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#L’Absinthe
es-oh-bfo-em · 7 months
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frimleyblogger · 7 months
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Another Glass Of Absinthe
How #absinthe came to be banned and how its fortunes came to be revived #alcohol #spirits
Known as “the green fairy” to its adherents and “the wicked green witch” to its detractors, absinthe was not for the faint-hearted. “After the first glass” Wilde wrote, “you see things as you wish they were. After the second, you see things as they are not. Finally, you see things as they really are, and that is the most horrible thing in the world”. Degas’ drinkers portrayed in L’Absinthe…
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magical-girl-coral · 1 year
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You know what’s the best part about “the Mona Lisa being a fake” theory is? Even if Helen didn’t burn the real painting, Miles still had a shit ton of other art pieces littered around the house. So far I’ve found:
Picasso’ Still Life With Stone is worth around 100 million dollars.
Degas’s L’Absinthe is 35 million.
Mondrian’s Composition No. II, with Red and Blue is 75 million.
Rothko’s Number 207 is around 80 million.
Matisse’s Icarus is also 80 million.
And the best part?
And these are just the painting that the movie showed us.
Mile’s house is probably filled with even more famous artworks that were destroyed when Helen blew up the Glass Onion. Just the ones I found would put him in at least 370 million worth of property damage. Now imagine how bigger the debt would be once the director pulls out a list of every piece that was destroyed along with Miles’ future.
Whether the Mona Lisa is gone or not, only one thing is for sure; No one is going to touch Miles Bron ever again.
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In a Café or L’Absinthe – Edgar Degas // More to Give – Isabel Pless
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random-brushstrokes · 2 months
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André Devambez (French, 1867–1943) - L’absinthe
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disease · 2 years
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EDGAR DEGAS / “L’ABSINTHE” / 1875–76 [oil on canvas | 92 x 68.5 cm.]
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artejoke · 1 year
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Absinthe makes the heart grow fonder
Edgar Degas, L’Absinthe, 1873, Musée d'Orsay
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zaboun64 · 11 months
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Préparation de l’absinthe
©️isabelle buffet
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MERCREDI 19 AVRIL 2023 (Billet 1 / 4)
Non, nous ne sommes pas allés hier voir l’Exposition « Basquiat x Warhol » à la Fondation Louis Vuitton. Warhol, pourquoi pas… mais Basquiat, franchement, nous n’avons jamais compris et nous ne comprenons toujours pas la cote de ce peintre.
Pour mémoire, le tableau ci-dessus, « Untitled » (1982), a pulvérisé en 2017 le record d'enchères de ce peintre lors d’une vente d'art contemporain de Sotheby's à New York, lorsqu’il a fait tomber le marteau pour 110,5 millions de dollars !!!
NON, NON et NON !!!
Nous avons préféré nous rendre au Musée d’Orsay pour l’Exposition « Manet / Degas ».
Mais même s’il est un million de fois préférable d’être devant un tableau de Monet ou de Degas plutôt que de regarder, avachi sur une banquette, le énième épisode d’une série sur Netflix… nous devons vous avouer que nous avons été un peu déçus par cette Exposition.
Plusieurs raisons à cela : les plus beaux tableaux de Manet, nous les avions déjà vus à plusieurs reprises à Orsay (les premières années du Musées nous y sommes allés assez souvent, tous les deux ou avec de la famille ou des amis de passage…), quant à ceux de Degas, peut-être sommes nous un peu béotiens s’agissant de lui, ce sont surtout ceux qu’il a consacrés à la danse qui nous plaisent le plus. Or, dans cette « confrontation Manet/Degas », Manet n’ayant jamais peint de danseuses, il n’y en avait aucun de Degas.
Autre raison, et pas des moindres, il y avait un monde fou ! Et pourtant nous avions choisi l’heure du déjeuner. Notre conseil, si vous deviez y aller, attendez encore un peu, allez-y en dehors des vacances scolaires et surtout pas un mardi, le lendemain du jour de fermeture du Musée, c’est un employé du Musée qui nous l’a dit !
Mais on apprend plein de choses sur la vie de ces 2 peintres, sur l’histoire de leur amitié, parfois teintée de jalousie, les points communs sur les sujets traités, leurs approches différentes, etc. Deux grands génies quand même de la peinture du XIXe siècle.
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MANET / DEGAS
Au Musée d’Orsay jusqu’au 23 juillet 2023
Cette exposition est une occasion unique de découvrir les chefs-d’œuvre de deux figures phares de la nouvelle peinture des années 1860-80 : Édouard Manet (1832-1883) et Edgar Degas (1834-1917).
Manet et Degas sont souvent considérés comme des opposés : le premier est le chef de file des impressionnistes, le second est un réaliste indépendant ; le premier peint en plein air, le second en atelier ; le premier privilégie les scènes de la vie moderne, le second les sujets intemporels comme les danseuses ou les chevaux. Pourtant, ces deux artistes ont entretenu une réelle complicité artistique et amicale pendant plus de vingt ans. Ils se sont rencontrés en 1862 et ont été immédiatement attirés par leur talent respectif. Ils ont échangé des conseils, des critiques, des modèles et des tableaux. Ils ont exposé ensemble à plusieurs reprises et ont partagé une même vision de la modernité.
L’Exposition « Manet / Degas » met en lumière cette relation méconnue à travers une centaine d’œuvres provenant du Musée d’Orsay et de prêts exceptionnels d’autres institutions françaises et étrangères. Elle propose un parcours chronologique et thématique qui explore les influences réciproques, les convergences et les divergences entre les deux peintres. Elle montre comment ils ont suivi des chemins parallèles mais distincts dans leur quête d’une nouvelle expression picturale.
Vous pourrez admirer des chefs-d’œuvre tels que l’Olympia de Manet, L’Absinthe de Degas, mais aussi des œuvres moins connues mais tout aussi fascinantes comme Le Portait d’Eugène Manet ou La Famille Bellelli d'Edgar Degas. Vous pourrez également comparer leurs approches du portrait, du nu, du paysage ou du spectacle vivant. Vous découvrirez comment ils ont utilisé la lumière, la couleur, le dessin ou la composition pour créer des effets saisissants de réalisme ou d’impressionnisme.
(Source : « Plaquette de l’Exposition »)
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Musée d'Orsay Esplanade Valéry Giscard d'Estaing 75007 Paris
ACCÈS
Métro : ligne 12, station Solférino RER : ligne C, station Musée d'Orsay Bus : 63, 68, 69, 73, 83, 84, 87, 94
HORAIRES
Du mardi au dimanche : de 9h30 à 18h00
Nocturne les jeudis jusqu'à 21h45
Fermé le lundi
TARIFS
Plein tarif (18 et +) : 17 €
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Après les plaisirs de l’esprit, ceux de la chair…
Rue de Bellechasse, tout près du Musée, comme il y avait un beau soleil, nous avons préféré déjeuner en terrasse.
Marina a choisi un tartare de bœuf et JM, un sauté de veau à la crème et aux champignons. Une tuerie ! En accompagnement, nous avons commandé des pommes allumettes, un de nos péchés mignons.
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monkeyguidelines · 1 year
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it's a taylor swift playlist.
but I wanted to say, "right where you left me" is one of my favourite songs of hers and sadly enough I could relate to it. I'm the girl who lives in delusion. so, whenever I listen to this heartbreaking masterpiece, there's one picture in my mind and when I first saw it I couldn't unsee it afterwards.
L’Absinthe by Edgar Degas is a perfect picture for this song.
"Help, I'm still at the restaurant
Still sitting in a corner I haunt
Cross-legged in the dim light"
"Dust collected on my pinned-up hair"
I just think it's a perfect fit.
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nunc2020 · 2 years
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ur la France86.
Au revoir, Paris !
105Le départ des Allemands de Paris a donné lieu à un changement étonnant du ton des reportages. À la veille du débarquement, un auteur anonyme87 a réitéré encore la dénonciation de la prétendue hypocrisie des Parisiens, attendant « l’invasion » aux bistrots qui gardaient des gourmandises – du jambon à l’absinthe – cachées sous le comptoir, et où l’on aimait discuter sur le jour J, tandis qu’on paniquait, tremblant de peur, quand des bombardements alliés touchaient Paris : enfin, la réalité les a saisis. Cependant,
« […] il est difficile de comprendre comment un grand peuple peut penser de façon si impulsive et à courte vue. Mais n’était-ce pas justement la France qui avait livré il y a quatre ans un bel exemple d’une politique purement émotionnelle ? Les Parisiens, en juin 1940, ne suivaient-ils pas chaque fantassin [allemand] pour lui assurer en baragouinant qu’ils avaient été trompés par Daladier et Reynaud, Chamberlain et Churchill ? On devait les écouter, de toute façon, ils nous glissaient de force dans la main les débris de leurs illusions avec une emphase tragique. »
106Quand il dénonce l’arrogance de Paris, il semble y révéler aussi de la compréhension :
« Paris a cette arrogance à laquelle amène la beauté. La ville se sait admirée et elle s’admire elle-même, et les expériences du passé l’ont réconfortée dans son sentiment de primadonne. Moltke hésita à faire tirer sur elle, Hitler l’a épargnée – comment ne devrait-on pas se sentir invulnérable si même ceux qu’on a désignés d’habitude comme des barbares l’ont tellement ménagée ? Baignant dans cette arrogance, on avait toujours évalué le bruit miaulant des sirènes comme un avertissement théorique, on commandait un deuxième apéritif, quand ça hurlait pendant la journée, et l’on se tournait sur l’autre côté quand on était déjà au lit. »
107Quelques mois plus tard, après avoir quitté Paris, Albert Buesche écrit encore deux articles étonnamment nostalgiques, mais dont il ne veut pas qu’on les comprenne comme des éloges funéraires, car on a quitté Paris – l’auteur parle ici au pluriel – dans le sentiment que « cet adieu n’était pas un adieu pour toujours, les fils noués doivent être repris88 ». Et maintenant il peut louer cette attitude des Parisiens tant de fois condamnée dans les colonnes du Reich :
« Jamais Paris n’abandonnera son idylle. Je suis convaincu qu’elle fleurit aussi à côté de l’horreur, pendant ces semaines tourmentées, que les pêcheurs des quais de la Seine continuent sans se laisser déranger la pêche à la ligne, qu’aux Tuileries des amants se retrouvent au crépuscule, que la concierge est assise devant la porte, le soir, regardant la rue et le ciel. »
108Quand ces gens paisibles, toujours dans les nuées, devenaient abruptement des fanatiques enragés sous l’occupation, ce n’était pas en s’insurgeant contre l’occupant, mais en se plaignant de la pénurie des beefsteaks… : même quand les Allemands ont dû quitter la ville, dit l’auteur, les Français se demandaient pourquoi on ne pouvait pas s’entendre enfin. Propos qui est particulièrement grotesque, face à la joie, d’un côté, et l’esprit d’épuration, de l’autre, précédant déjà le départ des Allemands. Peut-être est-ce vrai quand il dit : « Jusqu’au dernier moment, les Français avec lesquels nous avions à faire ont, presque sans exception, tout fait pour nous aider. » Mais est-ce aussi le cas pour la scène suivante ?
« Cela ne s’oublie pas. ça ne s’oublie pas quand un Français défend une voiture allemande, chargée de bagages, dans la rue, contre l’emprise de la racaille, quand un commissionnaire remplit ses devoirs pour des Allemands, alors que les rues retentissent déjà du feu des mitrailleuses des insurgés ; quand un chauffeur prend congé, les larmes aux yeux, en souhaitant un retour prochain. »
109Pendant les quatre années entre l’arrivée et le départ des Allemands, dit l’auteur, on a montré de la bonne volonté, on a tout fait pour que les deux peuples puissent vivre un jour dans une « communauté de paix et d’ordre ».
« Est-ce que cela doit aussi partir en fumée, après que la rencontre avec cette ville, pour bien des Allemands, et l’expérience de l’occupation, pour beaucoup de Français, leur a donné une connaissance plus profonde de leur propre être et de leur chemin, une compréhension des tâches nobles et communes ? »
110Confiant pour l’avenir, l’auteur conclut avec une étrange prophétie :
« Ce qui pendant ces quatre années d’occupation allemande en France a été préparé et créé en matière d’européanité, de part et d’autre, n’est pas perdu. Un jour nous allons rencontrer de nouveau les Français de notre sens et de notre action. Entre-temps, peut-être pour un temps plus long, on aura fait, des deux côtés, son chemin seul ; plus d’un ne sera plus, peut-être, mais l’idée, elle, continuera à vivre, mûrie et purifiée. »
111Les « quatre années d’échanges culturels » sous la direction de l’Institut allemand, dont Buesche fait le bilan en janvier 1945, furent « un appel à la raison89 ». Les autorités allemandes n’ont, par exemple, pas ou très peu réglementé la production littéraire :
« Comme avant la guerre, le lecteur français reçut les nouveaux livres de Montherlant, Cocteau, Giraudoux, Ch��teaubriant, Giono, Claudel, Céline, Daniel-Rops, Drieu la Rochelle, Brasillach. D’autres furent réimprimés, comme André Gide. Des auteurs nouveaux et importants comme Gustave Thibon […] vinrent de la zone non occupée. »
112Giraudoux et Claudel continuaient à être joués, et les arts ne rencontrèrent aucune entrave, car « les autorités allemandes ne se mêlaient pas du va-et-vient de la politique culturelle française ». Le travail culturel des autorités allemandes, et avant tout de l’Institut allemand, bien que placé sous le signe de la guerre, « avait le caractère d’une rencontre dans la paix, et ses objectifs visaient bien au-delà de la guerre. » Après tout cela, conclut l’auteur,
« […] il devrait être impossible que l’Allemagne et la France oublient leurs rapports de frères dans le concert des peuples européens. Si les deux pays se sont pendant si longtemps comportés le plus souvent en frères ennemis, pourquoi la reconnaissance que des frères devraient au fond aller ensemble ne prendrait-elle pas le dessus un jour, après toutes ces expériences douloureuses et tragiques ? Ce serait un triomphe de la raison ; les deux peuples se le doivent réciproquement. »
113Un discours fantomatique ! Mais il anticipe l’attitude de maint journaliste qui reprendra la parole après la guerre, parfois dans les mêmes organes qu’avant, parfois dans de nouveaux, pour plaider la bonne entente franco-allemande comme si rien n’avait été…
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valloninfo · 2 days
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Image source: https://www.mauler.ch/fr/ Les amateurs de vin et les curieux sont invités à découvrir l'univers des vins mousseux et de la Méthode Traditionnelle lors des Caves Ouvertes Neuchâteloises, qui se tiendront les 3 et 4 mai 2024. Pour cette édition, une nouveauté marquante : la participation pour la première fois des Caves Mauler. L'événement se déroulera dans un cadre exceptionnel, au Prieuré St-Pierre de Môtiers. Les portes seront ouvertes le vendredi 3 mai de 16h à 20h, et le samedi 4 mai de 10h à 17h. Une occasion unique de rencontrer les vignerons et de découvrir leurs secrets de fabrication. Les visiteurs auront l'opportunité de déguster les vins primés de Mauler & Cie, ainsi que de plonger dans l'univers fascinant des fines bulles et de la Méthode Traditionnelle. L'équipe sur place se fera un plaisir de guider les visiteurs à travers cette expérience sensorielle inoubliable. En plus des dégustations, les gourmands auront la chance de découvrir les délices du traiteur Salt & Pepper des Verrières, une touche gastronomique qui accompagnera parfaitement les vins de Mauler. Pour profiter pleinement de cet événement, les billets sont disponibles dès maintenant sur le site cavesouvertesneuchatel.ch au prix de CHF 30.-. Ces billets offriront également la possibilité de voyager gratuitement à bord des transports publics neuchâtelois le samedi, facilitant ainsi l'accès à l'événement pour tous. De plus, pour compléter cette expérience gustative, la Maison de l’Absinthe, située également à Môtiers, vous réserve une dégustation exclusive. Sur présentation de vos bracelets Caves Ouvertes, vous aurez l'opportunité de déguster une absinthe, le vendredi 3 mai de 10h00 à 17h00 et le samedi de 10h00 à 17h00. Plongez dans l'univers envoûtant de cette boisson emblématique de la région et découvrez ses arômes uniques dans un cadre authentique. Une occasion idéale pour enrichir votre expérience lors de votre visite à Môtiers lors des Caves Ouvertes Neuchâteloises. Pour le stationnement, des places gratuites seront mises à disposition à seulement 300 mètres du Prieuré St-Pierre, notamment à l'adresse de Mauler & Cie, rue de la Gare 16 à Môtiers. Un peu d'histoire sur Mauler & Cie : Fondée en 1829, la Maison Mauler est une référence incontournable dans l'univers des vins mousseux en Suisse. Établie dans la région viticole de Neuchâtel, elle a su perpétuer un savoir-faire ancestral, transmis de génération en génération. En alliant tradition et innovation, Mauler & Cie a su conquérir le cœur des connaisseurs les plus exigeants, se forgeant ainsi une réputation d'excellence au fil des décennies. Ne manquez pas cette occasion unique de découvrir l'histoire et le savoir-faire d'une maison emblématique du vignoble neuchâtelois lors des Caves Ouvertes Neuchâteloises 2024. Venez nombreux partager une expérience gustative et conviviale au cœur d'un des joyaux de la viticulture suisse. Pour plus d'informations sur l'événement et pour l'achat des billets, rendez-vous sur le site officiel des Caves Ouvertes Neuchâteloises.
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christophe76460 · 3 days
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NE T’ARRÊTE PAS ! 👋👊
Lorsque tu vois un obstacle au milieu de ta route, ne t’arrête pas. Il se représentera toujours à toi des événements, des situations, des images pour te rappeler des traumatismes du passé. Ce sont des obstacles pour toi. Ôte-les de ta route pour les mettre dans le champ d’à côté et les cacher, pour ne pas les regarder. Avance car le Seigneur est toujours avec toi pour porter Son joug léger. Ton passé t’est rappelé ici, mais il n’est plus là et plus tu avances et plus il s’éloigne ! Détourne ton regard de cet obstacle pour regarder à celui qui tient ton avenir entre Ses mains ; Dieu ton vrai père ! Celui qui t’aime réellement c’est Dieu, alors ne recherche pas l’amour ailleurs qu’à La Croix ! La souffrance sera toujours sur ton chemin, comme sur le chemin de Jésus jusqu’à La Croix. L’épreuve de celui qui aime Dieu est pour le faire grandir dans l’obéissance. Ne traîne plus longtemps les peines de ton passé, réalise que Dieu peut les effacer de ton cœur comme Il l’a fait pour David. Car pour ton salut la souffrance est permise, ta délivrance approche, Jésus revient, ne t’arrête pas ! 😊🌈
AMEN 🙏🔥🕊GLOIRE À DIEU 🙏🔥🕊
« Amasa se roulait dans le sang au milieu de la route; et cet homme, ayant vu que tout le peuple s’arrêtait, poussa Amasa hors de la route dans un champ, et jeta sur lui un vêtement, lorsqu’il vit que tous ceux qui arrivaient près de lui s’arrêtaient. » 2 Sam 20 ‬: ‭12‬ « Quand je pense à ma détresse et à ma misère, A l’absinthe et au poison; Quand mon âme s’en souvient, Elle est abattue au-dedans de moi. Voici ce que je veux repasser en mon cœur, Ce qui me donnera de l’espérance. Les bontés de l’Éternel ne sont pas épuisées, Ses compassions ne sont pas à leur terme ; Elles se renouvellent chaque matin. Oh ! Que ta fidélité est grande ! » Lam‬ ‭3 ‬:‭ 19‬-‭23‬ « Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin. » Jean‬ ‭14 ‬: ‭3‬-‭4‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬ « C’est lui qui, dans les jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété, a appris, bien qu’il fût Fils, l’obéissance par les choses qu’il a souffertes, » Héb‬ ‭5‬ :‭ 7‬-‭8‬ « Je t’ai fait connaître mon péché, je n’ai pas caché mon iniquité; J’ai dit: J��avouerai mes transgressions à l’Éternel ! Et tu as effacé la peine de mon péché. » ‭‭Ps 32‬ :‭ 5‬
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L’Absinthe - Edgar Degas // QUARTER LIFE CRISIS - Taylor Bickett
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dixvinsblog · 6 months
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Sonnet ivre - Jean Richepin
Versez, ne cherchons plus les effets ni les causes !Les gueules du couchant dans nos cœurs terrassésVomissent de l’absinthe entre leurs lèvres roses. Oh ! les doux opiums, l’abrutissante extase !Bitter, grenat brûlé, vermouth, claire topaze.Absinthe, lait troublé d’émeraude. Versez ! Il faut bien oublier les désirs anxieux,Les espoirs avortés, et dormir dans son antreComme une bête, ou boire à…
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spotjardin · 9 months
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Le thuya
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Plantation de 3 thuyas
PRÉSENTATION
Il s'agit d'un arbre qui est très répandu dans les régions de l'hémisphère Nord. Il fut certainement introduit en France sous François 1er. Les anciens d'Asie et d'Amérique connaissaient très bien ce bois. Ils construisaient différents objets dont les pirogues. Le thuya est un arbre très rustique et facile à vivre. Il n'a aucune exigence particulière. Il s'adapte à la plupart des sols. Mais il a une préférence pour ceux qui sont calcaires et argileux. Vous pouvez l'utiliser en haies (comme déjà précisé ci-dessus), en isolé ou bien encore en potée (ce qui est plus rare). Dans ce dernier cas, utilisez une espèce de petite taille. Il est parfois cultivé également en bonsaï. Le thuya a un feuillage persistant. A noter que c'est un excellent coupe-vent, ce qui est agréable dans des régions qui sont très ventées. Il est très facile à cultiver et son entretien est modéré. Son besoin en eau est important. Il fait partie de la famille des Cupressassées qui comprend 6 espèces. On l'appelle également Thuja qui est son nom scientifique. Si vous le touchez, il dégage une odeur très forte. Il est utilisé en homéopathie depuis la fin su XIXème siècle. Certaines espèces comme le thuya plicata peut atteindre une hauteur d'une cinquantaine de mètres s'il est cultivé dans son milieu naturel comme par exemple en Californie. Le thuya de Chine dans sa région natale a une hauteur d'une douzaine de mètres (5/7 mètres chez nous). Quant au thuya du Canada Caespitosa, il est moins imposant avec une trentaine de centimètres environ de hauteur. Ce dernier est idéal pour une culture en potée, en bonsaï ou tout simplement pour délimiter une bordure. Pour votre information, il s'agit d'un bois imputrescible, qui résiste donc très bien au pourrissement. Il peut donc être utilisé en rondin afin de fixer des planches en vue d'une construction de carrés dans votre jardin.
TRÈS IMPORTANT
Les parties aériennes du thuya contiennent de la thuyone qui est très toxique (surtout en ce qui concerne les jeunes rameaux). Cela peut provoquer des troubles graves chez les animaux en cas d'ingestion accidentelle. D'autre part, cette substance est un inhibiteur de croissance pour les autres végétaux comme c'est le cas avec l'ailante ou avec l'absinthe. Je vous conseille donc d'éviter impérativement de mettre vos déchets de taille dans votre compost ou de le broyer en vu de l'utiliser comme paillage. Brulez-les. Lors de la taille, protégez-vous pour éviter les éventuelles irritations de la peau.
CULTURE
Le thuya est très rustique puisqu'il peut supporter des températures hivernales pouvant atteindre -25°. Il peut donc être cultivé dans toutes les régions françaises. Choisissez-lui un emplacement de préférence ensoleillé sur un sol impérativement frais et très bien drainé car il craint énormément la sécheresse. Il s'adapte à la plupart des sols sauf ceux qui sont très secs. Dans les régions chaudes, préférez un emplacement ombragé. Le Thuya orientalis ou thuya de Chine est un peu plus tolérant à la sécheresse. Évitez de le cultiver dans les régions très sèches. Sa plantation doit s'effectuer de préférence à la saison automnale afin que les pluies puissent bien lui profiter pour un bon enracinement. Autrement, il peut aussi être planté à la saison printanière à condition d’être arrosé régulièrement pendant la saison estivale. Si vous décidez de planter un thuya plicata et si vous habitez une région maritime, ce dernier doit être éloigné impérativement à 300 mètres minimum du rivage car il ne supporte pas les embruns marins. Pour une culture en haie, espacez chaque sujet d'un mètre minimum. Un apport de fertilisant organique (corne broyé par exemple) peut l'aider à bien s'installer. Les sujets de grandes tailles doivent être tuteurés solidement car le thuya possède un système racinaire superficiel.
ENTRETIEN
Les jeunes cultures doivent être binées et paillées. Si les précipitations (pluies) ne sont pas suffisantes, arrosez-le 2 fois par semaine, d'avantage pendant les très grosses chaleurs, surtout pendant les 3 premières années (régions méridionales). Le thuya supporte très bien les tailles à répétition. Alors, n'hésitez pas à effectuer cette opération afin de lui donner une belle forme. Quand il est adulte, la taille se pratique deux fois par an (une fois à la saison printanière en mars/avril et une autre à la fin du mois d'août). Utilisez des outils bien affutés et bien désinfectés.
PARASITES & MALADIES
Les haies de thuyas sont très sensibles aux parasites et aux maladies. Si vous constatez un brunissement du feuillage de façon éparse, cela est peut être dû à un sol trop gorgé d'eau ou bien à la présence de la cochenille ou de l'araignée rouge. Ces parasites se développent plus facilement si l'arbre est affaibli. Pour la cochenille, supprimez les parties atteintes et brulez-les. Ensuite, effectuez une pulvérisation de purin d'orties additionné d'huile. En ce qui concerne l'araignée rouge, elle se développe par temps chaud et sec. Supprimez les parties atteintes et brulez-les. Douchez l'intérieur des rameaux sains afin d'éloigner ce parasite. Si vous constatez que c'est tout un pan de l'arbre qui se dessèche, il peut s'agir du Phytophtora cinnamomi qui est un champignon qui provoque cette maladie que l'on appelle "dépérissement des conifères". Un temps frais et humide (pluie) favorise cette maladie. Après dessèchement complet de l'arbre, il finit par rendre l’âme. La seule solution est d'arracher l'arbre malade et éventuellement la haie complète. Brulez le ou les arbres arrachés. Si vous constatez en plus du dessèchement du feuillage un éclatement de l'écorce, le thuya est certainement attaqué par le bupreste du genévrier. Cet espèce de coléoptère pond ses œufs sur les rameaux. Les larves en pénétrant sous l'écorce creusent des galeries dans le bois. Vous pouvez retarder le processus en supprimant les branches desséchées dès que vous vous en apercevez. Mais à terme, vos thuyas sont menacés inévitablement de mort.
MULTIPLICATION
Le thuya se multiplie par bouturage. Pour cela, prélevez des tiges semi-ligneuses dans le courant du mois d’août ou du mois de septembre. A noter que pour le thuya du Canada doré, le prélèvement de ces tiges doit se faire plutôt au début de la saison estivale (juin/juillet). Dans les deux cas, cette opération doit s'effectuer soit en pépinière ou bien directement en pleine terre. Il s'agit de la méthode la plus adéquate pour multiplier le thuya. Mais il faudra que vous patientiez 4 ans environ pour obtenir un sujet adulte. Le thuya peut également se marcotter à la même époque en utilisant les branches qui sont les plus basses possible. Il faudra patienter jusqu'à la saison automnale de l'année suivante pour pouvoir séparer les marcottes des pieds-mères.
ASSOCIATIONS
Le thuya se cultive très bien en massif. Pour cela, je vous conseille d'acquérir un thuya de petite taille comme par exemple le Danica qui est un thuya du Canada (1m20 de hauteur) ou bien encore l'Aurea Nana qui est un thuya de Chine (un mètre de hauteur environ). Dans ce cas vous pouvez effectuer certaines associations qui font merveille. En effet, associez ces derniers avec le Dahlia Karma Choc, le Crocosmia Lucifer, le Sedum Purple Emperor et la Festuca glauca. Et pour terminer, ajoutez en arrière-plan des cornouillers sanguin afin d'égayer la saison hivernale. En effet, associez ces derniers en avant-plan, avec le Dahlia Karma Choc, le Crocosmia Lucifer, le Sedum Purple Emperor et le Festuca glauca. Et pour terminer, ajoutez en arrière-plan des cornouillers rouge afin d'égayer la saison hivernale. https://spotjardin.fr/2019/04/06/le-dahlia/ https://spotjardin.fr/2019/04/17/le-crocosmia-ou-montbretia/ https://spotjardin.fr/2019/09/04/le-sedum-des-jardins/ https://spotjardin.fr/2017/08/25/la-festuca/ https://spotjardin.fr/2021/08/24/le-cornouiller-sanguin/ Read the full article
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