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#fromage de tête
sparkys-ec-corner · 6 months
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there's a non-zero chance that this is canon
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gluttonyedits · 6 months
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self-indulgent: Fromage de Tête render
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endingboyhansel · 6 months
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did any of you bother to ask Raymond what he thought about Kiril having the Pot
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アトリエオルロージュ Addendum
Atelier Horloge bonus content
-PV Text-
世界が変われば 神も変わる
If the world changes, then gods must too
唄の総数は 十二じゃない
There's more than just twelve songs in total
この工房も あの映画館と同じなのさ
This workshop is just like that theater
私たちはもう 何者でもなくなった
We aren't anyone, anymore
.
[note: This section is difficult to read and there are some kanji I may have possibly made a mistake with]
バスズの壺:あらゆる病を治す。ペットのお風呂にも最適。
The Pot of Basuzu: Cures any manner of illness. Most suitable for giving your pet a bath, as well.
素敵なギフトベル:眠気を覚まし、72時間戦える音色を奏でる。
The Marvelous Gift Bell: Keeps you awake, and plays a tune that lets you fight for 72 hours.
ユキナズナの糸:望み通りの運命を紡ぐ。
Yukinazuna Thread: Spins the fate you wish for.
ハーメルのフルート:(SOLD OUT)
The Hamel Flute: (SOLD OUT)
デウスの歯車:あらゆる問題を都合よく解決する。
The Gear of Deus: Will conveniently resolve all manner of problems.
背徳の音叉:同性の心を惹きつける。異性には効果無。
Tuning Fork of Corruption: Attracts the hearts of the same sex. Has no effect on the opposite sex.
金メッキの鍵:全ての鍵は開かれ、永遠に施錠できなくなる。
Gold-Plated Key: Opens up all locks, and makes them unable to be locked ever again.
使者の合わせ鏡:(SOLD OUT)
Infinity Mirrors of the Messengers: (SOLD OUT)
鋼鉄の心臓:(SOLD OUT)
The Steel Heart: (SOLD OUT)
.
私は天使でも 悪魔でもない
I'm not an angel or a demon
結末を決めるのは 本人たちだ
You yourselves are the ones who will decide the outcome
いずれにせよ そこに唄は生まれる
In any case, a song will be born there
それに伴奏�� 合わせるだけだ
And I am just providing music to accompany it
.
追想のオルゴール:(非売品)
The Recollective Musicbox: (Not for sale)
十三番目のオルゴール:(未完成)
The Thirteenth Music Box: (Incomplete)
.
キッシュ・オルロージュ:主人・職人
Quiche Horloge: Owner/Craftsman
エル・オルロージュ:夫人・手伝い
Elle Horloge: Wife/Assistant
フロマージュ・ド・テート:店番・唄
Fromage de Tête: Salesperson/Song
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shaba-the-art · 6 months
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Miss Fromage de Tête, salesperson of all time
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Atelier Horloge is giving me serious xxxholic vibes. Imagine, Elluka meeting Yuuko and becoming drinking buddies. Yuuko sending Watanuki to Kiril for one of his creations. Fromage chatting with Yuuko on an interdimensional phone while manning their shops. Someone give me a crossover of these two!!!
All of Yuuko's customers must pay a price in order to grant their wishes, which can be no more or no less than the one demanded, or else harm will come to one's way.(https://xxxholic.fandom.com/wiki/Y%C5%ABko_Ichihara)
They will take one among these articles to give over to you Make your choice carefully They need no payment But there is something you must be cautious of Beside the merchandise is an accompanying piece of parchment You must be sure to read the explanation written there in full For those are rules laid down by the god of clockwork And if you are unable to abide by those rules Then you will come to pay a very heavy compensation — Fromage de Tête, Atelier Horloge They will take one among these articles to give over to you Make your choice carefully They need no payment But there is something you must be cautious of Beside the merchandise is an accompanying piece of parchment You must be sure to read the explanation written there in full For those are rules laid down by the god of clockwork And if you are unable to abide by those rules Then you will come to pay a very heavy compensation — Fromage de Tête, Atelier Horloge
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nvminnd · 4 months
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L'autre fois je me suis prise à méditer sur la super métaphore de Galessin :
"Vous me faites penser à ces types qui se servent jamais en premier pour faire poli, et quand c'est à eux, ils prennent tout le fromage gratiné et les autres, ils sont obligés de manger le légume seul."
Je la trouve vachement intéressante cette réplique, avec peu de mots ça nous en dit beaucoup à la fois sur Galessin et ses relations :
Tout laisse à croire qu'il s'est déjà retrouvé être celui qui "mange le légume seul". Il est dans la position de celui qui ramasse les restes avec passivité, face à des personnes plus actives et magouilleuses que lui
Il a en revanche suffisement de clairvoyance et de lucidité pour remarquer la stratégie de celui qui prend tout le fromage. Il est conscient de se faire avoir, mais il accepte.
Cette clairvoyance se traduit par l'usage même de cette métaphore tout à fait pertinente à l'égard de Loth.
Le comportement de ces faux polis l'interpelle assez pour que ça lui reste en tête. Il n'agit pas, mais il désaprouve, il a donc des valeurs en ce qui concerne les bonnes manières (on le remarque d'ailleurs au cours de la série, il est à cheval sur le fait de bien recevoir)
Il doit sûrement adorer le fromage
Bref tout ça pour dire que toute la tragédie de Galessin réside dans le fait qu'il est complètement conscient d'être un paillasson, et que s'il décide pas un jour de taper du poing sur la table, son fromage gratiné ira toujours à des personnes moins fréquentables que lui
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perduedansmatete · 6 months
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bon euh du coup mon post d'hier 22h30 devait être un appel de détresse à mon avis car j'ai bu une bouteille de rosé déjà c'est décevant qui plus est c'était un truc au pamplemousse plus des bières ipa alors que je suis traumatisée des bières ipa et tout a fini dans les chiottes de l'ami platonique car j'avais rien mangé de la journée et que son ragù italien dont il nous parlait depuis un mois sans nous le faire n'est pas passé alors que c'était absolument délicieux j'ai mangé genre trois fourchettes et une autre de son assiette pour goûter avec du parmesan ce qui est assez étrange compte tenu du fait que je n'aime absolument aucun fromage je ne sais pas ce que j'ai voulu me prouver... mais si je n'avais fait que gerber ma race ça n'aurait pas été si grave sauf que je ne peux pas dire comment pourquoi à quel moment exactement mais j'ai fini par faire une crise d'angoisse panique je sais pas quoi la tête dans les chiottes parce que pour je ne sais quelle raison encore une fois je pensais aux mêmes trucs de merde mais c'est drôle et cohérent finalement de penser à ça dans les chiottes ça leur va bien néanmoins c'était doux clara me caressait le dos et me serrait fort tokyo voulait rentrer dans la salle de bain puis l'ami platonique a fini par m'en sortir et là j'étais dans ses bras tokyo me léchait les yeux et me sautait dessus et clara ma caressait les mains j'étais au paradis même si ça ne s'arrêtait pas puis ensuite comme ça allait mieux on est sorti j'étais punie d'alcool de toute façon j'en voulais pas même si j'en ai au peu volé à clara dans le dos de l'ami platonique quand j'en avais marre de boire ses thés glacés, on a dansé jusqu'au petit matin et j'ai revu mon garçon de café que je n'avais pas vu depuis cet été dont j'avais déjà parlé je pense car je l'aime trop, en sortant on est restés presque deux heures tous les quatre dans le froid et c'est là que je me suis rappelée que l'ami platonique était vieux il nous a fait écouter des groupes japonais de je ne sais pas quelle époque qu'il écoutait au collège mais j'aime bien quand il est comme ça tout sourire et tout passionné le garçon de café était à fond lui aussi on se regardait avec clara en mode où sommes nous que se passe-t-il mais c'était drôle et me voilà repartie pour finir mon plat de pâtes qu'il m'a gardé au frais avant de ressortir si je n'ai pas la flemme car c'est la soirée british rock...
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 87
1er Janvier 11h.
J'ouvre les yeux réveillé par une sensation agréable dans mon bas ventre. Alors que je bande, comme tous les matins, aujourd'hui, une bouche s'affaire à agrémenter cette érection. Le petit Théo est en train de me sucer ! je tourne la tête vers Marc, il est dans la même situation sauf que c'est la bouche de Ric qui s'affaire sur lui. C'est trop bon, mais Théo est un peu " court " et m'en laisse presque la moitié dehors. Je décide de lui faire la gorge, je me redresse, le mets sur le dos et tête bêche, lui enfonce ma bite directe jusqu'aux couilles. Il tousse, éructe mais Ric prend le temps de lui expliquer vite fait comment s'en sortir avant de retourner téter Marc.
Je continu d'investir de façon régulière la gorge de Théo qui prend le rythme : respiration / déglutition / expiration en fonction du taux de pénétration de ma queue. Sa gorge bien étroite comprime mon gland d'une façon tout à fait jouissive. Le passage répété dans cet étroit conduit excite mon gland au point que bientôt je ne peux plus me retenir et j'ai juste le temps de sortir avant de lui éclabousser le visage de mon sperme. De son coté Ric a obtenu la même chose de Marc.
Nous regardons nos deux suceurs se finir en 69. malgré la petite taille de son appareil sexuel, Théo nous délivre une quantité de sperme impressionnante ! autant que Ric pourtant plus " burné ".
Une petite douche plus tard, j'entraîne Ric et Théo à la piscine pendant que Marc va aux nouvelles de nos beurs de service.
Le passage de la terrasse c'est fait en courant, il fait pas chaud ! Et nous sautons dans l'eau à 28°. Le contraste est saisissant. Avec Ric, je commence à aligner les longueurs pendant que Théo essaye de suivre notre rythme.
L'exercice nous remet bien en forme. A l'occasion d'un demi-tour, nous attrapons Théo et chahutons tous les trois.
Au fur et à mesure des réveils, nous sommes rejoints et bientôt la piscine est pleine. Elle ressemble plus à un spa géant.
Samir et Ammed nous apportent des peignoirs et enroulent chacun dedans après l'avoir essuyé/bouchonné dès la sortie de l'eau. Je ne sais si j'ai eu droit à un traitement de faveur mais le bouchonnage m'a laissé sec dans les moindres recoins. Il faut dire que je leur ai facilité le travail en bandant direct !
Nous nous sommes tous retrouvés devant un brunch de compète ! Thé, café, champagne pour les plus courageux/avinés, charcuteries, fromages, viennoiseries, fruits... tout y était. Une heure et demie plus tard, il ne restait plus rien ! Que des estomacs calmés et des ventres repus. A discuter de ci de là, j'ai appris que la plus part des réveils avait ressemblé au notre d'ou une certaine nonchalance sur le sujet. L'après midi c'est passé en digestion, discussions, échanges d'expériences, vidéos...
Vers 17h30, ce sont Tic et Tac qui relancent la machine. Comme si nous attendions un signal, nous les rejoignons.
Contrairement à la veille où nous étions tous ensembles, le groupe se défait et c'est plutôt par 3 ou 4 que nous nous sommes dispersés dans toute la maison et dépendance.
Je me suis retrouvé avec Jérôme, Phil et Eric. Au sous sol à la salle de muscu. Un trio (Arnaud, Olivier et Kev) est descendu avec nous et squatte le sling.
Nous occupons le banc du développé couché duquel nous avons rapproché un banc simple. Eric et moi nous nous étendons nus le dos sur les bancs. Phil s'occupe de ma bite et Jérôme fait de même sur Eric. II ne nous faut pas longtemps pour bander comme des taureaux. Phil sans soucis me suce complètement, son menton repoussant mes couilles à chaque " coup de pompe ". De son coté, Eric n'est pas satisfait, Jérôme est à la peine et n'arrive pas à prendre entièrement sa queue.
Nous nous échangeons nos suceurs et pendant que Phil le pompe " correctement ", je laisse ma place à Jérôme. Je le positionne la tête en dehors de l'assise et la repousse en arrière pour bien aligner sa bouche avec sa gorge. Doucement j'enfonce ma bite entre ses mâchoires. Je bute contre sa glotte et premier spasme ! je sors et lui explique la manoeuvre. Lorsque je m'enfonce de nouveau, il met en pratique mes conseils et j'arrive à faire passer mon gland au delà de la luette. Je me retire vite puis recommence. Quand il a pris le coup au niveau de la respiration et de la déglutition, j'augmente la pénétration et malgré quelques renvois, j'arrive au bout, entrant totalement mes 20cm. Je rode le passage quelques instant puis propose à Jérôme s'il veut s'essayer à Eric. Il accepte bien que peu convaincu de pouvoir y arriver. C'est sans compter sur la technique et le " poids " d'Eric !
Eric prend ma place quand avec Phil on se place de chaque coté prêt à prodiguer nos conseils à Jérôme. Eric fait quelques va et vient de son gland dans la bouche puis s'enfonce à fond. Surpris Jérôme avale. Il ne peut de toute manière pas vomir, le gland d'Eric bouchant la totalité du passage oesophage et trachée artère ! Eric ressort et remet cela. La glotte de Jérôme commence se faire au fait d'être écrasée entre les amygdales !
Malgré toute la bonne volonté des protagonistes, il restera pour cette fois quelques 2cm de bite encore à l'air libre. Cela fait quand même 23cm dont au moins 11 dans une gorge ;qui n'avait jamais encore connu cela !! Pour reposer les larynx de nos suceurs, nous leur demandons de venir s'asseoir sur nos cuisses. Ils le font avec empressement. Enkpotés + " gélifiés ", nos bites s'enfoncent entre leurs fesses puis après leur avoir déplissé l'anus, au plus profond de leurs intimités. D'une voix devenue rauque, Jérôme me fait par de son plaisir et me chevauche d'un trot bien plaisant. Phil de son coté " galope ", la bite d'Eric lui servant de selle.
Je jette un coup d'oeil vers le trio qui nous avait accompagnés. Arnaud sur le sling se fait mettre par les deux bouts par un Kev et un Olivier très chauds avec échanges de place réguliers des deux actifs.
Je rapproche notre banc de celui d'Eric et m'inverse avec lui. Nos deux " enculés " peuvent ainsi se bécoter après avoir unifié leurs va et vient. C'est très excitant à voir du dessous ! Nos deux cavaliers se mettent à jouir sans cesser leur va et vient, nous éclaboussant de leur sperme des abdos au cou ! De notre coté nous remplissons nos kpotes nous retenant enfoncé au plus profond, nos mains sur leurs hanches les empêchant de se relever.
Je reprends mon souffle comme Jérôme et phil. Eric quand à lui est toujours raide. D'avoir déchargé ne l'a pas fait débander ! Il renouvelle sa kpote et va trouver le trio. Je reste assis Jérôme dans mes bras et Phil à coté de moi pour assister au spectacle.
Nous le voyons hésiter, il commence par Olivier et profite que ce dernier est dans le cul d'Arnaud pour le doigter puis l'enculer. Heureusement qu'Eric à de la technique ! Je surveille le visage d'Olivier et ne le vois grimacer que vers la fin. Rapidement, Olivier attrape les suspentes du sling et le fait se balancer. Son cul peu habitué a la sodomie, il demande grâce et il se déboîte d'Arnaud et Eric. Kev le remplace. Eric qui s'était écarté pour changer de kpote revient vers le groupe.
Il se plaque au dos de Kev qui proteste en disant qu'il n'est qu'actif. Ce genre de détail n'a jamais dissuadé Eric. Il n'y a que des recto/verso qui s'ignorent !! Bloqué dans Arnaud, le balancement du sling limité par Olivier qui se fait la bouche du petit enculé, il ne peut se soustraire à la volonté d'Eric. Nous voyons sur son visage la progression du travail d'Eric : grimace puis détente, puis re-grimace et de nouveau détente encore une nouvelle fois. Puis méga-grimace, j'imagine le pieu noir en train de le défoncer. Je ne peux me retenir et avec mes acolytes nous nous approchons. Je me penche pour mieux voir.
C'est sublime !! La rondelle de Kev est écartée par le pieu noir d'Eric. J'approche du nez de Kev la petite bouteille de poppers. Il me fait oui de la tête, j'ouvre le flacon, il sniffe profondément et s'ouvre à Eric. Ce dernier en quelques coups de rein lui met ses 26cm entièrement. On ne peut croire que ce dernier est vierge de ce coté là vu la facilité qu'il a eu d'accepter la sodomie ! Je lui en fais la remarque. Il m'engueule en me disant que ce n'est pas moi qui me fais défoncer ! Je le rassure en lui disant que moi aussi j'ai apprécié et j'apprécie encore de me la prendre dans le cul.
Pour dériver son attention, je lui roule une pelle et je sens que Jérôme lui bouffe les couilles. Ses mouvements ralentissent, il se fige et ce sont tous les " périphériques " qui oeuvrent sur lui. Olivier imprime le mouvement au sling et fait le mouvement de va et vient sur la queue de Kev. Jérôme a ses deux couilles dans la bouche et joue avec. Eric les mains fixées à ses hanches l'encule doucement faisant glisser sa bite sur la totalité de ses 26cm. Moi, les mains bloquant son visage, j'essaye de lui bouffer la langue. Phil qui n'a pas voulu être de reste, lui caresse les pecs et par moment lui suce un téton.
Ainsi pris, il cesse de protester et se concentre sur son plaisir. Je passe une main vers le bas et je constate qu'il bande tellement qu'on dirait une barre de fer !
Nous sommes exigeants et Kev se fait complètement vampiriser. Nous tenons la position jusqu'à ce qu'il explose. Cela ne tarde pas. Sous mes lèvres, je le sens vibrer, je m'écarte et il nous défonce les tympans par un puissant cri.
En cascade, Olivier se retire de la bouche d'Arnaud et lui jute sur le ventre, en deux trois coups de poignet, j'y ajoute mon sperme. Phil et Jérôme font de même. Eric écrase Kev dans ce mélange (heureusement le sling est bien accroché !) et décule au dernier moment. Il arrache sa kpote alors qu'il éjacule déjà et macule le dos bronzé de Kev de longues trainées blanches.
Quand nous reprenons pieds, nous nous apercevons que le hurlement de Kev a rameuté pas mal de monde !
Eric redresse Kev, il le prend entre ses bras et après lui avoir roulé une pelle, le remercie de l'avoir laissé faire. Ce dernier a pris un tel plaisir qu'il ne peut plus protester
Avec Phil, je porte Arnaud jusqu'aux douches pour éviter les trainées de sperme sur le sol. Nous nous retrouvons tous les 5 sous les douches. Je m'approche de Kev et les doigts plein de crème, je glisse ma main entre ses fesses et lui masse l'anus. Après un léger mouvement de recul, il apprécie l'attention.
Nous cédons la place aux spectateurs et nous regagnons le rez de chaussée.
Tic et Tac achèvent Jean black leur deux bouches trouvant sans problème de la place sur sa bite géante. Un geyser blanc en sort maculant leurs joues et leurs fronts à la retombée.
La soirée s'est achevé entre apéro, baignades, diner, discussion à savoir qui en avait le plus pris ou mis (ça du coté des jeunes) et pipes nonchalantes.
JARDINIER
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wittylittle · 6 months
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3 gars. 2 papillons. 1 arrêt.
Vous ai-je dit comment je trouve le polyamour fascinant?
Mercredi dernier, je suis allée voir l’expo Pussy Riot au MACM avec un adorable américain. On a bu dans 3 bars, je lui ai fait visiter la ville. On s’est embrassés timidement et je suis rentrée, souriante.
Vendredi dernier j’allais jouer au pool avec Grande barbe. Ça faisait plusieurs très longs audios qu’on s’échangeait. Il était fasciné par mon intérêt pour le dollification et c’était la première fois que je rencontrais quelqu’un qui était vraiment excité à l’idée de jouer à la poupée avec moi.
Il ne boit pas. À jeun, on a parlé beaucoup, on ne s’est pas embrassé mais on a convenu de se revoir.
Lundi je suis allée au cimetière avec la Licorne américaine. Puis je lui ai fait découvrir le smoked meat. On a bu des cocktails, il m’a demandé si je voulais aller ailleurs ou peut être aller chez lui « to make out ». Il était gêné d’être aussi direct. C’était notre 2e date, je pouvais bien pousser l’exploration plus loin. On a acheté des bouteilles à la SAQ. Je l’ai questionné sur ses kinks. On a frenché beaucoup. Il m’a dit qu’il aimait attendre la 3e date ou plus pour baiser. C’est drôle parce que j’aime ça aussi, le tease, faire monter la passion. On est allés dans son lit. On a frotté nos organes génitaux. C’était génial. Tellement kinky soft et challengeant.
Le lendemain il m’a fait remplir le tableau bdsm des intérêts et limites. Il m’a envoyé sa version avec ses kinks. On est très excités par nos points communs. Je le revois vendredi prochain, je suis en train de traiter nos datas, pour voir sur quels boutons on pourra appuyer.
Mardi matin Grande barbe m’a laissé un audio poli et honnête pour me dire qu’il avait eu une belle soirée mais qu’il n’avait pas assez de points en commun avec moi pour continuer de me voir. Que même si nos kinks communs étaient terriblement excitants, il avait besoin de connecter sur d’autres sujets, comme la politique, les jeux de société et le canot. J’ai respecté son opinion et lui ai souhaité bonne chance.
J’étais quand même contente, ça me laissait plus de place pour les autres, et j’aimais pas tant sa barbe.
Ce soir, j’ai rencontré le Papa à vélo pour la première fois. Il m’avait demandé d’avance si on pouvait s’embrasser dès notre rencontre, pour casser la glace. J’ai trouvé ça tellement hot. « Je suis game ». Il était nerveux. Je l’ai vite mis en confiance. On est allés au musée. On a mangé du gâteau au fromage. Je l’ai trainé dans mon spot secret au centre ville où on a frenché comme deux amoureux aux yeux pétillants pendant des heures. Des gamins. Une sensation réciproque de tomber en amour. On était tellement bien à se serrer dans nos bras en se regardant dans les yeux. Rire. Se regarder. Frencher. Se raconter des secrets gênants sur nos vies. Il est tellement beau. Il me trouve tellement belle.
En quittant cet endroit après trop d’intensité pour un débutant du dating, il me lance « peut être que c’est trop tôt pour dire ça, mais je pense que je vais avoir besoin de temps pour processer ce qu’on vient de vivre. Si je t’écris tout de suite je vais négliger ma famille, ma blonde, prend le pas mal si je ne t’écris pas tout de suite. Je ne me suis jamais senti comme ça pendant une date c’est trop hot, j’ai l’impression d’être high »
Comprenant trop bien ce qu’il vit dans sa tête, je l’ai rassuré. J’ai dit que je comprenais et que j’attendrais qu’il me texte quand il sera prêt.
De l’amour je te dis. Je l’ai senti, lui aussi, mais il a peur.
3 gars en couple. 3 niveaux d’expertise. Dans les trois cas je suis ouverte. J’ai parlé des trois gars au Patron. Et il est bien correct avec ça.
(Je pourrais développer tellement plus la dessus… je vais tenter d’être plus assidue mais tout ça me rend tellement heureuse.)
Jadoooooorre les dates. J’adore rencontrer des garçons. J’en veux plus.
BRB
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sparkys-ec-corner · 6 months
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"Welcome to Atelier Horloge."
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a-room-of-my-own · 1 year
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Perso je me suis mise au déjeuner salé à cause d'une addiction au sucre, et je trouve que les cakes aux légumes sont très pratiques si on veut pas se lever plus tôt pour préparer un repas. Je le prépare à l'avance et j'ai des parts prêtes quand j'ai la tête dans le c.. le matin, en plus c'est facilement ajustable selon mes envies/les légumes de saison/etc. Je le mange au petit dej avec un yaourt et ça me tiens mieux au ventre et j'ai beaucoup moins d'envies de sucre dans la journée
Ah bonne idée! Je fais des salades moi. J'ai une mandoline qui a des formes pour découper les légumes et donc je peux faire des salades en 2 minutes et je mange ça le matin avec ma tartine d'avocat (ou de fromage frais + truite) et un oeuf. Et puis aussi un yaourt avec du granola et un carré de chocolat parce qu'autrement c'est déprimant 😆
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plumer0usse · 3 months
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Et si Cyril était un dieu ?
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C'est ce que je me suis posée comme question alors que ça commençait à devenir le chaos à mon ancien travail. J'avais besoin de me vider la tête et d'écrire des histoires un peu stupide. Je regardais même plus trop youtube à ce moment là, mais prendre des gens déjà existants était bien plus simple pour moi que de créer des personnages (d'où le fait que je poste sur ..). J'ai commencé à l'écrire en mai 2022, on est actuellement en novembre 2023, j'aimerais beaucoup la finir avant la fin de l'année :)
L'histoire sera découpé en plusieurs parties (3 ou 4 je pense).
Ce sera pas ma dernière ff, vu que je me suis beaucoup amusée à faire un design de Cyril en Dieu, et j'aimerai bien écrire quelques OS sur son lore !
La fiction est basé dans un univers alternatif, où certains youtubers travaillent dans une entreprise douteuse où de mystérieux événements arrivent aux employés.
Bonne lecture !
À mille cieux de nos pieds, se trouvait un Dieu, qui s'ennuyait fortement. Rempli de malice et d'entrain, ce Dieu aux ailes rousses était un peu spécial et avait un sens du karma assez ludique.
Depuis plusieurs années ce Dieu suivait de près certains de ses humains, oui les humains était une de ses créations et l'une des plus complexe et incompréhensible après l'ornithorynque bien sûr. Il était épaté de ce que cette création - incroyable- était capable de faire pour se complexifier l'existence, des impôts, des taxes, des petits papiers avec leur nom, prénom, photo, et âge. Des boulots sacrément étranges qui ne servent honnêtement à rien, mais qui sont une façade pour des petites arnaques, que leur Dieu trouve pathétique si bien qu'il hésiterait presque à descendre sur Terre pour les aider avec leur arnaque qui va finir en justice d'ici deux mois.
Il avait hésité pendant longtemps, voilà déjà depuis deux années qu'il observe de là haut, ces petits humains imprimer, photocopier, signer et re-copier des dossiers sans intérêt dans le but de cacher des détournements de fonds de boîtes toute aussi frauduleuse que celle-ci. Il y a six mois il y était allé en Dieu -donc invisible pour les humains- et avait été contraint de tuer deux employés qui avaient découvert le poteau rose, et qui allait faire disparaître l'entreprise et faire séparer certaines personnes. Et ça, le Dieu ne voulait pas. Il prenait plaisir à observer un groupe d'humain, il s'y était attaché ! Un dieu de plus de 100 000 ans s'était attaché à des humains, humains qui n'avaient rien de particulier aux premiers abords, mais qui se révéleraient plein de ressources une fois qu'on les connaissait.
Le fameux groupe était composé d'une dizaine de personnes qui travaillaient dans les bureaux administratifs (plus décoratif qu'autre chose), dans les bureaux des différents services proposés et au RH. Des travaux peu intéressants et vraiment chiants d'après notre Dieu. Lui aussi était passé par là durant la création des humains et bon dieu que c'était long et inintéressant, recruter ou plutôt sélectionner les humains les moins cons, dit ''sélection naturelle'', écrire sur une pierre 10 choses à ne pas faire, pour qu'au final lui même ne les respecte pas, et pour finir gérer les broutilles entre humains.. Et pourtant il s'était retrouvé fasciné à observer des humains faire ce travail.
Mais voilà, un matin d'avril, le directeur des Ressources Humaines dû partir à la retraite à 56 ans ! On aurait dit le début d'une blague mais non, le vieux bougre devait partir et un poste était à prendre. Une idée traversa l'esprit du Dieu et un sourire mesquin apparut sur son visage.
Et s'il venait sur Terre en tant que directeur des Ressources Humaines ?
Et c'est ainsi que Cyril - Aka le Dieu- arriva à Angers, très jolie ville de France, pays du fromage, du pain et du vin rouge, tout ce que le Dieu appréciait.
Il se présenta un matin au patron de la boîte, sourire au lèvre et avec un tour de passe-passe (ou plutôt proposa tout ce que le type désirait c'est à dire de l'argent, une belle voiture et faire renaître Coco son perroquet décédé qu'il conservait dans une petite boîte pour qu'on l'enterre avec.) Et voilà que le Dieu finit directeur des ressources humaines d'une société frauduleuse, qui est vouée à disparaître d'ici quelques mois.
Le dieu dû changer son apparence en arrivant sur Terre (parce que les ailes c'est bien mais compliqué à cacher dans les ascenseurs ou assis dans un bureau). Il était important pour lui qu'il garde le peu d'apparence humaine qu'il avait c'est-à-dire ses magnifiques cheveux roux, ainsi que le visage et le corps qu'il utilisait quand il rendait visite aux fantômes malencontreusement bloqués sur Terre.
Et c'est un lundi matin que le Dieu se rendit dans les bureaux de la Fenêtre et il rencontra physiquement pour la première fois le petit groupe d'employés.
Quelques temps avant l'arrivé du Dieu sur Terre…
La Fenêtre c'est une boîte créée il y a quelques années par un escroc qui s'est dit qu'il pourrait créer une entreprise où il y proposerait tout type d'arnaque, des formations CPF, des isolations pour 1€, en passant par la vente de faux panneaux photovoltaïques, des panneaux de publicité inexistants, du dropshipping, aux arnaques plus classiques qui consistent à appeler des vieux et leurs demander leurs coordonnées bancaires.
Une start-up française des plus basiques en soit.
Le directeur actuel de l'entreprise n'était pas le créateur de l'entreprise, mais juste un homme de paille assez naïf pour croire que l'entreprise était une start-up innovante avec plusieurs cordes à son arc pour proposer autant de services.
Pauvre homme, si il ne se retrouvait pas d'ici quelques mois en garde à vue, cela se relèverait d'un miracle.
Quant au créateur de l'entreprise, il vivait à Dubaï où il proposait les services de son entreprise à des influenceurs peu scrupuleux au niveau éthique et moral dans leur travail.
Comment notre Dieu avait-il pu s'intéresser à cette boîte ? Simple : il devait s'occuper du karma de notre escroc et en regardant de plus près sa vie, il vu qu'il y aurait des dommages collatéraux sur des gens qui ne méritaient pas de perdre leur travail. Alors il attendit le bon moment pour « punir » le patron.
Le bon moment n'arrivant pas et même la situation commençait à s'envenimer ; deux employés commençaient à se poser de sérieuses questions sur leur travail, est-ce que demander les numéros de carte bleu de mamie Jacqueline à moitié sourde un mercredi soir alors qu'il y avait question pour un champion en même temps était vraiment acceptable ?
Yvan se posait de plus en plus la question de s'il pouvait démissionner. La réponse était non, Yvan était dans un CDD de 8 mois, il ne pouvait pas quitter son travail aussi facilement et de plus il avait galéré à avoir son appart alors qu'il n'était même pas en CDI. Il essayait d'être positif, et même s' il ne faisait pas le meilleur travail au monde, il était tout de même heureux d'être tombé sur des collègues tels que Thomas, Étienne ou même Maxime.
C'était Maxime qui l'avait recruté. C'était avec Maxime qu'il avait passé son entretien et qu'au final même si Yvan était stressé, ils avaient bien rigolé. Un entretien un peu surréaliste avec deux gars dans la même tranche d'âge et avec le même humour.
« Honnêtement c'est une boîte de merde mais y a une bonne ambiance et le café est bon. »
Yvan repensait à cette phrase que Maxime lui avait dit pendant l'entretien.
Au final le café était plus du jus de chaussettes que du café mais l'ambiance était bonne.
Son responsable, Étienne est un type assez cool mais qui, quand il n'est pas en arrêt maladie, ne fait pas grand chose. Disons qu'il part papoter avec ses collègues à la moindre occasion et qu'appeler des vieux n'était pas dans ses priorités.
Et puis il y avait Thomas, le type qui bossait en face de lui, gentil et drôle mais qui jouait le rôle du mec un peu stupide qui était tout le temps en mode second degrés pour faire rire ses collègues.
Un matin Thomas ne réussit pas à faire rire Yvan.
La veille Yvan avait entendu, ou plutôt écouter à la porte du créateur de l'entreprise qui passait en France pour des frais médicaux, une discussion téléphonique qui indiquait qu'une victime d'arnaque s'était suicidée et que la famille était tombée sur le numéro de l'entreprise.
Yvan était vraiment mal. Était-ce de sa faute ? Est-ce que c'était la première victime à en arriver là? Trop de questions et d'émotions négatives l'envahissaient.
Yvan était en train d'oublier son casse-croûte dans le micro-onde quand Maxime le tira de ses pensées.
« - Yvan ? T'es redescendu sur Terre ou toujours dans les étoiles ?
- Oui, excuse moi, j'étais dans la lune !
- Tu es sûr que ça va? Y a Thomas qui s'inquiète pour toi.. si tu veux m'en parler je suis dans mon bureau !
- Mmh.. peut-être plus tard.. » répondit-il, hésitant, avec ses yeux de chien battu.
Yvan partit s'installer sur une des tables de la salle de pause, et fût rapidement rejoint par son acolyte Thomas.
« - Thomas tu t'es jamais dit que ton taff c'était nul? Et que c'était malhonnête ce que l'on faisait ?
- Tous les jours. Répondit-il avec la plus grande franchise et le plus sérieusement possible.
- Et tu t'es jamais dit que tu pourrais faire quelque chose de mieux ailleurs ?
Thomas mis un peu de temps pour répondre à cette question, il se doutait bien des tourments de son collègues, cela faisait deux ans qu'il était dans la boîte et ses collègues avant Yvan ne restaient pas plus de deux semaines. Yvan étant l'exception, il était là depuis trois mois.
- Au début oui, j'ai voulu partir. Mais au bout de deux semaines j'ai arrêté d'appeler les gens, une sorte de rébellion. J'étais en CDD et je n'avais pas d'autre choix que de me faire virer pour partir. Finalement, personne n'a jamais vérifié mon travail. Et ça fait deux ans que je suis ici, à imprimer des coloriages pour m'occuper.
Yvan était déconcerté. Trois mois qu'il s'embêtait et se torturait la conscience à appeler de pauvres gens et voilà que son collègue lui avouait qu'il passait son temps à faire des coloriages.
- Donc je peux rien faire et personne ne me dira rien?
- C'est ça. Enfin je te conseille plus de faire semblant de travailler que de regarder le plafond, mais dans l'idée c'est ça.
- Cool. Enfin pas cool pour le patron mais cool pour nous.
- Et du coup tu vas me dire ce qu'il ne va pas ? Ou tu vas arrêter de venir comme tes prédécesseurs ?
Yvan regarda son collègue dans les yeux et vu que Thomas ne lâcherai pas l'affaire, il souffla et raconta ce qu'il avait entendu la veille.
Les jours passèrent et nos deux amis commencèrent à enquêter sur leur propre entreprise, en posant des questions discrètes à leurs collègues sur leur travail dans les autres bureaux.
Ils découvrirent beaucoup de choses, dont l'arnaque aux panneaux photovoltaïques, que quand ils avaient discuté avec leurs collègues, Damien et Thomas (n°2) ils avaient beaucoup de mal à expliquer aux clients ce qu'était un panneau photovoltaïque vu qu'eux mêmes n'avaient jamais vu un panneau photovoltaïque. Leur journée se résumait à appelaient deux - trois personnes puis ils passaient leur journée à jouer à cs:go.
Yvan pensait souvent à la pauvre personne qui avait mis fin à ses jours probablement parce qu'elle s'était retrouvée endettée à cause d'un de ses collègues ou pire à cause de lui.
La soif de découverte pendant cette enquête lui faisait oublier quelques instants cette bien triste nouvelle. A chaque pause déjeuner ils allaient discuter avec leurs collègues, sauf les responsables parce qu'ils n'arrivaient pas à savoir de quel côté ils étaient. Probablement qu'ils étaient coincés entre les deux, pour l'instant ils ne préféraient pas s'en approcher. Même si Étienne avait l'air plus de leur côté que les autres, ils se sentaient mal de ne pas pouvoir lui en parler, mais ils voulaient d'abord en apprendre davantage sur les arnaques de la boîte avant de lui en parler.
Étienne n'était pas bête et se rendit bien compte que les deux loustics avaient des comportements suspects à son égard. Au début, il pensait qu'ils étaient homosexuels, en couple et il se disait que c'était probablement pour ça qu'ils étaient un peu mal à l'aise avec Lui.
Pour en avoir le cœur net, il partit demander à Maxime.
Maxime éclata de rire.
« - Je ne sais pas où es-tu allé chercher ça mais c'est très drôle !
- Je suis sûr que c'est pas si improbable ! Et puis ils sont supers suspects depuis quelques semaines ! Il faut bien que je trouve des théories..
- Suce pet?
- Cette blague est interdite depuis 2015.
- Roh ça vaaa ! T'es vexé parce que je me suis foutu de toi c'est ça ? Et puis comment ça suspect ?
- Ils ont un comportement étrange vis à vis de moi mais ils passent tout leur temps de pause à aller discuter avec tous les collègues de tous les services..
- Aaah ! C'est pour ça que tu te turlupines ? C'est rien, ils se posent des questions sur la boîte, Yvan est curieux mais un peu méfiant !
- Il se méfie de moi ?!
- T'es leur responsable, ils ne savent pas de quel côté tu es, enfin si il y a des côtés.
- D'acc' je vois, merci Max'. »
Étienne se sentit un peu bête d'avoir pu imaginer ses deux collègues ensembles. Il se sentit aussi inquiet pour ses deux collègues. Ils ne savaient vraiment pas dans quoi ils avaient mis les pieds.
Il allait devoir les surveiller, Étienne baby-sitter de Thomas et Yvan, ça n'allait pas être de tout repos mais au moins ça allait occuper ses journées.
Maxime était employé aux ressources humaines depuis presque trois années, il avait vu passer beaucoup de personnes plus ou moins compétentes qui venait postuler pour des postes où la seule qualification demandée était de savoir parler (et lire un texte).
À chaque entretien Maxime était honnête avec les gens qui se présentaient à l'entretien. Déjà que l'entreprise avait du mal à recruter, si en plus les entretiens étaient stressants, alors personne n'accepterait le job.
Maxime a presque recruté tous ses collègues, sauf quelques exceptions et bientôt notre cher Cyril.
Maxime savait tout ce qu'il pouvait se savoir sur l'entreprise, les magouilles, les arnaques, les potins et ragots entre collègues.
Les enquêteurs continuaient à interroger leurs collègues sur les services de la boîte, commençant même à dépasser sur les heures de travail. Étienne s'amusait à les surveiller, à prendre l'ascenseur avec les deux, leur demander ce qu'ils faisaient à l'étage des services de publicité, voir les regards suspects et embarrassés des deux détectives étaient particulièrement amusants à voir et à vivre, surtout quand Maxime se ramenait dans la partie.
« - Alors les amoureux, on fait une escapade dans le service pub'? Vous voulez devenir influenceur les gars?
- Et oui exactement, tu as percé notre secret Maxou ! »
Yvan roula des yeux face au surnom que Thomas avait donné à Maxime.
Finalement, Étienne n'avait pas eu tout à fait tort. Peut-être qu'il y avait vraiment quelque chose entre Thomas et Yvan.
Yvan et Thomas venaient de rendre visite à Jordan et Théo, du service publicité qui consistait à mettre en avant des boutiques de drop-shipping par des influenceurs.
Le service publicité avait ce nom là pour flouter les réelles activités, ce qui marchait plutôt bien parce qu'à part les RH et les gens qui bossaient dans le service concerné, personne n'était au courant.
Yvan prenait de plus en plus de risques, il commençait à fouiller dans les bureaux des différents étages, à la recherche de documents qui pourraient faire couler la boîte. Yvan avait été profondément touché par la victime qui était décédée, plus il en apprenait, plus il avait envie d'envoyer le type qui avait créé cette boîte en prison.
Il aurait dû être détective privé, ou travailler à l'inspection du travail !
Mais oui ! L'inspection du travail pourrait les aider dans leur enquête, il attendit la fin de la journée mais le temps était long quand on ne faisait pas de coloriage, alors il se décida à envoyer un mail à l'inspection du travail. Le scanner avait enfin une vraie utilité pour envoyer toutes les preuves d'escroquerie de la boîte. Yvan avait envoyé plusieurs mails conséquents pour l'entreprise, leurs semaines d'enquêtes allaient enfin mener à quelque chose de concret, enfin c'est ce qu'il espérait.
Il était 17h30 et c'était la fin de journée pour Yvan et Thomas.
« - Thomas j'ai quelque chose à te dire ! »
Thomas un peu perturbé par cette phrase finit par rentrer dans l'ascenseur accompagné par Yvan.
Yvan était surexcité, il parlait très vite, mais Thomas comprit que l'inspection du travail avait bien reçu le mail et qu'un inspecteur s'intéresserait et irait probablement enquêter.
Yvan était heureux, Thomas aussi et puis les lumières de l'ascenseur s'éteignirent, se rallumant laissant un ascenseur vide.
..
Le lendemain, Étienne arriva avec trente minutes de retard, non pas parce qu'il y avait des bouchons mais parce qu'il était parti acheter des croissants et des pains au chocolat, pour les collègues.
Il fut plus que surpris quand il arriva dans le bureau et qu'il vit qu'il était seul dans la pièce. Thomas était peut-être en retard, mais Yvan était assez ponctuel. Étienne était inquiet, et s' ils leurs étaient arrivés quelque chose de grave, de très grave ? Étienne avait un mauvais pressentiment. Il vérifia s'il avait reçu de récents sms ou appels des deux zigouigouis mais sa messagerie était vide, et il n'avait eu aucun autre texto depuis hier matin. Il essaya de les appeler mais pas de réponse, il leur laissa des messages et des textos, en espérant avoir une réponse assez rapide.
Étienne posa les croissants dans la salle de pause et se dirigea vers le bureau de Maxime.
« - Max? T'es là ? »
Max sortit de la tête de ses mails.
- Ouais ça va? T'en fais une de ses têtes dis donc !
- T'as des nouvelles de Yvan et Thomas? Ils ne sont pas là, j'ai essayé de les appeler, mais je n'ai pas eu de réponse..
- Non, désolé pas de nouvelles depuis que je les ai vu partir à 17h30. »
Est ce qu'ils avaient fait un abandon de poste? C'est ce que Etienne pensa, mais ça ne collait absolument avec l'enquête qu'ils menaient, ils étaient si proche du but, ils ne pouvaient pas disparaître comme ça… Si?
« -Comment ça disparu ? »
Maxime haussa un sourcil après avoir écouté le récit d'Etienne.
Yvan et Thomas n'avaient plus donné de signe de vie depuis plus de 12h, ce qui était quand même courant au vu de tous les abandons de poste qu'il y avait eu dans cette entreprise, les gens qui ne donnaient plus de nouvelles du jour au lendemain ; ils y étaient habitués.
Maxime trouvait ces absences bizarres, pourquoi abandonner maintenant?
Alors lui aussi, essaya de les contacter. En vain.
Finalement c'est Thomas qui répondit, - la tête dans le cul, pour parler poliment.- à Maxime qui lui demanda si ça allait.
« - Heu.. alors là tout de suite je pense pas pouvoir venir parce que-
Il fût vite couper par Maxime qui prit sa voix de type chiant qui lui cria limite dans les oreilles, accentuant la forte migraine de Thomas.
- ALORS ON BOIT COMME UN TROU ?
-..Max, mes oreilles…
- AH OUI PARDON, j'imagine que tu n'iras pas voir de médecin ?
- ah bah ça.. tu crois il peut me mettre en arrêt maladie parce que j'ai mal à la tête?
- Essaye toujours, et si non, t'as des nouvelles d'Yvan ? Il n'est pas là aujourd'hui non plus.
- A vrai dire… Je n'ai plus aucun souvenir depuis que je suis rentré dans l'ascenseur.
- Ah ouais sale black out, bah écoute bois de l'eau et prends de l'aspirine ! »
Etrange, vraiment étrange cette histoire.
Avant de signaler, l'absence de Thomas et la disparition d'Yvan, Etienne s'occupa de l'ordinateur d'Yvan, celui-ci devaient contenir beaucoup de choses compromettantes pour l'entreprise mais qui mettrait aussi en mauvaise posture Yvan.
Il alluma le pc, après avoir tapé le mot de passe, qui est la date de naissance de l'employé à qui appartient la cession, il cliqua sur la boite mail, un nouveau mail était apparu ce matin, un certain inspecteur du nom de Monsieur Donzé, avait contacté Yvan pour lui indiquer la date où il viendrait.
5 Jours, soit mardi prochain.
Etienne ne savait pas quoi faire, devait-il répondre au mail en se faisant passer pour Yvan ou il devait être est expliquer la situation ? La situation est : L'employé qui vous a contacté a mystérieusement disparu et la dernière personne à l'avoir vu ne se souvient de rien.
Concentré devant l'écran d'Yvan, Etienne se tenait les mains en croix, il réfléchit bien dix minutes avant de répondre à l'inspecteur.
Il choisit l'honnêteté, quitte à perdre son poste où à avoir des soucis. Il était temps pour lui de quitter ce « travail » malhonnête et de se libérer la conscience.
« Bonjour Monsieur Donzé,
Je n » Expliquer la situation était assez compliqué parce qu'il n'avait aucune idée d'où était Yvan, et toutes les phrases qu'il avait tourné et re-tourné dans sa tête, ne mettait clairement pas le destinataire du mail en confiance.
Il devait en savoir un peu plus, lui aussi devait mener son enquête.
Etienne prit un carnet et alla questionner ses collègues qui était d'astreinte ? Quand avez vous vu Yvan pour la dernière fois ? Est ce qu'il vous avait parlé de quelque chose de particulier ? Avez vous eu de ses nouvelles ce matin ?
Hier c'était Jordan qui était d'astreinte. Il était parti à 17h46 mais il avait oublié ses clés, il s'en était rendu compte arrivé devant sa voiture, en faisant demi tour il avait eu une impression d'être observé, que quelque chose le suivait, mais il oublia vite cette sensation quand après avoir fait quelques mètres dans les locaux, l'alarme retentit. Oui, il avait oublié de désactiver l'alarme.
Finalement il quitta les lieux vers 18h. Pas d'Yvan dans les parages.
Thomas n°2 apporta que la dernière fois qu'il vu Yvan s'était quand ils se sont engouffrés, lui et Thomas (l'autre), dans l'ascenseur. Quand l'ascenseur ouvrit ses portes au rez-de-chaussé c'est Damien qui vu Thomas qui sortit seul de l'ascenseur. Avec un comportement étrange, yeux dans le vide, paroles incohérentes et démarche aléatoire un peu comme un pnj.
L'ascenseur. Est-ce qu'Yvan était magicien ?
Etienne avait écrit cette phrase sur son carnet sans réelle conviction. Déjà parce qu'Yvan avait jamais parlé de magie et que truquer un ascenseur dans une entreprise ça n'a aucun sens. Il entra dans l'ascenseur pour voir si il y avait une trappe ou quelque chose qui sortirait de l'ordinaire, mais partout où ses yeux se posèrent, il ne vit qu'un banal ascenseur.
Arrachant la page où se trouvait cette phrase, réduisant en boulette cette théorie ridicule, il l'envoya droit au but : dans la poubelle.
Et puis quoi encore ? Il aurait était kidnappé par des aliens ? Et Thomas aurait eu un lavage de cerveau suite à ce qu'il aurait vu ?
De pire en pire ses théories.
Le meilleur moyen de savoir ce qu'il s'est réellement passé c'est d'aller voir la dernière personne qui a vu Yvan, soit Thomas.
Attendant patiemment 17h30, Etienne commença à farfouiller dans le pc d'Yvan, voir toutes les preuves qu'il a trouvé, les preuves envoyé à l'inspecteur, ses recherches sur l'entreprise, les schémas dignes d'une théorie du complot, les témoignages de certains des collègues… Le contenu de ce pc était précieux, si quelqu'un d'autre que les personnes qui étaient de « leur côtés » tombaient sur ça, c'était dangereux. Il prit la décision de tout mettre sur sa clé personnelle. Et de supprimer l'intégralité des preuves. Il glissa les dossiers compromettant dans la poubelle et éteignit l'ordinateur.
Une autre théorie lui traversa l'esprit, et si Thomas était un tueur en série ? Décidément il devait vraiment arrêter de regarder « Faite entrer l'accusé » le soir, son cerveau très imaginatif se faisait des films très rapidement.
C'est vrai que ça pourrait expliquer le comportement étrange de Thomas à la sortie de l'ascenseur, mais pas de comment il aurait pu faire disparaître le corps de ce pauvre Yvan.
Et pourquoi Thomas avait-il mal à la tête ? Max' a pensé directement à une gueule de bois. C'est vrai qu'il y a des meurtriers qui après ce mettent des cuites. Mais Thomas n'a pas mentionné d'alcool, il a juste parlé d'un mal de tête.
- Interlude de l'Autre Côté -
Celui qui avait bien mal à la tête c'était Yvan.
Il s'était réveillé chez lui dans son lit, jusque là tout est normal, mis à part l'horrible mal de crâne, tout était normal, il se leva, puis se dirigea vers la salle de bain.
Arrivé devant le miroir, il n'y avait pas son reflet.
Les souvenirs de la veille lui reviennent la discussion avec Thomas, l'excitation d'enfin piéger la boîte, puis les lumières qui s'éteignent, quelque chose qui le tire vers le haut, une sensation de quitter son corps et le vide.
Le Néant exactement. Il fait noir, sombre, il y a de l'écho, le temps semble éternel. Est ce que c'est ça la mort ? Finir seul dans le noir éternellement ?
Il cria, pleura et se déplaçant à l'aveugle dans cette immensité, le temps passait très vite, il avait l'impression que cela faisait dix années qu'il était bloqué ici.
Soudain il sentit une chaleur, quelque chose approchait. La chose en question dévoila deux iris verts , puis deux immenses ailes et enfin un humain ou plutôt une créature à l'apparence humaine.
« Un ange ! » s'écria Yvan, reculant, choqué de la créature céleste qui se trouvait devant ses yeux.
La créature s'approcha d'Yvan, l'entourant de ses ailes, l'emprisonnant et l'interdisant de s'échapper dans cet obscur monde.
Entouré de chaleur et de plumes aux nuances orangées, la créature le fixait intensément dans les yeux. Yvan avait l'impression que l'« ange » qui se trouvait face à lui pouvait lire au plus profond de lui, décryptant son âme.
L'homme céleste prit enfin la parole
« Je ne suis pas un ange, très loin de là même. » répondit la créature avec un visage fermé.
« Qui êtes-vous ? Où suis-je ? » Une dernière question démangeait Yvan, il n'eut pas le temps de la poser que la Chose y répondit.
« Tu es mort, enfin sur le plan terrestre. T'es un fantôme quoi. » lui dit-il avec un sourire sur les lèvres.
« Mais comment est ce possible ? J'étais dans l'ascenseur avec Thomas ? Si je suis mort Thomas aussi ?! » pensa-t-il, trop tétanisé pour ouvrir la bouche.
Yvan commençait à blanchir, complètement angoissé à l'idée d'être mort, et en plus dans l'incapacité de faire un malaise, vu qu'il n'avait plus de corps, forcément c'est compliqué…
La créature prit le bras d'Yvan dans ses mains et un flot d'énergie parcouru dans son corps comme une décharge électrique.
Le monde obscur où ils se trouvaient commença à s'illuminer avec des milliers de couleurs, la chaleur qui s'était installée depuis quelques temps commençait à brûler Yvan, il avait l'impression de se désintégrer, sa vision commençait à s'aveugler, les couleurs bien trop lumineuses devenaient blanches. Il ferma les yeux un instant, quand il ouvrit les yeux, il était dans une pièce entièrement blanche, pratiquement vide, seul une clé dorée trônait sur une table, elle aussi d'un blanc immaculée.
Yvan s'approcha de la table, méfiant, après avoir eu une sensation d'être brûlé vif, ce qui n'est guerre agréable. Il commença à approcher sa main de la clé et commença à entendre des voix.
Des voix qui lui étaient familières, des voix qui quand il était encore en vie, ils les entendaient tout les jours.
La créature réapparu en une fraction de seconde, dévoilant un peu plus à quoi il ressemblait exactement. Pour Yvan c'était un homme blanc, avec des cheveux de feu, avec un style vestimentaire bloqué à l'époque romaine, c'est-à-dire une tunique bleu-verte avec un corset piqué à une dame du XIXe siècle. Des parures de bijoux de perles recouvraient son torse ainsi que des chaînes dorées sur ses épaules. Un goût vestimentaire douteux, mais est ce qu'Yvan était autorisé de le juger alors que lui même avait une passion pour les pantalons pattes d'éléphant et qu'il aurait secrètement aimé naître dans les années 70 ?
« J'ai un peu de peine pour ce qu'il t'est arrivé… Tu étais si près du but, accomplir quelque chose de bien dans ta vie de petit être de chair. »
Perplexe sur l'honnêteté de la divinité, Yvan répondit d'un petit merci.
« Quand tu tiendras cette clé, tu pourras être écouté, ainsi que faire bouger des objets. N'en abuses pas, celle-ci n'est pas éternelle. Fais les bons choix. »
Yvan mit le collier de la clé autour de son cou, puis la créature, du bout de ses deux doigts placés sur le front d'Yvan, le téléporta chez lui, dans son lit.
La magie céleste ne lui réussissant pas, Yvan sombra dans les bras de Morphée dans son lit.
- Fin de l'interlude -
Accoudé sur son lavabo, face au miroir, Yvan regarde dans le vide, littéralement dans le vide vu qu'il n'y a personne dans le miroir, ou plus exactement ses toilettes et sa cuvette en résine époxy où il y est intégré des coquillages et des dauphins.
Yvan souffla, est ce que c'était réel tout ce qu'il avait vécu ? Est ce que cette créature était réelle ou avait-il imaginé toute cette histoire ? Il avait beaucoup d'imagination depuis tout petit, il s'imaginait des histoires avec des anges, des chevaliers, des petits poneys recouverts de fleurs… Pour lui les anges étaient des créatures douces et rassurantes, tout l'inverse de ce que la créature lui avait fait ressentir. Bien heureusement celle-ci avait démentie être un ange, enfin il ne savait toujours pas ce qu'était cette chose mais si cette chose était un Dieu, il comprenait pourquoi beaucoup de chose sur Terre ne tournait pas rond.
Sérieusement, il lui avait donné une clé. Une clé magique, mais une clé. Si il était vraiment peiné par sa mort il aurait pu faire un peu plus, non ? Par exemple, juste un petit exemple lui rendre son corps, un petit geste de rien du tout se dit Yvan.
Qu'est-ce que ça coûterait à un Dieu de lui redonner une intégrité physique, alors qu'il a probablement décidé de pleins de truc super important comme peut-être la création de l'univers, et qui a quand même prit la peine de donner et de voir un humain alors qu'il était sans doute super occupé !
Yvan souffla une nouvelle fois.
Glissant ses doigts sur la clé autour de son cou, il choisi de déverrouiller son téléphone, découvrit les 15 appels en absences, les nombreux textos d'Etienne et de Max', mais par contre, aucun de la part de Thomas.
Ses craintes sur le fait qu'il soit mort empiraient.
Alors pour vérifier ses craintes, au lieu de l'appeler parce que pour l'instant expliquer qu'il est mort et qu'il peut communiquer grâce à une clé magique donné par un type à plumes n'est pas la meilleure option pour rassurer ses collègues.
Alors naturellement, il se rendit chez Thomas, enfin dans son quartier vu qu'il ne connaissait pas l'adresse précieuse.
Sur le chemin, il croisa d'autres « fantômes » errant dans les rues, certains ne semblaient pas se rendre compte qu'ils étaient des fantômes. Une vieille femme râlait parce que les nouveaux locataires de l'appartement où elle logeait avaient décidé de repeindre sa chambre couleur « jaune pisse » ce qui lui déplaisait fortement donc elle criait sur les nouveaux habitants. Bien-sûr ceux-là n'entendaient absolument rien.
Continuant sa route, il suivit un peu son intuition mais surtout il se fit aux indications que Thomas lui avait laissé, inconsciemment quand il lui racontait les potins et commérages de la résidence où il vivait.
Un arbre mort, avec un canapé qui pu la mort, adossé contre l'arbre. Trouvé. Le couple infidèle que Thomas a vu des frasques de leur ébats dans la fenêtre des toilettes. Vu, il aurait préféré ne pas voir pour le coup.
Bon il avait au moins trouvé l'immeuble, l'avantage d'être un fantôme c'est de pouvoir passer à travers les murs. 1er Etage, il commença par le 14, un jeune homme qui visiblement était parti travailler et avait oublier de faire sa vaisselle, le 16 une férue de plantes où son appartement était une véritable jungle, le 18, des volets fermés, à première vu, personne dans l'appartement. Mais dans le noir, on ne distingue pas grand-chose, alors Yvan choisit de tenir sa clé, et d'allumer une lumière. Mauvaise idée.
Il choisit d'allumer la lumière de la chambre. Tenant la clé dans sa main, il ne fût pas assez rapide et Thomas l'a vu.
La lumière toujours allumée, Yvan maintenant invisible, n'osant pas bouger ni quoi faire, reste planter dans l'encadrement de la porte. Est-ce que la clé le rendait visible ? La créature n'aurait quand même pas oublier de lui indiquer cette partie très importante de la clé ?!
C'est finalement Thomas qui prit la parole d'une petite voix
« Eu, Yvan ? » Thomas perplexe sur la situation qui venait de se produire se demanda si il n'était pas entrain d'halluciner ou d'avoir rêvé.
« Je deviens fou c'est pas possible… Il faut vraiment que je prenne rendez-vous. »
Thomas avait l'impression de devenir fou, entre la disparition d'Yvan dans l'ascenseur, la lumière qui s'allume avec Yvan qui apparaît en face de lui, c'est bon il était au bord de la folie.
De son côté Yvan, réfléchissait si c'était une mauvaise idée de prendre possession du téléphone de Thomas et de lui expliquer la situation, peut-être allait sombrer dans la folie si il découvrait qu'Yvan était réellement un fantôme.
Alors il partit, avec un pincement au coeur de ne pas pouvoir se confier à son Dr. Watson, son compagnon d'enquête. Il se rendit à la Fenêtre, voir ses autres collègues, Etienne et Maxime, ceux qui lui avait laissé beaucoup de messages.
Arrivé là-bas, il préféra prendre les escaliers, l'ascenseur lui rappelant trop son traumatisme de la veille.
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Appendix: A Note on Gnostic Cheese.
The question of the depths of François Lenormant’s knowledge of the papyri he described in his catalogue has already been raised, and a further instructive instance of a possible error in his interpretation of the Theban Library texts can be found in his description of the beginning of PGM IV, specifically an Old Coptic invocation to Osiris contained in ll. 11-25:
En tête sont trois pages de copte, qui débutent par l’histoire d’un fromage mystique, pour la composition duquel s’associent Osiris, Sabaoth, Iao, Jésus et tous les autres éons. Ce fromage n’est autre que la gnose.
trans: ‘At the beginning are three pages of Coptic, which begin with the story of a mystical cheese, for whose creation Osiris, Sabaoth, Iao, Jesus, and all the other aeons come together. This cheese is no other than gnosis.’
Lenormant’s “mystic cheese” (“fromage mystique”), more often cited as “gnostic cheese” (“fromage gnostique”), has become proverbial as an example of the dismissive attitude of scholars of the mid-nineteenth century towards magical material, cited by Preisendanz and Brashear, among others. Examples of such an attitude towards the magical papyri are not difficult to find, even among the later authors who made a career out of their study: Dieterich called PGMIV an “abschreckenden Schutthaufen” (trans: ‘terrifying rubbish heap’), while Eitrem referred to them as “relics of degenerate religions and of the human mind gone astray.” However, “fromage” in French refers only to the food made from cultured milk curd, and lacks the derogatory sense of “nonsense” which is present in the German “Käse,” and, to a lesser extent, in the English “cheese.” In fact, it seems that Lenormant believed he really had discovered a story in which Osiris, Jesus, and the other aeons create a Gnostic cheese.
(Dosoo, K. 2016. ‘A History of the Theban Magical Library’ in The Bulletin of the American Society of Papyrologists Vol. 53. Pp. 251-274).
Gnostic cheese.
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swedesinstockholm · 29 days
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15 mars
mon cheminement de pensée juste avant d'éteindre l'ordi: je discutais avec a. p. parce qu'il venait de voir nelken, a. p. petit bébé de 24 ans, et tout d'un coup je me suis dit que je pourrais être mariée. j'ai 33 ans je pourrais être mariée, je pourrais avoir une vie sophistiquée, comme maman à mon âge. je pourrais avoir un brushing et un bébé et accompagner mon mari à des congrès de médecine à l'étranger et porter un trench et boire du champagne et rentrer à la maison et dormir dans le lit conjugal. je pourrais écrire à ce petit morveux d'a. p. depuis cette perspective-là, et non depuis celle d'une ado attardée de 33 ans qui ne veut pas grandir. j'ai regardé frances ha ce soir et ça m'a rendue triste de pas avoir passé ma vingtaine à vivre la vie de struggling artist épuisante mais charmante et riche en aventures. je pensais à la fille de tumblr qui avait comparé mon journal à ce film, ça me fait plaisir que ma vie sclérosée puisse d'une manière ou d'une autre évoquer ce film qui m'a donné envie de vivre. elle m'a dit que mon journal était dynamique. voilà pourquoi je suis obsédée par mon journal. dans la vraie vie, le mot dynamique appliqué à moi c'est de la science fiction. ça n'existe pas.
18 mars
j'ai tellement besoin qu'il se passe quelque chose dans ma vie que je me suis fait pleurer en écoutant it's not up to you de björk en rentrant de la chorale ce soir. avant d'y aller je m'étais mis dans la tête que r. avait une nouvelle copine à cause d'un truc con et pendant que je coupais des morceaux de fromage de brebis dans la cuisine ma voix américaine disait it was bound to happen it was bound to happen, quand je me parle avec ma voix américaine ça me rassure parce que dans les films ça finit toujours par aller mieux à un moment ou à un autre. et donc j'étais là à attendre le bus dans mon long manteau noir et mes dr. martens la partition du requiem de fauré serrée contre moi, en deuil, le regard perdu dans le vide, je croyais que j'avais dépassé ce stade mais visiblement non. et puis après la chorale, après avoir dit au revoir à audrey, j'ai regardé ses stories et j'ai vu qu'il avait mis une photo à moi du mois de décembre avec une chanson de björk par dessus et ça m'a mise dans tous mes états, je me suis posé mille questions (pourquoi il met que des posts à moi toujours et jamais ceux des autres?) ça m'a rendue complètement zinzin mais qu'est-ce que c'était beau de rentrer dans la nuit en pleurant sur björk en regardant la lune et les bourgeons sur les arbres éclairés par les lampadaires.
à la chorale j'ai du être normale et faire la conversation avec des gens que je connaissais pas parce que c'était le jour du pot mensuel et j'ai plus aucune notion de comment me comporter socialement, j'arrivais pas à me concentrer trop longtemps sur ce qui se disait, à me tenir correctement, je sais pas. on m'a demandé si je travaillais ou si je faisais des études et j'ai dit aucun des deux sans développer alors audrey s'est empressée de jouer mon agente en disant que j'étais écrivaine et que j'avais gagné des prix et que ce que j'écrivais était vraiment bien, bébé.
tw suicide
24 mars
j'ai plongé tellement bas que j'arrive même plus à écrire. juste à m'allonger sur le canapé pour regarder newport beach en enchainant les épisodes même si j'en suis à la saison 3 maintenant et que je la trouve trop dramatique. je préfère me plonger dans les drames de marissa et ryan que dans les miens. j'ai du changer mes plans pour les vacances de pâques parce que m. s'est aperçu que finalement je pourrais pas aller chez elle, et comme je peux pas non plus rester seule ici parce que je me laisserais mourir de faim en semi-coma devant newport beach, j'ai pas d'autre choix que d'accompagner maman à la mer et puis je prendrai l'avion dimanche pour être à la maison poème le soir parce que hors de question de rater ça, l'écriture étant le seul truc qui me rattache à peu près à une vague envie de vivre. j'ai pris mon billet ce matin. je déteste avoir à faire ça. je déteste en être là, à forcer maman à me payer un billet d'avion, même si c'est un billet d'avion ryanair pas cher, parce que je suis trop malade pour rester seule.
vendredi soir après avoir regardé mamma mia, quand m. s'est rendu compte que je venais la semaine prochaine et qu'elle m'a dit que non, ça allait pas, la terre s'est ouverte sous mes pieds et m'a aspirée dans son antre et j'y suis restée pendant 24 heures. je calculais dans ma tête combien d'années il me restait à vivre si j'attendais de mourir d'une mort naturelle, j'en suis même pas à la moitié encore, c'est trop long, mes dvd de newport beach ne tiendront pas le coup. alors j'ai commencé à réfléchir à des alternatives à la mort par défenestration, mon go-to usuel, parce que j'ai trop peur que ça rate et que je finisse paralysée. mais peut être que je serais plus heureuse si j'étais paralysée peut être que ça me donnerait envie de me battre comme tous les gens handicapés qu'on voit à la télé. j'ai pensé à la jeune adolescente qui s'est pendue récemment parce qu'elle était harcelée à l'école. comment elle a trouvé le courage de se pendre? et avec quoi? et elle a fait ça où? me couper les veines je peux pas, rien que d'y penser j'ai l'impression que je vais m'évanouir et je dois presser l'intérieur de mes poignets contre quelque chose pour rappeler à mon corps que tout va bien. me jeter sous un train, efficace mais pas sympa pour les autres.
elles sont montées au lit et je suis restée sur le canapé paralysée par mes tentatives de suicides hypothétiques. je pleurais en écoutant abba qui continuait de passer sur mon téléphone. j'ai pensé à r. je me demandais ce que ça lui ferait si je me tuais. et puis je me suis demandé ce que ça ferait à audrey que j'avais vue la veille. je suis allée la voir chanter avec son autre chorale dans la crypte de la cathédrale et après on est allées boire un verre avec son amie indienne et la soeur de son amie indienne qui habite à londres et qui vient de finir ses études de psy, j'étais assise à côté d'elle à la terrasse du café. est-ce qu'elle se dirait qu'elle l'avait vu venir?
je veux mourir parce que je vois pas d'issue. c'est ça la raison habituelle non? je vois pas d'issue à ma situation, je vois pas comment m'en extraire, j'en vois pas la fin, je me sens usée jusqu'à la corde et j'ai l'impression d'être un boulet pour tout le monde. j'ai l'impression que personne m'a jamais aimée à part maman et que personne ne m'aimera jamais et donc je vois pas à quoi ça me sert de rester en vie. j'essaierais probablement pas de me tuer si je restais seule ici la semaine prochaine, mais je ferais pas non plus d'effort pour vivre. c'est pas que rien ne me donne envie de vivre, mais ça fait pas le poids, ça pèse pas assez pour contrer la souffrance. et en plus je fais souffrir les autres. vendredi soir m. devait probablement se dire qu'elle aurait mieux fait de pas venir, elle doit parler de moi à son copain comme le boulet malade de la famille avec qui il faut être gentille. peut être qu'elle fait même des efforts pour rire à mes blagues. et maman doit vivre avec moi TOUS LES JOURS. peut être que si je mourrais ce serait comme quand loki est mort, douloureux sur le moment mais aussi un grand soulagement. est-ce qu'ils me dédieraient le concert de la chorale au mois de juin? nous dédions ce requiem de fauré aux palestiniens, aux ukrainiens et à lara w. qui nous a quittés au printemps parce que sa vie était trop dure, la pauvre.
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claudehenrion · 4 months
Text
Ce que parler veut dire... ou pas !
Notre langue a perdu son rôle de lien social. Ce n'est plus qu'un moyen de coercition, de viol des consciences, d'interdiction de sortir d'un cadre inefficace, étouffant et décérébrant... au profit exclusif (croient-ils, ces idiots ! Leur réveil sera douloureux !) des tenants d'une idéologie ''de merde'' (Pour une fois, je ne vais pas m'excuser : c'est exactement ce qu'elle est, et rien d'autre !). Parler ne veut plus rien dire, être compris est le dernier souci de rédacteurs qui ne respectent rien, et se servir des mots pour cocufier le gogo est la dernière arme du progressisme.
Pourtant, même si on se croit préparé, apte à faire face, et ayant prévu que la ''langue française'' n'était plus ni l'une (elle n'échange plus, elle affirme des truismes), ni l'autre (c'est un ''mix'' de mauvais anglais et de français résiduel), il arrive qu'on se laisse surprendre par des lectures... que l'on aurait préféré ne pas faire. Par exemple, un spécialiste-mode (sic !), écrivait hier dans La Tribune du Dimanche, ce qu'il croit utile à la bonne marche du monde :
Titre : Le cuir revient en force sur les podiums'' (vous ne direz pas que vous n'étiez pas prévenus : en cette année où Paris devient un enfer-version hidalgo sous prétexte de Jeux Olympiques, c'est intéressant de savoir ce qui va se passer sur les podiums !). Le cuir, donc, revient en force sur les podiums (qui, vérification faite, ne sont pas olympiques), mais ''le trompe l’œil des bomber Berlutti, que l'on prend de loin pour du velours ou du daim, donne des envies d'all-over''. Et en lisant ces lignes, j'ai réalisé brusquement à quel point étaient puissantes mes envies d'all-over ! C'est fou, quand on y pense, comme il se passe en nous de choses dont nous n'avions pas senti la montée sur le podium...
Depuis quelques jours, j'avais comme des sueurs, un truc qui me réveillait en pleine nuit, et je m'inquiétais –bien à tort : c'était juste une envie, un besoin d'all-over ! Poursuivant ma lecture, j'ai appris, comme ça, sans préparation à un tel événement, que ''les tons neutres sont de tous les catwalks'', et que ''la clé pour twister les monochromes pouvant paraître fades'' est simple comme Bonjour : ''c'est le layerling en 4, 5, voire 6 couches''... Quand je vous disais que tout n'est pas perdu et que le pire n'est que très rarement la seule solution !
Ah ! J'oubliais ! Il faut faire très attention à ne pas oublier que ''le formal casual connaît un fort retour en grâce face aux joggings et hoodies aux couleurs vives'', ce que j'avais remarqué, mais sans mettre dessus un nom de pandémie. Mais fort heureusement, tout ce qui précède est légèrement tempéré par le fait –remarquable s'il en fut !-- que ''le look western de la tête aux pieds confirme son retour triomphant''. (''Ben voyons ! '' commenterait Zemmour), ce qui ajoute une dimension non neutre à la liste des problèmes que toutes ces magnifiques nouvelles font tomber d'un seul coup, toutes ensemble : il va falloir ressortir des imitations de santiag et des franges en-veux-tu-en-voilà, sans oublier le bolo, à nouveau indispensable.
Et n'allez surtout pas me dire que vous ne savez pas ce que c'est qu'un bolo, cette merveilleuse invention de Vic Cedarstaff, brevetée à Wickenburg, en Arizona au début des années '50 : là, comme dirait Alain Rémond, je ne peux plus rien pour vous. Déjà que je vous ai servi à domicile le ''koulchi'' pour vous permettre de bluffer vos catwalks grâce à l'all-over qui va vous twister, à fond la caisse, le monochrome boosté au layerling en 6 couleurs du nouveau formal casual de vos hoodies en bombers trompe l'oeil, vous ne voudriez pas que je vous paye votre ''boite à fromage'', en plus ?
Trois questions me taraudent : La première : est-ce que le génie de la mode qui a écrit ce torchon croit qu'il ou elle parle, même un tout petit peu, le français ? La deuxième : combien gagne-t-il ou elle  (alternative : combien a-t-il ou elle osé facturer cette monstruosité) ? Et la troisième : est-ce que vous voyez de quoi je parle lorsque je dis que ''La folie est sortie des asiles'' ? Parce que, en cas de doute, j'ai autre chose à vous raconter... [Ici... changement de registre, du sourire aux larmes].
Il y a deux jours, le 22 janvier très exactement, je vous parlais, à propos de tous les ''scandales-du-siècle'' qui polluent notre environnement sans interruption (''H 24'' comme on dit en néo volapük francoïforme), des ventes des voitures ''tout électrique''. L'éditorial s'appelait ''L'heure des comptes'', et on y lisait, notamment : ''A force de tricher, de mentir, de se prostituer et de faire la danse du ventre, l'Europe et la France ont réussi (à quel prix !) à faire décoller les ventes de voitures électriques (surtout les marques étrangères).''. Or... figurez-vous que j'ai trouvé, il y a deux heures, à quelles sommes vertigineuses s'élevait ce ''A quel prix''... dont les montants himalayens sont dans la ligne du ''quelqu'en soit le prix'' que Le Maire nous assure, avec son faux air de vrai colin-froid-mayonnaise, avoir abandonné (NB- Sa dernière incontinence mérite le pilori : ''J'avais dit que l'électricité augmenterait, mais ''de moins de 10 %'' . Et bonne nouvelle (sic !) : il ne va augmenter que de 9,8... J'ai tenu ma promesse (re-sic !)''. Il y ''en a des''... qui se perdent ! D'où ce ''second'' blog, d'un ton très différent : j'ai décidé de ne pas falsifier mon humeur joyeuse du début de la soirée de ce Mardi... mais de laisser éclater ma rage de ce soir...
Dites-vous bien, chers amis-lecteurs, que pour chaque voiture qu'il se vante d'avoir ''vendue'', l'Etat, dans son irresponsabilité criminelle, sort de sa poche –c'est-à-dire la vôtre-- 13 000 €uros ! Je le répète, car c'est trop affreux : 13 000 €uros par véhicule ! Pas étonnant, que les ventes se mettent à décoller ! Nos irresponsables-au-pouvoir prévoient 35 000 dossiers de ces ''véhicules à 100 €uros par mois''. Mais à ces conditions là, ça va être 10 fois plus ! Je me demande même si moi, qui suis opposé à la bagnole dite ''électrique'' (puisqu'elle n'est que ''fiscale''), je ne vais pas en commander 10 ou 15, tout de suite ! Ou plus !
Et pendant ce temps, nos pantins surpayés prétendent ne pas trouver d'argent pour les familles dans la rue, pour nos villages terrifiés par la ''ventilation des immigrés'' et pour nos enfants drogués par les mêmes ou à peu près, pour nos écoles qui s'enfoncent dans la violence, pour nos pauvres hôpitaux en voie de clochardisation, pour notre France explosée en camps adversaires (au lieu de ''adverses''), pour les paysans qui en sont réduits au suicide par la bêtise criminelle de la grosse Commission européenne et de ses partisans, progressistes et autres...
Mais ils en trouvent, des sous, pour ''accueillir toute la misère, vraie ou fabriquée, du monde'', pour subventionner tout ce qui ne devrait surtout pas l'être, pour ne pas arriver à combler le trou sans fin d'une guerre qui n'est pas la nôtre contre un ennemi qui n'est pas le nôtre, pour satisfaire tous les fantasmes, tous mortifères, d'Ursula von der Leyen, pour alimenter généreusement les chimères sociétales de théoriciens ennemis de toute humanité... ou pour subventionner, à 13 000 € l'unité, des constructeurs de voitures dont la fabrication est polluante et qui ne rouleront bientôt plus, faute d'électricité en quantité suffisante...
Je suis, vous vous en rendez compte, totalement scandalisé. C'est bien la première fois, en 11 ans de ''Blog'', que je laisse transparaître un sentiment ''perso''. Mais trop, c'est trop ! On ne peut pas laisser ce gang d'incapables piller la France et confisquer ses (= nos) ressources pour toutes les mauvaises causes qui sont les seules qu'ils ont en portefeuille... Pardon ! Demain, je serai calmé.
H-Cl
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