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#parasitage
alasamagdana · 6 hours
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Et nous aurons à détruire beaucoup,
énormément.
Mais sans une seule once
de haine ou d'aversion,
juste comme les serviteurs
parfaitement dévoués
d'une justice
absolument implacable.
Détruire la main ferme,
trancher l'âme aiguisée,
simplement parce que
sera enfin venu le temps
d'ouvrir les vannes,
gigantesques,
de la réalité éternelle
qui doit prendre place sur la terre.
Et cela fait si longtemps
qu'elle attend son heure,
qu'elle patiente
la nouvelle terre,
que la pression est insoutenable,
qu'un quart de tour
donnerait des geysers fatals.
Ce sont des tsunamis qui s'annoncent,
des déluges,
des incendies jusqu'au ciel,
des comètes, des éruptions,
des coulées pyroclastiques,
à l'échelle d'un monde.
Car c'est la fin
la fin des marais de l'aliénation,
la fin des prisons du conditionnement,
la fin des des existences en surface,
la fin des vies en putréfaction.
Car c'est la fin
de l'humanité en corruption,
en parasitages systémiques,
en aveugléments, en voiles,
en ignorance et en souffrance.
C'est un grand nettoyage
une purification,
après sa longue initiation
dans les ténèbres
des expériences obscures.
C'est le temps
du genre humain
qui ouvre ses yeux.
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brunomindcast · 2 months
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jalonvie · 3 months
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L’addiction attaque l’intérioritéLe propre des addictions, en particulier celles liées à Internet, à la surinformation et à la musique à haute dose, est d’envahir le champ de la conscience. C’est une sorte d’intrusion dans l’esprit qui prive la personne de son intériorité, c’est-à-dire de sa capacité à penser, à méditer, à accueillir ce qui est vrai en elle et pour elle. La solitude est remplie par du bruit qui ôte tout espace de liberté. C’est un peu comme un lavage de cerveau : en privant la personne de la possibilité de penser, on l’épuise et on la prive de cette capacité à être elle-même. Peu à peu, elle ne sait plus qui elle est. Dès que les sensations nous privent de nos émotions profondes, elles nous coupent également de notre intériorité. En substituant l’agir à l’être, le coeur profond devient muet.
C’est parfois ce que nous recherchons sans le savoir vraiment. Nous avons tellement peur de ce que notre intériorité pourrait nous dévoiler que nous entretenons le bruit et le parasitage de cette petite voix intérieure qui nous parle de nos vrais désirs. Ainsi, avec le casque sur les oreilles ou bien la télévision allumée sans arrêt, j’étouffe cette voix intérieure.
Cela est vrai pour l’addiction à Internet qui sollicite en permanence l’esprit. C’est aussi valable pour la pornographie. Le consommateur de pornographie a l’impression d’avoir un coeur vide, sans vie, sans énergie et sans espérance. C’est la conséquence directe de l’invasion de cette passion, qui empêche la personne de vivre selon ses aspirations profondes. L’intériorité est la condition de l’amour. Quand on prive la personne de son intériorité, on l’empêche de penser et donc de bien agir et d’aimer.
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sebastienrobertblr · 3 months
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Les sataniques, le déni, les inversions, et la persistance dans la mécréance.
Statistiquement, il est très rare qu’un satanique sorte de sa mécréance, dans laquelle il trouve divers avantages, matériels, et de puissance. Qui sont dus uniquement au parasitage des autres. Pourtant, il est fréquent que le Tout Puissant leur inflige des corrections, certes minimes au vu de la gravité et de la répétition de leurs actes, mais l’addiction au mal, au faux, et donc au satanisme,…
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entomoblog · 4 months
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Fourmis, Papillons bleus et Guêpes Ichneumides Partie 1/2 - Strange Stuff And Funky Things
See on Scoop.it - EntomoScience
Dans le monde des parasites, il y a différents degrés de violence. On a vu la semaine dernière que niveau parasitage, les guêpes braconides préconisent plutôt le côté gorissime !
  [Freaky Friday Parasite]
Par taupo, vendredi 16 juillet 2010
  'Parmi les plus cool, il y a les cleptoparasites, qui vont se contenter de jouer une version élaborée de ‘Je vais dîner chez vous ce soir’! Le principe c’est qu’une maman cleptoparasite va pondre ses œufs mais laisser d’autres parents s’occuper de ses œufs.  Bon, faut dire, c’est pas toujours très propre, hein, comme le poussin du coucou qui va jarter tous les autres œufs de son nid d’adoption. Mais niveau images, ça reste plus supportable. Du coup, la première partie de ce Freaky Friday Parasite risque de moins vous faire vomir que les précédentes éditions (mais gare, le gore guette!).
A quoi ressemble un cleptoparasite dans le monde des insectes. L’un des meilleur exemple est le groupe des papillons lycénidés (6000 espèces) dont la majeur partie peut, au stade larvaire, infiltrer les fourmilières pour y être nourri, blanchi et logé jusqu’à leur transformation en adulte."
(...)
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justtask · 2 years
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0p civilization beyond earth wallpapers
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0P CIVILIZATION BEYOND EARTH WALLPAPERS PLUS
Inventaire de Personnalité des Vendeurs (87 questions) Typologique de Myers - Briggs (126 questions), toujours très utiliséĬertains, orientés vers la négociation et la vente comme : Il y en a plusieurs, certains classiques et d'origine américaine, comme :
0P CIVILIZATION BEYOND EARTH WALLPAPERS PLUS
C'est le score global de qui est pris en compte, donc avant tout, la quantité de réponses justes fournies.Ĭ'est le type de tests le plus couramment utilisés en recrutement. Sautez-le, quitte à y revenir ensuite si vous avez encore le temps (c'est rarement Mon conseil : Dans ce type de tests, toujours minutés, ne vous bloquez pas sur un problème.
Test des Matrices Progressives de Ravenĭ'autres tests encore, d'intelligence "spatiale", sont des figures géométriques fragmentées ou sous forme de puzzle, à recomposer ou remettre dans le bon ordre.Įntrainement Gratuit (Merci à Aide Emploi).
Dans ce genre de tests, il faut compléter des suites logiques, souvent des progressions arithmétiques ou géométriques, ou des lois de composition, qu'il faut découvrir. D'autres tests à base de chiffres ou de lettres sont de la même Par tous, et évitent ainsi les parasitages liés à la maîtrise de la langue ou à des spécificités culturelles particulières.Ĭ'est le cas du (fameux) test des Dominos (D48 ou D70) qui en est l'exemple typique. C'est pourquoi, la plupart des tests d'intelligence utilisent des symboles suffisamment universels pour être compris Un test d'intelligence générale doit être exempt de tout biais culturel. Voila une façon de "scientifiser" les choses. qu'ils ont pondérés en un facteur unique, le facteur "g", dit d'intelligence Verbale, l'aptitude numérique, le sens logique, l'orientation spatiale, l'imagination, la créativité, etc. Devant la difficulté de définir avec précision ce qu'est vraiment l'intelligence - tout au plus peut-on dire, a minima, queĬ'est la capacité de s'adapter à des situations nouvelles - les psychologues ont éclaté ce "serpent de mer" en de multiples facteurs spécifiques, tels que la compréhension Ils cherchent à "mesurer" votre niveau intellectuel voire votre QI. Que la plupart des tests sont maintenant informatisés (Sigmund a été le précurseur). Ne subsiste donc plus que l'ECPA.ĭ'autres éditeurs sont apparus ces vingt dernières années, proposant des outils plus modernes ou accessibles, et mieux ciblés sur la psychologie du travail, le recutement et l'entreprise. Les deux éditeurs historiques des tests en France sont les EAP et l'ECPA, qui ont fusionné en 2004 et détiennent la majorité des droits et licences des tests utilisés en recrutement et dansĭ'autres domaines d'application, en psychologie clinique notamment. Les principaux éditeurs de tests psychotechniques en France Traduits et réétalonnés sur une population française puis réactualisés régulièrement depuis. Les tests présentés ici sont les tests psychotechniques les plus classiques et les plus connus, d'origine la plupart du temps américaine et issus de la grande vague béhavioriste des années 50/60, L'essentiel est de toutes façons ailleurs, dans votre parcours professionnel et surtout, dans votre motivation et l'intérêt que vous manifestez pour le poste. Considérez-les sans appréhension comme un reflet Ce sont avant tout des éclairages complémentaires rarement déterminants. On peut distinguer quatre typologies de tests psychotechniques et j'y rajoute aussi la graphologie dont l'objectif est similaire, à savoir dresser un portrait psychologique de laĭédramatisons d'emblée les tests et la graphologie. Ils sont très peu utilisés dans les PME/PMI faute deĬompétences pour les faire passer et les interpréter. Les tests sont d'un usage relativement fréquent dans les cabinets de recrutement - mais pas tous - et dans la plupart des grandes entreprises. Les tests d'intelligence Les tests d'aptitudes Les questionnaires de personnalité Les tests projectifs La graphologie L'Assessment Center Tests emploi, QI et personnalité Les Tests Psychotechniques utilisés en Recrutement
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lapipaylafuente · 4 years
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La pipa y la fuente #18: Erik Tlaseca – Imagen: still de «Algún día llegará la noche» (2018-2020), video de 16 minutos con el que Erik Tlaseca reinterpreta la figura de Xipe Tótec, “nuestro señor desollado”. El video se exhibe junto a una instalación conformada por algunos objetos encontrados y varios objetos de palma tejidos en colaboración con Juana Mendoza Diego, Maximina Diego Rodríguez y Cecilio Vásquez Vásquez, de la comunidad San Pedro Jocotipac, Oaxaca. La pieza forma parte de la exposición colectiva “Parasitage. RUIDOS NEGROS”, exposición del Museo Carrillo Gil que mostró los trabajos de la sexta edición del Programa BBVA-MACG. Invitado: Erik Tlaseca. Conduce Jesús Pacheco (@peach_melba). | Transmisión: martes 6 de octubre, 2020, 17:00-18:00 h por Radio Nopal. 
«La pipa y la fuente» es un proyecto beneficiado durante el primer periodo del Fondo de apoyo PAC/Covid-19.
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felicia-pegli · 4 years
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Projet de pratique plastique autour de la notion de parasitage. Rendu final format A3+ 2ème année de BTS - 2019/2020
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Le sentiment amoureux n’est pas neutre
Extrait II d'une thèse de Stéphanie Mayer que Clizia m'a mise dans les mains - pourquoi le sentiment amoureux est le terrain de reconduction de rapports de force qui désavantagent très souvent les femmes :
“Le sentiment amoureux n’est pas neutre et la manière de l’expérimenter ne l’est pas non plus. Le sentiment amoureux est médiatisé par des facteurs sociaux, comme l’orientation sexuelle, la classe, la culture, l’appartenance raciale, la provenance géographique ou les enjeux entourant le capacitisme du corps. Le genre figure parmi les facteurs qui contribuent à se représenter et à expérimenter l’amour différemment. Simone de Beauvoir écrivait à une autre époque : « [...] même s’ils [les hommes] tombent à genoux devant leur maîtresse, ce qu’ils souhaitent encore c’est la posséder, l’annexer ; ils demeurent au cœur de leur vie comme des sujets souverains [...] Pour la femme, au contraire l’amour est une totale démission au profit d’un maître. » (1949 : 377.) Si un peu plus d’un demi-siècle plus tard, les dichotomies auxquelles réfère Simone de Beauvoir se sont transformées, notamment par l’importance qu’accordent – en principe – les partenaires à l’égalité et à l’autonomie (Giddens, 2004), les schémas amoureux restent largement marqués par les différences de genre. Les femmes et les hommes n’arrivent pas à « l’amour » dans les mêmes conditions et cela est tributaire de la socialisation genrée (Cancian, 1986). Il semble possible d’affirmer que l’investissement émotionnel, affectif, amoureux et familial dans le dispositif hétérosexuel se fait selon les antagonismes de la féminité et de la masculinité. Par exemple, l’étude empirique de Paul Johnson (2005) démontre comment les femmes en général expérimentent par l’amour (et l’engagement intime, relationnel et interpersonnel) une expérience de découverte, de transformation d’elles-mêmes, qu’elles se sentent complétées par l’autre et les ruptures sont expérimentées comme une perte de soi. Tandis que les hommes expérimentent plutôt l’amour comme une forme d’ajout à ce qu’ils sont, sans pour autant se sentir complétés, ce qui confirme en partie leur supposée indépendance face aux relations. Pour sa part, Tove Thagaard indique que les conjoints tiennent généralement pour acquis l’amour des femmes à leur endroit comme quelque chose qui leur est dû, contrairement à ces dernières qui prennent chaque geste comme un cadeau (1997 : 359). Dans l’étude de Wendy Landford (1999), les femmes hétérosexuelles rencontrées témoignent que leurs besoins d’amour et de reconnaissance de la part des hommes sont souvent perçus comme illégitimes ou exagérés. Les modèles hétérosexuels entourant l’amour demeurent binaires et complémentaires. Claude Zaidman décrit cela comme l’ordre des interactions « des relations qui s’imbriquent et s’engagent dans un comportement de face à face coordonné » (2002 : 10). Les pratiques de l’amour romantique prennent appui sur la socialisation différenciée et produisent les incompréhensions entre les partenaires (Rubin, 1986) qui assurent notamment l’asymétrie dans l’expérimentation de l’ancrage amoureux. Les féministes ont depuis longtemps évoqué l’asymétrie qui caractérise les rapports amoureux, ce qui peut donner lieu à des hiérarchies entre les femmes et les hommes. Il n’est pas question ici de l’enjeu de la prise en charge mentale et des pratiques quotidiennes de travaux domestiques. La hiérarchie dans les rapports femmes-hommes n’est pas le propre du sentiment amoureux, mais elle prend une forme singulière qu’il faut penser. La hiérarchie peut s’instaurer en raison de la manière différente (et complémentaire) de se représenter l’amour et de la mettre en pratique, ce qui permet des rapports de pouvoir devant être interrogés. Des féministes ont souvent qualifié de « male parasitism » la relation des hommes à l’endroit de l’énergie des femmes (Firestone, 1972; Frye, 1983). Cette idée du parasitage témoigne de l’échange inégal sur le plan de l’amour qui se joue dans l’hétérosexualité.
Male presently provide, off and on, a portion of the marital support of women, within circumstances apparently designed to provide them for themselves. But females provide and generally have provided for males the energy and spirit for living; the males are nurtured by the females. And this the males apparently cannot do for themselves, even partially (Frye, 1983 : 99).
En suivant la logique selon laquelle les femmes et les hommes sont ensemble à titre complémentaire, on pourrait dire que les hommes fournissent les conditions matérielles aux relations (dans un contexte qui les place de manière toujours plus avantageuse économiquement), tandis que les femmes fournissent davantage les conditions émotionnelles. Ann G. Jònasdòttir parle du « pouvoir d’amour » des femmes, lequel contient « both caring and erotic/ecstatic power » (2014 : 13). Se représenter l’amour et pratiquer les gestes lui étant associés sont des manières pour les femmes d’agir en conformité avec leur socialisation différenciée. Cet engagement des femmes par la prise en charge des émotions est le socle de l’amour : le « emotional labor ». Les apprentissages différenciés font que les femmes sont jugées « trop » émotives et les hommes plus « rationnels ». Mariana Valverde soutient que dans les relations hétérosexuelles, « [...] la profondeur des sentiments est souvent limitée par la tendance des hommes à éviter les émotions “intenses” et par la connaissance féminine voulant que les hommes soient rarement en mesure de prendre bien soin d’une partenaire émotivement vulnérable » (1989 : 102). Cet investissement différencié dans l’amour est l’une des causes des hiérarchies entre les femmes et les hommes dans le dispositif hétérosexuel. Cette énergie d’amour à laquelle s’alimentent les hommes, sans la rendre dans la réciprocité, pose problème. Sandra Lee Bartky considère que cet investissement d’énergie asymétrique des femmes dans le rapport hétérosexuel : « [...] is a collective genuflection by women to men, an affirmation of male importance that is unreciprocated. The consistent giving of what we don’t get in return is a performative acknowledgement of male supremacy and thus a contribution to our own social demotion. » (1990 : 109.) Cette asymétrie n’est pas seulement le fruit de dynamiques intimes entre deux personnes, mais leur inscription dans une logique des hiérarchies entre les femmes et les hommes. Elle intervient dans l’inégalité de l’investissement dans les sentiments amoureux, une reconfiguration des rapports de pouvoir inhérents au dispositif hétérosexuel. Le caractère invisible de cette asymétrie prend sa source dans la socialisation différenciée. Les représentations qu’ont les femmes et les hommes de l’amour influent directement sur la stabilité du dispositif hétérosexuel.
thèse de Stéphanie Mayer (2018), p. 164 : Regards féministes sur l’hétérosexualité contemporaine occidentale : Essai sur le dispositif hétérosexuel et ses limites pour l’égalité et la liberté des femmes
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revistasentimental · 4 years
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QUIEN IBA A DECIR
por Andrea Peltier
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Yo quería ver el nuevo documental de Alexander McQueen y se me ocurrió hablarle (ya que sigo utilizando este medio de comunicación) a Paloma Contreras. La mujer y yo disfrutamos de ver ropa inasequible y echar chisme. Para mi era la perfecta receta de un domingo cualquiera pero poco sabía yo que en realidad íbamos a ir a ver arte.
Me dijo que 3:00 en el Carrillo Gil. Y ya tenía una borrosa idea de la existencia de estas 3 exposiciones gracias a varios posts en instagram. Algo muy normal para quien sea que transita el espiral que hace el eje creativo y artístico de la Ciudad de México. No fue hasta que entré y subí al tercer piso que me di cuenta que ya contaba con más información de las piezas y artistas que lo que el texto museográfico o la guía de sala hubieran podido proporcionarme. La academia tiende a hacer de los textos finales una salsa de palabras que no adereza mi vida. Iba con la más indicada, ya que Paloma pertenece a este mundo y los chismes y anotaciones corrieron a surgir. También me dió gusto darme cuenta que conocía varios de los artistas ahí reunidos.
Solo como comentario, hablaré solo de las piezas que se quedaron en mi cabeza, ya que  cuando fui no tenía ni la menor idea de que iba a escribir sobre de esto. Hasta semanas después las chicas me ofrecen esta oportunidad. Entonces no esperen descripciones largas, hermanos.
Al entrar lo primero que vi fue una de las pinturas de nuestro querido Néstor Jiménez. Una pintura con sus muy irremediables e imposibles perspectivas. Creo nunca había visto nada de Néstor en persona. Pasar del imaginario a la realidad no alteró mi gusto por su pintura lo cual siempre te deja tranquila cuando le tienes estima personal al artista. Me encantaría ver esas perspectivas en cuadros aún más grandes, pensé. Luego recuerdo las pinturas de Elsa-Louise Manceaux las cuales me parecieron muy bellas sin contar en este gusto a los volúmenes alrededor. Recuerdo haber hecho un comentado sobre mi muy personal desagrado por los pintores tratando de viajar muy desafortunadamente hacia el volumen. Después se llega muy orgánicamente por las proximidades del espacio a la pantalla de proyección de Erik Tlaseca con una pieza visual (no digo audio porque no recuerdo escuchar nada) de unos 2 por 2.40 M. Verde, cielos azules, tierra y demás bellezas que proporciona la fauna mexa. En la pantalla, dentro de esta selva, la graciosa aparición de un personaje salido de su propia y muy específica ficción. Paloma hace unas anotaciones a su praxis, ya que compartieron espacios en el FONCA. Compartimos el gusto por las piezas expuestas en el suelo, que paloma me comenta son props. Pero Paloma no dejaba de mencionar otras piezas mas adelante, entonces camine un poco más y fue ahí donde me encontré una de las 3 piezas de Víctor del (M)Oral Rivera. De pronto lo recordé todo. Tuve un flashback a la cocina de Juan Caloca la noche de su cumpleaños.
Mi flashback: Yo muy adulterada en la cocina de Juan a las 5:00 de la mañana abrazando a Yollotl con los ojos cerrados escuchando a Víctor, Yollotl y Gamaliel hablando de cómo es que iban a tirar las piezas. Sobre qué cámaras iban a utilizar, del tiempo, del aire, de la producción en general. Yo me imaginaba la pieza y lo único que me daba miedo era que en el primer intento no fueran a estar lo suficientemente organizados para captar bien el instante. A mi parecer el nervio venía de escuchar una buena idea salir de la boca de dos borrachos. Abrí los ojos y les dije que lo que necesitaban eran varias cámaras. Que lo grabaran con 3 puntos de vista. Tengo la impresión de que me dieron una muy ligera razón y siguieron con el tema. Luego cambiamos de tema porque Gama tenía hambre y despuesito llegó Juan a preparar unas quesadillas de flor de calabaza bastante insípidas o para después regañarnos que debíamos de tener una pool party en la azotea en ese preciso momento, pero Yollotl y Victor estaban hipnotizados hablando de la pieza y bajaron al estudio de Victor a seguir con el tema sin nuestras intromisiones. A mi lo que me impresionó de todo esto es cómo alguien podía hablar y hablar hasta las 5:00 de la mañana de algo tan técnico. Yo lo único que pienso en la fiesta a las 5:00 de la mañana es sobre si voy a coger o no, o cómo voy a regresar a casa.
La verdad me impresiono la pieza ya que la vi viva en el espacio. Me pareció genial el formato de las pantallas. Primero ves la pieza donde la letra A camina en una toma top del estacionamiento de la Torre Banobras. (Como comentario, los números del estacionamiento no coinciden con el orden numérico que esperas)  Luego otra pantalla de igual tamaño con varios detalles de texturas y formas del edificio donde se cuelan imágenes de la Ciudad de México. La calidad de foco y la corrección de color es perfecta. Da mucho gusto verle las arrugas al edificio con tomas bien perspectivadas. Después te encuentras con la pieza central del trabajo de Víctor que es el momento en el que se tira la letra A de lo más alto de la torre en una pantalla vertical de unos 3.50 X 1.20 proporcional a la torre.
Casi lloro a decir verdad. Ver cosas rompiéndose es de mis más grandes pasiones. Fue de verdad grato pensar en el esfuerzo tan grande que debió haber sido llegar hasta ese momento. Con el aire a todo volumen. El sonido de este rompiendo contra tus orejas. Traz. La pieza choca contra el suelo. Es como si vieras escuchar un grito en el vacío. Choca y la toma termina con el vuelo en ascenso de un pájaro justo atravesando el cuadro. Todo es una cámara lenta. Volteo a ver a Paloma y le digo -Verga-. Me quedo otro rato ahí parada viendo de nuevo la acción.
Poco antes de llegar a esta pantalla, existe otro muy afortunado momento de la exposición. La obra de Rolando Jacob que es la creación de un espacio interior que nos lleva a 1972 según el calendario en la pared. Sillones, libreros, un tapete, la mesa las sillas, la consola, y una radio prendida. La pieza es el esfuerzo de recrear una típica sala-comedor de alguna familia promedio del norte del país. Estas piezas me fascinan porque entiendo el esfuerzo que es ambientar algo. Quien sea que tenga las fuerzas para conseguir un total de 50 objetos con el mismo lenguaje histórico se merece un pastel. Ni sé ni me importa qué quería decir el artista pero me parece que se merece un pastel, y uno chido hecho el mismo día.
Si Rolando Jacob merece un pastel, que alguien se la chupe a Víctor. Estaría interesante que así se le diera retroalimentación al artista, pero la sociedad es tan aburrida que prefiere pagar con dinero. Vaya falla.
De esta exposición PARASITAGE, RUIDOS NEGROS y en especial de este piso también quiero destacar la participación de Tania Ximena con sus piezas gigantes de tomas al volcán y a lo que creo es la prístina documentación de una de sus expediciones. Close ups de carámbanos de 4 x 2.40 metros siempre va a ser una estrategia ganadora. La verdad es que no recuerdo otra pieza en el espacio que se haya impreso en mi memoria con la misma fuerza que las piezas que acabo de relatar. Un saludo a los demás participantes.
La siguiente sala: ABUSOS DE LAS FORMAS.
Lo primero que viene a mi recuerdo es la pieza de Thomas Glassford de quien tengo un recuerdo muy cómico en la boda de unos amigos en Oaxaca en donde prácticamente le dije que se veía demasiado heterosexual y viejo para pertenecer al lanzamiento del ramo. Al respecto de esto mi tía Mariangel me diría algo como “Por este tipo de cosas no podrás figurar en sociedad”. En fin, la pieza son unos muy nacionales guajes montados en una dinámica física de fierro cromado en alusión a una máquina absurda con mangueras hacia sí misma. La relación entre materiales hace de la pieza una de mis favoritas de la sala.
De esta exposición lo que más se escucha es una voz susurrando lentamente -Identidad Nacional- y a lo que me refiero, es al tono general de la exposición el cual gira sobre ideas como lo prehispánico, la artesanía y la relación entre artista y artesano. Artista y cultura. El susurro regresa -Identidaaaaad Nacionaaaaaal- Y pues bueno, adivinen quien estaba exponiendo… ¡Claro! ahí andaba una pieza del Juan Caloca.
A continuación algunas piezas de los vestuarios del video de Ulrik López. Todo tiene tonos cafés. Es interesante como hay temas de investigación que ya tienen una paleta de color preestablecida. Las técnicas nos sujetan a una apariencia, por supuesto. La investigación de la artesanía o el archivo también nos sujetan a una veracidad, a contar las cosas bien. A utilizar tierra donde la tierra sepultó todo.
Aun así, ahí estaba una escultura de herrería con formas que nos llevan a pensar rápidamente en el trabajo de los zaguanes típicos de la vivienda mexicana. Solo que pintado en colores estridentes como el tornasol.  Y me refiero a estas soleras roladas en espiral que aluden a flores y espirales decorativos los cuales siempre me han parecido una cosa rarísima salida directamente de un pensar típico del biedermeier o el arts and crafts. O sea, la voz de la primera revolución industrial perdida en colonias como La Industrial en Lindavista. Una pieza sobre arquitectura vernacular, muy a la orden del día. Después recuerdo unas pinturas muy monas de dos platos de cerámica color terracota. Un trabajo en conjunto de Jonathan Miralda con Andrés Villalobos. A lado, unas pinturas del muy genio de Francis Alÿs. Muy Francis, no sé. Es de esas cosas que ves y sabes quien es, y te dices “Ah vaya. Sí. Qué genio” pero enseguida sigues caminando.
Seguimos en el recorrido y en una esquina tenemos a Abraham Cruzvillegas con un tapete de mosaicos cocinados con esta técnica artesanal de barnizado color verde obscuro. Y la verdad es hoy en día es una opción asertiva utilizar este terminado. Es exactamente aquí, en esta parte del texto, donde me pregunto -Bueno pero, pues hoy en día ¿qué diablos puede salir mal de los procesos y piezas con técnicas artesanas? Y este, chavos, es un tema al cual no me pienso meter en este momento, les regalo mi duda. (Espero de sobremanera entiendan la ironía)
En este mismo cachito de sala también existen dos piezas salidas del horno de Parque Galería. Un video de María Sosa donde se tiene a ella misma jugando a las barbies con diferentes “vestidos” que quiero pensar son conceptos vistiendo u oprimiendola en una búsqueda deconstructiva y constructiva de su persona y de la imagen femenina antepuesta a una ficción cultural. Llamenme loca, pero eso fue lo que entendí.
Luego la gran pieza de Juan Caloca. Tal vez lo quiero mucho y como buena madre mexicana no puedo hablar mal de él. Agradezco y agradeceré siempre que se me sorprenda. Y la verdad me gustó su pieza. Una Coca Cola sujeta por la tensión de unas cuerdas de yute que utilizan la banda que carga en los mercados o centrales de abastos cuando no se tiene diablito. También me gusto que resolviera con manerales de acero inox  sujetarse de ahí. No sé amigos. Muy Juan.
Después estaba esta pieza que no vi de quien era, pero eran unos tepetates con piedras de agua. Y el letrero decía ‘para disfrutar la pieza quítese los zapatos’. Y es que a mi las dinámicas del ‘toca, juega y aprende’ me gustan mucho, pero Paloma ya iba rápido en esta sección, y pues no me quería quedar atrás. Después pasamos a la parte en donde casi todo era archivo. De ahí estos textos que hablaban sobre cómo habían creado varias piezas para el museo de antropología. Y me dieron celos no haber pertenecido a ese momento en México. Ya me imagino las pláticas en los cafés de la zona rosa al respecto de lo que todos los artistas se esperaban del museo de antropología, que si los que tenían las manos dentro lo estaba haciendo bien o mal, que si el dinero, que si la dirección, que si yo también quiero.
Y pues, pasamos a la tercera y última exposición. EL NEGRO SOL DE LA MELANCOLÍA curada por Luis Felipe Fabre. A veces, cuando entras a una exposición entiendes el tono en el que se arma el show. A veces es muy poco personal, a veces el artista o los artistas resaltan sobre el espacio y no puedes más que escuchar sus voces. A veces solo escuchas al espacio triste y blanco esperar por algo más. Y otras veces, como en este caso, escuchas al curador completamente volcado dentro de su investigación. Me identifique mucho con él, así como él se identificó con esos fragmentos expuestos. Alguien que obviamente lee y escribe. Es un espacio de un color casi negro. El negro que se logra solo de pigmentos naturales. Las piezas en su mayoría pinturas y grabados y algunas esculturas medio ochenteras con unos fetos de animales en forma de círculo. Paloma me cuenta que cree son piezas de la colección del museo. Mi parte favorita son las fotocopias de libros, carteles y frases. Una pena porque para ese entonces ya estaba cansada y si daban ganas de leerlo todo. Pero bueno, he aquí un pedazo que me llamó mucho la atención:
y no roca si hubiese roca y también agua y agua un manantial un charco entre las rocas si hubiese solo el sonido del agua no la cigarra y el canto seco de la hierba sino el sonido del agua sobre la roca donde canta el zorzal entre los pinos clin clon clin clon clon clon pero no hay agua
Hemos llegado al final de este texto y he de confesar que nunca había entrado al Carrillo Gil y a manera de enriquecer este texto me metí al wikipedia de este recinto sólo para darme cuenta que el edificio lo hizo el arquitecto Augusto H. Álvarez quien fue el padre de Manuel Álvarez Fuentes a quien conozco personalmente por ser el padre de un gran amigo y colega, el arquitecto Lorenzo Álvarez casado con una aún más grande amistad mía la diseñadora Bibiana Colmenares y algo muy interesante y chusco es que en la boda de estas dos personas fue donde tuvo lugar la chusca anécdota con Thomas Glassford y el ramo de flores. Quien iba a decir. Esta es mi ciudad y ustedes solo viven en ella. Buenas noches.
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à partir du milieu de sa vie, voyager c'est aussi déclencher du souvenir ; et alors on ne sait plus si le voyage le plus fort, le plus vibrant, le plus ressenti, est celui que l'on fait à l'intérieur de soi-même, nourri par des évocations de tous les voyages passés, ou bien celui qui se déroule sous nos yeux ; parasitage
© Pierre Cressant
(samedi 19 novembre 2011)
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dimdilidim-blog · 4 years
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Parasitage
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plexussolaire · 5 years
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Le bruit et la fureur
♪- Matt Stewart Evans - Anonymous Waltz
Le bruit recouvre tout. C’est fou, quand on y pense, l’énergie d’une avenue parisienne. Ça circule, ça ondule, ça racle d’un coup sec les ornières du trottoir. J’aimerais parfois, quand on me bouscule, que le temps se brise, qu’en une fraction de seconde tout puisse s’arrêter, suspendre un souffle. Mais les gens passent et se dépêchent. Il y a les discussions, les courses à faire, aller voir untel ou untel, prendre le rer, prendre le train, s’arrêter au feu, attendre, regarder les notifications chagrines de sa poche. Les klaxons et les sirènes, les bip bip des trottinettes électriques nous maintiennent éveillés, ou abasourdis, plutôt. Personne ne remarque le vieil homme plié en deux qui stationne devant la boucherie, personne ne remarque cette femme au paquet plastique sur la tête; scènes de rêves, scènes imaginaires et pourtant bien là, offertes à nos mirettes étonnées. Non, décidément, personne n’a l’air de s’interrompre. Il n’y a plus rien qui les surprend. Que le flux tempétueux du moment, sur l’avenue, la dérive incessante des bruits courroucés en cascade, qui nous endorment et nous empêchent de voir. Pourtant il y avait des choses si jolies à observer ce jour-là. Le petit bout et son style des années 70, la pomme trônant sur le poteau en équilibre, la couleur du ciel, la fraîcheur du vent. Lever le bec, voir un arbre qui balance ses branches, se dire que ça va. Ça va.
Le monde parfois tourne trop vite, et il arrive que l’on freine sec. Non, vraiment, pas ce matin. Pas là, pas comme ça. Pas envie de vous voir, pas envie de vous parler, pas envie de me déplacer pour vous, non, vraiment. Mais je sais que vous le prendriez mal. Pourtant, il n’y aura que le silence d’une chambre baignée du silencieux soleil du soir qui me fera me sentir bien aujourd’hui. Je n’ai besoin de rien. Je n’ai pas peur d’être seule, j’ai envie d’être seule. Je désespère d’être seule. Je ne suis pas malade, je ne suis pas spécialement malheureuse, je voudrais juste qu’on me laisse. Je veux simplement m’arrêter, et faire cesser le parasitage des nouvelles du matin. Demain il faut faire ci, jeudi il faut faire ça. Je viens à telle heure, je passe te chercher. On avait prévu un verre, un pique-nique, je suis encore trop docile, allez, allons-y.
Un instant recouvrir de mes yeux le canal saint-Martin, et t’entendre dire “Tu déprimes trop souvent, tu te prends la tête pour rien.” Mais attend, est-ce que tu as regardé toi, là-bas, le reflet du soleil couchant sur les hauts immeubles, est-ce que tu avais déjà vu qu’il y avait le tag “All” qui dominait l’image, tu as remarqué que le canal ne faisait pas de bruit, comme si l’eau coulait là sans se faire remarquer ? Tu as vu d’ailleurs que personne, en usant pourtant les bords avec leurs jeans sales, personne ne regarde le canal ? Mais les mots ne franchissent pas la bouche, tu as déjà ressorti ton téléphone, et la conversation s’est évanouie. Un chien minuscule passe à côté, et sa patte est imperceptiblement plus courte que l’autre. Tu parles encore. Et je t’écoute. Tu parles de demain, de comment on s’organise, de qui il y aura, de l’heure, du temps, tu parles aussi de la semaine prochaine, tu me dis de me motiver, de me remettre. Faut pas se laisser aller. Faut pas se stresser comme ça. 
Et soudain un bateau traverse la Seine, il roule lentement, silencieusement sur le flot. La pointe de son nez brise soudain le temps. Il épouse le rythme de mon coeur. Il passe et son silence est apaisant. Tu ne le vois même pas, ça le rend encore plus miraculeux, comme un mirage. Tu avales une chips, puis une autre, tu parles encore du mois prochain. Et le bateau passe, il est là, sous les reflets oranges des lampadaires, il est beau. “Tu sais, il faut que tu arrêtes de te stresser, faut tu arrêtes d’être aussi fragile.” Oui, oui. Et Demain ma solitude amoureuse, demain ma trouée dans l’espace, avec presque l’envie déjà de m’engloutir sous l’eau, flotter, sentir le mouvement du bateau invisible me pousser vers le milieu du canal, m’engloutir et ne plus rien entendre qu’une rumeur, ce bruit chargé d’odeurs du canal Saint-Martin. Abolir ces mots qui inondent mon esprit, abolir le temps, juste pour un moment.
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sebastienrobertblr · 4 months
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Qu'est ce que le satanisme?
C’est un mode de vie basé sur le parasitage des autres, principalement par les faux et les manipulations.
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veryhottub-blog · 5 years
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3h33 et la signification de 333
Samuel
3 avril 2019
19
Mystique | Nombres
L’heure triplée 3h33 occupe une place particulière dans le symbolisme des heures miroir. Ouvrir son esprit au sens caché des heures miroir, c’est être initié aux fréquences vibratoires, c’est prendre conscience de forces universelles à l’oeuvre.
La numérologie et son origine, la gématrie, se fondent sur l’attribution de propriétés vibratoires aux nombres.
Nous aimons prendre appui sur ces énergies pour définir le réel à venir.
Nous cherchons à savoir si nous sommes sur le bon chemin ou si un grand changement s’annonce. Nous sommes en quête perpétuelle de pensées positives réconfortantes ou d’un message des anges. À défaut de se faire suffisamment confiance pour trouver toutes les réponses en soi, il convient de discerner le réel à l’intérieur de ce qui a été apporté par un message numérologique. Alors que les objets de divination comme les cartes ou le pendule sont sous le contrôle de forces astralisées difficilement maîtrisables, les influx des heures miroir s’adressent directement à notre être profond.
Par une heure double ou une heure miroir se présentant répétitivement à notre regard, nous en venons à en être interpellé. Nous pensons à la protection des anges gardiens sans être capable d’en appréhender la nature. Si les lois physiques animant le monde sont complexes, les fréquences vibratoires des nombres le sont plus encore. Toute réduction de celles-ci à des interprétations faciles ou passe-partout, teintes de surcroit d’une coloration angélique, nous maintient dans la superficialité.
Chaque personne confrontée à une heure miroir, 3h33 ou autre, tente de faire une lecture du réel qu’il perçoit. Il suffit, pour cela, d’ouvrir son esprit et de ressentir intérieurement, pratiquant ainsi une médiumnité dont nous sommes tous pourvus. C’est ainsi que je vous offre ma lecture du nombre 3, au coeur de l’intrigante séquence de chiffres 333.
La signification mystique de 3h33
Le langage sacré et mystique est encodé dans les formes géométriques et les mathématiques. Depuis des temps immémoriaux, le chiffre 3 et le symbole du triangle ont représenté le divin et le spirituel. La trinité égyptienne Osiris, Horus et Isis trouva sa traduction chrétienne dans la Sainte-Trinité du Père, Fils et Saint-Esprit. Le chiffre 3 est l’assise de nombreuses religions. Dans l’hindouisme, la Trimūrti des dieux Brahmâ, Vishnou et Shiva succéda à la trinité védique formée d’Agni, Vâyu et Sûrya.
À la nécessaire complétude du matériel par le spirituel, le fait religieux n’est qu’une succession de tentatives de réponse, mais toujours sous la puissance du nombre 3.
Le code 333, se traduisant par des apparitions répétitives de l’heure 3h33, est une triplicité du chiffre 3. L’expérience de vie dans le monde physique est basée sur la puissance de ce chiffre. Le 3 est le fondement du cadre évolutif de l’être humain.
Dans son corps physique, enveloppe charnelle et grossière de l’homme, siège la double triplicité. Le 333 dans son être inférieur symbolise l’égo, l’émotionnel et le mental ou intellect. Le 333 dans son être supérieur représente le Coeur, l’Âme et l’Esprit.
L’heure miroir 3h33 est une activation silencieuse de chacune de ces triplicités biquotidiennes.
Le pouvoir d’activation de 3h33 le jour
En période diurne, siège de la vie active humaine, la synchronicité de 3h33 s’adresse à l’être inférieur. Ce sont l’égo, les émotions et le mental qui sont alors principalement à l’oeuvre. L’énergie du 3h33 vient équilibrer cette trinité et réduire les tensions qui peuvent le tirailler. Cette énergie prépare notre être inférieur à s’arrimer avec notre être supérieur.
L’être inférieur est à l’image d’un triangle inversé pointant vers la surface de notre être périphérique, dont la représentation symbolique est le corps physique. La pointe de ce triangle est l’égo, porte d’entrée de la triplicité 333 inférieure, s’ouvrant à la fois sur notre côté mental et rationnel, le cerveau gauche logique et raisonnable, et sur notre côté intuitif et émotionnel, le cerveau droit créatif et imaginatif. Ainsi, l’heure miroir 3h33 de jour doit être perçue en conscience et notre regard être attiré sans raison apparente.
Notre égo est sa porte d’entrée.
Dans ce triangle inversée, l’émotionnel et l’intellect seront à la source de la curiosité d’en connaître davantage. Ils ont besoin de comprendre le sens du 3h33 d’après-midi.
L’être inférieur trouve sa plénitude dans la vibration de ce 3h33. Il transforme sa vie pour acquérir et développer son chemin de vie dans son incarnation. La synchronicité du 3h33 est une nécessaire sublimation de l’équilibre entre l’égo, le mental et l’émotionnel.
Le pouvoir d’activation de 3h33 la nuit
En période nocturne, siège de la vie inconsciente humaine, la synchronicité de 3h33 s’adresse, quant à elle, à l’être supérieur. Ce sont les vibrations du Coeur, le chant de l’Âme et la pureté de l’Esprit qui se trouvent honorés et activés. L’énergie du 3h33 agit alors même que nous ne nous réveillons pas pour l’observer au détour d’un regard sur l’horloge. Pourtant, nous dormons presque tous à quelques centimètres d’un réveil ou d’une montre. Dès que s’affiche l’heure miroir 3h33, elle déverse une énergie parfaitement comprise et assimilée par notre inconscient.
Le Coeur est sa porte d’entrée.
Siège de l’intuition, le Coeur ne cherche pas à en comprendre le sens et accepte naturellement l’énergie du 3h33 du matin. Son énergie peut être intense certaines nuits et induire un réveil. Il suffit simplement de poursuivre sa détente pour laisser les influx opérer.
L’être supérieur est à l’image d’un triangle dressé dont la base s’appuie sur la connexion Coeur-Âme, à la recherche du Grand Soi hors de notre monde, l’Esprit tout au sommet. S’élever spirituellement afin d’établir sa demeure en l’Esprit, telle est la mission de la vibration 3h33 à ce moment-là.
La pointe du triangle inférieur est ancrée dans la Terre alors que la pointe du triangle supérieur s’élève au Ciel. L’être humain peut alors se réaliser pleinement, l’énergie des 3h33 ou du nombre 333 constitue une source activatrice et équilibrante.
Il est à noter que le pic énergétique de l’heure nocturne 3h33 nous expose paradoxalement à la convoitise des forces astrales négatives. À partir de 3h du matin, nous revenons progressivement du sommeil lent profond pour glisser dans le sommeil paradoxal. Ce passage est propice à ce que les plus rationnels qualifieront de cauchemars, et les plus ouverts appelleront des formes de parasitages énergétiques. Le phénomène complexe de paralysie du sommeil se constate parfois. Les termes d’heure des démons ou d’heure du diable sont parfois employés, simplement parce que l’ouverture intérieure vers la Lumière divine est particulièrement forte, attisant la convoitise de ces forces prédatrices.
L’heure 3h03 ou 3h30
33 est un Maître-nombre et à ce titre 33 est un élévateur de fréquence vibratoire. Il accompagne ainsi l’action bienfaitrice de l’heure triplée 3h33. L’enracinement de l’homme dans le plan de la matière requiert trois points d’ancrage. Ce triangle égo, émotion et intellect sont les trois points d’appui nous permettant de tenir en équilibre. L’élévation spirituelle vers le divin requiert aussi trois points d’éthérisation de l’être, au travers du triangle Coeur, Âme et Esprit.
Ce Maître-nombre est cependant absent dans les configurations 3h30 et 3h03. Lorsque se répètent ces deux codes horaires, l’influx énergétique vient réaliser une nécessaire guérison. Un rééquilibrage s’opère. Une tension physique, un nœud émotionnel, appelle à être relâché. Une correction est nécessaire au niveau de notre corps éthérique avant que cela n’accroisse davantage la mésentente intérieure. La tristesse, le chagrin, la peur, le doute sont particulièrement ciblés par ces fréquences numérologiques. 3h30 et 3h03 font oeuvre de guérison, de soulagement et d’apaisement. Elles contrecarrent l’involution de notre cheminement intérieur.
Le chiffre 3 dans le Tarot
Certains veulent connaître leur avenir au travers des arts divinatoires tels que la cartomancie. Le tirage de tarot pour établir une lecture et une prédiction fait appel à des symbolismes peu connus.
Nous aimons l’idée d’une guidance bienveillante des anges sans s’attarder véritablement à leur nature réelle. Nous oublions que l’art de la voyance, de la divination ou de l’interprétation des signes prend appui sur l’invisible. Le monde physique est profondément influencé par le monde astral, ce que l’on nomme justement l’invisible. L’astral n’est pas un plan de création mais un plan de concentration et d’amplification de forces. Les énergies qui s’y accumulent, vont ensuite se répliquer par osmose dans notre monde physique.
L’intriguant parallélisme du jeu de tarot et des heures miroir.
Trois lames de tarot portent et envoient la vibration du nombre 3, tel le code 333 ou l’heure triplée 03h33.
La lame 3 du tarot représente l’Impératrice, incarnant l’amour maternel, la fécondité, l’enracinement dans la matière au travers de la naissance physique. L’arcane majeur du nombre 3 représente le triangle pointant vers le bas, les trois points d’appui de l’être inférieur. À l’endroit, le principe féminin s’exprime pleinement dans ses plus hautes vertus. L’Impératrice à l’envers est une mise en retrait du pouvoir du Féminin, de vibration Yin, au profit de celui du Masculin, de vibration Yang. Le Masculin réprime souvent l’intuition, les vertus et la morale pour s’exprimer dans la matière. C’est alors que l’heure 3h33 de l’après-midi offre la possibilité de vivre harmonieusement notre aspect Masculin dans son exploration de la matière, au côté de notre aspect Féminin pleinement libre d’être.
La décomposition du 3 dans le tarot donne d’abord 1+2, soit l’arcane majeure nombre 12 du Pendu. La tête vers le bas représente le nombre 1, les deux pieds suspendus la symbolique du 2. L’une des jambes est habituellement repliée à l’horizontal dans les représentations du Pendu. Un point de support est manquant. À l’endroit ou renversée, cette lame renvoie à divers aspects d’attente ou de blocage. Les heures 3h03 et 3h30 viennent soulager spécifiquement ces situations de vie que nous rencontrons immanquablement.
La décomposition du 3 dans le tarot donne enfin le 2+1, soit l’arcane majeur nombre 21 du Monde. En matière d’occultisme et d’ésotérisme, de nombreux textes associent à ce nombre 21 la sagesse divine et la lumière éternelle. L’heure 3h33 du matin concoure à la spiritualisation du corps et de l’être inférieur. Dernier arcane majeur numéroté, le 21 indique le but ultime, celui de se libérer et de reprendre sa juste place dans l’univers.
L’arithmosophie, ou la science symbolique des nombres, explore leur mystique. Les nombres entretiennent entre eux une force suprarationnelle. Les nombres sont alors des étapes dans la progression vers l’Unité, un pont à emprunter pour atteindre le divin. Les heures miroir atténuent la coupure actuelle entre le monde matériel et le monde spirituel.  
Crédit illustration : Sebastian Kowoll Par Samuel sous
www.leretourdesdragons.com/3h33-333-signification/
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lapipaylafuente · 4 years
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La pipa y la fuente #17: Anni Garza Lau – Imagen: «Emoción inducida», una de las piezas portables que conforman «Simbiosis programada. El cuerpo post-internet» y que están incluidas en «Parasitage. Ruidos negros», exposición del Museo Carrillo Gil que mostró los trabajos de la sexta edición del Programa BBVA-MACG. Invitada: Anni Garza Lau. Conduce Jesús Pacheco (@peach_melba). | Transmisión: martes 22 de septiembre, 2020, 17:00-18:00 h por Radio Nopal. «La pipa y la fuente» es un proyecto beneficiado durante el primer periodo del Fondo de apoyo PAC/Covid-19
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