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#marc et marie
tina-chou-17 · 6 months
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Coucou
Hey bonjour tout le monde,
non je ne suis pas morte, je suis toujours là, mais avec bcp moins de temps.
voici une petite liste de manga anciens (avant 2000) à regarder.
Marc et Marie
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Planète Jeunesse - Marc et Marie (planete-jeunesse.com)
Ranma 1/2
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Ranma ½ (nautiljon.com)
Sakura Chasseuse de Cartes
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Card Captor Sakura (nautiljon.com)
Argai
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Argaï, la prophétie | Wiki Doublage francophone | Fandom
Juliette je t'aime
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Juliette je t'aime | Wiki Encyclopedia Anime | Fandom
Max et Co
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Max et compagnie (série) : Saisons, Episodes, Acteurs, Actualités (ecranlarge.com)
Signé Cat's eyes
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Cat's Eyes - Série | MYTF1
Papyrus
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Papyrus - Série TV 1997 - AlloCiné (allocine.fr)
Saiyuki
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Saiyuki (manga) - Wikipedia
Yu-Gi-Oh
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Yu-Gi-Oh! | Netflix
Les malheurs de Sophie
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A regarder sur youtube, il y a aussi des compilations
Sailor Moon
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Même si la série est hyper longue, il y a sans doute quelque part une série Kai
Où regarder la série Sailor Moon en streaming (justwatch.com)
Hunter X Hunter
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La première série vaut encore le détour. Publié sur Youtube, je ne sais pas si elle y est encore.
Princesse Sissi
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(1) 01 Sissi n'en fait qu'à sa tête - YouTube
Sophie et Virginie
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(1) Sophie et Virginie - Episode 27 - Une réunion de famille - YouTube
Les misérables
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(1) Les Misérables - Épisode 1 - L'auberge des Thénardier (1992) - YouTube
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ltwilliammowett · 6 months
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Medal commemorating the recovery of the sunken treasure ship by Treileben, 1660
In 1660, the famous Swedish engineer, Lieutenant-Colonel Hans Albrekt von Treileben, was commissioned by Marcelis van der Goes to recover what could be from the ship of Captain Waterdrinker which sank on October 8, 1659. The Dutch vessel was then in road from Cadiz to Vlissingen. She rolled on a sandbank off the coast of Zeeland near Westkapelle and sank in a few minutes taking with her 30 tonnes of silver, 200,000 silver coins, diamonds, pearls and a white marble horse with a saddle of gold… Treileben's invention consisting of a diving bell and a system of large grippers enabled him to save so much of the cargo that van der Goes decided to make this rare silver medal to commemorate the event.
Obverse: Boats with men on board raising a sunken wreck, distant view of West-Kapelle. Above, the arms of Marelis van der Goes with a ribbon inscribed in Latin: "SOLI DEO HONOR[EM] / M[ARCELLUS].V[AN DER]. GOES / ET GLORIA[M]".
(MARCELIS VAN DER GOES TO GOD ALONE THE HONOUR AND GLORY)
Below, the arms of Zeeland with a mermaid and a triton
Reverse: The Latin inscription: "In memoriam rei / Quâ arte admirandâ / priorumque sæculorum cogitata / superante, prope Valachros in ple-/-no ac æstuanti mari, sub auspiciis / Senatus Zelandici, ac procurante / Marcel[lo] Goesio, e navi submersâ ac / disruptâ, profundumque sub arenis la-/-titante immensa argenti, tum rudis / tum signati, vis, gemmæ plures, ac / tormenta bellica, subducta, ser- / -vata ac veteribus dominis / ex jure restituta sunt. /1660."
(A memorial of the admirable art surpassing the inventions of previous centuries by which under the auspices of the deputy councillors of Zeeland and the direction of Marcelis van der Goes, a great quantity of silver, coined and uncoined, precious stones and pieces of artillery have been raised up off Walcheren from a ship lost, destroyed and sunk in the sands, and have been returned to their proper owners. 1660)
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homomenhommes · 17 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 166
Cela faisait déjà quelque semaines que Xavier m'avait demandé de passer chez eux. Je savais qu'ils m'attendaient avec un cadeaux.
Nous finissons par trouver un soir alors que Marc est en déplacement.
Quand j'arrive Laure est encore seule. Bisou avec la langue. Collée contre moi, je la sens chaude. Je le lui dis. Elle m'avoue que quand elle sait que je viens, ça l'excite. ;L'idée de se faire prendre en même temps des deux cotés (cul et chatte) et même de voir son mec me sodomiser, ça l'excite un max.
Je passe ma main entre ses cuisses et je la retire trempée, elle n'a pas mis de culotte ! Sa main à elle est venue se plaquer sur mes jeans et masse la déformation du tissus que ma bite provoque vers la gauche. Je calme le jeu en attendant son mari.
Heureusement il ne tarde pas. Il vient directement me rouler un patin et enfile un doigt dans sa femme qui nous colle. Ils sont chauds tous les deux et nous passons directement au sexe ! Xavier nous emmène à sa salle de muscu et à poils nous commençons la partie de plaisir.
Comme à chaque fois nous débutons par Laure. Elle se laisse envahir par nos sexes. Bouche, chatte et anus nous voient passer plusieurs fois. Elle n'a maintenant plus de difficultés à se prendre les 26cm x 6,5 dans ses trous. Cela me vaut à chaque fin de séance un remerciement particulier.
Grâce à l'action conjuguée de nos bites et nos langues, nous la faisons jouir deux fois. Premier tableau : je la prends par derrière alors qu'elle chevauche son mari. Je m'introduis dans son cul alors qu'elle est toujours planté sur Xavier. C'est divin ! je sens au travers de ses muqueuses l'autre bite qui occupe son vagin. Quand Xavier reprend ses va et vient, nos glands se frottent l'un contre l'autre et nous sentons bien le passage de nos couronnes. Je dois me distraire un peu si je ne veux pas jouir aussitôt. Je me calme au moment où elle à son premier orgasme, sinon les compressions de ses muscles vaginaux m'achèveraient.
Deuxième tableau : inversion des rôles, je suis dans sa chatte, compressé par la queue de son mec en train de la sodomiser. Là, je ne crains pas de partir trop vite, je suis moins serré que dans son cul.
troisième tableau : Xavier délaisse sa femme, je prend sa place dans son cul. J'y suis quelques instants un peu au large, le temps que l'anneau se resserre sur ma queue. Je le sens venir dans mon dos. Je devine ce qui m'attend, sa grosse bite dans mon trou ! Il sait que je ne suis pas un coutumier de ses dimensions et commence par me bouffer l'oignon. Sa langue fait merveille, je m'ouvre et le sens la rentrer d'au moins un cm. Faut dire qu'il est habitué à manger la chatte et le cul de sa meuf. Après sa langue, il y va de ses doigts plein de gel et ne cesse que quand il en fait coulisser 3 sans résistance. Même ainsi je me sature en poppers ! Les 6,5cm de diamètre, plus encore que les 26 de long posent problème dans les premières minutes, bon après c'est bien sûr les 26cm qui ont un peu de mal à se frayer un passage ! Je me plante bien dans le cul de Laure et attend l'assaut de son mec. Alors que j'ai encore la tête bouillante (et le trou ramolli) par le poppers, il présente son gland sur ma rondelle. Excité, je veux en finir vite et recule sec. Son gland volumineux me pénètre. Je sens mon sphincter se refermer derrière la couronne. Xavier me prend alors par les hanches et pousse son bassin. Mm par mm, il fait entrer les 26cm de sa grosse pine. Je ne débande pas dans le trou de Laure. Je prend un plaisir fou à me faire écraser la prostate par son mandrin. Une fois au fond de mon cul, nous restons quelques instants sans bouger, tous les trois à écouter les sensations provoquées par le partenaire. Il recule me retenant contre son bassin jusqu'à ce que seul mon gland reste dans sa femme. Là, il me relâche et me dit d'y aller. Je vais passer comme cela un bon moment à coulisser dans le trou de sa meuf alors que le pieu de son mec me perfore l'anus. Je me plante au fond du cul de Laure, ça me libère l'anus. Je recule et m'enfonce le sexe de Xavier alors que la pression sur ma bite disparaît. Je ne jouis que quand, trop excité, Xavier me maintient planté dans sa femme et qu'il me laboure à fond. Je ne peux plus me retenir et explose. J'arrive à bloquer les mouvements de piston de Xavier et ça le fait juter à son tour. Je suis anéanti ! Xavier trouve encore la force de titiller de ses doigts le clito de madame et de lui tirer un troisième orgasme. Etalés sur le sol nous mettons 1/2 heure à récupérer.
Quand nous nous relevons, je boxe par jeux les pecs de Xavier en lui disant qu'il me ruine l'anus à chaque fois qu'il y passe. Il me répond que je ne dois pas détester cela car j'y revient régulièrement (ok, j'aime bien et aussi l'enveloppe qui va avec). Comme ils m'invitent à diner, je préviens Samir que je ne renterais pas très tôt. Nous mangeons très bien dans un restaurant 2* Michelin et au dessert, Xavier me tend un boite cubique noire. J'avais oublié qu'ils voulaient m'offrir un cadeaux pour les avoir " décoincé " de leur misère sexuelle. J'ouvre et trouve une montre super originale à une seule aiguille, Suisse bien sûr, la montre pas l'aiguille !
Je détache ma Tag-Heuer Monaco de tous les jours et la remplace par leur montre. Grand cadran noir, rond, qui virilise le poignet qui le porte. Très sobre elle est d'un chic fou, bien moins ostentatoire que le premier cadeau d'Emma (avec ses diamants roses), Je me lève et au risque de choquer les " bien pensants " embrasse Laure sur la bouche ainsi que Xavier.
Quelques jours plus tard, j'ai reçu un coup de fil de Daniel (mon vendeur Suzuki). On papote quelques instants sur le taf : vente et son taf : Escort. Il me dit qu'il commence à ne plus avoir de complexes rapport à sa culture et qu'il apprécie de plus en plus son " client ". Il me dit que bien qu'il ait été en combi moto ou à cause de cela, son " client " l'a emmené dernièrement dans un grand restaurant où son accoutrement faisait vraiment tâche ! Je lui demande si cela l'avait gêné. Il me dit que finalement il n'en n'avait rien eu à faire. Il avait même noté chez les serveurs, une certaine connivence. En attendant, ils avaient passé un bon moment, son " patron " s'amusant même des regards réprobateurs qui provenaient des tables voisines. Coté sexe, ça le fait bien aussi. Comme ils sont tous les deux recto/verso, il n'y a pas de manque (contrairement à Kev et son Boss). Je lui demande quand il pourra passer avec Cédric et nous tombons d'accord pour le WE qui suit, Marc sera présent. Il aime trop les ptits mecs pour que je le prive d'une baise avec Cédric.
Ils arrivent dès le vendredi soir (même si ils travaillent le samedi matin pour Cédric et toute la journée pour Daniel). J'irai d'ailleurs le chercher à midi (Cédric).
Nous les débarrassons de leurs combi moto, ils restent en shorty et t-shirt. Cédric est très à l'aise et saute alors dans les bras de Marc pour lui rouler un patin, pendu à son cou, les jambes autour de sa taille. Comme il ne veut pas en descendre, Marc le porte jusqu'au salon. Nous les suivons en échangeant les dernières nouvelles et les retrouvons Marc dans un canapé et Cédric en train de glisser le long des ses jambes. Quand il est à genoux, il lui écarte les cuisses et s'occupe à défaire les boutons du Jeans. Nous le regardons faire et j'appelle Ammed pour qu'il nous serve l'apéro.
Il n'a pas fallu beaucoup de temps à Cédric pour arriver à ses fin et qu'il libère le sexe de Marc. Il ne reste pas à l'air libre très longtemps et se retrouve couvert par la bouche vorace de Cédric. Je fais attention et je m'aperçois qu'il réussit à le manger en entier. J'en discute avec Daniel qui me confirme que tous les jours il lui fait la gorge pour qu'il s'entraine et maîtrise les réflexes associés au passage de la glotte. Je le félicite car le résultat est là. Marc apprécie les progrès. Devant tant de bonne volonté, il prend la tête de Cédric entre ses mains et gère le pompage de sa bite. Entre autre il teste la capacité respiratoire de son suceur en maintenant progressivement de plus en plus longtemps son gland au fond de sa gorge. Ce n'est pas Ric mais il arrive à tenir un bon moment sans respirer. Sans ôter la bite de Marc de sa bouche, il se défait de son shorty et de ses chaussettes et passe de la position sur les genoux à 4 pattes, nous présentant son petit cul étroit, véritable appel au viol. Marc nous demande de bouger et de lui préparer le cul. En vitesse nous nous mettons aussi à poil et commençons à lui travailler le trou. Bien souple, peu être un peu plus que dans mon souvenir. Daniel me rassure et me dit qu'il a été obligé de le sauter à midi, tellement il (Cédric) était excité de passer son premier WE chez nous.
Je passe en premier et Kpoté enfonce mes 20cm dans son cul. Bâillonné par la queue de Marc, il ne peut manifester. Je le prends par les hanches et le lime sèchement. A chaque fois que je suis au fond de son cul, je pousse encore pour qu'il s'enfonce la queue de Marc jusqu'à ce que son front butte sur les abdos. Il arrive a se dégager de Marc juste le temps de nous déclarer que c'est trop bon et de reprendre sa pipe là où il l'avait laissée. C'est vraiment adorable autant de bonne volonté ! Je vais pour céder ma placer à Daniel mais il me dit de continuer, lui a le privilège de l'enculer tous les jours. Il se place dans mon dos et glisse sa bite entre mes cuisses, son gland me caressant les couilles. Je lui dis de mettre une kpote et j'ai juste le temps de me mettre un peu de gel qu'il se présente à mon passage arrière et défonce la porte. Bon, très bon même ! Se faire enculer alors que soi même on est en train de faire la même chose c'est divin. Marc ne tient plus, il repousse Cédric et le prend par les épaules pour le relever. Je me retrouve la nouille à l'air ! Il se rassoit dans le canapé, se kpote et demande à Cédric de s'assoir sur sa bite en lui tournant le dos. Une fois Cédric bien planté dessus, il bascule en avant et le met à 4 pattes devant moi. J'ai juste à prendre sa tête entre mes mains pour lui indiquer le chemin de ma queue (dkpotée).
Photo : Daniel m'encule alors que je me fais sucer par Cédric lui même enculé par mon mec qui en se penchant un peu vient me rouler un patin. Trop bon cette situation ! Cédric s'applique à me sucer et à m'avaler le gland, même si les coups de rein de Marc désordonnent, de temps en temps, le rythme.
Marc, à force de taper dans sa prostate, fait jouir Cédric. Après ça part en cascade. Marc se verrouille au fond du cul de Cédric et large la sauce dans sa kpote, ce faisant il pousse Cédric à me manger entier et je ne peux me retenir et je lui envoi mon apéritif maison direct dans l'estomac. Il se recule juste pour accueillir ma dernière giclée dans sa bouche et la garder pour en tartiner mon gland avec sa langue. Mes éjaculation se sont accompagnées d'autant de contractions anales et le massage de celles ci sur la bite de Daniel qui était dedans l'a fait exploser. En ressortant brusquement, il a réussi à m'en foutre plein le dos.
Le dos essuyé avec sollicitude par Ammed, j'attends que nous ayons tous repris nos souffle pour proposer un douche.
Sous les jets d'eau, nous nous mettons à trois pour laver Cédric. Pas un mm² de sa peau ne nous aura échappé. Puis c'est le tour de Daniel, moi et nous finissons par Marc. Il avait eu le temps de recharger les batteries et nous a présenté ses 22cm raide au rinçage. Comme nous ne pouvions le laisser dans cet état pour le dîner, J'ai poussé sur la tête de Cédric et ce dernier, sans se faire prier, l'a gratifié d'une bonne pipe. Cette vue m'a fait bander à mon tour et Daniel, sans que je lui demande, s'est agenouillé à coté de Cédric et me sucer aussi.
Photo : Marc et moi, debout, épaule contre épaule, le dos en appui sur le carrelage de la douche avec entre nos pieds Daniel et Cédric à genoux en train de téter nos bites.
Marc à juté le premier sur les épaules de Cédric. Libéré, ce dernier s'est couché sur le carrelage pour sucer Daniel. Le ballet de sa langue sur mon gland et ma hampe a eu raison de ma résistance et j'ai, à mon tour, éjecté mon sperme sur ses épaules et le dos de Cédric. Peu de temps après ce dernier avalait la production de Daniel. Nous nous sommes mis à trois pour faire jouir Cédric. Coincé dans les bras de Marc, je l'ai sucer jusqu'à l'os pendant que Daniel lui bouffait les tétons. Il n'a pas fallut 5 minutes pour qu'il explose à son tour.
Nouvelles douches pour tous et nous sommes remontés diner.
JARDINIER
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aisakalegacy · 2 days
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Hiver 1920, Hylewood, Canada (1/2)
Ma bien chère cousine,
Une courte lettre pour donner des nouvelles. Je n’en reviens pas à quel point vos enfants sont grands. Marc-Antoine est le portrait craché de son père, j’ai cru tantôt que c’était Constantin qui se tenait debout comme ça. Tout va bien à la maison, sauf peut-être une chose assez affreuse qui heureusement ne nous concerne pas directement : le décès du pauvre M. Simmon, le mari de Françoise ma belle-sœur. Il a été retrouvé chez lui, empoisonné. On pense qu’il s’agit d’un suicide… Cette affaire donne à parler à toutes les commères de l’île, qui accusent la pauvre Françoise tantôt d’avoir poussé son mari à la mort, tantôt de l’avoir tué elle-même. Je n’en crois rien du tout. Ils auraient fêté leurs trente cinq ans de mariage cette année, vous rendez-vous compte ?
Mes enfants aussi grandissent et je ne sais plus où donner de la tête. Je n’ai pas de photo à vous envoyer, c’est terrible, je ne pense jamais à ces choses là. Lulu a quinze ans, et lui qui a été toujours été si sage et si raisonné, il se met dans des affaires sans réfléchir, et c’est à moi d’aller présenter mes excuses pour lui. Je le sais, les gens de l’île mettent son comportement sur le compte du fait qu’il n’a pas de père pour le discipliner, mais je ne veux pas les laisser médire.dire.
Son dernier coup m’a grandement embarrassée. L’autre jour, il suivait un raton-laveur (qu’allait-il faire à suivre un raton-laveur, me demanderez-vous…) et celui-là l’a mené jusqu’au sanatorium de nos voisins, et il n’a rien trouvé de mieux à faire que de se cacher dans les fourrés pour les observer par la fenêtre. Pensez-vous… Les pensionnaires qui y séjournent ont un teint si pâle, ils ont besoin de repos, pas d’être assaillis par les curiosités mal placées d’un adolescent en mal de sensations ! Ce grand niaiseux a été surpris, et non content encore d’être réprimandé, il a doublé dans sa faute en accusant nos voisins de je ne sais quelle sorcellerie. Je lui ai dit que c’était péché d’accuser de mensonges pour distraire de sa propre faute, mais il ne veut rien entendre. J’avais si honte, je suis allée m’excuser pour lui.
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stardust-swan · 1 year
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My Marie Antoinette Inspired Wishlist 🍰🏛🧴
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Beauty, Fashion and Bath Time
🍰 Anthropologie Retrofete Rosewood Choker
🍰 Anthropologie Chan Luu Crystal and Pearl Masquerade Choker
🍰 Evelyn and Crabtree Verbana and Lavender Hand Cream
🍰 Gisou Honey Infused Hair Oil
🍰 French Girl Rose Sea Soak
🍰 French Girl Rose Sea Polish
🍰 Fresh Rose Toner
🍰 Herbivore Botanical Pink Clay Soap
🍰 Hot Chocolate Femme Revolution Mid Heels
🍰 Hot Chocolate Marie Antoinette High Heels
🍰 Jurlique Rose Hand Cream
🍰 Jurlique Rosewater Balancing Mist
🍰 Ladurée Rose Petal Blush
🍰 L'Occitane Almond Delicious Hands
🍰 L'Occitane Almond Shower Oil
🍰 L'Occitane Shea Butter Delightful Rose Hand Cream
🍰 L'Occitane Shea Lavender Extra Gentle Soap
Mon Guerlain Eau De Parfum
🍰 Ouai Rose Hair and Body Oil
🍰 Panier Des Sens Rejuvenating Rose Soap
🍰 Pre De Provence Lavender Soap
🍰 Pre De Provence Honey Almond Soap
🍰 Rococo Pink Mule Heels
🍰 YSL Mon Paris Eau De Parfum
Food
🍰 Debauve and Gallais Thé Marie Antoinette
🍰 Billecart-Salmon Champagne Brut Rosé
🍰 Charbonnel et Walker Pink Marc De Champagne Truffles
🍰 Debauve and Gallais Marie Antoinette Chocolate Coins
🍰 Ghirardelli White Chocolate Crème Brûlée Duet Hearts
🍰 Godiva Chocolate Truffles
🍰 Jean-Paul Hévin Classical Chocolate Box
🍰 Ladurée Chocolate Squares
🍰 Ladurée Macarons
🍰 Ladurée Marie Antoinette Cake
🍰 Ladurée Marie Antoinette Tea
🍰 Ladurée Marie Antoinette Tea Delight Jam
🍰 Ladurée Pink Sugared Almonds
🍰 La Maison du Chocolat Dauphine Hatbox
🍰 Le Sirop De Monin: French Vanilla, Glasco Lemon, Lavender, Rose, Violet
🍰 Moët et Chandon Rosé Imperial Champagne
🍰 Nina's Paris Thé De Marie Antoinette
🍰 Pierre Marcolini Three-Drawer Chocolate Gift Box
Entertainment
🍰 The Affair of the Necklace (2001)
🍰 Eighteenth-Century French Fashion Plates in Full Color: 64 Engravings from the "Galerie des Modes," 1778-1787
🍰 Farewell, My Queen (2012)
🍰 Fashion Victims: Dress at the Court of Louis XVI and Marie Antoinette
🍰 The History and Haunting of the Palace of Versailles
🍰 Ladurée Macarons: The Recipes
🍰 Laduree: The Savory Recipes
🍰 Ladurée Sucré: The Sweet Recipes
🍰 Ladurée Tea Time: The Art of Taking Tea
🍰 Queen of Fashion: What Marie Antoinette Wore to the Revolution
🍰 Marie Antoinette: A Film by David Grubin
🍰 Marie Antoinette (1938)
🍰 Marie Antoinette (2006) on DVD
🍰 Marie Antoinette (2006) Film Book
🍰 Marie Antoinette (2006) Soundtrack Vinyl
🍰 Marie Antoinette - Hélène Delalex
🍰 Marie Antoinette: The Journey
🍰 Marie Antoinette: The Making of a French Queen
🍰 Memoirs of the Court of Marie Antoinette
🍰 Trianon and the Queen's Hamlet at Versailles: A Private Royal Retreat
🍰 Versailles: A Biography of a Palace
🍰 Versailles DVD Box Set
🍰 Versailles: The Great and Hidden Splendours of the Sun King's Palace
Home
🍰 Diptyque Orange Blossom Candle
🍰 Diptyque Orange Blossom Room Spray
🍰 Diptyque Roses Candle
🍰 Diptyque Roses Room Spray
🍰 Fragonard "The Swing" Print
🍰 French Tufted Bench Mauve Pink
🍰 Ladurée Cups and Saucers by Gien
🍰 Ladurée Teapot by Gien
🍰 Marie Antoinette Figure
🍰 "Marie Antoinette With a Rose" Print
🍰 Royal Albert Polka Rose Cake Stand Two-Tier
🍰 Royal Albert Rose Confetti Tea Cup and Saucer Set
🍰 Royal Albert 100 Years Three-Tier (Bouquet, Blush & Golden Rose) Cake Stand, 13.8"
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selidren · 3 months
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Printemps 1917 - Champs-les-Sims
1/7
Cher cousin,
C'est avec le coeur lourd que je vous écrit cette lettre. La tragédie que nous redoutions temps a fini par frapper, mais là où ne nous y attendions pas, ce qui ajoute à notre malheur.
Juste après le nouvel an, alors que son régiment stationnait à Avoncourt, Adelphe a été touché par une balle incendiaire au visage. Il n'est heureusement pas mort et n'a même pas perdu son oeil, ce que les médecins considèrent comme miraculeux. Alors que nous étions soulagés qu'il s'en sorte avec une simple cicatrice, c'est alors que le véritable drame a frappé. Le jour où il nous adressait la lettre informant son épouse de son rétablissement, Marie a été amenée à l'hôpital pour accoucher. Aveuglés par notre soulagement, nous avons éclaté en sanglot quand Madame Eugénie est revenue en nous annonçant que ma chère belle-soeur est morte en mettant au monde la petite Jeanne.
Transcription :
Marc-Antoine « Maman ? »
Albertine « Oui, mon petit ? »
Marc-Antoine « Tu dormais ? Tu veux que je te laisse ? »
Albertine « Non, je suis réveillée. Tu veux parler de quelque chose ? »
Marc-Antoine « Tu as des nouvelles d’Oncle Adelphe ? »
Albertine « Il va mieux, mais malheureusement il aura le visage marqué je pense. »
Marc-Antoine « Et par rapport à... »
Albertine « Comme tu t’en doutes, il ne va pas bien du tout. Ce n’est pas le genre de blessure dont il se remet. Voudras-tu bien lui écrire une lettre avec tes sœurs ? »
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lboogie1906 · 12 days
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Paulette Poujol-Oriol (May 12, 1926 – March 11, 2011) was a Haitian educator, actress, dramaturge, feminist, and writer. Fluent in French, Creole, English, Spanish, German, and Italian, she contributed to Haitian arts and literature and founded Picolo Teatro, a performing arts school for children. She has been recognized as one of Haiti’s leading literary figures as well as one of the most active players in Haiti’s feminist movement.
She became interested in culture, especially French classical literature and the theatre. In 1949, she joined the Société Nationale d’Art Dramatique which performed at the Rex Théâtre. She went on to teach languages, and drama, at her father’s school, and at the Collège Saint François d’Assise where she remained for 14 years. She was associated for many years with Marie-Thérèse Colimon-Hall’s École Nationale de Jardinières d’Enfants. She taught at the Theatre Department of the Ecole Nationale des Arts, which she headed, undertaking teaching assignments at Quisqueya University. She founded and headed the Piccolo Teatro, an organization for teaching drama to children.
A feminist, she was associated with several women’s organizations, including the Ligue Féminine d’Action Social, serving as president. She was a founding member of the Club des femmes de carrière libérale et commerciale and, of the Alliance des Femmes Haïtiennes, an umbrella body coordinating the work of some fifty feminist organizations.
She married twice. From the first marriage, which ended in divorce, she had a son and a daughter. Second, she married Marc Oriol. #africanhistory365 #africanexcellence
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wicked-chocolatine · 1 year
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French National Assembly voted for abortion rights to be written in and protected by the Constitution.
337 voted for it. 32 voted against it. 18 didn't vote.
Now it will go to the Senate, then the National Assembly again.
In the mean time, French folks here is the list of the 32 député-e-s than voted against :
Bénédicte Auzanot (RN)
Philippe Ballard (RN)
Christophe Barthès (RN)
Christophe Bentz (RN)
Emmanuel Blairy (RN)
Frédéric Boccaletti (RN)
Roger Chudeau (RN)
Caroline Colombier (RN)
Géraldine Grangier (RN)
Marine Hamelet (RN)
Hervé de Lépinau (RN)
Frank Giletti (RN)
Laure Lavalette (RN)
Marie-France Lorho (RN)
Nicolas Meizonnet (RN)
Pierre Meurin (RN)
Lisette Pollet (RN)
Stéphane Rambaud (RN)
Angélique Ranc (RN)
Julien Rancoule (RN)
Laurence Robert-Dehault (RN)
Béatrice Roullaud (RN)
Emeric Salmon (RN)
Anne-Laure Blin (LR)
Xavier Breton (LR)
Josiane Corneloup (LR)
Philippe Gosselin (LR)
Patrick Hetzel (LR)
Marc Le Fur (LR)
Jérôme Nury (LR)
Nathalie Bassire (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires)
Emmanuelle Ménard (Non Inscrite)
And the source.
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chicinsilk · 1 year
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Elizabeth Taylor and Gina Lollobrigida at a reception at the Grand Kremlin Palace during the Moscow International Film Festival, 1961. Photo Alexander Konkov/TASS
They both wear identical white organza dresses called "Marie-Anne", designed by Marc Bohan for Christian Dior from the Spring/Summer 1961 Haute Couture Collection.
Elizabeth Taylor et Gina Lollobrigida lors d'une réception au Grand Palais du kremlin lors du Festival international du film de Moscou, 1961.Photo Alexander Konkov/TASS
Elles portent toutes deux des robes identiques en organdi blanc baptisées "Marie-Anne", signées Marc Bohan pour Christian Dior de la Collection Haute Couture Printemps/Été 1961.
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Voici les membres du gouvernement de Gabriel Attal 11 janvier 2024 07h40
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Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur
Eric Dupond-Moretti, ministre de la Justice
Bruno Le Maire, ministre de l’Economie
Amélie Oudéa-Castéra, ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse, des Sports, des Jeux olympiques et paralympiques
Stéphane Séjourné, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères
Rachida Dati, ministre de la Culture
Sébastien Lecornu, ministre des Armées
Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités
Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture
Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique 
Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Sont nommées ministres déléguées auprès du premier ministre:
Prisca Thévenot, chargée du renouveau démocratique, porte-parole du gouvernement
Marie Lebec, chargé des relations avec le Parlement
Aurore Bergé, chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations
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unknown171204 · 24 days
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Starmania 1986
Pour la première fois , le spectacle n'est pas joué dans un théâtre ou une salle de concert dédiée , mais au Festival de Lanaudière au Canada ! Avant de finalement déménager en 1987 au théâtre Maisonneuve de Montréal
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DISTRIBUTION :
Norman Groulx : Johnny Rockfort
Anne Bisson : Cristal
Marie Carmen : Marie-Jeanne &
Richard Groulx : Zéro Janvier
Marie Denise Pelletier : Stella Spotlight
Jean Leloup : Ziggy
Maude Grenier : Sadia
Marc Gabriel : Roger-Roger
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Le spectacle n'a pas été très bien accueilli par le public , l'orchestration des chansons étrangement accélérer , une scène complètement vide de décors et des costumes pauvres / trop minimalistes . Cette version est considérer comme une des moins bonne de Starmania . Il n'existe pas de captation du spectacle mais il subsiste un album et les habituelles vidéos d'archives :
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ANECDOTES :
Cette version reprend précisément la version de 1980 en rajoutant simplement la chanson " Un enfant de la pollution" .
...
C'est l'unique version ou Roger Roger se révèle être l'extraterrestre !
...
Si Richard et Normand Groulx portent le même nom de famille c'est parce qu'ils sont frères ! Ils ont d'ailleurs monté un groupe à leurs noms :
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( Cela rend la relation entre Johnny et Zero drôlement ambigu )
...
Un enregistrement de bien meilleur qualités :
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Pour plus de Starmania
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freddieraimbow74 · 1 month
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Hey Deacon, j’ai était splendide ! J’ai fait c’est que personne a fait sur les réseaux. Ridiculiser : Adam Lambert, Marc Martel et Mary Austin. C’était one vision en mode virtuel. Finalement ils sont de vautours et il fallait mettre les gens à sa place. Regarde et tu vas rire comme jamais,
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sieclesetcieux · 1 year
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Translation:
Marc-Antoine Jullien son was certainly the youngest figure to play a political role in the Revolution. Born in 1775, he was 16 years old when he was accepted as a member of the Club des Jacobins, where not anyone was allowed, and spoke at the rostrum to everyone’s astonishment - his voice had barely changed, and he was rather short. He was 18 years old when the Committee of Public Safety sent him, in August 1793, in the Western départements on a surveillance mission of the highest importance, for which he had to write frequently; he was by far the most active of those Michelet called Robespierre’s missi a determining role maybe, which we will talk about later.
Saint-Just, whom he knew closely in Year II, and was 7 years older than him [Jullien], wrote in 1791: “Because I was young, it seemed to me that I was closer to nature.” Jullien later took the same idea: “still young, but thus [...] farther from corruption”, and clearly felt like he was vested by his very youth, by the purity it gave him, to a revolutionary legitimacy in his mission. Elsewhere, he demanded equality of age with his elders. In 1794, in Bordeaux, [he wrote]: “I am old in the career of liberty: I am the same age as all the French.” Already in early 1792, he wrote to Jacobin leaders: “The true patriots, the firm friends of the Revolution are those who wished it before it happened, who got ahead of it by their desires […] in a time when the word of patrie was barely a French word. However, I can flatter myself to be among those pure patriots […] because
[cont. next page] I was the friend of the Constitution before there was even a Constitution” - that is, at the age of 14! “The Child and the Revolution” [title of the book this is published in] - here we see the child as actor of the Revolution.
From: Pierre De Vargas, "L’éducation du « Petit Jullien », agent du Comité de salut public", in Marie-Françoise Levy, L'enfant, la famille et la Révolution française, 1989, p. 219-248. (Here are p. 219-220.)
(Please note that the rest of the article is extremely biased against Year II, rambles nonsense about "pre-totalitarianism" and borders on reactionary trash.)
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 34
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le client n°2 de Jean (30 ans musclé monté 26 x 6,5) dont j'avais mis la femme à niveau (cf. soumission 11) m'avait demandé la dernière fois où je lui avais amené Jean de lui trouver un peu de temps pour lui et sa femme. Maintenant que tout se passait bien coté vagin, il aimerait tenter la sodomie. Il avait commencé par des annilingus en " dérapant " des cunnilingus mais qu'il n'avait pas été plus loin qu'un massage externe de son anus. L'idée m'amusait en plus de la rétribution de ma prestation, nous avons fixé un soir en semaine (mes WE sont trop chargés !!). ;Avec l'accord de Marc, j'arrivais vers 19h chez eux. La femme, en robe légère, m'accueillit d'un baisé sur le coin de la bouche et me glissa tout bas " merci, depuis notre rencontre, je jouis à chaque fois ! ". nous entrons au salon, son mari nous y attend, en jeans et polo. Je pose mon casque sur une commode et comme il me dit de me mettre à l'aise, je m'extirpe de ma combi moto et me retrouve en shorty moulant et T-shirt. Il me tend un verre et nous trinquons au sexe.
Comme je fini mon verre, sa femme se colle à moi, me roule une pelle et sa main sur ma bite, elle la masse pour la faire grossir. Son mari, lui, se plaque dans mon dos et je sens au travers du tissus sa grosse pine gonflée contre mes fesses. Je passe ma main en arrière et presse le barreau qui déforme sa braguette. Etant le moins vêtu (je le pensais avant de mettre ma main sous la robe), je me retrouve rapidement avec le shorty sur les chevilles et ma bite aspirée par la meuf.
Je remarque que de ce coté là, elle s'est bien amélioré et je le dis à son mari. Il me dit qu'avec une pratique matin et soir, c'est normal que ce soit mieux. Le jeans contre la peau nue de mes fesses me gratte un peu. Je défais le ceinturon et les boutons de la braguette pour faire tomber le fut à ses pieds. Il le jette sur le coté et se recolle à moi, sa batte de base ball droite entre mes fesses, le gland sur mes reins. Je tourne la tête et lui rappelle tout bas que c'est sa meuf qu'on va sodomiser et non moi ! Il bouge et se place derrière sa meuf qui continue à me piper à genoux devant moi. Il la relève à 4 pattes et retrousse sa robe. Comme elle ne portait pas de culotte, il lui met direct deux doigts dans la chatte et les ressort bien mouillés. Sous cette pratique, elle gémit tout en gardant ma queue dans sa bouche. il recommence et bientôt un 3ème doigt rejoint les deux autres.
Avant de la sauter lui même, il me propose gentiment de l'enfiler. J'accepte, ça va faire longtemps que j'ai mis ma bite dans un vagin ! Je m'enkpote et la pénètre. Elle est brûlante et mouillée. Je rentre sans problème mes 20cm. Le rodage quelle subit avec les 26cm de son mec lui a bien allongé le vagin. Je ne sens même pas le col de l'utérus comme la dernière fois ou j'avais été obligé de pousser pour faire entrer mes 3 derniers cm.
Par contre je suis bien serré entre les parois, et ne me sent pas " flottant " comme dans le vagin de la mère de Jean. Comme le mari me dit de rester au fond, il ordonne à sa meuf de " presser ". Je ne m'interroge pas longtemps sur la signification de ce terme. Rapidement je ressent sur toute la longueur de ma bite une compression puis un relâchement et cela recommence.
Elle me masse la bite avec son vagin ! j'en reviens pas c'est kiffant ! Son mari qui avait pris ma place dans la bouche de sa meuf, me regarde en souriant et me demande comment je trouve cela. Je lui répond que c'est bon ! il me dira plus tard, en aparté, que c'est Jean qui en contactant son anus sur sa bite lui a donné l'idée. Je reprend le contrôle en commençant à la limer. Je lui demande que lorsque je suis sorti, elle compresse son vagin pour que je sois obligé de forcer pour entrer.
Elle fait cela et ça devient bon de lui limer la chatte. Son mec me dit que pour cela elle se muscle sur un gode très fin(3cm de diamètre) qu'il a trouvé dans un sex shop. Je lui dis que c'est intéressant. Je lui cède ma place. Il entre alors dans sa femme qui souffle quand même à se prendre la grosse bite de son mari. Je me penche au dessus d'elle pour bien voir la bite entrer de toute sa longueur dans le vagin. Au deux tiers, il vrille un peu du bassin pour que le gland repousse le col de l'utérus et qu'il puisse entrer les derniers cm.
Arrivé au fond, il lui laisse le temps de s'habituer au nouveau volume puis ressort totalement avant d'y retourner sans finasser. Ses coups de reins soulève sa femme et me l'enfonce encore plus sur ma bite. Au 4ème coup, j'ai mon gland dans sa gorge. Elle s'étrangle car c'est sa première gorge profonde ! je lui pousse la tête en arrière pour que ça entre plus facile et elle finit par s'y faire. Comme son mec fait une pause, bien ancré au fond de son vagin, elle me repousse et se tourne vers lui pour l'engueuler. Que c'est une brute et qu'elle s'est défoncé la gorge sur ma bite ! Il rit et lui dit que finalement ça devait le faire puisque après elle a pas arrêté de me bouffer entier. Je confirme. Nous échangeons encore nos places et je me réimplante dans son vagin. Il lui faut quelques instants de contraction pour que je sente à nouveau un début de compression. Je ne fait que 5cm de diamètre par rapport aux 6,5 de son mari ;qui doivent bien faire 7cm à la base. Son mec lui bâillonne la bouche de sa pine essayant de faire entrer son gland derrière sa glotte. Je lui crache sur le trou du cul et lui masse l'oignon de mes deux pouces. Elle gémit, je continu et doucement je lui ouvre le trou. Nous nous coordonnons son mari et moi pour l'enfoncer en même temps, c'est amusant à faire. Je continu mon massage anal et mon pouce droit fini par entrer gentiment. J'alterne pouce droit pouce gauche rapidement. Je ramasse de sa lubrification vaginale sur ma bite quand elle ressort pour lubrifier plus efficacement son anus. Je continu malgré des gémissement n'exprimant pas forcement son accord. Le mari lui m'encourage tout en matant la progression.
Bientôt mes deux pouces sont ensemble dans son trou. J'ai forcé mais moins que pour certains mecs ! je sens sous mes doigts l'anus s'assouplir et accepter de mieux en mieux l'écartement. Les pouces bien enfoncés, je joue un peu de l'élasticité du sphincter. Je sens au travers des parois mes doigts le long de ma bite enfoui en elle. Son mari, impatient, me dit de l'enculer. Elle émet un non étouffé par le gland qui a fini par passer dans sa gorge. Il me dit de pas l ;"écouter, que si on l'avait laissé faire, il ne pourrait toujours pas la baiser correctement ! Je me range à son avis, modifie mon angle d'attaque et avec une bonne poussée, je lui perfore le cul avec ma bite.
Comme le mec lui a mis son gland au plus profond de sa gorge (il reste quand même bien 6/7 cm dehors), elle ne peut plus me dire non. J'investi son anus. Je me sens bien serré mais la progression reste assez facile et son sphincter s'ouvre sans beaucoup de difficulté. De mes doigts je récupère dans sa chatte son lubrifiant naturel et m'en badigeonne le sexe après l'avoir sorti totalement puis je le lui remet dans le cul. Son mari l'ayant laissé respirer, elle se redresse et nous traite d'obsédés sexuels ! C'est pas une insulte puisque c'est la vérité et que nous ne nous en cachons pas ! ;Je lui demande si elle a mal. Elle me dit que la première pénétration à été un peu dure mais que ça va.
Je lui propose alors de s'exciter sur son mec en même temps. Elle me demande comment. Je demande à son mari de se coucher sur le dos et à elle de le chevaucher. Quand ils sont en place, je la plaque sur le torse de son mec et agenouillé entre ses cuisses, je me replante dans son cul.
La double pénétration lui arrache des gémissements ce coup ci de plaisir ! ce n'est que lorsque je suis bien au fond que nous commençons à la faire coulisser sur nos sexes. Serré dans son boyau, je sens la bite de son mari et surtout son gland tout contre mon sexe. Le mec me dit que c'est une sensation phénoménale. Le frottement de nos deux glands lors des va et vient le fait triquer à fond.
La sensation est telle que nous jouissons tous les trois ensemble. Ses contractions vaginales et anales nous traient les couilles et quand son mari lui rempli la chatte je jute dans ma Kpote. ;Elle se relève, nos bites encore bandées claques sur nos abdos. Elle se jette sur son mari et lui pompe le dard englué de sperme. Il me dit en souriant que depuis mon premier passage elle avait pris goût à son sperme et qu'elle ne manquait pas d'en avaler le maximum. Je les félicite tous les deux d'être arrivés à ça. Comme je vois qu'elle arrive à maintenir son mari raide, je lui plante trois doigts dans l'oignon pour éviter qu'il se referme trop vite et du pouce je lui titille le clitoris. Elle gigote dans ma main. A l'occasion, je lui mets l'auriculaire en plus et commence à la travailler en largeur. Son mec ne débande pas, je lui propose d'essayer le nouveau passage. Elle s'affole, refuse, la taille imposante du sexe de son mari lui fait peur. Alors que tout allait bien , le grain de sable ! Nous essayons de la convaincre mais elle refuse prétextant l'impossibilité à un cul de se prendre une pareille bite. J'ai beau lui dire que certains mecs s'en prenne encore plus gros, elle ne me croit pas. Elle m'énerve la minette ! Je dis a son mari de se remettre sur le dos. Je vais chercher un tube de lubrifiant et du poppers dans ma combi et me prépare le cul. Rapidement je me détend et me place 3 doigts dans l'anus.
Elle ne dit plus rien et me regarde faire avec étonnement. ; Bien lubrifié du fion, j'enkpote son mec, ajoute une méga dose de gel dessus et je l'enjambe et me retrouve comme elle tout à l'heure. Je place son gland contre mon anus, je sniffe rapidement des deux narines et dans les secondes qui suivent, alors que je ressent une bouffée de chaleur, je m'enfonce d'un coup sec son gland. Elle pousse un cri se surprise. Je me remet une dose de poppers et bien parti, je m'assois lentement sur la bite de son mec. Elle est tellement absorbée par le fait que je réussisse à m'enfiler une bite de ce diamètre qu'elle a oublié que nous sommes dans un rapport sexuel homo ! Il est mieux monté qu'Eric, même si ce n'est pas de beaucoup, les cm à ce stade ça compte triple !!
Je me redose en poppers et commence à me limer. J'apostrophe la meuf en lui demandant si elle croit toujours que c'est impossible. Son mec, lui est ravi et apprécie mon anus. Je me relève et lui dis de prendre ma place. Excité par le spectacle elle se place. Je lui tartine le cul d'une bonne couche de gel et en lui enfonçant le tube, en vide une parti dans ses boyaux. Placé derrière eux, je tiens la bite verticale et place le gland à l'entrée du cul. Je pose mes mains sur ses hanches et appui dessus. L'anus déjà bien rodé par le passage de mon sexe et mes doigts s'ouvre et absorbe le gland. Jusque là tout va bien le gland n'es pas plus large que ma bite. Je lui dis qu'elle a pris le gland. Elle me dit le savoir, qu'elle est blonde mais pas idiote et qu'elle le sent bien dans son derrière. Je me venge aussitôt en appuyant un peu plus fort et lui fait prendre au moins 5cm d'un coup. Je lui fait sniffer du poppers et même si l'effet est moins probant sur les meufs, elle réagit et j'en profite pour ajouter encore 5 cm. Son mari a tendu ses bras et ses mains pétrissent ses seins, roulant les tétons entre ses doigts. Je passe une main devant elle et lui pince le clito. Elle sursaute, sort 3cm de son mec pour en reprendre 6 au retour ! Maintenant elle a pris au moins 50% de son mec dans le cul. Comme je rebande, je me déplace et enjambe à mon tour son mec, tout en restant debout pour lui mettre mon gland devant ses lèvres.
Elle me suce, je mets mes mains sur sa tête et la tirant vers moi, enfonce mon gland dans sa gorge. Ma poussée la fait s'asseoir un peu plus. Les mains de son mari ont glissées des seins aux hanches et c'est lui qui maintenant maîtrise l'intromission. Impatient, il appui une dernière fois un peu trop fort et si il entre presque totalement, la douleur lui fait me recracher en criant.
Je m'agenouille et glissant ma tête sur les abdos du mecs, réussis à prendre le clitoris entre mes lèvres et à le stimuler. Le souffle de la meuf s'accélère, le plaisir revient. Quand son mec la sent réceptive, il commence doucement à la relever. Je le stoppe quand il arrive au gland. Si il sort totalement il ne pourra y retourner. Je re graisse la hampe pour faciliter la réintroduction. Je me redresse et tête son sein droit alors que mes doigts remplacent ma bouche sur son clitoris.
Elle jouit soudain sans que nous nous y attendions. Elle sursaute sur la bite de son mec qui gueule tellement elle le serre. Un dernier sursaut et elle décule et s'écroule sur le torse de son mec. Ça l'achève et il jute dans son dos. Je me branle deux trois fois et mon sperme rejoint le sien.
Nous restons bien 20mn sur le dos cotes à cotes étendus sur le tapis à reprendre nos esprits. Son mari et moi émergeons les premiers, il la couvre d'un plaid et nous allons nous doucher. Douche simple, sereine où nous nous rendons service quand au savonnage mais pas plus. Il faut dire que la séance nous a bien vidé. Il me remercie d'avoir fait ce qu'il fallait pour décider sa meuf à franchir le pas. Je lui dis en plaisantant a moitié que mon anus risquait de s'en souvenir quelques temps.
Quand nous retournons au salon, nous trouvons sa meuf endormie roulée dans le plaid. Je me rhabille retrouvant difficilement mon shorty. J'enfile ma combi quand il me tend mon enveloppe. Il me dit avoir ajouté pour mon " sacrifice personnel ". je le remercie et la glisse dans une poche de poitrine, ne lui faisant pas l'injure de compter devant lui.
C'est arrivé à la maison que je compte. Il avait tout simplement doublé la somme prévue ! J'aime les gens qui savent la valeur des choses ! à qui on est pas obligé de tout dire. Je l'appelle dans la foulée pour le remercier et lui demander comment va sa femme. Il me dit que sa meuf l'a remercié pour cette soirée et qu'il se demande si cela ne valait pas plus encore que ce qu'il m'avait donné ! et il me dit qu'il ajustera cela la prochaine fois.
JARDINIER
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submissivegayfrenchboy · 10 months
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18 / 07 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
Chers lecteurs, cela faisait quelques temps que je n'ai pas publié de longues histoires. Des problèmes personnels en sont la raison et aussi le fait que j'écris plusieurs histoires en même temps.
Cette histoire est la 10 ème inspirée par une série télévisée, et c'est une collaboration !
Cette histoire est la deuxième que j'écris à être inspirée par l'excellente série télévisée américaine Desperate Housewives écrite par Marc Cherry.
Le personnage choisi est Carlos Solis (incarné par Ricardo Antonio Chavira), époux de Gabrielle Solis (Eva Longoria).
La série raconte les aventures de femmes au foyer : Lynette Scavo, Susan Mayer (puis Delfino), Gabrielle Solis, Bree Van de Kamp.
Nul besoin d'avoir vu la série pour comprendre et apprécier la série afin de comprendre l'histoire. Les fans, eux, reconnaîtront sûrement les références, les allusions et les changements.
Cette histoire est une version gay du couple formé par Carlos Solis et Gabrielle, ici Gabriel pensé comme un himbo blond.
Je remercie mon collaborateur et ami @roroarbre-blog qui a écrit cette histoire avec moi. Il est fou amoureux de Carlos Solis et aurait aimé être marié à lui.
Comme d'habitude l'auteur de chaque partie est précisé. J'ai corrigé les fautes de conjugaison, grammaire, syntaxe et orthographe de mon ami, mais ses idées et ses parties sont bien les siennes.
Merci à toi mon cher ami, ce fut un plaisir.
Je vous souhaite une bonne lecture 😘
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HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec @roroarbre-blog
INSPIRÉE PAR UNE SÉRIE TÉLÉVISÉE #10 :
DESPERATE HOUSEWIVES #2
- CARLOS ET GABRIEL SOLIS -
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
Des toits en briques. Des palissades et des clôtures blanches. Des arbres à fruits. Des parterres fleuris. Des pelouses fraîches. Des jets d'eau. Des enfants qui courent après un ballon. Et aucun commerce à l'horizon. Tout semblait similaire, et pourtant les charmantes maisons de ce quartier résidentiel ont quelques différences. Oui, d'une maison à l'autre, on voyait des plantes grimpantes s'enroulaient sur des colonnes de la terrasse. Certains jardins étaient jonchés de jouets et de skateboard, ce qui indiquait que la famille avait des enfants.
Des enfants.... Le sublime mannequin Gabriel Solis chassa cette pensée douloureuse de son esprit. Il connaissait la positon de son époux à ce sujet. Alors il se concentra de nouveau sur le paysage qu'offrait les innombrables maisons qui se suivaient toutes. Les jardins, les cris des enfants, les voisins qui discutent, les maris que l'on accueille, les voitures qui quittent le garage....
Cette vie semblait paisible pour l'ex mannequin et sportif Gabriel Solis, qui quittait enfin des yeux sont époux. Depuis quatre mois, il avait été épousé par le grand et musclé homme d'affaires mexicain Carlos Solis. Homme intimidant aux cheveux et à la barbe noirs, Carlos Solis arborait un sourire satisfait lorsqu'il voyait le quartier où il avait décidé que lui et son époux plus jeune que lui allaient vivre.
Avec la bonne nourriture, surtout mexicaine, Carlos Solis aimait trois choses : l'argent, le sport, et les jeunes hommes blancs musclés. Autant dire qu'avoir épouser un jeune homme blanc aux cheveux blonds d'une vingtaine d'années - déjà champion de foot et ayant défilé pour de grandes maisons de haute couture - allait susciter la jalousie dans ce quartier résidentiel de Wisteria Lane.
Dans la ville de Fairview, ce quartier était chic et habité par des gens plutôt fortunés. Mais aucun ne serait aussi riche que Carlos Solis.
L'État d'Eagle State n'était pas le plus riche des États Unis d'Amérique, mais Carlos Solis était fier de sa réussite. Homme d'affaires mexicain millionnaire dans un quartier blanc, Carlos Solis allait être envié des hommes pour avoir épousé un sportif musclé avec qui il pouvait échanger sur le sport, et il allait être jalousé par les femmes pour avoir un mannequin grand et souriant comme époux.
Conduisant la voiture luxueuse qu'il s'était acheté comme cadeau de mariage, se dirigea vers une immense maison en brique orange rappelant de manière sublimée l'architecture mexicaine.
Gabriel Solis savait que cette maison était celle que son viril époux avait choisi. Gabriel n'avait pas eu son mot à dire sur le choix de la maison, évidemment, car son époux était l'homme dans le couple.
GABRIEL SOLIS : "C'est ici, Carlos ?"
CARLOS SOLIS : "Oui mon amour."
La plus grande et la plus belle maison du quartier. Digne d'un millionnaire mexicain marié à une célébrité. Carlos Solis s'arrêta, ouvrit la portière du côté de son mari et le prit dans ses bras musclés.
GABRIEL SOLIS : "Oh Carlos! Ahahaha!"
Carlos était si fort qu'il pouvait porter avec facilité un homme lui-même très musclé. Il avait toujours rêvé de porter l'amour de sa vie dans la maison où ils vivraient. Il monta les escaliers et ouvrit la portes de la maison.
CARLOS SOLIS : "Bienvenue chez nous, mon amour."
Avant d'être déposé au sol, Gabriel prit dans ses mains le visage barbu de Carlos et embrassa ses lèvres charnues.
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PARTIE DE roroarbre-blog
CARLOS SOLIS : "Alors? Comment tu trouves notre chez-nous? N'est ce pas magnifique ?"
Carlos dit cela en embrassant à nouveau son mari.
GABRIEL SOLIS : "J'adore ! C'est juste magnifique ! Je savais déjà que tu as du goût, mais passer la journée ici ne me posera vraiment aucun problème. Par contre, il faudra quand même aller voir où se situe le centre commercial le plus proche."
CARLOS SOLIS : "Oui, on verra ça, bien sûr, mais là il faut qu'on finisse de déballer les cartons. Heureusement on a pris des déménageurs, comme ça on a juste à déballer les cartons. On commence par quelle pièce?"
GABRIEL SOLIS : "Le dressing ! Il est hors de question que mes vêtements restent plus longtemps enfermés dans des cartons qui ont traversés la moitié du pays !"
CARLOS SOLIS, en rigolant : "D'accord 😅"
Carlos était amusé de la remarque de son bel époux.
Ils entrent dans la chambre à coucher, la penderie est situé entre la chambre et est ouvert sur la chambre et la salle de bain. Carlos Solis pris le carton qui se trouvait en haut de la pile avec marqué "Penderie" au marqueur noir, et ouvrit le premier.
Il commença à sortir les différentes pièces qui formait le dressing de Gabriel, les habits variés entre les pièces luxueuses dû à son passé de mannequin, et les différentes tenues de sport dû cette fois-ci à son passé de footballer professionnel.
Pendant qu'ils rangeaient, les tout nouveau mariés discutèrent de leurs projets dans les semaines à venir. Pour Carlos, c'était la découverte de ses nouveaux locaux de travail, et pour Gaby - comme le surnommait l'homme d'affaires mexicain - ça allait être la découverte de la grande ville qu'est Fairview. En somme, la semaine s'annonçais bien remplis.
PART BY submissivegayfrenchboy
Le salon aux murs orangés était remplis des cartons d'emménagement, mais Gabriel, perpétuellement excité à l'idée de coucher avec son sublime mari mexicain, vint lui faire un calin par derrière. Il respira l'odeur chaude de son dos, car Carlos transpirait et avait sué après cette route. Gabriel descendit au sol et renifla le gros cul rebondi de son époux mexicain. L'odeur virile de son cul le fit vibrer.
CARLOS SOLIS : "Je crois que c'est plutôt ça que tu veut.."
Il posa sa grande main virile sur sa longue bite épaisse et la secoua. Les yeux de Gaby s'écarquillèrent.
GABRIEL SOLIS : "S'il te plaît Carlos, je peut ?"
CARLOS SOLIS : "Oui Gaby, fait moi plaisir.."
Gabriel déboutonna rapidement la luxueuse ceinture puis le pantalon de son époux qu'il fit descendre brusquement.
CARLOS SOLIS : "Savoure bien l'odeur chéri..."
GABRIEL SOLIS : "Non! J'ai attendu plusieurs heures de pouvoir te soulager !"
Comme il n'aimait pas désobéir à l'homme de ses rêves, Gabriel a quand même reniflé l'odeur du caleçon de son mari, une odeur puante de virilité. Il avait mariné dans sa transpiration tout le trajet. Désormais, il était temps de descendre le caleçon. Une fois que cela fut fait, une énorme et appétissante bite légèrement poilue faisait face au joli visage musclé du mannequin blond.
Gabriel a embrassé la bite, la lèché et se mit à la sucer goulumment.
CARLOS SOLIS : "Ouais je sais que t'aimes ça petite chienne !"
Il prenait dans sa grande main virile les cheveux blonds de son époux et maintenait sa bouche sur sa bite.
Au bout d'un moment, Carlos prit Gabriel dans ses bras et l'emporta au cœur du salon où il se mit à le pénétrer. Quatre mois de mariage, cinq mois à baiser ensemble, et Gabriel savait qu'il avait encore du temps pour que son cul s'habitue à la plus épaisse bite qu'il ait connu.
Carlos alternait tendresse et sauvagerie, mais il était surtout très excité d'inaugurer cette maison qu'il avait payé.
Quand après une bonne heure ils éjaculèrent enfin, les deux époux riaient et s'embrassaient.
Ils étaient transpirants de sueur lorsqu'ils entendirent toquer puis rentrer quatre hommes. Gabriel se releva.
Un grand homme blond se présenta.
"Bonjour je m'appelle Marty-Alex Young, et voici Brett Van de Kamp."
Il désigna un homme roux très élégant.
MARTY ALEX YOUNG : "Et aussi Sunny Mayer et Luc Scavo. Bienvenue à Wisteria Lane."
PARTIE DE roroarbre-blog
Gabriel Solis fini de se rhabiller en vitesse et s'avança vers le groupe d'hommes qui venaient d'entrer.
GABRIEL SOLIS : "Enchanté ! Je me présente, je suis Gabriel Solis, et je suis le mari de Carlos!"
Il dit en regardant en direction du mexicain.
"Enchanté" disent les maris tous en choeur.
BRETT VAN DE KAMP : "Et voici quelques muffins aux myrtilles et quelques pommes de nos jardins! C'est la tradition quand on accueille de nouveau voisins."
Il tendit à l'ancien mannequin le panier, qui le prit et l'amena dans la toute nouvelle cuisine.
GABRIEL SOLIS : "Merci beaucoup, désolé de vous recevoir dans le salon encore remplis de cartons."
LUC SCAVO, souriant : "Pas de soucis, nous savons ce que c'est les emménagements!"
Carlos qui revenait dans le salon après s'être éclipsé dans la cuisine pour finir de mettre son pantalon.
SUNNY MAYER, à Carlos : "Et sinon, que faites vous dans la vie ?"
CARLOS SOLIS: "Je suis un homme d'affaires."
MARTY ALICE YOUNG : "Et vous... Gabriel, c'est ça ? Que faite vous dans la vie?"
GABRIEL SOLIS, souriant : "J'ai été et footballeur et mannequin pendant quelques années, et depuis 4 mois je suis homme au foyer."
Gabriel sentit des bras s'enrouler autour de ça taille : c'était son mari qui posa sa tête sur son épaule musclé et lui embrassa le cou.
CARLOS SOLIS : "Je suis si fier de mon mari ! Quelle chance j'ai d'avoir un aussi bel homme dans mon foyer !"
SUNNY MAYER : "Oh qu'est ce que vous êtes mignon ensemble, c'est vraiment beau l'amour ! Enfin bon nous n'allons pas vous dérangez plus longtemps. On y va, les gars? S'y vous avez besoin de quoi que ce soit, j'habite au 4353. Juste à côté c'est Luc et en face de chez moi, la maison bleu, c'est chez Brett. Vous aurez le temps de découvrir tout les habitants, mais ne vous inquiétez pas : tout le monde est adorable ici."
MARTY ALICE YOUNG : "Nous sommes tous hommes au foyer, pas que, mais pour la plupart nous restons la journée chez nous. Si vous en avez envie, n'hésitez pas à passer pour quoi que ce soit. Et ma maison est celle avec l'arche de fleur juste en face."
Il dit cela en pointant du doigt sa maison à travers la fenêtre du salon des Solis.
Les voisins quittèrent la maison aux briques orange et Carlos repris la conversation.
CARLOS SOLIS, amusé : "On a eu chaud ! A quelques minutes ils nous auraient surpris ! Je crois qu'il ne se sont rendu de rien ou presque. En tout cas, tant mieux s'il y a d'autres hommes au foyer: tu pourras te faire de nouveaux amis. Demain on ira en ville voir où se trouve le centre commercial."
GABRIEL SOLIS : "Parfait, je ne regretterais jamais de t'avoir épousé je crois."
Gabriel dit cela en embrassant son époux, qui en profita pour lui mette une main aux fesses.
Gabriel ferma la porte une fois que leurs nouveaux voisins étaient partis.
Il était heureux de ne pas être le seul homme au foyer du quartier. Gabriel se disait qu'il pourrait se faire de nouveau amis et cela l'enchantait.
GABRIEL SOLIS : "Ils ont l'air adorables, pas vrai ?"
Son époux mexicain n'avait pas trainé pour reprendre le déballage des cartons.
CARLOS SOLIS : "Oui, et je suis content qu'il y ai du monde la journée. ça me rassure de ne pas te laisser complètement seul."
GABRIEL SOLIS : "Mais je sais me battre hein, je te rappelle que je suis un ancien sportif ! Des coups j'en ai donné ! Ne t'inquiètes pas, s'il faut recommencer je saurais faire!"
Carlos rigola aux paroles de son époux. Ils s'étaient mariés depuis quatre mois, et jamais depuis ce jour Carlos n'avait été aussi heureux dans sa vie. Gabriel était pour Carlos ce qu'est l'oxygène pour les humains. Il ne pouvait pas vivre sans lui. Malgré son côté mâle alpha macho et businessman, il était très attentionné envers ceux qu'il aime: sa mère - qui était la prunelle de ses yeux - et Gaby qui est comme son oxygène.
L'après midi est passé à une vitesse folle : le couple de jeunes mariés avait fini de déballer les cartons, et il ne restait plus que les cartons d'objets de sport qu'ils avaient exprès pour eux.
Il était 20h30 quand le couple venait de finir de dîner et de se retrouver sur leur canapé pour regarder la télé pour la première fois dans leur nouvelle maison. Carlos zappait les chaînes en essayant de trouver un programme sympa, mais rien malheureusement ne lui plaisait. Il décida de rester sur une chaîne qui passait des publicités en attendant que le programme commence.
Après quelques minutes, une pub pour de la nourriture pour bébé passa, Gaby savait très bien quelle conversation allait suivre.
CARLOS SOLIS : "Tu ne trouves pas que cette maison est parfaite pour accueillir un enfant?"
GABRIEL SOLIS : "Tu sais très bien ce que j'en pense. Je ne veux pas d'enfant."
CARLOS SOLIS : "Mais pourquoi ? Ce serait super! tu pourrais t'en occuper toute la journée nan? Et puis il serait magnifique notre enfant ! Imagine un mélange entre nous deux, ce serait l'enfant parfait. Tu sais très bien que je veux être père, et avec toi comme deuxième père ce serait parfait, nan?"
GABRIEL SOLIS : "Nan, je ne veux pas m'en occuper toute la journée, c'est déjà assez compliqué de prendre soin de moi alors un enfant en plus, c'est non. Et j'essaie le plus possible de te rendre heureux, mais avoir un enfant, pour l'instant, c'est non."
CARLOS SOLIS : "Mais pourquoi as tu si peur d'élever un enfant ?"
GABRIEL SOLIS : "Le problème ce n'ai pas les enfants mais les parents. J'ai déjà eu assez de problèmes avec les miens pour savoir que je ne serais pas un bon père."
Les larmes commençaient à rouler sur ses joues. Il se leva du canapé et courut vers les escaliers, les monta rapidement, puis se laissa tomber sur leur grand lit.
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
Le grand Carlos alla retrouver son époux qui pleurait dans leur lit. Il le prit dans ses bras, lécha son doux visage pour essuyer ses larmes et le rassura. Oui, avoir un enfant, ou même plusieurs, n'était pas encore d'actualité.
Ce matin, le géant mexicain millionnaire Carlos Solis - s'étant levé du lit après avoir embrassé sur le front son époux Gabriel, ancien mannequin et footballeur professionnel - était en train de se raser. Il ne laisser que des contours de barbe.
Son jeune époux blond se leva et vit, de dos, dans la salle de bain, le bon gros cul de l'amour de sa vie. Il se leva nu et s'agenouilla derrière Carlos. Avec son visage, il écarta les bonnes grosses fesses encore suantes et renifla le trou du cul. Il prit de grandes inspirations, ce qui amusa Carlos, ravi d'être marié à un jeune blanc musclé qui aime son gros cul poilu d'homme mexicain.
CARLOS SOLIS : "Tu renifles déjà mon cul, joli toutou ?"
Gabriel retira son visage du cul de Carlos, et de la sueur de fesses était maintenant sur son visage.
GABRIEL : "Oh oui il faut bien que j'ai de l'énergie le matin ! Ton gros cul puant m'en donne, c'est de la vraie force de mâle !"
CARLOS SOLIS : "Bon alors rends toi utile et décrasse mon cul suant !"
Il mit sa main sur la tête de son époux : sa main immense faisait la taille de la tête de Gabriel. Il tira sur les sublimes cheveux blonds de son époux et enfonça sa tête dans son gros cul afin que Gabriel absorbe la sueur de son anus.
Mais celui-ci savait qu'il fallait aussi lécher les grosses fesses poilues de son mari.
Tout en applatissant les poils des fesses de Carlos avec sa langue, le beau et musclé Gabriel entendit un grognement et soudain, les fesses De Carlos se sont ouvertes.
PPPPPpppppFFFFfffRRRRrrrrTTTTTttttttt !!!!!
Le pet n'était pas trop nauséabond, donc l'a reniflé. D'autres pets parvenaient au visage de Gabriel qui s'amusait à rester derrière son époux pour les sentir, ce qui faisait rire le millionnaire mexicain que de voir un beau jeune homme blond reniflait ses pets puants comme si c'était l'air le plus pur.
PARTIE DE roroabre-blog
Après avoir léché les fesses et l'anus de son époux, Gabriel prit le petit déjeuner avec son chéri.
Carlos partit au travail comme tous les matins et, avant de monter en voiture, il embrassa langoureusement Gabriel. Comme il était de bonne humeur il le pelota légèrement. Carlos entra dans l'un des nombreux cabriolets européens qu'il possédait. Gabriel le regardait partir en lui envoyant des bisous volés et en lui faisant des signes de la main.
Au programme d'aujourd'hui pour Gabriel, aller faire du shopping, pour lui mais aussi pour Carlos. Il voulait lui faire plaisir, car en ce moment, de ce que Gabriel avait compris, Carlos était submergé de travail. Peut être qu'une petite attention comme celle-ci lui donnerait un peu de courage pour attaquer le reste de la semaine.
Gabriel aimait envoyer une image superficielle de lui-même, en faisant croire que la seule chose importante pour lui était l'apparence, la mode et l'esthétique de ce qui l'entoure. En réalité, il n'était pas comme ça. C'était comme une carapace pour se protéger du monde, c'est ce que lui avait appris le mannequinat et l'environnement du football à haut niveau.
Gabriel se prépara rapidement, et conduisit en direction du centre commercial de Fairview.
Certes, cela faisait peu de temps qu'ils étaient installés, mais Gabriel le connaissait comme sa poche.
Il se gara sur une place de parking proche de l'entrée de ses magasins préférés. Il acheta différents pantalons, des slims, des cargos, des amples, tout de façon à avoir un dressing caméléon, qui lui permet d'aller partout, que ce soit dans un gala de charité ou avoir de quoi faire du sport, en passant par les fêtes de quartier.
Après avoir passé une majeur partie de la mâtinée à se faire plaisir, il décida d'aller acheter un beau bijou pour Carlos.
Gabriel s'était renseigné au préalable et avait découvert qu'a quelques kilomètres du centre commercial se trouvait une boutique de joaillerie mexicaine. Il savait que, quand Carlos l'ouvrira, il sera touché de savoir que Gabriel a fait l'effort de trouver quelque chose en rapport avec ses origines.
Gabriel entra dans la boutique. Une fois avoir examiné presque toutes les pièces qu'ils possédaient, il hésita entre une belle montre incrusté de diamant de couleur vert, blanc, rouge (les couleurs du drapeau du Mexique) ou un bracelet plus simple mais avec possibilité de graver dessus ce qu'on veut.
Gabriel ne sachant pas lequel choisir il opta pour les deux et fit graver le bracelet avec cette phrase "Te amo Carlos, nunca lo olvides", qui se traduit par "Je t'aime Carlos, ne l'oublie jamais".
Après cette escapade shopping, Gabriel rentra et emballa les différents cadeaux dans des pochons de satin.
L'après midi était passé à une vitesse folle. Gabriel avait été chez Brett Van de Kamp prendre le thé, pour qu'il lui raconte les derniers potins du quartier.
Puis, Gabriel avait supervisé la préparation du repas et la décoration de la table. Il faisait tout cela sans autre raison que montrer à Carlos à quel point il l'aimait.
La table était dressée d'une nappe blanche avec un chemin de table doré, et un chandelier venait donner de la hauteur à la décoration. Les assiettes provenaient du service à vaisselle que les parents de Gabriel leur avaient offert en cadeau de mariage : c'était l'une des plus belle porcelaine du monde.
Quand Carlos rentra, Gabriel l'accueillit comme un roi. Quand Carlos enleva son manteau, Gabriel se dépêcha de l'en débarrasser.
Quand Carlos vit la table aussi bien préparé, il s'interrogea et demanda de sa voix grave et viril et en pointant la table du doigt.
CARLOS SOLIS: "En quel honneur as tu fait ça ?"
GABRIEL SOLIS: "Pourquoi devrait-il y avoir une raison ? C'est juste parce que je t'aime, et que je vois bien qu'en ce moment le travail t'épuise, alors j'essaie de te le faire oublier."
CARLOS SOLIS: "J'ai vraiment le meilleur époux."
Carlos dit cela en prenant Gabriel dans les bras et en embrassant langoureusement son bien aimé.
Le repas se passa parfaitement bien : Gabriel écoutait Carlos raconter sa journée. Il pourrait passer des heures a l'écouter. Carlos est si charismatique quand il commence à parler, il captive son auditoire, c'est impressionnant et Gabriel adore écouter son époux.
Quand ils eurent finit de manger. Gabriel se leva de table pour chercher les deux cadeaux.
GABRIEL SOLIS: "Ce matin j'ai été faire du shopping et j'ai pensé à toi, alors tiens."
Il lui tendis les deux petits pochons et Carlos, intrigué, s'empressa des les ouvrir. Carlos remarqua tout de suite le clin d'oeil au drapeau mexicain sur la montre, et esquissa un sourire amoureux. Quand au bracelet, après avoir lu le message gravé, il se leva et embrassa tendrement Gabriel.
CARLOS SOLIS: "Je n'oublierais jamais que je t'aime. Comment peut-on t'oublier ? Tu es inoubliable."
Après le repas, Carlos n'avait qu'une envie : remercier Gabriel pour tous les efforts qu'il venait de faire. Il savait qu'en ce moment, avec le déménagement et donc son nouveau poste, il n'était pas toujours facile à vivre. Que Gabriel lui ait fait ça le touchait au plus profond de son cœur, et pour Carlos la façon de remercier le mieux Gabriel est en lui faisant l'amour, avec comme unique but lui donner le plus de plaisir. Oui, quand ils font l'amour, Carlos pense d'avantage à lui qu'à son époux, mais pour le remercier il décida de changer ça ce soir-là.
Il porta Gabriel qui enroula ses jambes autour des anches fermes de Carlos. Ils arrivèrent dans la chambre, et Carlos déposa avec douceur son amoureux. Il s'embrassaient, se caressaient.
Alors que Carlos embrassait Gabriel, il sortit un rot monumental de sa bouche, à quelques centimètres du nez de Gabriel.
BBBBBBbbbbbUUUUuuuuuRRRRRRrrrrrPPPPPpppp!!!!!
Gabriel inspira profondément pour sentir cette odeur d'épices causée par les plats de ce soir.
GABRIEL SOLIS: "J'adore te faire l'amour après manger, je reçois tout de toi. C'est si bon. "
Il dit cela en l'embrassant.
Pendant que Carlos rotait allègrement, Gabriel était en train d'enlever ses vêtements et ceux de son époux. Carlos laissa faire Gabriel, qui était en train de lécher tout son torse, et qui s'arrêta sur ses téton. Il les suçota comme si du lait allait en sortir, et Carlos aimait tellement ça.
Carlos était tellement excité qu'il ne pris même pas le temps de préparer Gabriel ou de faire des préliminaires. Il sortit du lubrifiant, en mis sur le trou rose bien rasé de Gabriel et sur sa virilité, puis le pénétra dans la position du missionnaire pour pouvoir continuer à lui roter au visage et l'embrasser.
À chaque aller-retour, un nouveau rot plus puissant que le précédent sortait de Carlos, pour le bonheur de Gabriel dont le visage commençait a s'imprégner de l'odeur. Quand Carlos commença à se sentir gazeux, il savait qu'il était tant de s'asseoir sur le visage de son époux. Ce qu'il fit de suite.
La langue de Gabriel s'enfonçait le plus loin possible dans l'anus de Carlos, qui lâchait des gémissements virils, presque des grognements. Quand Carlos sentit qu'un pet arrivait, il se leva légèrement et se lâcha.
PPPPPRRpppppprrrrtttttt!!!!!!!
PPPPPPRrrrrrTTTTtttttt!!!!!!
PPPPPPPPPppppRrRRRrrrrrTTTTTTtttttttt!!!!
PPPPppppRRRRrrrrTTTTTttttt PPpppRRrrrTTttttRRRRrrrTTTTtttt !!!
PPPppppPRRrrrTTTTtttRRRrrrRRTTttttRRRRrrrTTTttt!!!!!!!!!
Gabriel était aux anges : sentir cette odeur lui avait terriblement manqué, il était ravi de pouvoir ressentir cela.
Après un facesitting bien musclé, Carlos décida de faire éjaculer Gabriel en lui faisant une pipe.
Après 7 minutes, Gabriel avait lâché sa semence sur son torse. Gabirel voulais que Carlos éjacule en lui. Carlos le fit et Gabriel n'alla pas se laver, pour garder la semence de son mari en lui : rien de mieux pour passer une telle nuit.
GABRIEL SOLIS: "Mon amour, j'ai vu que t'étais gazeux et je ne voudrais pas que tes magnifiques pets partent dans l'air sans personne pour les renifler. Pourrais tu dormir sur le ventre et moi ma tête dans tes fesses pour pouvoir les renifler tout au long de la nuit?"
CARLOS SOLIS: "Comment je pourrais te le refuser après tout ce que t'as fait pour moi?"
Carlos et Gabriel se positionnairent puis s'endormirent paisiblement avec l'odeur de rots, de pets et de sperme déjà bien présente dans la pièce.
PARTIE DE Submissivegayfrenchboy
Le lendemain matin, Carlos Solis partait au travail lorsqu'il appela son époux.
CARLOS SOLIS : "J'ai pas eu mon bisou du matin ! Qu'est-ce qu'attends mon petit américain pour embrasser son gros mari mexicain ?!"
PARTIE DE roroabre-blog
GABRIEL SOLIS: "J'arrive tout de suite mon chéri, mais hier tu m'as trop fatigué à me faire l'amour. Heureusement que je t'aime sinon je serais resté sous la couette."
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
CARLOS SOLIS : "Ahah oui, sous la couette pour renifler mon gros cul mexicain, mon joli cochon américain ! Quand je pense que tu as passé la nuit le nez enfoncé dans mon trou du cul ! 😂 ¡Señor Dios! ¡Si todos los hombres blancos en Estados Unidos fueran como mi amor, los latinos serían reyes y les olfatearían el trasero! ¡Realmente me casé con una cerdita para que el olor de mis pedos la excitara!"
("Seigneur Dieu! Si tous les hommes blancs d'Amérique était comme mon amour, les Latinos seraient les Rois et auraient leurs culs reniflés! J'ai vraiment épousé un petit cochon pour que l'odeur de mes pets puissent l'exciter!")
PARTIE DE roroabre-blog
GABRIEL SOLIS, amusé :" Tu sais très bien que je ne suis pas un cochon. Je suis juste fou amoureux de toi, et de tout ce qui en sort, donc tes pets et tes rots ou ta transpiration. J'aime tout chez toi, que ce soit au niveau du physique ou du caractère. Au fait, demain soir je sors. Je vais voir un match de football américain avec Jason. Tu sais, mon ami mannequin. On a bossé ensemble au début de ma carrière de mannequin. Enfin bon, viens là m'embrasser avant de partir au boulot mon chéri."
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
Gabriel Solis, le joli trophé de son époux, a immédiatement aimé sa vie à Wisteria Lane. Carlos travaillait, certes, mais il revenait toujours avec l'énorme envie de profiter de la compagnie de Gabriel. Celui-ci continua d'impressionner pour ses qualités de footballeur professionnel, il divertit le voisinage par sa personnalité solaire et son incontestable beauté.
Oui, la vie à Wisteria Lane serait épanouissante pour ce couple atypique mais très amoureux.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇺🇲🇬🇧
Dear readers, it's been a while since I published long stories. Personal problems are the reason for this and also the fact that I write several stories at the same time.
This is the 10 th story inspired by a TV series, and it's a collaboration!
This story is the second I've written to be inspired by the excellent American television series Desperate Housewives written by Marc Cherry. The character chosen is Carlos Solis (played by Ricardo Antonio Chavira), husband of Gabrielle Solis (Eva Longoria). The series tells the adventures of housewives: Lynette Scavo, Susan Mayer (then Delfino), Gabrielle Solis, Bree Van de Kamp. No need to have seen the series to understand and appreciate the series in order to understand the story. The fans will probably recognize the references and the changings.
This story is a gay version of the couple formed by Carlos Solis and Gabrielle, here Gabriel thought of as a blond himbo.
I thank my collaborator and friend @roroarbre-blog who wrote this story with me. He is madly in love with Carlos Solis and would have liked to be married to him.
Thanks you dear friend, it's been a pleasure.
As usual the author of each part is specified. I've corrected his grammatical mistakes, but all his parts have been written by him.
I wish you a good reading 😘
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PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with @roroarbre-blog
INSPIRED BY A TV SERIES #10 :
DESPERATE HOUSEWIVES #2
- CARLOS AND GABRIEL SOLIS -
PART OF submissivegayfrenchboy
Brick roofs. Palisades and white fences. Fruit trees. Flowerbeds. Fresh lawns. Water jets. Children running after a ball. And no trade in sight. Everything seemed similar, and yet the charming houses in this residential area have some differences. Yes, from one house to another, we saw climbing plants rolled up on the columns of the terrace. Some gardens were littered with toys and skateboards, indicating that the family had children.
Children…. The sublime model Gabriel Solis chased this painful thought from his mind. He knew his husband's position on this. Then he concentrated again on the landscape offered by the innumerable houses which all followed each other. The gardens, the cries of the children, the neighbors who discuss, the husbands who are welcomed, the cars which leave the garage....
This life seemed peaceful for the former model and sportsman Gabriel Solis, who finally took his eyes off his husband. For four months he had been married to the tall, muscular Mexican businessman Carlos Solis. An intimidating man with black hair and beard, Carlos Solis smirked when he saw the neighborhood where he had decided that he and his younger husband would live.
Along with good food, especially Mexican food, Carlos Solis loved three things: money, sports, and young, muscular white men. Suffice to say that having married a young white man with blond hair in his twenties - already a football champion and having paraded for large fashion houses - was going to arouse jealousy in this residential area of ​​Wisteria Lane.
In the city of Fairview, this district was posh and inhabited by rather wealthy people. But none would be as rich as Carlos Solis.
Eagle State was not the richest in the United States of America, but Carlos Solis was proud of his achievement. A millionaire Mexican businessman in a white neighborhood, Carlos Solis was to be envied by men for marrying a muscular sportsman with whom he could chat about sports, and he was to be envied by women for having a tall, smiling model as a husband.
Driving the luxurious car he had bought for himself as a wedding present, he walked towards a huge orange brick house, a sublime reminder of Mexican architecture. Gabriel Solis knew that this house was the one her virile husband had chosen. Gabriel had had no say in the choice of house, of course, because his husband was the man in the couple.
GABRIEL SOLIS: "Is it here, Carlos?"
CARLOS SOLIS: "Yes my love."
The biggest and nicest house in the neighborhood. Fit for a Mexican millionaire married to a celebrity. Carlos Solis stopped, opened the door on his husband's side and took him in his muscular arms.
GABRIEL SOLIS: "Oh Carlos! Ahahaha!"
Carlos was so strong that he could carry a very muscular man with ease. He had always dreamed of carrying the love of his life into the house where they would live. He walked up the stairs and opened the door to the house.
CARLOS SOLIS: "Welcome home, my love."
Before being lowered to the ground, Gabriel took Carlos' bearded face in his hands and kissed his full lips.
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PART OF roroarbre-blog
CARLOS SOLIS: "So? How do you find our home? Isn't it beautiful?"
Carlos says this while kissing his husband again.
GABRIEL SOLIS: "I love it! It's just beautiful! I already knew you had good taste, but spending the day here won't really be a problem for me. On the other hand, you'll still have to go see where the mall is located the closest."
CARLOS SOLIS: "Yes, we'll see about that, of course, but now we have to finish unpacking the boxes. Fortunately, we hired movers, so we just have to unpack the boxes. Which room do we start with?"
GABRIEL SOLIS: "The dressing room! It's out of the question that my clothes stay locked up any longer in boxes that have crossed half the country!"
CARLOS SOLIS, laughing: "Okay 😅"
Carlos was amused by his husband's remark. They enter the bedroom, the wardrobe is located between the bedroom and is open to the bedroom and the bathroom. Carlos Solis took the box that was at the top of the pile marked "Wardrobe" in black marker, and opened the first one. He began to take out the different pieces that formed Gabriel's dressing room, the varied clothes between the luxurious pieces due to his past as a model, and the different sports outfits due this time to his past as a professional footballer.
As they tidied up, the newlyweds discussed their plans for the coming weeks. For Carlos, it was the discovery of his new work premises, and for Gaby - as the Mexican businessman nicknamed him - it was going to be the discovery of the big city that is Fairview. All in all, the week was shaping up to be a busy one.
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PART BY submissivegayfrenchboy
The orange-walled living room was filled with moving-in boxes, but Gabriel, perpetually excited at the thought of sleeping with his sublime Mexican husband, came to give him a hug from behind. He inhaled the warm scent of his back, for Carlos was sweating and sweating after that road. Gabriel got down to the floor and sniffed his Mexican husband's big round ass. The manly smell of his ass made him vibrate.
CARLOS SOLIS: "I think that's more what you want.."
He put his big, manly hand on his long, thick cock and shook it. Gaby's eyes widened.
GABRIEL SOLIS: "Please Carlos, can I?"
CARLOS SOLIS: "Yes Gaby, make me happy.."
Gabriel quickly unbuttoned the luxurious belt and then his husband's pants, which he pulled down abruptly.
CARLOS SOLIS: "Enjoy the smell dear..."
GABRIEL SOLIS: "No! I waited several hours to be able to relieve you!"
Since he didn't like disobeying the man of his dreams, Gabriel sniffed the smell of his husband's underpants anyway, a stinking smell of manhood. He had marinated in his perspiration the whole way. Now it was time to take off the pants.
Once that was done, a huge, appetizing, slightly hairy cock faced the blonde model's pretty muscular face. Gabriel kissed the cock, licked it and began to suck it greedily.
CARLOS SOLIS: "Yeah I know you like it, puppy !"
He took his husband's blond hair in his big manly hand and kept his mouth on his cock.
After a moment, Carlos took Gabriel in his arms and carried him to the heart of the living room where he began to penetrate him. Four months of marriage, five months of fucking together, and Gabriel knew he still had time for his ass to get used to the thickest cock he had ever known.
Carlos alternated tenderness and savagery, but above all he was very excited to inaugurate this house that he had paid for. When after a good hour they finally ejaculated, the two spouses laughed and kissed.
They were sweating when they heard a knock and then enter four men. Gabriel stood up. A tall blond man introduced himself.
"Hello, my name is Marty-Alex Young, and this is Brett Van de Kamp."
He pointed to a very elegant red-haired man.
MARTY ALEX YOUNG: "And also Sunny Mayer and Luc Scavo. Welcome to Wisteria Lane."
PART OF @roroarbre-blog
Gabriel Solis quickly got dressed and walked towards the group of men who had just entered.
GABRIEL SOLIS: "Delighted! Let me introduce myself, I'm Gabriel Solis, and I'm Carlos's husband!"
He says looking in the direction of the Mexican.
"Enchanted" say the husbands all in chorus.
BRETT VAN DE KAMP: "And here are some blueberry muffins and some apples from our gardens! It's the tradition when we welcome new neighbors."
He handed the former model the basket, who took it and carried it into the brand new kitchen.
GABRIEL SOLIS: "Thank you very much, sorry to see you in the living room still full of boxes."
LUC SCAVO, smiling: "No worries, we know what moving in is!"
Carlos returning to the living room after sneaking off to the kitchen to finish putting on his pants.
SUNNY MAYER, to Carlos: "if i may ask, what do you do for a living?"
CARLOS SOLIS: "I am a businessman."
MARTY ALICE YOUNG: "And you.. Gabriel right? What do you do for a living?"
GABRIEL SOLIS, smiling: "I was both a footballer and a model for a few years, and for the past 4 months I have been a housewife."
Gabriel felt arms wrap around his waist: it was her husband who laid his head on his muscular shoulder and kissed his neck.
CARLOS SOLIS: "I'm so proud of my husband! How lucky I am to have such a handsome man in my home!"
SUNNY MAYER: "Oh how cute you are together, love is really something beautiful ! Anyway, we're not going to bother you any longer. Here we go, guys? whatever it is, I live at 4353. Right next to it is Luc and in front of my house, the blue house is at Brett's. You will have time to discover all the inhabitants, but do not worry : everyone is adorable here."
MARTY ALICE YOUNG: "We are all househusbands, not only, but for the most part we stay at home the day. If you feel like it, feel free to pass for anything. And my house is the one with the flower arch right in front."
He says this while pointing to his house through the Solis living room window.
The neighbors left the orange brick house and Carlos resumed the conversation.
CARLOS SOLIS, amused: "We have almost been caught ! In a few minutes they would have surprised us! I believe that they did not realize anything or almost. In any case, so much the better if there are other men at home. That way, you can make new friends. Tomorrow we'll go to town to see where the mall is."
GABRIEL SOLIS: "Perfect, I would never regret having married you I believe."
Gabriel said this while kissing his husband, who took the opportunity to put a hand on his buttocks.
Gabriel closed the door once their new neighbors left. He was glad he wasn't the only housewife in the neighborhood. Gabriel told himself that he could make new friends and that delighted him.
GABRIEL SOLIS: "They look adorable, don't they?"
His Mexican husband hadn't lingered to resume unpacking the boxes.
CARLOS SOLIS: "Yes, and I'm glad there are people there during the day. It reassures me not to leave you completely alone."
GABRIEL SOLIS: "But I know how to fight, eh, I remind you that I am a former athlete! I have given blows! Don't worry, if I have to start again I will know how to do it!"
Carlos laughed at his husband's words. They had been married for four months, and never since that day had Carlos been so happy in his life. Gabriel was to Carlos what oxygen is to humans. He couldn't live without him. Despite his macho and businessman alpha male side, he was very caring towards those he loves: his mother - who was the apple of his eye - and Gaby who is like his oxygen.
The afternoon passed at breakneck speed: the newlywed couple had finished unpacking the boxes, and there remained only the boxes of sporting goods that they had specially for them.
It was 8:30 p.m. when the couple had just finished dinner and reunited on their sofa to watch TV for the first time in their new home. Carlos skipped the channels trying to find a nice program, but unfortunately nothing pleased him.
He decided to stay on a channel that ran commercials while waiting for the program to start.
After a few minutes an ad for baby food played, Gaby knew very well what conversation was about to follow.
CARLOS SOLIS: "Don't you think this house is perfect for welcoming a child?"
GABRIEL SOLIS: "You know very well what I think about it. I don't want a child."
CARLOS SOLIS: "But why? It would be great! You could take care of it all day, right? And then our child would be magnificent! Imagine a mix between the two of us, it would be the perfect child. You know very well that I want to be a father, and with you as a second father it would be perfect, right?"
GABRIEL SOLIS: "Nah, I don't want to take care of it all day, it's already complicated enough to take care of myself so one more child is no. And I try as much as possible to give you back happy, but having a child, for the moment, is a no."
CARLOS SOLIS: "But why are you so afraid of raising a child?"
GABRIEL SOLIS: "The problem is not the children but the parents. I've already had enough problems with mine to know that I wouldn't be a good father."
Tears were starting to roll down his cheeks. He got up from the couch and ran for the stairs, climbing them quickly, then plopped down on their big bed.
PART BY @submissivegayfrenchboy
The tall Carlos went to find his husband who was crying in their bed. He took him in his arms, licked his soft face to wipe away his tears and reassured him. Yes, having a child, or even several, was not yet relevant.
This morning, Mexican giant millionaire Carlos Solis - having gotten out of bed after kissing his husband Gabriel, a former model and professional footballer - on the forehead - was shaving. It only leaves beard outlines.
His young blonde husband got up and saw, from behind, in the bathroom, the good big ass of the love of his life. He got up naked and knelt down behind Carlos. With his face, he parted the good big buttocks still sweaty and sniffed the asshole. He took deep breaths, which amused Carlos, delighted to be married to a young, muscular white man who liked his big, hairy Mexican man ass.
CARLOS SOLIS: "Are you sniffing my ass already, pretty pooch?"
Gabriel pulled his face away from Carlos' ass, and sweat from his ass was now on his face.
GABRIEL: "Oh yes I have to have energy in the morning! Your big stinky ass gives it to me, it's real male strength!"
CARLOS SOLIS: "Well then make yourself useful and clean my sweaty ass!"
He put his hand on his husband's head: his huge hand was the size of Gabriel's head. He tugged on his husband's gorgeous blond hair and buried his head in his big ass so that Gabriel soaked up the sweat from his anus.
But this one knew that it was also necessary to lick the big hairy buttocks of his husband.
While flattening the hair on Carlos' buttocks with his tongue, handsome and muscular Gabriel heard a growl and suddenly, Carlos' buttocks opened.
PPPPPppppppFFFFfffRRRRrrrrTTTTTTtttttttt!!!!!
The fart wasn't too foul so sniffed it. Other farts reached Gabriel's face, who amused himself by staying behind his husband to smell them, which made the Mexican millionaire laugh to see a handsome young blond man sniffing his stinking farts as if it were the purest air.
PART OF roroabre-blog
After having licked the buttocks and the anus of her husband, Gabriel had breakfast with his darling.
Carlos left for work as he does every morning and, before getting into the car, he kissed Gabriel languidly. As he was in a good mood he groped him lightly. Carlos got into one of the many European convertibles he owned. Gabriel watched him go, blowing him stolen kisses and waving him.
On today's program for Gabriel, go shopping, for him but also for Carlos. He wanted to please him, because right now, from what Gabriel understood, Carlos was overwhelmed with work. Maybe a little attention like this would give him some courage to attack the rest of the week. Gabriel liked to send a superficial image of himself, pretending that the only thing important to him was the appearance, fashion and aesthetics of his surroundings. In reality, he was not like that. It was like a shell to protect himself from the world, that's what modeling and the environment of high-level football had taught him.
Gabriel got ready quickly, and drove in the direction of the Fairview mall. Admittedly, they hadn't been settled for a long time, but Gabriel knew him like the back of his hand.
He parked in a parking space near the entrance to his favorite stores. He bought different pants, slims, cargos, baggy, everything in order to have a chameleon dressing room, which allows him to go everywhere, whether it's to a charity gala or having something to do sports, passing by neighborhood parties.
After spending most of the morning having fun, he decided to go buy a nice piece of jewelry for Carlos.
Gabriel had inquired beforehand and discovered that a few kilometers from the mall was a Mexican jewelry store. He knew that when Carlos opens it, he will be touched to know that Gabriel has made the effort to find something related to his origins. Gabriel entered the shop. Once having examined almost all the pieces they possessed, he hesitated between a beautiful watch encrusted with diamonds in green, white, red (the colors of the flag of Mexico) or a simpler bracelet but with the possibility of engraving on it what you want.
Gabriel not knowing which to choose he opted for both and had the bracelet engraved with this sentence "Te amo Carlos, nunca lo olvides", which translates as "I love you Carlos, never forget it".
After this shopping trip, Gabriel came home and wrapped the various gifts in pockets.
The afternoon had passed at breakneck speed. Gabriel had been at Brett Van de Kamp's for tea, to tell him the latest neighborhood gossip.
Then, Gabriel had supervised the preparation of the meal and the decoration of the table. He was doing all this for no other reason than to show Carlos how much he loved him. The table was set with a white tablecloth with a golden table runner, and a candlestick gave height to the decoration. The plates came from the crockery set that Gabriel's parents had given them as a wedding present: it was some of the finest porcelain in the world.
When Carlos returned, Gabriel welcomed him like a king. When Carlos took off his coat, Gabriel hurriedly took it off. When Carlos saw the table so well prepared, he wondered and asked in his deep, manly voice and pointing at the table.
CARLOS SOLIS: "In what honor did you do this?"
GABRIEL SOLIS: "Why should there be a reason? It's just because I love you, and I can see that right now the work is wearing you down, so I'm trying to make you forget that."
CARLOS SOLIS: "I really have the best husband."
Carlos said this taking Gabriel in his arms and kissing his beloved languidly. The meal went perfectly well: Gabriel listened to Carlos recount his day. He could spend hours listening to it. Carlos is so charismatic when he starts speaking, he captivates his audience, it's impressive and Gabriel loves listening to his husband.
When they had finished eating, Gabriel got up from the table to look for the two presents.
GABRIEL SOLIS: "This morning I went shopping and I thought of you, so hold on."
He handed him the two small pouches and Carlos, intrigued, hastened to open them. Carlos immediately noticed the wink at the Mexican flag on the watch, and sketched a loving smile. As for the bracelet, after reading the engraved message, he got up and tenderly kissed Gabriel.
CARLOS SOLIS: "I will never forget that I love you. How can you be forgotten? You are unforgettable."
After the meal, Carlos had only one desire: to thank Gabriel for all the efforts he had just made. He knew that at the moment, with the move and therefore his new position, he was not always easy to live with. That Gabriel did this to him touched his heart, and for Carlos the best way to thank Gabriel is by making love to him, with the sole purpose of giving him the most pleasure. Yes, when they make love, Carlos thinks more of him than of his husband, but to thank him he decided to change that that night.
He carried Gabriel, who wrapped his legs around Carlos' firm reeds.
They arrived in the bedroom, and Carlos gently deposited his lover. They kissed, caressed. As Carlos kissed Gabriel, he released a monumental burp from his mouth, inches from Gabriel's nose.
BBBBBBbbbbbbUUUUuuuuuRRRRRRrrrrrPPPPPPpppp!!!!!
Gabriel took a deep breath to smell that spicy smell caused by tonight's dishes.
GABRIEL SOLIS: “I love making love to you after eating, I get everything from you. It feels so good.”
He says this while kissing him. While Carlos burped happily, Gabriel was taking off his clothes and those of his husband. Carlos let Gabriel, who was licking his whole torso, and who stopped on his nipples. He sucked on them like milk was coming out, and Carlos liked it so much.
Carlos was so excited that he didn't even take the time to prep Gabriel or do any foreplay. He pulled out some lube, put it on Gabriel's clean-shaven pink hole and manhood, then thrust him into missionary position so he could continue burping in his face and kissing him. With each round trip, a new burp more powerful than the previous one came out of Carlos, to the delight of Gabriel, whose face was beginning to soak up the smell.
When Carlos started to feel gassy, ​​he knew it was time to sit on his husband's face. What he did immediately. Gabriel's tongue sank as far as possible into Carlos' anus, which let out manly moans, almost grunts.
When Carlos felt a fart coming, he stood up slightly and let go.
PPPPPRRpppppprrrtttttt!!!!!!! PPPPPPRrrrrrTTTTtttttt!!!!!!
PPPPPPPPPppppRrRRRrrrrrTTTTTTtttttttt!!!!
PPPPppppRRRRrrrrTTTTTTtttt PPppppRRrrrTTttttRRRRrrrTTTTtttt !!!
PPPppppPRRrrrTTTTtttRRRrrrRRTTttttRRRRrrrTTTttt!!!!!!!!
Gabriel was in heaven: smelling that smell had terribly missed him, he was delighted to be able to feel that.
After a muscular facesitting, Carlos decided to make Gabriel ejaculate by giving him a blowjob. After 7 minutes, Gabriel had released his seed on his chest. Gabirel wanted Carlos to ejaculate inside him. Carlos did it and Gabriel didn't go to wash, to keep the seed of her husband inside him: nothing better to spend such a night.
GABRIEL SOLIS: "My love, I saw that you were gassy and I wouldn't want your beautiful farts going through the air with no one to sniff them. Could you sleep on your stomach and me my head in your butt so I could sniff them all night long?"
CARLOS SOLIS: "How could I deny you after all you've done for me?"
Carlos and Gabriel positioned themselves then fell asleep peacefully with the smell of burps, farts and sperm already present in the room.
PART OF Submissivegayfrenchboy
The next morning, Carlos Solis was leaving for work when he called his husband.
CARLOS SOLIS: "I didn't get my morning kiss! What is my little American waiting for to kiss his fat Mexican husband?!"
PART OF roroabre-blog
GABRIEL SOLIS: "I'm coming right away my darling, but yesterday you tired me too much to make love to me. Fortunately, I love you otherwise I would have stayed under the duvet."
PART OF submissivegayfrenchboy
CARLOS SOLIS: "Ahh yes, under the duvet to sniff my big Mexican ass, my pretty American pig! When I think that you spent the night with your nose buried in my asshole! 😂 ¡Señor Dios! ¡Si todos los hombres blancos en Estados Unidos fueran como mi amor, los latinos serían reyes y les olfatearían el trasero! ¡Realmente me casé con una cerdita para que el olor de mis pedos la excitara!"
("Lord God! If all white men in America were like my love, Latinos would be Kings and have their asses sniffed! I really married a little pig so the smell of my farts could turn him on!" )
PART OF roroabre-blog
GABRIEL SOLIS, amused: "You know very well that I'm not a pig. I'm just madly in love with you, and everything that comes out of it, so your farts and your burps or your sweating. I love everything about you, whether it's physical or character. By the way, tomorrow night I'm going out. I'm going to see an American football game with Jason. You know, my model friend. We worked together at the beginning of my modeling career. Anyway, come here kiss me before leaving for work my darling."
PART OF submissivegayfrenchboy
Gabriel Solis, the pretty trophy of his husband, immediately loved his life in Wisteria Lane. Carlos was working, of course, but he always came back with the enormous desire to enjoy Gabriel's company. He continued to impress for his qualities as a professional footballer, he entertained the neighborhood with his sunny personality and his undeniable beauty.
Yes, life in Wisteria Lane would be fulfilling for this atypical but very loving couple.
END OF THE STORY
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My previous story about / Ma précédente histoire sur Desperate Housewives
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florekunst · 7 months
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Nouvelle participation à un recueil des éditions Joie Panique: "MA LANGUE SUR TON CŒUR" qui réunit textes et images sur l'amour par 70 artistes du monde entier ! Merci à C&C !
(Collage réalisé d'après un texte de Pierre Louÿs)
15 x 22 cm // 144 pages // reliure cartonnée cousue // embossage sur la couverture // tranchefile // beau papier intérieur Maestro 140 g. // 27 euros
À commander ici ☞ www.joiepanique.company.site
Avec :
Céline Guichard • Maldo Nollimerg • Flore Kunst • Joe Coleman • Sarah Lee • Mïrka Lugosi • Mokeït Van Linden • Musta Fior • Romano Valsky • Raphaël Tachdjian • Joël Hubaut • Marinka Masséus • Daisuke Ichiba • Anne Marie Grgich • Koichi Yamamoto • Axelle Kieffer • Tom de Pekin • Marc Brunier-Mestas • Iris Terdjiman • Ffo Art • Darédo • Laurent Bouckenooghe • Stéphane Blanquet • Wayne Horse • Dressen McQueen • Nico Mazza • Magali Cazo • Gilles Berquet • Vincent Bizien • Alessandra Roccasalva • Foued Mokrani • Myriam Mechita • Sevde Hallaç • Sœurs Siamoises • Carla van de Puttelaar • Rosanna Staus • Aya Ogasawara • Mu Blondeau • Miroslav Weissmuller • Philippe N • Paul Cristina • Asako Yamasaki • Barbara Breitenfellner • Brulex • Maï • Eléonore & Kenny • Mirza Cizmic • Siméon Droulers • Romy Alizée • Alan Feltus • Noah Saterstrom • Sergio Bonilla • Annabelle Guetatra • Yasemin Senel • Karin Rosenthal • Maïc Baxane • Rubén Garzás Gómez • Camille Bertagna • Michel Lascault • Philippe Dupuy • Lorenzo Mattotti • Giacomo Nanni • Dadu Shin • Julien Pacaud • Sarah Leterrier • Daniele Steardo • Frédéric Bélonie • Marie-Pierre Brunel • Joseba Eskubi
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