Tumgik
#et pince-sans-rire
daltoncity · 1 year
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Pa Dalton
Une des rares choses qu'on sait de lui, c'est que c'était un maître du forçage de coffre-fort.
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Mais un très mauvais artificier.
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L'humour de Jack ne s'en est toujours pas remis.
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equipe · 10 months
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Les crabes à la fête 🦀
Bien le bonjour, amis des crustacés. Le 29 juillet dernier, également connu comme Journée du Crabe, vous avez été particulièrement nombreux à vous rendre sur TumblrMart pour offrir le Tableau de bord crabesque à vos amis. Et, nom d'un petit bonhomme, on peut dire que vous n'avez pas lésiné ! En plus des mèmes incisifs, voire pince-sans-rire, et des billets tendances, vous avez fait grimper prodigieusement les ventes, produisant un coup de boost substantiel pour nous aider à financer les coûts de fonctionnement de Tumblr. C'est peut-être un détail pour vous, mais pour nous, ça veut dire beaucoup !
Nos équipes étaient tellement excitées qu'elles se sont ruées sur leurs palettes graphiques pour réaliser de magnifiques Coches crabesques. La peinture était encore fraîche, mais ces dernières ont quand même pu remplacer pour un temps les traditionnelles Coches de la renommée en ce jour si spécial. Dès le 1ᵉʳ août, ces nouvelles coches ont fait leur apparition sur TumblrMart : en version classique (mais efficace), ou en version arc-en-ciel pour ravir tous vos amis ou vous faire un petit plaisir.
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La Journée du Crabe en quelques chiffres :
Vous avez offert plus de 8 000 Tableaux de bord crabesque ce jour-là. C'est tout simplement une augmentation de 20 000 % des ventes quotidiennes de cet article.
Les ventes totales sur TumblrMart ont aussi augmenté de 7 000 %.
Comme évoqué plus haut, cet argent sert à payer les coûts de gestion de Tumblr (environ 1 mois des coûts énergétiques des serveurs de l'application cette fois-ci). La générosité dont vous avez fait preuve envers vos amis a aussi été le moteur du bon fonctionnement de Tumblr. Tous les crabes se joignent à nous pour vous dire MERCI !!!
🦀 💖
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sous-le-saule · 9 months
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Oui mon capitaine
(Le musicien fantôme, épisode 2 – parce que pourquoi pas…)
Remis de ma surprise, je me dirige vers la table de l’homme au tricorne et m’apprête à m’asseoir sur un tabouret grossier quand il m’arrête d’un geste. Jetant un regard suspicieux aux buveurs, il m’entraine vers une espèce d’alcôve dans un coin de la salle.
Le tenancier nous apporte à chacun un demi d’une bière à la couleur douteuse, que je me garde bien de toucher.
- Je suis Giacomo Tremonti, dis-je en tendant la main au marin par-dessus la table. Vous avez sans doute entendu parler de moi.
- Non, fait-il platement, soulevant sa chope et ne faisant aucun cas de ma main tendue, que je finis par ramener dans mon giron.
Je ne sais pas vraiment si j’espérais que ma réputation de compositeur m’ait précédé dans un tel endroit, ce qui ne m’empêche pas de me sentir vaguement froissé.
De la manche, il s’essuie les lèvres avant de croiser les bras sur la table.
- Alors, de quelle somme parle-t-on ?
Droit au but, donc.
- Eh bien… je me disais que 200 pièces d’or –
- Nouvelles ou anciennes ?
- Anciennes, naturellement.
- 300.
Je m’attendais à du marchandage, aussi je lui propose la somme que je me suis réellement fixée.
- 250 ?
Il a un fin sourire de renard, comme s’il avait su dès le départ que je monterais sans discuter jusque là.
- Tope là.
Cette fois, il me tend la main, et serre la mienne avec force, souriant à ma grimace de douleur.
Tout ce que je fais ou dis semble amuser cet homme, et je ne me suis jamais de ma vie autant senti en dehors de mon élément.
- Ne devrait-on pas signer un contrat ou à tout le moins établir quelque document pour-
- C’est ce qu’on vient de faire.
- Oh. Euh. Bien.
- J’aurai besoin des pièces au plus tôt. Pour l’avitaillement. Ce genre de choses. Demain, ce serait bien. On peut embarquer dans trois jours.
- Ah. Certes. Je vous ferai apporter cela. Où dois-je -
- Non !
Cet homme a la fâcheuse habitude de me couper la parole et cela commence à m’agacer. Il prend un air dramatique, ferme les yeux et se pince l’arête du nez.
- Non, non, non. Bon sang ! Je voulais vérifier si vous étiez aussi naïf que vous en avez l’air. Si vous payez l’entièreté de la somme avant l’embarquement, j’appareille dans l’heure et vous ne reverrez jamais votre or. Réfléchissez un peu.
Malgré toute ma volonté de mener cette négociation à bien, je ne peux m’empêcher de prendre un air hautain et vexé.
- Excusez-moi d’ignorer les usages en vigueur. Je pensais que l’honneur des pi- je veux dire, des marins, garantissait –
Cela le fait hurler de rire. C'en est assez. Jamais je n’ai été traité de la sorte. Cette fois, c’est décidé, je m’en vais. Il y a bien un autre repaire de ce genre où je trouverai un équipage.
Il fait un geste conciliant, qui doit sans doute avoir valeur à ses yeux d’excuses en bonne et due forme.
- Restez, dit-il en s’essuyant les yeux. Vous trouverez personne d’autre qui s’engagera dans une folie pareille.
Je me rassieds à contre-cœur.
- Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi vous, vous acceptez. Et ne me dites pas que c’est pour l’argent, vous venez de me mettre en garde alors que vous auriez pu me dépouiller.
Il plonge ses yeux sombres dans les miens, soudain sérieux.
- Je m’ennuie, et vous êtes distrayant.
Je ne suis pas bien certain que ce soit un compliment.
- Soit. Que disons-nous, alors ? La moitié de la somme avant l’embarquement, et le reste à la réussite de la mission ?
- Normalement, on précise aussi que je dois vous ramener au port d’embarquement. Vivant.
Je m’étrangle.
- Je pensais que ça allait de soi !
- Tsk.
- L’affaire est donc conclue, monsieur… ?
- Capitaine. Esteban Álvarez. Quoi ? Vous vous attendiez à « Barbe Noire le sanguinaire » ?
Je me sens rougir.
- De toute façon, reprend-il, à bord vous ferez comme tout le monde et vous me donnerez du « capitaine ». C’est clair ?
C’est à ce moment-là que le plaisant concept de ce voyage prend une forme concrète dans mon esprit. Je vais passer plusieurs semaines en mer avec cet individu pour le moins désarçonnant et ses hommes qui me jetteront peut-être par-dessus bord à la première occasion. Je déglutis. Dans quoi me suis-je embarqué ? Je pourrais encore changer d’avis. Mais je veux percer le mystère du Musicien fantôme. Et, pour une fois, vivre une aventure. Car je me l’avoue enfin : moi aussi, je m’ennuie.
Hochant la tête, je fais de mon mieux pour insuffler de l’assurance à ma voix.
- Oui, mon capitaine.
Le temps d’un battement de paupières, il a l’air troublé. Puis il détourne le regard en grommelant :
- « Oui, capitaine » suffira. Vous n’êtes pas sous mes ordres.
Ha ! Pour une fois, c’est moi qui l’ai déstabilisé. Je prends note de sa réaction avec un certain intérêt. Ce voyage s’annonce, en effet, distrayant.
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swedesinstockholm · 7 months
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31 août
je suis tellement habituée à écrire à r. le soir au lit que ça me fait bizarre quand je me couche sans mon téléphone. ça fait une semaine que je dois répondre à n. pour notre éventuelle coloc à berlin, une semaine que j'ai une amie à BERLIN qui attend que je lui réponde pour qu'on se mette à chercher un appart ensemble et je lui ai toujours pas répondu. je sais pas si c'est parce que je suis terrifiée par l'aspect concret de la chose ou si c'est parce qu'au fond je préfèrerais aller vivre à bruxelles. j'ai rejoint un groupe fb de locations et de colocs et c'est l'enfer mais c'est là que mon coeur m'appelle. et c'est pas à cause de r. mais il me donne envie de me réveiller pouvoir être sur un pied d'égalité avec lui. même si lui non plus n'a pas de job alimentaire, mais au moins il vit pas chez sa mère. oh ça rime. j'ai envie de lui raconter toute ma vie, enfin La Situation et tout ça, parce que hier quand je lui ai dit que j'étais cassée parce que j'arrivais plus à écrire il m'a hurlé une version hystérique de cassé de nolwenn leroy qui m'a fait mourir de rire et puis il m'a rassurée il m'a donné des conseils et il m'a demandé à quel point j'étais angoissée etc et QUI dans ma vie prend soin de moi comme ça?
hier je discutais avec ru. et je lui ai raconté mes projets avec r. et elle disait que j'avais toutes mes chances de faire évoluer la situation avec tout le temps qu'on allait passer ensemble à travailler, so many chances! j'avais l'impression qu'elle jouait le rôle de mon enabler alors que j'essaie de me sortir de mon addiction. non ru.! non! j'ai du contrôler très fort mes illusions lundi soir aussi quand c. t. la dramaturge m'a écrit pour me demander ce que je faisais en ce moment et si j'avais un full time job, sans préciser pourquoi elle me demandait ça. pourquoi tout le monde a décidé de me mettre à l'épreuve comme ça? comment je suis sensée ne pas m'imaginer qu'elle veut travailler avec moi? elle m'a toujours pas répondu et le suspense me tue. mais peut être qu'elle me répondra jamais et qu'elle cherchait juste des témoignages de loseuses de la vie qui travaillent pas pour une pièce de théâtre documentaire ou je sais pas quoi, comment savoir?
2 septembre
j'ai envoyé mon poème à la revue affixe ce soir à minuit 24 heures avant la deadline, même s'il est pas publié c'est pas très grave parce que ça m'a fait du bien de me remettre sérieusement à la poésie, ça change de mes jérémiades du journal, même si j'y raconte à peu près la même chose. il s'appelle marrons glacés et c'est archi cryptique mais tout ce que j'y dis c'est que je fais rien de ma vie je veux pas travailler je suis coincée je suis bisexuelle je suis amoureuse je suis en feu je me masturbe. y a pas vraiment de fin. en écrivant "trois perles ambrées me coulent entre les cuisses" ça m'a excitée et je me suis masturbée sur mon lit avec mon poème à côté de moi. voilà à quoi me sert la poésie. ma nouvelle façon préférée de dire que je suis bi: délicat délicate - les deux me vont. ma nouvelle façon préférée de dire que je veux qu'on me fasse l'amour: déglacez-moi comme un marron.
4 septembre
premier jour de mer je me suis réveillée avec mon oeil plus gonflé que jamais après une nuit de bave et de larmes et de sinus qui pousse, je me suis levée et j'ai mis un sweat noir par dessus ma chemise de nuit ancestrale en coton épais, relevé mes cheveux en chignon avec une pince et mis mes lunettes de soleil pour aller déjeuner chez c. et quand je suis arrivée sur la terrasse elles ont dit quelle élégance! on dirait audrey hepburn! et c'était pas vrai mais j'étais contente de mon exploit d'être passée de monstrueuse à audrey hepburn.
je reste éloignée d'internet et de mon téléphone sauf pour écrire à r., cet après-midi j'ai écrit plein de petits poèmes avec tous les mots que j'ai notés dans mon carnet en écoutant france inter dans la voiture hier (pas de temps morts dans les transports) et après deux heures et demi d'écriture je suis partie à la plage me baigner dans les vagues, ce que je peux pas faire à la maison. j'ai marché pendant un moment avec l'eau à mi-cuisses pour drainer ma cellulite comme si je venais de lire un article de elle qui me dit comment optimiser mes vacances à la plage pour avoir un hot bod. j'en peux plus de mes grosses cuisses boursouflées et de ma petite taille qui contraste avec mes hanches larges et de mes seins qui pendent et qui menacent à chaque instant de s'échapper de mon maillot. tellement plus que ce matin à la caisse de hyper u quand j'ai voulu rejoindre maman dans la file et qu'un chariot me bloquait le passage et qu'un vieux m'a dit vous êtes mince mais là vous ne passerez pas! j'étais contente parce qu'il a jugé que j'étais mince. voilà.
en sortant de l'eau j'ai lu le livre de léa rivière qui parlait de la rivière justement, comment elle devenait la rivière quand elle était dedans, qu'elle apprenait de la rivière en lui faisant confiance, en immergeant son corps, en étant-avec elle (donna h.), en écoutant comme elle, dans son vacarme, c'était la lecture parfaite de post baignade dans la mer. elle dit plein de choses que je dis dans mon scénario. j'ai fait une pause dans ma lecture pour y réfléchir. est-ce qu'on dit les mêmes choses parce qu'on a lu les mêmes livres ou parce qu'on ressent vraiment les mêmes choses quand on est dans l'eau/dans la nature en général? j'ai lu jusqu'à sept heures et je suis rentrée je me suis douchée et j'ai mangé du pain avec du fromage toute seule avec un soupir de satisfaction.
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girafeduvexin · 1 year
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Le truc le plus kiffant avec la voix de Goldman, c'est que d'un côté on a des paroles relativement profondes, un mec assez sérieux, pince sans rire, discret, assez calme, capable de parler de rugby, de sociologie et de Gibson.
Et de l'autre côté, on a. Une voix vraiment haut perchée. Et qui va vraiment haut, trop parfois, quand c'est pas juste un cri, vraiment la voix aiguë dans toute sa splendeur. Le décalage est d é l i c i e u x. Le calme (pour ne pas dire le silence), les sourires en coin et les "AAAAAAAaaaaaAAaaAaaAAAAAAAAAAAAAAH" de l'autre.
Et le plus extraordinaire dans tout ça, c'est la différence entre les albums et les concerts, parce que clairement fin 80, ça commence à le soûler cette voix (et il déclare même qu'il a toujours rêvé d'une voix grave :') ) donc il baiiiisse, c'est beaucoup plus doux, limite parlé-chanté sur certaines chansons. Mais sur scène, même si c'est plus rare sur les deux dernières tournées, il HURLE toujours et qu'est-ce c'est fun.
Genre ça vers 4:40
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Ou cette version d'"Au bout de mes rêves" en 1998, vers 2:30 et jusqu'à la fin.
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Et même aux Enfoirés où il CHOISIT de se donner à chanter des morceaux qui vont tirer sur sa voix, par exemple cette SUBLIME REPRISE de "Gimme! Gimme! Gimme!" à 2:50 (pitié écoutez ça, si vous voulez vous tapez une barre, j'ai découvert cette reprise il y a deux jours, je suis K.O).
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mmepastel · 9 months
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J’ai fini hier soir ce roman très addictif et réussi publié cette rentrée chez Gallmeister.
Je me suis vraiment régalée avec ce récit gothique d’une étrange malédiction. Dans la famille Chapel, lorsque les femmes enfantent, elles meurent ou bien lorsqu’elles consomment leur mariage, elles meurent. Avouez que c’est atrocement diabolique et assez handicapant.
La famille semble possédée. A commencer par la mère, hantée par des fantômes la nuit ; le père est un taiseux inintéressant. Les six filles sont le cœur du roman. Elles sont toutes nommées à partir de fleurs, dont raffole Belinda, la mère, plus portée sur la botanique que sur la maternité heureuse. Une première union se profile pour Aster, l’aînée, et tout bascule.
L’histoire est racontée depuis la « presque plus jeune », Iris. L’histoire est abracadabrantesque pourrait-on dire, mais elle est rendue délicieusement horrifique par l’écriture, juste et un peu pince sans rire, et une ambiance surannée : ça commence dans les années 50, dans le faste d’une demeure riche (argent salement gagné, le père est vendeur d’armes), une demeure présentée comme une pièce montée blanche et victorienne, qui s’apparente à un gâteau de mariage. Cocon d’abord, puis bonbonnière étouffante.
Le sujet sous-jacent est évidemment la toxicité masculine (les armes, la virilité dangereuse des hommes, leur mépris des propos de bonne femme). Iris va parcourir un trajet douloureux, émaillé de deuils, pour parvenir à s’émanciper, en faisant beaucoup de sacrifices. Honnêtement, je n’ai pas trouvé la thèse très bien défendue, mais je me suis régalée à lire l’histoire de ces six sœurs, attachantes et émouvantes. Quelque chose vous happe, et vous avez du mal à lâcher le livre quand bien même les morts sont pour ainsi dire annoncées. Il y a une dimension de conte, voire de comptine, qui rend le récit entraînant, envoûtant. Un halo de mystère en même temps qu’une profondeur psychologique non négligeable.
Roman étrange, trop charmant pour être vraiment dérangeant, mais qui ensorcelle à merveille.
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kiala-story · 1 year
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•Y/N pinçant les fesses de son copain•
• Part 1
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Mentions : provocation - consentement - vulgarité ...
Personnages : Mikey - Draken - Chifuyu - Baji - Mitsuya- Hakkai - Takemichi
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Mikey :
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Tu était tranquillement entrain de descendre rejoindre ton petit ami dans le salon baillant encore de la soirée mouvementé d'hier soir.
Ton petit ami était exceptionnellement entrain de préparé le petit déjeuné ce matin tu t'approche de lui l'embrassant tendrement.
Une main baladeuse vient s'accrocher a son fessier puis le pince le faisant sursauté d'un coup te regardant avec étonnement.
"Ahh... Bonjour mon coeur, bien dormi ? Finis-tu par dire en prenant une tasse dans un des placarts se situant derrière Mikey.
"Heu, oui Y/N... J'imagine que toi aussi ? Dit-il encore sous le choque de ton geste que tu avais visiblement pas fait consciemment.
"Hum Hum..." tu te gratte l'arrière de la tête versant le contenu de la bouteille de lait dans ta tasse.
Tu repartie vers le canapé pour te poser ce qui fit rire Mikey qui prendra un malin plaisir a te raconté ce qui viens de ce passer, sachant pertinemment que tu nieras tout les fais.
Draken :
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Main dans la main ton copain et toi marcher tranquillement dans les rues de la ville profitant du merveilleux temps qu'il y avais.
Quelques boutiques par-ci par-la puis vous décidez d'allez boire un verre tout les deux dans un petit bar sympathique que vous connaissez bien.
Vous profitez de vos boissons, rire, parler de tout et de rien. Ton copain décidé d'allez payer a l'acceuil.
De loin votre regard tombe instinctivement sur ses fesses musclés... Une envie irrésistible de lui pincer un bout de son derrière vous viens a l'esprit.
"Punaise sa me tente trop..." Dis-tu serrant les dents pour ne pas craquer
Sur le chemin du retour tu te retiens pour éviter de le faire en publique. Arrivé dans la maison vous entrez vous hésité plus une seconde pour pincer ses fesses.
"Bordel de !!! " Crit-il en sursautant subitement te regardant dans l'incompréhension la plus totale.
Vous rigolez face a sa réaction.
"Je suis désolé... J'ai pas pu résisté" finis-tu par dire le regardant souriant a pleine dents heureuse de ta connerie.
Il te donne une pinchnette sur le front avant de repartir a ses activités de mécanicien te laissant rire derrière lui.
Chifuyu :
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Assise sur son lit tu regarda par la fenêtre profitant un minimum d'air frais malgré cette journée chaude.
Ton petit ami Chifuyu allongé sur le ventre en face de toi lisant un de ses manga favoris du moment.
"Fuyu ? " l'appel-tu pour qu'il te remarque.
*Tentative échoué*
Tu l'appelle de nombreuse fois sans réponse beaucoup trop absorbé dans son histoire.
Finalement une idée t'es venu en tête voyant en face de toi ses fesses qui n'attende plus qu'a être botté après tous ses échecs.
Tu commence a préparé ta main l'ouvrant et la fermant comme une pince, tu t'approche et pince une de ses fesses..
"AHHHHHH !" Criant de peur.
Bien-sur tu éclates de rire en ayant vu une tel réaction surdimensionné de ton copain.
"Qu'est ce qui te prend Y/N ? Dit-il en boudant se touchant la fesse.
"Je t'ai appelé à de nombreuse reprises sans réponse.... Il fallait que j'agisse ! " Dis-je fière de mon acte.
Il rigole voyant ta réaction, vous passez le reste de la journée a vous taquiné comme des gosses.
Baji :
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Réuni dans le salon, vous regardez un film d'action tout les 2 critiquant chaque scène qui passais.
"J'ai la dalle" dit ton copain mettant sa tête en arrière.
"On a du pop-corn dans le placard" Dis-tu je regardant du coin de l'œil.
Il ce lève pour allez en chercher, passant devant toi une drôle d'envie te prend...
Tu lui pince littéralement les fesses
"Putain ! Y/N tu fou quoi là !?" Cria-t-il ce retournant vers toi avec une folle envie de te faire la même chose.
"Oh arrête ta kiffer avoue !" Dis-tu avec un regard moqueur.
Tu te moqua de lui tout le reste du film, cela dit fait attention car après celui-ci tu risques d'en baver.
Mitsuya :
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Debout au milieu de la chambre de ton petit ami les bras écarté pendant que lui mesure ton corps pour faire une de t'es tenue pour une soirée qui débutera dans moins de 2 semaines.
"C'est bon, j'ai fini" dit-il retirant son mètre autour de ton bassin s'éloignant pour allez écrire ses mesures sur son carnet de note juste derrière lui.
T'es yeux se baisse vers le bas de son dos, puis.....ses fesses. Tu te mord la lèvre inférieur voulant tester quelque chose.
Tu hésite ne voulant pas le gêner, cela dit ton envie deviens un peu plus grande chaque seconde qui passe.
"On a qu'une vie hein..." tu murmura entre t'es lèvres
Ta main prend un bout de fesse de Mitsuya le faisant sursauté sur le coup, il se retourne te voyant avec un petit sourire en coin. Il te souris, tend sa main prend ton menton l'inclinant vers son visage.
"Y/N que veux tu de moi exactement ?" dis ton copain se rapprochant de ton oreille te murmurant sensuellement.
Tu avale difficilement sachant ce que tu venais de provoquer. Il t'embrasse amoureusement prenant ton visage en coupe tu en profita pour replacer tes mains sur ses fesses durant votre baisé ce qui na fait que l'approfondir.
Finalement les mesures attendrons demain.
Hakkai :
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Tu avais demander a Hakkai de venir chez toi aujourd'hui car il te manquais et a ta petite soeur aussi.
Il acceptera en quelques minutes il était chez toi, ta soeur sautant instantanément dans ses bras avec un grand sourire.
Tu t'avança a ton tout pour l'embrasser tendrement.
Quelques heures plus tard
Hakkai et toi étiez dans la cuisine cherchant des collations à ramenée dans le salon, tu passe derrière lui et en lui pinçant une de ses fesses par pur envie.
"Ahh ! Y/N que fais tu... ?" Dis ton copain te regardant avec incompréhension.
"J'avais juste envie mon coeur, c'est tout" dis-tu simplement en trouvant quelques collations.
Tu repartie lui faisant un clin d'oeil ce qui la évidement fait buger sur place.
Takemichi :
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Plein de gens pense que Takemichi est quelqu'un de coincé mais... Ils ont tort.
Ta relation avec ton copain est remplis de fou rire en tout genre, ce qui pourrais en surprendre plus d'un.
En ce moment vous vous taquinez alors que vous faites de la pâtisserie ensemble, pendant que toi tu lui colle un peu de pâte a gâteau sur le visage lui s'amuse avec a retrouner t'es cheveux dans tout les sens avec ses mains sale recouvert de farine.
"Ahh ! Take ! Stop ahah !" Cria-tu en rigolant essayant de te défendre du mieux que tu peux.
"Abandonne Y/N !" Rigola t'il continant son acte.
Vous aviez une idée qui allais a coup sur te donner la victoire. Tu place ta main derrière lui le pinçant d'un coup.
"HIIII AHHH !" un cri peu virile sors de sa bouche ce qui te fait éclaté de rire.
"Ahah ! C'était quoi ça Take ! " dis-tu en rigolant.
Il lève les 2 mains en l'air montrant son abandon les joues rougis. Le reste de la journée tu n'arrêtait pas de lui pincer les fesses pour le taquiné d'avantage.
"ARGH ! ARRÊTE ÇA Y/N !" Cria-til rouge comme pas possible.
"Hihi ! Je ne peux pas m'en empêcher !" Dis-tu continuant de te trainer derriere lui les mains prête à pincer de nouveau.
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lalignedujour · 9 months
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"Ça par exemple, c'est débilo-dangereux". Et on a ri. Il a dit ça alors qu'on croisait un type en train de marcher tout seul sur le bord de la Nationale. Y avait pas de trottoir, et il marchait pas dans le talus, il marchait carrément sur le bord de la route. Il devait y avoir 40 centimètres entre la glissière de sécurité et la chaussée, et lui il marchait dessus tranquille.
Moi j'avais pas d'avis sur lui. En fait, je l'avais même pas remarqué. J'ai un tempérament à pas facilement être choquée par les choses inhabituelles. C'est un vrai truc. J'ai fait un test à la fac. La prof nous a montré une vidéo où il fallait déceler des anomalies, bah moi j'ai rien trouvé. Bref, il aurait pu y avoir un kangourou sur la Nationale, j'aurais pas tout. de suite remarqué.
C'est un problème d'ailleurs, ça, de manquer d'intuition sur les trucs "qui vont pas", surtout quand on fait du stop. Là, le type me paraîssait tout à fait ok, comme en fait toutes les personnes qui m'ont prise en stop depuis deux ans.
J'ai quand même appris à repérer les gens aux radios qu'ils écoutent. Y en avait un une fois qui écoutait carrément les podcasts d'arte radio, comme ça, sans thème, dans le désordre. Genre y avait un podcast féministe, puis le récit d'un ancien gangster, un truc sur l'origine des mots, et jusqu'à des histoires de rue à Marseille. Des anecdotes toutes nulles, mais avec l'accent marseillais, ça rend tout épique ! Ça faisait genre "tu vois, je commande un kebab, à Belsunce, tu connais le quartier, bon, je commande un kebab sans oignon, je dis bien sans oignon, j'aime pas ça moi les oignons, je les digère pas, ça me… bon, sans oignon. Très bien, le type prépare le kebab, il me demande quatre euros, bon j'étais minot hé les kebabs à quatre euros, c'était à l'époque hein. Je paye le kebab, je sors, je croque dedans, crac y a des oignons." Ou alors l'histoire d'un gars qui a un rendez-vous le bon coin pour acheter un vélo. Un vélo jaune. Il avait rendez-vous en plein centre. Et là y a un type balafré qui se pointe sans vélo mais avec une pince Monseigneur et une bombe de peinture jaune, il fait : -c'est toi pour le vélo ? -oui, c'est moi, mais. -ça fait 100 balles. -d'accord, mais oh il est où le vélo ?! Et il répond juste : -il est où tu veux le vélo, tu veux lequel ? Je pense qu'elles étaient pas toujours vraies ces histoires. Elles sont trop nulles pour être vraies, même si je suis pas la bonne personne pour déceler les mythos. Je sais pas trop juger, de toute façon, tout me paraît ordinaire (ou tout extraordinaire, ça dépend comment je vois les choses).
Et donc celui de ce matin, je l'ai aussi jugé à sa radio. C'était une radio de droite avec des émissions de débat de merde genre à caser des mots-valise du gouvernement comme "islamo-gauchiste", "éco-fasciste" ou "éco-terroriste" en mode premier degré.
Et c'est là qu'il a dit "débilo-dangereux". Ça m'a fait rire de soulagement, lui aussi, et il a changé de station. C'était une voiture de location, et il a aéré parce que ça puait à fond le réac là-dedans.
L'ambiance de la voiture a changé dès qu'on l'a croisé.
J'ai connu Jed.
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bonheurportatif · 1 year
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Quelques trucs bien en décembre
1er décembre Laisser le téléphone faire son boulot de répondeur Mettre la main sur un câble HDMI Rétablir un atelier qui tanguait 2 décembre Refuser de collaborer à un jeu de dupes Faire du calcul mental Jouer au fact-checker 3 décembre Manger au resto avec les filles Croiser un couple d'amis et rigoler un peu Commettre un court texte profanatoire
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4 décembre Remonter des rives inexplorées de la Charente Passer enfin un coup de fil à sa mère Trouver une idée de cadeau pour sa benjamine 5 décembre Voir les premiers givres sur les toits de la ville Acheter une guitare Manger une mousse au chocolat 6 décembre Écrire un monovocalisme en e pour l'atelier du soir Prendre ses marques pour une autre longue série d'ateliers à venir Faire une commande groupée de calendriers annuels 7 décembre Marcher sur la plage Ramasser des nacres Décider de garder les filles au chaud 8 décembre Dormir une petite heure de plus Manger tout seul au resto Arriver enfin à se connecter à un des réseaux du campus 9 décembre Attendre un vieil ami sur le quai de la petite gare Se promener ensemble sur la plage, légers, et dans le vent froid. Croquer par jeu dans une olive cueillie sur l'arbre et amuser ses compagnons 10 décembre Écarter les mauvaises pinces à linge des bonnes pinces à linge Recevoir d'un ami le catalogue de l'expo Édouard Levé Recevoir un mail inattendu de São Paulo 11 décembre Nourrir une grande tablée de grands enfants Avoir envie de relire Catherine Meurisse Être tout seul sur la route des marais 12 décembre Provoquer le rire de sa fille dès le matin (et encore à midi) (et le soir en lui montrant qu'il neige) Marcher à la fois dans le sable et dans la neige Être comme un enfant
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13 décembre Recevoir ses calendriers Plein Temps Libre et passer les récupérer à la Coop S'offrir un bounty par la même occasion et trouver un chouette bouquin dans la poubelle en jetant l'emballage 14 décembre Au lever, dans la maison silencieuse, entendre très distinctement le ressac Repartir de l'atelier avec un sac de bûches cadeau Reprendre le chemin de la salle de sport 15 décembre Régler enfin le problème de phare défaillant Prendre un café avec une sérigraphe sympa Manger des chouquettes avec les étudiants 16 décembre Régler le problème de chasse d'eau Venir à bout d'une tuyauterie récalcitrante Fermer et purger le robinet extérieur 17 décembre Livrer un congélateur en express, sans aucun contretemps Retrouver par hasard sa chérie dans les rues de la ville et finir la promenade avec elle Prendre un goûter en famille, avec chocolat chaud et nounours à la guimauve 18 décembre Déjeuner sur le pouce, à même le plat Faire du sport dans une salle vide à l'heure de la finale de foot Réussir une plutôt bonne carbonara 19 décembre Revenir sur ses lectures de l'année Trouver une grosse enveloppe à bulles à son nom dans la boîte aux lettres Recevoir une photo de Marcel Proust signée par Éric Chevillard
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20 décembre Se faire porter son café au lit Échanger trois mots avec Mme-Patate Faire une tournée comparative des bûches artisanales locales avec sa chérie 21 décembre Profiter seul de quelques scènes du premier matin de l'hiver : un lever de soleil rose, l'approche d'un piaf pour becqueter les boulettes... Recevoir deux fois plus de livres en cadeau que ce qu'on avait commandés Faire, au débotté, une virée familiale au restaurant 22 décembre Aider son fils à mettre en page son journal étudiant Poursuivre une lecture très, très stimulante Se coucher moins enrhumé que ce matin 23 décembre Se réveiller deux bonnes heures avant toute la maisonnée Prendre tous les raccourcis pour entrer et sortir de la zone commerciale S'amuser du récit de la vie du sociologue taciturne 24 décembre In extremis, décorer et illuminer le sapin Faire les derniers cadeaux avant le rush Faire danser sa sœur
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25 décembre Se réveiller avant tout le monde et disposer de quelques minutes pour un café en amoureux Retrouver le rituel familial du brunch de Noël S'arrêter sur chaque case et chaque planche du dernier livre de Blutch 26 décembre Balancer verre, carton et tout-venant à la déchetterie Laver et faire réviser la voiture Faire un mini-sac pour le séjour à venir 27 décembre Prendre la route à l'horaire souhaité Arriver plus tôt que prévu Avoir une place de parking surprise incluse dans la location 28 décembre Régler le problème de réseau en itinérance Regarder défiler une ville que l'on ne connaît pas depuis un métro que l'on ne connaît pas Réussir des pizzas dans un four qu'on ne connaît pas 29 décembre Remonter le fleuve à pied jusqu'au pont-transbordeur Retrouver des amis en vacances Acheter des cahiers à la réglure originale, sans savoir ce qu'on va en faire 30 décembre Pique-niquer face aux vagues et rouleaux Dire ses premiers mots en basque S'offrir une séance de sport improvisée 31 décembre Augmenter d'une unité sa collection de traductions de La Vie mode d'emploi Assister à des vrais feux d'artifices tirés de partout en ville Et boucler une année de notes de trucs bien quotidiens
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Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. > Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril. > Quelques trucs bien en mai. > Quelques trucs bien en juin. > Quelques trucs bien en juillet. > Quelques trucs bien en août. > Quelques trucs bien en septembre. > Quelques trucs bien en octobre. > Quelques trucs bien en novembre.
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emlbz · 2 years
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Mon premier USK à Lille !
Déjà c’est quoi USK ? Ce mot étrange est une abréviation de Urban Sketcheur, les dessinateurs "urbains" qui dessine le monde qui l’entoure, sur le vif, sur place.
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J’ en ai déjà parlé un peu dans cet article (rencontre mensuelle) mais cette fois c’était grandeur nature. Nous étions 400 dans les rues de Lille. C’ était hyper étrange et en même temps trop cool de voir autant de gens dessiner. J’ai été contente de pouvoir rencontrer des gens en vrai avec qui je correspondant sur Instagram et puis, bien sur, faire d’autres rencontres. Cette communauté est vraiment hyper bienveillante, on a l’impression d’être tous copains ! Vous n’avez pas besoin de savoir dessiner. Si c’est votre passion, on vous accueille à bras ouvert.
Mais revenons au commencement je suis partis de Strasbourg le vendredi 3 juin à 6h du mat (avec un réveil qui pique mais vrai j’étais tellement surexcité que j’etais réveillé sans soucis) j’ai fait trois heures de train pour arriver environ vers 9h sur place. Le soleil était au rendez vous. J'étais chargée comme une mule mais j'étais aux anges.
Ma sœur (qui venait de Lyon) m’a rejoins vers midi et nous avons mangé avec Lucille (#strasbourg) qui dans café hyper sympa nommé We are ARA, d’ailleur le responsable nous a fait beaucoup rire, il était très sympa et généreux, nous pu goûter un brownie hyper bon et un jus au charbon et citron gratuitement.
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Notre table était un bazar créatif avec de la bouffe, des miettes, nos carnets, tampons… nous avons toute dessiner notre repas et bien sûr j’ai fini par manger froids mais c'est pour la bonne cause : le desssin !
Ensuite avec la soeur, on a rejoins notre appart pour déposer nos affaires, nous étions dans le centre de Lille et, c’était après coup, ultra pratique. Lucille est allée au QG nous chercher des badges avant qu’il y en ai plus. Nous l’avons rejoins sur la place du théâtre et nous avons dessinées. Et j'ai le bonheur/ malheur de me faire chier dessus par un pigeon. Voici un petit dessin du moment :
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Le lendemain, (samedi 4 juin) nous sommes restées dans le vieux Lille pour dessiner les façades et les jolies maisons. J'ai changé de sujet en cours de route car l'architecture et moi c'est une histoire d'amour et de haine. On s'est nourri de donuts bien dodue (et gras) et de crêpes salées. Il faisait très beau et très chaud ! On a profité pour faire quelques emplettes (coucou la pince Corgi) et nous avons beaucoup, beaucoup marché. En fin de journée nous avons rejoins un petit groupe de copine pour croquer vers la porte de Gand. Et puis il fallait vite rentrer se préparer pour aller à la soirée prévue pour la rencontre : un repas à l'OMNIA, anciennement un cinéma porno (oui, oui !). Nous étions sur des tables rondes entre nous et nous avons bien rigolé et racontés nos journées ! Par contre repas uuuuuultraaaaa long et nous avons crevé de chaud. Déçue car il devait y avoir des surprises qui ne sont jamais arrivées.
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En sortant c'était l'apocalyspse, une drache de fifou. On a couru avec Vinci jusqu'à notre logement.
***
Le dimanche 05/06, nous avons réservé un brunch dans le café/boutique du musée d'histoire naturelle, ambiance cabinet de curiosité.
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Nous avons été rejoins par d'autres USK et nous avons mangé tous ensemble. L'espace proposait également des produits à la vente et j'ai trouvé une bague en pyrite et du thé que j'avais consommé et trouvé très très bon. Après s'être fait péter le bide, nous avons été dessiner dans le musée, qui était gratuit (1er dimanche du mois). Malheurs à nous car beaucoup beaucoup de monde et surtout des gosses. Mais j'ai trouvé un petit coin où j'ai pu dessiner tranquillement. Après quelques heures (en sueur & mal de crâne) de dessin, nous sommes partis pour aller voir la maison "art déco" et retourner au QG pour faire tamponner les carnets. Nous sommes arrivés in extremis avant qu'ils pleuvent. Vinc et moi on s'est tapés nos meilleurs gaufres salés et ensuite, malgré la fatigue, nous sommes allés au point de rendez-vous des carnettistes. Effusion, création, inspiration. J'en ai pris pleins la tronche !! J'ai fait la connaissance par ailleurs d'un timide dessinateur à l'humour bien trempé qui nous a rejoins à table et nous avons parlé, bouffé comme jaja des falafels et surtout parlé dessin.
Notre dernier jour à lille a été fun et un peu sous la pluie. Nous avons brunché à l'ARA café et ensuite direction Roubaix en tram pour aller dans un parc où il y a la race de poules et de coqs en liberté ! C'était très étrange et drôle d'avoir ce mignon parc remplis de volaille ! Nous avons mangé vers 15h dans une petite brasserie et j'ai eu la joie de regoûter à mon plat favoris du nord : filet americain.
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Ensuite, nous sommes revenus à Lille et nous avons déambullés pour trouver un spot de dessin. J'ai croqué ce guitariste fort sympathique.
Nous avons repris le train le lendemain matin avec ma soeur chacune de son côté et repris le cours de nos vies.
Si tu as lu jusque là, bravo tu es téméraire, j'aime ça, tu gagnes une carte postale de ton choix sur mon etsy. Ecris-moi un commentaire !
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dixvinsblog · 4 days
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Les blagues de Sale Gosse 
“Flic : pince sans rire.” Guy-Guy Bouzoune Un locataire décide de refaire son appartement. Il commence à prendre les mesures pour savoir combien de rouleaux de papier-peint acheter, mais il s’y perd. Et tout à coup, il se souvient que son voisin du dessus, qui a exactement le même appartement, a refait le sien trois mois plus tôt. Il monte le voir et lui demande :– Combien de rouleaux de dix…
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La Malédiction : L'Origine
Margaret est une jeune nonne américaine envoyée dans un couvent/orphelinat de Rome, où elle retrouve un cardinal rencontré quelques années plus tôt dans l’orphelinat où elle a grandi. Alors que des événements mystérieux se produisent, dans ce Rome des années 1970 en proie à de vives contestations des jeunes Italiens face aux pouvoirs religieux. Ainsi, Margaret doit mener l’enquête et lutter face à une conspiration qui cherche à mettre au monde l’Antéchrist.
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La Malédiction : L’Origine fonctionne très bien dans l’ambiance gothique qu’il renvoie, capturant à la fois l’époque du film (les années 1970) et la mystique autour de la thématique religieuse. Ainsi, les décors et la présence de pas mal de figurants rendent le film vivant et nous font plonger dans ce Rome en pleine manifestation. Il y a comme quelque chose de palpable dans ce que l’on voit, et l’aspect sépia et le jeu de lumière, en plus d’être agréables visuellement, renforcent l’atmosphère et servent l’aspect horrifique du film. Le cold opening nous place d’entrée dans ce que l’on cherche : trouver la mère de Damian et rattacher les wagons avec le film de Donner) : ainsi Margaret se transforme en enquêtrice, sa qualité de nonne sert principalement au contexte de ce genre de film. Elle fait face à des personnages stéréotypés, apportant chacun leur fonction sans jamais être développés : la colocataire-nonne portant la charge érotique, rappelant brièvement la nunsploitation, les jeunes hommes rencontrés en boîte de nuit pour la scène classique de libération de Margaret qui est plutôt une pince-sans-rire, la mère supérieur qui est froide, stricte et parfois cruelle avec les enfants ou une autre nonne qui est dévouée au point de se sacrifier quand elle comprend qu’elle n’est pas l’élue. Tout est cliché, mais fonctionne dans le sens où le film se regarde facilement et nous divertit suffisamment pour nous faire poursuivre le visionnage. Évidemment comme tout film d’enquête, des fausses-pistes nous sont lancées pour nous distraire mais à mon sens l’histoire n’est pas assez intelligente pour que l’on se fasse prendre par ces faux-semblants. N’en reste pas moins la dernière demie-heure où tout se dévoile, monte dans les tours et révèle le plan satanique avec la grossesse de Margaret qui est révélée, suite à son viol. Là encore l’aspect rite satanique est un peu cliché mais la scène est plus qu’efficace tant dans son aspect esthétique que dans le lore visuel emprunté.
La Malédiction : L’Origine ne révolutionne en rien le genre ni les poncifs, mais a l’énergie et la volonté d’apporter un propos actuel dans une histoire qui se déroule dans les années 70. Ainsi, ce qui n’a pas fonctionné pour moi est l’approche de préquelle d’un film qui sortit il y a cinquante ans (La Malédiction, Richard Donner, 1976) : on commence l’histoire en sachant que l’enquête de Margaret est voué à l’échec, car nous savons que cet antéchrist existe. Le point de vue technique pêche un peu dans la volonté de monter en tension, à cause d’une forte stagnation du scénario sur la partie centrale du film. Mais la dernière grosse séquence fonctionne à merveille et le travail de la pellicule dans son grain, les cadrages et sur-cadrages et le production design sont aux petits oignons. Les prosthétiques utilisées et l’imagerie autour du Diable fonctionnent à merveille. D’un point de vue thématique, le film est très actuel en montrant les institutions religieuses qui sont aux abois, cherchant à pactiser avec le Diable pour faire face au rejet des jeunes générations et à leur perte de pouvoir. Ce rejet de l’emprise de la religion est fort, car l’histoire est à Rome, berceau du catholicisme : que faire quand on ne séduit plus les jeunes, que faire face à la perte de pouvoir ? Le fait de faire adopter Damian, l’antéchrist, par une famille américaine pour qu’il devienne le Président (selon les dires et les espoirs des membres de cette conspiration) de la première puissance mondiale rejoint cette volonté de reprendre le pouvoir et de le transférer dans un autre secteur, moins conventionnel que la religion, mais pourtant plus puissant en termes d’impact.
Dans une approche féministe, le film, évidemment, montre le poids des autorités sur le corps des femmes, leur consentement et la recherche de sororité dans une institution qui, bien que constituée de femmes, isole. Ce qui est intéressant de voir est l’approche de ce contrôle du corps de la femme et de la grossesse imposée entre Immaculée et La Malédiction: L’Origine, sortis à deux semaines d’écart. En effet, Immaculée a un parti-pris très terre-à-terre quant à la grossesse qui est le fruit de la science et montre ladite grossesse droit dans les yeux, montrant le corps de Cecilia se modifier. Le film est aussi plus cru dans son approche sur le post-accouchement : Cecilia tue le nouveau-né. La Malédiction : L’Origine repousse l’approche corporelle de la grossesse, qui dans son aspect surnaturel se fait voir dans les derniers instants quand le ventre se gonfle d’un coup : le film préfère garder cette image de la nonne qui enquête, toujouts habillée, austère au final. On rejoint alors l’imagerie proposée récemment par les films La Nonne de l’univers Conjuring où l’on repousse la charge sexuelle de la nunsploitation pour proposer une vision très puritaine de cette image tant fantasmée. Là où Immaculée est radical en tuant le fruit du viol, La Malédiction : L’Origine montre Margaret embrasser son rôle de mère en sauvant un des deux jumeaux, la fille qui allait être tuée par sa raison de femme, et s’enfuir avec, entrer dans un mode survivaliste, cachée au fin fond des montagnes pour échapper à la vendetta menée contre elles, car, maintenant que son but en tant que femme est accompli (mettre au monde un enfant), elle ne sert plus à rien. Garder l’enfant lui permet de s’imposer, d’une manière moins radicale qu’Immaculée, et dire qu’elle existe et refuse de se laisser cantonner à l’assignation que le corps religieux lui impose. La Malédiction : L’Origine va plus loin aussi que les classiques du genre comme Rosemary’s Baby où Rosemary reste dans la conspiration pour materner, accepte son sort dans la soumission totale.
La Malédiction : L'Origine (The First Omen) de Arkasha Stevenson 2024 — 10 avril 2024 en salle en France États-Unis
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feathery-dreamer · 3 months
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Calligrammes (dessin avec des mots) et sketches dessinés lors de l'atelier artistique du centre de psychologie. La transcription des calligrammes suit. [lien DA] Le "FRICKED" est une vieille mème que j'avais en tête de dessiner depuis des mois. [lien DA] Les yeux du chat sont très différents, j'ai toujours eu des difficultés avec la symétrie. Je crois que j'étais aussi embrouillé par le motif noir cachant le contour à gauche. [lien DA]
Calligrams (drawing with words) and sketches drawn during the therapy center's art workshop. The calligrams' transcription follows. The "FRICKED" is an old meme I'd been thinking of drawing for months. The cat's eyes turned out very uneven, I always struggle with symmetry. Think I was thrown off by that black pattern concealing the outline to the left, too.
*ahem*
premier thème: AMOUR BRISE Ma Déméter Aux mèches blondes Yeux bleus Lèvres pulpeuses Cou bref Epaules qui retombent mais Du marbre dans l'âme Glacée dans le coeur. ~~~~~~
first theme: BROKEN LOVE (heartbreak) My Demeter With blonde locks Blue eyes Pulpy lips Brief neck Drooping shoulders but Marble in the soul Icy in the heart. ------
second thème: ANIMAL - scorpion Corps galbé en segments Pattes délicates (d'ici je vais aller vers l'avant puis l'arrière) Tête discrète Pinces sans rire Pour bien tenir Gracieuse queue à venin ~~~~~~
second theme: ANIMAL - scorpion Bulby body with segments Delicate legs (from here I’ll go forward then backward) Discreet head Serious pincers (this is a pun, “pinch-without-laughing” means using humor whilst staying deadpan) To hold well Gracious tail with venom ------
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antoinegragnier · 3 months
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Gaming et Narration : L'Art de Raconter des Histoires dans les Jeux
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Lorsqu'on parle de jeux vidéo, on a souvent tendance à penser directement aux hautes performances graphiques et à la compétition. Pourtant, le gaming a bien plus à offrir. C'est un art qui nous transporte dans des univers incroyables, où l'on peut vivre des histoires captivantes d'une richesse que seul le medium du jeu vidéo peut proposer. Oui, mes amis, je parle bien de l'art de raconter des histoires dans les jeux, c'est le sujet passionnant que nous allons explorer aujourd'hui.
L'immersion narrative dans les jeux
Contrairement aux livres ou aux films où la participation du spectateur est passive, les jeux vidéo offrent une interaction incomparable. Ici, chaque joueur est acteur, chaque décision prise influence le déroulement de l'histoire. Les pnj (personnages non jouables) que vous croisez, les choix que vous faites, même les dialogues que vous choisissez, tout cela ajoute une profonde touche personnelle à votre histoire. Un excellent exemple de cela est le jeu narratif « Life is Strange », où chaque choix peut avoir des conséquences désastreuses et irréversibles.
Le rôle des personnages
Dans le domaine des jeux vidéo, les personnages jouent un rôle majeur dans la narration. Leurs personnalités, leurs dialogues et leurs actions contribuent à nous captiver et à nous attacher à eux. Par exemple, dans la célèbre série de jeux « The Witcher », le personnage principal Geralt de Riv est connu pour son humour pince-sans-rire et ses rencontres fascinantes avec diverses créatures de la mythologie slave.
Le pouvoir de la musique
Qui peut oublier la musique épique de "Final Fantasy" ou l'air nostalgique du thème de "Zelda"? Ces mélodies restent gravées dans nos mémoires, évoquant de forts souvenirs émotionnels. Elles jouent un rôle important pour renforcer la narration, créer des ambiances spécifiques et même signaler des événements importants.
Conclusion
Finalement, il est essentiel de souligner que l'art de raconter des histoires dans les jeux ne s'arrête pas à la narration linéaire. Les jeux offrent également des formes narratives émergentes, où l'histoire est créée par les joueurs eux-mêmes à travers leurs actions. Des jeux tels que "Minecraft" ou "Skyrim" vous permettent de construire votre propre aventure et de raconter votre propre histoire. C'est ce qui fait des jeux vidéo une forme d'art unique en son genre. Ainsi, le gaming et la narration vont de pair, enrichissant notre expérience de jeu tout en élargissant les horizons de l'art de la narration.
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christophe76460 · 5 months
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RÉVÉLATION DIVINE DE L'ENFER, Par Marie Baxter
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18. VISIONS OUVERTES DE L'ENFER
Le Seigneur dit :<< Cette vision est pour l'avenir et elle arrivera surement, Mais Je reviendrai pour racheter Ma Nouvelle Mariée, Mon Église et ils ne verront pas mon arrivée. Réveillez Vous, Oh Mon Peuple Je sonne l'alarme aux coins de la terre, Car Je reviendrai comme Ma Parole l'a dite>> Je vis le serpent ardent qui était dans le bras droit de L'enfer, Jésus dit :<< Viens voir ce que L'esprit dit au monde.>> Je vis les cornes du serpent ardent entrer dans les corps des gens sur la terre.
Beaucoup furent possédés complètement par le serpent. Comme je regardai, je vis une énorme bête surgir d'un grand endroit et se transformer en un homme. Les habitants de la terre fuyaient loin de lui, certains dans le désert, certains dans les grottes et certains dans les stations de métro et les abris de tombe. Ils cherchaient n'importe quel abri pour se cacher aux yeux de la bête. Personne ne louait Dieu ou ne parlait de Jésus. Une voix me dit, << OÙ ES MON PEUPLE>> Je regardai de plus près et vis des gens comme les hommes mort-vivant. Il y avait une tristesse désespéré dans l'air et Personne ne se tournait ni vers la droite ou vers la gauche. Je vis que les gens étaient dirigés par certaines force invisibles.
Parfois une voix venant de l'air leur parlait et ils obéissaient à la voix. Ils ne se parlaient pas l'un à l'autre. Je vis aussi que le nombre << 666 >> était écrit sur le front de chacun et sur leur mains. Je vis des soldats sur les chevaux rassemblant les gens comme s'ils étaient le bétail. Le drapeau américain, en loques et déchirés,se trouve sans espoir sur la terre. Il n'y avait aucune Joie, aucun rire, aucun bonheur. Je vis la mort et le mal partout. Les gens marchaient les uns derrière les autres dans un grand magasin. Ils traînaient le pas comme des soldats découragés et étaient habillés de façon identique dans un type d'habit de prison. Une clôture entourait le magasin et les gardes étaient postées ici et là. Partout ou Je regardais, Je ne voyais que des soldats dans leurs uniformes de combat. Je vis que ces gens qui ressemblaient aux zombies étaient conduit dans le magasin, où ils pouvaient seulement acheter le strict nécessaire. Aussitôt que chacun avait terminer ses achats, ils étaient placé à bord d'un grand camion militaire vert. Le camion, bien gardé, était alors conduit dans un autre endroit. Ici, dans un genre de clinique, ces gens étaient examinés pour le dépistage de maladies transmissibles ou des handicapés estropiant. Un petit nombre d'entre eux étaient déplacé dans un coin comme des rejettes. Ceux-là qui avaient échoué l'examen étaient pris dans une autre pièce.
Dans cette pièce, une matrice impressionnante d'interrupteurs, de boutons et des Jauges longeaient un mur entier. Une porte s'ouvrit et plusieurs techniciens entrèrent. L'un d'eux commença à appeler les noms des gens dans la pièce. Sans aucune opposition, ils se levèrent quand leurs noms étaient appelés et ils se dirigeaient dans une grande boîte. Quand ils étaient à l'intérieur, un autre technicien fermait la porte et tirait un interrupteur sur le panel qui était sur le mur. Quelques minutes plus tard il ouvrait la porte, prenait un balai et balayait ce qui restait de ces gens du sol. Rien de plus qu'un peu de poussière restait de ce qui fut une fois une pince pleine de personnes ! Je vis ces gens qui avaient passé l'examen médical être remis dans le même camion et conduit à un train. Personne n'avait parlé ou même tourné la tête pour regarder une autre personne. À un bâtiment, chaque personne avait été allouée un emploi. Eux tous allaient travailler sans aucune dispute. Je lès regardais travailler très dur à leurs tâches, et à la fin de la journée ils étaient conduit à un appartement entouré d'une haute clôture. Alors, chacun se déshabillait et allait au lit.
Demain ils travailleraient encore dur. J'entendis une grande voix remplir l'air nocturne. Je vis une bête énorme qui s'assit sur un grand trône. Tous le monde obéissait à la bête. Je vis des cornes Spirituelles grandissant de sa tête. Elles grandirent Jusqu'à arriver sur chaque endroit de la terre. La bête se donna plusieurs positions d'autorité et plusieurs fonctions et il devint puissamment grand. La bête s'éleva dans plusieurs endroits et trompa beaucoup de personnes. Les riches et les célébrités avaient aussi été bien trompés comme les pauvres et privés du droit électoral. Petit et grand payaient hommage à la bête. Une grande machine avait été amenée dans un bureau. La bête mis sa marque sur la machine et sa voix sortait de cette machine. Il y avait aussi un << Grand frère >> machine qui pouvait voir dans les maisons et les entreprises. Une seule machine de ce genre existait et elle appartenait à la bête. La partie de la machine qui se trouvait dans les maisons des gens était invisible à l'œil nu, mais elle pouvait Vraiment informer la bête de chaque mouvement effectué par ces gens. Lorsque la bête tourna son trône dans l'autre sens, faisant face à moi, sur son front était inscrit le numéro 666, Je regardai encore et cette fois ci, Je vis qu'un autre homme dans un autre bureau devient très furieux contre la bête. Il demanda à parler avec lui, il hurlait à haute voix. La bête apparu et semblait très courtois Lorsqu'il dit:<< Viens, Je peux vous aider à vous occuper de tous vos problèmes.>> La bête pris l'homme fâché dans une grande pièce et lui fit signe de se coucher sur une table. La pièce et la table m'ont rappelé une pièce d'urgence d'hôpital. L'homme fut anesthésié et poussé au dessous d'une machine vaste. La bête attacha des fils à la tête de l'homme et alluma la machine. Sur le sommet de la machine étaient inscrit les mots << Cette gomme de l'esprit appartient à la bête, 666. >>
Quand l'homme fut enlevé de la table, ses yeux avaient un regard vacant et ses mouvements me rappelaient ceux d'un zombie dans un film. Je vis un grand endroit blanc sur le sommet de sa tête et Je su que son esprit avait été de manière chirurgicale changé afin qu'il puisse être contrôlé par la bête. La bête lui dit :<< Maintenant, monsieur, ne vous sentez vous pas mieux, ne vous avais-je pas dit que Je pourrais m'occuper de tous vos problèmes, Je vous ai donné un nouvel esprit, vous n'aurez aucune inquiétude ou problèmes maintenant.>> L'homme ne broncha pas. << Vous obeirez à chacun de mes ordres >> dit la bête, comme il ramassai un petit objet qu'il attacha à la blouse de l'homme. Il parla de nouveau à l'homme et il répondu Sans déplacer ses lèvres. Il bougea comme un mort vivant. La bête dit:<< Vous travaillerez et ne deviendrez pas furieux ou énervé, vous ne crierez non plus ou ne serez tristes. Vous travaillerez pour moi Jusqu'à ce que vous mouriez, J'ai beaucoup comme vous que je contrôle. Certains mentent, certains tuent, certains vol, certains font la guerre, certains ont des enfants, quelques-uns diriges des machines et certains font d'autres choses. Oui, je contrôle Tout.>> Un rire diabolique est sortit de lui. L'homme fut donné des papiers pour signer. Il donna avec Joie toutes ses affaires à la bête. Dans ma vision Je vis l'homme quitter le bureau de la bête, arriver dans une voiture et aller à la maison. Quand il approcha de sa femme, elle essaya de l'embrasser, mais il ne fit aucun geste pour répondre. Il n'avait aucun sentiment pour sa femme ou pour qui que ce soit. La bête l'avait rendu incapable de ressentir aucune émotion. Sa femme devint très furieuse et cria à son mari, mais sans aucun résultat. Finalement elle dit :<< Bien, J'appellerai la bête, il saura quoi faire.>> Après un coup de fil, elle quitta la maison et conduisit au même bâtiment que son mari venait de quitter. La bête l'accueillit à l'intérieur et dit:<< Racontez moi tous vos problèmes. Je suis sûr que Je peux vous aider.>> Un homme très élégant la pris par le bras et l'amena à la même table sur laquelle son mari avait été allongé plus tôt. Après la même opération, elle aussi devint un esclave dépersonnalisé de la bête. J'entendis la bête lui demander,<< Comment vous sentez vous,>> Elle répondit qu'âpres qu'il ait attaché un petit objet à son chemisier. Alors elle admit qu'il était le maître et le seigneur et commença à l'adorer. La bête dit :<< Vous serez un éleveur, Vous aurez des bébés parfaits et ils m'adoreront et me serviront.>> La femme répondu dans une voix robotisée :<< Oui, maître, J'obeirai.>> Je vis encore la femme, cette fois ci elle était dans un autre bâtiment. Il y avait beaucoup de femmes enceintes là. Les femmes étaient couchées inanimées sur leurs lits et dans de tons monotones louaient la bête. Tous avaient 666 sur leurs fronts. Quand leurs bébés naissaient, ils étaient pris dans un autre bâtiments où les infirmiers dont l'esprit avaient été changés avaient pour tâche de les élever. Les infirmièrs avaient aussi 666 sur leurs fronts.
La bête grandi en Pouvoir jusqu'à ce que son empire s'étendit à travers la terre. Les bébés grandirent et à un certain temps, furent aussi placés en dessous de la machine qui détruit l'esprit. Ils adorèrent la bête et son image. Mais la machine n'avait aucun pouvoir sur les enfants de Dieu. J'entendis la voix du Seigneur Jésus dire :<< Ceux-là qui adoreront la bête et son image périront. Beaucoup seront trompés et tomberont, mais Je sauverai Mes enfants de la bête. Ces choses surviendront à la fin des temps. Ne prenez pas la marque de la bête. Repentez Vous maintenant avant qu'il ne soit trop tard. La bête s'appellera un homme de paix. Et il apportera la paix à beaucoup de nations dans un temps très chaotique. Il sera capable de fournir au monde beaucoup de marchandises bon marchés et il assurera que la paix ou le salaire de tout le monde soit suffisant. Il fera une alliance avec beaucoup des nations et de grands hommes du monde le suivront dans un faux sens de sécurité, Avant ces temps J'élèverai une armée de croyants qui se tiendront pour la Vérité et pour la droiture. L'armée Puissante dont Joël parlait, entendra Ma Voix du lever au coucher du Soleil.>> << Aux heures nocturnes aussi ils entendront Ma Voix et ils me répondront, ils travailleront pour Moi et ils courront comme les hommes Puissants de Guerre. Ils feront de grands travaux pour Moi, Car Je serai avec Eux.>> Toutes ces choses m'ont été révélées par le Seigneur Jésus-Christ dans une vision ouverte.
Celles-ci sont les Parole de sa bouche et ils concernent la fin des temps. Jésus et moi étions rentrés à la maison et Je méditais sur toutes les choses qu'IL m'avait montrées et m'avait dites. Sur ce, Je m'étais endormi en priant pour le salut de toute l'humanité.
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