Tumgik
#karadoc de vannes
superiorkenshi · 10 months
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Je vais crever pourquoi tout le monde est fan de Kaamelott à casto le nombre de ref qu'ils font c'est terrible-
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frisquette27 · 1 year
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Voilà la suite d'un philtre sans philtre ..au départ je voulais faire qu'un chapitre mais au vu du nombre d'annerie que j'avais ecrite me voilà déjà au troisième chapître ..petite dedicace à @miung-dreamer merci pour tes encouragements 😊
Comme d'habitude toujours les mêmes avertissements
UN PHILTRE SAN PHILTRE
CHAPITRE 3
C’était incroyable, comment le père Blaise pouvait-il donc se retrouver dans un bazar pareil. La salle des archives était sens dessus-dessous, sur les tables des monticules de document attendaient d’être classés correctement, des livres s’entassaient parterre alors que certaines étagères étaient vides. Une chatte n’y retrouverait pas ses petits dans un tel foutoir se dit Guenièvre. Bien décidé à trouver un livre sur l’agriculture, elle se mit à fouiller, elle rêver d’avoir son propre potager et elle y pensait depuis très longtemps mais n’avait jamais osé auparavant. Mais la confiance lui était revenu aujourd’hui et elle avait donc décidé que cela plaise ou non de se renseigner dessus. En fouillant, elle se dit qu’elle voulait apprendre plus de chose et sur absolument les sujets, le père Blaise l’envoyait paître dés quelle voulait avoir accès à la salle, ce temps était donc révolu, maintenant décida-t-elle si elle souhaitait une information plus personne n’entraverait son désir d’apprendre.
Malheureusement il faudrait commencer par ranger cette pièce pour pouvoir trouver quelque chose d’utile. Assise sur le sol, un énorme livre posé sur ses genoux, la Reine parcourait la liste officielle des chevaliers, de prime abord ce n’était pas du tout ce qu’elle cherchait pourtant d’avoir lu le nom du seigneur Perceval qui avait de toute évidence était rajouté à la va-vite, avait piqué sa curiosité et elle avait entreprit de chercher les noms des chevaliers quelle connaissait dans la liste des adoubements. Cependant elle ne trouvait pas le nom du seigneur Karadoc, elle essaya avec plusieurs orthographes possibles mais rien. Ce pourrait-il que le mari de la femme qui lui avait volé son époux ne soit pas chevalier ? Tout était possible avec l’organisation désastreuse du père Blaise.
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Arthur était dans une rage folle et même s’il osait à peine se l’avouer, très inquiet pour sa femme. Les deux enchanteurs l’avait mis en danger, heureusement la prise de cette potion n’avait affecté que l’humeur de la Reine, elle aurait pu l’empoisonner et rien que cette idée le faisait frissonner. Il avait missionné le deux huluberlus de retrouver rapidement la Reine et de la mettre en sécurité dans leur laboratoire et surtout de le prévenir immédiatement.
C’était donc toujours très inquiet que le Roi se rendit à la réunion de la table ronde, en rentrant dans la salle il fut surpris de trouver ses chevaliers en grand débat sur le Graal.
« Non mais elle a raison on devrait se concentrer à le chercher au lieu de déblatérer sur ce que ça pourrait bien être »
« Je suis d’accord avec vous seigneur Calogrenant notre priorité est de le trouver mais comment peut-on le chercher si on n’est pas certains de ce que c’est exactement »
« En tout ça c’est sûr il est pas dans les cuisines je vous assure que sinon … »
« Oui on sait vous l’auriez déjà trouvé, on vas pas faire toute la réunion dessus quand même !! Ah bah c’est pas trop tôt on vous attendez plus ! »
« Ah ben cela fait toujours plaisir un accueil pareil mais ne vous arrêtez surtout pas pour moi, pour une fois que vous intéressez un tantinet soit peu à ce que pourquoi vous êtes chevalier. Je ne vais surtout pas gêner ce regain d’intérêt »
 Après s’être installé le Roi ne parvint pas à s’intéresser au cours de la discussion, affalé sur son siège il n’arrivait pas à détourner son regard du chevalier de Vanne. Une haine montait en lui, son chevalier l’agaçait plus que d’habitude, comment son épouse avait pu embrasser cette pauvre nouille. Le chevalier sentait le regard assassin du Roi sur lui mais il ne comprenait pas cette nouvelle animosité, d’ailleurs l’assemblée autour de la table ressentait bien le malaise flagrant entre les deux hommes.
« Vous avez un problème Sire, quelque chose ne vas pas » essaya le chevalier de Gaunes
« Hein non non continuez tout va très bien, mieux serait insupportable, en parlant d’insupportable seigneur Karadoc aux dernières nouvelles vous avez bien décidé de fonder votre propre clan non ! Du coup vous vous barrez quand ! »
« C’est-à-dire sire on peaufine encore les derniers détails comme je vous disais tout à l’heure avant que votre femme .. »
« LA FERME ! »
Tous les chevaliers tressaillirent sur leurs chaises à la réponse et au ton que le Roi employa. Tous perçurent dans sa voix une haine qu’ils ne connaissaient pas au Roi, certes il avait toujours été soupe au lait voire colérique mais jamais il ne semblait haïr et c’était bien de la haine qu’ils ressentaient dans le regard d’Arthur.
« Je vous interdit de parler d’elle après ce que vous avez osé faire, vous ne manquez pas de culot de vous présenter devant moi après ce qu’il s’est passé !!»
« Mais …je comprends pas Sire Je … »
« TAISEZ VOUS ! » Il se leva d’un bond « Et puis d’abord j’ai autre chose à faire que de parler à une bande de pignouf qui comprend que dalle »
Excédé il partit de la pièce comme une furie laissant dubitatif les chevaliers qui n’avaient rien comprit. Il fallait qu’il la retrouve au plus vite, très inquiet au sujet de sa femme et beaucoup trop en colère contre son chevalier et surement trop jaloux pour ne pas être violent envers cet homme que sa femme avait embrassé. La scène ne cessait de tourner dans sa tête, ses poings se serraient, il marchait d’un pas rapide.
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Il l’avait à peine regardé, comment avait-il encore osé la ridiculiser ainsi. Elle ne lui faisait plus aucun effet et pour elle c’était impossible. Il l’avait quitté certes elle n’était pas vraiment amoureuse de lui ce qu’elle aimait chez lui c’était son hygiène et surtout le fait qu’il soit Roi. Car elle avait adorée être Reine, elle était taillée pour ça bien plus que la gourdasse qui se trouvait à la tête du Royaume sans en faire quoi que ce soit. Alors certes elle était gentille, prévenante, et même plutôt jolie, beaucoup la trouvait adorable mais elle était naïve et ne comprenait absolument rien aux affaires du Royaume. En ouvrant la porte de ses appartements qu’elle fut sa surprise de les trouver dans un état déplorable, des fleurs jaunes avaient été déversées partout sur le sol, sur le lit, sur le bureau. Un parchemin attira son attention, posé négligemment sur le tas de fleurs qui se trouvait sur son lit. En prenant le document, elle fulminait, qui avait donc osé lui faire un tel affront. Ses yeux s’écarquillèrent en lisant la missive, non ce n’était pas possible.
« Chère Dame Mevanwi,
Je pense que cela vous appartient, je ne voudrais surtout pas vous en priver.
Si vous ne savez pas où les mettre j’aurais bien un endroit à vous proposer mais la bienséance ne me permet pas de vous l’écrire.
La VRAIE Reine. »
Mevanwi hurla de frustration, elle allait lui payer.
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Guenièvre un livre sous le bras avait quitté la salle d’archives préférant se rendre dans les jardins pour poursuivre sa lecture. Sur son chemin elle recroisa sa mère qui n’avait pas l’air d’avoir apprécié leurs échanges plus tôt dans la matinée.
« Ah vous revoilà, vous croyez que je vais me laisser envoyer paître comme ça, qu’est ce qu’il vous arrive aujourd’hui ? »
« BAH RIEN, je vais extrêmement bien ! »
« Alors ma p’tite mère si tout va très bien, vous allez me retirer fissa cette robe, elle est beaucoup trop décolletée et beaucoup trop étroite au niveau de votre buste, il y a plus de place à l’imagination »
« Oh mais c’est pas vrai, elle vous plait tant que ça ma robe » Guenièvre commença à la détacher pour pouvoir l’enlever « Mais si elle vous plait je vais pas vous en priver ! »
La Reine finit de l’enlever et l’envoya sur sa mère tout en s’enfuyant en riant dans les couloirs. Elle n’était plus que vêtu d’une toute petite robe blanche fine très courte, trop courte, juste au-dessus des genoux, sans manche. Au détour d’un couloir, toujours prise d’un fou rire dû à la tête qu’avait fait sa mère, elle tomba littéralement sur des dames de la cour occupés à médire.
« Oh pardon » fit elle en leur rentrant dedans « Je suis vraiment navré »
Les deux femmes la regardèrent de la tête au pied outrés par l’apparence de leur souveraine.
« Vous avez chaud ma Reine ? » dit l’une d’elle en gloussant
« Non j’allais rejoindre votre mari ! » répondit elle avec aplomb.
Les deux femmes perdirent leurs sourires mesquins alors que celui de la Reine grandissait, elle s’amusait beaucoup aujourd’hui.
 « Méfiez-vous Mesdames à force de dénigrer les autres, je pourrais vous obligez à porter la même tenue après tout n’oubliez pas je suis la reine donc …d’ailleurs oui je suis la Reine, je vous ordonne de changer de tenue et de …vous mettre en tenue …de nuit …voilà c’est bien ça maintenant vous n’aurez droit que de porter vos chemises de nuit ! »
Elle leur tira la langue et repartit vers les jardins toujours son livre dans les mains. Alors qu’elle était presque arrivée à destination, elle croisa Elias. L’enchanteur avait levé un sourcil amusé à la vue de la Reine, un petit sourire aux lèvres, il lui expliqua la situation. Un peu déçu que ce soit la faute d’une potion et pas une révélation personnelle, Guenièvre accepta de le suivre au laboratoire.
Assise sur une table, sa robe relevée sur ses cuisses, elle balançait nonchalamment les jambes, amusée par la situation. Les deux enchanteurs avaient fait prévenir le Roi mais ils étaient surtout occupés à se disputer sur le meilleur moyen de minimiser les effets de la potion.
« Oh vous savez moi je vais très bien, ce n’est pas très grave après tout ! »
Les deux hommes tournèrent vivement leurs têtes vers la Reine qui rit à leurs expressions choquées.
« Ah non vous n’allez pas bien et puis je ne pense pas que le Roi apprécie réellement votre nouvelle attitude même si personnellement j’aime beaucoup »
« Ben allez dire ça au Roi, je suis sure qu’il va adorer ! »
« Oh vous ! ne faites pas le malin si vous saviez faire une potion correctement on ne serait  pas dans la mouise »
« Oui bon ben ça va »
Merlin bouda dans son coin, tandis qu’Elias se rapprocha de la table et murmura à la Reine.
« Sinon vous ne me raconteriez pas votre petite journée en attendant ? »
Guenièvre ria de plus belle à l’expression qu’avait choisi l’enchanteur. Elle prit le temps de lui raconter en détail sa matinée et fût ravi de voir que cela faisait rire aussi l’enchanteur.
« Je crois que le plus drôle c’était la tête d’Arthur !! »
Comme s’il avait entendu que l’on parlait de lui, Le Roi entra dans le laboratoire ce qui fit rire encore plus Elias et Guenièvre. Arthur allait s’énerver quand il vit sa femme assise sur la table à moitié nue. Le rouge lui monta aux joues, voir ses jambes, ses épaules lui donnèrent un coup de chaud. Et comme pour le narguer un rayon de soleil venait jouer sur la robe de son épouse rendant légèrement transparente la robe par endroit.
« MAIS …QU’EST-CE QUE …VOTRE ROBE …POURQUOI VOUS ETES A MOITIE …NON MAIS C’EST PLUS POSSIBLE …ET VOUS BARREZ VOUS …VOUS CROYEZ QUE VOUS POUVEZ ETRE AUSSI PRES D’ELLE »
Il hurlait et bégayait en même temps, ce qui fit reculer immédiatement l’enchanteur.
« Bon on va partir sur la tisane pour calmer les effets, Merlin venez on va chercher de quoi faire l’infusion »
Ils laissèrent le couple Royal seul, Arthur se mit devant la fenêtre tournant le dos à son épouse, il préférait contempler l’extérieur de peur de la regarder, elle était tellement belle et surtout désirable, il en avait d’ailleurs les effets physique qu’il préféré calmer avant tout. Depuis quand sa femme lui faisait un tel effet, il n’aimait pas du tout cette journée, il se sentait un peu fébrile, de la savoir là assise sur cette table, si belle, si …non non pensa-t-il, il fallait qu’il se reprenne.
« Vous boudez ? »
Il sursauta à la voix de sa femme, il se tendit un peu plus.
« Pourquoi vous boudez ? Allez …quoi …dites moi ! »
« Je boude pas » lui répondit Arthur en grognant légèrement
« Si vous boudez ! Et puis c’est pas gentil de me tourner le dos, je suis si moche que ça ! »
« Quoi mais non qu’est ce que vous pouvez raconter comme ânerie parfois !»
Il s’était tourné vers elle et s’approcha doucement, elle était vraiment très belle.
« Ne vous inquiétez pas les deux guignols vont trouver quelque chose pour vous guérir »
« Me guérir mais je NE suis PAS malade moi je vais bien même très bien d’abord ! »
« AH NON vous n’allez pas bien, vous avez embrassé un autre homme »
«Un autre homme ? »
« Oui vous avez embrassez KARADOC, non mais vous rendez compte » dit il furieux
Elle le regarda intensément ce qui le troubla encore plus, elle se mordit la lèvre inférieure, elle était adorable ce qui lui donna un autre coup de chaud.
« Pff c’était pas un baiser ça! »
« Ah si si vous l’avez embrassé ! et puis d’abord je peux savoir pourquoi vous l’avez embrassé parce que la potion elle a bon dos, il vous plait ce machin, non mais sérieusement dites le moi et je vous laisse tranquille »
Elle se leva et le rejoignit doucement, il se figea. Elle passa sa main sur sa joue et se rapprocha encore plus au point de coller son corps contre le sien, trop choqué pour réagir Arthur ne bougea pas. Il pouvait sentir son souffle chaud sur ses lèvres. Sans réfléchir il se pencha légèrement s’arrêtant à quelques millimètres de sa bouche pret déjà à reculer quand il sentit la pression de ses lèvres sur les siennes. Elle avait fait le dernier pas, c’est elle qui avait initié le baiser, il goutait ses lèvres ne cherchant pas aller plus loin ou plus vite.
Savourant la douceur de cet instant, ils s’embrassaient et c’était délicieux, paradisiaque. La main d’Arthur se posa sur la nuque de la jeune femme caressant la peau douce de ses doigts, elle gémit doucement et il lui rendit son baiser plus passionnément cette fois, mordillant sa lèvre inférieure, elle entrouvrit ses lèvres et il y glissa sa langue pour explorer sa bouche, elle lui rendit caresse sur caresse. Il grogna de plaisir, jamais un baiser ne lui avait autant fait tourner la tête, elle s’accrochait les deux bras à son coup alors que ses mains à lui avaient entreprit de découvrir son corps, tout d’abord caressant son dos lascivement, elles vinrent se poser poussivement sur ses fesses la rapprochant encore plus de lui.
Ils se souciaient peu du lieu où ils se trouvaient à cet instant, rien ne comptait d’autre que leur corps pressé l’un contre l’autre, de leurs bouches qui se dévoraient. Pour reprendre son souffle, elle se sépara à regret de sa bouche délicieuse pour enfouir son nez dans son cou et respirer son odeur chaude et masculine. Il remonta une de ses mains vers sa poitrine oubliant toute retenue elle laissa échapper un long gémissement.
Peut-être est-ce les effets de la potion, mais à cet instant elle se contrefichait de ce qui arriverait quand il la lâcherait pour l’instant elle voulait tout sentir de lui, elle glissa sa main dans sa tunique et elle griffa légèrement son dos, souriant alors qu’il grognait et se collait encore plus à elle. Il ne savait pas ce qu’il lui arrivait, il était comme enivré par elle. Toute sa résolution de la tenir éloigné, volait en éclat, plus de dix ans qu’il s’accrochait à un serment, plus de dix ans qu’il la repoussait et il avait suffi d’un seul baiser pour tout détruire. Il caressait ses délicieuses courbes recouvertes par la légère robe qu’elle portait. Alors qu’il allait la plaquer contre la table, il sentit qu’elle reculait. Elle s’éloigna doucement de lui, le laissant sur sa faim, elle plaqua son regard dans le sien et avec un sourire goguenard.
« Ça c’est un baiser ! »
Un garde entra dans la pièce ne laissant pas le temps au Roi de reprendre sa contenance.
« Sire, Vous êtes attendus d’urgence ! Votre mère et sa sœur viennent d’arriver au château ! »
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Kaamelott Prompt
Et si Karadoc par un caprice du destin avait réussi à récupérer sa femme, fraîchement échangée, du camp de Lancelot et était retourner à Vannes après une dispute avec Perceval.
Guenièvre absente de l'équation, quel avenir pour l'île de Bretagne et ses habitants. Est-ce que Arthur sera finalement heureux ou est-ce que même les boucles blondes qu'il a choisi de voir tous les matins ne l'empêcherons pas de retomber peu à peu dans sa dépression ?
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pas-de-la-kaamelott · 2 years
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Tumblr media
mais tout à fait @smolnerdz
ils sont tous plus ou moins sous anti-dépresseurs mais c’est blaise qui a la plus grosse (armoire à pharmacie), il est constamment à un cheveu du burnout et il a tendance à faire des malaises vagals au moment des bilans de fin d’année. il existe dans les archives de la compta un dossier entier consacré au budget de la machine à café. un jour perceval et karadoc ont voulu faire une corbeille à fruits ludique pour inciter les enfants à manger des fruits sauf que ça a fini avec des petites voitures coincées dans des oranges. bohort pense quotidiennement à se jeter par la fenêtre, souvent à cause d’arthur et leodagan qui se bouffent le nez mais chaque jour à cause d’élias et merlin for obvious reasons. guenièvre et dagonet sont les seules personnes encore saines d’esprit dans la boîte. galessin ne boit des coups qu’avec dagonet puisque apparemment c’est son seul pote ever (et dagonet il dit pas non car c’est un être gentil et galessin c’est son bestie). bizarrement l’équipe yvain gauvain kadoc fonctionne pas si mal que ça. venec est totalement un dealer de matériaux rares mais arthur chooses to not see it (parce qu’il est furieusement bisexuel pour cet homme). grüdü a été engagé comme vigile après une tentative de vol (où galessin a été blessé je précise). beaucoup de monde ont été surpris en pleine baise dans le placard de service. l’équipe d’italie vient visiter au moins une fois par an. hervé a des mains d’or mais sans déconner on comprends rien à ce qu’il dit. je ferais un post sur qui a quelle voiture parce que vraiment jamais parking d’entreprise n’a pu être aussi reconnaissable à cause des bagnoles garées dedans.
quelques douces pensées :
élias : à défaut de pouvoir le retenir je peux vous enfoncer le code civil dans le cul si ça vous chante
merlin : j’vais aller à l’encontre de l’arrêt de morsang-sur-orge ça va être vite vu vous allez voir (les vrais ont compris cette vanne if not allez googler)
hervé : nan mais vous voyez faut crisser le verre comme une margoulette et après ça se bonifie avec la passion
everyone else :
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calo à un fournisseur : non mais vous voyez, on aimerait bien que de votre côté vous accentuiez le côté production bio, locale. vous savez que l’écologie, la préservation de l’environnement est quelque chose que nous prenons très au sérieux dans notre entreprise.
leo, standing behind him menacingly : mais parfois on revient à la bonne vieille essence. pour faire cramer des fermes par exemple.
les boys d’italie : alors ça roule ton affaire ?
arthur :
something : *explodes in the background*
arthur : comme sur des roulettes
michel, aux travailleurs de l’usine attenante à la boîte : allez on se magne plus vite que ça, sinon je prends le pistolet à scotch et je vous emballe le service trois-pièces façon paquet cadeau !
caius, talking about his acting job : non mais mon public se divise en trois catégories : les petites vieilles, les parisiennes et les lgbt.
lancelot : pourquoi les lgbt ?
caius : trouve-moi un lgbt en france qui n’aime pas les p’tites planplantes. et pour les p’tites planplantes, faut des jolis vases. que je leur vends. et que vous vendez de façon réelle.
lancelot, se penchant vers galessin : faudrait p’têtre essayer de le recruter pour la comm, en fait…
galessin :
galessin : tchoi- *gifle lancelotienne*
and i have many more ideas
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mndvx · 3 years
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KAAMELOTT – PREMIER VOLET réal. Alexandre Astier (2021) ››› Alexandre Astier est Arthur Pendragon ››› Franck Pitiot est Perceval de Galles ››› Jean-Christophe Hembert est Karadoc de Vannes
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quietparanoiac · 2 years
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After all the soil, you still ask us why the hell are we underground? We're underground... Because it's classy!
Kaamelott : Premier Volet (2021)
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mockscreens · 2 years
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🇫🇷 j'avais complètement oublié de poster ceux-là, en plus j'les aime bien!
please like/reblog if you save!
more kv1 lockscreens here!
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katewalker · 3 years
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KAAMELOTT | Livre II Épisode 33 « Spiritueux »
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winxixia · 4 years
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KaamelottBeuk
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docclaras · 3 years
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L'exceptionnelle destinée de son porteur
Arthur x Guenièvre (Kaamelott)
Sommaire : De retour au royaume de Logres, Méléagant parvient à se rendre sur l’Île de Tenet et à enlever la reine. Arthur remue ciel et terre pour retrouver son épouse, mais lorsqu’il la secoure enfin, Guenièvre n’est plus tout à fait la même...
Notes : Fanfiction post-Kaamelott Premier volet (attention spoilers !) Ceci est ma première fanfiction écrite depuis des années et publiée sur tumblr... Soyez gentils les petits croustis *-*
Cela faisait maintenant plusieurs heures que le roi se trouvait au chevet de son épouse. La reine Guenièvre était de retour sur les terres ancestrales de sa Carmélide natale, au sein des murs protecteurs de la forteresse paternelle du Seigneur Léodagan. C'était là, qu'Arthur et plusieurs chevaliers de la Table Ronde avaient trouvé refuge, à la suite du débarquement des dernières troupes fidèles à Lancelot, sur l'Île de Tenet. Un assaut surprise ayant servi de diversion au fourbe de Méléagant, pour enlever Guenièvre, alors que les hommes du château s'étaient rassemblés sur le flan ouest pour engager la riposte.
Lorsque Arthur avait découvert sa disparition, il avait ressenti une vive inquiétude lui envahir la poitrine. Sans prononcer un mot, il avait renversé bibelots et meubles de la chambre désormais vide, partagée avec son épouse. Il avait arraché les tentures de colère, mordu et frappé les incapables gardes qui avaient failli à leur tâche, puis il avait finalement brandi Excalibur contre Léodagan, qui lui avait rappelé âprement d'utiliser sa rage pour retrouver sa fille et non pour détruire sa demeure. C'était la première fois que ses sujets le voyaient soumis à une telle agitation. Même Karadoc en avait perdu l'appétit, (le temps d'une heure, tout au plus). Jamais Arthur n'avait éprouvé un tel effroi au cours de sa vie passée. Pas même lorsqu'il avait découvert Shedda le visage tuméfié, ou qu'Aconia était venue lui faire ses adieux. L'impuissance avait repris le dessus dans son esprit, pour venir tout saccager et lui rappeler son destin lui échappait une fois de plus.
La traque avait duré des semaines, longues, rudes, semblant interminables aux chevaliers et Arthur lui-même. Mais le Seigneur du Royaume de Logres n'avait pas baissé les bras, pas cette fois. Il avait persévéré jusqu'à l'épuisement. Fouillant chaque recoin des terres sacrées, de l'Île de Bretagne, jusqu'aux confins de l'Aquitaine où il avait envoyé émissaires et éclaireurs. Finalement, ce fût sur l'indication piètrement hasardeuse d'un petit vieux rencontré par Perceval sur la route de Vannes, qu'Arthur retrouva la trace de son épouse, retenue prisonnière sur une petite île jouxtant la Bretagne continentale et assez loin des côtes, pour décourager toute évasion à la nage. Le roi s'était préparé à affronter Lancelot en arrivant sur les lieux, mais il n'y avait trouvé que la stature inquiétante de Méléagant, contre lequel il avait engagé un combat intense. L'homme en capuche avait usé de ruses et de magie pour le déstabiliser, au point de parvenir à l'épuiser physiquement et le désarmer. Arthur avait cru sa dernière heure arriver quand le corps massif de son ennemi l'avait surplombé et commencé à serrer sa gorge de ses deux mains. Puis une lueur bleue l'avait aveuglé. Une puissante colonne de feu s'était élevée au-dessus de leur tête, avant de s'abattre froidement dans le dos de Méléagant, qui tomba raide mort sur le sol. Affaibli par le manque d'air, Arthur avait mis du temps à réaliser que son sauveur n'était autre que son épouse Guenièvre, armée d'Excalibur, plus flamboyante que jamais.
Cette image hantait le roi depuis leur retour en Carmélide. Il avait retrouvé son épouse certes, mais l'inquiétude persistait. Méléagant n'avait pas été aussi clément que son rival Lancelot. Guenièvre était considérablement amaigrie et faible. Elle avait perdu sa taille gironde et le rebond de ses joues, qu'Arthur avait longtemps refusé de caresser. Voilà deux jours qu'elle dormait pratiquement sans discontinuer. Face à ce spectacle angoissant, le roi ne pouvait que repenser à sa propre expérience. Aux jours qui avaient suivi sa tentative de suicide et durant lesquels, Guenièvre s'était enfuit de Carmélide pour venir à son chevet. Comme elle, il ressentait l'injustice du moment. Attendre, sans savoir si ses yeux allaient un jour se rouvrir. Attendre était pire que tout.
Trois coups venaient d'être frappés à la porte de la chambre, sortant le roi de ses songeries sinistres. C'était le Seigneur Perceval, qu'il invita à entrer après s'être annoncé.
« Ah Sire ! Je savais pas si vous dormiez, c'est Elias qui m'a demandé de vous amener cette potion. C'est pour la reine ! » lui dit le chevalier à la chevelure grise, en lui tendant une fiole au contenant jaunâtre.
« À boire dans deux verres d'eau. Euh non... deux gouttes dans un verre d'eau ! Non, c'est pas ça. Un verre dans deux...
- Donnez-moi ça ». Ordonna le roi, en se saisissant de la fiole.
Il posa cette dernière sur la table de chevet, près de la chandelle se consumant. Un silence pesant s'installa dans l'atmosphère tamisée de la chambre. Arthur avait de nouveau posé son regard inquiet sur la silhouette de sa femme alitée. Sentant la présence de Perceval demeurer à ses côtés, il l'enjoignit à s'asseoir sur l'un des sièges situé près de la fenêtre, puis il lui servit à boire dans l'un des gobelets apportés plus tôt dans la journée par les domestiques.
« J'ai pas compris, votre femme, elle a été blessée ou pas ? Demanda le chevalier aux yeux bleus.
- Non, Merlin dit qu'elle est sous-alimentée et déshydratée. Expliqua le roi avec difficulté. Elle a passé plusieurs semaines dans le cachot où on l'a trouvé.
- Quel salaud ce Méléagant ! S'exclama Perceval avec toute l'indignation que lui conférait son cœur pur. »
Il semblait aussi que la reine ait souffert du froid et de l'humidité. La fièvre avait mis du temps à passer. Heureusement, chaque jour son état semblait s'améliorer, bien que cela prenne un temps considérable.
« Je peux vous poser une question ? Demanda Perceval, qui ne supportait visiblement pas le silence.
- Quoi ?
- C'est vrai que votre femme, elle a saisi Excalibur et qu'elle s'est mise à flamboyer ? J'ai entendu Léodagan le dire à Bohort dans le couloir, à votre retour »
Arthur acquiesça sans dire un mot et Perceval en parut confus.
« Je croyais que c'était qu'avec vous que ça marchait, ce truc-là ?
- C'est plus compliqué que ça.
- Mais elle avait pas marché avec moi aussi ? Demanda Perceval en se grattant la tête.
- Si. acquiesça Arthur. Bon, où vous voulez en venir à la fin ?
- Je sais pas, c'est bizarre. Qu'est-ce qui fait qu'elle flamboie ? Ç'a rapport avec la chaleur temporelle ?
- Temporelle ?
- Oui, tout ce qui est rapport au chaud, au froid. Tous ces trucs-là, quoi.
- Corporelle ? Proposa Arthur, qui fronçait les sourcils.
- Mais nan ! J'veux dire tout ce qui touche à la température de la peau ?
- Corporelle ! Insista le roi, au bord de la migraine.
- Ah oui, voilà c'est ça ! Corporelle. Ç'a un rapport avec ça ? ».
Le roi ferma les yeux un instant, pour laisser échapper un long soupir de désolation. Même après des années à côtoyer le chevalier, il restait indubitablement surpris par son infinie bêtise. Malgré tout, il ne pouvait concevoir de le laisser dans l'ignorance complète. Il prit alors une grande inspiration.
« Excalibur flamboie "lorsqu'elle reconnaît l'exceptionnelle destinée de son porteur". annonça-t-il, en reprenant les mots de la Dame du Lac.
- J'ai rien compris, confia Perceval interloqué.
- Je m'en doute.
- Redites pour voir ?
- "Excalibur flamboie lorsqu'elle reconnaît l'exceptionnelle destinée de son porteur".
- Son porteur ?
- Oui.
- Mais elle porte quoi votre femme ? Elle a une armure elle aussi ? »
Les traits d'Arthur se durcirent, tandis qu'il secouait la tête de fatigue. Un nouveau soupir s'échappa de ses narines bombées par l'agacement. Il avait oublié à quel point entretenir une conversation avec Perceval pouvait être compliqué. « Non, elle porte pas d'armure, commença le roi avant de s'arrêter brusquement. Elle porte... »
Son visage devint soudain doux et tendre. Il se retourna vers son épouse qui semblait toujours plongée dans un profond sommeil. Les pensées d'Arthur se bousculaient dans son esprit. Il se remémora les années passées, les fois où sa femme avait tenu Excalibur entre ses mains, sans jamais que celle-ci ne flamboie à son contact. Il se remémora les mots de la Dame du Lac et son sauvetage par Guenièvre, quelques jours plus tôt. Un frisson parcouru son échine. « Ramenez-vous ! scanda-t-il à haute voix en levant le nez vers le ciel. Il fixa le plafond, comme s'il attendait une réponse. Ramenez-vous, j'vous dis ! » insista-t-il avec sévérité. Un peu perturbé par cet ordre soudain, Perceval approcha son siège du roi.
« Pas vous » gronda Arthur, à son intention. Quelques secondes plus tard, la Dame du Lac apparut sous sa forme astrale. La déesse avait rejoint son plan d'origine, lorsque Arthur avait décidé de reformer la Table Ronde et de reprendre la quête du Graal. « De quoi vous parlez sire ? Demanda Perceval, avec faisant papillonner ses grands yeux bleus.
- Fermez-la, c'est pas à vous que je parle !
- Pourtant, c'est vous qui...
- Fermez-la j'vous dis ! Tiens d'ailleurs, sortez ! Cassez-vous ! » ordonna-t-il en montrant la porte du doigt. L'allure penaude, Perceval quitta silencieusement la pièce pour laisser le roi seul en conversation avec la Dame du Lac, qu'il ne pouvait à nouveau plus voir. « Est-ce que c'est vrai ? demanda Arthur en désignant Guenièvre allongée dans le lit.
- De quoi ?
- Vous payez pas ma tronche, vous savez très bien de quoi je veux parler, sinon vous seriez pas là ! C'est vrai, oui ou non ?
- Ça a toujours été elle votre destinée, soupira la déesse avec condescendance. Seulement vous avez préféré l'ignorer et n'en faire qu'à votre tête, alors...
- Alors quoi ?
- Alors, les dieux vous ont punis.
- Vous voulez dire que ma stérilité, c'était à cause de ça ? Vous vous moquez de moi ? J'ai fait tout ce que les dieux m'ont demandé ! J'ai retiré l'épée ! J'ai créé la Table Ronde ! J'ai fédéré les clans ! Je me suis cassé le cul pendant des années à chercher un Graal qu'a p'têtre jamais existé ! J'me suis mariée avec elle sans même la connaître, pour unifier la Bretagne ! Qu'est-ce qu'il fallait de plus à la fin ?!
- Que vous la choisissiez. Et inversement ». À ces mots, Arthur se mit à soupirer et se tut pendant un moment. « Est-ce qu'elle va s'en sortir, au moins ? » Finit-il par demander, en posant son regard sur Guenièvre. Le temps qu'il se retourne pour obtenir sa réponse, la Dame du Lac avait disparu. « Eh oh ! Vous allez où, là ?! Revenez, déconnez pas ! Revenez ! hurla-t-il, alors qu'il s'était levé.
- Hum...Pourquoi vous criez encore ? » C'était la voix de Guenièvre. La reine était éveillée. D'apparence toujours faible, ses yeux étaient bel et bien ouverts. En croisant son regard, Arthur relâcha ses épaules en signe de soulagement, puis il alla doucement se rasseoir auprès d'elle.
« Pour rien. Je me faisais du souci pour vous.
- Pour moi ? S'étonna Guenièvre en le regardant avec une certaine curiosité.
- Oui, pour vous ». Admit Arthur, en venant saisir l'une de ses mains de son épouse, pour appuyer ses mots. Guenièvre esquissa un tendre sourire, puis fut tout à coup prise d'un vif sursaut, comme si elle avait été frappée par la foudre. Sa main libre se plaqua sur son ventre au-dessus des couvertures et son visage devint plus blême qu'elle ne l'était déjà. Elle paraissait désemparée, profondément soucieuse. Arthur le remarqua, mais ne dit rien. Il caressait doucement le dos de sa main en signe d'affection. Guenièvre resta songeuse quelques instants. Elle semblait chercher ses mots. « Il faut que je vous avoue quelque chose...
- Je sais, la coupa Arthur d'une voix douce.
- Non, mais laissez-moi parler ! rouspéta-t-elle en faisant la grimace. J'osais pas vous le dire, parce que j'avais peur de vous donner de faux espoirs, mais...
- Je vous aime », avoua le roi avec la plus grande simplicité du monde.
La reine resta bouche bée.
« Je vous aime, répéta Arthur en regardant sa femme dans les yeux. J'ai mis du temps à m'en rendre compte. J'ai préféré vous ignorer. Me concentrer sur vos défauts, plutôt que de remarquer vos qualités. J'ai eu tort, j'en suis désolé. Parce que même quand vous m'énervez, même quand vous collez vos pieds gelés contre les miens dans le lit ou quand vous décidez de faire quelque chose alors que je vous l'ai fermement interdit... J'me rends compte que je suis heureux de vous avoir à mes côtés. Que j'ai eu de la chance de vous avoir eu vous à mes côtés, pendant toutes ces années.
- Ça fait longtemps que vous ruminez ça ?
- Dix ans, confia le roi, qui avait passé tout ce temps loin de Kaamelott, en exil.
- Vous avez pris votre temps.
- Vous m'en voyez désolé.
- Je vous en veux pas », le rassura Guenièvre en posant une paume sur la joue rugueuse de son mari.
Le roi et la reine échangèrent un regard complice, puis sourirent. Arthur se rendait compte que son épouse avait été la seule femme à l'aimer véritablement pour son être et non pour sa fonction. Elle avait toujours soutenu l'homme qu'il était, comprenant à quel point le poids des responsabilités pouvait être un fardeau qu'Arthur avait fait de son mieux pour assumer. Elle n'avait jamais été rongée par l'ambition ou la jalousie, et pourtant les dieux savaient combien elle en aurait eu parfaitement le droit. Elle n'avait pas hésité à le suivre dans sa quête de descendance, quand bien même il avait refusé d'en engendrer une avec elle. S'il avait su dès lors, que son bonheur se trouvait de l'autre côté du lit et pas dans celui d'un autre... Chaque jour, les regrets le consumaient, mais à présent, il voyait s'ouvrir une perspective d'avenir bien heureuse avec elle.
Sans dire un mot, Arthur vint apposer une main sur le ventre de sa femme et celle-ci compris qu'il savait. Après des années de prières et de déconvenues, l'héritier du Royaume de Bretagne était enfin en route. « Si vous avez le cœur à manger, je peux vous faire apporter un p'tit frichi, proposa le roi qui souhaitait voir sa femme se remplumer rapidement. Qu'est-ce que vous voulez, du pain, des fruits ? De quoi vous avez envie ?
- Eh bien, vous fâchez pas, mais...vous savez s'il y a de la pâte d'amande ? », demanda Guenièvre en se mordant la lèvre inférieure.
Les pupilles d'Arthur firent un 360 degrés dans ses orbites. Il échappa un rictus nerveux, qui cachait en réalité un sourire aux coins des lèvres.
« On va essayer de vous trouver ça » dit-il, avant de venir déposer un baiser sur le front de son épouse.
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seerstormborn · 3 years
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Kaamelott: Astrologie.
Genre, dans les drafts depuis 2018?! Puisque le premier volet sort bientôt, autant finir ce post non? ;D  Bon, ceci est juste pour le fun. Aucune dates indiquées dans la légende ou mentionnées dans la série ne sont prises en compte, sauf peut être l’anniversaire manqué de “Galessin l’Hiver dernier”. Mais à part ça, voilà mon point de vue sur les personnages et leur éventuel signes.
N’étant pas une astrologue, mais alors pas du tout, je vous conseil bon gré mal gré de prendre cette interprétation avec un grain de sel xD
Les explications se trouvent après le “read more”. 
Pour marquer le coup, je tag @jellyfitzjelly et @capitanogiorgio qui m’ont accueillie dans Le Ship Pourri 💜
Bonne lecture! ;D
Bélier: Arthur, Perceval, Aélis
Taureau: Guenièvre, Léodagan
Gémeaux: Loth, Verinus, Sallustius
Cancer: Merlin
Lion: Manilius (pas une vanne)
Vierge: Séli
Balance: Bohort, Gauvain
Scorpion: Anna
Sagittaire: Karadoc, Vénec
Capricorne: Lancelot, Mevanwi
Verseaux: Yvain
Poissons: La Dame du Lac (pas une vanne non plus!), Galessin
Arthur, notre bon roi au nerfs solides et au tempérament de feu. Ce côté lunatique légendaire fait que j’ai grandement hésiter avec Cancer, mais le Bélier a gagné. Après tout Arthur est l’élu des dieux! Et la position du Bélier en tant que numéro un n’est pas hasardeuse: en effet, celui-ci est le soldat du zodiaque, le leader naturel qui n’a pas besoin de l’être mais guidera le groupe si besoin est. Ce signe est aussi le champion des opprimés, bienveillant malgré son manque de patience et sa nature colérique.
Perceval, c’est l’adulte qui garde une âme d’enfant. Et qui représente l’enfant, le bébé même, dans l’astrologie? C’est le Bélier. Il est gentil, tolérant, naïf, optimiste mais peut se fâcher dur et ne cache pas ce qu’il pense, en particulier quand il n’apprécie pas quelqu’un ou une situation.
Aélis, bon, nous n’en savons pas grand chose mais elle à l’air plutôt sympathique, fille de chef de clan - vaincu certes, mais ce signe ne se considère pas comme de la merde, qu’il soit pauvre ou riche, de classe moyenne ou de bonne famille, sachez le. Elle a l’air de posséder un mental solide mais avec son petit caractère quand même; ne venez pas lui chercher des noises, elle est prête à vous en coller une si il le faut.
Guenièvre, la dame de cœur! Têtue, elle fait de son mieux pour soutenir ses proches même quand elle ne comprend pas leur dilemme. Âme artistique, la Reine aime s’adonner à ses hobbies et apprécie grandement son confort de vie. Une alliée et amie fidèle.
Léodagan, le bougre borné, râleur et qui adore acheter ses machines de guerre. Le ronchon qui n’oublie pas une crasse et matérialiste à souhait qu’on aime, en fin de compte.
Loth, celui qui sait utiliser son cerveau et arriver à ses fins. Pourquoi se salir les mains quand d’autres peuvent être payés à le faire? Lui, c’est plutôt les mots son point fort et ça, tout le monde le sait! Dagonet, Arthur… Le Roi d’Orcanie et des citations en a manipulé et saoulé plus d’un!
Vérinus, le mec sympa dont la tchatche à dû sauver plus d’une fois. Toujours dans les plans foireux, il en fait marrer plus d’un malgré sa lâcheté notoire.
Salustius, presque un Capricorn mais changement de dernière minute: les Jumeaux lui vont à ravir! Cette fameuse double-face est retrouvée chez lui; poli, avenant, et conversationalist, la façon dont il prend Arthur sous son aile n’est pas désintéressé. En effet, cet homme est influant et à un but précis: conquérir la Grande-Bretagne. Le sénateur qui suggère que Salustius à plus de pouvoir que Jules César lui-même annonce la couleur.
Merlin, alias Coco L’Asticot! Un véritable sensible celui, pour le meilleur et pour le pire. Sympathique avec ceux qui le respecte, son amour des animaux est notable. Mais gare à ceux qui ose le critiquer: le Druide ne supporte  pas la critique, fondée ou non. N’est-ce pas Môsieur Élias?
Manilius, le soldat qui préfère la passion à la prudence. Ce Romain aime la vie et veut la croquer à pleine dents, quitte à en payer les conséquences — comme finir dans la cage aux lions! Les signes du feu en général adore leur potes et c’est le cas avec Arthur, qu’il suit jusqu’au trou perdu qu’est la Grande Bretagne. Cette loyauté signe son arrêt de mort de retour à Rome.
Séli, la maman ultra râleuse mais qui veut le bien de sa famille au final. Ce signe est serviable, dévoué aux autres — cela ne ce voit pas chez elle au premier abord, mais la pression qu’elle met à son fils et les conseils qu’elle donne à sa fille sont bien là. Les tartes, ou quand celle-ci discute de l’héritier avec Léodagan (d’ou la mention du patrimoine, des souvenirs à créer dans l’épisode Les Tartes aux Myrtilles)… Et bien sûr, la critique. Bonne ou mauvaise, personne ne sait la donner comme un Vierge! Séli en est la souveraine.
Bohort, le gars agréable par excellence! Gentil, doux, cultivé, celui-ci représente bien le signe de la balance — son besoin d’harmonie lui joue de mauvais tours. La paix est son crédo!  Evitez d’abuser ou de sous-estimer la personne, vous seriez surpris (MÉCRÉAAAANTS!). Qui n’aimerait pas un ami comme lui?
Gauvain, sympathique personnage mais naïf. Parle bien même si le sens des mots lui échappe. Enjoué, les gens qu’il aime compte énormément pour lui — d’où le dilemme qu’est de choisir entre son père et son oncle. Le choix multiple semble être le cauchemar de ce signe.
Anna, car les signes de l’eau sont très émotifs et malgré le côté secret et son visage fermé, elle bouille à l’intérieur. Maligne, rancunière, vengeresse… les mauvais côtés du Scorpion mis à l’honneur avec cette dame. (Je dis ça mais tout ceux que je connais sont fun et positif donc allez savoir si ça match bien xD)
Karadoc, le bon simplet qui s’assume et aime la vie. Bon vivant, il est positif et loyal avec son entourage. Se bat pour ce qu’il aime et ses valeurs, redoutable au sujet de la nourriture. Créatif, il aime aussi l’aventure — ses nombreuses missions et méthodes de combats partagées et imaginées avec Perceval en sont la preuve.
Vénec, celui qui ose chercher sa voie jusqu’au bout du monde. Il à une bonne approche avec les gens, malgré ses divers job criminels! La survie, il connaît. Imaginer un Serpentard avec une gueule sympathique et vous obtenez Vénec! Vous l’aimez malgré tout? Normal, le Sagittaire encourage la sympathie. Malgré sa nature auto-centré, il peut faire preuve de solidarité — comme sauver Arthur de Lancelot en l’emmenant sur un bateau direction Rome.
Lancelot, le Chevalier Blanc. Héroïque, courageux, le protecteur du peuple, l’Apollon de la Table Ronde… Sensible et romantique. Pourquoi pas Lion dans ce cas? Et bien voilà, son côté intransigeant le ramène plus chez le Capricorne. Le Lion est souvent le héros de l’histoire, et rassemble les gens— ce qui n’est pas son cas. Et Arthur à pris sa place, selon la Dame du Lac. Lancelot l’a récupère… laissant dans son passage un nuage de terreur et l’ombre d’une résistance. 
Mevanwi, la maman qui aime sa famille avant tout. Charmante et intelligente, sa vie ne s’arrête pas qu’a son rôle de parent! Ambitieuse, elle se bat pour ce qu’elle veut et l’obtient. Personnage controversé, il faut bien admettre qu’elle fût une bonne reine — la plus compétente en tout cas.
Yvain, ou le Chevalier au Lion, est un Verseau car il ose dire les choses et aller contre le status quo. “Je refuse d’aller me battre pour soutenir une politique d’expansion territoriale dont je ne reconnais pas la légitimité.” Tout est dit!
La Dame du Lac, THE tête en l’air par excellence. Elle en oublie des détails, peut être maladroite, mais n’a que de bonnes intentions. Boudeuse, elle est sensible et à son caractère. L’affection l’emporte toujours.
Galessain, né en Hiver donc, affiche avec brio la passive agressivité du Poisson. Susceptible aussi. Blasé de service, il est sarcastique à souhait mais d’une loyauté sans faille pour la personne de son choix — Loth. L’un des rares bénéficiaires d’une once de jugeote, il peut être silencieux mais très observateur. Malgré son côté “fouille merde” revendiqué, il reste plutôt débrouillard et fidèle.
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kaantt · 3 years
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55 avec les chevaliers de la table + Blaise et les enchanteurs c'est possible ? Parce que ce serait hilarant 😭
Le seigneur Perceval s'approcha timidement du roi de Bretagne. Celui-ci était assis sur un rocher, il jouait machinalement avec Excalibur en se mordant la lèvre. Les autres chevaliers défaisaient leurs paquetages et prenaient leurs aises dans la clairière qu'ils avaient choisie pour passer la nuit. Perceval s'approcha un peu plus de son roi et murmura :
« Sire... »
Arthur ne répondit pas, il ne regardait même pas le chevalier du Pays de Galles. Ses yeux étaient trop occup��s à scruter les mouvements de ses autres chevaliers qui tentaient d'allumer un feu pour se réchauffer et faire cuire les morceaux de viandes qu'ils avaient apportés pour leur dîner.
« Sire ? Insista le chevalier du Pays de Galles.
-Quoi ?!
-Désolé de vous déranger mais est-ce que vous pouvez nous rappeler pourquoi on dort ici ? Je suis pas certain d'avoir tout compris.
-C'est pas possible ! » Le roi prit une profonde inspiration, essayant de ne pas s'emporter. « On est là parce que vous et l'autre débile avez oublié de prendre le matériel pour les tentes !
-Ah oui c'est vrai.
-D'ailleurs, désolé pour ça sire ! » S'écria le seigneur Karadoc en rejoignant son camarade aux cheveux blancs.
Ses deux chevaliers le regardaient avec des yeux larmoyants, ils semblaient sincèrement embêtés par leur oubli. Arthur était fâché mais il ne souhaitait pas non plus se brouiller avec ses chevaliers, du moins pas ce soir. Le roi de Bretagne leur fit un petit signe, leur demandant de dégager. Les deux hommes s’exécutèrent, ils se précipitèrent pour rejoindre leurs compagnons et les aider à s'installer. Après quelques instants de calme, la voix de Karadoc, outrée, s'éleva une nouvelle fois :
« Sire !
-Quoi ?! Qu'est-ce qui se passe cette fois ?! Rouspéta le roi de Bretagne.
-Merlin refuse de partager son repas !
-Et alors ? Excusez-moi mais qu'est-ce que ça peut bien vous foutre ?
-C'est pas très chouette quoi ! »
L'enchanteur de Bretagne était assis sur une pierre, un morceau de pain couvert de fromage dans ses mains. Il poussa un soupir exaspéré avant de crier au le chevalier du Pays de Vannes :
« Je m'en fous ! Moi j'ai pris mon casse-dalle. Si vous ne l'avez pas pris c'est la faute à votre gueule !
-Allez quoi ! Dit Perceval.
-Passez-nous un petit bout... Supplia le seigneur Karadoc.
-Non je vous ai dit ! Laissez-moi tranquille !
-C'est quand même- Renchérit le chevalier du Pays de Galles.
-Oh ! »
Elias apparut subitement aux côtés du druide. Ses yeux bleus glacèrent le sang des deux chevaliers. Ils reculèrent instinctivement en voyant le regard furieux du grand enchanteur du Nord. Celui-ci vint se placer devant Merlin, comme pour le protéger, et déclara :
« Il vous a dit de lui foutre la paix. Et vous l'avez pas fait. C'était clair pourtant.
-Bah euh... Murmurèrent les deux comparses.
-Maintenant vous la fermez et vous le laissez bouffer en paix. »
Perceval et Karadoc tremblèrent en entendant la voix du grand enchanteur du Nord. Les deux hommes s'empressèrent de quitter son regard et allèrent demander à leurs autres camarades un bout de leur pitance. Elias s'installe aux côtés de Merlin sur le rocher, le druide lui adressa un sourire et dit :
« Merci Elias.
-Vous, fermez-là aussi. Ne me remerciez pas. C'est pas pour vous que j'ai fait ça, c'est pour mes oreilles que je l'ai fait. »
Merlin se tut mais un sourire ravi était plaqué sur ses lèvres. Enchanté de voir qu'Elias se souciait suffisamment de lui pour prendre sa défense. En voyant la mine ravie du druide, l'enchanteur cracha :
« Et arrêtez de sourire comme un débile. »
Merlin n'obéit pas, son sourire restait plaqué sur ses lèvres.
Le roi Arthur avait rejoint les quelques chevaliers qui s'étaient installés auprès du feu qu'ils avaient réussi à allumer. Ils grignotaient leur viande en silence jusqu'à ce que la voix du roi de Carmélide vienne briser cette harmonie :
« C'est quand même pas croyable. »
Arthur releva son regard vers celui du roi de Carmélide. Léodagan le dévisageait en secouant sa tête de droite à gauche.
« Je ne comprends pas pourquoi vous vous obstinez à les garder dans votre équipe ces deux-là. Cracha le seigneur Léodagan.
-Non mais de quoi j'me mêle ? Si je veux garder Perceval et Karadoc dans mon équipe je suis encore assez grand pour faire ce que je veux !
-Non mais sire le prenez pas comme ça... Intervint le roi de Calédonie.
-Le seigneur Léodagan n'a pas complètement tord. Renchérit Lancelot.
-Ah ! S'écria Léodagan en montrant le chevalier blanc de la main.
-Écoutez, vous êtes bien gentils, tous, mais vous allez vite me lâcher les basques sinon ça va vraiment pas le faire. »
Tous les chevaliers se turent, sauf le duc d'Orcanie qui entrouvrit sa bouche pour parler. Mais Arthur ne lui en laissa pas le temps :
« Quoi ? Vous aussi vous voulez donner votre avis ? Ça nous changerait ceci-dit, pour une fois que vous ouvrez votre gueule.
-Non sire. C'est juste que vous vous êtes assis sur ma cape. »
Le roi rougit d'embarras, il se leva et laissa le chevalier replacer correctement son vêtement. Le père Blaise s'approcha du petit groupe, se pencha à l'oreille du roi et murmura :
« Sire ?
-Quoi ?
-Il serait pas temps d'arrêter un peu le papotage et de dormir ? Je vous rappelle que nous avons encore une longue route à faire demain. On ne sera jamais en état de la faire si-
-Oui, oui c'est bon. »
Le père Blaise lui lança un regard agacé avant d'abandonner les chevaliers pour aller se coucher sur l'herbe humide de la prairie. Il remonta sa cape sur ses épaules et ferma les yeux, se laissant emporter par le sommeil. Arthur fit un signe à son bras droit.
« Seigneur Lancelot. Appela le roi.
-Oui sire ?
-Dîtes à tout le monde d'aller se coucher et organisez les tours de garde. Moi je vais dormir.
-Très bien sire. Je prendrai le premier tour de garde.
-Ouais ouais c'est ça. Allez bonne nuit. »
Il quitta les côtés du chevalier blanc pour rejoindre le père Blaise et s'installer du mieux qu'il pouvait entre la boue et les rochers. Il voulut trouver le sommeil mais la voix douce du prince de Gaunes vint troubler sa quiétude :
« Sire...
-Quoi encore ? Grogna le roi de Logres.
-Nous... Nous n'allons tout de même pas dormir en pleine forêt...
-Si.
-Mais...
-Ne protestez pas Bohort. J'ai vraiment autre chose à penser. »
Le prince de Gaunes s'éloigna du roi avec une moue mécontente alors que celui-ci se réinstallait et fermait de nouveau les yeux pour dormir. Peu de temps après tous les compagnons dormaient. Tous sauf un. Le seigneur Perceval regardait les étoiles, il se tourna vers son voisin pour lui poser une question.
« Seigneur Galessin ? »
Le chevalier ne lui répondit pas. Perceval s'approcha de lui et l'appela de nouveau :
« Seigneur Galessin ?! »
Il tapota légèrement l'épaule du duc d'Orcanie. Celui-ci ne réagit toujours pas. Le chevalier du Pays de Galles se risqua à demander :
« Vous dormez ?
-Oui. Grogna le seigneur Galessin.
-Ah ! Pardon. Excusez-moi. »
Il s'éloigna de nouveau du duc d'Orcanie pour se tourner vers le seigneur Karadoc et papoter avec lui. Leurs éclats de rire eurent rapidement raison du sommeil du roi de Bretagne. Il se redressa dans sa couche improvisée et s'écria :
« Mais fermez-là bon dieu ! Vous allez tous être crevés demain si vous ne dormez pas.
-Mes excuses sire. Répondit le seigneur Lancelot qui montait toujours la garde.
-Lèche-pompes. »
La voix moqueuse du seigneur Galessin s'éleva dans la nuit, piquant au vif le chevalier blanc. Perceval se tourna vers Galessin et lui demanda :
« Bah vous dormez pas vous ?
-Si.
-Ah, pardon. »
Un long moment de silence suivit la dernière intervention du chevalier du Pays de Galles. Moment de silence qui fut brisé par un cri.
« C'était quoi ça ? Hurla le prince de Gaunes.
-Quoi ça ? Demanda Lancelot.
-Ça ça ! » Reprit Bohort.
Tous les chevaliers se redressèrent dans leur couchage de fortune et dirigèrent leurs regards vers la couche du chevalier de Gaunes. Léodagan se leva, agacé.
« Mais quoi ça ! Grogna le roi de Carmélide.
-L'énorme bruit là !
-Mais quel bruit ? »
Le prince de Gaunes tremblait sous sa cape, il se recroquevillait sur lui-même. Arthur poussa un énième soupir et déclara :
« Mais c'est rien ça Bohort. C'est les bruits de la forêt...
-Allez dormir. Je vais monter la garde, vous ne risquez rien. » Proposa le seigneur Léodagan.
Le roi de Carmélide s'installa aux côtés de son camarade, son épée à la main. Rassuré, le prince de Gaunes pouvait se rendormir.
Le reste de la nuit se passa sans le moindre incident et quand le roi de Logres s'éveilla, tout était parfaitement à sa place, ses hommes dormaient. Sauf un qui montait la garde et qui le salua de sa voix traînante.
« Bonjour sire.
-Seigneur Galessin ? Demanda Arthur en se redressant.
-Vous êtes le premier réveillé.
-Il est quelle heure ?
-Le soleil commence à se lever sire. »
Le roi quitta son lit de fortune pour rejoindre le duc d'Orcanie. Il s'étira, observant l'horizon sous le regard calculateur de son chevalier.
« Vous voulez que je réveille les autres ? Demanda ce dernier.
-S'il-vous-plaît. »
Le duc d'Orcanie quitta son poste pour effectuer l’ordre royal. Une heure après tous les hommes étaient prêts, ainsi que leurs bagages. Ils pouvaient repartir.
« Allez les artistes. On est reparti ! » Déclara Elias.
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kaamelottandstuff · 3 years
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J’aimerai parler de Karadoc un petit peu. C’est vraiment un personnage que je ne supporte plus!
Dans les premiers livres de la série, ça passait encore, il apportait beaucoup d’humour et son duo avec Perceval marchait bien. Mais dès le livre III, je ne peux plus me le voir! Le pire du pire c’est quand il devient roi après la manipulation de Mevanwi. Il est exécrable avec tout le monde, pète plus haut que son cul et il OSE dire à Arthur qu’il n’a rien foutu après tout ce que ce dernier a fait pour lui.  Dans KV1 c’est la même chose je ne supporte plus l’humour qu’il donne ou son attitude. Il manque de faire tout foirer en refusant de faire ébouler sa galerie et dit de la merde d’Arthur (encore une fois). J’espère sincèrement qu’il aura un arc plus sombre, voir qu’il rejoint Mevanwi après une autre manigance de cette dernière. J’espère surtout qu’Alexandre Astier va finir le duo Perceval/Karadoc parce que même si il marchait bien au début, maintenant ça m’énerve plus qu’autre chose de voir Perceval avec ce bon à rien. 
Bref, JC Hembert grand oui, Karadoc de Vannes grand non. 
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Extrait d'un UA un peu Dark qui se construit très lentement (mais vraiment très lentement pour le coup bon y'a une trame c'est déjà pas mal...)
TW : Mention of Rape
Arthur et Guenièvre, Guenièvre raconte la tour
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"Il voulait m'épouser. Depuis longtemps. Mais là, l'idée de m'obtenir devenait une obsession. Je trouvais toujours des excuses, mais j'avais de la chance, ma meilleure excuse était caché sous terre, inatteignable. Vous n'êtes pas le seul que Lancelot ait cherché en vain partout sur la Bretagne. Pendant longtemps il a fait faire des descentes pour retrouver le Seigneur Karadoc."
"Pourquoi le Seigneur Karadoc ?"
"De votre fait et d'une loi du pays de Vannes, le Seigneur Karadoc était toujours mon époux. Lancelot ne pouvait pas épouser une femme marié alors il fallait qu'il se débarrasser du mari récalcitrant. Trois mois. J'ai eu le droit à trois mois de sursis où le Seigneur Karadoc esquivait miraculeusement les soldats de Lancelot et sans le savoir sauvait sa propre peau."
"Il voulait le tuer ?"
"Lancelot avait des scrupules à assassiner le Seigneur Karadoc de sang froid et il n'avait pas de femme à échanger pour faire le même tour de passe-passe que vous. Mais il savait qu'en combat singulier il sortirait vainqueur. Quoi qu'il arrive, en dernier recours, il pourrait toujours le faire exécuter pour trahison. Il aurait préféré ça d'ailleurs, pour montrer l'exemple, montrer que, a l'instar de vous pour le Roi Loth, il n'était pas faible et saurait couper la tête du serpent et des traîtres."
"Qu'est-ce qu'il s'est passé après trois mois ?"
"Lancelot a eu une révélation divine et le Dieux unique est entré dans sa vie. Ou plutôt un de ses sbires."
"Un homme ?"
"Si on peut appeler ça un homme, j'aurais plutôt tendance à dire un rat… Un rat qui lui a murmuré une solution à son problème. Si vous saviez à quel point Lancelot était content de son plan. Il allait enfin pouvoir avoir la seule chose que vous n'avez jamais était en moyen d'avoir. La victoire ultime : faire ce qu'Arthur Pendragon n'avait pas réussi à faire. Mais avant ça il y avait une minuscule formalité, s'assurer de ma virginité. Après tout, l'intégralité de son plan reposait sur ça, l'espoir d'un mariage de 15 ans non consommé, l'espoir que vous m'aviez trop repoussante pour me toucher. Et quelle chance il a eu… "
"Guen… "
"Taisez-vous. Je n'ai besoin ni de vos excuses, ni de votre pitié.
Le Seigneur Lancelot a vendu son gouvernement à l'église de son nouveau Dieu en échange de l'annulation de mon mariage. Il savait que vous ne n'aviez jamais touché et un oiseau de malheur au boucles blondes lui a révélé que le Seigneur Karadoc n'avait rien tenté non plus, une aubaine. Mais si Lancelot le savait, l'église de son Dieu Unique devait s'en assurer par elle-même.
Ils sont venus un jour à la tour. Il était cinq, quatre pour me tenir et un pour vérifier. On voit qu'ils ont l'habitude. Lancelot a fait sortir Nessa. Ils m'ont retenu de force sur le lit…"
"Arrêtez."
"... J'ai hurlé, je me suis débattu mais ils étaient trop fort, trop nombreux. Le dernier a remonté mes jupons pour découvrir mes cuisses et a glissé ses doigts… "
"ARRÊTEZ. Je vous en supplie. Arrêtez."
"Oui, c'est exactement ce que j'ai dit, même si ça n'a pas changé grand chose. Mais excusez moi, j'ai tendance a oublié que vous êtes un expert en la matière, vous savez sûrement ou je veux en venir, n'est-ce pas ?"
"Guenièvre… "
"C'est bien ce que je pensais…
Et là vous devez sûrement vous demander qu'est-ce qu'il s'est passé. Quel miracle m'a sorti de là. Et bien je vous le donne dans le mille, ce miracle c'est Mevanwi ! Je ne sais pas par quelle magie prodigieuse elle a fait ça mais du jour au lendemain, la veuve Madame Pendragon est devenue reine de Bretagne, Madame Du Lac sans même que Lancelot ne puisse protester. C'est décidément une femme pleine de ressource, je comprend pourquoi vous en êtes tombé amoureux.
Devant une femme aussi belle et ingénu, un homme n'a pas d'autre choix que de s'incliner, n'est-ce pas… "
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miung-dreamer · 2 years
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Galette des rois à Kaamelott 👑
Qui participe ?
Qui fait la galette ?
Qui distribue ?
Qui gagne la fève ?
Qui essaie de tricher ?
Qui prend le seum après avoir perdu ?
Participants : on va dire tout le château !! Mais ça a lieu en Carmelide (je pars du principe que les Burgondes sont repartis dans leur bled 😂)
Celui qui fait la galette : pour être sûr d'avoir un truc mangeable, faut laisser Karadoc s'en occuper. Il fait appel à un boulanger réputé de Vannes
Qui distribue : pour plus d'équité, ils choisissent Bohort car c'est le boss de l'organisation
Qui gagne la fève : Arthur a vu qu'il avait la fève mais il détourne l'attention de Guenievre discretos pour échanger leurs parts (l'amuuuur ♥️)
Qui essaie de tricher : Leodagan s'est positionné pas loin de Bohort , il essaie de zieuter pour la voir
Qui a le seum : Merlin car il a jamais réussi à avoir la fève... Et il est vieux !
Merci anon, c'était marrant à faire !
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charliepaume-e · 3 years
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Chapters: 1/1 Fandom: Kaamelott Rating: General Audiences Warnings: Creator Chose Not To Use Archive Warnings Relationships: Mevanwi de Vannes/Arthur Pendragon (Kaamelott), Karadoc/Mevanwi de Vannes (Kaamelott), Lancelot/Mevanwi de Vannes (Kaamelott) Characters: Mevanwi de Vannes (Kaamelott), Karadoc (Kaamelott), Lancelot (Kaamelott), Arthur Pendragon (Kaamelott) Additional Tags: Some bad bitch energy, I really like Mevanwi, she deserved more Summary:
Je suis Mevanwi de Vannes, et je mérite le monde.
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Je continue ma lancée, cette fois c’est Mevanwi qui s’exprime.
Il y a aussi un lien Wattpad: https://www.wattpad.com/myworks/287354541-couronne-dambitions
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