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nsaauzf6mdk7 · 1 year
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direct-actu · 2 months
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Yurt de la poésie entre deux moments perdus
La vie d’Ahmet à l’image de la complexité de la Turquie est à la fois laïque et religieuse. Le réalisateur Nehir Tuna arrive à proposer un film poétique et dur. Ici, l’exploitation du noir et blanc n’est pas futile, symbolisant la dualité oppressante, en opposition à la couleur, qui marque la résilience, la découverte des désirs. Yurt est à l’image d’une nation, d’un pays coupé en deux, au…
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levoleurdimages · 2 months
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Yurt de la poésie entre deux moments perdus
La vie d’Ahmet à l’image de la complexité de la Turquie est à la fois laïque et religieuse. Le réalisateur Nehir Tuna arrive à proposer un film poétique et dur. Ici, l’exploitation du noir et blanc n’est pas futile, symbolisant la dualité oppressante, en opposition à la couleur, qui marque la résilience, la découverte des désirs. Yurt est à l’image d’une nation, d’un pays coupé en deux, au…
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Dental Implants: An Affordable Tooth Replacement Solution
After placement the teeth implants are left to heal for 3-6 months. Once healed, a post is attached over the implant over which an artificial tooth is fixed.
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sloubs · 1 year
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spoiler alert les trois mousquetaires !!!!!!
pio marmaï qui endosse le rôle du bisexual king oui merci beaucoup pour ma vie
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ekman · 1 year
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Bien sûr, il est probable que nous tomberons plus bas encore. C’est même une évidence. Mais nous atteignons en ce moment précis un point intéressant dans la chute. À écouter l’ensemble des experts de plateau-téloche, à lire les pointures qui fourmillent sur les blogs géo-stratégiques, c’est une évidence : les Russes sont à genoux. On ne sait pas si ce sont les 24 chars Leopard ou les 8 Leclerc qu’on va leur prêter, mais sûr qu’ils vont bientôt rendre gorge et l’immonde Vladimir sera trainé dans le box des accusés d’une énième Cour pénale internationale en carton-pâte, où l’on pourra tranquillement prendre son tour de cou en vue d’un châtiment équitable. Qu’on fasse les comptes, nom d’un pope en plâtre ! Massacres de civils ukrainiens ou assimilés, certes compensés par l’exhibition nonchalante de leurs cadavres au devant des caméras du monde, exécution des combattants de la liberté grossièrement baptisés “mercenaires” par la Pravda, tortures sur des chats et même sur quelques chiens jaunes et bleus, rapt et déportation d’enfants sur le mode turco-argentin, conquête territoriale contre la volonté de moins d’un quart de la population concernée... Si ça c’est pas des fauteurs de guerre et des assassins professionnels, je veux bien endosser la responsabilité d’avoir percé les tuyaux du gaz.
Et avec tout ça, les Russes prennent les villes imprenables, grignotent, bombardent, grignotent encore, bombardent toujours et voilà : ils avancent. Oh, certes au prix de morts et d’amputés innombrables, mais ils s’en foutent, ce sont des Russes. Un coup de vodka sur la plaie, un autre dans le gosier, un sparadrap et hop, de retour sur le front, sans casque ni gilet pare-balles. On est comme ça chez les cosaques : rustres et durs à la peine. Du coup, sur les plateaux-téloche, ça perd un peu le fil du narratif poussif pondu par le service de presse de la Grande Alliance Atlantique :
“Oui, bien sûr, Stéphane, c’est évident que les assassins et les violeurs recrutés au goulag par Prigojine ont la part belle dans cette affaire puisque l’Europe tarde tant à envoyer ses chars !”, insiste l’argousin de service. “Oui, malgré les efforts d’Ursula von der Leyen, force est de constater que les coups de freins répétés de certains pays proches du Kremlin – comme la Hongrie, mais est-il encore utile de les citer – gênent la prise de décision de partenaires bien plus engagés sur la route de la défense des valeurs de la démocratie européenne, comme la Pologne ou l’Allemagne”, envoie le plumitif en second. “Oui tout à fait Stéphane, et n’oublions pas de rappeler le rôle trouble – pour ne pas dire équivoque – de la Turquie du néo-pacha Erdogan qui oppose son véto à l’ouverture de l’Otan à la Suède pour des raisons de basse politique. On a du mal à croire que le même Erdogan a été activement soutenu par les secouristes de l’Union Européenne lorsque récemment, son pays a été touché par des séismes. Peut-on parler d’ingratitude ? Au vu de son inflexibilité relative à la question kurde – une question qui relève des droits de l’homme, rappelons-le –, c’est sans doute possible.” Sur le plateau, six têtes de cons acquiescent. Là-bas, ailleurs, sur les radios, dans les journaux de la presse capitaliste subventionnée (qui l’eût cru ?), sur tous les canaux de la lucarne hertzo-câblée, le mot d’ordre est unique, catégorique et général : vaincre... le discernement !
Je fais confiance à la piétaille médiatique et à ses cohortes de supplétifs autorisés. Ce sont les révélateurs zélés du recul définitif de la composante intellectuelle du discours public. Le petit peuple, crédule, le cul ouvert par vocation, approuve tout en buvant son Coca. Les bourgeois – toujours prompts à se chier dessus – sont partants pour toutes les compromissions : “donnons-leur ce qu’ils demandent, nous gagnerons du temps !”. Même s’ils veulent votre semblant de liberté putative ? Vos illusions libérales ? Vos enfants wokisés ? “Mais oui, bien sûr ! Prenez tout ! Et pendant qu’on y est, remplacez-nous !” Affligeant, dégueulatoire, sans appel. Ne seriez-vous pas mieux dans un placard, entre la planche à repasser les Institutions, à côté de la macine à laver le linge sale, à l’abri des Lumières enfin éteintes et avec dans les oreilles la rumeur atténuée des prières du muezzin ? 
Gueux éborgnés et notables dépossédés, pseudo-paysans et cadres au labeur domiciliaire, imbéciles endettés sur 25 ans ou déjà faillis à cinquante piges, fils de la rente plate ou pères du néant générationnel, le même vide, la même peur vous rassemble. Cette Trouille défécatoire, c’est celle du vide qui vous habite, la lumière crue du frigo vide, l’indigence du sapin sans cadeaux, la fin de non-recevoir du Monop’ rideau baissé. Tout file entre vos doigts : la santé, la sécurité, l’emploi, le revenu, le retraite, le cul, le carbone... Tout calanche ! Tout disparaît dans les cris d’orfraie et les moues indignées ! Pas de lendemain, plus de coq pour chanter l’aurore nouvelle et la France éternelle ! Bande de cons écouillés ! Cocus de basse-cour ! Depuis sa fusée, Elon Musk vous tweete que vous ne serez plus jamais censurés ! Vive la liberté, vive l’Union Européenne, niet pasaran ! J.-M. M.
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L'amant tantrique :
"L'amant tantrique, c'est d'abord l'amant, c'est-à-dire l'homme amoureux, en désir et en relation avec sa partenaire. L'amant, c'est l'homme qui aime la femme dans ce qu'elle a de plus précieux, qui est passionnément en relation en relation avec celle qu'il désire et qu'il comble, qui est totalement présent à elle et qui accueille avec amour le don de soi que lui fait cette femme, elle qui lui offre la part la plus secrète et la plus sacrée d'elle-même. L'amant, c'est aussi le plaisir, le plaisir de la fête des sens, de la puissance virile que l'on sent dans son sexe et ses reins, et ce plaisir s'exprime dans cette rencontre avec la femme.
Mais dans l'aspect tantrique, il y a autre chose que la rencontre des corps, ou la rencontre inconsciente des cœurs. Il y a aussi ce sentiment initial, souvent inconscient chez l'homme, que le désir qui le pousse vers la femme, qui le porte vers cette rencontre, relève de quelque chose qui le dépasse. Il sent profondément au fond de lui-même que la femme comporte la deuxième moitié de l'histoire, la deuxième moitié de l'Un, et que, ensemble, lui et elle peuvent atteindre l'union, le Un.
Mais comment devenir amant tantrique ? (...) Il s'agit alors de combiner habilement la puissance virile, la force mâle, qui est celle du courage, de la vitalité, de l'audace, du lion sauvage, avec la relation qui est écoute, ouverture du cœur, sensibilité à l'autre. C'est donc un mariage du yang et du yin, dont la notion de "présence" est peut-être la meilleure synthèse. Un homme est présent à sa compagne lorsqu'il est à la fois dans cette puissance et dans cette écoute, lorsqu'il s'ouvre à sa force virile tout en suivant le tempo de sa partenaire, tout en étant relié à son cœur.
Alors une alchimie s'effectue, la femme s'abandonne à sa féminité qui est ouverture et accueil. Elle rend alors l'homme encore plus homme, et l'homme en la pénétrant de son amour et de sa puissance, la rend encore plus femme. Ainsi, tous les deux se polarisent, deviennent encore plus homme et femme. Ils quittent progressivement les habits de leur ego, de leur moi, pour endosser les archétypes de l'homme et de la femme, de Shiva et Shakti dans la mythologie tantrique. En s'unissant, ils deviennent Dieu, ou plus exactement, ils célèbrent et vivent la présence Divine en eux."
~ Jacques Ferber
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claudehenrion · 2 months
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Et le fautif est...
Nous vivons tout de même une époque fantastique : toute seule et sans que personne ne lui ait rien demandé, elle arrive à endosser et à sublimer la totalité des défauts qui ont empêché, à travers les âges, l'humanité de trouver sa place, son équilibre, son identité... donc son bonheur ! Notre monde est peuplé --et il en meurt, d'ailleurs-- de surdiplômés qui prétendent se rêver paysans, de gens assis qui se veulent aventuriers, de donneurs de leçons qui croient se substituer aux écoliers, et –ce sont les mêmes !-- de nuls qui se pensent intelligents ! (''J'ai les noms''... ajoutait Coluche !).
Combien de fois l'avons-nous entendu, ce fabricant de poncifs qui pollue nos petits écrans en discourant avec autorité sur absolument tout ce qu'il ignore tout aussi absolument ? Il est là, poussah assis comme sur un trône, faisant l'éloge conjoint (à écrire en deux mots, ici !) de la marche et du mouvement. Il est bouffi de son savoir ès-toutes choses, au point de se sentir investi du devoir de nous expliquer les charmes de la table rase, du retour aux sources, de la naïveté baptisée vertu cardinale, de la décroissance, s'autorisant même un éloge du farniente, du télé-travail et de la RTT réunis... voire de la guerre préventive contre un ennemi qui pourrait menacer notre long terme, un jour : ''autant --dit-il-- lui déclarer la guerre, là, et mourir tout de suite''...
Les plus malhonnêtes ont poussé le bouchon jusqu'à voter la semaine de 35 heures comme susceptible d'être ''une conquête sociale'' et une victoire du genre humain sur la société... qui 25 ans plus tard, est incapable de se remettre de ce coup fatal... D'autres re-baptisent ''fraternité'' le fait d'assassiner ceux qui ne produisent plus rien pour la société, et ''dignité'' l'abandon de la vie... Jamais autant qu'aujourd'hui n'a-t-on eu le droit d'affirmer que ''les mots tuent''. On se demande même s'il ne faudrait pas dire : ''Les mots, seuls, tuent vraiment...''.
Nos apprentis sorciers imaginent leur savoir si encyclopédique qu'ils se paient le luxe de vanter les bienfaits (?) de l'ignorance et les avantages douteux de ''la page blanche''.... d'où ils vont tirer que le comble du bonheur futur sera dans la grossièreté, la vulgarité promue ''distinction'', la mauvaise éducation devenue agression et récrimination permanente, l'inculture caricaturale... et l'assistanat, incontournable pour les enfants des autres (qu'ils désignent par ''nos enfants'', ceux qu'ils n'ont pas eus, sans qu'il soit possible d'établir le moindre rapport entre les prémisses et la conclusion : leurs syllogismes sont illogiques, et eux, trop bouffis de leur importance auto-proclamée pour pouvoir s'en rendre compte !)
Moins ils comprennent le monde, et plus ils plastronnent : rien de tel qu'un orateur pour expliquer le silence... qu'une pensée architecturée pour décrire l'anarchie... qu'un haut fonctionnaire-à-vie pour expliquer les avantages de l'allocation-chômage... qu'un ex-prix de thème pour vanter les qualités poétiques ou autres du dernier de la classe... qu'un énarque, qui a tout et n'en tire rien, pour déclarer ''bonne'' l'étoile de celui qui n'a rien et en tire ce qu'il peut... ou qu'un démocrate ''façon Science-Po'' pour excuser les dérives survenues très loin de là, ou tout près de lui mais à des gens qui ne sont pas ''du même monde que lui''... ou qu'un exempté de tout service militaire pour rêver d'en découdre avec l'armée russe... Mais la contradiction n'a-t-elle pas toujours fait partie des ''impedimenta'' que l'homme, cet éternel nomade, traînait avec lui ?
Dimanche dernier, sortant de ma messe dominicale chez ''mes'' petites sœurs de Bethléem, je suis tombé sur un ami (une vague ''relation'', plutôt) qui passait par là, par pur hasard, et qui m'a susurré que lui n'entrait plus dans des endroits aussi peu fréquentables qu'une église (sous-entendu : pas comme les idiots qui n'ont pas encore trouvé les bienfaits du ''Non'' –que moi, je ne veux pas connaître : ''à chacun selon ses mérites'', disait Étienne-Gabriel Morelly, ''le philosophe oublié'', dans son ''Code de la Nature'' (1755, donc ''une lumière''), idée reprise en 1840 dans ''Voyage en Icarie'' par Etienne Cabet, théoricien du ''communisme chrétien''(sic ! Le nom, seul, me donne envie de pouffer de tristesse ! Car il y en a eu aussi, des cons, avant nous ! Ça rassure !).
Bref cette autorité morale uniformément reconnue par lui-même m'a abreuvé des poncifs mille fois entendus : notre civilisation est trop hypocrite... notre vieux continent, fichu... le christianisme n'est qu'un souvenir en Europe... qui, elle-même n'est plus qu'un mot, une enveloppe vide. Ne pensant qu'à fuir, je n'ai pas éprouvé le besoin de lui expliquer que pendant qu'il psittacisait ses lieux communs, je pensais à ma joie d'être né dans un lieu où les sagesses gréco-latines (comme lui et moi) et judéo-chrétiennes (pour moi seul l) s'étaient mêlées pour donner naissance à cette idée folle qu'on appelle ''Liberté'', ce concept qui, précisément, lui permet le choix d'entrer ou non dans une église, et –pour moi-- de revisiter avec extase Saint Etienne du Mont et son jubé, Saint Séverin et son pilier-palmier improbable ou Saint Sulpice et les 106 jeux de son orgue, en espérant qu'un organiste viendra répéter à ce moment-là...
Les grands esprits microscopiques qui nous dirigent ont tué en eux l'enfant qu'ils n'ont peut être même jamais été : ce sont des comptables (dont une définition est : ''ce sont des tables avec des gens autour...''!), des gestionnaires ou des contrôleurs de gestion, des régisseurs ou des administrateurs, des préposés aux normes et aux formulaires qui ne voient leurs semblables que comme derrière un guichet, entre deux classeurs... mais ont oublié ce que c'était qu'un sourire. Et lorsqu'ils parlent de ''nos enfants'' (ceux qu'ils n'auront jamais : il est bien trop tard, et ils ne savent plus en faire !) et de ''leur futur'' (qui fait peur aux êtres vivants, qu'ils ne sont plus), on a l'impression de lire une norme en pleine élaboration... Là où les hommes, assurés du minimum vital, ont besoin de dignité, de reconnaissance, de tendresse, (merci, Maslow !), de vérité et de mots simples, ils ne proposent que des chiffres triturés, de leur morale amorale, et d'une anti-économie dépensière... sous couvert de ''concret'', ce premier stade de la chute vers la mort...
Pourtant, paysans de tous les pays ou pas, un vent de fraîcheur semble s'être levé sur le monde... Ici, là, un peu partout, les structures bureaucratiques craquent, les normes se fissurent, les gens –je veux dire : ''les vrais gens'', ni nos politiciens retardataires (dont il est urgent de se débarrasser), ni les collaborationnistes ''fans'' de ces idéologies sans idées qui ont rendu les hommes fous et malheureux depuis le XVIIIème siècle et ont engendré tant de monstres indésirables en ''--isme'', pas plus que ceux qui tentent de s'inventer une nouvelle jeunesse (déjà vieille) mais qui sont au moins ''aussi pires'' (car drogués à tout ce qui assassine l'Humanité depuis 6 ou 7 ans : le faux écologisme, le wokisme, l'indigénisme, le décolonialisme pathologique, le racisme-à-toutes-les-sauces, le faux féminisme dément, le ''cancel-culture'' qui est un authentique ''cancel l'Humanité'', etc... il y en a trop, disent les réseaux sociaux, de ces psychotropes pour psychopathes très haut placés... ou très haut consommés).
Les hommes se révoltent, dans tous les pays, à commencer par ceux qui sont les plus soumis à l'ordre désordonné actuel... Redressons la tête : tout n'est pas perdu ! Ça ne va pas être facile, mais au moins, l'espoir renaît. Comme il nous manquait !
H-Cl.
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aurevoirmonty · 3 months
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«Un jour, on devra ouvrir le feu sur le peuple», prédit Didier Lallement, briseur des Gilets jaunes
«Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour», a affirmé l’ex-préfet de police de Paris, nommé en 2019 pour endosser la politique de répression contre les Gilets jaunes.
Aussi, en 2021, profitant de la sidération du Covid, le ministère de l’Intérieur a annoncé (https://www.interieur.gouv.fr/actualites/communiques/ministere-de-linterieur-commande-90-vehicules-blindes-de-maintien-de-lordre) l’achat de 170.000 munitions LBD antiémeute et l’acquisition de 90 nouveaux blindés pour la gendarmerie nationale.
Les VAB de 15,5 tonnes et 300 CV seront équipés (https://www.leparisien.fr/video/video-300-cv-145-tonnes-lance-grenades-a-bord-du-centaure-nouveau-vehicule-blinde-de-la-gendarmerie-21-10-2023-ZLWUW5IQKNAPXJTR6NPUP5JTMQ.php) d’une vision à 360 degrés, d’un lance-grenades ou encore de micros permettant d’identifier la position d’un tireur, et, en option, de mitrailleuses
De quoi faire face à des tracteurs avec sérénité.
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maddiesbookshelves · 2 years
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I bought the French edition of She Who Became the Sun ☀️
J'ai acheté la version française de She Who Became the Sun ☀️
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I had seen this book around on booklr and the internet in general but when I saw it at the bookstore, I couldn't contain myself. This book is just too beautiful not to buy.
J'avais vu ce livre passer sur booklr et internet de manière générale mais quand je l'ai vu en librairie j'ai pas pu me retenir. The livre est trop beau pour qu'on ne l'achète pas.
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French editors rarely do hardcovers so when I saw it I immediately pick it up. And then I saw the sprayed edges and 👁️👄👁️
Les éditeurs français font rarement des livres reliés cartonnés donc c'est ce qui m'a fait le prendre. Puis j'ai vu la tranche peinte et 👁️👄👁️
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Here's the blurb:
In 1345, China lies under harsh Mongol rule. For the starving peasants of the Central Plains, greatness is something found only in stories. When the Zhu family’s eighth-born son, Zhu Chongba, is given a fate of greatness, everyone is mystified as to how it will come to pass. The fate of nothingness received by the family’s clever and capable second daughter, on the other hand, is only as expected.
When a bandit attack orphans the two children, though, it is Zhu Chongba who succumbs to despair and dies. Desperate to escape her own fated death, the girl uses her brother's identity to enter a monastery as a young male novice. There, propelled by her burning desire to survive, Zhu learns she is capable of doing whatever it takes, no matter how callous, to stay hidden from her fate.
After her sanctuary is destroyed for supporting the rebellion against Mongol rule, Zhu uses takes the chance to claim another future altogether: her brother's abandoned greatness.
Voilà le résumé :
En 1345, la Chine est soumise à la cruelle domination mongole. Pour les paysans faméliques des Plaines du Milieu, la grandeur n'existe que dans les contes. Quand la famille Zhu apprend que Chongba, leur huitième fils, est promis à un fabuleux destin, tous peinent à imaginer comment s'accomplira ce miracle. En revanche, nul ne s'étonne que la deuxième fille des Zhu, fine et débrouillarde, soit promise... au néant.
Mais lorsqu'une attaque de hors-la-loi les laisse orphelins, c'est le fils qui se laisse mourir de chagrin. Prête à tout pour échapper à sa fin annoncée, la jeune fille endosse l'identité de son frère afin de devenir novice dans un monastère. Là, poussée par un impérieux désir de survivre, Zhu apprend qu'elle est capable de tout - même du pire - pour déjouer sa destinée.
Lorsque son sanctuaire est détruit pour avoir soutenu la rébellion contre les Mongols, Zhu saisit cette chance de s'emparer d'un tout autre avenir : la grandeur abandonnée de son frère...
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droitsdesfemmes · 4 months
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Alix Payen, née le 18 mai 1842, a marqué l'histoire comme ambulancière et épistolière durant la Commune de Paris en 1871. Son engagement dans l'un des épisodes les plus tumultueux de l'histoire française marque une rupture avec les conventions sociales de son époque.
Issue d'une famille bourgeoise et socialiste, elle passe son enfance en Savoie, région alors indépendante du régime de Napoléon III. Dès son plus jeune âge, Alix se distingue par son esprit indépendant et son intérêt pour les questions sociales et politiques, influencée en partie par les idéaux révolutionnaires qui circulent dans la France du XIXe siècle.
Cependant, c'est la Commune de Paris qui devient le catalyseur de son engagement actif. En 1871, lors de l'insurrection populaire qui prend le contrôle de Paris, Alix se joint aux communards, montrant un courage et une détermination exceptionnels. Durant le siège de Paris par les Prussiens en 1870-1871, puis lors de la Commune de Paris, elle s'implique activement comme ambulancière, accompagnant le bataillon de son époux et portant secours tant aux combattants de la Commune qu'aux soldats versaillais. Elle partage ainsi les conditions éprouvantes des communards, intervenant en première ligne dans les tranchées à l'ouest de Paris dès avril 1871. Sa détermination ne s'arrête pas là : elle endosse également le rôle de combattante, se battant aux côtés des hommes pour défendre les idéaux de la Commune. Son engagement va à l'encontre des normes de genre de son temps, où les rôles de combat sont presque exclusivement réservés aux hommes. Cependant, elle doit mettre un terme à son engagement sur le front à la suite de la grave blessure de son mari en mai 1871.
Après la défaite de la Commune, Alix Payen est arrêtée et fait face à la répression brutale qui s'abat sur les communards. Malgré les risques et les menaces, elle ne renonce pas à ses convictions et continue de défendre les principes pour lesquels elle a combattu.
Sa participation à la Commune est principalement documentée grâce à la correspondance qu'elle envoie à sa famille, dans laquelle elle détaille la vie quotidienne des communards et souligne le rôle des femmes dans ce mouvement insurrectionnel.
Veuve et sans ressources après la chute de la Commune, Alix se tourne vers l'art pour subvenir à ses besoins, notamment en peignant et en coloriant des photographies. Dans les années 1880, elle rejoint sa famille dans une communauté fouriériste, connue sous le nom de « La Colonie », établie dans un phalanstère à Condé-sur-Vesgre (Yvelines). Ce phalanstère, inspiré des théories socialistes utopiques de Charles Fourier, fonctionne sur le principe de coopération et de vie communautaire.
Alix continue à écrire des lettres sur sa vie au sein de cette communauté, témoignant de son parcours et de ses convictions. Sa correspondance fut ultérieurement incluse dans une biographie familiale publiée par son frère cadet dans une revue de l'époque.
Alix Payen s'éteint en 1903 à l'âge de 61 ans, laissant derrière elle un héritage important en tant que témoin et actrice de l'un des événements majeurs de l'histoire de France. Elle demeure non seulement un symbole de la participation des femmes dans les mouvements révolutionnaires, mais aussi un témoignage de la lutte pour l'égalité et la justice sociale. Sa vie, marquée par le courage, la résilience et la fidélité à ses convictions, inspire encore aujourd'hui ceux et celles qui luttent pour le changement social et l'égalité des sexes.
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Portrait d'Alix Payen par son frère Paul Milliet.
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a-room-of-my-own · 6 months
Note
C'est fou à quel point les filles du dit-"Tiers-Monde" sont américanisées à fond. Il y a deux jours, une femme sur twitter avait rédigé un tweet qui expliquait pourquoi elle était anti-immigration et toutes les féministes ont révoqué sa carte en la traitant de raciste, de suprémaciste blanche et en lui demandant pourquoi elle ne s'autoflagelle pas sur les connards profitant du tourisme sexuel. C'est fou à quel point la vision LFIste est présente...
 C’est certainement américanisé,  mais ce que je remarque dans les tentatives de faire systématiquement du relativisme culturel, c’est avant tout que les hommes issus de l’immigration ne sont pas vus comme des sujets, ou en tout cas comme des adultes, capable d’adhérer à une idéologie ou de faire leurs propres choix.
Ce que je trouve assez drôle avec nos féministes locales et celles qui sont influencé par l’idéologie identitaire à l’américaine, c’est qu’elles sont à la fois capable d’identifier des résidus de patriarcat dans l’éducation des hommes occidentaux et en même temps incapables de penser qu’une culture infiniment plus patriarcale, misogyne et violente, puisse avoir des conséquences sur le comportement des hommes élevés avec ces valeurs.
Elles voient ces hommes fondamentalement comme des victimes, et leur vision de la victime n’est pas une personne autonome, douée de libre arbitre à qui il est arrivé quelque chose, mais une identité. Ainsi à partir du moment où une personne est victime, elle ne peut pas mal faire. On lui retire sa complexité. On lui retire son individualité et elle devient une espèce de figure christique, sacrificielle qui ne peut pas faire ou penser le mal. Si elle commet des actes violents, c’est parce qu’elle y a été poussée. Si elle adhère à une idéologie meurtrière, c’est probablement qu’elle ne l’a pas comprise.
Associé à de l’égoïsme fondamentalement bourgeois, dans le sens où elles ne sont que très peu confronté à ces hommes, c’est très facile d’ignorer les violences commises et leurs causes tout en s’insurgeant sur le non-respect de l’écriture inclusive.
Pour les femmes issus de ces communautés, le problème est différent. Je pense que dans une large mesure c’est une question de loyauté et c’est une question de double contrainte. Dénoncer ce qui se passe dans sa propre communauté peut déclencher un rejet de la part des siens et peut aussi alimenter des stéréotypes. C’est une crainte qui n’est pas du tout sans fondement.
Il y a des femmes qui ont le courage de le faire forcé de constater que souvent elles le payent extrêmement cher. Déjà ça ne les immunise pas contre les réflexes racistes de certains mais en plus elles se retrouvent mises au ban. Et de la même façon, il ne faut pas voir une femme vivant à l’intérieur d’une société très patriarcale comme une victime sans complexité et il est tout à fait possible pour une femme dans une société de cette nature, d’être victime d’une oppression qu’on pourrait, dans ce cas, qualifier de systémique, tout en y participant activement.
C’est d’ailleurs de cette façon que ce système perdure pendant des générations, puisque les femmes qui sont victimes, peuvent, à leur tour, endosser un rôle d’oppresseur envers des femmes plus jeunes, envers leurs belles filles envers leurs propres filles.  C’est comme cela effectivement qu’on retrouvera des femmes qui défendrons les comportements de leurs frères, quand bien même ces comportements seraient d’une extrême violence.  Ce sont les mêmes qui se feront gardiennes de l’honneur de la famille, les mêmes qui feront la police de l’habillement auprès de leur petite sœur ou de leurs cousines.
Je pense que même nous, en tant que féministes, on doit comprendre que les femmes d’une manière générale peuvent être victimes d’un certain nombre de choses, mais que le statut de victime ne fait pas disparaître pas la complexité des individus. On aura toujours des femmes qui soutiendront des hommes misogynes, qui seront misogynes elles-même, qui se réjouiront de crimes commis sur d’autres femmes, et ce ne sera pas une erreur ou une incompréhension de leur part. Ce sera un choix.
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jesuisunpantin · 7 months
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" Je n’aurais pas trouvé de consolation à mes maux, dans l’apprentissage acharnée de mes cours, je n’avais pas besoin de réussite scolaire pour booster mon égo inexistant. Je voulais juste qu’on me fasse bouffer des doses de réalité, que la vie me troue le cœur encore, qu’elle continue à me mettre K.O, je voulais endosser le mal, je voulais que le spleen me broie les parois, je voulais que ma mélancolie soit mon naufrage, je voulais que ma poésie trouve son absolue, que mes organes se fracturent, que la vie m’offre son radeau d’achèvement, pour que je puisse enfin parler comme une désabusée, que je puisse frapper ces mots sur mon clavier, la glotte en feu d’avoir trop pleuré, les yeux asséchés par le taedium vitae. Le but de mon existence était d’ingurgiter suffisamment de souffrance, pour que je puisse continuer à valser avec mon cœur mort, jouir de cette extase de tristesse, me voir dégringoler sur l’échiquier du temps. "
Déboitée, Emmy, @jesuisunpantin
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vankasrc · 7 months
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▬ Même le plus vaillant des guerriers peut porter le silencieux fardeau du doute.
Il a conscience d'être considéré par les siens comme un traître, mais possède assez d'assurance et de conviction pour passer au-delà de ce jugement. Il reste honnête envers lui-même et ce qu'il souhaite défendre : Everlasting.
Une fois la guerre terminée, il est longtemps resté en dehors de la citadelle à vagabonder. Éloigné de la société, Styr s'est rapproché de la nature et de la simplicité. À l'annonce de la mort du roi, il est revenu endosser le rôle de huskarl à la citadelle. Soucieux d'investir son énergie dans la préservation de l'équilibre à Everlasting.
Entre ses anciens faits d'armes et la capture de la völva d'un groupe dissident, on l'a récemment gratifié du titre : "héros de la citadelle".
https://everlasting.forumactif.com/t94-libre-m-o-einheri-o-styr-agnarson-skarl-heros-de-la-citadelle
Avatar très négociable, attendu par 2 joueuses !
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whileiamdying · 8 months
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Harper's Bazaar N°6 en kiosque ce 24 août 2023
PAR LA RÉDACTION PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 12H39
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On le sait parce qu’elle l’a souvent dit dans des interviews, c’est un mot qui la laisse de glace. Mais combien de fois, au cours de son hallucinante carrière, Catherine Deneuve a-t-elle été qualifiée d’icône ? Combien de fois lui a-t-on demandé ce que ça faisait d’être dans la peau d’un tel symbole? Avec ce phrasé pressé, précipité, comme en cavale, et qui n’appartient qu’à elle, elle balaie l’image d’un revers de main. Elle a coutume de dire: “Je ne suis pas un monument.” Au fond, on comprend pourquoi l’actrice n’est pas à l’aise avec cette auréole. Elle fige, elle givre, elle grave dans le marbre de la légende, elle paralyse presque.
Catherine Deneuve, comme l’eau vive, est trop éprise de mouvement, de découvertes, de fugues. De surprises pour elle-même et pour les autres. Qui aurait imaginé qu’elle endosse la veste en tweed de Bernadette Chirac dans une comédie décalée ou qu’elle s’improvise patronne de cirque dans le prochain film du duo grolandais Kervern-Delépine ? Si les chefs-d’œuvre qu’elle a inspirés, ses pas de deux enchanteurs avec Demy, Truffaut, Buñuel, Polanski, Téchiné, Rappeneau & co, tout comme son blond mythique ou sa prétendue froideur sont des fétiches taillés pour l’“iconisation”, elle ne craint pas les sorties de route, les premiers films, les contre-emplois, les zones d’inconfort. Elle les embrasse même, avec la brûlure de vivre, sans jamais froisser sa trajectoire étoilée, sans cesser de s’appartenir.
À croire que son aura est pare-balles. Alors que tous les Harper’s Bazaar du monde célèbrent de concert le thème des “icônes” avec une couverture chorale sur Kendall Jenner, force est d’admettre que le sens de ces trois syllabes reste vaporeux. Certes, il est question de force d’incarnation, de don de la nature, de talent, de photogénie, de magnétisme, de rencontre avec son époque, d’un peu d’éternité aussi, mais pas que… Il y a du supplément d’âme, du mystère et du quasi mystique. Tout ça au shaker produit une formule magique et intimidante dont Catherine Deneuve, visiblement seule à vouloir l’ignorer, est la souveraine incarnation. Nous avons rêvé de Catherine Deneuve en couverture de Harper’s Bazaar France, nous vous l’offrons à vivre...
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queenfredegund · 11 months
Note
Salut :) Que dirais-tu de 6 et 11 pour les questions sur les livres ?
6. what books have you read in the last month?
Alors, je n'ai pas beaucoup lu au mois de mai, j'avais du mal à trouver quelque chose qui me plaisait, mais parmi les derniers que j'ai fini, il y a :
L'héritage de Clara, de Françoise Bourdin : les chroniques d'une famille bourgeoise entre les années 60 et 70, avec quelques secrets inavouables et l'ombre d'une matriarche (Clara), que chacun essaie de rendre fière. Pas le meilleur de Françoise Bourdin, mais j'aime beaucoup les familles qu'elle dépeint.
Haut de gamme, de Candace Bushnell : une plongée dans les méandres de la jet-set américaine clinquante et névrosée du début des années 2000. Rien que pour le dernier tiers du roman, particulièrement fort et cru, ça en valait la peine !
Couleurs de l'incendie, Pierre Lemaitre : j'avais détesté le film, alors on m'a conseillé de lire le roman d'origine pour comparer. Le roman s'en sort bien mieux, grâce au style de Lemaitre, tout en cynisme, mais je continue à trouver certains éléments capillotractés...
Sinon, je suis en train de finir de lire One Night At The Penthouse Suite, de Bianca Mori, et vraiment j'aime beaucoup : l'histoire d'une jeune héritière qui se retrouve à endosser le rôle de son père récemment décédé, à la tête d'un grand groupe industriel. Elle doit alors faire avec les vicissitudes de rivaux et trouver un équilibre avec son compagnon, issu d'un rang social beaucoup plus modeste. Franchement, j'étais très dubitative au début, je m'attendais à de la romance niaise assaisonnée de cul à outrance, mais non, c'est un bon scénario, et j'aime beaucoup les personnages principaux, n'hésitez pas à le lire !
11. what non-fiction books do you like if any?
De ce côté-ci, je vais y aller sur mes valeurs sûres :
The Imperial Harem. Women and Sovereignty in the Ottoman Empire, Leslie Peirce
Servants of the Dynasty. Palace Women in World History, Anne Walthall
A Woman’s Place is in the House: Royal Women of Judah and their Involvement in the House of David, Elna K. Solvang
Je rajoute également plus récemment les sorties récentes de :
All the king's women: polygyny and politics in Europe, 900-1250, Jan Rüdiger
Couples et conjugalités au haut Moyen Âge, Emmanuelle Santinelli-Foltz
Et si vous ne les connaissez pas, jetez-vous sur les ouvrages des Belin, dans la collection "Mondes anciens" ! D'ailleurs, rien que pour toi @ladyniniane, il y aura bientôt un volume sur le Japon ancien !
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