Tumgik
#on peut se dire qu'ils sont à un point où à force de vivre dans la rue ils se sont un peu endurcis
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non mais le fait qu'au tout début les Croûte font un plan pour avoir des trucs venant de Donatien car il a l'air riche...
Leur plan c'est vraiment:
Step 1: Accompagne Donatien à son domaine
Step 2: ????
Step 3: Possède maintenant un téléphone, ses bottes, son vin, et son domaine
Et le plus beau dans tout ça c'est que d'une certaine façon, ça fonctionne <3 un plan qui aura pris deux semaines et quelques kidnappings
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claudehenrion · 26 days
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''Sansal… tionnel !''
Il est des personnes que l'on regrette vraiment de ne pas connaître : en ce qui me concerne, il m'arrive parfois d'être jaloux (NB : Je sais : je devrais ajouter “ce qui n'est pas beau”… mais je me moque des convenances !) de ceux qui ont un libre accès à la pensée de tel ou telle de ces contemporains que j'admire si fort. Oh ! Rassurez-vous : ils sont si peu nombreux que je n'ai pas besoin d'une “cellule d'assistance psychologique” pour m'aider à survivre dans ce monde qui devient si antipathique : c'est l' existence de quelques belles âmes qui le rend fréquentable !
Vous l'avez compris en lisant le titre de cet éditorial : Monsieur (j'insiste !) Bouallem Sansal fait partie de mon petit “Panthéon personnel” –qui a très très peu de points communs avec celui qui trône en haut de la Montagne Sainte Geneviève : à ceux qui y sont entreposés, “la Patrie reconnaissante” déverse ses honneurs glacés… Aux miens, l'admiration émue d'un clampin inconnu dont l'opinion compte pour du beurre… Je ne leur offre que ce que je peux leur donner, mais au moins, sans aucune intention politique, ce qui les protège des modes….
La raison de mon admiration pour ce grand écrivain, immense penseur et sage entre les sages remonte un peu dans le temps. Par une chance insolente, j'ai lu son premier livre, en 1999, Le Serment des Barbares, où ce berbère du Rif devenu algérien (ce qui, si vous me permettez cette insolence mesurée, fait de lui un des fils de la grande tribu des Zemmour… ce qui peut être lu de plusieurs manières !) osait des jugements que personne d'autre n'aurait l'audace de porter : “L'Université [algérienne] enseigne en arabe-algérien, qui est un sabir fait de t'amazight (NB : la langue berbère), d'un arabe venu d'ailleurs, de turc médiéval, de français du XIX ème siècle et d'un soupçon d'anglais new-age”. Tant de vérités “insupportables” en une seule phrase… il faut oser ! Musulman, il a le droit de dire ce qu'il pense !
Je me suis rué ensuite sur Le Train d'Erlingen ou La Métamorphose de Dieu, une réflexion sur les crises migratoires et la montée en puissance de l'islamisme en Europe, et je n'ai pas été déçu tant y abondent les “pépites” magnifiques : “L'Europe a peur de l'islamisme, elle est prête à tout lui céder. […] La réalité en boucle n'a pas d'effet sur les gens (…) : en Algérie, durant la décennie noire, les gens qui, au début, s'émouvaient pour une victime du terrorisme ont fini après quelques mois de carnage par ne ressentir d'émotion que lorsque le nombre des victimes par jour dépassait la centaine, et encore devaient-elles avoir été tuées d'une manière particulièrement horrible. Terrible résultat : plus les islamistes gagnaient de terrain et redoublaient de cruauté, moins les gens réagissaient. L'info tue l'info, l'habitude est un sédatif puissant, et la terreur, un paralysant violent”. Ce n'est pas encourageant pour notre avenir prévisible ! Mais nous, nous le savions...
Bouallem Sansal est connu pour ses propos critiques envers l'islam, sur lequel il écrit : “La religion me paraît très dangereuse par son côté brutal, totalitaire. L'islam est devenu une loi terrifiante, qui n'édicte que des interdits, bannit le doute, et dont les zélateurs sont de plus en plus violents. Il faudrait qu'il retrouve sa spiritualité, sa force première. Il faut libérer, décoloniser, socialiser l'islam”. Non seulement il ose, lui qui sait de quoi il parle, ce que nul autre n'oserait, mais il est très critique envers la France, à très juste titre : “La France ne sait toujours pas se déterminer par rapport à l’islamisme : est-ce du lard, est-ce du mouton, est-ce de la religion, est-ce de l’hérésie ? Et pendant ce temps, le boa constrictor islamiste a le temps de bien s’enrouler, il va bientôt l’étouffer pour de bon”. (NB : c'est encore moins rassurant !)
Ce géant de la pensée (à mes yeux), a publié en janvier dernier un nouveau roman-fiction, “Vivre, le compte à rebours” (Ed. Gallimard), dont la lecture m'a plongé dans des extases devant une telle intelligence et un tel langage : cet homme me semble être l'archétype de ce que la meilleure partie de la France rêvait de faire naître dans les pays de Empire, et la preuve que cette “émancipation” n'était pas un rêve fou, mais un objectif atteignable.J'ai des souvenirs émus de camarades de lycée dont “l'intégration” frôlait la perfection, mais qui savaient rester “arabes”. Chapeau !
Sansal, après un bref survol de l'histoire proche des années ‘60-'80 et leur consumérisme triomphant, suivi de l'effondrement de tous les narratifs sur lesquels reposent encore, à contre-temps total, les systèmes de référence en usage, raconte comment la vie (avec laquelle certains continuent à faire joujou, comme on en rêvait il y a un demi-siècle) est… mortelle, et que “écrire sur tout autre sujet reviendrait donc à sacrifier encore à l'insouciance, jusqu'à l'indécence”.
Suit un descriptif cruellement exact de notre actualité : “Notre époque pense petit, bête, et même ne pense même plus, nous enfermant dans sa nullité. Regardez et écoutez les politiciens : vous comprendrez tout” ! (NDLR : A l'élégance et au style près, c'est ce que je répète, dans ce Blog, depuis une douzaine d'années… d'où mon enthousiasme en le lisant !). Il va même plus loin : “Notre monde ultra mécanisé est devenu trop triste, et trop pauvre : il ne propose rien d'autre que du normatif, et de l'abrutissement pour mourir sans douleur” (cf. les projets contre-nature et totalement déshumanisants, du “credo” assassin de toute humanité digne de ce nom , dont rêve Macron…). L'école était une planche de salut … Elle a failli à sa mission : “Elle est sinistrée, et rien ne semble pouvoir la sauver : elle a perdu jusqu'au sens de l'histoire et l'intrication de l'homme avec la nature…”.
De manière étrange, ce musulman, assez tiède mais qui préfère tout de même “vivre à Bou Merdès”, ose des rapprochements tout-à-fait inhabituels (un peu comme le fait Zemmour) et inattendus : “La Trinité a été un merveilleux ’'Credo” (NDLR : ce n'est pas moi qui vais dire le contraire !) qui a permis au catholicisme de bâtir la brillante civilisation apostolique et romaine qui a rayonné sur le monde pendant deux millénaires. Mais elle se retrouve en faillite totale : le Pape lui-même n'y croit plus et ne fait plus que de la politique et de la géo politique, au nom d'un pacifisme pour enfants’’... Et c'est un musulman ex-colonisé qui écrit ces beautés !
Il précise même : ’'La magie catholique s'est éteinte, et on s'est alors tourné vers d'autres ’'trinités” pour faire tourner la terre, en combinant les termes : patrie, famille, peuple, partis, unité, révolution, progrès… Toutes ont échoué, y compris la dernière tentative à ce jour, le “wokisme”. En fait, ce vocable ne recouvre que le “énième” contrecoup de la sortie, dans le désordre complet, du “religieux dans sa version chrétienne, qui mettait en avant la charité, l'amour du prochain, la culpabilité, et la repentance… en un mot : la Sainteté”. Or le “wokiste”, est un homme forcément blanc (les autres sont décolonialistes, des racistes-se-disant-anti-racistes, des inter-ceci ou des phobes-cela, etc. Mais seul le Blanc doit payer pour “un juste retour des choses”. Pour Sansal, “le ’'wokisme”, c'est fumisterie et coquetterie sado-maso’’. Il parle d'or… “Bouallem Chrysostome”, si j'ose !
Le dernier péché capital en date du siècle touche à l'écologie punitive… C'est un moyen apparemment simple pour punir tous les autres sauf soi de fautes inventées “après l'obstacle”. A cause de cette forme de soi-disant ’'écologie’’, ce laboratoire du développement de la folie destructrice, du châtiment et d'un “bon droit” redéfini. Tout est devenu punitif, dans tous les domaines : justice, économie, gouvernance, culture, science, prospective… Cette non-écologie est en réalité une formidable machine à répandre un droit tordu et à punir qui on a envie de punir... en lui disant que c'est lui qui a tort, sans lui dire pourquoi… puisque c'est faux !
La conclusion est superbe : en décrétant que le Coran est la parole vivante d'Allah, et que Allah est musulman et ne parle que l'arabe, l'islam a cru se doter d'un pouvoir absolu sur tout l'univers. Résultat : le monde musulman se retrouve dans un état de folie infinie, sans le moindre espoir de rémission : il “existe” dans la violence et la haine, mais il ne “vit” plus’’. Aujourd'hui, la plupart d'entre nous “existons” encore, mais est-ce que nous “vivons’' ? ’'Vivre,” c'est justement échapper aux pesanteurs de l'existence, pour se fondre dans un univers “à un étage supérieur”. Aurions-nous perdu toute possibilité de retrouver un jour ce que Sartre appelait (en se trompant sur les mots, comme sur tout, toujours) “les chemins de la Liberté’' qui n'étaient que ceux de son enfermement… ?
H-Cl.
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healer-777-blog · 8 months
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Réchauffement climatique - ou alerte mondiale ? (jeu de mots en anglais entre Global Warming – or Global Warning?)
Par Martin Brofman - écrit en 2010 et suivi par l'article de Philippe Hannetelle en 2023 "Conscience globale et changement climatique".
Les scientifiques ont attiré notre attention avec des images de l'espace montrant la fonte des glaciers, la diminution des calottes polaires, des prédictions terribles de ce qui pourrait / pourrait / va se produire avec de légères augmentations de la température de la terre.
Une conférence des Nations unies sur le changement climatique s'est tenue à Copenhague en décembre 2009, à laquelle ont participé des dirigeants du monde entier, afin de discuter de la situation et de prendre des décisions. Certains affirment que la conférence a été un succès, tandis que d'autres ne sont pas d'accord. Difficile de dire qui a raison.
Ce que nous savons, c'est qu'immédiatement après cette conférence sur le réchauffement climatique, l'hémisphère nord a connu des tempêtes de neige et des vagues de froid record.
Comment comprendre cette situation ?
On a beaucoup parlé d'une nouvelle phase de notre évolution planétaire, une phase que certains appellent l'ère du Verseau, et l'une des caractéristiques de cette ère est que nous fonctionnerons de plus en plus comme une famille mondiale, en pensant au-delà des frontières individuelles, et en reconnaissant que c'est une nécessité, puisque nous devons travailler ensemble pour résoudre les problèmes qui nous affectent tous.
Certains décrivent ce changement de conscience planétaire comme un mouvement du chakra du plexus solaire vers le chakra du cœur. Le chakra du plexus solaire concerne le pouvoir, le contrôle et/ou la liberté, les intérêts individuels, tandis que le chakra du cœur concerne les relations avec les autres.
Lorsqu'un individu passe par ce processus, il prend la décision profonde d'évoluer, et cette évolution peut être facile ou difficile, selon la façon dont il a fonctionné au niveau du chakra du plexus solaire.
S'il a fonctionné du point de vue du contrôle, en décidant ce que les autres devraient faire pour satisfaire ses propres besoins individuels perçus, et qu'il veut passer à l'acceptation et à la relation, il doit passer par le lâcher-prise. Plus ils s'accrochent au contrôle, plus les choses deviennent incontrôlables, jusqu'à ce qu'un choc les oblige à accepter ce qui est et à reconnaître l'importance des concepts mutuels de liberté. Lorsqu'ils y parviennent et voient les choses sous un nouvel angle, ils peuvent se voir avec compassion et comprendre que toute la douleur et l'inconfort qu'ils se sont infligés sont dus au fait qu'ils se sont accrochés au contrôle.
Vivre l'aspect de la liberté dans le chakra du plexus solaire rend la transition beaucoup plus douce.
Nous sommes sortis de 2000 ans de chakra du plexus solaire, où notre force de motivation était nos propres intérêts primaires, et nous avons maintenant commencé à penser davantage comme une famille mondiale. Certaines parties du monde ont davantage progressé dans cette direction que d'autres, mais quoi qu'il en soit, nous sommes sur la bonne voie. L'évolution est, après tout, inévitable.
Certains disent que la Terre a une conscience et qu'elle est sensible à ce qui se passe en relation avec les êtres qu'elle soutient et entretient.
Peut-être qu'à la suite de cette conférence sur le changement climatique, les gens sont désormais plus conscients de la manière dont ils utilisent les ressources planétaires, et la Terre mère pourrait répondre à ce changement, considérant qu'elle n'a plus besoin de créer des avertissements terribles sur ce qui pourrait être autrement.
Nous devons attendre de voir si tout ce temps froid et cette neige record ont eu pour effet de reconstituer les glaciers et les calottes polaires. Si c'est le cas, nous pouvons peut-être considérer qu'il s'agit simplement d'un avertissement mondial, qui nous a permis de faire face à une menace commune perçue, afin de nous motiver à établir des relations différentes de celles que nous avions auparavant, davantage comme une famille mondiale qui comprend l'importance de communiquer et de travailler ensemble pour un bien commun, d'une manière qui fonctionne pour tout le monde.
Martin Brofman -2010 ©
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Conscience mondiale et changement climatique
Ce que Martin a écrit il y a treize ans est devenu non seulement un réchauffement climatique, non seulement un avertissement, mais une menace pour la vie de tous les êtres vivants.
Du point de vue où tout commence dans notre conscience, nous avons attiré à nous une menace qui devrait et doit maintenant nous faire réagir. Et comme nos perceptions créent notre réalité, plus les gens perçoivent ce qui se passe comme une menace, plus cette menace se manifeste dans la réalité physique.
Lorsqu'il y a un symptôme dans le corps physique, le reste du corps se mobilise pour aider la partie disharmonieuse, et il est bon de soutenir les efforts du corps pour se guérir lui-même en le nourrissant de pensées positives et en envoyant de l'amour à la partie du corps qui en a besoin.
Lorsque notre planète a commencé à présenter des symptômes liés au comportement humain, quelques voix se sont d'abord élevées pour faire prendre conscience de notre attitude à l'égard des êtres vivants. D'un autre côté, nombreux étaient ceux qui voulaient que l'humanité continue dans la même direction sans rien changer, tandis que d'autres préféraient ne rien dire et pratiquer la politique de l'autruche.
Maintenant que les symptômes sont visibles partout sur la planète, la majorité des gens continuent dans la même direction, vers le mur, même si de plus en plus commencent à sentir qu'il faut changer quelque chose, mais surtout les autres avant eux.
Notre espèce humaine, par son comportement, continue aveuglément à démontrer son irrespect du vivant et son stupéfiant nombrilisme. Combien de secousses devrons-nous encore affronter avant que chacun d'entre nous, dans sa conscience, n'entreprenne un changement profond ?
Les changements climatiques, les températures élevées en de nombreux endroits, les incendies, les inondations et les cyclones plus forts que jamais, les guerres et la pauvreté nous montrent que nous devons nous mobiliser ensemble pour prendre une autre direction que celle vers laquelle nous nous dirigeons si nous continuons à voir, à entendre et à ne rien faire.
Tout cela reflète une énergie du plexus solaire très forte, où se mêlent la compétition, la volonté de prendre le pouvoir sur les autres, la négation des droits de nombreux êtres humains et animaux, le sentiment de séparation (moi ici et les autres à l'extérieur).
L'élément lié au chakra du plexus solaire est le feu, et ce chakra est le chakra du soleil. Lorsque l'on met trop d'emphase sur un chakra, il est en disharmonie, et il y a apparition de symptômes liés aux aspects de la conscience liés à ce chakra - en termes de pouvoir il peut s'agir de se sentir impuissant, de donner son pouvoir/liberté à l'extérieur, en termes de contrôle il peut s'agir de se contrôler soi-même, de vouloir contrôler les autres, de se sentir séparé.
La conscience de groupe, qui est la somme de toutes les consciences individuelles, est actuellement déséquilibrée et attire des expériences qui reflètent son état de conscience.
La prise de conscience d'un nombre croissant de personnes, voyant le lien entre le corps et l'esprit et la nécessité pour chacun de changer son comportement intérieur et extérieur, peut nous permettre de changer la direction de l'humanité. Tout peut être guéri, mais pour que la guérison fonctionne, chaque individu doit cesser de se regarder le nombril et réaliser que nous vivons une transformation extraordinaire, et faire en sorte que cette transition se fasse d'une manière plus douce qu'à l'heure actuelle.
Il s'agit de prendre la décision consciente de se déplacer vers le cœur.
Ce qui gouverne le monde en ce moment, c'est la peur. Et plus nous nous concentrons sur la résistance, plus nous l'augmentons et plus nous attirons des événements où la peur se manifeste.
Bien sûr, dans l'absolu, nous pourrions tout changer tout de suite, mais il faut du temps pour que chacun fasse un choix. Chacun est créateur et a le pouvoir de changer et d'aider son entourage à changer. Pourtant, jusqu'à présent, beaucoup de gens veulent revenir à l'ancien monde "où c'était mieux", justifiant leur façon d'être et leurs réflexes.
Alors oui, il faut du courage pour regarder à l'intérieur de soi, pour reconnaître ce qui ne fonctionne pas, pour le changer, pour être honnête avec soi-même et avec les autres, pour être généreux et pour avoir la volonté de se concentrer sur ce que l'on peut faire, chacun dans son domaine, pour aller vers un monde meilleur.
Cela demande un grand changement, de cesser de juger et de dénigrer les autres, quels qu'ils soient, et de prendre la décision consciente d'aller vers ton chakra du cœur, un endroit où tu peux voir le monde avec compassion, en acceptant les autres, quoi qu'ils aient fait.
À la fin de la journée, tu peux te demander combien de temps tu as passé à être compatissant, à accepter et à ressentir un amour inconditionnel pour toi-même et pour les autres. Et le lendemain, tu te dis que tu feras encore mieux.
Dans diverses philosophies ésotériques, ce moment est également décrit comme un moment où le pendule cosmique arrive à son point final de descente avant de remonter, et ce moment peut être chaotique en fonction de l'attitude de chaque individu et donc de la conscience du groupe.
Un autre point de vue est parfaitement expliqué dans plusieurs ouvrages, dont un en particulier "Les Yugas". De ce point de vue, l'humanité passe par des âges clairement discernables, ou yugas. Chaque yuga modifie la conscience de l'humanité. Alors que nous nous trouvons dans le Dwapara Yuga ascendant, cela a commencé par la montée en puissance de l'individu et la longue poursuite du bonheur personnel sans tenir compte de son impact sur les autres. Vers la fin du Dwapara Yuga, l'humanité apprendra que le bien-être des autres est essentiel au bonheur de chaque individu, et l'exploitation, l'iniquité et l'injustice prendront progressivement fin.
Le développement de l'humanité est inextricablement lié au développement de la conscience de chaque homme.
Puissions-nous tous être un exemple pour les autres, les aider à voir les choses autrement et à agir pour matérialiser une autre réalité.
Avec amour et gratitude,
Philippe Hannetelle - 2023 ©
The Yugas - David Steinmetz and Joseph Selbie - Crystal Clarity Publishers
fondationbrofman.org
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andrewrossiter1 · 8 months
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Couronne ou croix?
Couronne ou croix?
Prédication par Andrew Rossiter au temple de La Force le 2 septembre 2023.  Romains 21.1-2 Matthieu 16.21-27
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«Nul ne se fait plus de mal à lui-même, que celui qui s’aime plus que Dieu» (Matthew Henry dans un commentaire sur ce passage de l’Évangile de Matthieu)
«A partir de ce moment» sont les premiers mots du texte de l’Évangile. L’occasion était la confession de Simon-Pierre «Tu es le Fils du Dieu vivant». À partir de ce moment rien n’est comme avant. C’est une ligne de partage dans le texte de Matthieu, un moment charnière où il n’y a pas de retour possible.
Dans la liturgie de bénédiction pour Lucie et Gurpreet lors de leur mariage à Pessac sur Dordogne il y a deux semaines j’ai dit (comme pour chaque couple): «Nous sommes réunis ici dans la reconnaissance et le recueillement avec Lucie et Gurpreet qui s’aiment et se sont engagés l’un envers l’autre, tout à l’heure par le mariage célébré à la mairie. Ils ont ainsi manifesté publiquement leur désir de vivre en couple dans la société. C’est un choix décisif pour leur vie. Ils ont voulu le placer sous la bénédiction de Dieu». «Un choix décisif», ils s’engagent à un non retour. A partir de ce moment ils sont liés ensemble pour les jours qu’ils vont vivre.
Matthieu nous fait entrer dans la phase finale du ministère terrestre de Jésus, avec l’interdiction de dire qu’il est le Messie. Pourquoi vouloir caché la vraie nature de sa mission? 
Parce que Jésus est sur le point de briser leur image du Messie et la raison profonde de sa mission. Jésus commence à déconstruire des attentes messianiques des disciples. Il leur dit que la mort - et non la gloire - les accompagnera jusqu'à Jérusalem où il y aura une confrontation finale. De peur qu'ils ne l'oublient, il le leur rappellera à nouveau en Matthieu 17:22-23. Ce qui les attend n'est pas un trône, mais une croix. Il n'y aura pas d'armée de fanatiques prêts à couronner Jésus comme leur roi, mais seulement une foule moqueuse qui réclame sa mort.
C'en est trop pour Pierre. Son premier acte en tant que le nouveau porte-parole du mouvement de Jésus est de dire «non» à Jésus. Dans les siècles à venir dire «non» à Jésus deviendra une habitude pour l'Église. Trop souvent, lorsque Jésus dit «Croix», l'Église vote «Couronne». Cette confrontation fait écho à une autre confrontation quand Jésus était dans le désert lorsqu'il a dit «non» à la tentation du pouvoir impérial. «Tous les royaumes de ce monde et toute leur splendeur» étaient à prendre (Matthieu 4:8) si Jésus s'inclinait, non pas devant Dieu, mais aux pieds de Satan. Ici Pierre veut protéger Jésus, il le prend à l’écarte des autres pour le «conseiller». Jésus a du penser : «J'ai déjà vécu cela!» et répond avec une telle force que Pierre doit reculer. Il appelle même Pierre «Satan»!
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Dans son livre «Les Frères Karamazov», Fiodor Dostoïevski raconte une parabole qui s’appelle «Le Grand inquisiteur». C’est au moment de l'Inquisition et Jésus est revenu sur terre dans la ville espagnole de Séville. Il est arrêté par les chefs de l'Inquisition alors qu'il accomplit des miracles et est condamné à être brûlé vif le lendemain. Le Grand Inquisiteur lui-même rend visite à Jésus dans sa cellule alors qu'il attend son exécution. Il lui explique pourquoi l'Église a voté «oui» au pouvoir impérial. «L'Église n'a plus besoin de toi», lui dit-il. «Tu as eu tort de refuser le pouvoir de nourrir les pauvres, de faire un saut miraculeux dans le Temple et de t'emparer du pouvoir sur le monde. Nous avons repris là où tu t’étais arrêté et nous avons amélioré ce que tu avais commencé. En fait, nous avons corrigé ton erreur. Oui, il a fallu utiliser les principes du diable pour y parvenir, mais nous l'avons fait au nom de Dieu. Ce que tu ne comprends pas, dit l'inquisiteur, c'est que l'humanité ne peut pas vivre du libre arbitre que tu lui as donné. Nous leur avons donné ce dont ils ont vraiment besoin, la sécurité face au manque». Et «leur liberté, ils l'ont humblement déposée à nos pieds!»
Jésus ne répond pas, il écoute en silence tout au long de l'interrogatoire. Lorsque la diatribe de l'inquisiteur est enfin terminée, Jésus l'embrasse silencieusement sur ses lèvres pales et vieillies. L'inquisiteur est surpris par ce geste et peut-être même ému, mais il ne se convertit pas. Il laisse cependant Jésus partir avec un avertissement : «ne reviens plus jamais».
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Cette parabole du Grand Inquisiteur met en évidence les différences entre les chemins de la Couronne et de la Croix pour participer à la construction du royaume de Dieu. Parce que l'Église refuse trop souvent la voie de Jésus, nous avons besoin, comme les disciples, des rappels. Dans notre monde "porter sa croix", c’est pour les perdants. Les gagnants sont ceux qui savent maîtriser les règles de réussite et ils ont les biens pour le prouver. L'un de ces biens peut même être une croix en or suspendue autour du cou qu’on montre aux admirateurs lors du culte le dimanche matin! Les gagnants expliquent que la croix représente ce que Jésus a fait pour eux. Que sa mort était pour eux, que son sacrifice les a libérés, la croix devient alors un symbole de puissance et de pouvoir. Jésus nous dit, à Simon-Pierre, aux disciples et à nous-mêmes que porter la croix est ce que nous sommes appelés à faire en son nom.
Que signifie réellement ce renoncement de soi ? Le texte de Matthieu est assez vague. Jésus ne donne pas une liste de leçons ou de situations. C’est à nous, dans les circonstances de nos vies d’interpréter et de mettre en acte cette commande de Jésus. 
Mais nous pouvons dire ce qu'il ne signifie certainement pas:
De rester dans une situation abusive et de la valoriser comme ma «croix à porter». 
Il ne s'agit pas de se priver des joies, des bénédictions et des responsabilités de la vie, de s'enfermer dans l'autosatisfaction et d'appeler cela «sacrifice de soi». 
Cela ne signifie pas qu'il faut devenir un paillasson de la vie ou jouer la carte de la victime.
Peut-être nous avons un aperçu de ce que peut être «se renier de soi» dans le texte de Paul à la communauté de Rome que nous avons lu. Il propose une longue liste de vertus qui caractérisent comment porter sa croix. Cette liste est ponctuée d'actions et d'attitudes qui donnent un sens à la vie:
l'amour authentique pour les autres, 
la bonté tenace et la persévérance même lorsque le mal semble emporter, 
la patience dans la souffrance, 
la bénédiction même de ceux qui persécutent, 
la culture de l'empathie et le rejet des occasions de se venger, et bien d'autres choses encore. 
La liste déborde d’une énergie divine.
Porter sa croix signifie pour certains ce qu'il signifiait pour Jésus: le prix est payé par le sang. Tout au long de l’histoire, et jusqu’à nos jours, la vie de l’Église est marquée par le martyr au nom de Jésus. Mais pour la plupart d'entre nous, porter la croix signifie servir les autres avec compassion. Tous les porteurs de croix sont des alliés de Dieu: 
Ils mettent souvent de côté leurs propres objectifs de promotion personnelle pour répondre aux besoins humains. 
Ils détiennent, par leur témoignage, les clés d'un royaume, qui n’est pas conçu par l’activité humaine. 
Cette vision décalée de l'existence humaine s'accompagne d'une promesse. Ceux qui se sont emprisonnés au service de leur propre personne ont leur propre récompense. Ceux qui portent la croix du service compatissant aux autres au nom de Jésus reçoivent une vie pleine de sens, et en prime un aperçu de ce royaume éternel de Dieu qui vient.
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melodieducoeur · 9 months
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Les amours de Nerval ont toujours été d'autant plus intenses qu'ils étaient éprouvés pour des femmes absentes. Pensons à Sophie Dawes que Nerval, alors enfant, voyait de loin, comme une déesse lui apparaissant aux abords du château de Mortefontaine. Pensons surtout à Jenny Colon, pour laquelle il fonda une revue et qu'il perdit deux fois, d'abord quand elle se maria et ensuite lorsqu'elle mourut. Nerval lui redonna alors vie, mais une vie hallucinatoire, comme si elle était une étoile guidant le poète. Elle devint alors, dans Myrtho et Aurélia, une vision persistante mais nécessairement insaisissable de l'Idéal; puis elle inspira El Desdichado, là où Nerval se résigna à sa perte et à n'être qu'un veuf, inconsolé et mélancolique.
Extrait de :
AURÉLIA
Swedenborg appelait ces visions Memorabilia; il les devait à la rêverie plus souvent qu'au sommeil; l'Âne d'or d'Apulée, la Divine Comédie du Dante, sont les modèles poétiques de ces études de l'âme humaine. Je vais essayer, à leur exemple, de transcrire les impressions d'une longue maladie qui s'est passée tout entière dans les mystères de mon esprit; - et je ne sais pourquoi je me sers de ce terme maladie, car jamais, quant à ce qui est de moi-même, je ne me suis senti mieux portant. Parfois, je croyais ma force et mon activité doublées; il me semblait tout savoir, tout comprendre; l'imagination m'apportait des délices infinies. En recouvrant ce que les hommes appellent la raison, faudra-t-il regretter de les avoir perdues ?...
Cette Vita nuova a eu pour moi deux phases. Voici les notes qui se rapportent à la première. - Une dame que j'avais aimée longtemps et que j'appellerai du nom d'Aurélia, était perdue pour moi. Peu importent les circonstances de cet événement qui devait avoir une si grande influence sur ma vie. Chacun peut chercher dans ses souvenirs l'émotion la plus navrante, le coup le plus terrible frappé sur l'âme par le destin; il faut alors se résoudre à mourir ou à vivre ; - je dirai plus tard pour quoi je n'ai pas choisi la mort. Condamné par celle que l'aimais, coupable d'une faute dont je n'espérais plus le pardon, il ne me restait qu'à me jeter dans les enivrements vulgaires; j'affectai la joie et l'insouciance, je courus le monde, follement épris de la variété et du caprice; j'aimais surtout les costumes et les murs bizarres des populations lointaines, il me semblait que je déplaçais ainsi les conditions du bien et du mal,; les termes, pour ainsi dire de ce qui est sentiment pour nous autres Français. « Quelle folie, me disais-je, d'aimer ainsi d'un amour platonique une femme qui ne vous aime plus ! Ceci est la faute de mes lectures; j'ai pris au sérieux es inventions des poëtes, et je me suis fait une Laure ou une Béatrix d'une personne ordinaire de notre siècle... Passons à d'autres intrigues, et celle-là sera vite oubliée. » L'étourdissement d'un joyeux carnaval dans une ville d'Italie chassa toutes mes idées mélancoliques. J'étais si heureux du soulagement que j'éprouvais, que je faisais part de ma joie à tous mes amis, et, dans mes lettres, le leur donnais pour l'état constant de mon esprit, ce qui n'était que surexcitation fiévreuse.
Un jour, arriva dans la ville une femme d'une grande renommée qui me prit en amitié et qui, habituée à plaire et à éblouir, m'entraîna sans peine dans le cercle de ses admirateurs. Après une soirée où elle avait été à la fois naturelle et pleine d'un charme dont tous éprouvaient l'atteinte, je me sentis épris d'elle à ce point que je ne voulus pas tarder un instant à lui écrire. J'étais si heureux de sentir mon cour capable d'un amour nouveau !... J'empruntais, dans cet enthousiasme factice, les formules mêmes qui, si peu de temps auparavant, m'avaient servi pour peindre un amour véritable et longtemps éprouvé. La lettre partie, j'aurais voulu la retenir, et j'allai rêver dans la solitude à ce qui me semblait une profanation de mes souvenirs. Le soir rendit à mon nouvel amour tout le prestige de la veille. La dame se montra sensible à ce que je lui avais écrit, tout en manifestant quelque étonnement de ma ferveur soudaine. J'avais franchi, en un jour, plusieurs degrés des sentiments que l'on peut concevoir pour une femme avec apparence de sincérité. Elle m'avoua que je l'étonnais tout en la rendant fière. J'essayai de la convaincre; mais quoi que je voulusse lui dire, je ne pus ensuite retrouver dans nos entretiens le diapason de mon style, de sorte que je fus réduit à lui avouer, avec larmes, que je m'étais trompé moi-même en l'abusant. Mes confidences attendries eurent pourtant quelque charme, et une amitié plus forte dans sa douceur succéda à clé vaines protestations de tendresse.
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lefondamentsdelislam · 11 months
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UN LEADER UNIVERSEL : Partie 8
LE DERNIER MOT
Le Prophète Mohammed avait toutes les qualités de chef nécessaires pour réussir dans tous les aspects de la vie. Mais, ce qui est plus important encore est qu'il était capable de conduire sa communauté au succès dans tous les domaines. Il est la source de laquelle jaillirent tous les développements futurs liés au commandement, à l'habileté politique, à la religion, au développement spirituel, et à beaucoup d'autres choses dans le monde musulman.
En général, les leaders doivent avoir les qualités suivantes:
Le réalisme. Leurs messages et leurs demandes ne doivent pas contredire la réalité. Ils doivent comprendre les conditions de leur époque telles qu'elles sont réellement, et être conscients de tous les avantages et les inconvénients.
Une croyance absolue en leur message. Leur conviction ne doit jamais faiblir, et ils ne doivent jamais renoncer à leur mission.
Le courage. Même s'ils sont laissés seuls, ils doivent trouver le courage de persévérer. Quand certains de ses poursuivants parvinrent à la cave où ils se cachaient, Abou Bakr craignait que quelque mal n'arrivât au Messager. Or le Prophète se contenta de dire: Ne t'afflige pas, car Dieu est avec nous. (9:40)
Une volonté forte et une grande résolution. Ils ne doivent jamais tomber, même un seul instant, dans le désespoir.
Une conscience de la responsabilité personnelle. Ils doivent diriger tous leurs efforts dans le but d'assumer leur responsabilité. En aucun cas ne doivent-ils être séduits par les charmes de ce monde et les attraits de cette vie.
La clairvoyance et l'attachement au but. Les leaders doivent être capables de discerner et de planifier les développements potentiels. Ils doivent savoir comment évaluer le passé, le présent et le futur pour parvenir à une nouvelle synthèse. Les indécis ne font que semer la confusion dans la communauté.
La connaissance personnelle des fidèles. Les leaders doivent être pleinement conscients des dispositions, des capacités, du caractère, des défauts, des ambitions et des points faibles de leurs fidèles. S'ils n'ont pas cette connaissance, comment pourront-ils désigner les personnes adéquates aux postes qui leur conviennent le mieux?
Une force de caractère et des vertus louables. Les leaders doivent être déterminés mais flexibles quand ils exécutent leurs décisions, et savoir quand il convient d'être intransigeant et implacable, ou doux et compatissant. Ils doivent savoir quand il leur faut être graves et dignes, ou modestes, et toujours droits, honnêtes, dignes de confiance et justes.
Aucune ambition de ce monde ni abus de pouvoir. Les leaders doivent vivre comme les membres les plus pauvres de leur communauté. Ils ne doivent jamais faire de discriminations entre leurs sujets; au contraire, ils doivent tout faire pour les aimer, les préférer à eux-mêmes, et agir de façon à ce que leur peuple les aime sincèrement. Ils doivent être fidèles à leur communauté, et assurer la loyauté et la dévotion de leur communauté en retour.
Le Messager possédait toutes ces qualités, et beaucoup d'autres encore. Pour ne citer que quelques exemples, il ne pensa jamais à abandonner sa mission même lorsqu'il était confronté aux plus grandes hostilités et aux plus alléchantes propositions. Au lieu de cela, il leur disait: «Dites: 'Il n'y a d'autre divinité que Dieu', et prospérez dans les deux mondes.» Quand ses Compagnons se plaignaient des conditions très difficiles et de la persécution à La Mecque, il répondit:
VOUS ÊTES TROP PRESSÉS. LE JOUR VIENDRA OÙ UNE FEMME VOYAGERA DE HIRA [UNE VILLE AU SUD DE L'IRAK] JUSQU'À LA MECQUE SUR SON CHAMEAU (EN SÉCURITÉ) ET FERA LES TOURNÉES RITUELLES AUTOUR DE LA KA'BA, ET LES TRÉSORS DE L'EMPEREUR SASSANIDE SERONT CAPTURÉS PAR MA COMMUNAUTÉ.
Un jour, les leaders mecquois vinrent à lui et dirent: «Si tu nous reçois en un jour où d'autres - surtout ces pauvres-là - ne sont pas présents, il se peut que nous parlions avec toi d'accepter ta religion.» Ils méprisaient les musulmans pauvres comme Bilal, Ammar et Khabbab, et désiraient obtenir un traitement de faveur. Le Messager rejeta de telles propositions sans la moindre hésitation. Les versets révélés s'adressaient à lui comme suit:
ET NE REPOUSSE PAS CEUX QUI, MATIN ET SOIR, IMPLORENT LEUR SEIGNEUR, CHERCHANT SA FACE "WAJH". (6:52).
FAIS PREUVE DE PATIENCE [EN RESTANT] AVEC CEUX QUI INVOQUENT LEUR SEIGNEUR MATIN ET SOIR, DÉSIRANT SA FACE. (18:28)
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christophe76460 · 11 months
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VOTRE IDENTITÉE FONDAMENTALE. ( PARTIE 1 )
J'AI APPRIS QUE VOUS NE VERREZ JAMAIS LA PLUS GRANDE PARTIE DE MOI, CAR ELLE EST DE TYPE NON PHYSIQUE.
( BOB PROCTOR )
LA SUITE DE L'INTERVIEW DE BOB PROCTOR.
<< BOB PROCTOR : Pour obtenir la vraie réponse, vous devez en savoir un peu plus sur vous même.
LE JOURNALISTE : En participants aux séminaires et tout, qu'avez-vous appris au sujet de Bob Proctor pendant ces périodes ?
BOB PROCTOR : J'ai appris que vous ne verrai jamais la plus grande partie de moi. Car elle est de type non physique. Et ce que vous voyez ici en tant que corps physique n'est rien de plus que la manifestation physique de la partie la plus haute de ma personnalité. Eh bien sûr, ceci est aussi vrai pour vous et pour tout le monde. Ce qu'il faut étudier je pense, c'est la façon dont cette partie non physique de mon esprit fonctionne. Que se passe-t-il quand je réfléchis ? D'où mes pensées proviennent ? . . . >>
-- Pour vous démontrer à quel point où on se perd dans les symboles qui nous concernent nous même. Exemple, imagine que tu veux changer, quel est le tu que tu veux changer, tu me dis moi-même, ma personne. Qu'est-ce que la personne ? Il faut savoir que le mot personne est tiré du mot latin " persona " qui veut dire le masque d'auteur. Du coup ce que la plupart essaiye de changer pense être le masque, pense être la personne.
Quand vous pensez à vous même vous pensez à vous social, mais pas à vous fondamental. Et la bonne nouvelle sur ce vous fondamental, vous pouvez poser n'importe quel masque, qu'elle personne du coup vous n'êtes pas ce que vous croyez être, ce que vous croyez être n'est pas fixe dans le roche. Enfin de compte c'est modifiable, et en vrai vous n'aviez pas changé, parce que vous n'êtes pas le masque. Vous auriez changé de masque.
Nous, les Croyants qui avons la nouvelle semence, le saint esprit, Dieu en Christ en nous l'esperance de la gloire, le potentiel est la somme de toute les possibilités que Dieu a pour notre vie. Pourquoi ? Parce Qu'll est amour, et ll nous a crée en Christ-Jésus. La plus grande partie de nous, notre potentiel ne peut être vue à l'oeil, parce que cette grande partie est en nous.
Éphésiens 2 : 10
Car nous sommes son ouvrage,
ayant été créés en Jésus Christ
pour de bonnes oeuvres, que
Dieu a préparées d'avance, afin
que nous les pratiquions.
Colossiens 3 : 1 - 4
1- Si donc vous êtes ressuscités avec
Christ, cherchez les choses d'en haut,
où Christ est assis à la droite de Dieu.
2- Affectionnez-vous aux choses d'en
haut, et non à celles qui sont sur la
terre.
3- Car vous êtes morts, et votre vie est
cachée avec Christ en Dieu.
4- Quand Christ, votre vie, paraîtra, alors
vous paraîtrez aussi avec lui dans la
gloire.
Ce n'est plus mon ancien moi qui continue à vivre. C'est le Christ vivant qui agit et reproduit sa vie ou qui vit en moi.
1 Jean 4 : 4
Vous, petits enfants, vous
êtes de Dieu, et vous les avez
vaincus, parce que celui
[ Dieu en Christ ] qui est en vous
est plus grand que celui [ le Diable
et ses esprits diaboliques ] qui
est dans le monde.
Dieu en Christ en nous, le saint esprit, est plus grand que les esprits du Diable dans le monde. Quand nous, croyants, commencerons à pratiquer nos droits légaux de filiation avec l'utilisation du nom de Jésus-Christ, nous vivrons vraiment avec puissance et vaincrons les forces de Satan dans nos vies.
À suivre . . .
Que Dieu vous bénisse abondamment, vous protège, et vous fortifie au nom de Jésus-Christ, amen!
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L'ÊTRE HUMAIN EST FAIT POUR VIVRE EN ÉTANT CONDUIT EN PERMANENCE PAR SON CRÉATEUR, C'EST EN RÉALITÉ LE RÉSUMÉ DE LA VIE DU CHRIST.
L'être humain est un dominateur par nature, en effet, Dieu nous a donné le mandat de dominer sur tout ce que Dieu a fait.
Maintenant, en ce qui concerne la race humaine, Dieu a prévu que l'on vive entre nous, dans une relation d'amour divin.
Une relation d'amour inconditionnel hyper généreux, où l'on ne désire que le bien de tous, parce que l'on désire notre propre bien.
AIMER SON PROCHAIN COMME JÉSUS NOUS A AIMÉ, EN ÉTANT MÊME PRÊT À SE SACRIFIER, EST LA FAÇON DE VIVRE QUI EXPRIME LE VÉRITABLE BONHEUR PERSONNEL.
Car l'orgueil et l'égoïsme révèlent forcément l'intérêt personnel, qui est un principe opposé à une vie épanouie et ouverte uniquement à l'intervention permanente divine, car on vit en confiance totale en notre créateur.
Jésus par sa vie à manifester qu'il dominait sur toute la création, sauf sur les êtres humains.
En effet, Jésus contrôlait la météo, donc la nature, les maladies, les malformations, ainsi que le monde spirituel, car il commandait aux démons.
Même qu'il est dit que les anges le servaient et il était avec les bêtes sauvages durant sa tentation dans le désert.
Jésus a montré qu'il était au-dessus de toute chose.
Le Seigneur pouvait multiplier les pains et marcher sur l'eau.
Il n'était limité par rien.
Tout lui était possible.
JÉSUS A MONTRÉ PAR SA VIE, QU'IL EST LE DIEU QUI A FAIT TOUS LES MIRACLES DEPUIS LA GENÈSE.
IL NOUS A MONTRÉ PAR SA VIE HUMAINE, LA FAÇON DE VIVRE QUI LUI EST AGRÉABLE.
IL NOUS A MONTRÉ PAR SA VIE HUMAINE CE QU'IL ATTENDAIT DE CHACUN DE NOUS, EN NOUS CRÉANT.
Et avec les êtres humains, on remarque que le Seigneur n'a pas cherché à nous dominer ou à nous rendre esclaves.
Il n'a pas cherché à nous forcer à croire en lui et à croire en ce qu'il a dit.
Jésus a développé une relation d'égale à égale avec nous.
Il essayait de nous aider à comprendre et à réaliser que l'on peut mener une vie, en unité ou en union avec Dieu.
Jésus a cherché à nous montrer le bon exemple de vie humaine.
Il a cherché à nous montrer ce qu'est une vie libre du péché, libre d'impossibilité et des limites physiques ou même terrestre.
Il nous a montré que pour être libre du péché, il suffit de vivre en unité avec Dieu.
Et il a commencé à annoncer la repentance.
C'est-à-dire, que si on en a assez de nos vies de péchés et de nos fautes, il nous propose un autre chemin.
Si on en a assez de la vie qu'on mène, notre créateur nous propose une autre façon de vivre.
Jésus ne propose son chemin qu'à ceux qui se sont rendu compte, que sans lui, ils ne peuvent rien faire.
Donc sans réaliser de tout ton être que tu as besoin d'aide, en réalité, tu n'as pas encore besoin de Dieu.
CAR ON NE PEUT ÊTRE SINCÈRE QUE LORSQUE L'ON EST ARRIVÉ AU BOUT DE NOUS-MÊMES, AU BOUT DE NOS FORCES ET AU BOUT DE NOS PROPRES CAPACITÉS.
ON NE PEUT QU'ÊTRE SINCÈRE QUAND ON EST ARRIVÉ AU POINT OÙ L'ON NE S'ATTEND QU'À DIEU SEUL OU QU'À RECEVOIR DE L'AIDE D'OÙ QU'ELLE PUISSE VENIR, CAR ON A PLUS D'AUTRE CHOIX DE DISPONIBLES.
En réalité, on trouve Dieu uniquement quand on a tout essayé et que rien a fonctionné.
Et c'est quand il ne reste que Dieu seul comme option.
C'est quand on est dos au mur, que Dieu se révèle, car il n'est que le seul qu'il nous reste à essayer.
Comme la veuve de Sarepta, en effet, il ne lui restait qu'un repas, puis elle et son fils mourront de faim.
C'est dans cette situation-là, que le prophète Élie, lui a proposé un marché ou un deal.
En effet, c'est dans ce genre de condition extrême que l'être humain est réceptif à ce que son créateur peut lui proposer.
On ne peut connaître l’Éternel Dieu Tout-Puissant véritablement, que lorsque l'on perd notre orgueil, notre arrogance et notre égoïsme, donc nos intérêts personnels.
Trouvé Dieu s'est tout d'abord réaliser notre condition limité humaine.
C'est quand on sait du plus profond de nous-mêmes ou de tout notre être que l'on a besoin d'aide, que Dieu se révèle.
Tant qu'on a encore le choix, il est impossible que l'on soit fidèle à Dieu.
Car à la moindre exigence divine, on choisira les autres options, moins contraignantes.
C'est pour cela que Dieu attend son moment.
Le moment où il devient notre unique choix, le dernier choix, en réalité.
Donc il s'adresse à ceux qui ont faim et soif de justice divine, ceux qui n'ont que Dieu comme option, en d'autres mots.
Faim et soif de vérité absolue, car ta vérité personnelle ne t'a pas libéré ou ne t'a pas aidé.
Et c'est donc à ce genre de personne que Jésus propose son chemin, qui commence par le fait de se remettre en question, tout simplement.
Dieu, notre créateur, n'est pas un dictateur.
Le fait qu'il ait mis l'arbre de la connaissance du bien et du mal au milieu du jardin, c'est une expression qui signifie, qu'il a placé ce qui est interdit à une place où c'était impossible de ne pas le voir, cet arbre ne pouvait pas passer inaperçu, en réalité.
L'image est que l'homme était quasiment obligé de passé devant cet arbre, tous les jours.
Car Dieu veut qu'on le suive de façon volontaire et non de façon obligatoire ou forcée.
Dieu est le Dieu de la liberté totale.
Il veut qu'on soit avec lui, non parce qu'il a raison et qu'il nous a créé.
Dieu veut qu'on arrive nous-même à nos propres conclusions.
Dieu en nous créant à son image et à sa ressemblance, a fait de nous des dieux, en réalité.
ET DIEU EST TOUT-PUISSANT ET IL NE REÇOIT D'ORDRE DE PERSONNE.
CE QUI FAIT QUE DIEU SAVAIT QUE TÔT OU TARD, ON ALLAIT DEVOIR DÉCOUVRIR LA VÉRITÉ AU SUJET DE TOUTE CHOSE, PAR NOUS-MÊME, EN ÉTANT INDÉPENDANT DE LUI.
TOUT COMME LE FAIT, UN ENFANT QUI QUITTE LA MAISON DE SES PARENTS POUR COMMENCER SA PROPRE VIE, ET QUI FAIT SES CHOIX PERSONNELS DE VIE.
C'est pour cela, qu'il est dit que Dieu s'est sacrifié lui-même pour nous pardonner de nos fautes, avant qu'il nous crée, c'est-à-dire, avant la fondation du monde.
Donc dans la mentalité divine, l'être humain a droit à l'erreur.
Le fait que le voleur sur la croix ait été sauvé dans ses dernières heures de vie terrestre, est la preuve que Dieu peut nous sauver très facilement, dès qu'on devient sincère, tout simplement.
Car pour lui, nous ne sommes que des enfants, des êtres immatures.
Donc il a pris ses précautions afin de nous sauver, dès qu'on réalise qu'on en a véritablement besoin.
Là, je parle du cœur de l'être humain, c'est-à-dire de son esprit.
CAR BEAUCOUP DISENT DE LEUR BOUCHE QU'ILS VEULENT CHANGER, MAIS LA PREUVE DE LA SINCÉRITÉ, EST L'HUMILITÉ, DONC LE FAIT DE VIVRE EN TOTALE TRANSPARENCE.
SI TU CONTINUES À CACHER DES CHOSES AUX AUTRES, EN QUOI ES-TU VÉRITABLE OU SINCÈRE, CHER AMI(E) ?
Comme Adam et Eve qui se cachait de Dieu après avoir mangé de l'arbre interdit.
Tant que tu caches des choses à qui que ce soit, tu révèles que tu n'as rien encore appris d'important, en réalité.
Donc tu vis forcément loin de Dieu, chassé du fait de bénéficier de la qualité de vie divine.
Car, pour vraiment profiter de notre séjour terrestre, il faut devenir une personne sincère donc totalement transparente.
C'est-à-dire une personne intègre.
Ce qui signifie une personne qui est fidèle à ce qu'il croit personnellement, tout simplement.
Je parle ici d'intime conviction.
Je ne parle pas du tout de religion, de Livres Saints, d'assemblées de croyants ou de dirigeants spirituels humains.
Je parle du fait qu'on ne peut être fidèle aux convictions intimes d'une autre personne.
Comment peux-tu baser ta vie sur l'histoire d'Abraham par exemple, cher ami(e) ?
Abraham lui-même, est-il la vérité en personne, pour toi ?
Abraham, est-il Dieu pour toi ?
TOUT COMME TU NE PEUX BASER TA VIE SUR JÉSUS, SANS QUE DIEU LUI-MÊME SE RÉVÈLE À TOI PERSONNELLEMENT, CHER AMI(E). NON ?
CAR, POURQUOI NE CROIS-TU PAS EN D'AUTRES HISTOIRES, ALORS ?
POURQUOI TON LIVRE SAINT A-T-IL FORCÉMENT RAISON, SI DIEU NE S'EST PAS RÉVÉLÉ À TOI PERSONNELLEMENT POUR TE DIRE LUI-MÊME LA VÉRITÉ ?
À UN MOMENT DONNÉ, IL FAUT RÉALISER QU'ON DOIT RECEVOIR SA PROPRE VISITATION DIVINE, SINON ON SUIT CE QUE DES ÊTRES HUMAINS ONT DIT ET NON LE CRÉATEUR EN PERSONNE.
Aujourd'hui, nos assemblées de croyants ne sont pas dirigées par Dieu, sinon le créateur y serait visible par les interventions divines, comme nous le démontre la vie du Christ.
Nos assemblées de croyants, ne sont aujourd'hui, que des institutions humaines, où Dieu n'a plus son mot à dire.
Les scandales notamment sexuels nous le démontrent.
Normalement, chaque croyant devrait ressembler à Jésus.
Mais aujourd'hui, on s'appelle du nom de Christ, mais nos vies non rien de différent de celles de ceux qui ne portent pas le nom du Seigneur.
Aujourd'hui, on s'estime du Christ ou de Dieu, à cause du fait qu'on suive une religion.
Or, de tout temps, ceux qui suivent une religion n'ont jamais été agréables aux yeux de Dieu :
Hypocrites ! Ésaïe a fort bien prophétisé à votre sujet : Ce peuple m’honore des lèvres, mais, au fond de son cœur, il est bien loin de moi ! Le culte qu’il me rend n’a aucune valeur, car les enseignements qu’il donne ne sont que des règles inventées par les hommes. Matthieu 15:7-9 BDS
On est juste fidèle à des rites religieux, c'est tout.
Mais personne aujourd'hui, n'a une vie identique ou similaire à celle de Christ.
Et Dieu veut donc que chacun se remette en question dans ces temps de la fin.
Il est temps qu'on arrête de se glorifier ou d'être content à cause de convictions qui ne sont pas intimes et personnelles, et qu'on n'a pas reçues de Dieu en personne.
Car, comment peut-on être sincère avec les convictions reçues par une autre personne ?
Dieu lui-même n'a pas forcer Adam à le suivre.
Ce qui signifie que c'est dans la liberté que l'on doit trouver nous-même le chemin, qui est Dieu.
Annoncer que telle voie ou que telle chemin ou que tel façon de vivre est la bonne, ne sert à rien.
Car, qu'en sais-tu réellement, cher ami(e) ?
Es-tu la vérité pour le savoir ?
On ne peut que donner son témoignage personnel et raconter ce que l'on vit.
Mais à la fin, est-ce que cela signifie que ce que nous disons est la vérité, qui est Dieu lui-même ?
Peux-tu aider réellement, comme Dieu seul peut le faire ?
Soyons donc humble et restons à notre niveau humain.
Si tu trouves que ta vie est exceptionnelle, tant mieux pour toi, cher ami(e), et je partage ta joie.
Maintenant, sache qu'un jour, tu mourras et tu seras jugé par ton créateur.
Et c'est uniquement, ce jour-là, que tu sauras, ce que Dieu dit à ton sujet.
Mais penser que tu as forcément raison, est en réalité de la folie.
Car à la fin, seul Dieu sait.
Tu n'es pas ton propre propriétaire, car tu ne sais pas tout.
Nous ne sommes que des créatures humaines limitées.
Donc, la vie terrestre est considérée, comme une enquête, où chacun doit trouver sa propre vérité, en attendant de rencontrer un jour son créateur.
L'INTIME CONVICTION REPRÉSENTE LA VÉRITÉ DE CHAQUE ÊTRE HUMAIN.
ET C'EST LA FIDÉLITÉ À NOTRE PROPRE VÉRITÉ QUI SAUVE, EN RÉALITÉ.
CAR ÉTANT LA VÉRITÉ ABSOLUE, DIEU NE PEUT NOUS JUGER EN FONCTION DE SA VÉRITÉ, QUI EST LUI-MÊME.
DONC IL NOUS JUGERA EN FONCTION DE NOUS.
CAR SI TU N'ES PAS FIDÈLE À TES CONVICTIONS INTIMES, TU RÉVÈLES ÊTRE UN LÂCHE.
TU ES UNE PERSONNE QUI N'A PAS LE COURAGE D'ASSUMER SA VÉRITÉ PERSONNELLE.
EN CELA, TU ES UN HYPOCRITE, UN MENTEUR, UNE PERSONNE QUI N'EST PAS FIABLE ET SUR QUI, ON NE PEUT COMPTER.
MAINTENANT, ON PEUT AVOIR DES CIRCONSTANCES ATTÉNUANTES.
ET LÀ SEUL DIEU PEUT SAVOIR ET DÉTERMINER CE QU'IL FERA DANS CE GENRE DE CAS.
MALHEUREUSEMENT, LA PLUPART DES GENS, SONT DES LÂCHES.
C'EST TRISTE À DIRE, MAIS LA VÉRITÉ EST QUE LE FAIT QUE NOUS ACCEPTONS D'ÊTRE DOMINÉ PAR D'AUTRES ÊTRES HUMAINS, EST LA PREUVE DE LA LÂCHETÉ HUMAINE.
CAR ON NE DEVRAIT ACCEPTER UNIQUEMENT, CE QUI EST CONFORME À NOS CONVICTIONS INTIMES.
ON DEVRAIT SE BATTRE COMME JÉSUS JUSQU'À LA MORT, EN RESTANT FIDÈLE À NOS CONVICTIONS INTIMES UNIQUEMENT, MES CHERS AMIS.
Maintenant, la vérité absolue est Dieu lui-même, et lui seul décide ou pas de se révéler à chaque être humain.
Car Dieu veut se révéler, mais c'est à chacun de nous, à démontrer que nous voulons connaître la vérité, qui est Dieu, à tout prix.
Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. Je me laisserai trouver par vous, dit l'Éternel - Jérémie 29:13-14 LSG
Chaque parcours de vie est unique, donc incomparable.
Soyons donc, simplement sur notre propre chemin et vivons notre vie à fond, suivant nos intimes convictions.
Et notre créateur est fidèle pour faire forcément sa part et intervenir quand il le jugera bon.
Arrêtons donc de penser que nous sommes meilleurs qu'autrui, car, qu'en sais-tu, cher ami(e) ?
Es-tu l'Éternel Dieu Tout-Puissant ?
VIVONS PLUTÔT NOS VIES PERSONNELLES DE MANIÈRE À ÊTRE HEUREUX ET À AIDER AUTRUI.
ET LAISSONS DIEU NOUS CONDUIRE DANS CETTE VIE ET CELLE QUI EST À VENIR, TOUT SIMPLEMENT, MES CHERS AMIS.
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verloren-y · 1 year
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22 janvier 2023
Bonjour cher journal, ça faisait longtemps.
Je me sens absolument atrocement mal. Comme à chquae fois que j'écris ici. Je me sens mal. J'ai peur. Je me sens extrêmement seul. Je me sens pas assez bien, je ne suis pas assez bien pour les gens qui m'entourent, je me sens absolument nul. Quand Noémie me parle de tout ce qu'elle a fait. Et même les autres. J'ai l'impression d'être un raté. Que je sais pas faire. Je sais tout faire en réalité je sais couper un arbre. Mais elle elle sait tout faire et pourtant j'ai regardé le film J'ai perdu mon corps et comme À CHAQUE FOIS que le personnage principal fait une erreur je me dis c la fin il faut que tu mette fin à tes jours. Je ne sais pas comment je suis censé vivre avec cette mentalité. Je sais pas ce que je dois faire j'arrive à rien je me sens stressé et complètement déboussolé. Je suis au bout du rouleau. Ça me tue à petit feu. C'est de la torture. Ohlala et puis da'utre choses.
Je vous les mains d'un homme enfaite je veux juste en tant qu'enfant que je suis être pris dans les bras par un homme, je voudrais que papa me prenne dans ses bras et qu'il me dise je t'aime. Et là je meurs. Maman et moi on a eu une bonne discussion hier. Je lui ai expliqué pourquoi je pense que je lui dois rien et elle est d'accord, mais ou bien elle s'exprime mal ou bien elle me fait sentir le contraire.
Je ne fais que m'énerver parceque je ne sais plus pleurer, j'ai peur de ce que les gens vont dire si je leurs dis que je pleure. La compassion me fait peur, tout comme le jugement. Le tout me fait peur. Je ne sais pas faire les choses. Et à force de ne pas dire les choses je fini par m'envenimer et de détester les gens parceque je me dis qu'ils savent ce qu'ils sont censés faire. C'est frustrant.
Plus je vis plus j'ai envie de mourir. Je ne sais vraiment pas quoi faire. Je m'isole, mais c'est à force d'être obliger d'insister à voir les gens. Je n'en peux plus. Je ne suis la priorité de personne. Ni même de maman, ni même de moi. Je n'existe pas. Ou bien je ne devrais pas exister. Je déteste être ici. Je ne suis pas en vie. Et si je disparaissait il n'y aurait aucune différence, je ne sais pas ce que je fais ici. Ma vie n'a pas de but. Je ne ressens pas de joie. Rien n'est bien tout est compliqué. Rien n'est simple, c'est juste horrible d'être sur terre. Je ne sais pas quoi faire. Je suis censé emmener cet ordi portable. Je devrais faire les mises à jours ce soir et ainsi de suite. Je ne sais pas quoi faire je ne sais pas quoi faire. Je vais lire d'anciens posts que j'ai laissé ici.
Maman je lui ai méchamment parler hier aussi avznt cette discussion où je lui ai dis que j'ai jamais demandé à être en vie. Elle m'a dit que c'était très blessant, elle m'a demandé si je détestait à ce pount ma vie. J'ai ris et dis non pas à ce point, mais finalement à certains moments oui et c'est horrible je ne sais pas pourquoi ou bien j'ai d'énormes pique d'anxiétés ou bien je sais pas je panique je meurs je sais pas le décrire ça fait mal d'exister et d'être en vie. Et parfois c'est bien. Mais rarement je crois et même les souvenirs souvent on les embelli. Cet été me manque.
Enzo... me manque aussi d'une certaines manière ou plutôt ce que j'imaginais avec lui peut-être c'est embarrassent de dire ça genre vraiment je me sens mal de l'écrire c'est horrible.... Je ne mérite pas d'être aimé apparemment, l'univers me la dis. Il me l'a dit. Je ne mérite pas d'être avec une homme bien. Je me sens juste mal. Ça doit être comme ça.
Je veux tellement bien faire et c'est ça l'origine de TOUT mes problèmes et si je faisais mal?! Mais que je prépare un peu je fais ce qu'il faut le reste je peux pas le prévoir
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unjourdemai · 1 year
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Rêves stupides. Même les bons sont mauvais, car ils vous rappellent à quel point la réalité n'est pas à la hauteur. Je sais quand m'arrêter. Je sais quand laisser aller les choses. Je sais quand passer à autre chose. Mais « je sais » est différent de « je peux ». Vous aimez les gens. Ils vous déçoivent. Mais parfois, ils ne le font pas. Ils continuent juste à vous aimer, à travers tout cela, attendant que vous vous réveilliez et que vous les appréciez. Dire : "Je t'aime". Je t'ai toujours aimé en retour. La vie est courte, non ? Nous le savons tous les deux. Et si tu étais ma chance ? Et si tu étais la chose qui me rendrait le plus heureux ? Tout le monde peut se permettre de donner un sourire. Rien dans la vie ne t'est arrivé. C'est arrivé pour toi. Chaque déception. Chaque tort. Même chaque porte fermée a contribué à faire de vous ce que vous êtes. Soyez patient quand les choses ne vont pas bien. Acceptez que ce qui vous appartient vienne à vous de la bonne manière au bon moment. Un jour, quelqu'un va vous serrer si fort dans ses bras que tous vos morceaux brisés se recolleront. N'introduisez pas dans votre vie des personnes qui vous pèsent. Et faites confiance à votre instinct. Les bonnes relations font du bien. Ils se sentent bien. Ils ne font pas mal. La lutte dans laquelle vous vous trouvez aujourd'hui développe la force dont vous avez besoin pour demain. Il y a des choses qu'il faut oublier si on veut continuer à vivre. Les étoiles ne peuvent pas briller sans obscurité. Quiconque arrête d'apprendre est vieux, qu'il ait vingt ou quatre-vingts ans. Quiconque continue d'apprendre reste jeune. La plus grande chose dans la vie est de garder un esprit jeune. Je ne veux pas être à la merci de mes émotions. Je veux les utiliser, les apprécier et les dominer. Un inventaire minutieux de toutes vos expériences passées peut révéler le fait surprenant que tout s'est passé pour le mieux. Il n'y a que deux jours dans l'année où rien ne peut être fait. L'un s'appelle hier et l'autre s'appelle demain, donc aujourd'hui est le bon jour pour aimer, croire, faire et surtout vivre.
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albertinefloyd · 2 years
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Mercredi 7 septembre 2022.
Je l'ai fait \o/
Je suis à jour sur mon blog \o/
Il s'agit donc, dorénavant, de ne plus prendre de retard. Donc d'écrire tous les jours de nouveau, comme avant.
Ça me t e r r i f i e.
Bon, analysons ce qu'il se passe ici. J'ai pas fait 4 ans de psycho pour rien, merde, autant que ça me serve un minimum.
Voilà littéralement 2h que j'écris à toute vitesse, sans trop réfléchir. J'ai écrit sur mon téléphone. Avec Dana dans les pattes. Pendant qu'elle prenait son petit déj. Pendant qu'elle jouait. En l'occupant en même temps. Pendant que je l'endormais au sein, pendant qu'Athos était en réunion. J'ai écrit au lit, dans la salle de bain, à table, par terre. Sur 7 sujets différents.
Pas une seule fois je n'ai ressenti d'angoisse.
Et à présent que Dans est couchée et que le silence s'est installé, et que j'évoque l'idée d'écrire correctement, mon cerveau s'empresse de hurler en se roulant par terre : "NON PITIÉ NON PAS AUJOURD'HUI NON AUJOURD'HUI JPEUX PAS AZY ON A DÉJÀ BIEN TRAVAILLÉ LÀ tu veux pas jouer à Going Medieval plutôt ?"
Pendant longtemps je me suis dit que pour écrire, il me fallait de bonnes conditions. Et le challenge, c'était de réunir ces bonnes conditions. Mais à partir du moment où j'étais seule, face à mon bureau, tôt le matin, une tasse de café près de moi et mon casque vissé sur les oreilles avec ma playlist d'écriture, la magie s'opérait. Je rentrais dans une espèce de transe, et je commençais à vivre l'histoire avec mes personnages.
C'était littéralement comme dans les films où, d'un coup, le décor du quotidien s'efface. Vraiment. Un état proche de l'hypnose, assez semblable au sommeil paradoxal.
(Et je pouvais être TRÈS grincheuse si on m'en tirait, par exemple quand Athos me faisait signe pour me parler.)
((Athos je t'aime plus que tout au monde et le son de ta voix est la plus douce des mélodies à mes oreilles, mais vraiment mon amour faut pas faire ça))
Bref. Mais petit à petit, à mesure que je m'enlisais dans mon ancien travail (un truc vraiment abrutissant qui m'a grillé une paire de neurones), j'avais de plus en plus de mal à atteindre la transe. Et avec la grossesse, ce qui me restait de neurones s'est volatilisé.
Et maintenant, j'ai l'impression que ces "conditions de travail" que je chérissais tant sont devenues ma prison. Ou plutôt une excuse pour céder à l'angoisse. Parce que je sais que je n'arriverai pas à retrouver tout ça avant un sacré bout de temps. Parce que je sais que je n'ai plus le niveau d'avant. Que ça va être très douloureux. Très fatigant. Et parce que j'ai incroyablement peur de l'échec. Parce que j'ai 30 ans et que échouer à mon âge, c'est différent.
Échouer à 20 ans, c'est rien. C'est facile de se dire que ça fait partie du processus. Mais à 30 ans ?
Ça fait 30 ans que je me dis que, arrivée à cet âge, j'aurai réussi. J'aurai vaincu l'Adversité. 30 ans que je m'imagine adulte, ayant tout vu, tout vécu.
Parce que si on n'a pas réussi à 30 ans, est ce que ça veut dire qu'on va rater sa vie ?
L'Albertine de 20 ans en était persuadée, en tout cas. Celle de 25, 26, 27 et 28 aussi, même si je ne le formulais pas consciemment.
C'est peut être parce que j'ai grandi en voyant tellement de gens s'enraciner avant l'âge de 30 ans ? Toutes ces personnes que j'observais enfant, ado, et qui 10, 15 ou 20 ans après en sont toujours au même point ? Vivent au même endroit, bossent pour la même boîte, ont les mêmes amis et partent en vacances au même endroit.
Zéro jugement là-dedans, mais c'est vraiment quelque chose que je ne comprends pas. Et que je ne souhaite pas personnellement.
Mais du coup il faut juste que je me rentre dans le crâne que si j'ai envie de tout changer, je peux. Rien n'est immuable, et l'inertie n'a que la force qu'on lui donne.
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plexussolaire · 3 years
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Conte
Un jour, un corps qui dansait, mais qui ne savait pas sauter sur ses deux pieds sans raideur ou crainte d’être ridicule. Un corps qui année, après année, cédait sous le poids des seins naissants, courbant la nuque comme allant vers le dedans de soi. Et cette sensation singulière, celle de sentir son corps s’effondrer sur lui-même, comme s’il était soudain fait de sable, et s’effritait. Ses épaules peu à peu qui tombent, et qui s’écroulent, au même rythme que ses forces qui s’écoulent le long du sablier.
Soudain, dune de sable face à montagne altière. Dans ce corps effondré se débat depuis toujours une voix qui veut dire “je suis”, “je veux”, “je pense” et “je sens”. Mais quoiqu’elle murmure,un vent froid et strident: “je ne peux jamais gagner, ce sont eux les plus forts”, “je n’aurai jamais raison, ils n’entendront jamais raison”. Depuis la voix, souvent éteinte au chevet des décideurs, cherche des chemins sinueux pour sortir de son silence. Des conversations imbriquées qui n’ont ni début ni fin, nouées, dans la tête et dans le ventre. Perdue l’entrée, perdue l’issue, elle est la clé d’une porte qui n’existe pas.
Cette langue depuis longtemps oubliée, cherchait sa vérité: la vérité de sa vie, la solitude, la réalité de l’aphasie qu’on lui nie. Elle se voyait sans cesse imposer un dialecte invincible, utiliser ces mots creux, baisser la voix, pour ne pas se faire trop entendre, c’était ça, toute la vie. Dire “moi”, dire “je”, était interdit : ils prenaient les couleurs d’un masque risible. La langue originelle s’est inversée dans ses contradictions et ses chaînes. Elle ne voyait plus le jour, plus personne ne se risquait à la déchiffrer. Elle s’est crue anéantit, et pour toujours oubliée.
Les paroles cherchaient encore leur chemin dans l’océan des virgules et des points, pour enfin ouvrir un monde enfermé à double tour, à jamais craint dans les replis de la chambre où la menace rodait encore. La clé sur la porte était la seule hérésie, l’insurrection silencieuse pour sauvegarder le seul territoire conquis. Et quand, mon dieu, ô drame, les mots trouvaient le rivage, et saignaient sur les lèvres comme autant de cris et de larmes, elles n’avaient pour recueil, enfin échouées sur le rivage, qu’une moue et que le ton, à vous faire regretter les abysses.
Une moue, c'est infime, à peine visible, ça ne dure pas. Un rictus, un mouvement de tête vers l'arrière, léger, pas trop loin, les yeux baissés vers le sol pour fuir le regard. C’est presque silencieux, on ne le verrait même pas. C'est une moue inquiétante, une signature de fermeture, un loquet, une rature qui clôt le débat. Et puis il y a les deux mots: "mais non", accompagné de cette moue. Et c'est le ton qui vous anéantit. Un ton qui part du haut et qui redescend, presque chantant, "mais no-on". C'est un ton qui s'arrange pour passer par les parties les plus molles de votre coeur, et insinuer l'information au cerveau de relâcher les muscles du haut de votre dos, les trapèzes surtout, les épaules, ployer la nuque, mais légèrement, comme si l'engourdissement s'installait mais peu à peu. Quiconque voudra bien commenter que ce "mais non" ne veut rien dire.
Sauf que c'est le ton. Le ton qui en une fraction de seconde envoie ce signal électrique dans le temps cyclique et rallume toutes les lumières, toutes les fois où le "mais non" s'est posé comme une lourde pierre sur les épaules et qu'il fallait la porter, et porter toutes celles qui venaient avant et toutes celles qui venaient après, et puis cette pierre, l'avaler, et comme chaque fois, ajouter au poids, la souffrance du poumon qui ne peut expirer de soulagement. Un mouvement dans le visage, de l'air qui fait son chemin du poumon jusque dans les cordes vocales, et c'est cela qui enterre à tout jamais, le secret d’un coeur enfantin.
Et le corps qui danse, heurté par cette mimique mineure, rejoins les rangs désertiques des poètes vaincus. Assoiffé des mots qu’il n’a jamais entendu, il soulève un bras, puis l’autre. Libre, libre, les mots soulèvent un pied puis l’autre. Vivre, vivre, la tête se relève et la bouche soupire. Ô Formule magique, me guériras-tu mes maux ?
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claudehenrion · 5 months
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Pathétiques...
Dans une déroute totale de l'intelligence, l'affreux édifice des théories dystopiques, absurdes et mortifères que les idéologues de Gauche ont trop longtemps imposées au monde entier –et à la France-- par la ruse, la force, le mensonge et la mauvaise foi, se fissure et se délite (lentement, mais tout vaut mieux que sa continuation : il est vraiment insupportable !). On savait que cette énorme accumulation de mauvaises idées, plus fausses, plus perverses et plus létales les unes que les autres, devait finir par s'effondrer : sa survie n'était pas une hypothèse envisageable. Mais on ne savait pas quand... C'est maintenant, Dieu merci : le ''top-départ'' à été donné. Alleluïa !
Peut être qu'un jour, dans très longtemps, un historien (s'il en existe encore, ce qui voudra dire que l'Humanité aura surmonté la crise de démence dont elle essaye de s'extirper en ce moment-même) arrivera à trouver une explication à la passivité suicidaire avec laquelle les hommes du XX ème et du début du XX! ème siècles se sont laissés convaincre que le laid était beau, le faux, vrai, le mensonge, vérité et la folie, intelligence. Car c'est exactement ce qui nous est arrivé... et ce dans des proportions telles qu'il nous est encore très difficile de prendre conscience de la gravité de notre confusion mentale et de la fausseté de toutes les représentations erronées qui servent de pseudo système de référence à un nombre encore bien trop grand de nos contemporains, trop souvent jeunes, hélas !
A force d'avoir été trompés sur la vérité, abusés par leurs mensonges, violés dans nos croyances et bafoués dans notre bon sens par des décennies de martellement ininterrompu de contre-vérités éhontées, nous en étions arrivés à un point où même l'évidence ne suffit plus à nous convaincre... (On l'a vécu ''en direct'' avec le covid... D'ailleurs, certains croient encore, contre toutes les preuves indiscutables, au cauchemar dans lequel le Pouvoir nous a fait vivre... ou survivre !). Et ce d'autant plus que l'ordre actuel, qui n'est que désordre, est toujours là et que ses gourous exécrables continuent à nous répéter, aidés par le système de contrôle de la ''vérité-vraie'' qu'ils ont mis en place avec la ferme intention de le voir '''durer 1000 ans'' –comme d'autres fous l'ont fait, avant eux-- que la vérité est dans leurs petits livres rouges et pas dans les faits, que ce qu'on voit est faux, et que l'évidence est trompeuse.
Un seul fait, récent et à la fois affreux et porteur d'espoirs, suffit à démontrer l'immensité vicieuse de leur système pourri : le drame de Crépol. Les efforts faits par le gouvernement (et ceux qui le suivent ou croient encore ce qui vient de lui) ont atteint des stades d'impudeur et des niveaux d'impudence qui forceraient l'admiration s'ils n'étaient pas si pitoyables et si désolants. Nos irresponsables ont fabriqué des bobards honteux pour essayer de faire croire qu'il s'agissait d'un ''fait divers'', puis d'une ''rixe'', puis d'une ''escarmouche'' entre bandes rivales, (toutes choses que personne de sensé n'a cru, fût-ce une fraction de seconde), puis ils ont exigé des ''preuves concrètes'' qu'il y avait ''intention de nuire'' –avec Marion Maréchal, sur FR3-régions--, avant de se résoudre, essoufflés d'avoir tant menti (et sciemment), à donner urbi et orbi des instructions pour que les citoyens, ces minables incultes (à leurs seuls yeux), ne puissent pas savoir les noms des coupables... Nos dirigeants-menteurs, nos soi-disant élites délitées et des journalistes sans honneur sont tombés bien bas...
Ils avaient créé un tel trouble dans les esprits qu'ils en étaient presque arrivés à faire accepter aux braves gens que lorsqu'une ''section d'assaut'' de racailles monte une expédition punitive contre un bal de village et débarque, avec des lames de 20 ou 30 cm , des barres de fer et d'autres outils contondants, en criant ''On est ici pour planter des Blancs'' (mots rapportés par Match et le Dauphine libéré), quand ils blessent 17 personnes et assassinent un adolescent... le seul sujet dont parlent ''nos'' médias, ''notre'' gouvernement et ''notre'' représentation autrefois nationale désormais partisane, c'est que ''le fait que Marion Maréchal ou Eric Zemmour en parlent... est une récupération odieuse'' (dixit Madame Borne, qui s'étonnera ensuite que plus personne ne croie un seul mot de ce qu'elle peut éructer...).
Elle voudrait nous convaincre que si c'est elle qui en parle, n'est-ce pas, c'est bien, puisqu'elle est dans le camp de la bien-pensance, qui a su nous faire croire pendant trop longtemps qu'il était ''le bon côté''... alors que si c'est le Pen, Maréchal ou Zemmour qui prononcent les mêmes mots, ils deviennent récupération, honte et manque de respect pour les victimes et leurs familles. Mais même contre toutes les preuves de leurs mensonges et contre la ''vox populi'' qui monte et s'enfle, ces prébendiers, accrochés à leurs avantages comme des arapèdes à leur rocher, continuent à nous pourrir la vie avec leur fiel... alors que leurs seuls résultats visibles sont que, non contents d'avoir dressé les français les uns contre les autres comme rarement, ils ont amené, avec leurs idées dégueulasses, le ''face-à-face'' qu' avait annoncé Gérard Collomb, le dernier, peut être, des socialistes honnêtes...
On a tous conservé en mémoire la ''lettre ouverte'' de ce pauvre mari d'une jeune femme jolie et heureuse de vivre, qui avait été assassinée au Bataclan un 13 novembre 2015, par d'autres monstres : le ''système'' l'avait tellement conditionné et son cerveau avait été tellement lavé qu'il en était arrivé à dire puis à écrire, contre tout ce qui caractérise toute humanité :''Vous n'aurez pas ma haine''. Je ne sais pas ce que ce pauvre homme est devenu, après cette chute dans leur piège, mais je crains que son épouse ne viennent le revisiter la nuit pour lui faire honte... ce qu'il mérite !
Le plus injuste, dans cette effroyable dérive de toute intelligence, c'est que la ''Psychologie des foules'' a été découverte et rendue célèbre par un homme de Droite, Gustave le Bon (qui, contrairement à ce qu'en a fait la Gauche lorsqu'elle a découvert ce ''machin'' si dangereux pour l'humanité et si efficace pour les gens mal intentionnés qui s'en empareraient), ne s'est jamais abaissé à la transformer en ''moyen de violer les foules''. La ''Propaganda'' moscoutaire en a fait une arme de combat redoutable qui a laissé des traces de sa malfaisance jusque à nous, un demi-siècle plus tard... Pour ces ''nuisibles'', tout est clair : la Gauche décrit, corrige, et montre le (mauvais) chemin... et la Droite ne peut être bonne qu'à ''récupérer''. D'où, sans doute, cette phrase inquiétante que j'entends partout, depuis peu, dans tous les milieux : ''ça va péter'' !
Je ne sais pas (encore) à quelle merveilleuse conjonction des planètes nous devons la véritable onde de choc qui est en train de libérer le monde (et la France, mais pas assez vite, elle) de la férule de toutes les idéologies perverses, néfastes et mensongères qui ont, à la fois, empuanti, déglingué, perverti et rendue malheureuse la Planète.
La seule bonne nouvelle du moment, c'est que, pays après pays, les Nations qui appartinrent longtemps à notre belle ''civilisation occidentale'' mais qui se sont laissé entraîner dans les horreurs du progressisme et de la modernité réunies, mettent le nez hors de l'eau et retrouvent ''les chemins de la Liberté'' –mais à l'opposé complet de ceux que souhaitait Sartre qui, dans sa folie asservissante de toute humanité, les imaginait communistes ! Espérons que ce beau mouvement ne va pas faire long feu, et que l'Homme va enfin pouvoir retrouver ce qui fit si longtemps sa grandeur... et l'Occident son action, finalement très bénéfique, sur le monde... ''Aliquid novi sub sole ?''. L'espoir refleurirait-il à nouveau, sur la Terre ?
H-Cl.
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abladesosharp · 3 years
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le Bas; explications.
incipit; emplacement et architecture. ∙ Le bas se trouve entre la 97th rue et East Lincoln Avenue, au Nord. Plus vaste que ne l'est le Haut, les quartiers résidentiels, allant de Southeast Yonkers et North Side jusqu'à Woodlawn et Wakefield se mélangent avec une vie plus agitée, à mesure que l'on s'éloigne de la limite Nord. Moins délimité que l'autre côté de la Ligne, il n'y a pas de réel quartier des affaires ou frontière avec une zone plus portée sur l'amusement. De Harlem à Williamsbridge, en passant par le Bronx, tout le monde semble y trouver son compte, peu importe ce qui est recherché. Sur ABSS, le Bas est reconnaissable de par son architecture brutaliste et, apportée jusque là-bas dans les années 50, pour reconstruire les dégâts occasionnés par l'attaque de Washington DC. i. société et organisation politique. ∙ Plus étendu que son alter ego de l'autre côté de la Ligne, le Bas offre la capacité de pouvoir s'y faire tout.e petit.e si tel en est le désir. Le manque de structure politique et hiérarchique, connu de tou.te.s les habitant.e.s du Bas, laissent les tensions et les rivalités poindre différemment. La bienséance et l'éclat solennel n'ont pas leur place entre les rues à l'aspect brut et bétonné, et les conflits se retrouvent, dès lors, bien moins dissimulés. La richesse, le luxe, et l’opulence n'ont jamais fait partie de l'existence du Bas : dans une misère commune, les différents clans s'accordent au moins sur ce point. ∙ Le Bas est régi par la loi du plus fort. Dans les différentes rues, derrière les portes closes ou directement sur les pavés abîmés, il n'est jamais rares de voir deux – ou plus – individus se provoquer en duel, partant d'une querelle plus ou moins importante, dépendant de l'impulsivité de chacun. Là où, au Haut, tout est codifié, le Bas semble bien plus anarchique. Les règles ne sont pas définies par des lois, mais par les possessions des différents Clans qui y vivent. À chacun son domaine d'excellente : que l'on ne tente pas de marcher sur les plate-bandes d'une autre, ou les conflits entre les Clans risqueraient d'exploser. Au Bas, la notion d'honneur fluctue selon les gens, condamnant les individus qui se placent – volontairement ou non – en dehors de cette notion ou y échappent à se retrouver mis au ban de la société du Bas. ∙ Depuis les années 80, le Bas souffre des sentiments d'insécurité et de peurs qui ne cessent de grandir, mettant à mal l'équilibre précaire que ses habitant.e.s avaient réussi à trouver. Les fréquentes coupures de courant, l'après-coup de la guerre et le coût humain ont plongé le Bas dans un abîme de peur et de violence. ii. les relations personnelles. ∙ Au centre de toutes les relations, qu'elles soient familiales, amicales, romantiques, ou autres, se trouvent à la fois l'honneur et la notion d'engagement, expliquant ainsi pourquoi les mercenaires sont aussi mal perçus (ils commettent une trahison envers leur propre Clan, dès lors qu'ils vendent leurs services à un autre). Les liens qui unissent les habitant.e.s du Bas sont tout autant très forts, que parfois toxiques : si l'honneur d'un proche, lié par le sang ou non, se trouve bafoué, les réactions peuvent être d'une impulsivité et d'une violence étonnantes (cf. : les provocations en duels, qui font partie intégrante de la vie de ce côté de la Ligne). ∙ Encore aujourd'hui, le Bas est régi par une hiérarchie patriarcale, mettant à mal les ambitions des femmes qui y vivent. Le mercenariat, au fil des années, est donc devenu pour elles un moyen d'émancipation leur permettant de couper les ponts avec le joug d'une autorité paternelle, ou tout simplement masculine. ∙ Au Bas, les unions sont décidées par les parents, visant à y trouver un intérêt (économique, politique, ou quelconque), mettant ainsi une pression familiale très forte sur les épaules des enfants. Les sentiments n'ont que peu – pour ne pas dire, pas – leur place dans les décisions prises lors des fiançailles. Au sujet de l'identité de genre et de la sexualité, un manque de tolérance, contrastant avec le Haut se fait encore fortement sentir dans les rangs de ce côté de la Ligne. ∙ Les familles vassales ont la possibilité, pour renforcer les liens avec la famille régnante, d'offrir en « cadeau », un fils ou une fille dans le but de protéger un enfant de la famille régnante ; ces derniers devenant donc des hommes-liges ou femmes-liges. Iels sont alors amenés à vivre aux côtés de l'enfant désigné.e par la famille régnante. C'est une pratique courante, notamment pour les dettes de sang : il n'est également pas rare qu'un homme-lige ou une femme-lige soit choisi.e parmi ces derniers pour rester aux côtés de l'enfant désigné.e. iii. technologie, loisirs, culture. ∙ La technologie et la médecine sont semblables aux nôtres, mais les habitant.e.s du Bas y ont pourtant un accès plus restreint que dans le Haut. Si la plupart d'entre eux possèdent un téléphone portable et un compte sur les réseaux sociaux, l'accès à la technologie de dernière génération y est moins évident par manque de moyens. La médecine, quant à elle, se plaçant comme un privilège au Haut, est également très loin de la portée de la plupart des gens du Bas, alors amené à pratiquer des formes plus expérimentales et non-conventionnelles de cette dernière. ∙ Les astres n'ont pas grand-chose à apprendre aux habitant.e.s du Bas, qui n'y voient que l'interprétation pompeuse d'un ciel que tout le monde a au-dessus de la tête. Les mariages ne dépendent pas tant des étoiles, que des intérêts que l'on peut en tirer. ∙ Grâce aux Seong, le Bas jouit, malgré la misère, de divertissements, de jeux d'argents, et autres loisirs plus équivoques, dans des lieux plus ou moins connus de chacun.e. Des paris, des spectacles plus ou moins tout public, des casinos d'un standing étonnant pour l'endroit, ou encore des combats illégaux – le sont-ils vraiment s'ils ne se font pas découvrir, cela dit ? –, ils mettent à disposition du Bas des solutions d'évasion temporaires et permettent ainsi de tromper, le temps d'une soirée, le ressenti général qui s'abat souvent – pour ne pas dire constamment – sur la société dans laquelle ils prennent place. Comme de l'autre côté de la Ligne, le Bas admire, adule les gladiateurs et leurs combats, retrouvant alors dans le spectacle qu'ils leur offrent une catharsis nécessaire et bienvenue et, parfois, la vision d'un de leurs proches : nombreux gladiateurs ont utilisé les combats pour pouvoir se glisser de l'autre côté de la Ligne, vers le Haut. iv. Les mercenaires. ∙ Contrairement au Haut, le Bas ne possède pas de forces armées définies, et encore moins officielles. Le service militaire n'y est pas obligatoire et, de toute évidence, il ne possède pas les infrastructures nécessaires à accueillir les jeunes gens comme le fait son homologue. À la place, les différents Clans du Bas font appel à des mercenaires, quand bien même le mercenariat n'est pas reconnu par la loi. Le principe est simple : au plus offrant revient la fidélité temporaire du soldat, le temps d'une mission ou d'un contrat à durée déterminée. Le.a mercenaire est alors recruté.e parmi les membres d'un autre Clan. ∙ Parce que mercenaire fait partie des jobs qui payent le mieux au Bas, il nécessite un entraînement spécial, malgré le manque d'infrastructures pour le pratiquer. Les formations sont chères, non pas en matière de bien matériel, mais de don de soi : l'apprenti mercenaire, peu importe son genre, s'engage à se donner, littéralement, pour pouvoir assurer l'entraînement. Il s'articule en deux phases : l'enseignement théorique, la stratégie, les modes opératoires, la traumatologie balistique, la topographie, entre autres, et la mise en situation réelle, pour les différents combats, les techniques de protection rapprochée, les secours opérationnels, la récupération de données, et une pratique intensive de la magie, offensive et défensive. ∙ Les mercenaires sont souvent craints et, auprès de la plupart des gens, même au Bas, ont mauvaise réputation. L’appât du gain comme principale vision de ces soldats non reconnu.e.s aux yeux de la loi, iels sont vu.e.s comme des opportunistes, quand pourtant quelque chose de plus fort que ça peut être à l'origine de leurs actes.
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visenya-den · 3 years
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La société et les personnes handicapées.
Cela fait un moment que je voulais écrire un texte, pour raconter mon ressenti vis-à-vis du handicap, du regard, des réactions des autres personnes, et surtout, pour rendre hommage à une personne incroyablement forte aka ma sœur. Vous y trouverez aussi le mien, du coup. 
TW warning : pensées suicidaires, dépression, opérations, hôpital, médicaments.
Avant tout, je tiens à dire que le témoignage de ma sœur se trouve ici, publié lors de la journée internationale du handicap. Il est trop court à mon goût mais ses mots sont si puissants.
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Nous sommes nées le 12 septembre 1995, à minuit cinq et minuit sept. Notre mère a été alitée pendant presque toute sa grossesse, avec interdiction de se lever. Interdiction qu'elle a scrupuleusement respectée pour nous. Pas une seule fois elle n’est allée aux toilettes, pas une seule fois elle n’a été prendre une douche. Malheureusement, la vie ou le destin a quand même frappé. Les médecins disaient que j'étais trop petite, que je ne survivrai pas. Et nous avons fait, un mois après notre naissance, une hémorragie cérébrale. Pas grave pour moi mais concernant ma sœur, le pronostic des médecins était mauvais : elle ne marcherait, parlerait jamais, ne serait jamais autonome. La nouvelle a détruit nos parents mais ils ont décidés de se battre, chaque jour ils nous faisaient faire des exercices pour nous entraîner, nous éveiller comme nos futurs restaient quand même assez incertains.
Je me souviens que ma sœur ne marchait pas. Elle rampait. Elle apprendra à quatre ans. En maternelle, ça a été compliqué. Je crois que déjà à cet âge-là je voyais sa différence, qu'elle n'était pas comme les autres enfants. Mais je ne savais pas pourquoi. Le mot handicap, je ne le comprenais pas. Je ne le comprendrais pas pendant des années, je n'en prendrais pas conscience. 
Contrairement à ce que les médecins ont prédit, ma sœur est à peu près autonome, elle marche, parle, elle est juste plus lente dans sa motricité. Mais je suis une enfant bête et méchante. Je ne comprends pas, je n’arrive pas à saisir pourquoi elle est ainsi. Pourquoi elle n’est pas comme moi. 
Notre enfance était marquée par les rendez-vous médicaux en tout genre, orthoptiste, orthophoniste, kiné etc... Les opérations aussi, pour elle. J'ai été méchante avec elle, parce que sa lenteur m'exaspérait. Quand mes parents me disaient que c'était normal, parce qu'elle était handicapée, cela ne m'atteignait pas parce que je ne comprenais pas. Handicapée? Qu’est-ce que c’était? Elle avait un problème au cerveau? Et alors, à quoi ça sert le cerveau? 
Nous avons toujours été avec les mêmes personnes de la maternelle à la primaire, mais, au collège nous avons déménagé. Mes parents ne voulaient pas que nous restions là où nous habitions, et la recherche d'une maison ainsi que d'un collège a été compliquée. Il fallait une maison accessible, avec une chambre et une salle de bain au rez-de-chaussée, ainsi qu'un collège avec un ascenseur. Nous avons visités trois ou quatre collèges. Seul un avait un ascenseur. UN. Quand aux maisons, en trouver une accessible c’est le parcours du combattant quand on ne veut pas faire construire. 
La rentrée en sixième a été d'une violence inouïe. Pour elle. Parce que les autres élèves ont remarqués son handicap. Ont commencés à l'insulter parce qu'elle ne marchait pas droit. Elle a été insultée de tous les noms. Je la défendais, mais comme j'étais aussi stupide, je n'aimais pas qu'elle soit tout le temps avec moi, qu'elle me vole tous les amis que je me faisais. Mais je la défendais quand même, une part de moi ne supportait pas cette injustice dont elle était la cible. Elle ne voulait pas que je dénonce ses agresseurs et agresseuses.
La vérité, c'est qu'elle avait sans doute peur, et honte de son handicap. Quand on est jeune, surtout à cet âge-là, on a pas confiance en soit. Je sais maintenant que cela a dû être tellement dur pour elle. Et cela s'est manifesté par son comportement à la maison. Entre nous c'était entre indifférence et haine. Je l'aimais au fond, c'était ma sœur, mais je ne la supportais pas, je ne supportais pas ses crises, ses cris. Elle était comme le vase plein, qu'une goutte d'eau suffisait à faire déborder, mais en permanence. Normal, vu sa vie, vu toutes les difficultés auxquelles elle devait faire face.
J'ai eu honte, je me suis sentie coupable. Que je ne sois pas handicapée à sa place, j'étais persuadée que j'aurais été plus fort qu'elle (spoiler alert : non jamais je n’aurais pu l’être.). Je maudissais cette vie, le destin. Je me détestais de pouvoir faire des activités qu'elle ne pouvait pas pratiquer, la danse, l'équitation. Je me détestais tout en mesurant ma chance, et la sienne, parce qu’au fond, son handicap n’était que moteur. Pas mental. Et tous les mois j’allais à des séances de thérapies avec d’autres frères et soeurs de personnes handicapées où je me rendais compte que finalement, j’avais de la chance de l’avoir. 
Beaucoup de personnes ne respectent pas les personnes handicapées, ou se permettent de les juger en leur disant que ce n’est rien, qu’ils n’ont rien. Cela me mettait hors de moi qu'on ne respecte pas son handicap, même quand on présentait sa carte handicapée, elle ne disait rien, au contraire, elle nous demandait d'arrêter de nous battre, parce qu'elle avait honte. Elle voulait qu’on se taise. Une personne handicapée a des droits. Des droits que beaucoup bafouent (big up à ce prof de physique chimie qui lui a carrément refusé un tiers-temps lors d'un contrôle parce que cela ne l'arrangeait pas et qui a envoyé chier mes parents lorsqu'ils le lui ont fait remarquer).
Être handicapé, c'est un combat de tous les jours. Parce que les trottoirs ne sont pas adaptés, parce que les escaliers ne sont pas adaptés. RIEN n'est adapté. On ne le voit même pas lorsqu'on est pas concerné. On le voit lorsqu'on a à nos côtés une personne qui trébuche à cause d'un trottoir inégal, qui ne peut même pas descendre d'un trottoir parce qu'il est trop haut. Une personne qui a besoin de s’accrocher à nous à cause d’une pente, d’une montée que seule, elle ne pourrait pas franchir. 
Malgré son manque de confiance en elle qui l'a rongée littéralement, elle a réussi à avoir son bac. Elle a pleuré ce jour-là. Je trouvais cela stupide qu'elle pleure, parce que je n'avais pas réalisé à quel point elle avait eu peur de ne pas l'avoir, justement à cause de ce manque de confiance en elle.
Ensuite, les choses ont changés. Physiquement. Elle faisait de plus en plus d'entorses à la cheville, la même, en permanence. Pendant des années, elle avait porté des semelles spéciales. Elle avait détesté ça. Mais elle l'avait fait parce qu'elle n'avais pas le choix, parce que c'était le seul moyen pour elle que la situation ne se dégrade pas.
Les médecins lui ont proposés de l'opérer pour lui redresser les pieds (ils rentraient vers l'intérieur). Elle a refusé malgré la promesse que sa marche serait plus facile à l'avenir. Cela ne prendrait que six mois. Le reste de notre famille avons fait le forcing. Fini les entorses, fini le boitillement. Elle a fini par accepter.
TW warning : opérations, hôpital, détails des opérations. 
Elle a donc été opérée avant son entrée en L2 d'anglais. Les médecins lui ont coupés les deux fémurs, les deux tibias pour lui mettre des plaques et des vis. L'opération a duré plusieurs heures. C'est à ce moment-là dans notre vie, que j'ai pris conscience de mes actes par le passé, de combien j'avais été bête. A ce moment-là que j'ai pu apercevoir la souffrance qu'elle avait du ressentir, la souffrance qu'elle avait exprimée par son comportement.
Lorsqu'elle s'est réveillée de l'opération, en plus de la douleur physique, on a découvert qu'elle était allergique à la morphine, ce qui causait d'autant plus de vomissement. Et puis, pour elle, l'opération c'était être alitée, incapable de se lever pour se lever ou aller aux toilettes. Pour une jeune femme de 19 ans, c'était un coup porté à sa féminité, à son estime. 
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Ma sœur mettra deux ans, ou trois à voir les améliorations de cette opération. Pas six mois comme on lui avait promis. Elle restera un an dans un centre de rééducation, suivant des cours à distance. Six mois après sa première opération, un de ses os cicatrisant mal on devra lui faire subir la même opération à nouveau, hospitalisation, immobilisation et la douleur, encore. Et échec scolaire. 
Je me souviens des premiers mois, si durs. Des premiers retour à la maison. J'ai retrouvé cette sœur que je n'aimais pas, celle qui faisait des crises à la moindre contrariété. Celle qui pleurait, faisait pleurer nos parents. Mais cette fois-ci, elle a fait une dépression. Elle ne voulait plus vivre, plus se battre. Des anti-dépresseurs ont aidés mais c'est véritablement les années qui vont passer qui vont l'apaiser, tandis qu'elle va reprendre peu à peu possession de son corps.
Elle a regretté l'opération au début, tandis qu'elle réapprenait à marcher. Mais au final, elle a été bénéfique malgré le temps. Elle marche presque droit, ses pieds sont droits, fini les entorses. Mais la voir tout réapprendre à faire a été dur. On se sent si... incapables, impuissants. 
La seule chose qu'on peut faire, c'est rester à côté, lui tenir la main, le bras. Lui faire savoir qu'on est là, si jamais. Toujours. 
Le coup fatal viendra de la MDPH (Maison Départementales des Personnes Handicapées). Les personnes handicapées doivent renouveler leurs cartes tous les ans, remonter un dossier etc etc... Une année donc, le médecin s'occupant du dossier de ma sœur a décidé que, ma sœur n'était plus handicapée parce qu'elle avait été opérée. Quid de l'hémorragie cérébrale ? Quid du fait que sa motricité n'est quand même pas la même qu'une personne non handicapée ? Ses jambes ne sont pas les seules touchés, ses mains aussi, ses doigts. Ses pieds ont juste été redressés pour lui faciliter la marche.
Malgré les recours, rien n'a abouti. Mes parents ont décidés de se battre, comme ils l'ont toujours fait, sont allés jusqu'au procès. Nous avons dû témoigner sur notre honneur, que ce que nous racontions n’était pas un mensonge, qu’elle était bien handicapée et que malgré son opération, elle serait toujours incapable de faire des choses comme du ski, de la danse etc... Qu’elle aurait toujours plus de difficulté pour se déplacer, faire ses courses. Nous avons été écoutés, mais pas entendus. Ma sœur n'est plus reconnue comme une personne handicapée depuis lors. Suite au procès on a juste daigné lui accorder une carte coupe-file et une carte pour se garer sur les places prioritaires. C'est une honte. L’État français ne la considère plus comme une personne handicapée mais pourtant, elle doit quand même faire face à la discrimination tous les jours. Lorsqu'elle recherche du travail, on refuse de l'employer, si certains disent que son profil ne convient pas, d'autres (bonjour Sephora sur une avenue très célèbres de Paris dont on ne citera pas le nom) lui ont carrément dit qu'à cause de son handicap ils ne la prendraient pas. C'est non seulement illégal, mais d'une violence inouïe pour une femme qui se bat en permanence contre tout le monde.
Le handicap n'est pas un sujet de blague. Le handicap est une différence, mais les personnes handicapées n'ont pas besoin de s'entendre dire qu'elles sont différentes (vous ne savez pas quel est leur état mental, ni ce que cette phrase, si anodine en apparence, peut vouloir dire pour eux), nous sommes tous différents, nous sommes tous des êtres humains. Pas besoin de le faire remarquer à une personne en particulier c'est vexant et blessant.
Le handicap est perçu comme un tabou, une honte. Les personnes handicapées n'ont pas besoin de ça, certains ont déjà bien trop honte d'être un poids, un boulet pour leur famille et leurs proches, ils n'ont pas besoin que tout le monde autour d'eux le leur rappelle. Ils ne sont pas des poids, ni des boulets, c'est juste que la société n'est pas adaptée, et qu'il faut que cela change. Que les mentalités changent.
Ma sœur est la personne la plus courageuse que je connaisse, parce que malgré sa souffrance, les douleurs physiques et sans doute mentales qu'on lui a infligées, malgré les bas, elle a réussi à faire face. Elle a réussi à se construire une vie, avec beaucoup de détours parce qu'on lui a barré la route beaucoup de fois. Mais elle a réussi. Je pense qu’à ce jour encore, son combat n’est pas fini mais elle est en bonne voie pour s’accepter pleinement. De toute façon, ce n’est pas comme si elle avait le choix. 
Je suis fière d’elle, malgré tout ce qu’il y a eu entre nous. Fière qu’elle soit ma sœur parce qu’elle est forte, courageuse, déterminée. Sa vie, son combat, c’est un modèle, un exemple, malgré ce qu’elle a enduré, malgré les moments de faiblesse et de doute, elle n’a pas lâché. La route sera encore longue pour elle, mais ces derniers temps, elle commence à parler, parce qu’elle en a assez de se taire, et parler lui fait du bien, tout comme il permet de faire connaître sa vie quotidienne, son combat quotidien. 
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girly-mess · 3 years
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{ Billet d'humeur #14 }
When my overthinking habits strike again...
          La nuit dernière, j’ai encore laissé mon cerveau vadrouiller jusqu’à l’aube. Impossible de fermer l’oeil tellement mon esprit était bloqué sur tout ce que j’aurais aimé pouvoir verbaliser.
          Souvent, quand je suis seule, je me mets à avoir des conversations entières avec moi-même, comme si je parlais à une pote. Que dis-je... Des monologues plutôt. Je pense que n’importe qui me prendrait pour une tarée si on me voyait faire. Je ne sais pas si je suis la seule... Par exemple, il y a quelques semaines, je profitais du bain de soleil que m’offrait ma petite baie vitrée, depuis mon canapé, et je me suis surprise en train de parler à voix haute sur ce qui me préoccupait dernièrement, comme si j’avais quelqu’un en face de moi. Alors qu’il y avait absolument PER-SONNE, juste moi. Et je me rappelle m’être dit “Putain, heureusement que je n’ai pas de vis-à-vis dans mon appart. Sinon mes voisins d’immeuble me prendraient pour une folle !”. Surtout que je n’avais pas d’écouteurs dans mes oreilles, la TV était éteinte et je parlais en fixant le mur... De loin, on pourrait penser que je parle à un fantôme. 
          Mais bref, my point is... ce sont les seuls moments où je verbalise mes pensées. Le reste du temps, quand je ne prends pas le temps d’écrire ce qui me préoccupe noir sur blanc, je garde tout pour moi. Rares sont les gens avec qui je partage l’étendue de mes cogitations cérébrales. Pourquoi ? Tout simplement parce que ce serait des heures et des heures de monologue si je devais détailler tout ce qui me traverse l’esprit. Et je ne veux pas être égocentrique au point de monopoliser toute la conversation, lorsque je passe du temps avec mon entourage. Et puis, j’aurai l’impression de les faire chier avec mes questionnements et ma prise de recul constante. Si je passe mon temps à refléter sur mon passé pour tenter de comprendre toute la psychologie qui s’y cachait et toutes les leçons à en découler, c’est mon problème. Et je ne peux que comprendre que ça puisse être barbant et rébarbatif pour mes proches. Donc je me retiens de les emmerder avec le contenu de mes introspections régulières.
            La nuit dernière, la raison de mon insomnie se prénomme H. Yeap... Le dernier mec en date qui obnubile mes pensées. Laissez-moi vous décortiquer tout ce qui s’est passé dans mon cerveau on fire, all night long, au point où j’ai à nouveau fondu en larmes, laissant ainsi mes insécurités prendre le dessus. Again. J’y reviens dans un instant, vous allez comprendre. Il ne m’a absolument rien fait de mal et il ne se doute pas une seule seconde de la tornade qui a lieu dans mon esprit depuis que je l’ai rencontré. Enfin, du moins, je ne crois pas qu’il sache. Vraiment, je n’ai pas grand chose à lui reprocher. It’s just all in my head. 
          Comme je l’avais mentionné dans le post précédent, depuis que je l’ai rencontré en Juin dernier, nos dates ont toujours été supers et plus je passe de temps avec lui à discuter, plus il me plaît et suscite mon intérêt. Mais le fait est que... Une fois rentrée chez moi et seule avec moi-même, je me pose 3000 questions en même temps and everything gets entangled & messy in my head. Et je ne sais pas si c’est mauvais signe qu’il déclenche ça chez moi ou si c’est juste me and my overthinking ways qui font de l’auto-sabotage. J’ai pourtant l’habitude d’être une overthinker, mais ça faisait longtemps que je n’avais pas fini en larmes à force de tout questionner au beau milieu de la nuit. Surtout que ces derniers temps, ça m’arrive beaucoup plus fréquemment de m’endormir sur un oreiller trempé au petit matin. Alors je commence sérieusement à me demander si ce sont mes traumas émotionnels, ma peur du rejet et mes insécurités qui reviennent à la surface, pour m’empêcher de foncer tête baissée dans une potentielle relation avec lui, en essayant de me convaincre qu’il va juste sortir de ma vie aussi vite qu’il est rentré, parce que je risque d’être too much to handle pour lui, emotionally speaking. Ou si ce sont mes tripes qui tentent de me faire comprendre qu’il n’est pas le mec que je recherche et qu’il ne me correspond pas tant que ça. 
            Pourtant, à chaque fois qu’on se fait un nouveau date, tout se passait très bien. Je ne remettais jamais en question son intérêt et son attirance pour moi. On discutait de tout et de rien, avec aisance, on se dévoilait progressivement l’un à l’autre, et on se rapprochait physiquement aussi. Sans pour autant avoir échangé la moindre salive ni fluide, if you know what I mean. C’est pas faute d’en avoir exprimé l’envie, ceci dit. Surtout lui, en tout cas. Mais je sais pertinemment que si on franchit ces caps-là - avant même qu’il ait réglé des choses importantes de sa vie, qu’il se doit de régler s’il veut pouvoir avancer l’esprit libre de tout obstacle - I will be f*ckin’ hooked. Je parlais d’ocytocine et d’endorphines dans mon billet précédent, et bah... C’est exactement ça, le problème ! Déjà que je suis pas mal attaché à ce mec à cause des rapprochements physiques qu’il y a eu, alors si je devais l’embrasser un nombre incalculable de fois et coucher avec... Vous imaginez un peu le taux produit d’endorphines et d’ocytocine après ça, sérieux ?! De quoi tomber irrémédiablement amoureuse... Et vous imaginez si le sexe est OUF, en plus ?!!! Je fais comment après, pour rester détachée et ne pas trop m’emballer, hein ?!
          Ok, ok, je me calme. 
          Je disais donc... qu’à chaque nouveau rencard et même quand on ne faisait que s’échanger une tonne de messages entre 2 dates, les choses allaient comme sur des roulettes. Son langage corporel, son incapacité à garder très longtemps ses mains loin de moi, sa façon très directe de me dire à plusieurs reprises qu’il avait envie de m’embrasser, son respect des boundaries ( mon dieu, qu’est-ce que c’est sexy, un mec qui attend ton consentement pour passer à l’étape supérieure ! Rien que quand il me disait qu’il n’allait pas tenter de m’embrasser tout en me faisant un câlin, ça me donnait envie de l’attraper par la bouche... ), tout chez lui me montrait que je n’avais pas à m’inquiéter de ce qu’il pouvait bien ressentir pour moi. Mais c’était sans compter mon cerveau qui adore venir casser l’ambiance, pour tout remettre en question. Et c’est ce qui s’est encore passé, la nuit dernière...
            Pour vous re-situer le contexte, en ce moment-même, H. et moi, on s’est instauré un silence radio pour le reste de l’été pour qu’il puisse vivre sa vie de son côté et profiter pleinement de son célibat, sans que je sois là pour le distraire et l’empêcher de faire son introspection tranquille. Et l’idée, c’est de se faire un check-up d’ici Septembre, pour voir où il en est. Sauf que mon cerveau se régale de cette information pour me torturer et me glisser à l’esprit qu’en un seul mois, il aura jamais le temps de réfléchir à tout et d’effectuer les changements qu’il souhaite. Et, par conséquent, qu’il va avoir besoin de beaucoup plus de temps que ça, ce qui est largement prévisible et compréhensible. Mais entre temps, c’est moi qui vais me retrouver à devoir prendre mon mal en patience, avec un gros sentiment de vide dans la poitrine, puisque - je le rappelle - mon attachement envers lui est déjà bien présent. Le manque se fait, d’ailleurs, atrocement ressentir, à l’instant même où j’écris ces paragraphes.  
            Cette petite voix que j’ai dans la tête - qui est ma propre voix, hein - ne cesse de me répéter en boucle toutes les éventualités possibles. Comme par exemple, qu’il va fuir quand il réalisera à quel point je suis endommagée comme meuf et que je vais avoir besoin qu’il me rassure régulièrement, qu’il me montre régulièrement que je l’intéresse toujours. Ou encore, qu’il va se rendre compte que s’il a autant fait traîner la situation avec son ex, c’est parce qu’il espère secrètement se remettre avec elle, pour ne pas avoir à considérer leur relation de plus d’une décennie comme un bel échec. Après tout, il suffit que l’un des deux soit prêt à convaincre l’autre de réessayer, non ? Ou même qu’il s’intéresse à moi uniquement parce qu'il est attiré physiquement et sexuellement, mais qu’une fois qu’il aurait eu ce que je me refuse de lui donner pour l’instant, il finirait par se lasser très vite. Dans la même veine, j’ai aussi pensé au fait que je puisse être qu’une relation-pansement à ses yeux, mais sans qu’il s’en rende compte encore. C’est à dire que pour le moment, il a l’air hyper emballé et sur le même niveau d’intérêt que moi, mais dans quelques mois, ça va se dissiper jusqu’à ce qu’il finisse par m’annoncer qu’il a passé de supers moments avec moi mais qu’il a finalement vraiment besoin d’être seul. Ou pire, me ghoster. Quoique... C’est pas trop son genre de faire ça, je pense, mais sait-on jamais. 
            Cela dit... Et si c’était moi qui m’étais emballée trop vite ? Et si c’était ma dépendance affective qui me faisait croire à tort que H. m’intéresse vraiment, alors qu’au final, je ne le connais encore que très peu et qu’il n’est peut-être pas exactement ce que je recherche ? Je sais pourtant déjà qu’à première vue, en plus de se plaire, on est compatible sur certains points. Et ça, c’est important à déterminer. Le feeling, l’alchimie, les sentiments, c’est bien beau... mais c’est pas suffisant pour faire durer une relation sérieuse. Il faut que les 2 personnes soient prêtes à s’investir pleinement dans la relation, à faire des efforts, à communiquer régulièrement et à entretenir la flamme. Il faut aussi que les lifestyles s’accordent, que les besoins essentiels de chacun soient satisfaits et qu’ils cherchent à aller dans la même direction. Exemple tout bête mais courant : Si l’un des deux est anti-mariage et/ou ne veut pas du tout d’enfants, mais que l’autre oui, il n’y aura pas de compromis qui tienne. Et ce n’est certainement pas en mettant la pression à l’autre, ou en espérant que l’autre change d’avis que la relation va perdurer. Et ça, même si les 2 personnes s’aiment profondément. Ce sont des éléments trop importants pour l’avenir du couple et c’est le genre d’informations qu’on ne peut pas ignorer indéfiniment. Une telle divergence signe l’arrêt de mort de la relation, en général, à mes yeux. A moins que l’un des deux soit réellement prêt à sacrifier ses envies, but it wouldn’t be fair to do so. Et quand bien même, la personne qui se sacrifie va être malheureuse et va développer de la rancoeur au fil du temps. 
            Bref, tout ça pour dire que dans tous les cas, même si j’arrive à faire taire mon cerveau pour m’empêcher de m’auto-saboter, j’ai énormément de choses à découvrir sur H. pour être certaine qu’on soit vraiment compatible et qu’on peut se lancer l’esprit tranquille dans une nouvelle relation sérieuse. Du moins, s’il veut bien de moi...
            Parce que OUI, par expérience, je m’attends encore à ce qu’il se barre de ma vie du jour au lendemain, dès qu’il saura ce que je commence à ressentir pour lui. A chaque fois que je me suis attachée émotionnellement à quelqu’un, je m’en suis mordue les doigts. Et j’ai bien peur que ça se reproduise... J’ai déjà l’habitude de voir ma piscine d’amour entièrement vide, entre mes parents qui sont emotionally closed-off et qui ne savent pas exprimer la moindre affection à leurs enfants - car eux-même ont eu des parents partisans du tough love - et ma vie sentimentale qui a toujours été laborieuse ( pour ne pas dire déséquilibrée et à sens unique ), alors pourquoi est-ce que ça changerait maintenant ? 
          Je lis et j’entends partout qu’avant de laisser quelqu’un t’aimer correctement, il faut d’abord s’aimer soi. Et à l’heure actuelle, je ne m’aime pas encore totalement. J’y arrive doucement. Je remarque de plus en plus que j’aime bien mon reflet dans le miroir, que je me trouve mignonne, sexy même parfois, que je me sens un peu moins complexée par ma graisse abdominale. Et ça fait un bien fou quand j’ai de telles pensées positives au sujet de mon corps ! C’est déjà un bon progrès par rapport à avant, où je ne me sentais jamais assez bien. So keep it up, girl ! You can do it.
            Pour revenir au sujet principal : Je ne sais pas pourquoi j’anticipe toujours le pire qui puisse arriver. Si ça se trouve, ce que je ressens et mon attachement pour lui est complètement réciproque. Si ça se trouve, je me suis triturée l’esprit pour rien durant tout ce temps et tout va se décanter tranquillement, jusqu’à me retrouver dans la relation saine, stable, aimante et passionnée que j’attendais tant. Si ça se trouve, peu importe ce que je vais lui dévoiler sur moi, ça ne lui donnera jamais envie de prendre ses jambes à son cou et il m’acceptera telle que je suis, au même titre que moi, je suis prête à l’accepter comme il est, avec ses défauts que j’ai étrangement hâte de découvrir ( mdr ) tellement le mec me paraît proche de la perfection. 
            Mais encore une fois, je suis de nature pessimiste donc je prévois souvent tout ce qui peut mal tourner, dans une vaine tentative de réduire les dégâts, sauf que ça ne fonctionne jamais puisque jusqu’ici, j’ai toujours fini avec le coeur complètement en miettes. J’ai dû ensuite galérer à recoller les morceaux et j’aimerais bien ne pas sentir à nouveau mon coeur se briser à l’intérieur de ma poitrine, c’est pourquoi je fais mon maximum pour ralentir l’évolution de ce rapprochement avec H. Taking it real slow, you know ? J’essaye vraiment de respecter les règles que je me suis fixée pour ne pas tomber follement amoureuse de ce mec. Which means... No kissing and no sex until further notice. Mais la vérité, c’est que... je suis déjà bien dans la merde, même sans ça. Plus on me prive de quelque chose, plus j’en ai besoin et je m’y accroche... That’s what we call a craving. I got so used to the lack of affection and love my entire life, that every time someone shows me a little bit of it and then suddenly stops supplying me, I go mad and crave it like an addict or something. Almost like an extremely-hungry vampire who cannot stop siphoning blood from someone’s neck. Drôle d’exemple, je sais.
            M’enfin, bon... Vous avez déjà un bel aperçu de tout le bordel qui se passe dans ma tête quand mes pensées se mettent à vagabonder dans tous les coins la nuit. Et ce sont les pensées les plus négatives qui me font toujours chialer, au bout d’un moment, jusqu’à ce que la fontaine soit à court d’eau. J’ai conscience que j’ai beaucoup de traumas émotionnels à soigner, peut-être devrais-je sérieusement penser à voir un.e psy si je veux régler ça plus rapidement... J’en ai pas envie, mais peut-être que c’est la prochaine étape à franchir pour aller de mieux en mieux ? Who knows ? Mais à défaut de se résoudre à aller voir un.e psy, j’aimerais bien juste avoir un flip switch pour éteindre mon cerveau, de temps en temps, quand même...
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