décès de Cowell avait été attribué à un problème de circulation sanguine (choc hypovolémique). Il était âgé de soixante-dix-neuf ans. Cowell laissait dans le deuil sa troisième épouse Sylvia Potts, sa fille Sunny, une musicienne et avocate de Baltimore, sa fille Sienna (issue de son second mariage), une soeur et deux petits-enfants. Cowell, qui s’est marié trois fois, avait d’abord épousé Effi Slaughter (elle s’était remariée plus tard au maire de Washington, D.C., Marion Barry) et Victoria McLaughlin. Le doyen du Conservatoire d’Oberlin où Cowell avait fait ses études lui avait rendu hommage après sa mort en déclarant:
“On behalf of the Oberlin Conservatory community, I extend my deepest condolences to Mr. Cowell’s family, friends, and loved ones. Stanley Cowell was a towering figure in the history of jazz, and the history of 20th- and 21st-century music more broadly. As a composer, performer, and thinker, his contributions shaped contemporary musical life in profound and lasting ways, and we join with colleagues around the globe in celebrating his life and honoring his memory.”
Ce n’était qu’un juste retour des choses pour Cowell. En 2010, lorsque le Odabin College avait inauguré le Bertram and Judith Kohl Building qui abritait le site des études jazz de l’université, Cowell avait fait partie intégrante des festivités. Sans même avoir été annoncé, Cowell avait gravi les marches de la chapelle Finney et s’était assis sur le banc de piano à côté de Stevie Wonder. Cowell avait joué durant quarante-cinq minutes accompagné par Wonder à l’harmonica. L’ancien directeur des études jazz de l’université, le professeur de guitare Bobby Ferrazza, qui assistait au concert, avait commenté plus tard: “Stanley was an extremely kind, thoughtful person. We once had a conversation about the details of some of J.J. Johnson's music, and Stanley subsequently sent me one of J.J.'s lead sheets. He was a great musician and a truly thoughtful one.”
Cowell avait livré sa dernière performance en octobre 2020 dans le cadre du concert inaugural du club Keystone Corner de Baltimore, le seul club des États-Unis à permettre une assistance de 25% durant la pandémie de la Covid-19. Le concert avait été enregistré et avait donné lieu à la publication de l’album ‘’Live at Keystone Korner Baltimore’’. Le concert mettait également en vedette le trompettiste Freddie Hendrix et le saxophoniste Bruce Williams, ainsi que la fille de Cowell, Sunny, au chant.
Le proprétaire du Keystone Corner, Todd Barkan, qui collaborait avec Cowell depuis de nombreux années, lui avait rendu hommage en ces termes: “As a composer and player Stanley Cowell was one of the great voices of jazz piano. He had a unique compelling expression in his playing and composing. His composition ‘Equipoise’ captures the essence of his compositions and playing style. I enjoyed working with him for over 50 years as an artist and friend.”
Pianiste complet et très polyvalent, Cowell pouvait passer très facilement d’un style à l’autre, qu’il s’agisse du stride, du jazz d’avant-garde, du jazz-fusion ou de la musique classique. Au cours de sa carrière, Cowell s’était produit avec plusieurs sommités du jazz, de Marion Brown à Max Roach, en passant par Bobby Hutcherson, Charles Moore, Art Pepper, Joe Henderson, les frères Albert, Jimmy et Rodney Heath, Woody Shaw, Miles Davis, Gary Bartz, Johnny Griffin, Roy Haynes, Charles Tolliver, Clifford Jordan, Arthur Blythe, Harold Land, Sonny Rollins et Stan Getz.
Cowell a enregistré plus de trente albums comme leader au cours de sa carrière. Il a aussi collaboré à de nombreux autres albums en compagnie d’autres artistes. Décrivant le style de Cowell, le critique Owen McNally avait écrit en 2013: “Always unfolding dramatically is never pretentious, never afflicted with arcane, elitist self-indulgence posing as cosmic significance to be comprehended by only a chosen few.’’
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sublimegiverpanda · 3 months
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frenchcurious · 6 months
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Kurt Ahrens, Jr. (Salzbourg - Porsche 917 LH) et David Hobbs (Gulf - Porsche 917 K) aux essais des 24 Heures du Mans 1970. © Jacques Violet. - source Carros e Pilotos.
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theodoreangelos · 6 months
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Guest chapel and anterooms in the guest house of the Salzburg Priests’ Seminary Gästekapelle und Vorräume im Gästehaus des Priesterseminars Salzburg Гостевая часовня и прихожие в гостевом доме Зальцбургской Духовной семинарии Chapelle des hôtes et vestibules de la maison d'hôtes du Grand Séminaire de Salzbourg Dreifaltigkeitsgasse 14, 5020 Salzburg, Austria Gästehaus im Priesterseminar Salzburg
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bergsmotiv · 2 years
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Mozartstadt Salzburg, mit Festung Hohensalzburg und Untersberg, 1853 m
The city of Mozart, Salzburg, with the castle of Hohensalzburg and the Untersberg (5115 ft.)
Salzbourg, La Ville de Mozart; la forteresse de Hohensalzbourg et l’Untersberg (Alt. 1853 m)
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the-witcher-parks · 2 years
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people par Freudon Saké
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philoursmars · 9 months
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Marseille. Au MuCEM, une très intéressante expo : "Fashion-Folklore".Le titre parle de lui-même.
Karl Lagerfeld pour Chanel "Paris-Salzbourg" 2014
costume de Tyrolien - Inntal, Autriche, XIXe s.
Jean-Paul Gaultier pour "Jeux de Plissés" 2019
xhubleta, robe de montagnarde - Malësia e Madhë, Albanie du Nord, fin XIXe s.
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