Je vous avais parlé du nouveau prof d'anglais qui, depuis la rentrée, est hyper avenant et sympa avec moi et que personne ne sait s'il aime les hommes mais que tout le monde a des doutes (x) du coup je lui ai écrit en lui proposant un café et il m'a répondu "if I have to we can meet for coffee" ?????? comment ça "if i have to" le mec il croit que je vais l'obliger mais il est zinzin ou quoi
49 notes
·
View notes
bro algún día van a enterarse los argentinos chetos de la tremenda poronga que es punta del este y de que hay ochenta mil lugares mejor/iguales y más baratos para hacer playa?? Lit no tiene nada de especial, igual banco que encierren a un montón de chetos en un mismo balneario y se dediquen a matarse entre ellos borrachos y a perder plata porque les cobran el triple por todo, son los juegos del hambre de la clase media alta
31 notes
·
View notes
Pour être très claire, sans être sarcastique, aimer analyser des médias, ça ne veut pas dire détester des choses simples, qui ne se veulent pas plus profondes que ça. La qualité d'un média ne se juge pas à sa profondeur mais (selon moi) à son efficacité à transmettre quelque chose.
Je n'aime pas Proust parce que c'est super profond, j'aime Proust parce que c'est aussi émouvant que drôle. Le message de Proust, il est ultra simple : l'art seul nous survivra. C'est tout. Ce qui est intéressant à analyser, c'est le style, la façon dont il dépeint ses personnages, la narration etc mais le message en lui-même, il se résume en une phrase.
Il m'arrive de détester des œuvres qui sont plus "intellectuelles" (ou qui prétendent l'être) et qui ne me parlent pas, parce que le message est mal transmis, il est trop lourd, trop "intello" justement. C'est un reproche que je fais parfois à Nolan : je ne déteste pas ses films mais je trouve que parfois, il les complexifie pour rien, pour "faire intelligent" alors qu'en soi, le propos en lui-même est intéressant mais se perd un peu dans la mise en scène, typiquement Tenet (et même parfois Oppenheimer). À l'inverse, j'aime beaucoup Lynch, parce que même si ses films ont l'air absurde, l'émotion est vivante, presque violente, t'as soudain une scène où tu es ému sans avoir besoin de tout comprendre (la scène du Silencio dans Mulholland Drive...) La narration est étrange, complexe mais l'émotion est brute.
J'adore Prévert, qui préfère la simplicité, parce que ses poèmes sont efficaces dans ce qu'ils veulent dire, et ça ne les empêche pas d'avoir du sens, d'être forts, d'être mémorables. "Barbara", ça dit que la guerre, c'est mal, point. Ce qui est intéressant, c'est les rimes, les sonorités, et l'impression d'avoir un texte ultra simple qui est en réalité très intelligemment construit.
Analyse profonde =/= simplicité de l'œuvre, et c'est pour ça que dire qu'un film populaire "qui ne se prend pas la tête" n'a pas besoin d'être analysé est une absurdité. Les meilleures comédies sont ultra malines, dans l'écriture, le rythme, le propos, il faut vraiment comprendre ce qu'est l'humour pour écrire quelque chose de drôle. Kaamelott, c'est très intelligent, les Inconnus, c'est très intelligent, Key and Peele sont des génies.
Pareil pour les films d'action : les meilleurs sont chorégraphiés, réfléchis, des gens dont c'est le métier se prennent vraiment la tête pour que ce soit bien rythmé, alors, non, non, on va analyser les Avengers comme on analyse À la recherche du temps perdu, avec la même rigueur et la même exigence, merci bien.
70 notes
·
View notes