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#La plume pose
newattitude · 3 months
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Sorumin - La plume Poses
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Sorumin - La plume Poses par ✰ ​​​​​​​​Pтιтɴoυrѕ Alтer ✰ Via Flickr : ✰ Credit ✰ 
  Sorumin - Lounge SET - Anthem
Pose : La Plume - .collection Sasha 
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adalynnlove · 2 years
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Works of Art
This week I found a sim through destination guide called Artsville. It has some very interesting features that can be incorporated into photographs and it appears others have discovered this as well, because when I went back today to redo a photo, there were others working on photos as well. The sim itself is a work of art. This dress I am showing today, from Celestina’s Weddings, is also a work…
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chic-a-gigot · 4 months
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La Mode nationale, no. 5, 5 février 1898, Paris. No. 9. — Groupe de chapeaux. Bibliothèque nationale de France
(1) Béret en velours rubis, garni de 6 plumes noires formant éventail, retenues au centre par une boucle en strass et tombant devant sur le bord du chapeau.
(1) Ruby velvet beret, garnished with 6 black feathers forming a fan, held in the center by a rhinestone buckle and falling in front on the edge of the hat.
(2) Chapeau de jeune fille, en drap gris, garni de plumes assorties retenues au pied par un chou de velours de la même teinte.
(2) Young girl's hat, in gray cloth, trimmed with matching feathers held at the foot by a velvet collar of the same shade.
(3) Petite toque de théâtre en velours bleu turquoise, garnie de touffes de violettes et d'un motif de strass.
(3) Small theater hat in turquoise blue velvet, garnished with tufts of violets and a rhinestone motif.
(4) Chapeau rond très relevé de côté, en velours vert, tout coulissé, garni de dentelle blanche mélangée à un nœud de satin blanc et de velours vert dans lequel sont placées 2 aigrettes en paradis noir. Nœud de satin posant sur les cheveux.
(4) Round hat very raised on the side, in green velvet, all slid, trimmed with white lace mixed with a bow of white satin and green velvet in which are placed 2 egrets in black paradise. Satin bow posing on the hair.
(5) Capote pour jeune femme, toute en paillettes d'argent, garnie d'un panache de plumes et d'une aigrette blanches au pied desquelles est posé un gros chou de velours violet.
(5) Hood for a young woman, all in silver sequins, garnished with a plume of feathers and a white egret at the foot of which is placed a large purple velvet cabbage.
(6) Petit chapeau en velours coulissé bleu de roi, garni de 3 plumes et d'une aigrette blanches posées de côté.
(6) Small hat in royal blue drawstring velvet, garnished with 3 white feathers and an egret placed on the side.
(7) Béret pour jeune femme, en taffetas rouge entièrement coulissé en forme de choux, dans lesquels on place une fantaisie en strass.
(7) Beret for young women, in red taffeta, entirely slid in the shape of cabbages, in which a rhinestone decoration is placed.
(8) Chapeau rond en feutre gris. La calotte est en taffetas bouillonné gris, une grande amazone noire est posée de côté, retenue au pied par une grande boucle en cailloux du Rhin.
(8) Round gray felt hat. The cap is made of gray bubbled taffeta, a large black Amazon is placed on the side, held at the foot by a large loop of Rhine pebbles.
(9) Chapeau rond en feutre blanc, très relevé de côté. Torsade de velours orange entourant la passe et panache de plumes noires garnissant le côté.
(9) Round white felt hat, raised high on the side. Twist of orange velvet surrounding the pass and plume of black feathers garnishing the side.
(10) Petit tricorne en paillettes d'argent, garni de plumes noires dans lesquelles se pose une agrafe en strass. Torsade de velours rouge sur les cheveux.
(10) Small tricorn in silver sequins, garnished with black feathers in which a rhinestone clasp is placed. Red velvet twist on hair.
(11) Chapeau forme amazone, relevé des deux côtés, en velours vert d'eau, le bord est coulissé et se termine devant apr un nœud en velours. Nœud de satin vert d'eau sur le côté, dans lequel est posé un oiseau vert à aigrettes noires.
(11) Amazon-shaped hat, raised on both sides, in sea green velvet, the brim is slid and ends in front with a velvet bow. Water green satin bow on the side, in which is placed a green bird with black egrets.
(12) Béret coulissé en drap gris perle, garni de côté de trois plumes noires en touffe, au pied desquelles sont posés un chou de velours noir avec une boucle de jais et un autre chou en velours orange.
(12) Drawn beret in pearl gray cloth, garnished on the side with three black feathers in a tuft, at the foot of which are placed a black velvet cabbage with a jet curl and another orange velvet cabbage.
(13) Petit capote en velours rubis, garnie sur le côté d'un gros oiseau noir.
(13) Small ruby velvet hood, garnished on the side with a large black bird.
(14) Chapeau rond, en feutre gris, garni de deux plumes grises formant couronne, retenues devant par un chou en velours mauve dans lequel on met un motif en cailloux du Rhin.
(14) Round hat, in gray felt, garnished with two gray feathers forming a crown, held in front by a mauve velvet collar in which a pattern of Rhine pebbles is placed.
(15) Petit chapeau en satin coulissé bleu ciel, fond mou en velours beige, presque blanc, piqeon blanc posé de côté, piquet de roses posant sur les cheveux.
(15) Small sky blue sliding satin hat, soft beige, almost white velvet base, white peg placed on the side, peg of roses resting on the hair.
(16) Chapeau forme toque en velours noir, relevé des deux côtés. Le bord est en tulle pailleté avec un coulissé de velours noir formant tête. Plumes noires posées de côté retenues par des choux de velours vieux rose.
(16) Toque-shaped hat in black velvet, raised on both sides. The edge is in glittery tulle with a black velvet drawstring forming the head. Black feathers placed aside held by old pink velvet puffs.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 109
Vendredi :
J'emmène Jimmy chez le père de Ric, hé oui, les amis en premier. Son troisième client sera le père de Pierre. Les autres passeront après.
Même si il s'occupe encore beaucoup de Ric, il n'est pas sans porter intérêt à ce que je peux lui proposer comme nouveauté. ;Je lui précise juste en arrivant qu'il n'a pas l'expérience de son Ric et donc qu'il faut qu'il y aille cool. Il me dit qu'il se souvient très bien des débuts.
Il me remet mon enveloppe. Je feuillette les billets pendant qu'on le suit dans son bureau. Comme Xavier, il a majoré la somme. Je le remercie, il me dit que c'est normal pour me remercier du service apporté. J'empoche. Il s'assied derrière son bureau et demande à Jimmy de se mettre nu. Ce dernier s'exécute, ce n'est pas trop mal. Quand il en arrive à descendre son slip, je vois bien qu'André (le vieux) bande comme un taureau. Il ne peut cacher ses 27cm x 7 qui dépassent du plateau de son bureau. Jimmy est surpris. C'est vrai que même à coté de Xavier, la bite d'André fait monstrueuse. Il se lève de son fauteuil, fait le tour du bureau et appui ses fesses dessus. Sa bite sort de par la braguette. Il passe une main dedans pour passer ses couilles à l'air libre. Jimmy comme hypnotisé, avance s'agenouille et le prend dans sa bouche. Je l'observe faire, pour pouvoir corriger au retour. Il s'applique sur le gland et arrache à André un satisfécit. Ce dernier m'en fait part et dit reconnaitre ma patte dans sa façon de travailler un gland. Je lui demande si c'est un problème, il me répond que s'en serait un si c'était du mauvais travail mais que ce n'est pas le cas.
Il pose sa main sur la nuque de Jimmy et appui doucement pour lui faire comprendre d'en bouffer un peu plus. Aussitôt Jimmy se met à pomper. J'observe la mâchoire, il ouvre grand pour en prendre le maximum et sa gorge se déforme sous la poussée d'André. Dan cette position (à genoux devant André debout) il ne peu en prendre plus de ma moitié. André le soulève comme une plume et le pose en travers du bureau, la tête pendante sur le bord. Jimmy connait cette position qui lui permet d'en prendre plus en gorge. De lui-même il pousse sa tête en arrière et ouvre grand la bouche. André s'y engouffre et lui tenant la tête entre ses mains, s'enfonce derrière la glotte. Malgré tous les efforts de Jimmy, il laisse 3 bons cm dehors. Quand André sort, il s'excuse de ne pouvoir faire mieux. Ce dernier lui caresse la joue et lui dit que ce n'est qu'une histoire de temps (Ric lui arrive à la bouffer totalement), et il lui renfourne sa bite. Se tournant vers moi, André me demande si de l'autre coté, il aura autant de mal. Je le rassure et lui certifie qu'il pourra y entrer tout son matériel. Aussitôt dit aussitôt fait et il le fait pivoter pour avoir son cul devant les yeux. Il se baisse et va tâter de la langue l'anneau qu'il ne va pas tarder à défoncer. Il le mouille bien mais je lui dis qu'il faudra quand même mettre du lubrifiant. Il se redresse, se kpote et se couvre de gel. Il pose son gland sur l'anneau et me demande du poppers. Je lui dis qu'avec Jimmy ce n'est pas nécessaire, il s'ouvre aux dimensions désirées sans artifices. Rassuré, il s'enfonce dans les profondeurs des on boyau. Comme prévu, Jimmy s'ouvre bien et son anus se déplisse pour accepter la saillie. André me fait la remarque qu'il se sent quand même bien serré malgré la facilité de pénétration. Il s'enfonce jusqu'aux couilles. Jimmy tourne la tête vers moi et je lui fais un signe de la tête pour le féliciter. Il regarde alors André avec un sourire qui lui barre le visage. André commence alors un limage en règle. Lentement dans un premier temps, pour bien habituer le boyau au diamètre de son mandrin puis, plus rapidement. Jimmy se redresse et passe ses mains derrière le cou d'André, je saurais plus tard que son dos raclait la surface du bureau et que ce n'était pas agréable.
André se déchaine et je sens qu'il va bientôt jouir. Il se redresse brusquement, soulevant Jimmy du bureau. Il le tient bien enfoncé sur sa queue et je le vois trembler à chaque éjaculation. Jimmy ne peut se retenir et lui jute sur son gilet de costume.
Il m'offre un whisky pendant que Jimmy se douche dans la salle d'eau attenante. Il me demande comment est ma deuxième recrue. Je le lui décris et ajoutant que pour lui c'est poppers ou pas de pénétration. Il me répond que le principal c'est de pouvoir entrer. Il me dit aussi qu'avec un peu "entrainement, Jimmy sera capable de l'avaler entier comme Ric, j'acquiesce.
Je lui demande comment ça va avec son fils. Il me dit que ce dernier lui donne toute satisfaction, aussi bien à la fac que dans son lit. Je lui dis que bientôt, il devra se faire à l'idée que Ric puisse se trouver un mec à lui. Ça me vaut un regard noir. Je l'assure que je serais toujours là pour lui fournir de quoi s'amuser. Il me dit surement moins disponible que son fils. Je lui réponds alors qu'à terme, un ptit mec comme Jimmy pourrait lui être un serviteur full services.
Il me dit qu'il n'y avait pas encore pensé mais que ce serait surement la bonne solution pour lui.
Jimmy nous rejoint et nous cessons cette conversation.
Nous rentrons. En cours de route (nous sommes en voiture) je lui demande comment il a trouvé André. Il me dit qu'il l'a trouvé sympathique. Je lui demande si un jour il pourrait envisager d'entrer à son service, il ne comprend pas et je lui explique ce que pourrait être sa vie future. Il réfléchit et me dit que si c'est ce que je pense être le mieux pour lui alors pourquoi pas. Je lui dis que ce n'est pas encore d'actualité mais que s'il le voulait, nous pourrions envisager une formation " maitre d'hôtel / secrétariat" plutôt que son taf de jardinier. Il me dit que ce serait peut être mieux alors. Je me promets d'en reparler à André et de voir ce qui existe comme formation dans les environs.
Quand Marc rentre je lui fais part de mes cogitations. Il est d'accord avec moi. La formation secrétariat / maitre d'hôtel en sus des services sexuels pourrait être une bonne porte de sortie pour Jimmy. Comme on est vendredi, j'en touche deux mots à Samir et lui demande par la même occasion comment le père de Jimmy prenait les choses. Il me dit que c'est une bonne idée et que pour le vieux de Jimmy y'avait pas à s'en faire, il avait annoncé à son entourage que son fils s'était trouvé un travail dans une autre ville et qu'il était obligé d'y vivre.
Samedi matin Classique, cours et baise pour le père de Jean.
Samedi après midi Je suis un peu tendu, ce soir je fais excort-boy dans le grand monde !! Je passe l'après midi à me préparer, épilation, rasage. Je me lime les ongles pour les avoir tous à la longueur parfaite. Marc vient m'inspecter. Il me trouve parfait (ça m'avance ce genre de remarque !) puis prend la pince à épiler et l'approchant de mon visage retire deux poils un peu trop longs de mes sourcils. Il me claque les fesses et me dit que maintenant c'est vraiment parfait.
Je suis trop impatient et j'arrive dès 17h chez Emma. Elle a finit par mettre au courant son personnel (une vielle cuisinière / femme de ménage et le valet / major d'homme de feu son mari). Ils sont à son service depuis des années et lui sont d'une fidélité à toute épreuve.
Je fais connaissance. Après tout je suis un employé comme eux (enfin pas tout à fait quand même). Devant mon léger stress, la cuisinière me prépare une tisane calmante mais énergisante quand même, pas question que je m'endorme au beau milieu du dîner.
Je vais me changer avec Emma. Quand je suis nu, elle s'aperçoit du soin avec lequel je me suis préparé. Ce n'est pas qu'habituellement je sois négligé mais là, j'ai vraiment fait une préparation spéciale. Elle me caresse, je lui dis de cesser car je vais bander et même avec un costume bien taillé, ça va se voir. Aussitôt elle glisse à genoux et enfonce ma bite dans sa bouche. Je veux me retirer mais elle s'accroche et me pompe jusqu'à ce que j'explose. Ce qui est assez rapide vu mon stress. Je suis bon pour une douche ! Quand j'en sors, Emma est presque prête. Il ne lui reste qu'un ajustement de maquillage. Je revêts la tenue qu'elle m'a préparé. Slip Aussiebum wonderjock, chaussettes, chemise blanche avec les boutons de manchettes en diamants blancs, pantalon de costume anthracite, chaussures noires, cravate et enfin la veste du costume. Je secoue les épaules et elle tombe naturellement. Je n'oublie pas de passer la montre qu'elle m'a offerte. Dans la glace, je vois un autre homme, plutôt un frère (que je n'ai pas) que moi.
Emma est enchantée du résultat. Quand nous sortons de ses appartements, j'ai droit à une bise de la vieille cuisinière et un regard approbateur du major d'homme. Ce soir la grosse Mercedes est de sortie, le major d'homme faisant aussi chauffeur. Nous arrivons avec une bonne demi-heure de retard. Le 1/4 d'heure c'est pour les hommes ! Dans la cour de la propriété déjà une dizaine de véhicule haut de gamme sont garés, avec au coté de certains un chauffeur en train de fumer.
Monté du perron (la propriété est très grande et la maison ressemble plutôt à un château), on nous ouvre, je laisse passer Emma en premier (elle connait le lieu). On nous débarrasse de nos manteaux et nous conduit vers un salon d'où monte un certain brouhaha. L'entrée d'Emma fait sensation. Je remarque quelques femmes dans l'assistance, mais aucune ne peut rivaliser avec elle (sauf en bijoux, deux en sont couvertes).
Elle m'entraine vers notre hôte qui la salut d'un baise main parfait. Elle me présente comme son escort-boy. Je lui serre la main avec un beau sourire pour lui montrer que je suis complètement à l'aise avec cela. Il essaye de me la broyer. Mon costume cache assez bien ma musculature et il ne s'attendait pas à ce que l'inverse se produise. Toujours en souriant, je lui demande s'il veut s'essayer à qui fera pipi le plus loin. Il ne me répond pas et engage Emma à saluer ses autres invités. Nous faisons le tour. Deux hommes d'un certain âge sont accompagnés de jeunes hommes aussi élégants que moi, présentés comme leurs neveux (faut pas prendre les gens pour des billes !!, ce sont des escorts comme moi... enfin moins beau que moi quand même !). Un troisième me demande qui a gagné le concours. Je mets quelques secondes à réaliser qu'il avait entendu ma conversation avec notre hôte et à son sourire, j'ai compris que je me l'étais mis dans la poche.
Pendant le diner, je suis placé à la droite d'Emma elle-même à la droite de notre hôte et coincé de l'autre coté par un des vieux à escort-boy. Je suis les seuls des trois à être aussi bien placé, les deux autres sont relégués avec les accompagnantes. Si ils sont bien ce que je pense, ils vont être malheureux !
Notre hôte essaye plusieurs fois d'amener Emma vers plus de confidence me concernant pendant que mon voisin de droite m'entretien d'industrie, de commerce international et de finance. J'essaye de sortir avec à propos mes connaissances fraîchement acquises. Ça a l'air de marcher et j'arrive à faire illusion. Quelques analyses d'Andrée me valent même un regard impressionné et un aparté où le vieux aimerait que son " gigolo " s'intéresse à autre chose qu'à son fric. Au moins il est lucide à défaut d'avoir eu du discernement concernant son choix d'accompagnateur !
Emma qui me surveille sans en avoir l'air, apprécie que je me sois mis dans la poche mon voisin. C'est un grand capitaine d'industrie (plutôt général vu l'âge). Quelques instants plus tard, il me demande ce que je fais dans la vie, oublieux que je sois arrivé au bras d'Emma. Je lui dis que je viens de monter ma propre société de design d'espace vert. Il me demande mon âge et s'étonne que j'en sois déjà là.
Après le diner, je vais aux toilettes, j'y retrouve les deux autres escort-boy en train de vérifier leurs mises. Je demande qui accompagne le vieux qui était à coté de moi pendant le diner. Le brun s'avance, je le préviens qu'il à intérêt à se montrer intéressé au taf de son boss si il veut rester dans son entourage. Sa réponse me montre qu'il ne comprend pas, tant pis pour lui si il perd sa situation. Le second me drague plus qu'ouvertement puisqu'il me met la main au paquet en me disant qu'il kiffe les hétéros. Nous sommes pressés, il me fait bander. Je sors ma bite et il me l'avale direct. Il me pompe comme un affamé alors que l'autre se barre. Il est très efficace et je dois le repousser au moment ou je jute en évitant de tacher sa veste. Nous nous réajustons. Il me dit que son vieux n'est plus actif et que c'est juste comme un trophée qu'il l'accompagne partout. Je lui confie que pour moi tout va bien de ce coté là. Il me dit que la prochaine fois il souhaiterait que je l'encule. Je lui dis pourquoi pas, après tout je sais qu'il ne dira rien, il a trop à perdre.
Dans la soirée, Emma s'accroche plus d'une fois à mon bras, surtout quand notre hôte est près de nous. Comme il m'envoit un Scud destiné à me faire passer pour un con, je le remets en place à l'aide d'une des infos hyper confidentielles que m'a donné André. Il cesse aussitôt se demandant bien comment j'avais pu avoir accès à cela. Au retour, j'ai droit aux félicitations d'Emma, avoir mouché deux fois son connard d'associé et m'être mis dans la poche les deux plus importants personnages de la soirée l'avait enchantée.
Elle relève la glace sans tain nous séparant du chauffeur, puis me tombe dans les bras. Notre pelle m'a électrisé et fait bander grave. L'espace étant quand même exigu, j'ai arraché sa culotte pour pouvoir lui manger la chatte. Elle était toute mouillée et me dit avoir attendu cela depuis notre arrivée chez notre hôte. Je déboucle ma ceinture et me kpote vite. Elle m'enjambe pour s'assoir sur mes genoux et s'enfiler ma bite en elle. Est-ce le lieu, l'excitation du moment, ses félicitations, toujours est il qu'elle m'a fait jouir avec son vagin.
Changé, ;je reprends ma voiture, elle me glisse mon salaire du soir.
JARDINIER
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“Dans l'antre du club de jazz, où l'obscurité se marie à l'ivresse, je m'enfonce dans l'ombre, isolé dans ma détresse. Le serveur, parfois messager discret des prémices concubines, me transmet, sur un voile, une écriture divine.
"Bonjour, Monsieur", alors, commence l'histoire de cette nouvelle vie ; une femme élégante, envoûtante mélodie. Elle désire être le chemin où nos pas se confondent, où nos empreintes tracent ensemble une autre ronde.
Dans l'attente fébrile, je pose ma plume sur le papier. "Bonjour, Madame," ma réponse, fragile pensée - peut-être, sur le chemin où je me suis égaré, nous croiserons-nous - vouée à découvrir nos affinités.
Le serveur, tel un oiseau portant mon émoi, la serviette en main, vers elle se déploie. Et ainsi, entre les harmonies et les murmures ensorcelants, s'ouvre l'étrange bal de deux amants au destin voluptueux et troublant.„
~•~
“In the den of the jazz club, where darkness blends with intoxication, i sink into the shadows, isolated in my distress. The waiter, sometimes the discreet messenger of concubine premices, transmits divine writing to me on a veil.
"Bonjour, Monsieur", then, begins the story of this new life ; an elegant woman, bewitching melody. She wants to be the path where our footsteps merge, where our footprints trace together another round.
In feverish anticipation, i put pen to paper. "Bonjour, Madame," my reply, a fragile thought - perhaps, on the path where i've lost my way, we'll cross paths - destined to discover our affinities.
The waiter, like a bird carrying my emotion, napkin in hand, towards her, unfurls. And so, between bewitching harmonies and murmurs, the strange dance of two lovers with a voluptuous and troubling destiny begins.„
~•~
— Fred Leforgeur-Baudelaire
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Visual art applied : Watercolor, felt-tip pens and oil : FLB (Fred Leforgeur-Baudelaire)
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fashionbooksmilano · 4 months
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Des oiseaux Paolo Roversi
Texts : Chiara Bardelli Nonino, Guilhem Lesaffre
Atelier EXB, Paris 2023, 88 pagine, 20,5x26cm, copertina rigida, fotografie a colori e b/n, lingua inglese, ISBN 978-2365113854
euro 60,00
email if you want to buy [email protected]
Maître de la photographie de studio, Roversi a substitué au top-mode, pour une série réalisée au Polaroïd grand format, des oiseaux de fauconnerie. Figure de la photographie de mode, directeur artistique et grand portraitiste, Paolo Roversi collabore depuis plus de quarante ans avec les plus prestigieuses maisons de haute couture, parmi lesquelles Dior ou encore Yohji Yamamoto. Nimbés de lumières saturées, hiboux, chouettes et faucons posent face à l'objectif. L'approche minimaliste du portrait et les tons monochromes, qui ont fait la signature du photographe italien, donnent à voir dans toute leur majesté un faucon royal, un hibou moyen-duc et une chouette princière. Les oiseaux, posés sur un tabouret ou le dossier d'une chaise, se tiennent avec élégance, regards parfois étonnés d'être là, devenu sujet digne d'attention. Le temps paraît suspendu : dans des tons violines ou presque vieil or patiné, la présence tranquille, l'envol soudain, le regard surpris des oiseaux confinent presque au pictural. La grâce de ces rapaces, la beauté de leurs plumes et la puissance de leur présence se révèlent sous la gélatine argentique et dans les couleurs évanescentes caractéristiques du photographe. Cette série inédite de Roversi offre un nouveau regard sur les oiseaux : leurs liens aux hommes, comme modèle artistique.
For this fifteenth title in the collection, the great fashion and portrait photographer Paolo Roversi invites falconry birds into his studio and produces an intriguing series in which owls, owls and falcons appear drenched in saturated light on large-format Polaroids. The Italian photographer's signature minimalist approach to portraiture and monochrome tones reveal these birds of prey in all their majesty. Installed on a stool or the back of a chair, the birds pose elegantly, their eyes sometimes astonished to have become subjects worthy of attention. Time seems to stand still: in shades of violet or almost old gold with a patina, the birds' quiet presence, sudden flight and surprised gaze almost verge on the painterly. This new series by Roversi offers a new way of looking at birds: their relationship with man, as an artistic model.
21/01/24
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lilyblackdrawside · 7 months
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I really don't know why, but the liberi in Arknights have some of the most leg-focused outfits. It's just so explicitly aimed at me. Plume, GreyThroat E2 (but even in her E1 artwork), Fartooth, Archetto E2, several of Bibeak's artworks, Firewhistle???? hello??, Erato both her winter outfit and her E2 the way her legs contour against her dress is just so, even Mr. Nothing gets in on the "laying back and posing your legs out" action in his alternate outfit, don't even get me started on Aciddrop, Kafka who wear a miniskirt for gardening for some reason and then her winter outfit, which isn't really about her legs but is just wholly attractive, jesus christ Cantabile, La Pluma is just 70% leg, even Pinecone - she's a construction worker who makes sure to serve.
Is this just me maybe being a bit fixated? I'd like to say sure, but there's definitely a running theme here. It's only odd because of all animals, birds aren't exactly known for their supple legs, but I really don't mind it.
Had to go and check: Poncirus and Bryophyta keep the trend going and really no need to mention Ho'olheyak, who isn't a liberi on paper but someone in DV said she is, which really isn't any legitimate evidence, since it wasn't even said in her presence, but I'll count her anyway.
I'M SO SORRY ORCHID I forgot about you because you can't hang with the Elite 2 crowd! She's one of the best examples too: She has a transparent skirt that covers one leg. Her outfit is like a dress with a side-slit where she sticks one leg out, but then her other leg is visible anyway behind the sheer curtain. Skade is such a genius. And that's not even mentioning her alt outfit that we don't have yet.
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witchyphoebe · 5 months
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Happy Yule!
My first Yule as a witch! I wish everyone to get rid of negativity and bad things to fill your life with hapiness and joy as Nature fills herself with life and longer day light from now on <3 I'm not sure what ritual to accomplish for this longest night of the year, so I'm just gonna think about what I want next, and what I want to get rid of. And maybe light a nice candle :)
I have a friend who celebrates the winter solstice, and read a story for his children: It's in french so I'm gonna translate it in english, sorry if it's not like the one you would know in original english ^_^' (The french version is below the english version for those who can understand)
The Sun Bird
Once upon a time, there was a bird whose feathers were made of light.
When it crossed the sky, its spread wings lightened the world, and all the trees from Earth felt the soft warmth of its breath on their leaf.
It was named Sun bird.
Every day, the Sun bird circled the globe.
Trees were waiting for its arrival every morning, at dawn, and saluted its departure, every evening, at twilight.
When Sun was on the other side of the Earth, night fell and trees slept.
The Sun bird only lived to offer everyone its light and its warmth, but through the years, it got more and more tired.
"If I land just for one moment, said Sun, what would the trees become on the other side of Earth, too long deprives of my light?"
So, it kept going.
The more its trip kept going, the more distant its warmth became, and the days kept getting shorter and shorter.
Trees saw their leaf turning yellow, red, then fall, and snow covered their branches.
Soon, the nights seemed endless, and everyone were asking themselves: will Sun rise tomorrow?
One day of December, exhausted, the Sun bird landed on top of the only tree on Earth whose branches weren't bare: the fir.
As its last feather lights were fading out, Sun saw for the first time sky turning black and covered with many little sparkling lights.
And the tree said to the bird:
"Today, you are weak, because I fed from your sparkle during the whole year.
Today, rest under my branches, sheltered from the wind and cold, and tomorrow, the lights from your feather will come back, and with it the soft warmth of your breath, and trees will find their leafs back."
That's why, every year, when nights get longer and longer, kids decorate a tir tree hanging sparkling ornaments on their branches, and place at its foot, star-shaped biscuits
and a small glass of Calvados.
They know that during the longest, the coldest and the darkest night, Sun is resting.
And if we are lucky, maybe the bird will land on top of our tree, and maybe we will find, at the foot of our tree, in the morning, some light feather, and gifts left by the bird.
For it is from the embrace of bird and tree that the seasons are born, and that night comes after day, and day comes after night.
************** French Version below *****************
L'oiseau Soleil
Il était une fois un oiseau dont les plumes étaient faites de lumière.
Lorsqu’il traversait le ciel, ses ailes déployées illuminaient le monde, et tous les arbres de la Terre sentaient sur leurs feuilles la douce chaleur de son souffle.
On appelait cet oiseau Soleil.
Chaque jour, 
L’Oiseau Soleil faisait 
le tour de la Terre.
Les arbres guettaient son arrivée le matin, à l’aurore, et saluaient son départ, le soir, au crépuscule.
Lorsque Soleil était de l’autre côté de la Terre, la nuit tombait et les arbres dormaient.
L’Oiseau Soleil ne vivait que pour offrir à tous et toutes sa lumière et sa chaleur, mais à mesure que l’année avançait, la fatigue le gagnait. « Si je me pose, ne serait-ce qu’un instant, disait Soleil, que deviendront les arbres de l’autre côté de la Terre, privé trop longtemps de ma lumière ? » Alors, il continuait.
Plus son voyage durait, plus sa chaleur se faisait lointaine, plus sa lumière se faisait pâle, et plus les jours se faisaient courts.
Les arbres voyaient leur feuilles jaunir, rougir, puis tomber, et la neige recouvrir leurs branches.
Bientôt, les nuits semblèrent interminables et chacun se demandait : Soleil se lèvera-t-il demain ?
Un jour de décembre, épuisé, L’Oiseau Soleil se posa au sommet du seul arbre sur Terre dont les branches n’étaient pas nues : le sapin.
Alors que s’éteignaient ses dernières plumes de lumière, Soleil vit pour la première fois le ciel devenir noir et se couvrir d’une myriade de petits points scintillants.
Et le sapin dit à l’oiseau :
« Aujourd’hui, tu es faible mais je suis fort, car toute l’année je me suis nourri de ton éclat.
Aujourd’hui, repose-toi sous mes branches, à l’abri du vent et du froid, et demain la lumière de tes plumes reviendra, et avec elle la douce chaleur de ton souffle, et les arbres retrouveront leurs feuilles. »
Voilà pourquoi, chaque année, lorsque les nuits s’allongent, les enfants décorent un sapin en accrochant de brillantes décorations à ses branches, et posent à son pied des biscuits en forme d’étoiles
et un petit verre de Calvados.
Ils savent qu’au cours de la nuit la plus longue, la plus froide et la plus noire, Soleil cherche le repos.
Et si nous sommes chanceux, peut-être l’oiseau se posera-t-il au sommet de notre arbre, et peut-être trouverons nous au matin, au pied de notre sapin, quelques plumes de lumière, et des cadeaux laissés par Soleil. Car c’est l’étreinte de l’oiseau et de l’arbre que naissent les saisons, et que la nuit succède au jour, et le jour à la nuit.
How about you witch community ? What do you do for Yule ?
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metacarpus · 9 months
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27 août - repartir de zéro
repartir, s'envoler, n'emmener que les livres les plus légers et des plumes de pie trouvées sur le chemin. j'ai souvent fait ça, j'ai gardé le cap en changeant d'océan. mais on n'arrive jamais au bout de ses peines ; on se déchire, on se rend la tâche plus difficile, on cède aux peurs et on repart comme avec les Erynies aux trousses. puis on grandit. on pose sa valise. on respire plus profondément. doucement, doucement.
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libriaco · 1 year
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Le coincidenze
All'improvviso è comparso, sul mio comodino, un libro di Leskov: "Una famiglia decaduta".
Quel bel piano di legno, dove riposano pile di cartalibri, un ereader, due cellulari, due tablet, un paio di cuffiette bluetooth, un power-bank, una moleskine per le note e alcuni lapis, evidentemente è stato l'oggetto di una 'messa in ordine' da parte di mia moglie. Ora, io considero quell'ampia superficie una naturale estensione delle mie scrivanie (plurale!) e quindi soggetta alla stessa regola che vige per loro: nulla deve essere toccato, spostato, aggiunto o tolto, pena il mio impazzimento nel ritrovare un qualsiasi oggetto che, con memoria fotografica, ricordo a quale livello di stratificazione appartenga, vicino a cosa sia e perché lo abbia amorevolmente accomodato lì (certo in attesa che, un anno o l'altro, mi punga vaghezza di riaverlo tra le mani). Questa 'riorganizzazione' del piano in noce mi ha proprio infastidito ma mi sono ben guardato dal fare commenti; si sa, siamo nel periodo delle feste...
Il libro era in bella evidenza, chissà perché; se siete buoni lettori sapete senza dubbio che i libri, dotati di una vivace vita autonoma, spesso si nascondono e non si fanno trovare nonostante ricerche capillari, per poi sbucare fuori, all'improvviso, dove meno ci si aspetta. Questo libro però io non lo stavo cercando, quindi, da bell'esibizionista, ha evidentemente trovato il modo di mettersi in mostra per imperscrutabili motivi tutti suoi. Si tratta di un economicissimo pocket Longanesi, risale alla fine degli anni '60 e quasi certamente apparteneva alla biblioteca di mio suocero; però il romanzo devo averlo letto anche io, nel periodo adolescenziale dell'innamoramento con gli scrittori russi; sicuramente dopo i Grandi, però. Lo sfoglio e vado a cercare chi ne sia il traduttore: noi common readers abbiamo un sacco di fissazioni, una di quelle che ho io è di sapere chi traduca/tradisca i testi che leggo; nel caso specifico si tratta di una coppia: Dan Danino di Sarra e Leo Longanesi. Rimango perplesso: mi passa per la mente che il primo, sconosciuto, sia un nom de plume; che Leo Longanesi conoscesse il russo non l'ho mai saputo e forse ha solo 'aggiustato' la traduzione, facendo da editor al primo traduttore: in fondo lo ha pubblicato nella sua stessa casa editrice e avrà voluto avere un buon 'prodotto'.
Faccio qualche ricerca e scopro che Dan Danino (detto Dante) di Sarra era uno slavista, profondo conoscitore di lingue e civiltà slave, docente presso l'Istituto Universitario Orientale di Napoli, traduttore di autori russi, polacchi e cèchi tra cui Ljeskov, Gor’kij, Achmatova. "Il suo curriculum annovera attività didattica, pregevoli traduzioni di autori russi, polacchi e cèchi, autorevoli riconoscimenti per la promozione della cultura dell’Est in Italia, collaborazioni a riviste nazionali e straniere di rilevanza intellettuale, rigorose ricerche filologiche nel grande gruppo delle lingue slave. La severità dei suoi studi lo pose tra gli intellettuali bene considerati nei Paesi slavi e nel mondo della Slavistica italiana."  Leggo  QUI. Lo studioso era originario di Fondi. Quest'ultima informazione mi fa accendere, fioca, una lampadina: Fondi, Alberto Moravia, Elsa Morante, “La ciociara”... (uno dei peggiori libri che abbia mai letto).
Approfondisco e scopro che quando Moravia e consorte sfollarono da Roma nel 1943, sperarono di essere aiutati proprio da due loro buoni conoscenti che vivevano a Fondi: i giovani fratelli di Sarra; all'arrivo nel paese non trovarono però Dante, che era impegnato in una docenza a Bratislava, tuttavia la sua famiglia, per i coniugi Pincherle  (che si erano sposati nel 1941, testimone di nozze Leo Longanesi...), riuscì a trovare, nei dintorni, una casetta dove si rifugiarono per mesi e dove Moravia scrisse “La Ciociara”, il suo capolavoro (ironia, eh, ironia!).
Resto tuttavia pensieroso: perché il libro sarà improvvisamente comparso in bella vista? Vorrà ricordarmi di andare a leggere anche "L'angelo suggellato" di cui mi parlò con calore un'amica tempo fa? Mi starà suggerendo di riprendere in mano il saggio di Benjamin su Leskov?   Vorrà che lo rilegga perché il messaggio che mi deve comunicare è contenuto proprio nel testo? Oppure c'è  qualcos'altro che non ho ancora capito?
N. Ljeskov (sic) [Захудалый род - Zahudalyj rod, 1874 ], Una famiglia decaduta, Milano, Longanesi, 1967 [Trad. D. di Sarra, L. Longanesi]
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les-faits-plumes · 1 year
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larmes de folichonnerie
jamais sous pression de Laplace idéale je bulle, bubulle au gré des angles de contact et me pose entre rêve et réalité pour maintenir ma bullessence loin des tympanismes bruyants qui me ballonnent l’atmosphère toujours à la recherche d’émulsions cultivant mon paradis sur Terre © Les faits Plumes
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newattitude · 10 months
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Beyond - La Plume - Avantage
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Beyond - La Plume - Avantage par ✰ ​​​​​​​​Pтιтɴoυrѕ Alтer ✰ Via Flickr : ✰ Credit ✰ 
  Beyond - Grace Dress 
  AVANTAGE - Set "Wendy" Garter - DollHolic Event 
 Pose : La Plume - collection Agnes et Benjamin 
 NEW ATTITUDE ● New Attitude Blog ● Twitter ● Tumblr ● Pinterest ● Instagram ● Flickr ● Facebook
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J23 ▪️ Ostheim vor der Rhön - Mellrichstadt
14,8 km [512,7]▫️+290 m [+11 305]▫️17 °C
LE DRAME ! Il est l’heure de partir. Je lace mes chaussures encore humides, j’enfile mon coupe-vent, je hisse mon sac à dos sur mes épaules et… mon chapeau ! Où est mon chapeau ? On perquisitionne la chambre, je vide mon sac à dos au cas où il aurait essayé de jouer les passagers clandestins. Rien. Mince ! Peut-être est-il resté au bar. Plein d’espoir, je demande à la patronne en lui remettant les clés, avec mon plus bel accent : « Haben sie einen grünen Hut gefunden ? » et un sous-titrage en langue des signes pour mettre toutes les chances de son côté. “Einen grünen hut ?” reprend-elle avec une moue de perplexité prononcée. Je hoche la tête affirmativement. Elle se tourne vers sa mère à droite avec un coup de menton interrogateur, puis vers sa fille à gauche, car ici on travaille en famille. Et le verdict tombe, à l’unanimité du jury : « Wir haben keinen Hut gefunden ». Mon chapeau ! On avait fait tant de kilomètres ensemble, protégeant mon crâne chauve des ardeurs du soleil, de la froidure du matin et de la pluie du ciel… et pfff, comme ça, évaporé un beau matin. C’est trop injuste. Compatissante, Mireille me prête le sien, un bob bleu marine très classe qu’elle ne sort que pour les grands événements de type déluge.
Il ne pleut pas ce matin mais avec seulement 13 °C et un petit vent, j’apprécie de garder mes idées et mes pensées au chaud.
Bien que très affecté moralement par ma perte, je ne me laisse pas aller ! Un nouveau projet se forme sous la chaleur du bobamimi, acheter un nouveau chapeau, pourquoi pas dès aujourd’hui, et pourquoi pas avec une petite plume comme ça se fait ici en Bavière. Mellrichstadt est une assez grande ville, il doit bien y avoir un magasin de sport. Que dit Google ? Bingo ! Un Intersport ! Dès la lessive essorée et mise à sécher (c’est mon boulot dans le cadre de notre politique d’égalité des tâches randonnières), nous allons à l’Intersport. J’ai le cœur qui bat. Le magasin est bien plus grand que je ne l'imaginais mais le rayon bob plus petit aussi. Il y a trois quatre modèles. Pas de coup de foudre, mais on a appris à se contenter de peu, vous le savez déjà. J’essaie un premier modèle. Il me tombe sur les yeux. Trop grand. L/XL indique l’étiquette. Pas grave, on va chercher le M. Eh ben pas de M. Pour aucun des modèles. On trouve un deuxième îlot de bobs au rayon plage, idem. On regarde même les bobs que portent les mannequins… L/XL. Incroyable ! Les Allemands ont tous la grosse tête ! Je le pensais bien un peu mais là ça devient fait avéré. À force de déambuler fiévreusement dans les rayons à la recherche du bob M, on attire l’attention d’une vendeuse. « Chapeau - Trop grande - L/ XL - Je M besoin ». Lui dis-je. J’ai l’impression qu’elle sait qu’il n’y a que des grandes tailles. Elle compatit, réfléchit, nous laisse un instant et revient avec un petit bob couleur pistache. Mireille, qui sait cacher ses émotions comme personne, fait la moue et les yeux du « wakilèlè ». Qu’importe ! Je l’essaie. Il tient sur ma tête, c’est déjà formidable. Et puis c’est bon la pistache ! « Okay », dis-je en allemand. À la caisse, la vendeuse qui a bien compris que c’était pour mettre tout de suite, enlève l’étiquette d’un coup de ciseaux rapide et précis. Sitôt sorti, je pose mon nouveau compagnon sur mon crâne et, faisant fi du sourire narquois de Mireille, nous partons tous trois visiter la vieille ville sous le ciel bleu enfin réapparu.
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chic-a-gigot · 1 month
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La Mode illustrée, no. 15, 12 avril 1896, Paris. Robe en lainage rayé vert-de-gris. Robe en lainage beige. Robe en mohair bleu marine. Robe en taffetas gris. Modèles de chez Mmes Coussinet-Piret, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Robe en lainage rayé vert-de-gris.
La jupe unie est faite en lainage rayé, la basque du corsage assez longue, plissée derrière, fendue plusieurs fois sur les hanches, s'écarte devant de façon à laisser voir un gilet long et pointu en soie côtelée crème, orné de petites poches encadrées de galons vert-de-gris. Le corsage est garni de larges revers en soie crème, encadrés de galons. On pose sur le gilet de la gaze crème, terminée au bord supérieur sous un nœud de gaze. le col droit est entouré d'une fraise en gaze. Les manches sont ornées de boutons.
Chapeau en crin blanc, garni de nœuds crème et de roses nuancées.
Verdigris striped wool dress.
The plain skirt is made of striped wool, the basque of the bodice is quite long, pleated at the back, slit several times at the hips, spreads at the front to reveal a long, pointed cardigan in cream ribbed silk, decorated with small framed pockets. verdigris braid. The bodice is trimmed with large cream silk lapels, framed with braid. Cream gauze is placed on the vest, finished at the upper edge under a gauze knot. the straight collar is surrounded by a gauze ruff. The sleeves are decorated with buttons.
White horsehair hat, trimmed with cream bows and shaded roses.
Robe en lainage beige.
Cette robe se compose d'une jupe unie et d'un corsage, plat derrière, froncé devant, terminé par une ceinture. Le corsage est orné devant d'un jabot en dentelle auquel se rattache un col avec ruche en gaze. Les autres garnitures du corsage se composent d'un col en perles brodé sur de la gaze, et de larges revers. Les manches sont garnies de ruches. Le chapeau, fait en paille satin beige, est orné de rubans beige et rouge.
Beige woolen dress.
This dress consists of a plain skirt and a bodice, flat at the back, gathered at the front, finished with a belt. The bodice is decorated in front with a lace frill to which a collar with a gauze ruffle is attached. Other bodice trimmings consist of a beaded collar embroidered on gauze, and wide lapels. The sleeves are trimmed with ruches. The hat, made of beige satin straw, is decorated with beige and red ribbons.
Robe en mohair bleu marine.
Robe en mohair bleu marine avec corsage plat et jupe à godets unie. Le corsage, terminé par une ceinture, est orné d'un plastron en guipure brodé de perles, encadré par des garnitures en gaze noire brodée de perles. Les manches sont ornées de revers semblables; le col droit est garni d'une fraise en dentelle.
Toque en tulle de soie noir, garnie d'une couronne de fleurs de pommier, et de rosaces en dentelle.
Navy blue mohair dress.
Navy mohair dress with flat bodice and solid godet skirt. The bodice, finished with a belt, is decorated with a guipure bib embroidered with pearls, framed by black gauze trims embroidered with pearls. The sleeves are decorated with similar cuffs; the straight collar is trimmed with a lace ruff.
Black silk tulle hat, garnished with a crown of apple blossoms and lace rosettes.
Robe en taffetas gris.
Cette robe, en taffetas gris, a une jupe large, fendue de chaque côté deux fois jusqu'aux hanches; les fentes sont remplies avec du taffetas gris plus foncé, plissé. Les bords de l'étoffe par devant, bordant les plis, sont ornés de boutonnières simulées et de boutons en nacre grise.
Le corsage est garni derrière d'une basque courte ondulée; il forme un corselet devant. Le bord supérieur du corsage par devant est couvert par de la soie fine plissée; on y pose en outre un morceau de passementerie terminé en pointe. Les manches sont ornées de revers en dentelle et de boutons; on fait retomber sur le col droit des morceaux de dentelle.
Chapeau rond en paille grise, garni de rubans gris et de plumes rouge ombrées.
Gray taffeta dress.
This dress, in gray taffeta, has a wide skirt, slit on each side twice to the hips; the slits are filled with darker gray, pleated taffeta. The edges of the fabric at the front, bordering the pleats, are decorated with simulated buttonholes and gray mother-of-pearl buttons.
The bodice is trimmed behind with a short wavy basque; it forms a corselet in front. The upper edge of the front bodice is covered by fine pleated silk; a piece of trimmings finished in a point is also placed on it. The sleeves are decorated with lace cuffs and buttons; pieces of lace are placed on the right collar.
Round gray straw hat, trimmed with gray ribbons and ombré red feathers.
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moon-girls-stories · 1 year
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~ Hunger Games ~ Finnick Odair X F!Reader
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Synopsis : Être la fille de Snow n'est pas toujours facile. En fait, ça ne l'est jamais. Encore plus lorsque le chéri du Capitol vous plaît. Et si ce n’était que ça…
Point de vue Reader :
Je suis allongée de tout mon long sur mon lit king size, bouquinant un vieux livre d’histoire  qui raconte la chute de l’ancienne politique. Mais je ne reste pas tranquille bien longtemps, l’un des serviteurs de mon père venant toquer à la porte de ma chambre.
-Entrez !
Le serviteur entre après mon ordre. Il se courbe en avant alors que je me redresse en une position assise.
-Jameson, je vous ai déjà dit que vous n’aviez pas à vous courber devant moi sans la présence de mon père. Redressez vous. 
-Excusez moi mademoiselle. Votre père vous demande dans son bureau.
-N’est-il pas en réunion avec les vainqueurs du 4 ?
-Il demande votre présence. Je n’ai pas plus d'informations.
Je me lève de mon lit et mets mes chaussures à talons transparents, ajustant ma robe courte faites de grandes plumes synthétiques blanches. 
-Comment suis-je, Jameson ? Et sois honnête.
-Magnifique, comme à votre habitude. Mais si je peux me permettre…
Il entre complètement dans ma chambre et se dirige vers mes bijoux. Je l’observe faire, lui souriant gentiment. Il récupère un joli collier d’épaule fait de diamant sublime. Ceci est un cadeau de Cina et César pour mon 19ème anniversaire. Il m’aide à le mettre avant de reculer de deux grands pas.
-Très bien, allons-y maintenant ou mon père risque de s’impatienter.
-Je suis convaincu qu’il l’est déjà.
Je ricane avant de mettre une main devant ma bouche. Je me tourne vers Jameson, c’est un vieux monsieur bien conservé qui est au service de mon père depuis des années maintenant. Il m’a vu grandir et a essuyé d’un revers de main tous mes chagrins. Il me connait surement mieux que mon père.
-Jameson, nous ne mettons pas dans l’embarras. Les murs ont des oreilles vous savez.
-Bien sûr, mademoiselle.
Nous marchons à la hâte jusqu’au bureau de mon père, parlant tranquillement de plusieurs sujets sans importance avant de discuter des futurs Hunger Games, ce jeu ne va pas tarder à faire son grand retour.
-Quel district allez-vous parrainés cette année ?
-Je ne sais pas encore. J’aimerai aller à la rencontre des districts un par un, être en contact avec eux pour savoir quoi mettre en place pour les aider. 
-Votre demande sera refusée, mademoiselle. Les habitants de ces districts essaieront sans aucun doute de vous tuer pour se venger du président.
-Au risque de se faire incendier par mon père ? Je ne les crois pas aussi stupide, Jameson.
-Je ne veux que votre sécurité.
-Et mon père fera toujours en sorte que je le sois. Ne vous en faites pas, faites moi confiance.
Après la fin de ma phrase nous entrons sans même avoir toqué dans le bureau. Je marche jusqu’à mon père qui est assis face aux vainqueurs du district 4. Je lui embrasse la joue tendrement en m’excusant de l’attente.
-Tu es très jolie aujourd’hui. Me complimente-t-il.
-Merci, papa. Jameson m’a aidé à choisir.
Il regarde le serviteur qui a fermé les portes et reste planté devant elle, droit comme un piqué. Il lui adresse un mouvement de tête avant de me présenter d’un mouvement de main les vainqueurs. 
-Tu dois sûrement les connaître. 
-Oui bien sûr, j’ai beaucoup entendu parler de vous.
-En bien j’espère. Me sourit le seul tribut mâle.
Finnick Odair, le chouchou du Capitol entier. Enfin il est aussi connu pour les expériences incroyables qu’il offre au lit.
-Cela dépend des domaines. 
Il me sourit, ses dents blanches bien alignées scintillantes alors que Mags pose une main sur le bras d’une petite rousse, Annie. Elle a gagné ses jeux sur un pur coup de chance. Mais je suis heureuse qu'elle ait pu survivre à l’arène. 
-Pourquoi ma présence ?
-Je voulais que tu les rencontres. J'aimerais te  laisser la gestion des Hunger Games, d’ici quelques années. Il est temps que tu apprennes.
Mon visage devient livide alors que je me tourne vers lui, complètement démunie.
-Je ne suis pas une grande fan de la violence, tu le sais bien, papa. Je ne suis pas convaincue que je sois la meilleure personne pour superviser un jeu de mort imminent.
Ma réponse n’a pas l’air de lui plaire, je le vois à la contraction de sa mâchoire et ses yeux vicieux qui se posent sur moi. Je prends une inspiration avant d’essayer de m’expliquer. 
-Ecoute-moi pour une fois, s’il te plaît. Les Hunger Games sous mon commandement seront une catastrophe, je ne peux pas faire ça aussi bien que toi. Je n’ai pas ton expérience.
-C’est pour cela que tu apprendras à mes côtés. Je serai ton formateur. Ton apprentissage commence dès cette année.
Je jette un regard à Jameson qui me fait signe d’accepter. Je me retiens de soupirer et souris à mon père, comme si j’étais heureuse de la responsabilité qu’il me donne.
-Je ne te décevrai pas, papa.
-Je le sais. Finnick s’occupera de ton introduction aux dessous des Hunger Games. Tout est déjà vu avec lui.
-Oh. Très bien. Pourquoi pas les vainqueurs du 1 ou du 2 ?
-Je m’occuperai de toi comme une princesse. Les autres sont un peu brutes.
-Mais il faut l’être pour gagner les jeux, n’est-ce pas ?
-Bien sûr, mais il faut savoir être pleins d’autres choses pour gagner.
-J’ai hâte que vous m’en appreniez plus, monsieur Odair.
Je lui souris sincèrement, ce qui semble le perturbé un peu. Mon père toussote faiblement, me ramenant à lui.
-Finnick restera au petit palais avec toi, ta sœur et les domestiques.
-Bien.
-Peux-tu l’accompagner avec Jameson ?
-Avec plaisir.
Je me tourne pour faire face à Finnick qui est déjà debout, disant au revoir aux deux femmes. Je l’observe silencieusement et patiemment, il tient à elle, cela se voit par ses gestes. Il est tendre et protecteur avec elles. Il finit par se tourner vers moi avec un fin sourire mais qui ne reflète rien de particulier. Je l’invite à me suivre alors que Jameson nous ouvre les portes. 
-Jameson, demandez aux domestiques de préparer notre voyage au petit palais. Qu’ils fassent les valises, je pense que nous allons y rester un long moment.
-Très bien mademoiselle.
-Merci. Suivez-moi, je pense pouvoir vous emmener à un endroit qui devrait vous plaire.
-Ah oui ? Quel est cet endroit, mademoiselle Snow ?
- T/P T/N.
Il me regarde en fronçant les sourcils, ne comprenant pas vraiment alors que je ricane de son état. Mais je ne compte pas lui expliquer quoi que ce soit, s’il veut savoir il devra demander.
-Par ici.
Il me suit jusqu’à l’extérieur dans les jardins avant qu’on n’entre dans une serre. On suit un petit chemin avant d’arriver sur une piscine ressemblant plus à un lac à l’eau bleu turquoise magnifique.
Je me tourne vers le vainqueur et vois sa mâchoire se décrocher. Je ricane légèrement attirant son attention alors je mets une main sur ma bouche, étouffant mon rire. Il attrape doucement mon poignet et le tire doucement vers le bas, me souriant comme s’il voulait me charmer.
-Je n’ai jamais entendu quelque chose de si mignon.
Je n’ai le temps de rétorquer que Marlo débarque comme un bourrin. 
-Ne la touchez pas, vous n’en êtes ni digne ni autorisé.
-Marlo. Ai-je coupé alors que mon agent de sécurité s'approchait de Finnick, l'éloignant de moi.
-Et vous, mademoiselle, il va falloir que l’on revoit les règles de sécurité. Me dit-il durement alors que je le regarde suppliante. Et ne me faites pas votre regard de chaton en détresse. Cela ne marche pas.
Il prend ma main et me fait prendre une distance absolument exagérée du vainqueur du 4. Ce dernier sourit, amusé de la situation, pour autant je ne trouve rien de drôle.
-Visiblement s’il faut que je révise les règles de sécurité il faut que tu révises tes bonnes manières, Marlo.
-Mademoiselle n’est pas en mesure de me réprimander.
-Et pourquoi ?
-Parce que vous vous mettez en danger telle la petite fille naïve que vous êtes !
Je fronce les sourcils, nous sommes repartis pour une longue dispute pleine de cris et d'insultes.
-Hé, n’hausse pas le ton sur elle. Elle n’a fait que me montrer cet endroit.
-Où il y a de l’eau. Et tu es un tueur hors pairs au sol autant que dans l’eau.
-Il ne me fera pas de mal, Marlo. Ce n’est pas un monstre !
-C’est un tueur, mademoiselle. C’est du pareil au même.
-Vous avez fait de lui un tueur de ce que je sache alors cessez votre hypocrisie ! 
-Mais…
-Dehors ! Immédiatement !
-Votre père… !
-Je viens de te donner un ordre, exécute le ou tu le seras.
Le grand homme en smoking noir dévisage longuement Finnick avant de me regarder froidement mais je tiens son regard.
-Je ne serai pas loin.
-Parfait, faites en sorte que je ne vois pas votre tête d’ici notre arrivée au petit palais.
Il acquiesce avant de se poser je ne sais trop où en dehors de la serre.
-Tout va bien ? Me demande le blond, le visage penché en avant.
-Ce n’est pas moi qui a été insulté. Allez-vous bien, vous ?
Il semble surpris mais chasse le sentiment en quelques secondes seulement. Cette capacité à passer d’une émotion à une autre est inquiétante. Il arbore maintenant un sourire suffisant.
-Je n’ai pas pour habitude qu’on me pose cette question. Mais ça va, j’ai vécu pire.
-J’imagine.
-Vous n’avez pas l’air de vraiment savoir mon parcours. Suivez-vous les Hunger Games, mademoiselle ?
-Pas vraiment, je n’aime pas ce jeu. Il est stupide. Je préfère lire des livres contant l’histoire. Mais récemment j’ai dû m’y intéresser. Pour vous.
-Pour moi ? Interroge-t-il, presque au bord de l’hilarité.
Je fronce les sourcils, ne trouvant pas le sujet drôle.
-Riez-vous des tributs morts dans l’arène monsieur ? Ou encore de la pauvreté dans laquelle vit les populations des 5 à 12 ? Parce que je ne trouve pas cela amusant.
-Non, pardon. 
-Vous êtes quelqu’un de bizarre. Est-ce que Marlo a raison, êtes-vous fou ?
-Je suppose qu’il faut être un peu fou pour survivre au jeu. Qu’est-ce que vous en pensez ?
-Je pense qu’il faut être courageux et fort. Dans plein de domaines.
-Vous n’avez pas totalement tort.
-Bien sur.
Un blanc s’ensuit alors que je réfléchis à ce qu’il vient de me dire. Les tributs choisis ne peuvent décidément pas tous être un peu fous. Comment mon père aurait su que ces tribus étaient fou avant même que les jeux commencent ? Soudain j’entends le bruit d’un plongeon avant que de le ne m’éclabousse sur la joue. Je laisse échapper un cri de surprise avant de regarder le lac, Finnick est dedans, torse nu, seulement avec son pantalon ample. Son tee-shirt est par terre, à quelques pieds de moi. Il ressort de l’eau plus loin, secouant la tête en reprenant sa respiration.
-L’eau est-elle à votre convenance, monsieur Odair ?
-Aussi parfaite que vous, mademoiselle.
Son compliment raisonne dans la serre alors que je ne peux m’empêcher de rire à sa bêtise. Je m’installe sur un transate alors qu’une domestique arrive pour me demander les collations que je souhaite, je lui demande simplement deux limonades fraîches. Entre-temps, Jameson revient vers moi, apportant deux trois livres pour m’occuper. Il observe longuement Finnick faire des longueurs avant que je ne lui donne un coup de coude léger sur son côté, il me regarde à présent.
-Jameson, ne le regardez pas comme s’il venait d’une autre planète. C’est impoli.
-Se mettre à moitié nu devant vous est impolie, mademoiselle.
-Je l’aurai trouvé stupide s’il se baignait tout habillé.
-Il est vrai.
-Le trouvez-vous stupide Jameson ?
-Finnick Odair est quelqu’un de très malin, mademoiselle. C’est pour cela que vous devez redoubler de méfiance.
-Vous, vous avez parlé avec Marlo, je me trompe ?
-C’est possible.
Je souris à leurs comportements surprotecteurs mais dans tous les cas Finnick va m’accompagner de partout pendant un certain temps alors autant le mettre à l’aise dès maintenant. 
-Nous partirons ce soir. 
-Superbe. Merci, Jameson. Vous pouvez disposer.
Il semble hésitant avant de se courber en avant et de quitter la serre. C’est alors que Finnick nage vers moi avant de sortir de l’eau. L’eau ruisselle sur sa peau bronzée, venant finir leur course sur son vêtement.
-La vue vous plaît mademoiselle T/N ?
Je le regarde droit dans les yeux, les joues chauffantes alors que la honte grimpe en flèche dans mon corps. Je bafouille des excuses avant de porter mon attention sur mon livre d’histoire. Il s’amuse de la situation, ricanant joliment, mais encore une fois quelque chose me dérange de sa manière de faire. On dirait que toutes ses réactions sont faussées par je ne sais trop quoi. 
Il s’assoit à côté de moi, sur le transate parallèle au mien. Je ferme mon bouquin et le fixe dans les yeux, il fait de même me souriant.
-Puis-je poser une question ?
-Vous devrez payer.
-Comment payer ?
-Oh vous voulez vraiment poser votre question… 
-Dites moi.
-Un secret. Et vous aurez ma réponse.
Je fronce les sourcils, il veut un secret ? Pourquoi faire ? Je trouve ça totalement déplacé.
-Les secrets sont personnels. 
-C’est ce qui est intéressant.
-Et les gens vous disent leurs secrets ?
-Bien sûr.
-Qu’ont-ils en échange ?
Son visage se ferme quelques secondes avant qu’il ne détourne le regard, se massant le menton, comme s’il réfléchissait à la meilleure réponse.
-Qu’est-ce que vous connaissez sur moi ?
-Que vous êtes le vainqueur mâle du district 4, tout le monde vous idolâtre au capitol mais je ne comprends pas pourquoi. Vous êtes certes beau garçon et charmant je ne trouve pas que vous avez une âme exceptionnelle.
Il me regarde comme si j’étais un extraterrestre et je ne comprends pas. L’ai-je vexé ?
-Vous ne me voulez pas alors ?
-Vous vouloir pour quoi faire ?
 -Mon corps. 
Là, c'est moi qui le regarde comme s’il venait d’une autre planète. Je prends enfin conscience de ce qu’il m’avance et je lui envoie mon livre dans la figure, le surprenant. Il se l’est pris dans le nez.
-Hé !
-Non mais qu’est-ce que vous avez dans la tête ?
-C’était une simple question.
-Nous devons nous préparer pour le voyage ! Magdalen, donnez lui de quoi se sécher et dites à Jameson de s’occuper de lui. 
-Oui, mademoiselle.
Je me tourne vers Finnick toujours aussi rougeoyante. Je ne sais pas quoi lui dire alors je le dépasse en récupérant mon second livre. Je lui laisse cependant celui qu’il a dans les mains. Je me tourne de nouveau vers lui et le lui montre de l’index.
-En espérant qu’il vous serve un minimum à vous instruire.
Puis je quitte la serre, retrouvant directement Marlo.
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bondebarras · 1 year
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One book a day...
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“ Aujourd’hui, écrire voyage et paysages ne peut plus se faire à l’abri de la rumeur géopolitique du monde. Je ne sais pas exactement ce que doit être une écriture contemporaine aussi généreuse et précise que celle de Bouvier, mais je la vois différente. Pour moi, elle sera plus blanche encore et d’une ironie plus grinçante. Pour rendre compte du regard que les indigènes posent sur moi, possible que j’aie besoin de la fiction. (...)    Bruce Chatwin a écrit un livre qui s’appelle Qu’est-ce que je fais là. Plus d’une fois sous la plume de Nicolas se trouve la même expression. Chez l’un et chez l’autre, elle surgit quand ils se sentent perdus à l’autre bout de leur voyage. Désormais cette question se pose à nous non pas à l’arrivée, mais au départ déjà.”
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