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#la nonne sanglante
tuttocenere · 8 months
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Found out today about La Nonne Sanglante, an opera that was put in this world specifically for me:
there is a ghost in it
the ghost gets married
also the ghost is a nice low voiced mezzo
absolute sicko plot all around
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it's by gounod / in french
complete flop that spent 150 years forgotten
there's a recording with michael spyres
of, apparently, one of the three runs ever
Needless to say I immediately like it a lot, but after listening to most of it I think it's actually p good.
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ladyniniane · 6 months
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Coucou ! :D Pour le jeu des questions de "j'ai / j'ai jamais écrit sur..." : un UA qui a pour environnement la mer et les grandes étendues maritimes ? (que ce soit avec des pirates, des marins, des sirènes...) En tout cas, je suis sûre que c'est super ! ^^ Merci beaucoup d'avance ! :D
Send me an ask about whether I’ve written a thing [ship, trope, dynamic, category of fandom, etc.] and if I’ve written it, I’ll link you. If I haven’t written it, I’ll tell you how I would write it if I did.
Saluuuut et merci beaucoup pour la super question !
La mer jouait un rôle important dans le premier projet de roman que j'ai mené à bout : Le dit de Koyuki.
C'est une histoire qui se déroulait dans le Japon médiéval, pendant la guerre de Genpei (1180-1185) qui est une période qui m'intéresse beaucoup et qui regorge d'éléments impressionnants et romanesques (par exemple la fameuse bataille navale qui a donné naissance à la légende des crabes dont je t'ai parlé).
J'avais inclus dans l'histoire des éléments surnaturels, notamment liés à la mer. J'avais en effet lu dans un article universitaire que la mer jouait un rôle important dans les croyances du Japon antique, à la fois en tant que frontière entre la terre connue et l'étranger, mais aussi entre le pays des vivants et celui des morts. L'article expliquait qu'elle était vue comme des sortes de limbes. La mer est aussi associée à des mythes de prêtresses/chamanes guerrières comme l'impératrice Jingû.
Mon héroïne était une sorte de médium et allait souvent au bord de la mer. Il y avait aussi plusieurs chapitres où, après avoir reçu un coup à la tête, son esprit dérivait dans des limbes sous-marins pour retrouver la sortie.
Voici un petit extrait :
Un cimetière de bateaux l'attendait à la sortie. La mer autour d'elle avait retrouvé sa teinte ordinaire, un peu de lumière filtrait d'ailleurs depuis la surface. Les poissons filaient ça et là. Il n'y avait autour d'elle que d'immenses embarcations démantelées, leur bois flotté livré à la pourriture, au centre desquelles trônait une immense ancre solitaire, un défi lancé à la nouvelle arrivante. Elle se souvint avoir entendu que le général Taira no Tomonori s'était jeté à la mer attaché à une ancre. Koyuki réalisa alors qu'elle n'était pas seule. Elle alla aussitôt se dissimuler derrière la coque d'un navire afin de pouvoir observer les nouveaux arrivants  et décider de la tactique à adopter. Des guerriers spectraux erraient ça et là, parfois en groupe, tantôt solitaires, à jamais prisonniers de la cage de leur armure, enchaînés à leurs armes. 
On retrouvait aussi dans cette histoire une allusion à une autre légende japonaise : celle d'une nonne immortelle car ayant mangé la chair d'une sirène. L'héroïne est en effet formée par une prêtresse qui est justement immortelle parce que sa mère lui a donné à manger cette chair à son insu.
J'écrivais ça quand j'avais 21/22 ans. Ce texte était publié sur Wattpad, je l'ai retiré aujourd'hui car j'ai plus tendance à en voir les défauts que les qualités. Je ne me reconnais plus dedans (j'avais inclus pas mal de scènes assez sanglantes qui à la réflection ne sont pas très utiles) mais à l'époque j'étais plus exaltée/exacerbée dirons nous. Et la construction n'était de plus pas folichonne.
Tout n'était pas à jeter dedans. Je l'ai relu il y a peu et pas mal de scènes sont, je trouve, très visuelles et immersives (notamment le fameux passage sous l'eau). De plus, j'aime aussi beaucoup le personnage de la mère de l'héroïne : une femme forte mais avec des fêlures, qui s'oppose au début à elle mais capable de se remettre en question, et le couple qu'elle forme avec sa soeur d'armes qui est une redoutable espionne.
Je ne désespère pas un jour de revenir à cette histoire mais ce sera cette fois clairement un roman de fantasy pour pouvoir faire ce que je veux.
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Immaculée
Seconde collaboration entre Sydney Sweeney et le réalisateur Michael Mohan, Immaculé raconte l'histoire d'une jeune américaine, Cecilia, qui fait ses vœux et entre dans un couvent en Italie, couvent qui est comme une maison de retraite pour nonnes âgées. Rapidement, Cecilia découvre que des événements pas très catholiques se passent dans ce couvent et qu'elle est enceinte alors qu'elle n'entretient aucune relation avec un homme ! Sa grossesse rappelle — évidemment — l'Immaculée conception, moment crucial dans l'histoire catholique, et elle est vénérée par les nonnes du couvent. Cependant, cette grossesse ne va pas se passer comme prévu…
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Lancé dans les années 2010, Immaculée (Immaculate en VO) a longtemps traîné dans les tuyaux de production, presque abandonné avant de voir le jour. Sydney Sweeney avait décroché le rôle aux prémices de la pré-production et a décidé de racheter les droits avec sa propre société de production, Fifty-Fifty Films, et de lancer ce projet auquel elle croit. C'est le réalisateur Michael Mohan qui la rejoint : les deux avaient déjà travaillé ensemble sur le film The Voyeurs (2021, Prime Video), sorte de thriller érotique. À deux, ils ont donc récupéré l'ancien scénario et l'ont modelé, retravaillé pour lui donner un aspect bien plus subversif et engagé, quant à l'univers dans lequel le film évolue.
Ainsi, Immaculée reprend la trame d'un film d'horreur classique, avec ses jumpscares, la tension qui monte crescendo jusqu'au final sanglant. L'étau se resserre de plus en plus autour de notre personnage principal, qui entre dans une forme de folie interne, alternant entre douter de la véracité de ce qu'elle voit et enquêter sur ces événements étranges qui se passent autour d'elle. Le film nous montre ces nonnes au visage couvert d'un voile rouge, faisant une sorte de rite religieux : même si la séquence fait son effet, elle ne compte qu'une répercussion minime sur l'ambiance du film. Tout réside dans des arrière-plans subtils. Aux côtés de Cecilia, nous retrouvons une galerie de personnages, comme deux jeunes nonnes aux antipodes l'une de l'autre : Gwen la frivole et Mary la rigide. Celui qui s'oppose vraiment au personnage de Cecilia est le père Tedeschi, qui se montre mielleux au début et qui révèle peu à peu une froideur dévorante. Ainsi, Cecilia se retrouve seule la plupart du film, avançant dans cette grossesse non désirée, prise de panique face à un avenir incertain.
Immaculée est pourtant loin d'être un film d'horreur lambda, comme l'on voit habituellement au cinéma dans tout ce qui nous provient des États-Unis et qui réussit à s'imposer en salle. En effet, même s'il reste timide, il y a une volonté de raccrocher le film à la nunsploitation : subtilement, l'image de la nonne est décalée vers l'aspect sensuel et sexuel du corps de la femme qui se cache derrière la tenue. Quand — dans les dernières grosses sorties — La Nonne de l'univers Conjuring montre une femme qui enquête sur le paranormal, nous plaçant à l'écart de son enveloppe charnelle propre, Immaculée marque la réappropriation du corps de Cecilia. Celle-ci est une nonne, donc une femme exclue de toute représentation sensuelle, mais certains plans vont la montrer nue, prenant son bain avec une chemise de nuit mouillée dévoilant son corps.
Cette question du corps est cruciale dans la dialectique du film. En effet, la grosse séquence finale révèle le pot au rose : le père Tedeschi, ancien généticien, cherche depuis des années à recréer physiquement le Jésus. À l'aide d'une trace ADN préservée sur une relique étant supposément celle d'un des pieux de la croix, il a recréé une souche permettant de faire une fécondation in-vitro. Et qui de mieux qu'une nonne, symbole de virginité, pour mener le projet à bien ? Cependant, Cecilia n'est à aucun moment au courant des projets et se retrouve donc dans une grossesse apparentée à un viol et qu'on lui force à vivre jusqu'à terme, déniant donc la possibilité d'avorter. Ainsi, outre remettre sur le devant de la scène la corporalité de la nonne, le film va plus loin dans une longue séquence où Cecilia se rebelle, alors qu'elle est sur le point d'accoucher, tente de tuer une première fois le père, avant d'entamer une longue course poursuite dans les catacombes avant de le tuer pour de bon. De ce tunnel elle émerge le visage couvert de sang dans une nature foisonnante (c'est déjà dans des immenses champs de blé qu'on trouvait Cecilia lors de sa première fuite) : elle n'est plus enfermée dans ce couvent, qui était le théâtre d'un long huis-clos, et met bas l'enfant qu'elle portait. À ce moment-là, elle n'hésite pas à le tuer à l'aide d'une lourde pierre. En tant que spectateur, nous ne saurons jamais si cette expérience, au contraire des dizaines d'autres qui avait résulté sur des fœtus déformés, était réussie : ce n'est pas le sujet. L'expérience, son résultat, son but ou autre n'ont jamais été le point de ralliement du film. Cecilia refuse d'être enfermée dans ce rôle qu'elle n'a pas choisi, dans cette position que sa qualité de femme lui impose : elle avorte du résultat de son viol.
Ainsi, le film recrée facilement l'imagerie religieuse de manière remarquable. Les cadrages, les plans et les séquences témoignent du travail de réalisation et de la définition claire du projet. On traîne pas mal sur la première heure du film, liée à la mise en contexte et à des jumpscares pas tous heureux. Les personnages autour de Cecilia sont peu écrits, tant ils n'importent pas dans cette histoire très personnelle et féministe. Effectivement, je doute de la possibilité de cette histoire d'ADN, de fécondation ou quoi — surtout que le film cherche à nous envoyer sur le mauvais chemin avec les nonnes voilées de rouge —, mais la réalité de cela n'empêche pas de saisir l'importance de l'acte final qui marque à la fois les dernières images et affirme le propos engagé du film.
Immaculée (Immaculate) de Michael Mohan 2024 — 20 mars 2024 en salle en France États-Unis et Italie
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Dans le Rose ,je suis la métamorphose d'une Rose qui ose être pute et sainte à la fois.
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Le Rose est la Couleur de ma chair qui crie le viol,l'amour et le sexe. 
Le Rose jouie  la douceur ,la rage du sang maquillée par le blanc de la neige aussi pure que l'éternité. 
Il est mon cri de pétasse d'enfant fragile ,de femme forte ,de larme frigide .
Il est ma puissance,celle de faire une Couleur de souffrance ,une danse immaculée cherchant les étoiles par des gestes chaotiques mais si beaux.
Le Rose est une Couleur étrange qui n'a pas de sens pour ce monde carré .
Dans mes rêves,je m'appele Anna .
Je suis une pouffiasse libre,sexe si poilue .
Je crache la vérité et dénonce les violeurs en machant mon chew gum trop fort.
J'emmerde les codes et me masturbe le soir en regardant blanche neige.
J'ai des poils pleins les  jambes ,ce tutu Rose de pétasse si  prude et si délurée. 
.
Je crache ,je rote ,habillée de ces fleufleurs Rose car je ne rentre dans aucune case ,moi.
Je jure ,j'emmerde ce pays  ,son drapeau ,ces machos,cette famille ,travaille ,patrie et patrons,réacs en dansant comme une barge dans des cabarets cosmique aussi brûlants que de l'ammoniaque. .
Mon Sang écarlate se mélange à la pureté de ma condition de femme, que je me prenne des bites dans le cul chaque jours ou que je soit chaste comme une nonne ,je reste la Vie et la Splendeur Immaculée. 
Je fait du bricolage tout en faisant des stiptease pour des jolies nana anarchiste ou sinon je danse dans les rues en chantant à tue tête dans un pyjama puéril.
Je suis un peut grosse, un peut bonne ,sexy mais pas trop car je ne veux pas non plus faire bander un patron capitaliste en tailleur et en talons aiguilles .
Je baise les banques et je suis ringarde ,désuette et décalée tout en niquant la police, la psychiatrie et la patrie avec un doigt d'honneur réfléchie.
Je mouille plusieurs fois par jours. 
Je m'habille comme une barbie et je suis réellement intelligente car je sais innover,penser ,analyser,créer  et réfléchir.
Dans mes rêves,  Anna paie des mecs un peut misogyne  pour lui sucer le clito mais ils ne font que ça et se barre après être dégagés violemment.
Anna peut être une sainte aussi,une masculine  ,une prude effarouchée mais elle reste celle qui gueule fort dans les bars et envoie chier ceux qui la regarde trop.
Rose c'est Anna.
Un Rose piquant et enfantin mais jamais niais .
Un Rose qui préfère être mal baisée que de sucer la queue d'un gros relou bien averti.
Un Rose de l'enfance  si doux et paradoxalement si punk ,gouine et chaste .
Rose ,cri des chattes
Pink Punk 
Rose qui se réapproprie tout les codes et qui abolie les modèles, les cases ,les idéologies encastrés  et les barbelés. 
Anna Rose Pink Punk est une castratrice assumée,  une aviatrice pleine de cicatrices qu'elle transforme en tatouages de l'âme  .
C'est une  hystérique revendiquée  dont la fierté est d'être intelligente ,lumineuse et drôle et dont la force est d'avoir surmonter l'enfer le plus abominable en gardant le sourire.
Le Rose est la Couleur des martyrs mystiques et donc des Femmes qui se réapproprient cette Couleur comme symbole de courage et de puissance.
Le Rose ,il y en a peut de les rues car le monde est d'un gris sanglant alors mettre du Rose dans celui ci c'est créer une simple  bulle d'humanité pour les clodos,les détraqués ,les perdus ,les oubliées de cette société.
Le Rose ,Couleur de princesse !
Pourquoi les connasses poilues  ,les garçons,les clochards divins qui puent et les incompris ne pourraient t-ils pas être  quelques secondes une partie de ce monde de féerie et de paillettes folles ?
Un monde de fleur ,d'amour inconditionnel, de chattes libérées de tout codes
Un monde d'un Dieu pur et féministe dont la mère est une Femme qui aime à la fois  lire et se toucher.
Un monde de roses qui sentent bon ,que les marginaux puant méritent tant
Un monde de poupée, de dessin animé ,d'extase ,de vérité criarde  sans fausse pudeur calmée ensuite par la beauté de l'aurore aux formes fushia .
Ce monde n'existe pas mais Anna et toutes les Rose punk de ce monde peuvent le créer, pas besoin de s'appeler ainsi .
Il suffit juste de regarder la pureté de son cœur Rouge et celle de la Neige
 Blanche,qu'il soit le Rose  de ces pétasses libre et si intelligentes ou celui de ces enfants naïf et affranchies.
Rose pour toutes les petites filles et tout les petits garçons
Rose pour réchauffer et attendrir les glaçons.
La Souffrance peut s'éteindre dans ce lit de roses Rose ,d'aurore spectaculaire, de bonbons et de fantaisies.
Le Rouge est Vie ,le Blanc est paradis. 
Le Rose lui est une putain de poésie
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Nébuleuse 
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vera-dauriac · 3 years
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So, kind of randomly tonight, I decided to check out Gounod's La nonne sanglante (The Bloody Nun), and boy am I glad I did!
I typically don't get into Gounod, but I like this one quite a bit. The choruses are super exciting and the big duet at the end is particularly awesome. Other than Michael Spyres, I didn't know the other singers, but this cast from the Opera Comique are all excellent. The production is kind of neat too, this very stylized opening battle scene is cool, and all the ghost stuff suitably creepy.
Which brings me to a particularly important point--this is the perfect Halloween season opera.
The production I watched is on Marquee TV. Not sure where else folks might be able to find it, but it's a good one for this time of year.
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Émile Bayard - La Nonne Sanglante (The Bloody Nun).
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Vote on what I should watch tomorrow!
Assassinio nella cattedrale (Bari, 2006)
Khovanshchina (Vienna, 1989)
Angels in America (Théâtre du Châtelet, 2004)
Il matrimonio segreto (Schwetzingen, 1986)
Fortunio (Opéra-Comique, 2019)
La Nonne sanglante (Opéra-Comique, 2018)
Platée (Opéra national de Paris, 2002)
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extrabeurre · 2 years
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BENEDETTA de Paul Verhoeven: Folle de Dieu
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Paul Verhoeven est un fou furieux, et c’est pourquoi je l’aime autant. À 83 ans, il nous arrive avec un film tour à tour cynique, satirique et lubrique (et même brièvement scatologique), dont les excès peuvent rappeler ses premiers films hollandais. Film d’époque à grand déploiement, Benedetta est avant tout une œuvre purement transgressive où la foi rencontre la folie.
À Pescia au 17e siècle, dans une Italie ravagée par la peste, sœur Benedetta Carlini (Virginie Efira), au couvent depuis l’enfance, a des visions érotico-sanglantes du Christ et arbore éventuellement des stigmates. Parallèlement, elle entretient une relation de plus en plus intime avec Bartolomea (Daphne Patakia), une fugueuse devenue novice.
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  Adapté du livre Immodest Acts de Judith C. Brown par Verhoeven et son coscénariste David Birke, Benedetta est ancré dans une histoire apparemment vraie, mais on suppose que le réalisateur de Showgirls s’est amusé à pousser la note et à provoquer, que ce soit en montrant un Jésus fantasmé maniant une épée ou en faisant utiliser un godemichet sculpté à partir d’une statuette de la Sainte Vierge à ses nonnes lesbiennes.
Tout cela est franchement jouissif, mais en même temps, Verhoeven tire un portrait des plus irrévérencieux de la religion catholique, où les figures d’autorité comme celles jouées par Charlotte Rampling et Lambert Wilson prennent part à une mascarade à laquelle elles ne croient même pas vraiment elles-mêmes. Dans ce contexte, la probable déraison opportuniste de Benedetta n’est ni plus ni moins condamnable que tout le système au sein duquel elle évolue...
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Benedetta prend l’affiche ce vendredi 10 décembre, notamment au Cinéma du Parc.
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ehcirbnats · 4 years
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Avril 2020
Mercredi 1er: Dix, F. Villette, Films Avenir, mise en ligne, Youtube
A partir du jeudi 9: Les trois premières minutes, I. Bapteste/ YWOO, Radio Cause Commune
/// ANNULE /// Jeudi 9:  Free Slow, C. Rousseau/ Presque Compagnie, Rouen 
/// ANNULE /// Samedi 18: Ren hang (Flip Book), B. Forel/ Innefables Théâtre, Lavoir Public, Lyon
/// ANNULE /// Dimanche 26: Marathon Faust, Goethe/ Mahu, dans le cadre du Festival Echographie #2, Pavillon des Arts, La Villette, Paris
/// ANNULE /// Mercredi 29: Free Slow, C. Rousseau/ Presque Compagnie, Rouen
A partir du jeudi 23: Home, expérience immersive depuis chez vous, D. Pierson/ Mondes Sauvages
Mercredi 29: La Nonne sanglante, C. Gounod/ D. Bobée/ L. Equilbey, mise en ligne, Opéra Comique
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emile-bayard · 7 years
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“La Nonne Sanglante” by Emile Bayard
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ieatmovies · 5 years
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FEBRUARY/THE BLACKCOAT’S DAUGHTER (2015) Qu’espérer d’Oz Perkins, discret acteur -PSYCHO II (1983), STAR TREK (2009), qui ne semblait en rien prédestiné à réaliser? FEBRUARY est son premier film, embarquant à son bord Emma Roberts -AMERICAN HORROR STORY (2011-20??), mais surtout Kiernan Shipka (CHILLING ADVENTURES OF SABRINA (2018), qui sera le visage du mal dans ce long-métrage horrifique présenté au Festival de Gerardmer. Si le pitch de FEBRUARY séduit, avec son histoire de possession au sein d’une école catholique, c’est avant tout sa forme qui surprend, disposant d’une mise en scène “indé” au possible, à commencer par cette caméra souvent fixe, immobile: le film de Perkins fait office de sombre conte atmosphérique, où le destin de trois jeunes filles va s’entremêler -un peu à la manière de PULP FICTION (1994) avec ses chapitres consacrés à un ou des protagonistes en particulier-. Il est bien question d’ambiance plus que d’action, l’épouvante allant crescendo: on ne peut nier les talents de réalisateur de Perkins, parvenant sans mal à nous exiler, FEBRUARY nous faisant ressentir ce sentiment d’abandon et d’inéluctabilité proche d’un MUTANTS (2009), ou mieux, d’un MORSE (2008), avec qui il partage cette imagerie enneigée et sanglante. Donc, il ne se passe rien, ou presque: car dans la mesure où cette vieille rumeur chuchotée à l’oreille -une nonne qui aurait pactisé avec Satan dans les bas-fonds de l’école il y a des lustres- prend vie, il faut du temps pour que le mal émerge, d’exécutant par le biais de victimes possédées -ça va couper des têtes, je vous le dis!- ou par ce visuel icônique un peu daté et ressassé -le design du Diable, ombres de poils et de cornes-. Si le manque cruel de violence sale et d’effroi inévitable lié à la possession alourdissent le ton de FEBRUARY, c’est pour mieux jouer sur une subtilité latente, maladive, comme si cette histoire pouvait bien se finir: explorant la psychologie de ses personnages -la séquence très gênante où un couple ayant perdu leur fille se confie à une des anti-héroïnes- et choisissant de montrer avec esthétisme des scènes-clé dont il faudra parfois interpréter -sans trop se ronger le cerveau- les transitions de l’une à l’autre. Je n’ai pas aimé FEBRUARY, car il ne répond pas à mes goûts cinématographiques: cependant, je ne peux pas descendre le film, étant donné que la maîtrise de son réalisateur, l’originalité de sa vision et surtout le fait que ce long-métrage propose une alternative au genre, comme l’ont fait récemment GRAVE (2016) ou LES AFFAMES (2017), lui accordent une légitimité indiscutable. On reste quand même sur le cul de la prestation malaisante et réussie de Kiernan Shipka, à qui on souhaite de revenir dans l’Horreur le plus rapidement possible: mais si comme moi, le côté “cérébral” de la chose vous lasse un brin, FEBRUARY n’est pas fait pour vous. Gardons un œil sur le futur d’Oz Perkins derrière la caméra, il se pourrait qu’on tienne quelque chose de très prometteur. NICE TRY /20
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tuttocenere · 7 months
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hello this rules
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falliero · 6 years
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La Nonne sanglante, de Gounod, avec Michael Spyres 🤩, Vannina Santoni, Marion Lebègue, Jodie Devos, Enguerrand de Hys, Jean Teitgen, par Laurence Equilbey, le Chœur Accentus et Insula Orchestra (à Opéra Comique - Page officielle)
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viceversavillon · 6 years
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Rubens, “Ana Dorotea, fille de Rodolphe II, clarisse au couvent Descalzas Reales, Madrid”, 1628-1629. Huile sur toile, 73 x 65,4 cm. Londres, The Wellington Collection. “Rubens Portraits Princiers”, Musée du Luxembourg, du 4 octobre 2017 au 14 janvier 2018.
Vers ça...
Rossini, “Le comte Ory”, Opéra-comique, du 19 au 31 décembre 2017. Auber, “Le domino noir », Opéra comique, du 26 mars au 5 avril 2018. Poulenc, “Dialogues des carmélites”, Théâtre des Champs-Elysées, du 7 au 16 février 2018. Gounod, “La nonne sanglante”, Opéra-comique, du 2 au 12 juin 2018.
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okay, everyone, with what should I start this month of exploration?
Assassinio nella cattedrale (Bari, 2006)
Khovanshchina (Vienna, 1989)
The Bartered Bride (Met, 1978 IIRC?)
Angels in America (Théâtre du Châtelet, 2004)
Il matrimonio segreto (Schwetzingen, 1986)
Lucrezia Borgia (San Francisco, 2011)
Fortunio (Opéra-Comique, 2019)
La Nonne sanglante (Opéra-Comique, 2018)
Platée (Opéra national de Paris, 2002)
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ehcirbnats · 5 years
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Octobre 2019
Du 30.09 au 05.10: Résidence de création Faust Valley, Goethe/ Mahu & Pink Valley, GhostRaum, Berlin, DE 
Mercredi 2: Shooting photo  F. Hetz, Berlin, DE
Jeudi 3: Shooting photo Tarkett, C. Malissen, Studio Maurice, Asnières-sur-Seine
Vendredi  4: Shooting photo C. Phillips, Pornceptual, Alte Munze, Berlin, DE
Samedi 5: Die Faust, Goethe/ Mahu & Pink Valley, GhostRaum, Berlin, DE
Dimanche 6: Shooting photo Seoul of Berlin, Flugplatz Johannisthal, Berlin, DE
Du 9 au 12: Résidence de création Sniper, Guerilla, Shark, Razor et les Autres, Cie P.A.S, Théâtre Berthelot, Montreuil
Samedi 12: Ouverture publique Sniper, Guerilla, Shark, Razor et les Autres, Cie P.A.S, Théâtre Berthelot, Montreuil
Samedi 12: Projection de DIX (Ten), F. Villette/  Films à venir, dans le cadre du “Mixed Short Film Program”, Qflix Festival, Bull Mansion, Worcester, Massachusetts, USA
Du 13 au 18: Projection de DIX (Ten), F. Villette/  Films à venir, dans le cadre de la soirée “So Gay!” du  Everybody’s perfect  Festival, Cinémas du Grütli, Genève, CH
Jeudi 17: Santa Muerte, J-B. Godet/ M. Mane, Cie LpLp, dan le cadre des Rendez-vous contemporains, Eglise Saint-Merri, Paris
Du 16 au 18: Laboratoire de création Mille baisers, B. Forel / Ineffable Théâtre, Ménagerie de Verre, Paris
Du 19 au 24: Séances de poses, Académie de la Grande Chaumière, Paris
Samedi 28: Diffusion de La Nonne Sanglante, C. Gounod/ D. Bobée/ L. Equilbey, France 2 TV (et en replay jusqu’au  05.11)
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