#clownfilm | Explore Tumblr Posts and Blogs

cl0wnsoda · 7 months

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Proof that there is still good people in this world 😍🥰🙏

#I’m sorry #it stephen king #clownfilm #I loce that you guys Call it that #clownfilm memes #bowers gang #it 2017 #it memes #patrick hockstetter #henry bowers #vic criss #victor criss #belch huggins #reginald huggins

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sweatshirtboobs · 11 months

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if i had a nickel for everytime i fell in love with a raven haired nigga named Patrick that scares the shit out of people i'd have two nickels which isn't a lot but it's weird that it happened twice

#patrick verona #patrick hockstetter #10 things i hate about you #it 2017 #clownfilm #if i had a nickel #my beloveds #lilipost

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mothlit · 4 years

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woe horsey Woe Horsey is Priscilla Costa, Tahina Awan, and Jessica Gabriel. Shapeshifters from the 7th Dimension, they met several lifetimes ago as clown-witches and made a soul contract to reincarnate and cast spells together.

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omarbutt2014 · 5 years

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Clown (2014) When his kids clown act can’t make it to his birthday party, his dad miraculously finds a clown outfit in the house he’s in, wears it, and then can’t take it off... Yep, that is the storyline. This film, where do I start, I seen this in a local store not long back and was tempted to buy it, but didn’t for whatever reason. Then I seen it on Netflix and thought hey, why not! This had the potential to be a great movie, however what it turned out to be was a great disappointment. By no means the worst, but by no means great either. What the film does well is that it gives you some eerily creepy circumstances, some scenes make you wince, and some scenes are just downright brutal. So there’s that... and that’s about it, the acting is okay, but there’s nothing else really worth writing home about. There’s no real punching soundtrack, there’s no real memorable ending, there’s just a brutal film that seems to have focused all its attention on, how bloody and gory can we make this, and forgotten all about the story. Which is probably the biggest let down for me. The idea is pretty cool, but the execution, the bits that don’t make sense, the broken plot, it was just a very strange and unexplained, and I was disappointed. Even the ending was underwhelming, they’d need a sequel just to explain 90% of the things that happened in the story! Overall if you’re looking for something to give you a bloody nights watch, and you fancy some mindless gore an violence. Go for it! If you’re looking for something to stimulate your mind, stay away! #Clown #ClownFilm #ClownReview #FilmReview #MovieReview #Netflix #Omareviews #EliRoth https://www.instagram.com/p/B3wWrHtlRhx/?igshid=1n49lq3gbw4ei

#clown #clownfilm #clownreview #filmreview #moviereview #netflix #omareviews #eliroth

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clownfilms-blog · 6 years

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#deadfool #clownfilms #ryan reynolds #parody #deadpool #cinema #ranveer singh #tim miller #photography #fimbry #funny cat #halloween

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dissidiawol · 5 years

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i love not caring abt da clownfilm cuz i get a perfect half n half of people saying "bill hader is HOT and theres NOTHING YOU CAN DO ABOUT IT" and "guys.... really?"

#idrc its not my place to judge hes fine in the movey #but that one buzzfeed article is SO FUCKING FUNNYYYYYY hes just wearing a hat...

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ieatmovies · 6 years

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CLOWN (2014) Parce qu’avant l’excellent IT (2017) et le sympathique KRAMPUS (2015), CLOWN représente une des tentatives du retour à l’écran de cette figure horrifique: premier film de Jon Watts, et opposé total de son SPIDER-MAN HOMECOMING (2017), ce long-métrage sérieux et gore vaut-il le détour? L’approche intéressante de Kent Mc Coy, gentil père de famille revêtant le costume de clown pour pallier à un imprévu d’anniversaire, est l’un des points forts de CLOWN, son protagoniste principal étant victime de cette malédiction le forçant à l’emprisonnement vestimentaire: l’homme va muter au sens propre du terme, se transformant peu à peu en créature mangeuse d’enfants. Afin de répondre à cette évolution bien creepy, Peter Stormare, campant le “gardien” de l’histoire de ce costume se faisant symbiote dévoreur d’hôte: l’acteur à la gueule charismatique réussit à donner une consistance bienvenue à l’histoire, car détenant la solution au problème. Autre mention honorable, le traitement du personnage de Meg, la femme de Kent, devant affronter l’épouvante: intelligente, la dame tente tant bien que mal d’équilibrer sa vie de famille -gestion d’un père protecteur et d’un jeune fiston inquiet- tout en aidant son mari -jusqu’à faire fi de ses “repas” sanglants-, possédé par l’affreux costume. Les symptômes de cette “contamination clownesque” se voient physiques et moraux à la fois, démontrant le travail soutenu d’une équipe de tournage investie, que ce soit pour les SFX “à l’ancienne” déformant le corps de Kent, ou la décision d’appuyer la gravité d’une situation forcée. Le fard persistant, la perruque qui refuse de s’enlever, ça paraît comique au début et prend brutalement une tournure dramatique, quand le nez artificiel, une fois ôté, arrache la peau du pauvre Kent. CLOWN est donc correct sur l’ensemble, son atmosphère noire et réaliste lui conférant un aspect sombre à souhait: de plus, le point de vue abordé relance l’intérêt, apportant une dimension différente au clown -à l’inverse par exemple du décontracté KILLER CLOWNS FROM OUTER SPACE (1988)-, ici plus crue que d’habitude, et moins grand-guignolesque qu’elle pourrait être. Ce film est de série B, d’horreur et de gore assez suffisants pour mériter le visionnage. Toutefois, on regrette un manque de budget, contraignant à dissimuler la forme finale de la créature dans l’ombre, une astuce de camouflage probante mais enlevant tout crédit à l’importance du dit climax: disposant de bonnes idées mais ne possédant pas les acquis financiers pour parvenir à convaincre totalement, CLOWN est à voir pour son point de vue assez original, car puisant dans les mythes scandinaves, offrant des origines inattendues à cette figure connue du cinéma d’horreur. Son côté légende urbaine plaira aux amateurs du genre, CLOWN lorgnant plus sur le réel que le fantastique pur et dur: en effet, la tourmente de cette malédiction a beau modifier le corps de Kent jusqu’au format “monstre”, on reste bien ancrés dans une réalité palpable. Un parti pris louable, mais qui n’efface pas les manques évidents: CLOWN est peu consistant, malgré son bon vouloir. Un peu comme si John Watts adaptait une version “pro” de I, ZOMBIE: THE CRONICLES OF PAIN (1998) en mode clown, mais sans la substance nécessaire à son charme. Elir Roth a beau produire et jouer dedans, le long-métrage peine à être dynamique, faute à un background trop peu exploité... Résultat mitigé pour CLOWN, destiné aux fans hardocre des tronches de cirque, et aux demandeurs peu exigeants: une tentative appréciable, point. Meilleur q’un 31 (2016) de Rob Zombie, certes peu difficile à faire... Dommage, car il en fallait peu pour se démarquer et devenir un vrai petit classique: le fait est qu’on ne peut pas tous s’appeler KRAMPUS. Et ouais. I AIN’T NO FUCKING CLOWN /20

#clownmovie #clownfilm #jonwatts #eliroth #2017 #critiquedefilm

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sweatshirtboobs · 7 months

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when it's my birthday, and i told Henry he doesn't have to get me anything, but he insists: