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#les feuilles mortes au
crixusniko · 5 months
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"The Last Flare"
We are the voice of the Earth. We are the children of the flame. We will definitely burn to the ground, but we will always remain ourselves.
Team Flare
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chic-a-gigot · 4 months
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La Mode nationale, no. 5, 31 janvier 1903, Paris. Deux Toilettes de visite. Bibliothèque nationale de France
(1.) — Robe de promenade ou de visite pour jeune femme, en homespun "croûte de pain". La jupe en forme s'orne de trois volants pèlerine arretés devant et s'effeuillant au-dessous d'une bande de biais juxtaposés. Chaque volant est liséré de quatre biais. Selon le choix, ces biais et ceux qui surmontent le volant supérieur peuvent être remplacés par des piqûres. Petit paletot sac légèrement cintré sous les bras, arrondi devant et bordé de biais comme la jupe.
Deux cols pèlerine garnis de biais ou de piqûres sont agrémentés d'un troisième col en velours marron avec dépassan clair. Guimpe plissée en soie du même ton que la robe. Grand nœud de velours à longs pans sous le col. Manche un peu ample du bas, montée dans un poignet cerclé de plis ou de biais.
Chapeau de feutre blanc, bordé de velours noir. enguirlandé de feuillage mort. Nœud de velours feuille morte sur les cheveux.
(1.) — Walking or visiting dress for young women, in “bread crust” homespun. The shaped skirt is adorned with three pelerine ruffles stopped in front and frayed below with a strip of juxtaposed bias binding. Each ruffle is edged with four biases. Depending on the choice, these biases and those above the upper ruffle can be replaced by stitching. Small sack coat, slightly fitted under the arms, rounded at the front and edged at an angle like the skirt.
Two pilgrim collars trimmed with bias or stitching are embellished with a third brown velvet collar with light overpass. Pleated silk guimpe in the same tone as the dress. Large velvet bow with long tails under the collar. Slightly loose sleeve at the bottom, set in a wrist surrounded by pleats or bias.
White felt hat, lined with black velvet. garlanded with dead foliage. Dead leaf velvet bow on the hair.
Matériaux: 7m,50 de lainage, 1 mètre de velours marron.
(2.) — Toilette de ville pour jeune femme ou dame d'âge moyen. Robe de drap bleu lac; à la jupe, volant pèlerine. Paletot trois-quarts en drap satin noir, un peu cintré dans le dos, ample du dos. Double pèlerine gondolée sur les épaules; un grand col de cluny noir se termine par deux pans mélangés de mousseline de soie qui tombent très bas devant. Manche plssée sur l'épaule, très ample vers le poignet où un bracelet de dentelle la serre pour fournir un volant.
Chapeau de feutre blanc liséré de velours noir, guirlande de roses roses de tons fanés autour de la calotte.
(2.) — City ensemble for young or middle-aged ladies. Lake blue cloth dress; at the skirt, pelerine flounce. Three-quarter-length overcoat in black satin cloth, slightly fitted at the back, loose at the back. Double curled cape on the shoulders; a large black cluny collar ends with two mixed panels of silk muslin which fall very low in front. Sleeve pleated on the shoulder, very loose towards the wrist where a lace bracelet tightens it to provide a ruffle.
Chapeau de feutre blanc liséré de velours noir, guirlande de roses roses de tons fanés autour de la calotte.
Matériaux: 4 mètres de drap noir; pour la rube, 6 mètres de drap bleu.
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abridurif · 4 months
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Encore ceci où on verra qu’écrire est bien différent de parler. On écrit aussi pour n’avoir plus de visage, pour s’enfouir soi-même sous sa propre écriture. On écrit pour que la vie qu’on a autour, à côté, en dehors, mais ennuyeuse et pleine de soucis, qui est exposée aux autres, se résorbe dans ce petit rectangle de papier qu’on a sous les yeux et dont on est maître. Écrire, au fond, c’est essayer de faire s’écouler, par les canaux mystérieux de la plume et de l’écriture, toute la substance, non seulement de l’existence, mais du corps, dans ces traces minuscules qu’on dépose sur le papier. N’être plus, en fait de vie, que ce gribouillage à la fois mort et bavard que l’on a déposé sur la feuille blanche, c’est à cela qu’on rêve quand on écrit. Mais à cette résorption de la vie grouillante dans le grouillement immobile des lettres, on n’arrive jamais. Michel Foucault, Le Beau danger, Entretien avec Claude Bonnefoy, Éditions EHESS. Paris, 2011
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lisaalmeida · 3 months
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Vous aviez mon cœur,
Moi, j’avais le vôtre :
Un cœur pour un cœur ;
Bonheur pour bonheur!
Le vôtre est rendu,
Je n’en ai plus d’autre,
Le vôtre est rendu,
Le mien est perdu!
La feuille et la fleur
Et le fruit lui-même,
La feuille et la fleur,
L’encens, la couleur :
Qu’en avez-vous fait,
Mon maître suprême ?
Qu’en avez-vous fait,
De ce doux bienfait ?
Savez-vous qu’un jour
L’homme est seul au monde ?
Savez-vous qu’un jour
Il revoit l’amour ?
Vous appellerez,
Sans qu’on vous réponde ;
Vous appellerez,
Et vous songerez !…
Vous viendrez rêvant
Sonner à ma porte;
Ami comme avant,
Vous viendrez rêvant.
Et l’on vous dira :
«Personne !… elle est morte.»
On vous le dira ;
Mais qui vous plaindra ?
Marceline Desbordes-Valmore
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tournevole · 1 month
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Si les poètes étaient moins bêtes
Si les poètes étaient moins bêtes
Et s'ils étaient moins paresseux
Ils rendraient tout le monde heureux
Pour pouvoir s'occuper en paix
De leurs souffrances littéraires
Ils construiraient des maisons jaunes
Avec des grands jardins devant
Et des arbres pleins de zoizeaux
De mirliflûtes et de lizeaux
Des mésongres et des feuvertes
Des plumuches, des picassiettes
Et des petits corbeaux tout rouges
Qui diraient la bonne aventure
Il y aurait de grands jets d'eau
Avec des lumières dedans
Il y aurait deux cents poissons
Depuis le croûsque au ramusson
De la libelle au pépamule
De l'orphie au rara curule
Et de l'avoile au canisson
Il y aurait de l'air tout neuf
Parfumé de l'odeur des feuilles
On mangerait quand on voudrait
Et l'on travaillerait sans hâte
A construire des escaliers
De formes encor jamais vues
Avec des bois veinés de mauve
Lisses comme elle sous les doigts
Mais les poètes sont très bêtes
Ils écrivent pour commencer
Au lieu de s'mettre à travailler
Et ça leur donne des remords
Qu'ils conservent jusqu'à la mort
Ravis d'avoir tellement souffert
On leur donne des grands discours
Et on les oublie en un jour
Mais s'ils étaient moins paresseux
On ne les oublierait qu'en deux.
Boris Vian (1920-1959), recueil : « Je voudrais pas crever », éd. Jean-Jacques Pauvert, 1962.
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il y a des feuilles plus mortes que d’autres ; celle qui tombe de mon petit cahier, déjà séchée depuis plusieurs jours, à côté d’une au sol fraichement décrochée, me le dit ce soir ; deux morts décalées qui ne possèdent pas la même couleur (de vie)
© Pierre Cressant
(lundi 7 novembre 2022)
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ernestinee · 7 months
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Hier il y a eu 3 trucs bizarres dans ma matinée.
Je fais des courses et je cherchais un truc, je demande à une dame qui rangeait les rayons et elle ne savait pas, et finalement c'est 5 dames qui étaient en train de remettre des trucs en rayons qui ont cherché mon paquet d'oignons frits en se parlant (fort) d'un rayon à l'autre genre "Maryvonne c'est pas dans le tien les oignons frits ?? Ah attends peut-être.... Ah non peut-être Bernadette ? Bernadeeeeette c'est chez toi les oignons frits ?" (Je ne sais plus les prénoms ^^) j'étais 🤨 mais c'était sympa.
Puis après il y a une petite mamy qui m'a reconnue et moi non pas du tout mais au début je pensais que j'avais une mémoire de poisson rouge alors j'ai fait genre que je la reconnaissais le temps de me souvenir d'où je la connaissais et puis j'ai compris que je n'étais pas du tout la personne qu'elle pensait pcq elle me parlait de gens que je ne connaissais pas mais elle avait l'air tellement contente de me voir et elle était déjà tellement loin dans sa conversation que j'ai pas osé casser son truc du coup j'étais en mode "hmhm oui.... Oui oui..... Ah oui.... Ça va oui oui... Ah bon... Oh..."
Et puis je repars de cette ville bizarre et je suis derrière une voiture au feu rouge, et je vois que le truc qui pendouille à son rétroviseur c'est.... une souris morte ??? Peut-être juste un jouet pour chat mais ça avait l'air si vrai avec ses petites pattes là comme les souris congelées qu'on donne aux serpents et j'ai eu tellement de questions en tête avec ça.
Et sinon les travaux dans la maison sont terminés, je retrouve mon salon qui avait été transformé depuis une grosse semaine en chantier avec des plaques en bois par terre pour protéger le sol, des seaux d'argile, des briques, des outils, de la poussière etc. on a fait construire un poêle de masse, c'est un gros poêle maçonné dans la maison, avec des pierres réfractaires, un gros feu de bois d'1h et ça diffuse la chaleur sur 24h dans toute la maison. En plus on brûle ce qu'on veut, du sapin, des palettes, ça chauffe tellement fort qu'il ne reste plus rien, c'est juste une gestion différente de l'habitude. On est au bois depuis longtemps mais avec un poêle normal qu'il fallait recharger régulièrement. Et on a un four dedans, selon la t° du foyer on pourra faire cuire des pizzas ou faire mijoter des trucs. C'est notre projet slow qui évolue petit à petit c'est chouette.
Et sinon les oignons frits c'était pour mettre dans une soupe omg quelle tuerie : un demi butternut, 4 grosses carottes, un poivron rouge, 4 échalotes, 2 cubes de bouillon de légumes, une poignée d'origan frais et 4 grosses feuilles de sauge.
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nemosisworld · 7 months
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Mon âme vers ton front où rêve, ô calme sœur, Un automne jonché de taches de rousseur, Et vers le ciel errant de ton œil angélique Monte, comme dans un jardin mélancolique, Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’Azur ! - Vers l’Azur attendri d’Octobre pâle et pur Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie Et laisse, sur l’eau morte où la fauve agonie Des feuilles erre au vent et creuse un froid sillon, Se traîner le soleil jaune d’un long rayon.
Stéphane Mallarmé
Ph. Christoph Reiter
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abdou-lorenzo · 1 year
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Un visage à la fin du jour
Un berceau dans les feuilles mortes du jour
Un bouquet de pluie nue
Tout soleil caché
Toute source des sources au fond de l’eau
Tout miroir des miroirs brisé
Un visage dans les balances du silence
Un caillou parmi d’autres cailloux
Pour les frondes des dernières lueurs du jour
Un visage semblable à tous les visages oubliés.......🍀🥀❤️
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Paul ÉLUARD, La Vie Immédiate (Les Cahiers Libres, 1932)
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1340fatboy · 10 months
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Camille Monfort, la légende du "Vampire de l'Amazonie" (1896).
En 1896, Belém s'enrichit en vendant le caoutchouc amazonien au monde entier, enrichissant du jour au lendemain les paysans qui construisent leurs riches demeures avec des matériaux venus d'Europe, tandis que leurs femmes et leurs filles envoient leurs vêtements se faire laver sur le vieux continent et importent de l'eau minérale de Londres pour leurs bains.
Le "Theatro da Paz" était le centre de la vie culturelle en Amazonie, avec des concerts d'artistes européens. Parmi eux, l'un d'entre eux attirait particulièrement l'attention du public, la belle chanteuse d'opéra française Camille Monfort (1869 - 1896), qui suscitait des désirs inavouables chez les riches seigneurs de la région, et une jalousie atroce chez ses épouses en raison de sa grande beauté.
Camille Monfort a également suscité l'indignation pour son comportement affranchi des conventions sociales de son époque. La légende raconte qu'on l'a vue, à moitié nue, danser dans les rues de Belém, alors qu'elle se rafraîchissait sous la pluie de l'après-midi, et la curiosité a également été attisée par ses promenades nocturnes solitaires, lorsqu'on l'a vue dans ses longues robes noires et fluides, sous la pleine lune, sur les rives du fleuve Guajará, vers l'Igarapé das Almas.
Bientôt, autour d'elle, des rumeurs se créent et des commentaires malveillants prennent vie. On disait qu'elle était l'amante de Francisco Bolonha (1872 - 1938), qui l'avait ramenée d'Europe, et qu'il la baignait avec de coûteux champagnes importés d'Europe, dans la baignoire de son manoir.
On disait aussi qu'elle avait été attaquée par le vampirisme à Londres, à cause de sa pâleur et de son apparence maladive, et qu'elle avait apporté ce grand mal à l'Amazonie, ayant une mystérieuse envie de boire du sang humain, au point d'hypnotiser les jeunes femmes avec sa voix lors de ses concerts, les faisant s'endormir dans sa loge, pour que la mystérieuse dame puisse leur atteindre le cou. Ce qui, curieusement, coïncidait avec des rapports d'évanouissements dans le théâtre pendant ses concerts, expliqués simplement comme un effet de la forte émotion que sa musique produisait dans les oreilles du public.
On disait aussi qu'elle avait le pouvoir de communiquer avec les morts et de matérialiser ses esprits dans des brumes éthérées denses de matériaux ectoplasmiques expulsés de son propre corps, lors de séances de médiumnité. Il s'agit sans aucun doute des premières manifestations en Amazonie de ce que l'on appellera plus tard le spiritisme, pratiqué dans des cultes mystérieux dans des palais de Belém, comme le Palacete Pinho.
À la fin de l'année 1896, une terrible épidémie de choléra ravagea la ville de Belém, faisant de Camille Monfort l'une de ses victimes, qui fut enterrée dans le cimetière de Soledade.
Aujourd'hui, sa tombe est toujours là, couverte de boue, de mousse et de feuilles sèches, sous un énorme manguier qui la fait plonger dans l'obscurité de son ombre, seulement éclairée par quelques rayons de soleil projetés à travers les feuilles vertes.
Il s'agit d'un mausolée néoclassique dont la porte est fermée par un vieux cadenas rouillé, d'où l'on peut voir un buste de femme en marbre blanc sur le large couvercle de la tombe abandonnée, et attachée au mur, une petite image encadrée d'une femme vêtue de noir.
Sur sa pierre tombale, on peut lire l'inscription :
« Ci-gît
Camille Marie Monfort (1869 - 1896)
La voix qui a charmé le monde ».
Mais certains affirment encore aujourd'hui que sa tombe est vide, que sa mort et son enterrement n'étaient rien d'autre qu'un acte visant à dissimuler son cas de vampirisme, et que Camille Monfort vit toujours en Europe, aujourd'hui à l'âge de 154 ans.
(L'image originale a été retouchée pour extraire les détails. Et non, ce n'est pas un téléphone portable qu'elle tient dans ses mains, mais un petit carnet).
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crixusniko · 5 months
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The Red Carpet
Lysandre de Fleur and Diantha Cornette at the movie premiere. He congratulates her on the release of the film "The Crown of Kalos", where she played the role of a woman knight, the protector of the region.
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les-portes-du-sud · 10 months
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Papillon
06.08.2023
Avez-vous un bon endroit ou une bonne personne?
Ne les montrez à quiconque. Seulement les plus proches, chers, gentils ...
Enfant, à la campagne, j'ai découvert une étonnante clairière. Il y avait de grandes touffes pures d'herbe émeraude; un lac. Lac transparent; les araignées d'eau courent à la surface, se frayant un passage entre les feuilles d'arbres emportées par le courant.
Fleurs jaunes au parfum fin et délicat. Et l'anémone blanche, petite primevère fragile, qui fleurissait. Une merveilleuse petite clairière, mais dans la forêt la neige n'a pas encore complètement fondu. J'ai trouvé donc ce petit coin de joie...
Mais se réjouir seul ne suffit pas ! Je veux partager la beauté et le bonheur. Et j'ai amené une autre fille pour voir ce bel endroit. Là où c'est déjà l'été, regardez ! Et un petit lac. Et des fleurs. Et même un papillon chou jaune citron flotte au-dessus des gerris et des anémones...
Le lendemain, j'arrivai à la clairière. Et les anémones étaient arrachées. Et les bouquets de fleurs sauvages fanées; des brassées de fleurs mourantes. Cette fille les a ramassé et écourté leur vie déjà éphémère. Oui, et toute la beauté du lieu a disparu. Juste des tiges paresseuses étêtées et des fleurs mortes gisaient en tas. C'est tout ce qui reste de la fabuleuse petite clairière aux anémones blanches comme neige et des inflorescences dorées.
Cela arrive souvent lorsque vous ouvrez un bonheur caché personnel à un autre. Votre place, votre personne, votre joie, votre musique - quelque chose qui vous est propre, très personnel et très nécessaire.
j'ai senti mon être déchiré, la joie laissant place à l'amertume, profondément déçu. Spectacle désolant, terne. Il ne restait rien. Toute énergie a disparu, elle a été détruite, arrachée et laissée à périr. Parce que tu ne peux pas l'emporter avec toi. On ne pouvait qu'aimer et admirer, et être rempli d'amour ... Mais tout le monde n'est pas capable de cela, tout le monde ne peut pas le faire - il suffisait simplement de s'en imprégner.
Que le secret reste secret. Ce n'est qu'ainsi que nous pourrons préserver ce que nous aimons et admirons immensément...
Les-portes-du-sud
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chic-a-gigot · 8 months
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La Mode nationale, no. 40, 9 octobre 1897, Paris. No. 22. — Groupe de toilettes. Bibliothèque nationale de France
(1) Toilette de jeune femme en velours noir. Corsage riche voilé de dentelle blanche et d'un empiècement perlé. Col, ceinture et draperie de corsage avec nœud en satin flamme de punch.
(1) Young woman's ensemble in black velvet. Rich bodice veiled with white lace and a beaded insert. Collar, belt and bodice drapery with punch flame satin bow.
Matériaux: 9 mètres velours; 1m,50 de satin.
(2) Toilette de jeune fille, en lainage feuille morte. Revers et col de taffetas gris au corsage bouffant et aux lés de côté, olives grises retenues par une cordelière noire.
(2) Young girl's toilet, in dead leaf wool. Gray taffeta lapels and collar with puffed bodice and side panels, gray olives held in place by a black cord.
Matériaux: 7 mètres de lainage; 50 centimètres taffetas.
(3) Toilette de jeune fille, en lainage acier. Le bas de la jupe est orné d'une bande de drap blanc recouverte de 6 rubans no. 7 en satin noir. Le corsage forme un boléro croisé sur le côté gauche et garni comme le bas de la jupe; même garniture sur le haut des deux lés de côté.
(3) Young girl's ensemble, in steel wool. The bottom of the skirt is decorated with a strip of white cloth covered with 6 no. 7 ribbons in black satin. The bodice forms a bolero crossed on the left side and trimmed like the bottom of the skirt; same trim on the top of the two side strips.
Matériaux: 1m,50 drap blanc; 7 mètres lainage; 30 mètres ruban.
(4) Toilette de jeune fille, en épingline "rouille". Le bas de la jupe est recouvert d'une bande surmontée d'un ruban de satin blanc ondulée. Corsage à basque plate, à larges revers de velours bordés satin blanc. Chemisette de mousseline de soie blanche.
(4) Young girl's ensemble, in "rust" pin. The bottom of the skirt is covered with a band topped with a wavy white satin ribbon. Bodice with flat peplum, wide velvet lapels edged with white satin. White silk chiffon shirt.
Matériaux: 7 mètres épingline; 3 mètres velours; 1 mètre satin.
(5) Toilette en bengaline vert-de-gris. La jupe est garnie de 9 volants séparés par 4 petits plis de lingerie. Croisillons de velours noir au corsage dont l'empiècement de dentelle est sur le devant découpé en pointes.
(5) Ensemble in verdigris bengaline. The skirt is trimmed with 9 ruffles separated by 4 small lingerie pleats. Black velvet braces on the bodice with a lace insert on the front cut into points.
Matériaux: 14 mètres de bengaline; 5 mètres de velours.
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nuitdemai · 2 months
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La disparition de Tim, chapitres 1 & 2
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Chapitre 1 : Le petit pull
C’était un soir d’octobre, Tim avait passé une journée banale, comme toutes les autres. Ce soir-là, il terminait tard les cours, ce n’était pas un problème, puisque ça arrivait chaque semaine. Ce soir-là, pourtant, il ne rentra jamais à la maison. L’alerte fut rapidement donnée, et on se mis à chercher l’adolescent dans tout le village, en un rien de temps, la nouvelle de la disparition avait fait le tour de Saint Lionel et des villages avoisinants. Tous se demandaient ce qui avait bien pu arriver au garçon.

Et les témoignages commençaient à se multiplier, dans ce contexte de panique générale, il n’était pas aisé de démêler le faux du vrai. Finalement, toutes les informations qu’avait récolté la police ne permirent pas de retrouver l’enfant.
Petit à petit, faute de nouvel élément, l’affaire s’est essoufflée, jusqu’à atteindre le point mort, pourtant, un rebondissement inattendu allait faire faire un bond à l’enquête, plus d’un an après la mystérieuse disparition, le dix janvier 2024.

C’est un habitant du village qui, en se promenant dans la forêt pour ramasser des champignons, découvrit un pull caché sous un tas de feuilles.
Après identification auprès des parents, il serait probable que ce vêtement appartienne bien au petit Tim, d’autres analyses sont en cours pour confirmer cette information.Fait étrange, le pull, trouvé dans une forêt, était en parfait état au moment de la découverte. Cela ne veut dire qu’une seule chose, le vêtement a été déposé par quelqu’un le jour-même, voir la veille, puisqu’avant ça, il avait plu pendant une semaine.Alors, qui a bien pu faire cela ? Ce curieux personnage est-il le kidnappeur de Tim ? Pourquoi avoir laissé ce pull dans cette forêt ?
Chapitre 2 : Le rôdeur
Cela fait deux mois que le pull a été retrouvé, et après analyses, il a bien été confirmé que le vêtement appartient au jeune garçon. Depuis, au village, tout le monde ne parle que de ça, personne ne comprend pour quelles raisons ce pull a été laissé là, comment cela se fait-il qu'il soit en parfait état ? Tout le monde soupçonne tout le monde, mais surtout, tout le monde soupçonne Henri Mars, l'ancien libraire de la ville. On dit qu'on l'a vu rôder la nuit, tantôt dans la forêt, tantôt vers la maison de Tim. Personne n'a vraiment cherché à le questionner sur cet étrange comportement, et la police tente d'obtenir des preuves avant de pouvoir l'interpeler. Mais est-il vraiment lié à cette disparition ? Il semble être le coupable idéal, à moins que...
Bonjour à tout le monde, cela fait un peu plus de deux mois que le forum a ouvert ses portes, deux chapitres de l'intrigue principale ont été dévoilés, et on espère qu'ils vous donnent envie d'en savoir plus !
Pour la deuxième mise à jour du forum, le design a changé, le jaune a laissé place au bleu, et un nouvel événement sera bientôt lancé : le très célèbre concours floral des Azalées.
Nous vous attendons avec impatience sur la Nuit de Mai ♥️
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lisaalmeida · 9 months
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Ne demande pas à la feuille de ne pas bouger. Il ne peut pas, il y a le vent ! Ne demande pas au soleil de rester immobile. Il ne peut pas, il y a la nuit ! Ne demande pas à l'homme de vivre éternellement. Il ne peut pas, il y a la mort ! Ne me demande pas de ne pas t'aimer Je ne peux pas, je t'ai vu !
Jacques Prévert.
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il y a des feuilles plus mortes que d’autres ; celle qui tombe de mon petit cahier, déjà séchée depuis plusieurs jours, à côté d’une au sol fraichement décrochée, me le dit ce soir ; deux morts décalées juxtaposées qui ne possèdent pas la même couleur (de vie) ; la mort semble aussi connaître une forme de vieillissement
© Pierre Cressant
(lundi 7 novembre 2022)
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