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#Psychiatre
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Bonjour
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Ma vie
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Ce que je suis devenu
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Un psychiatre névrosé
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October 13 2023
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stripnblues · 22 days
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La sombre, sombre histoire des escaliers, partie 1
Dans mon précédent post, j’avais évoqué l’idée de narrer les mésaventures qui ont conduit à mon changement de psychiatre. Je m’étais laissé, je cite, « la liberté de choisir » d'en parler. 
HAH. Quel genre de personne serais-je pour laisser pour laisser mon lectorat sur sa faim (laissez-moi croire que j’ai autant de followers que Baptiste Beaulieu ou Pénélope Bagieu, s’il vous plaît). 
Puis, pour tout vous dire, j’ai un peu honte d'être passée à côté de ces mots doux de Tibo InShape, qui m’auraient donné TELLEMENT de grain à moudre dans le papier précédent :
Merci pour ta contribution, mec. Si tout le monde t’écoutait, l’industrie pharmaceutique serait en PLS et les psys au chômage.
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Je crois aussi qu’une partie de moi a besoin de coucher tout ça sur le papier. Parce que ça a ��té un sacré calvaire et que, quelques mois plus tard, même si j’ai envie d’en rire, c’est d’un rire encore forcé.
Je consultais cette psychiatre depuis deux ans. J’avais laissé tomber la précédente après une énième soirée à patienter deux putains d’heure dans la salle d’attente jusqu’à m’en aller sans l’avoir vue, la rage au ventre mais sans ordonnance. Dans l’urgence, parce qu’il fallait bien que je chope mes médocs, j’en ai trouvé une nouvelle via Doctolib. Elle me paraissait compétente, elle avait l’air de savoir ce qu’elle faisait. Même si, parfois, ses questions semblaient sortir tout droit du manuel pour psychiatres débutants : « Est-ce qu’en ce moment, vous avez des idées tristes ? »
Euh… Ça dépend de ce qu’on entend par “idée triste”. Si ça veut dire « penser que même Nicolas Sarkozy et Marlène Schiappa publient plus de livres que moi », alors oui, j’ai des idées tristes.
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Si vous avez des idées tristes après avoir lu ce résumé, c'est normal.
Même si elle avait souvent du retard dans ses rendez-vous. Mais ça, je sais que c’est tirer sur une ambulance passablement déglinguée. L’état de la psychiatrie en France n’est un secret pour personne. Manque de moyens, plus de patients en détresse, moins de soignants, une pression grandissante… Tout cela, sans doute, joue sur un quotidien certainement bien agité entre les urgences du jour, la patientèle à gérer, etc. Jusqu’ici, j’étais plutôt indulgente.
Et puis… Et puis il y a eu un épisode particulièrement difficile. L’anxiété me submergeait, toute tentative de discernement relevait d’un marathon avant d’être balayée par une vague d’incertitudes, je me retrouvais plus bas que terre, à essayer de faire bonne figure auprès de mes proches avec un sentiment d’imposture qui me rongeait le ventre. Pas la joie, pour résumer. C’est donc dans un état peu glorieux que j’ai vu ma psychiatre pour notre rendez-vous mensuel. Un génocide de mouchoirs plus tard, elle me propose de remplacer un anxiolytique dans mon traitement, et de voir si celui-ci sera plus efficace. Et, notez bien, c’est important pour la suite, elle me précise : « Tenez-moi au courant des effets dès le lendemain. Si ça ne va toujours pas au bout de quelques jours, prévenez-moi et on trouvera une solution au plus vite. »
Je ressors avec l’ordonnance et l’envie de croire que les choses vont s’arranger grâce à cette bidouille chimique. Je vous épargne le suspense, c’est tout le contraire qui s’est produit. Les crises d’angoisse ont persisté tout comme le moral au fond des chaussettes. En plus de ça, je me traînais une chape de fatigue. J’étais devenue incapable de réfléchir. Chaque tâche somme toute banale devenait une épreuve impossible. Dès que je tentais une sortie pour faire ne serait-ce que des courses, j’étais prise d’une douleur face à l’effort. Presque tout de suite, je voulais fondre en larmes et retourner me terrer chez moi. Toutes mes émotions étaient sapées, fondues en un brouillard d’abattement. Heureusement que je ne travaillais pas, à ce moment-là. Peu ou prou, j'étais devenue ça :
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Bien sûr, je l’ai tenue au courant le lendemain. Pas de réponse. Bon, ok, elle doit être occupée… J’ai attendu que le traitement fasse son effet. Un, deux, trois, quatre, cinq jours s’écoulent. Ça n’a l’air de rien mais, avec une santé mentale chaotique et un traitement qui semble empirer la chose, cinq jours, c’est très long. Ma seule envie, c’était que les journées s’écoulent pour que je puisse enfin dormir. M’affranchir quelques heures de mon calvaire qui, de toute façon, allait reprendre dès mon réveil. Il me fallait me changer les idées par tous les moyens, des bouquins, Netflix, YouTube… Je m’abrutissais pour mieux me prendre mon mal-être en pleine gueule ensuite, malgré la môman et l’amoureux en soutien à distance, et le Kraken à mes côtés.
Entre-temps, ma thérapeute, qui voit mon état se dégrader, m’encourage à prévenir la psychiatre. Alors j’essaie de l’appeler, je lui envoie des textos, un mail où je détaille les effets du médicament et qu’on pourrait résumer par « please help »… mais pas de réponse. Que couic.
Je suis d’autant plus désespérée que, dans quelques jours, je dois partir dans ma famille pour les fêtes. Parce que oui, tout ça se déroulait peu de temps avant Noël et autres célébrations. 
Qui c’est qui, en plus d’être pas bien, culpabilise à l’idée de pourrir les réjouissances à venir avec sa santé mentale en carton ?
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Gné...
Donc, parce que chaque journée à macérer dans cette bouillasse noire est d’une longueur infinie, parce que je ne veux pas rester comme ça et que, visiblement, la psychiatre est aux abonnés absents, je me retrouve sur Doctolib pour prendre rendez-vous avec elle. Ben oui, elle n’a pas de secrétariat, donc comment vous dire. J’arrive à choper un créneau la veille de mon départ en famille. Après plus d’une heure d’attente (parce qu’évidemment, il y a eu une couille avec Doctolib et qu’on s’est retrouvés à plusieurs sur le même horaire et qu’il a fallu gérer le bazar…), je la vois, et là, c’est l’occasion de dire que des idées tristes, j’en ai à la pelle, et que le nouvel anxiolytique est un poil daubé du cul. Je me suis renseignée sur ses effets indésirables et, oh bah tiens donc, on est en plein dedans.
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Remplacez « agneau » par « anxio », et le tour est joué.
Je glisse au passage que j’ai voulu la prévenir, que je n’ai pas eu de nouvelles, etc. Curieusement, elle élude, plaide la surcharge de textos de tous les côtés, et me conseille de la spammer les prochaines fois. Mais avait-elle bien reçu mon mail ? Avait-elle pris le temps de le lire ? À cela, elle ne me donne pas de réponse claire. Je trouve ça bizarre, mais bon. On réajuste le traitement, on revient à ce que j’avais avant en plus léger, parce que sinon, je serais en surdosage. Ce qui me fait tiquer, parce que mes psychiatres précédents n’hésitaient pas à y aller yolo sur les anxios. Okay, ça fait plaisir de savoir que les confrères ne sont pas forcément au fait niveau posologie et état de la recherche sur ce qu’ils prescrivent. Mais soit. Elle me file aussi l’adresse des urgences psychiatriques de Saint-Anne si jamais ça ne va vraiment, vraiment pas. Ce qui ne me rassure paradoxalement pas, je dois l’avouer. Je repars avec l’adresse, le traitement changé et l’espoir, cette fois, que les choses vont vraiment revenir à la normale.
Alors… Passé les deux-trois jours de soulagement post-traitement daubé du cul, j’ai dû me rendre à l’évidence : ça n’allait toujours pas. Sauf que, andouille que je suis, j’ai préféré ATTENDRE de rentrer de vacances pour en parler à ma thérapeute et reprendre rendez-vous avec la psychiatre. Quand j’y repense, j’ai envie de me secouer très fort comme un prunier. 
« So, il y a une météorite qui te fonce tout droit sur la gueule, tu devrais peut-être changer d’endroit ou demander à Bruce Willis de te filer un coup de main pour empêcher la catastrophe. — Euh mais je sais, mais là, je suis avec des potes et j’ai pas trop envie d’y penser… Je vais plutôt faire ça quand je serai rentrée. »
Des fois, je m’auto-saoule d’une force…
Arrive donc le rendez-vous avec la psychiatre (en visio, car les transports avaient décidé de faire de la merde, bref, c’était une journée du caca absolue). Ma tête de blob larmoyant lui permet de déduire que le traitement n’est pas très efficace (euphémisme). Elle me propose une nouvelle solution. Or elle n’est pas anodine, c’est plutôt du type « ajouter un médoc lourd avec plein d’effets secondaires pour personnes à la santé mentale façon puzzle, youhou ». J’appréhende, mais elle m’assure que ça peut tout à fait convenir dans ma situation. Elle doit juste faire quelques recherches pour s’assurer que c’est compatible avec le reste de mon traitement, mais promet de m’envoyer l’ordonnance dans la journée. Et que je n’hésite pas à la relancer le cas échéant.
Devinez quoi ? L’ordonnance n’est jamais arrivée. J’ai spammé, j’ai appelé, laissé des messages. Que dalle. Nichts. Un jour passe, deux jours, trois jours… 
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Alors je connaissais le ghosting sentimental (souvenez-vous, le gaufrier), amical (soit c’est ça, soit le pote est mort ou parti dans un monastère sans téléphone cellulaire, je ne vois pas d’autre explication). Mais par une professionnelle de santé, c’était tout nouveau. Hésitez pas à me proposer d’autres plans foireux à tester, hein, je crois que j’ai un potentiel là-dedans.
En parallèle, je m'apprête à commencer un nouveau boulot, toujours avec l’impression de passer mes journées dans l’équivalent psychique du Mordor. Même ma psy, qui pourtant en a vu d’autres avec moi, trouve que quelque chose cloche. À force de ne pas avoir de nouvelles, je sens ma confiance s’éroder. On m’encourage à peut-être consulter quelqu’un d’autre. Je fatigue, je tiens tant bien que mal. J’arrive à obtenir une liste de praticiens recommandés. Je me résous à reprendre rendez-vous avec la psychiatre pour tenter d’élucider tout ce bordel, et lui dire que j’en ai légèrement marre de me faire traîner en bateau. Sauf que j’appréhende. Dans mon état, je ne me sens pas sereine pour me confronter seule à cette personne. Je sens que j’ai peur. Et ça, face à quelqu’un qui est censé vous aider à aller mieux, malgré mon sale état, je sens que ce n’est pas normal. Dans la détresse, j’appelle ma mère. 
Faisons une pause dans le récit, le temps que je vous présente ma môman. Si je devais la résumer en un personnage, c’est Brienne of Tarth dans Game of Thrones (sans le crush pour ce couillon de Jamie Lannister).
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Eh ui c'est ma MÔMAN À MOI.
Loyale, valeureuse, elle est l’une des personnes les plus fortes et courageuses que je connaisse. Mais, pour rester dans le même univers, dès qu’on ose toucher à sa précieuse progéniture, ma mère se transforme en Daenerys (la vibe cryptonazie de la saison 8 en moins) :
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L’un de ses adages, c’est « Don’t mess with my kids ». Mais vraiment. S’il vous prend la folie de mess with ses kids, vous pouvez être sûr de finir la journée au fond d’un lac, les pieds dans un bloc de béton armé. Et peut-être pas en un seul morceau, en fait. 
Je vous laisse donc vous mettre à la place de ma môman lorsqu’elle reçoit un appel de sa fille aînée aux prises avec une psychiatre qui la ghoste après lui avoir proposé des traitements chelous. 
Alors que je finis à peine de bredouiller « est-ce que tu voudrais m’accompagner à mon rendez-vous sitoplé ? », ma mère me répond d'emblée à l’affirmative : « Mais bien sûr, ma chérie. Ça tombe bien, j'avais besoin d'aiguiser mon épée de feu. »
And this is where the fun begins. Ah oui, parce que tout ça n’est que le contexte de l’aventure à laquelle mon post doit son titre fabuleux.
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À plusse pour la suite, les p'tits choux !
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ahgaaarssssss · 3 months
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Sortir de la dépression et du burn-out : Un parcours vers la guérison
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La dépression et le burn-out sont deux maux qui touchent de plus en plus de personnes, y compris les étudiants camerounais. Si vous souffrez de l'un ou l'autre de ces troubles, il est important de savoir que vous n'êtes pas seul et qu'il existe des moyens de vous en sortir. Cet article vous propose quelques pistes pour vous aider à cheminer vers la guérison.
Comprendre la dépression et le burn-out
La dépression est un trouble mental qui se caractérise par une tristesse profonde et persistante, une perte d'intérêt pour les activités habituellement appréciées et des troubles de l'humeur, du sommeil et de l'appétit. Le burn-out, quant à lui, est un épuisement professionnel qui se traduit par un sentiment de fatigue intense, une perte de motivation et une diminution de la performance au travail.
Les signes qui doivent alerter
Il est important de prêter attention aux signes qui pourraient indiquer une dépression ou un burn-out. Parmi les plus courants, on peut citer :
Tristesse persistante
Perte de motivation
Fatigue intense
Troubles du sommeil et de l'appétit
Difficultés de concentration
Sentiment de culpabilité et d'inutilité
Pensées suicidaires
Demander de l'aide
Si vous présentez plusieurs de ces symptômes, il est essentiel de demander de l'aide. N'hésitez pas à consulter :
Un médecin
Un psychologue
Un psychiatre
Un conseiller
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Les différentes options de traitement
Il existe différentes options de traitement pour la dépression et le burn-out, notamment :
La thérapie
Les médicaments
Les changements de mode de vie
Le soutien est essentiel
Le soutien de la famille, des amis et des proches est crucial pour la guérison. N'hésitez pas à parler de votre souffrance à vos proches et à leur demander de l'aide.
Guérir prend du temps
Il est important de ne pas se précipiter et de respecter son propre rythme. La guérison de la dépression et du burn-out prend du temps et des efforts. Soyez patient et ne vous découragez pas.
Conseils pour se sortir de la dépression et du burn-out
Voici quelques conseils qui peuvent vous aider à vous sortir de la dépression et du burn-out :
Consultez un professionnel de la santé mentale.
Parlez de votre souffrance à vos proches.
Faites des changements de mode de vie : alimentation saine, activité physique, sommeil régulier.
Apprenez à gérer votre stress.
Fixez-vous des objectifs réalistes.
Faites des choses que vous aimez.
Ne vous comparez pas aux autres.
Soyez patient et positif.
Conclusion
Sortir de la dépression et du burn-out est un parcours difficile, mais il est possible de guérir. N'hésitez pas à demander de l'aide et à vous entourer de personnes bienveillantes. En prenant soin de vous et en suivant un traitement adéquat, vous pouvez retrouver votre joie de vivre et votre énergie.
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ayanna-tired · 1 year
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Recherche psychiatre
>Rennes, Bretagne (ou alentours)
Bonjour à toustes, j'espère que vous allez bien !
Voilà, je viens vers vous un peu désespérée... je viens de lâcher mon psychiatre (médecin) en urgence car il est TRES toxique et malsain... et il vient de me faire un sale coup inadmissible, décourageant une autre psychiatre de me prendre comme patiente... :(
Je demande partout autour de moi, et mon infirmière m'aide en appelant tous les psy... mais on ne trouve pas.
Donc voilà, si l'un-e d'entre vous aurait le nom d'un-e psychiatre pas trop mal qui prendrait quelqu'un en urgence, je serais vraiment très très reconnaissante ! Je ne pousserais pas le vice jusqu'à demander à ce qu'iel soit LGBT+ friendly, on va pas abuser, mais bon... (je rêve que ce soit une femme et qu'elle soit effectivement friendly... mais on peut pas tout avoir dans la vie et je prendrai ce qu'il y a !).
Je suis véhiculée par une asso, donc ça peut être aux alentours de Rennes (mais pas trop loin et que ça reste dans le 35).
Voilà, ayez une pensée pour moi, et si vous croyez en quelque chose ben... ayez une petite prière ! Parce que là je me retrouve sans suivi psy alors que je suis handi et que j'ai un lourd traitement...
(Précisions, je cherche bien un PSYCHIATRE, donc un médecin à même de me faire mes prescriptions et de gérer mon traitement, j'ai déjà une très bonne psychologue qui me suit :) )
N'hésitez pas à me contacter en privé ! ;)
Bonne journée à vous et bonne continuation !
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Ayanna
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Le courage d'être soi
Le courage d’être soi
Devenir la meilleure version de soi même, une nouvelle mode ? On trouve des bouquins qui donnent des conseils pour mettre en place de “bonnes” habitudes et/ou une organisation fabuleuse ou encore le régime miraculeux qui fera de vous une version diminuée de 10 kg (par semaine). Tout ça ressemble à une fuite, parce que finalement, la meilleure version de vous même, c’est de trouver en vous le…
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lolochaponnay · 1 month
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hcdahlem · 2 months
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L'origine des larmes
En retraçant le parcours de Paul Sorensen, coupable d'avoir tiré sur un cadavre, Jean-Paul Dubois explore l'origine de l'identité, les liens tissés dès la naissance et dont on ne peut se défaire. Une confession mélancolique, une sombre comédie.
    En deux mots Paul Sorensen part à Montréal récupérer la dépouille de son père. Mais à son retour, il est arrêté pour avoir mutilé le cadavre. Ayant écopé d’une peine de prison avec sursis et soumis à des soins, il va raconter sa vie à son thérapeute. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Vengeance sur un corps déjà froid En retraçant le parcours de Paul Sorensen, coupable d’avoir tiré sur un…
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elwenn-dreaming · 7 months
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Ce message c'est pour mes mutus & followers sur Lyon :
J'ai un.e ami.e qui va pas bien et cherche à contacter un psychiatre, est-ce que vous en connaissez un bon ou savez comment en trouver un sur Lyon ?
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information-2-0 · 8 months
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youtube
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stephanemortimore · 10 months
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La violence a du bon.
Dominique, que tout le monde appelait Do, avait donné rendez-vous au petit sur les marches qui menaient vers les quais de Saône, à deux pas de presqu’ile de Lyon. Il avait pris le TGV pour régler cette question, il devait repartir par le train de dix-neuf heures et le môme était en retard. Do n’aimait pas ça. Il avait la ponctualité dans le sang, un don presque surréaliste pour le bon timing et…
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Psychiatry
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beguines · 2 months
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As a significant "feminised" category of mental illness, however, HPD [histrionic personality disorder] was superseded in the DSM-III by the introduction of the controversial BPD, a label which has been increasingly applied to women, with around 75 per cent of all cases estimated to be female. Seen as a milder form of schizophrenia and lying on the "borderline" between neuroses and psychoses, the concept has been used in psychiatry since 1938. Like other personality disorders, BPD has a notoriously low reliability level even by the generally poor standards of the DSM, and even within the profession is considered by many as yet another "wastebasket" category (though as Bourne ruefully remarks, the ambiguity of such personality disorders makes them particularly useful in policing deviance in the new century). One member of the DSM-III task force stated at the time of constructing BPD that "in my opinion, the borderline syndrome stands for everything that is wrong with psychiatry [and] the category should be eliminated". The chair of the task force, Robert Spitzer, admitted with the publication of DSM-III that BPD was only included in the manual due to pressures from psychoanalytically oriented clinicians who found it useful in their practices. Such practices have been documented by Luhrmann who describes psychiatrists' typical view of the BPD patient as "an angry, difficult woman—almost always a woman—given to intense, unstable relationships and a tendency to make suicide attempts as a call for help.' Bearing significant similarities to the feelings of nineteenth century psychiatrists towards hysterics, Luhrmann's study reveals psychiatrists' revulsion of those they label with a personality disorder: they are "patients you don't like, don't trust, don't want . . . One of the reasons you dislike them is an expungable sense that they are morally at fault because they choose to be different." Becker reinforces this general view of the BPD label when she states that "[t]here is no other diagnosis currently in use that has the intense pejorative connotations that have been attached to the borderline personality disorder diagnosis." A bitter irony for those labelled with BPD is that many are known to have experienced sexual abuse in childhood, something they share in common with many of those Freud labelled as hysterical a century earlier; a psychiatric pattern of depoliticising sexual abuse by ignoring the (usually) male perpetrator, and instead pathologising the survival mechanisms of the victim as abnormal.
By the mid-1980s, the hysteria diagnosis had disappeared from the clinical setting while BPD had become the most commonly diagnosed personality disorder. BPD is now the most important label which psychiatric hegemony invokes to serve capital and patriarchy through monitoring and controlling the modern woman, reinforcing expected gender roles within the more fluid, neoliberal environment. Nevertheless, as Jimenez (emphasis added) reminds us, the historical continuity from hysteria to BPD is clear: "Both diagnoses delimit appropriate behavior for women, and many of the criteria are stereotypically feminine. What distinguishes borderline personality disorder from hysteria is the inclusion of anger and other aggressive characteristics, such as shoplifting, reckless driving, and substance abuse. If the hysteric was a damaged woman, the borderline woman is a dangerous one."
Bruce M.Z. Cohen, Psychiatric Hegemony: A Marxist Theory of Mental Illness
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wynsvre · 4 months
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snoopy as carrie 1976
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unveilandresist · 3 months
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people are being institutionalized for taking covid seriously, while simultaneously cases have never been this high this far out from the holidays and more and more evidence comes out all the time that repeated covid infections cause long term damage and long covid, which can easily destroy your life, is common and becomes more common with each infection.
I am so scared of having to go to the hospital as someone with complex health problems.
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p4nishers · 8 months
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i cant get over the ball being so CLEARLY all for crowley i can't get over aziraphale trying to woo him with a WHOLE FUCKING BALL because that's what he knows that's what romance IS for him because he's been wanting to dance with crowley ever since dancing was invented and he's so stuck in time with the way he dresses and talks and he still thinks a dance is the high of romance AND HE MADE A WHOLE ENTIRE FUCKING BALL FOR CROWLEY JUST SO HE COULD DANCE WITH HIM like now it's so fucking obvious he gave away his BOOKS without a second thought and it was all for crowley he organised a whole JANE AUSTEN THEME BALL just so he could have an excuse to finally dance with the love of his life and i can't get over this i'm shaking my fists and pacing up and down he did not give a single fuck about anything other than dancing with crowley and HE BARELY TOUCHED OTHER PEOPLE'S HANDS WHILE HIS WHOLE FUCKING PALM WAS PRESSED TO CROWLEY'S AND i need to lie down
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pochiyaki · 7 days
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Help Pochi Get Their Service Dog
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I am seeking assistance in getting a psychiatric service dog! This will be a huge help in improving my health and wellness. Please share or support if you can! https://gofund.me/2a4aef13
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