Tumgik
#lapine lantern
lapinelantern · 2 days
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Varian Sketches (ft. Chiko)
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loveinlilies · 2 years
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Ok but. Do you understand how I'm losing my mind so hard rn. I'm losing my mind. I'm losing my mind I'm losing my mind I'm losing my
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aliceinoakdale · 27 days
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Pique-nique de Printemps à ‘Myshuno Meadows’ de PlumbobKingdom
Pique-nique dans le parc de San Myshuno "Myshuno Meadows" dans une de mes sauvegarde préférée "l'ultimate save" de Plumbobkingdom. Le terrain à été modifié pour l'adapter à mon gameplay. Crédit et remerciement à @Plumbobkingdom pour son incroyable création.
Pique-nique Alice + Tom
Couverture pique-nique de Cowbuild Couverture pique-nique de MelBennett Chemise de Imadako Panier pique-nique de Wondymoon Coussins de MelBennet Coussins rond de Hydrangea Coussin de Pierisim Coussin de Harrie et Felixandre Coussin de Cowbuild Pile couverture, coussin de PinkboxAnYe Lanterne de PinkboxAnYe Fleurs Hydrangea de Sooky Lapin déco, fleurs de PinkboxAnYe Baskets V1, V2 de SIMcredible! Rouleau essuie-tout de PinkboxAnYe Assiettes de Ddaengsims Verres de PinkboxAnYe Jus d'orange, plateau pancakes de Tamaylasims Plateau brunch de Tamaylasims Plateau fromages, vin de RubyRedsims Verre vin, bouteille vin de Solorya Chiffon, pommes de PinkboxAnYe Salade de Tamaylasims Macarons, set de thé, fleurs de RubyRedsims Glace, cornets de RubyRedsims Assiette pancakes de MelBennet Assiette Fruits de Tamaylasims Assiette macaron, fleurs de RubyRedsims Assiette gaufre fraises de MelBennet Assiette gaufre, pizza cœur de MelBennet Assiette gâteau fraises de Tamaylasims Pains de SIMcredible! Beurre de SIMcredible! Ventilateur portable de Ddaengsims
Sims décoration de Someone-elsa Sims décoration de Lazysimmies Sims décoration de StarrySimsie Pose de StarrySimsie Pose de Sws-pose Animation de SovaSims
Créateurs CC :
@Plumbobkingdom / @cowbuild / @mel-bennett / @imadako / @wondymoondesign / @hydrangeachainsaw / @pierisim / @harrie-cc / @felixandresims / @pinkbox-anye / @sooky88 / @simcredibledesigns / @ddaeng-sims / @tamaylasims / @soloriya / @rubyredsims / @someone-elsa / @lazysimmies / @starrysimsie / @sws-pose / @sovasimscc /
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icariebzh · 3 months
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C’est le moment d’en apprendre un peu plus, entre coupe de cheveux, pétards et menu du réveillon.
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Le Nouvel An lunaire est également appelé « Fête de la Lune » ou « Fête du Têt » (au Vietnam). Il est célébré dans une grande partie de l’Asie de l’Est et du Sud-Est (Hong Kong, Taiwan, Vietnam, Singapour, Corée, Malaisie et Tibet) mais également partout dans le monde grâce à sa diaspora. Cette journée si importante tombe le premier jour du calendrier luni-solaire et sa date, qui change chaque année, se situe généralement entre la fin du mois de janvier et la mi-février.
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Les festivités durent quinze jours, à partir de la nouvelle lune, jusqu’à la première pleine lune, marquée par la Fête des Lanternes. À New York, Vancouver, Londres, Sidney ou encore Paris, elles réunissent les communautés asiatiques mais boostent également le tourisme autour de temps forts comme les défilés de danse du lion et du dragon.
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Le 22 janvier 2023, nous entrons dans l’année du lapin (ou chat) d'eau.  Le 10 février 2024, ce sera l'année du Dragon de bois.
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Le Nouvel An lunaire se célèbre la veille au soir, comme Noël ou Kippour. Cette réunion familiale est un incontournable. Le réveillon se déroule autour d’un repas qui varie selon les pays. En Chine, on mange des raviolis à la viande (parce que l’année a été prospère), du poisson, des clémentines ou des nouilles (pour la longévité). Au Vietnam, on déguste un gâteau au riz gluant, haricots mungo et viande parfumée.
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La tradition veut que l’on célèbre ce passage à la nouvelle année dans son foyer, en famille, sous peine de se porter malchance. Ainsi, il faut s’attendre à de grandes migrations partout en Asie, où les grandes villes se vident pour que leurs habitants retournent dans leurs provinces. En Chine, des centaines de millions de personnes prennent quelques jours de congés (entre une semaine et dix jours) et se déplacent en train, en avion, en voiture ou en bateau, créant des embouteillages monstres.
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Les pétards, allumés après le souper, font fuir Niang, un esprit maléfique. Plus on fait de bruit, meilleure sera l’année. Cependant, depuis quelques temps, les pétards et feux d’artifices utilisés par les particuliers sont de plus en plus restreints par mesure de sécurité mais aussi afin de limiter la pollution.
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Le premier jour de l’An, on présente ses vœux aux aînés, en tout premier, puis à ses proches. On porte du rouge par superstition. Le rouge, symbole de joie, de prospérité et de bonne santé, est ainsi partout : sur les portes des maisons, les décorations dans les rues, et même les sous-vêtements. Par ailleurs, toute parole, toute action aura une répercussion sur l’année qui débute.
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On offre de petites enveloppes rouges contenant de l’argent aux plus jeunes. Cela leur apportera la prospérité. Ces enveloppes peuvent également s’échanger entre amis ou à destination des célibataires et sont désormais passées au numérique. En 2017, 46 milliards de dons ont été enregistrés sur WeChat en six jours. Attention, en Chine, le chiffre 4 représente la mort, alors on évite ses multiples !
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Les présentateurs Arthur et Patrick Sébastien ont leur égal en Chine. Le soir du réveillon, tous les Chinois sont devant CCTV, chaîne d’État, qui enregistre chaque année plus de 700 millions de téléspectateurs (en comparaison, le Super Bowl américain réunit un peu plus de 100 millions de personnes). Chants populaires, sketchs, performances acrobatiques et stars locales sont toujours de la partie. Même chose au Vietnam, sur HTV (au sud) ou VTV (au nord). Sur cette dernière chaîne, les Vietnamiens regardent en direct la cérémonie où l’on sonne la cloche du Temple de la montagne de jade et où les moines et officiels jettent des poissons dans le lac Hoan Kiem.
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Les portes et les fenêtres sont ouvertes jusqu’à minuit, afin de laisser l’année écoulée s’en aller. D’ailleurs, on laisse également derrière soi son ancienne coupe de cheveux en allant chez le coiffeur avant le Nouvel An, pour débuter l’année en beauté. Le jour même : interdiction de faire le ménage, au risque de balayer la bonne fortune !
Article initialement publié dans le magazine Koï, numéro 15, janvier-février 2020.
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thehyperrequiem · 1 year
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Bww MoD - The Phantom’s Revenge
I am bringing it back baby!
This is for my bww au called Masters of Disguises, so yeah big info is in here.
Anyway, here’s an idea of a Story that is made by me and help by @sundove88
Synopsis: “When the gang decides to play truth or dare, they end up going on The Phantom’s Revenge. But when Cass goes missing, it turns into a serious situation very quickly…”
Nega Boss of the Day: The Voost Doost Doll (Merry Ghost + a Voodoo Doll)
Negatized Victim: Rave Barb, who is voiced by Kyle Herbert (He got Negatized for having a bad case of unrequited love. After he is purified, he manages to get a crush)
Accessories Used:
-Lantern Ring (Used by Haoyu to turn into Lighthead)
-Bunny Ear Pocket Watch (Used by Attilio to turn into Laughing Lapin)
-Butterfly Earrings (Used by Cal to turn into Nighty-Knight)
-Flame Patterned Bandana (Used by Sana to turn into Torch Gal)
-Dragon Scale Choker (Used by Jose to turn into Cropgon)
-Paintbrush Haircomb (Used by Lucy to turn into Creative Cephalopod)
-Automaton Anklet (Used by Bruce to turn into B12-Cl34N)
-Devilish Leg Jumpers (Used by Leo to turn into Breakdancing Devil)
-Panda Ears Headband (Used by Emma to turn into Sumo Bear)
Accessory Unlocked: Ghostly Mask (Merry Ghost Form)
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lapinlunaire-games · 2 years
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Hi everyone! For spooky season this year, I'm going to be doing Halloweek, a mini prompt event in the spirit of Inktober. Each day of the week leading up to Halloween, plus the day before and day of, I'm going to post a short piece of writing using the prompt list above.
If you'd like to join me, I'd love the company! Tag your creations with "#lapin halloweek 2022" if you'd like me to see/share them (you can also tag me in the post itself). I'll be writing H&H pieces, and I can't wait to see what everyone comes up with!
List transcript under the cut 😊
Lantern
Shatter
Fog
Glint
Smoke
Gnarled
Stain
Float
Sublime
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a-k-a-ruenis · 1 year
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Chasing Stars
Rating; Teen+
Original Work
Chapter 1 / ?
Genre(s); Romance, Adventure, Slice of life
Story under cut!
* as an ongoing story, the tags will be updated per chapter. please be aware that things like depression, anxiety, references to self harm/suicide have a HIGH chance to be brought up. each chapter will be marked accordingly as needed!
Chapter 1
-*-
Annos 12
10:43PM
“.. late.. accept this.. morning..”
The voice is unfamiliar. It doesn’t belong to the merchant that had picked them up a few hours ago. It’s soft. Very soft. And it sounds slightly frustrated –
“.. see Lyris.. tomorrow..”
It’s fragmented. It comes out in pieces.
Rue slowly stirs awake at the voices, head painfully aching. The wagon is pitch, and his vision has trouble adjusting to it; blinking a few times doesn’t really help, and he’s left to lie there for a moment, letting the rest of his body wake up.
That isn’t the merchant’s voice. It’s a young one – it probably belongs to a young man around his own age.
“I’m really sorry.. some trouble.. Reng.. Lapine family..”
The merchant is talking to the young man. Apologising. Apologising for being late, it sounds like.
The merchant’s beasts have ceased their clopping against the ground; they grunt softly amongst themselves instead, and Rue can’t tell if they’re happy to be done with the journey, or not. They aren’t horses. When he first saw them a few hours ago, when he and Azalea first hitched a ride, they’d been a blackish blue sort of colour, and seemed to be dripping with water. Their manes had been made of seaweed..
.. maybe.
That’s the only part he’s unsure of. Outside of books, he’s never seen seaweed, and it looked different compared to the lakeweed that forested the bottom of the river and pond back home. The beast’s manes were longer, had less foliage to it.
It takes him another few seconds. Struggling to sit up, Rue tries his best to ignore the aches that rack his body; sleeping in a wagon with only a cloak for a blanket and pillow, between heavy barrels full of spice and chests full of supplies, is not the best on a body. His hands fumble clumsily in the dark, pressing against the cold floorboards as he tries to crawl toward the exit – a bottle sneaks its way under one of his palms, and he slips forward, cheek painfully meeting the floor with a hard thud. “Ow.. ugh..!” he groans, listening as his assailant rolls off to some other part of the wagon, meeting something with a soft clink!
Now his cheek hurts like the rest of his body does.
Barrels and chests are not proper substitutes for pillows and sheets.
The noise seems to draw someone’s attention. Their footsteps crunch softly against the snow, and a few seconds later, the wagon’s flap is pulled open.
Rue sits himself up as it is, and finds himself staring at a white haired human. There’s a lantern in his other hand, and Rue momentarily raises an arm to cover his eyes, shielding them as he tries giving himself time to adjust to the abrupt change in light.
“Ah.. sorry..”
Soft. It’s the same voice from before, the young one. The youth lowers the lantern, rests it on one of the wagon’s steps instead.
In response, Rue lowers his arm, and allows himself to stare at the other.
It looks like the two of them might be around the same age. It’s always a little tricky with humans – an elf could be one hundred and fifty seven, and look the same as a twenty-three year old human. But this one’s young, and Rue’s young – the white haired youth must be around twenty, at least. It doesn’t look as if the youth is dressed like a merchant – though, to be fair, the phvren from before is the first one Rue’s met. It doesn’t look as if he’s got any weapon or anything on him, either, so he probably isn’t a city guard..
“Who’re y–..” Rue starts to ask.
“Who ar–..” the white haired youth starts.
The two of them stop, the youth’s eyes widening in surprise for a second, a moment, before he looks away, face flushing a warm, flustered red.
Rue immediately bites on his lip, trying not to laugh. It’s difficult; he hadn’t tried to fluster the other young man on purpose, but..
“Ib.”
It’s soft, again.
The youth’s dark, dark red eyes glance toward Rue for a moment, narrowed in their fluster. They’re a pretty red. A wine or berry kind of red. “I’m Ib,” he murmurs, pulling at his snow-white bangs; he does not quite meet Rue’s eyes as he does, visibly still embarrassed.
“Ib,” Rue repeats after him.
It’s an easy name. An odd one.
‘Eye-buh’.
He repeats the name in his head, stretching it out, enunciating it.
An odd name indeed. Perhaps it’s short for something.
Rue smiles, and then helps his younger sister sit up, an arm beneath one of her own. “Do you work for that merchant, Ib? The phvren?” he asks. He watches Ib glance between the two of them, pretty red eyes lingering over their hooded faces. The heavy hoods hide most of their face, hide their ears but it isn’t intentional – their ears, being longer, get cold much easier and much quicker.
It’s not worth it to remove the hood just yet. It’s still freezing, and people are going to be surprised, anyway. Elves are extremely uncommon in cities, according to the books he’s read; elven tribes often choose to wander aimlessly, or settle in places far from other people. Theirs is the latter kind. And other than the few extended family members he’s met, and the people he met at the hospital, he’s never met any other elves before.
“.. for.. for Orin?” Ib questions, frowning now – his small white brows furrow, and he shakes his head, once, twice, “No, no, I.. I work at the inn, for Lyris..”
Rue stares for a moment.
Ib’s eyelashes are white, too – they stand out against his tanned skin, stand out with his pretty, dark, dark red eyes.
It takes him a bit to realise what Ib had just said.
“The inn?”
Ib nods. The flush in his cheek slightens, and he breathes out, again.
More white fog comes out.
“Can you take us there?” Rue asks, eager – the prospect of a real bed with a real pillow so close within reach, now. If Ib hadn’t come along, he probably would’ve had to ask the merchant to escort him and risk getting a ‘no’; he does, after all, still have to mind after this wagon and the supplies. “I can pay,” he adds, just in case.
Azalea told him not to mention exactly how much llore they have; just that they do have it. Neither of them are quite sure how much anything costs. Living in a village where money is unneeded and useless never gave them the experience or knowledge they needed about it. Before the two of them left, they were told that the goldish ones are worth one llore.. pink are worth five, blue are worth twenty-five..
They didn’t get into any values after that. They don’t have any other coins on them other than those three types. Hopefully the fee for the room won’t exceed the two hundred thirty-nine that they have.
“I.. I can,” Ib says, nodding again. Grabbing the lantern, he lets it dangle in his hand, away from eye-level so it doesn’t hurt their eyes, again. “Do you, um.. do you need help..?” he asks, and he gestures toward Azalea. Despite the question, he remains standing still.
It’s nice. It seems he won’t do anything without a yes or a no, first, and Rue appreciates that.
“No, I’ve got her,” Rue says, shaking his head. If possible, he’d rather no one else touch her – even if that someone happens to be a cute human with pretty eyes and hair who works at an inn. It takes some extra effort, but he manages to hoist Azalea up onto his back, forcing her limp arms over his shoulders. “You can get our backpack, though,” he says, slowly exiting the wagon. The snow crunches softly beneath his heeled boots, and he takes a step backward once he does, making enough room for Ib to crawl in and grab their pack.
Ib does, but only after securing the lantern to his belt. It hangs, sways with each small movement, but the bulb inside is safe enough, and after he ensures it will not fall, he climbs in to grab their backpack, surprisingly easily. Their backpack’s a bit on the heavy side, filled with their magicked essentials, but he grabs it and carries it over his shoulder with relative ease, face starting to flush from the biting cold. Gesturing toward the rest of the city, to a small staircase that leads deeper within, he says, “Please, um.. please follow me.”
Rue does.
Each step causes the snow to quietly crunch beneath his boots, a little louder, a little heavier than it had been before. Azalea’s extra weight causes him to sink a little deeper than he normally would.
This part of the city is more crowded. There are more buildings, and it feels tighter, more restricted – Ib threads his way through the alleys, easily. It isn’t surprising; as a citizen of Dewberry, he should be very familiar with the layout of the city. It’s dimmer here, though. The light from the streetlamps don’t reach in the alleys, and most of the buildings have their curtains drawn, allowing no light to seep through the windows. The only light that remains is the lantern on Ib’s belt, which casts small shadows as they move along.
It’s a little harder to breathe here. There’s more air down here than there is up on the mountain; Rue has to force himself to take shallower breaths in an attempt to stave off dizziness.
It helps.
The breeze carries the taste and the smell of the sea with it. It tastes of salt and cold. It smells of fish. It’s a different feeling compared to the river and lake in their small village.
After another few moments, they come upon another set of stairs. They open up into what looks like a small plaza, with seating and a view of a small docking harbour. There is yet another set of stairs leading directly into the sea, covered in what looks like moss, the waves lapping at the stone and the rotted wood.
It.. doesn’t look very safe. But it is very interesting. Rue will have to come back and check it during the morning. There are a few boats down there, smaller canoes loaded up with fishing gear and lanterns and chests. Only a few of them are manned.
Following after Ib, Rue is careful once again as he descends these next steps. A few of them are replaced with wood here, too, but they’re not rotted. They’re too high up and away from the ocean. They continue along, sticking close to the railing.
This part of the city is just a bit more open than the other part – there aren’t as many alley ways, and this area has a much bigger residential building in the center. It towers over all the others, nearly all its windows lit up as silhouettes pass by. They pass a much smaller building that smells of fire, with plumes of smoke billowing up through the chimneys on the roof. Across from it is a storehouse, doors wide open as people – more humans – chatter within its confines as they move things around, some of them disappearing down a staircase. Rue catches glimpses of crates and more barrels, and he hears glass shatter and someone swear.
An accident.
A few people quickly rush over and start cleaning up.
Ib doesn’t stop.
It looks like he is used to the various noises of a city. They pass a machine that looks like it’s got a claw on the end of it. Perhaps it is used to pick things up; they don’t have these back at home, and he has no idea what it is. There are logs stacked and tied down beside the storehouse, various woods, most he doesn’t recognise. There are a few more barrels out here as well, mixed amongst crates of what looks like rocks and sand. And before them, all the way tucked up against a tall hill, is a building that is three stories tall. It has a dark roof with spikes atop it, and a staircase leading up to the second and third floors on the outside. The entrance is recessed further in, giving some space for people to stand outside and under the second floor. There is a large board with a map on it in the center, and a few benches up against the walls. 
This has to be the inn.
Ib continues on, footsteps growing a bit louder as they head under the covering, where the snow has been shoveled out to expose the hard stone, a bit slower as he approaches the door. “This is the..” he starts to say, stopping to wait for Rue to catch up, polite. “.. this is the Tydedaze Inn,” he continues, and he pushes the door open, holding it for Rue, who quickly lets himself through.
The inside of the inn is warm. It smells like fire in here, though Rue can’t see any fireplaces, or stoves, or anything of the kind. The first floor looks pretty normal, with seating arranged against the walls, and small bookshelves, and he wastes no time plopping Azalea down into a chair before accepting their pack from Ib, and following him back to the counter. There are quite a few rooms down here, it looks like; hopefully one of them will be available so he will not have to carry his younger sister upstairs or into an elevator.
“I need you to um, sign here..” Ib says, and he places a book on the counter between them, and opens it up to some page in the middle. A good sign. People stay here. Lots of people. He unhooks the lantern from his belt and flips a switch at its base, and sets that down on the counter, too. “I assume you want a room with two beds?” he asks, pretty red eyes flickering toward Azalea, “We have a few small ones available..”
“Do you have one on this floor?” Rue questions, and he signs his initials, ‘RP’, in messy, barely legible Veylin. It doesn’t have to be good, and he’s never been any good at writing, anyway; Ib must not mind, or does not show he minds because he’s busy checking the small column off to the right where it gives room numbers. Or colours, in this case. They’re all labelled with colours, followed by a number.
“We.. we do. Room ‘Green 106’ is available,” Ib says, and he leans over the counter slightly to gesture – he points over toward the room near a small window, aptly labelled ‘G-106’.
Rue follows his gaze. Neither he nor Azalea particularly care about the size of the room; as long as it is comfortable and warm, it’ll suit their needs. There are other, bigger rooms in the hall, with signs hanging from their handles reading ‘taken’. Nodding, he offers the white haired youth a small smile, “We’ll take that one, then. How much?” he asks, and he starts digging through their pack for their coin purse. It isn’t in here. “Uh.. give me a sec,” he says, walking over to Azalea. He pulls at her cloak, rifling through her pockets – “Ah, here it is. You should’ve put it away, Az,” he says, and he only earns a tired groan. She’ll be awake soon, to walk herself over toward the room only to fall asleep immediately again, in a real bed.
Ib continues watching him, face still a warm red, and his gaze keeps slipping. It probably doesn’t help that he can’t actually see Rue’s eyes; he definitely looks like the type that’s easy to fluster. “It’s, ah, forty-five per night..” he says, soft, and he glances again toward Azalea, for a moment, a second, “You can pay once every night, or, um, for however many nights you need..”
Rue tries not to wince. Forty-five is.. an amount. A large amount, for what the two of them have, but it’s probably very normal for people who actually have llore on them. He tries to do the quick math in his head – forty-five, ninety one hundred thirty-five.. then.. one hundred eighty, two twenty-five.. two seventy..
No. Too much already. That means they only have enough for five nights, and that’s not factoring in how much the tickets to ship themselves elsewhere will cost.
“We’ll, um.. pay every night,” he says, starting to pull out coins from their small purse, setting them down on the counter. One blue one, worth twenty-five, three pink ones worth five each.. and five goldish ones, worth one each. That leaves them with less than two hundred; now, he’s too worried to try and get the exact amount. He and Azalea will have to think of ways to quickly earn some more llore – they’d passed a small labyrinth on the way here, perhaps some monster parts or labyrinth specific flora will earn them some coin..
Ib only nods and takes the coins, depositing them within the small register to his side. It opens with a key, and locks with the same one once he’s finished messing with it. “Here..” Crouching down for a moment, he pulls out another key, and it looks old and fancy and is covered in flaking, white paint. “Your room key. Please make sure you don’t lose this.. if you do, it’ll cost you to replace it,” he says, and he smiles again, sheepish and apologetic. “I hope you have a nice night. Enjoy your stay,” he says, bowing his head slightly –
That part is routine. Clear.
“Thank you,” Rue returns, taking the key. Picking up their backpack, he looks toward his younger sister, starting to call, “Az–..”
“Coming..” Azalea murmurs, cutting him off.
Ib makes a soft sound of surprise, caught off-guard; when Rue glances toward him, his tanned cheeks have flushed further, and his pretty, wine red eyes are wide.
Rue can’t help it, this time; he starts laughing, terribly amused by this human’s reactions. Hopefully there’ll be more amusing ones to meet on their trip – he’d been worried they might not be able to fit in with them, but it seems that won’t be an issue. “Have a good night, Ib,” he says, playful and warm and a grin pulls at his lips as he picks up their backpack, “I hope we can talk more tomorrow! You’re very nice.”
Ib looks toward him for a moment before groaning to himself, red eyes narrowing in embarrassment. “Have.. have a good night..” he says again, drained.
Azalea follows after Rue, without so much of an acknowledgement toward the white haired youth. “We’re staying here?” she questions, voice soft and flat.
“Mm. I didn’t see any other inns, so..” Rue hands her the key, allowing her to let herself in first. “This is fine, right?” he asks, and he steals one last glance toward Ib, who has found a stool and sat himself down; the poor human’s face is still all red, and he looks like he’s mumbling something to himself.
“.. sure,” she nods, “If it’s the only one..”
 .. we don’t have much of a choice, he finishes, listening to the door click quietly behind him. “Night, Az. Ask around about llore when you wake up, ‘kay? We’re gonna need some more..” Pulling his hood off, he breathes out. The room is warm, smells like fire again, of burning, sweet smelling wood. There are two beds, as Ib had promised, covered with green, thick sheets and blankets and comforters. It isn’t the nicest green. Azalea probably likes it. And there’s a chest of drawers for them to put their things in, as well as two nightstands and a small loveseat.
She only makes a soft sound as she sits down, roughly, and the bed dips a bit with her weight. She unfastens her boots and tosses them toward the wall before tucking herself in. It doesn’t take long for her breathing to even out once again.
It was exhausting, making that trek down the mountain. Even with the merchant helping them, the wood made it very difficult to get restful sleep, and their bodies ache from the awful positioning they’d been forced to deal with. 
Setting their backpack down, he hums softly and sits himself down on his own bed, stares up at the ceiling. The sheets are soft. Comfortable. The ceiling, lined with wooden planks, is old and some of the wood has warped. The building must be old. How old, he wouldn’t know, or couldn’t possibly guess. But this city has existed for at least fifty years, White had mentioned as much, and that means it will be helpful in their journey.
Finally..
Smiling somewhat, Rue starts unlacing his boots, pulls at the strings until they loosen just enough for him to slide them off. Like Azalea, he tosses them aside and then tucks himself in. The smell of the sweet, burning wood has already seeped into the blankets, hiding any soap that may have been used.
Dewberry. The small city by the ocean..
I can’t wait..
His heart’s already pounding in his chest, excited, nervous, anxious, eager. Tomorrow, he will be free to explore to his heart’s content.
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carraways-son · 1 year
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Jeudi
Quelques images du jour. Sur le chemin en allant chez ma fille ; puis dans son sweet home, des détails, comme les lapins Miffy (coqueluche des Japonais) aimantés qui retiennent une lettre au Père Noël; un coussin lapin, de la lecture et des fruits, le sapin de Noël qui s’impatiente, un épisode d’Ultraman à la TV au-dessus de la cage de Kuikui, le cochon d’Inde géant. Le Kid et sa copine couraient dans la maison déguisés en ninjas.J’ai regardé la fin du jour à la fenêtre de ce nouveau foyer de mes amours. La nuit est tombée tôt. Le petit poste de police du quartier est signalé par une lanterne rouge, comme les bordels à marins d’autrefois. Une semaine déjà! Jeudi dernier, en arrivant, nous avions été accueillis par les packages de bienvenue de mon gendre et de notre hôtesse, très appréciés.
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ochoislas · 2 years
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PARÍS NOCTURNO
Hete el mar: —calma chicha— las aguas mayores se han retirado ya, rezongando a lo lejos. La ola está por tornar, revolcada en su ruido. ¿Las jaibas de la noche, escucháis cómo arañan?
Hete la seca Estigia: Diógenes trapero, el farol en la mano, ya vaga a su antojo. Cabe el arroyo negro perversos poetas pescan: guardan gusanos en la chola vana.
Hete el campo: se abaten atroces harpías girando, por su presa de inmundas hilazas. Liebre de alcantarilla al acecho de ratas huye a los de Bondy, que de noche vendimian.
Hete la muerte: yace la guardia. El amor dormita y mama carne embotada de un brazo que marca el beso extinto con su escara roja. La hora está sola. Oíd, no se mueve ni un sueño.
Hete la vida: oíd, canta el manantial vivo su eterno canto sobre la testa lamosa de marina deidad que tiende miembros verdes sobre un lecho de morgue... ¡con ojos de plato!
*
PARIS NOCTURNE
C'est la mer : - calme plat - et la grande marée, Avec un grondement lointain, s'est retirée. Le flot va revenir, se roulant dans son bruit. Entendez-vous gratter les crabes de la nuit ?
C'est le Styx asséché : le chiffonnier Diogène, La lanterne à la main, s'en vient errer sans gêne. Le long du ruisseau noir, les poètes pervers Pêchent : leur crâne creux leur sert de boîte à vers.
C'est le champ : pour glaner les impures charpies S'abat le vol tournant des hideuses harpies. Le lapin de gouttière, à l'affût des rongeurs Fuit les fils de Bondy, nocturnes vendangeurs.
C'est la mort : la police gît. - En haut, l'amour Fait la sieste en têtant la viande d'un bras lourd Où le baiser éteint laisse sa plaque rouge. L'heure est seule. - Ecoutez : ... pas un rêve ne bouge.
C'est la vie : écoutez : la source vive chante L'éternelle chanson sur la tête gluante D'un dieu marin tirant ses membres nus et verts Sur le lit de la morgue... et les yeux grands ouverts !
Tristan Corbière
di-versión©ochoislas
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mrlafont · 2 years
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Vendredi
C’était un vendredi, un soir, avec mon lapin, Antoine, on avait trimé très dur toute la semaine, on était déjà démoli par la fatigue, plus la chaleur qui nous assommait encore plus. Comme ça Antoine à l’appartement du siège où on créchait il se tenait devant la fenêtre entre les maquettes des coteries charpentiers, il regardait la rue sans la regarder, surtout c’était les odeurs et le bruit des filles qui voulait voir. Il se réveillait tranquillement de sa sieste. Puis il me fait comme ça : “Bon, bouseux, fainéant, t’aurais pas des fois quelque chose à proposer ?” Moi j’étais assis sur ma chaise, gâteux au possible. J’ai rien dit. J’y ai donné une bière au lapin pour qu’il ferme sa gueule, et puis une pour moi aussi pour que le silence soit plus complet. Enfin finalement on a commencé à parler. Une seule bière suffisait à nous faire délirer, on a parlé des femmes, de sa timidité atroce, enfin on se livrait comme si on avait bu toute la nuit. Alors finalement on a décidé d’aller prendre l’air un peu, marcher, regarder l’architecture... “Veux-tu qu’on prenne le tram ou bien tu fais ta vache à marcher comme un con ?” Moi j’aimais bien marcher mais finalement j’ai pas résisté. On est arrivé devant l’arrêt. Y avait deux jolies qui nous avaient déjà bien biglé en arrivant. Ça se voyait déjà par notre allure et notre gueule sectaire qu’on était pas des cosmopolites aguerris, disloqués à la mode, on connaissait pas du tout comme les autres le plan de ville par cœur. Pourtant on voyageait beaucoup, c’était notre philosophie surtout, d’abord, le voyage, qu’il disait Antoine à ceux qui savaient pas qui on était. En voyant bien qu’on était paumé mais pas du tout tracassé, les deux filles elles ont commencé à nous parler. “Vous voulez allez où, vous êtes pas d’ici vous êtes d’où ?” Et puis directement ça les a intéressées notre histoire. Le tram est arrivé puis on a continué la conversation. Très vite elles ont voulu nous embarqués avec elles, nous montrer des choses... Antoine m’avait déjà dit qu’il en rêvait de faire des rencontres. Il me regardait en écarquillant ses yeux qu’étaient déjà énormes comme l’hibou derrière ses grandes lunettes. Il souriait même pas, on aurait dit un état de choc. Je lui ai pincé le bide et il a souri. Ça allait. Des deux jolies en fin de compte y en avait qu’une de jolie, on voyait mieux dans le tram. Elle s’appelait Selin, plus tard j’ai appris au moment de se quitter qu’elle était turque. Moi ça faisait déjà longtemps que je bandais qu’avec d’énorme difficulté. Alors je m’en foutais un peu. Puis très vite leur piaillage m’a lassé. Une main au froc m’aurait par contre redonnée un peu de courage pour les écouter. Enfin on a rejoint des amis à elles, puis ils sont repartis, puis on en rejoignait d’autres, au bout d’un moment je faisais que suivre machinalement en espérant que tout change de dynamique très très vite. La Selin elle s’est roulé un machin qu’elle s’est fumé pendant deux heures au moins. Ça avait pas l’air de lui faire grand chose, juste les yeux qu’étaient redescendus un peu. Bref je m’ennuyais. À un moment dans un parc rassemblés sur des gradins y avait une autre fille qui était là. Elle je l’aurai sauté sur place tellement elle me redonnait de la joye au cœur. Elle était vraiment débordante de vie sans savoir être lourde, alors ça c’est vraiment du nougat. Puis drôle en plus, quand même ça se voyait qu’elle avait déjà bien pleuré dans sa vie. Alors moi j’ai aimé, tout de suite. Elle était pas exceptionnelle de beauté, heureusement d’ailleurs sinon j’aurais eu le cœur plus crevé encore à jamais. Mais son visage tout illuminé de vie m’a suffi sur le coup à me projeter déjà avec elle dans l’avenir. Quand on décide de voyager avec quelqu’un dans le monde qu’est pour nous une nuit, vaut mieux choisir une qui est comme une lanterne. Elle avait des gros seins de maman, plantureuse un peu plate, enfin je voyais pas très bien dans sa robe à fleurs. Tout de même je lui aurais fait plein de choses. On a parlé un peu, très intéressée, pas du tout arrogante, pleine d’auto-dérision, gentille ça se voyait et vraiment sans fausseté bref une blanche et bien blanche qu’en avait pas l’air du tout. À côté les autres bien fadasses et dépressives qu’elles semblaient. Bref elle a fini par partir elle aussi. Je la reverrai plus jamais. Je commençais déjà à être habitué d’en laisser partir des jolies et à la pelle. Bref. Finalement on se retrouvait avec nos deux tramwayteuses du début, toujours aussi barbantes. Enfin je restai pour Antoine qui lui n’avait pas fini d’écarquiller les yeux devant ces platitudes féminines. Je le voyais qui tremblait de la gueule à les regarder, un peu à l’écart. Il voulait boire un autre coup. Historie de décoincer la situation... Moi aussi je commençais à avoir soif, mais pour mieux la supporter, la situation. Enfin on arrive à une terrasse d’un bar bien tranquille dans une rue bien tranquille aussi. Ça je dois dire que ça m’a plu. J’avais des fois l’impression d’être à Paris, un paris purifié de ses habitants cela dit. Enfin c’était vraiment agréable. Là c’était encore d’autres amis qu’on rencontrait. Présentations rapides, inutiles, je disais mon nom, eux le leur, aucun des deux ne retenait celui de l’autre. Bref. Là à table une autre mignonne encore, tout de suite elle m’a regardé bien droit dans les yeux avec quelque chose de très fort qui m’a pas plu du tout. Je retombai encore amoureux en somme. Mais elle plutôt que de la sauter j’aurais plutôt joui de lui tarter la fif sur place. Elle était, elle, arrogante au possible, le pire sans en avoir l’air. Elle baisait beaucoup je pense et souvent assez mal je suis sûr et qu’avec des gars très compliqués. C’était l’impossible qui devait la faire jouir et aimer, tout ce qu’était simple comme moi ça lui plaisait pas. Enfin on a eu notre bière, je revivais un peu, j’avais enfin quelque chose à faire, boire. Et puis de l’autre côté c’était encore l’ennui. Je discutaillais un peu avec mon lapin histoire d’avoir l’air d’avoir des choses à dire, mais c’était pas fameux. Puis elles ont commencé à se tirer les cartes. Alors là avec mon Toinou on en est pas revenu, ça nous a dégouté pour cent ans. Elles posaient cinq cartes sur la table, cinq cartes pour cinq mecs qu’elles choisissaient. Le choix des noms leur fut une épreuve difficile, tellement y en avait de mecs à sucer. On s’est regardé avec Antoine, lui il a failli éclater de rire de nervosité avec sa gueule d’ébranlement et moi je suis devenu rouge de rage mais tout de même j’ai cru que j’allais finir par exploser de rire. On s’est souri finalement et on a rigolé un peu dans notre coin. La bière calmait aussi. Pour moi le dégout est devenu plus complet encore. Alors le tarot annonçait la couleur à venir des relations avec chacun et elles s’extasiaient des ragots à venir... Elles étaient pressées de s’engueuler pour mieux se faire enculer après et puis repartir chez un autre pour qu’il se passe la même histoire. C’était triste à voir. Le mec qui tirait les cartes il était rigolo. Il savait bien les tirer les cartes, il avait la main et l’œil bien affutés. C’était un voyeur. Il baisait pas du tout par contre ça se voyait, un peu gros comme ça et tout pétri d’ironie à force de branlette solitaire. Mais tout de même d’un humour acéré qui me redonnait joye encore. Antoine il devenait paradoxe. D’un côté il était tellement ému de la bite jusqu’au tremblement de sa face puis de l’autre il était tout simplement dégouté, blasé. On se sentait un peu cons assis là. “T’inquiète, un jour on leur crèvera la chatte à ses salopes” qu’il lui a fait le batteur de cartes à mon lapin. Il avait bien remarqué les tremblements. Ils sont ensuite tous partis deux par deux et nous de notre côté. On a fait un bout de tramway avec la Selin qu’était somme toute bien désirable. Puis elle est descendue à un arrêt. On a débriefé ensuite avec Antoine. On s’est arrêté à un arrêt qu’était pas le nôtre, voir un peu les autres bars à quoi ça ressemblait... On s’est arrêté devant un, on a poireauté deux minutes à se décider ou non... C’était non on rentrait. On en avait assez de social, même si on demeurait frustré. C’était rien de grave. Une fois rentré lapin fallait qu’il fasse cesser son tremblement, il s’est paluché très sévèrement, je l’ai entendu... Je dormais dans la piaule d’à côté, tout son lit superposé tremblait, on aurait dit un séisme. J’avais un peu peur. Il voulait refourguer son tremblement au monde, à vrai dire je crois bien que c’était sa première branloche tellement c’était fantastique de vie. Il était jeune avec ses seize piges, mais les couilles bien débordantes. L’espagnole du dessus elle donnait des coups de balais pour que ça cesse, il s’arrêtait plus. Il entendait rien, ça gagnait d’intensité sans cesse sa recette. Toute la semaine à préparer des seaux de colle à la main ça fait le poignet très solide... L’oreiller, la couette, tout a viré de bord, la lampe a explosé, puis un cri sourd d’enfant qui n’en est soudainement plus un et un grand flash de lumière qui est venu mourir jusque sous ma porte. C’était trop beau. Il venait d’entrer dans la vie. Je m’endormais après avoir un peu rigolé.
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nathcooker · 3 months
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Nouvel an chinois
Fêtons le nouvel an chinois ! Après l'année du Lapin voici l'année du Dragon ... mais connaissez-vous vraiment cette tradition asiatique ? Pour tout savoir, c'est par ici ! #bonneannée #nouvelanchinois
🧧 Identification : Date : samedi 10 février 2024 Signe astrologique : Année du Dragon 🐉 Élément complémentaire : Le Bois 🌳 Photo de Miguel u00c1. Padriu00f1u00e1n sur Pexels.com En savoir plus : La fête du nouvel an chinois dure quinze jours .. Le premier jour d’une nouvelle lune, elle commence par la fête du printemps (Chunjie) et se termine par la fête des lanternes. Cette année nous…
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lapinelantern · 7 months
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I’m me again, feels it’s been years.
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ame-haine · 11 months
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Le chant du cri du cœur
Et ça recommence.
"je vais finir par perdre patience... Et tu sais, moi, tout ce bordel. Bah ça m'écoeure"
Après tout, je la comprends. La hutte ne suffit plus, la lanterne se fatigue. Et si c'était le lapin blanc qui l'avait poussé dans le vide?
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decoenfant · 1 year
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Une chambre junior de petite fille à croquer avec l'iconique lit en métal Minnen d'Ikea. Un mini budget pour un mega effet chez Lydia du compte IG @peschkart. On retrouve les coussins Etoile, la lanterne étoile et le cygne Numero74, le panier Pomme Ferm Living Kids, un tapis Lorena Canals et les adorables lapins Maileg.
A cute little girl's junior bedroom with the iconic Minnen metal bed from Ikea. A mini budget for a mega effect at Lydia from the IG account @peschkart. We recognize the Star cushions, the star lantern and the swan by Numero74, the Apple basket from Ferm Living Kids, a Lorena Canals rug and the adorable Maileg rabbits.
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franckdoutrery · 1 year
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L’année du Lapin 
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Pour fêter le Nouvel An lunaire, les Chinois ont allumé des lanternes rouges, promené les dragons au son du tambour et fait exploser force pétards. De Pékin à Canton et de Lhassa à Shanghai, ils ont couvert des milliers de kilomètres pour revoir leurs parents et leur offrir des étrennes sous papier vermillon. Ils nous disent que l’année 2023 sera celle du Lapin, qu’ils dotent alors d’une majuscule. 
Le lapin est un paisible animal domestique qui ne ferait pas de mal à une mouche. Quand il ingère ses fanes de carottes et de navets en remuant son bec de lièvre, on a parfois l’impression qu’il rumine comme les bovins. Il ne fait pourtant que transformer nos déchets en chapelets de crottes. Tant qu’il prospère, il ne saute jamais un repas. En revanche, il saute volontiers la lapine, qui produira en un mois de gestation une ribambelle de lapereaux sourds, aveugles et glabres. Mais qui remueront leurs mandibules comme leurs parents. C’est ce qui avait déjà frappé le patriarche Moïse, qui dès lors considérait le lapin comme un ruminant. Il n’en voulait pourtant pas dans son assiette, parce qu’il n’avait pas (et n’a toujours pas) le sabot fendu, ce qui le condamne à l’impureté selon la cacheroute juive. Aristote lui aussi le classait parmi les ruminants, parce qu’il avait trouvé du caillé dans son estomac. De nos jours le lapin n’en reste pas moins un plat apprécié sous forme de civet à l’ancienne. À preuve, son râble piqué aux lardons, arrosé de vin rouge et additionné de quelques feuilles d’aromates, emportera sans peine tous les suffrages. 
Tout au long de cette année, on se souviendra que le lapin nous offre aussi sa peau, qui se confectionne en vestes, ponchos, manteaux et gants d’hiver. Ce qu’on sait moins, mais ce qui n’a pas échappé aux anciens Chinois, c’est qu’elle contient une colle extrêmement souple, dont on se sert notamment pour l’apprêt de toiles et des rouleaux de papier de riz. Pour comble d’avantages, elle ne craint pas l’eau et n’altère pas les couleurs au gré du temps. En particulier, elle ne jaunit pas, ce qui peut étonner dans un empire si souvent présenté comme celui du péril jaune.
Mais le Lapin est aussi le nom propre d’une année du zodiaque chinois. Lequel comporte douze animaux. Avant 2023, la dernière année du Lapin fut donc 2011. Ce cycle duodécimal présente l’avantage que pour savoir à quoi on doit s’attendre durant l’année qui vient, il suffit de vérifier ce qu’on promettait il y a douze ans et de comparer ces prophéties aux événements qui ont suivi. Or parmi les promesses multiples et variées de 2011, il y avait des rapports sociaux amènes et paisibles, comme ceux du lapin domestique. On entrevoyait de la douceur, de l’élégance et de la tolérance mutuelle. Pour les amoureux, l’avenir était pavé de sentiments partagés, de mots doux et de caresses. Les moins enthousiastes concédaient quelques contrariétés, mais passagères. Du côté de la bourse, l’avenir s’annonçait également rose. On pouvait gager sur des fonds de placement risqués, l’évolution économique étant favorable et le marché florissant. 
Or, malgré ses deux oreilles dressées, le Lapin n’avait pas perçu les spasmes annonçant un terrible séisme. Il survint en mars au large du Japon, provoquant d’abord un tsunami, puis la catastrophe nucléaire de Fukushima. Au printemps, qu’on avait prévu baigné de fleurs, de feuilles et de branches, éclata le « printemps arabe » avec ses « dégage ! » adressés à Ben Ali en Tunisie, à Moubarak en Égypte et à Kadhafi en Lybie. Intouchables depuis des lustres, ces présidents furent délogés, chassés, voire liquidés au coin d’un bois. Le mois de mai suivant commença par l’assaut nocturne du repaire pakistanais de Ben Laden par les forces spéciales américaines. Le fondateur d’Al-Qaïda fut exécuté et sa dépouille immergée dans la Mer d’Arabie. L’été du Lapin ne fut pas plus tendre. En Norvège, un fou d’extrême droite du nom d’Anders Breivik, exécuta soixante-dix-sept de ses compatriotes au motif qu’ils ne partageaient pas ses opinions. Côté finances, on assista à une réplique du krach boursier de 2008. En un seul été, le CAC40 perdit un tiers de sa valeur. Le Lapin n’empêcha même pas de vieilles célébrités de mourir. Des hommes et femmes politiques, même de droite, passèrent l’arme à gauche, des acteurs et actrices tirèrent leur révérence, des prix Nobel cassèrent leur pipe, des criminels notoires avalèrent leur chique. 
On voit par là que le Lapin chinois est paradoxal. Tant il est vrai qu’il faut attendre que l’avenir soit devenu du passé pour constater la valeur précaire de ses prophéties. Qu’on ne s’attende donc pas à ce que cette année soit autre chose que le mélange habituel de bonheurs fugaces et de misères tenaces. Il n’est même pas exclu, comme dans la Madeleine de Jacques Brel, qu’un amoureux transi attende en vain sa bien-aimée, parce qu’elle lui a posé un lapin.
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news24fr · 1 year
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L'"Année du lapin" a commencé dimanche dans l'horreur pour les habitants de Monterey Park, la banlieue majoritairement asiatique américaine de Los Angeles où une fusillade de masse a fait 10 morts. Dans cette ville de 60 000 habitants, lanternes rouges et banderoles en caractères chinois célébrant le Nouvel An lunaire flottaient encore au-dessus d'une chaussée. Mais autour de la salle de danse où s'est déroulée la fusillade, du ruban adhésif jaune et des policiers lourdement armés ont supplanté tout signe de festivités. "Ce genre de chose n'arrive pas ici", a déclaré Wynn Liaw, un voisin qui est venu dans ce lieu populaire pour personnes âgées après avoir entendu des bulletins d'information. Liaw, un vétérinaire à la retraite de 57 ans, a vécu les quatre dernières décennies à Monterey Park. Elle a encore du mal à croire qu'un massacre s'est déroulé ici, derrière l'auvent blanc et vert du lieu où elle passe quotidiennement pour faire ses courses. "C'est un quartier très sûr, où je peux me promener seule la nuit et où je n'ai pas à m'inquiéter de la violence armée", a-t-elle déclaré à l'AFP alors que les hélicoptères de la police tournaient au-dessus de sa tête. Samedi soir, un homme armé est entré dans la salle de bal et a tué cinq hommes et cinq femmes, et en a blessé au moins 10 autres, ont annoncé les autorités. Le massacre - la fusillade la plus meurtrière aux États-Unis depuis le massacre d'Uvalde, au cours duquel 19 enfants et deux enseignants ont été tués dans une école primaire du Texas - a pris Monterey Park par surprise. À quelques kilomètres à l'est du centre-ville de Los Angeles, Monterey Park est considéré comme le « nouveau Chinatown » de la ville. Ici, les habitants lisent les journaux en mandarin, la plupart des enseignes commerciales sont en chinois, et la majorité des habitants approchés par un journaliste de l'AFP ne parlaient pas anglais. "Cette zone est l'un des quartiers les plus sûrs du comté de Los Angeles", a déclaré John McKinney, procureur local dans la métropole tentaculaire de la Californie du Sud. "Tellement d'armes" "Il ne se passe pas grand-chose ici", a ajouté Ken Nim, un informaticien de 38 ans qui promène son chien. Nim a déclaré qu'au cours des 20 années où il a vécu ici, le seul crime qu'il a subi est le vol du convertisseur catalytique de sa voiture. "C'est une chose vraiment triste, ce pays devient fou", a déclaré Nam. "Nous avons vu des fusillades de masse dans de nombreuses villes différentes et dans d'autres États, mais maintenant cela nous arrive." David Kwan, un agent de sécurité né en Malaisie, a semblé abasourdi par la fusillade. "Je suis souvent confronté à la violence, mais dans d'autres quartiers de Los Angeles", a déclaré Kwan. "C'est la première fois que je le vois dans ma propre communauté." Le long des rues bouclées, les habitants ont cherché à donner un sens au spasme de la violence. Sur leurs téléphones, ils ont vu des photos de cadavres gisant au sol dans une pièce éclairée par des spots multicolores. Au début, beaucoup craignaient qu'il s'agisse d'un crime haineux. Mais l'origine asiatique du suspect, confirmée dans la matinée par le shérif, a jeté le doute sur cette interprétation. "J'ai l'impression que c'est une histoire personnelle", a déclaré Jerry Liu, un chauffeur de camion de 26 ans, près des centaines de tentes blanches alignées au marché du Nouvel An lunaire. La veille, des milliers de personnes s'étaient entassées sur le site principal du marché, entre les stands de brochettes de viande et le champ de foire. "Il y a une raison pour laquelle il a ciblé cette salle de bal. Sinon, il aurait pu aller à la foire plus tôt dans la journée et tuer beaucoup plus de gens", a déclaré Liu. Devant le cordon de police, Chester Chong a évoqué un motif possible : la jalousie suscitée chez un homme non invité à une fête où sa femme s'amusait. "Le problème est que nous avons tellement d'armes à feu dans ce pays", a déclaré Chong, président de la Chambre de commerce chinoise de Los Angeles.
"C'est tellement facile de prendre une arme et de faire quelque chose de stupide."(À l'exception du titre, cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de NDTV et est publiée à partir d'un flux syndiqué.)
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