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#Encore 4 qui l'ont pas fait
sobillyboy · 3 months
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Les gens qui remboursent pas quand tu avances de l'argent pour un cadeau là, je vous vois et je vous en veux.
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1914. Les années de la Première Guerre mondiale où les agriculteurs qui cultivaient du « chanvre » en échange de dollars américains. Le chanvre industriel n'est pas seulement une plante agricole c'est l'antidote contre le pétrole et le dollar. Comment le chanvre a été interdit ?
1. Un acre de chanvre produit autant d'oxygène que 25 acres de forêt.
2. Un acre de chanvre peut produire autant de papier que 4 acres d'arbres.
3. Alors que le chanvre peut être transformé en papier 8 fois, le bois ne peut devenir du papier que 3 fois.
4. Le chanvre pousse en 4 mois, le bois en 20-50 ans.
5. Le cannabis est un véritable piège à radiations.
6. Le cannabis peut être cultivé partout dans le monde et nécessite très peu d'eau. De plus, comme il peut chasser les insectes, il n'a pas besoin de pesticides.
7. Si les textiles fabriqués à partir de chanvre se généralisent, l'industrie des pesticides pourrait complètement disparaître.
8. Les premiers jeans étaient fabriqués à partir de chanvre ; même le mot « KANVAS » est le nom que reçoivent les produits à base de chanvre. Le chanvre est aussi une plante idéale pour la fabrication de cordes, lacets, sacs à main, chaussures et chapeaux.
9. Il réduit les effets de la chimiothérapie et des rayonnements sur le traitement du cannabis, du sida et du cancer ; il est utilisé dans au moins 250 maladies telles que les rhumatismes, le cœur, l'épilepsie, l'asthme, l'estomac, l'insomnie, la psychologie et les maladies de la colonne vertébrale.
10. La valeur protéique des graines de chanvre est très élevée et les deux acides gras qu'elle contient ne se trouvent nulle part ailleurs dans la nature.
11. Le chanvre est encore moins cher à produire que le soja.
12. Les animaux nourris au cannabis n'ont pas besoin de suppléments hormonaux.
13. Tous les produits en plastique peuvent être fabriqués à partir de chanvre, et le plastique de chanvre est très facile à remettre à la nature, il est biodégradable.
14. Si la carrosserie d'une voiture est faite de chanvre, elle sera 10 fois plus résistante que l'acier.
15. Peut aussi être utilisé pour isoler les bâtiments ; il est durable, bon marché et flexible.
16. Les savons et les cosmétiques à base de chanvre ne polluent pas l'eau et sont donc totalement respectueux de l'environnement.
En Amérique du XVIIIe siècle, leur production était obligatoire et les paysans qui ne produisaient pas étaient emprisonnés. Mais maintenant la situation est inversée. W. Р. Hearst était propriétaire de journaux, magazines et médias aux États-Unis dans les années 1900. Il avait des forêts et produisait du papier. Si le papier avait été fabriqué avec du chanvre, il aurai pu perdre des millions. Rockefeller était l'homme le plus riche du monde. Il avait une compagnie pétrolière. Le biocarburant, l'huile de chanvre, était bien sûr son plus grand ennemi. Mellon était l'un des principaux actionnaires de la société Dupont et détenait un brevet pour la fabrication de plastique à partir de produits pétroliers. L'industrie du cannabis menaçait leur marché. Plus tard, Mellon est devenu secrétaire au Trésor du président Hoover. Ces grands noms ont décidé lors de leurs réunions que le cannabis était l'ennemi et l'ont éliminé.
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lilias42 · 7 months
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FE3H OC week : jour 2, relations
Bon, un petit poil en retard mais, c'était pour la bonne cause et bien finir ce billet les illustrations alors, pour ce dernier jour de la @fe-oc-week , voici un résumé des relations de Pan accompagnées d'illustrations !
(Suite sous la coupe)
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Loog : le quatre est aussi un symbole de chance
Loog est la première personne du monde des humains que Pan rencontre, ainsi que la personne en qui il a le plus confiance. Même s'ils ont un peu de mal à se comprendre au début à cause de la barrière de la langue, Loog l'aide à apprendre le fodlan moyen tout en apprenant à le connaitre. Vu qu'il semble très perdu, il accepte de l'héberger le temps que Pan retrouve ses esprits ou au moins qu'il grandisse.
En effet, même si Pan a pratiquement deux mille ans, sa très petite taille, sa manière d'agir qui peut être assez enfantines, même s'il peut également agir de manière assez robotique quand il travaille, et ses difficultés à s'occuper de lui-même font penser à Loog qu'il est encore enfant ou alors, au moins adolescent. Il remarque vite son intelligence et le fait qu'il sait très vite faire des tâches complexes, comme son habilité à la magie ou sa capacité à exécuter les ordres qu'on lui demande mais, quand il le rencontre, Loog le voie surtout comme une personne jeune, qui grandit encore et donc a besoin de quelqu'un pour l'encadrer et l'aider à se développer correctement. De plus, étant lui-même un bâtard ayant été abandonné par son père avant même sa naissance (il n'a pu devenir seigneur uniquement parce que tous les enfants légitimes de son père sont morts pendant la peste et qu'il était l'ainé de ses bâtards avec un emblème majeur, le futur roi méprisera d'ailleurs son père toute sa vie pour sa lâcheté et avoir abandonné ses responsabilités de père, tout comme celle de seigneur au passage), Loog pense tout de suite au fait que Pan a pu être abandonné par sa famille ou ses proches étant donné que les temps sont très durs à cause des épidémies et des mauvaises récoltes alors, il veut encore plus le protéger et l'aider.
Avec le temps, Loog finit par se rendre compte que quelque chose ne va vraiment pas avec Pan : il ne fait que travailler, fait toujours la même chose, ne prend aucune initiative quand il est là et quand il arrive à en prendre, il les cache tout le temps, comme s'il avait peur que Loog le voir faire autre chose que travailler. Evidemment, il essaye de lui faire comprendre qu'il peut faire ce qu'il veut tant qu'il respecte les autres et les règles de la maison seigneurial mais, c'est assez compliqué. Pan a toujours vécu en étant très contrôlé et sa curiosité et son imagination lui ont toujours causé du tort et même s'il a conscience que les "bêtes" ne sont pas forcément assoiffé de sang, c'était plus de mille ans auparavant, celle qu'il a rencontré a massacré sans hésiter tous les soldats agarthans qu'elle croisait et il a été à deux doigts de se faire tuer par les premiers humains qui l'ont vu alors, il continue à avoir peur de ce qui pourrait lui arriver s'il sortait trop des clous, même si petit à petit, il va arriver à lâcher prise, d'abord avec juste ses amis les plus proches autour de lui, puis avec tout le monde.
Quand il arrive à avouer ce qu'il est et ce qu'il a vécu à Agartha, Loog comprend bien mieux pourquoi il agissait ainsi, ce qui le pousse à devenir encore plus protecteur avec lui de peur qu'Agartha ne tente de le tuer pour avoir oser rompre avec Shambhala, mais aussi parce qu'il aime beaucoup Pan qu'il a pratiquement élevé. Il tient à lui comme à un membre de sa propre famille et comme sa fille Sophie, il fera tout pour le protéger afin qu'il puisse s'épanouir et grandir. Pan aussi s'attache énormément à Loog au fil du temps. C'est la personne qu'il aime le plus au monde et en qui il a le plus confiance. Il lui parle même du fait qu'à Agartha, on ne l'appelait pas "Pan" mais, "Matricule 4", numéro qui est gravé dans son bras gauche, ce dont il a très honte après qu'on lui ait expliqué que c'est les objets qui ont des numéros et les bêtes qu'on tatoue, pas les êtres humains avec une personnalité et une individualité qui leur sont propre mais, il a assez confiance en Loog pour lui parler de son matricule et lui montrer son tatouage. Cela le met dans une colère noire contre Agartha qu'il compare sans se gêner à l'Empereur qui les voie tous comme des vaches à lait, et lui fait évidemment très mal de voir comment son petit protégé a été traité ainsi. Surtout que maintenant qu'il est gravé dans sa chair et son âme, Pan sera toujours associé à son matricule.
Alors, pour contrer tout le côté déshumanisant de son matricule, Loog donne un trèfle à quatre feuilles à Pan en lui expliquant que chez eux, le quatre est un symbole de chance que tout le monde cherche car pour lui, rencontrer Pan a été comme trouver un trèfle à quatre feuilles : une grande chance qu'il est heureux d'avoir eu, ce à quoi Pan répond que lui aussi, il a eu beaucoup de chance de les rencontrer, ce qui lui fait dire qu'il préfère voir le quatre dans son bras comme un porte-bonheur que comme un rappel de ce qu'Agartha a essayé de lui faire.
Pan gardera ce trèfle à quatre feuilles aussi longtemps que possible et même après la mort de Loog, il essayera de toujours en garder un sur lui afin de se rappeler ses mots qui l'ont aidé à se libérer d'Agartha en plus de son soutien et de toute son affection.
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Lucine : dansons ensemble et rions un bon coup, cela fera toujours du bien !
Lucine est la fille bâtarde du baron de Dominic et d'une femme duscurienne dont elle a hérité de la couleur de peau mais, honteux d'avoir couché avec une femme non-fodlan et d'avoir un enfant avec elle, son père les a chassé de sa forteresse. Cependant, même si elle s'est senti trahi, la mère de Lucine est rentrée temporairement à Duscur et a élevé sa fille seule avec son village, jusqu'au jour où Lucine ne découvre qu'elle avait un don inné pour la magie fodlan et l'emblème de Dominic. Désireuse d'en apprendre plus sur la magie fodlan, elle décida de partir étudier dans un monastère près du lac de Teutatès où l'ont rassemblait des ouvrages sur tous les sujets, même si elle a dû demander une autorisation spéciale à l'archevêque pour pouvoir seulement rentrer à l'intérieur du monastère étant donnée qu'elle est métisse et ne croit pas en la foi de Seiros.
C'est là-bas que Loog et Pan la rencontrent, alors qu'elle poursuit ses études et ses recherches. Etant donné que ce sont deux passionnés de magie, ils se lient très vite tous les deux et deviennent amis, même si Lucine est assez étonné du manque d'autonomie de Pan et remarque vite qu'il a souvent assez peur de lui montrer ses idées, Pan préférant suivre les siennes et objectant assez rarement, même quand il n'a pas l'air d'accord avec ce qu'elle tente de faire.
La jeune femme finit par lui demander pourquoi il ne veut jamais qu'ils travaillent ensemble sur des idées et des projets à lui, ou alors n'objecte jamais, ce à quoi Pan répond que ces idées ne sont pas bonnes, ou au moins pas autant que les siennes, et qu'il n'a pas les connaissance pour lui donner conseil. A force d'insister, Lucine arrive à voir un de ses projets d'automates en forme de lapin qui semble intéressant et amusant à faire, et elle l'adore, même si Pan lui assure que ça ne servirait à rien car, ce n'est qu'un jouet amusant à fabriquer, ce à quoi elle répond avec aplomb que c'est déjà une raison suffisante pour tenter de le fabriquer, avec Pan qui prend de plus en plus confiance en lui et donne les directives.
Les deux amis s'y mettent alors et rient beaucoup ensemble en le fabriquant, avec Lucine qui s'exclame en voyant le résultat qu'ils devraient tester plus souvent ses idées car, elles sont très amusantes à faire. Etant donné que Pan a plus confiance en elle, il lui avoue que là où il vient, il n'avait pas le droit de montrer ses idées et de s'amuser avec, devant juste obéir sans jamais rien dire, les personnes de son rang n'ayant pas le droit à la parole ou même au simple fait de réfléchir, seuls les esprits supérieurs ont le droit à ce privilège, même s'il a toujours été incapable d'arrêter de penser. Lucine est évidemment très triste d'apprendre ce que son ami a vécu et lui assure qu'il a le droit d'exprimer ce qu'il pense, surtout qu'il a toujours des idées intéressantes.
Après que Pan ait avoué à tous qu'il était un agarthan, ce qu'il a vécu à Shambhala et pourquoi il est à la surface, Lucine est encore plus choqué et en colère contre sa cité d'origine d'avoir fait autant de mal et de traiter les personnes considérer comme inférieur aussi mal. Elle restera souvent aux côtés de Pan pour l'aider au cas où d'autres agarthans tentent de le ramener à Shambhala de force, et leur amitié se renforcera encore. Ils font tous les deux une expérience pour voir s'ils peuvent faire de la magie en dansant et même si c'est moyennement concluant, ils finissent par bien rire ensemble et se jurer de rester l'un au côté de l'autre le plus longtemps possible.
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Kyphon : l'instinct du loup farouche
Pour Kyphon, c'est un peu plus compliqué. Ayant été rejeté par son père car il n'avait qu'un emblème mineur, puis par sa mère car il était un homme trans, il a trouvé le bonheur dans la famille de son mari Amandin qui l'a accepté et ne le jugeait pas où il a pu s'épanouir mais, sa vie a volé en éclat avec la peste qui a emporté l'intégralité de son village, dont son mari qui est mort après une longue agonie, et Kyphon lui-même a été à deux doigts d'y passer - même s'il ignore si c'était à cause de la peste qu'il aurait contracté en s'occupant d'Amandin et de sa famille ou d'une fausse couche qui s'est mal passé à cause de son état de faiblesse - ce qui aurait laissé sa fille Clothilde seule alors qu'elle était encore enfant.
Il s'est alors mis à errer dans tout le nord à la recherche de travail pour s'occuper d'elle et lui donner un avenir, même s'il s'est beaucoup négligé lui-même pour ça. Une partie de ses maigres salaires parte dans son éducation pour qu'elle puisse apprendre à lire et écrire correctement par exemple, même si Kyphon lui même est analphabète. De plus, étant donné qu'on est dans un moment de crise très importante, l'Eglise occidentale commence à émerger comme une secte annonçant que la fin du monde et le Jugement Dernier arrive, et que le Fléau de la peste est en réalité une punition de la Déesse pour la dépravation et les péchés des humains, visant notamment tous les vagabonds ainsi que toutes les personnes marginalisés, que ce soit les personnes seules, les filles-mères, les veuves/veufs, les prostitué(e)s, les rejetés pour une raison x ou y, les handicapés qui sont "tarés" (pas au sens "fou" comme aujourd'hui, le sens médiéval désigne plutôt des personnes qui ont des "tares" / défauts / handicape physiques ou mentales) ainsi que les personnes gays ou transgenres considérés comme déviantes par cette secte. Autant dire que Kyphon coche à peu près toutes les cases qui en ferait une engeance de Némésis alors, il doit se faire très discret et ne surtout pas se faire prendre sinon, il sait qu'il sera brûlé vif et que la secte occidentale tentera de convertir sa fille de force à leur idéologie nauséabond, ou pire, ils l'enverront auprès de son grand-père s'il découvre qu'elle a un emblème majeur de Fraldarius, grand-père qui la transformera en objet juste bon à marier vu que c'est une fille.
Kyphon est donc extrêmement méfiant avec ceux qui l'approche et protecteur avec sa fille, restant rarement au même endroit longtemps de peur de se faire prendre. Quand Loog le rencontrera alors qu'il était engagé comme mercenaire pour défendre un village du fief des Blaiddyd des bandits, il le décrira comme un loup blessé et farouche toujours sur ses gardes mais, arrivera aussi à voir le bon coeur de Kyphon sous sa carapace en le voyant prendre soin de sa fille et des enfants du village, même s'il rejette tout le monde de peur d'être découvert. Il lui proposera alors un poste stable dans sa garde et même si Kyphon craint que son secret finisse par être découvert s'il reste trop là-bas, il accepte afin de donner un Clothilde un endroit stable où vivre et où ils ne risqueront pas trop de mourir de faim quand le travail se fera rare, ainsi qu'un accès beaucoup plus facile à l'école et l'éducation.
C'est à ce moment-là qu'il rencontre Pan qui est arrivé depuis peu de temps auprès de Loog, et ça commence assez mal vu que Kyphon est très méfiant avec lui et que Pan a assez peur de lui à cause de son air distant. L'ancien brassier trouve notamment l'attitude de Pan étrange, très automatique comme si c'était une marionnette dont on agitait les fils, et refuse que Clothilde l'approche à cause de ça, surtout qu'il ne semble jamais penser par lui-même mais, réagir selon des ordres que personne ne lui donne. Et en face... et bien Loog ne l'a pas comparé à un loup farouche pour rien, Kyphon peut être très froid quand il met les gens à distance, même si Pan a envie d'apprendre à mieux le connaitre en voyant toute la gentillesse et la douceur dont il peut faire preuve avec sa fille.
Ce qui va briser la glace entre eux, c'est que malgré toute sa froideur, Kyphon reste quelqu'un de bon et un très bon père, et il finit par se rendre compte que le comportement de Pan peut venir du fait qu'il n'avait pas de très bons parents qui ne lui ont pas appris à être indépendant et sa propre personne. Il s'en rend compte en voyant Pan déambuler mal habillé, avec son surcot en dessous de sa cotte, mal noué... bref, y a rien qui va comme si c'était un enfant bien plus jeune qui s'était habillé tout seul alors qu'on ne lui avait pas encore appris comment faire. Il l'arrête alors et va lui expliquer comment s'habiller correctement, tout en lui demandant si ses parents ne lui avaient jamais appris à s'habiller seul, ce à quoi Pan répond que sa mère est morte quand il était tout petit, mais qu'il avait toujours le même habit chez lui et qu'il n'en changeait jamais alors, il savait le mettre mais là, il avait dû remplacer sa tunique habituelle par un autre type de vêtement car, elle était sale et qu'il n'avait pas voulu déranger quelqu'un en leur demandant comment ça se mettait. Kyphon grommelle un peu qu'il aurait dû car, il aurait pu finir dans une position très gênante s'il avait perdu ses vêtements ou que les gens s'étaient rendus compte qu'il ne savait pas s'habiller seul, tout en lui proposant de continuer à l'aider jusqu'à ce qu'il sache le faire tout seul, ce que Pan accepte avec joie car, il a envie de mieux le connaitre.
ça devient alors un petit rituel entre eux où Kyphon donne un coup de main à Pan, tout en faisant son éducation avec Loog et en l'encourageant à dire ce qu'il pense vraiment lui et d'agir par lui-même, et Pan qui est content d'être avec lui étant donné que ça lui permet d'apprendre à le connaitre et trouve que Kyphon est vraiment gentil, même s'il arrive aussi à sentir que l'homme cache sa peine au fond de lui et tente de le faire sourire en ayant des attentions pour lui, ou en l'aidant à son tour.
Après avoir découvert les origines de Pan, Kyphon est évidemment très choqué d'apprendre tout ce qu'il a vécu mais, comprend mieux son comportement quand il l'a rencontré, tout en comprenant mieux pourquoi il agissait aussi bizarrement. Il se reconnait même en lui car, lui aussi a dû se battre pour être celui qu'il est au fond de lui, tout en vivant dans la peur de ce qui aurait pu lui arriver si on l'avait découvert après la Peste.
Il retourne donc voir Pan et l'aide à nouveau pour ses habits, même si ce dernier sait maintenant s'habiller tout seul mais, Kyphon répond qu'il a bien mérité qu'on prenne un peu soin de lui après tout ce qu'il a vécu, surtout que se faire de nouveau appeler par son ancien nom a dû lui faire très mal. Pan lui répond que oui et qu'il déteste son ancien Matricule car, ça lui rappelle tout ce qu'il a vécu à Shambhala où il n'avait pas le droit d'être lui-même, même s'il s'est réconcilié avec le chiffre 4 grâce à Loog car, il lui a montré un trèfle à quatre feuilles en lui disant que c'était un symbole de chance, et que c'est surement étrange pour Kyphon qu'un simple nom puisse faire aussi mal. Cependant, ce dernier lui dit qu'il le comprend parfaitement que cela le fasse souffrir car, ça le renvoie à une époque sombre de sa vie qu'il préférerait oublier et que ce nom le réduit à quelqu'un qu'il n'est pas. Pan est assez étonné de voir que Kyphon le comprend aussi bien et lui demande comment il fait pour aussi bien le comprendre. Kyphon lui explique alors qu'il est un homme trans et que lui aussi, se faire appeler par son ancien nom le fait souffrir car, il n'a jamais été une femme mais, que sa mère a tenté de le forcer à être afin de le marier à un noble mineur qui en voulait à son emblème et se revendiquer de la ligner de l'Epéiste de l'Onde, à être cette "Isabeau" qu'il n'a jamais été et qu'il hait. Pan est d'ailleurs une des rares personnes à qui il a dit son nom mort étant donné qu'ils en ont tous les deux uns.
Le jeune agarthan lui demande alors comment il a fait pour arriver à être lui-même, et Kyphon lui répond que c'est sa vie, pas la sienne et que si sa mère ou qui que ce soit d'autre n'était pas d'accord avec ses choix de vie et la personne qu'il est, ils pouvaient tous aller se faire foutre. Il a fini par trouver des personnes avec qui être lui-même et s'épanouir, même si ce n'était pas sa famille de sang et qu'il a construit sa propre famille avec Amandin, puis avec leur groupe, et que Pan aussi peut à présent s'épanouir et être lui-même, ce que Pan confirme en souriant, heureux de tous les avoir rencontrés et d'avoir trouvé quelqu'un qui le comprend.
ça, c'était les principaux soutiens de Pan, après, ce sera plus court étant donné qu'ils ont une place moins importante dans la vie de Pan :
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Amaury Gloucester : communiquer avec tous
Un des rares personnages de cette époque de naissance légitime mais, il en a aussi bien bavé. Il a beau avoir un emblème majeur, Amaury est né complètement muet, ce qui a fait que son père s'est détourné de lui pour se concentrer sur son frère, le considérant comme un handicapé sans valeur. La plupart des gens sont même persuadé qu'il est sourd en plus de muet, même si ce n'est pas le cas mais, Amaury ne corrige personne dessus car, ça lui permet d'apprendre des informations confidentielles et de les réutiliser pour son fief. Très travailleur, c'est un excellent gestionnaire et trésorier très attaché à son fief dont il s'occupe avec toute l'attention du monde pendant que son père et son frère sont à Embarr. Il communique essentiellement avec le langage des signes (qui existait déjà au Moyen-Age pour que les moines ayant fait voeu de silence puisse communiquer entre eux) et en lisant sur les lèvres. C'est même tellement connu que c'est lui le vrai seigneur de Gloucester que la plupart des marchands travaillant avec lui ont soit appris à parler le langage des signes, soit sont toujours accompagné d'un interprète pour communiquer avec lui même s'ils le croient sourd aussi, bien que certains ont grillé qu'il entendait parfaitement bien comme Walter Riegan. Sinon, il utilise un petit carnet pour communiquer en écrivant dessus ou est accompagné d'un interprète.
Quand Pan le rencontrera, il sera un peu étonné de voir qu'il est encore en vie, Shambhala tuant les personnes handicapés car, elles sont considérés comme des fardeaux, même s'il se dit au début qu'il a été sauvé parce qu'il n'est que muet et donc, pas trop gênant vu qu'il grille aussi Amaury assez vite, ce dernier ayant un peu de mal à le comprendre à cause de son accent, même s'il fait mine qu'il lit sur les lèvres. Cependant, Pan voudrait apprendre le langage des signes afin de communiquer plus facilement avec lui, ce qu'Amaury lui apprend volontiers.
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Gylfe Gautier :
Un des innombrables rois élus de Sreng, Gylfe s'est battu toute sa vie contre l'Empire afin de ne pas se faire envahir, l'Empereur étant persuadé que les terres de Gautier lui reviennent alors qu'elles n'ont jamais été sous l'autorité impériale. Le futur margravat est alors une terre de culture sreng et Gylfe lui-même est très fier d'en être un, voyant les adrestiens d'un mauvais oeil étant persuadé que tout leur revient de droit pour aucune raison à part "on a la bonne Déesse !" et pour une soi-disant annexion vieille de six siècles mais, l'empereur n'a jamais prouvé qu'il était digne d'être leur roi, ne brandissant que la légitimité de son sang, ce que les srengs méprisent et trouvent stupides. La rage et la brutalité des affrontements est telle que Gylfe est devenu un berserkr, un humain qui s'est transformé en animal pour pouvoir survivre alors qu'il est au comble du désespoir, lui permettant de se transformer en renard géant pour défendre sa terre. Il rejoint la rébellion de Loog pour sécuriser sa frontière, puis accepte de plier le genou devant Loog mais, uniquement parce que Loog lui a prouvé sa valeur et que techniquement, au début, le Royaume était une monarchie élective alors, le roi aurait forcément prouvé sa valeur pour être élu (même si ça a "un peu" dégénéré dans mes histoires). Il se convertira aussi sur le tard à la religion de Seiros mais bon, dans cet univers, c'est lui qui dirait "la paix vaut bien une messe". Il n'y croit absolument pas et restera fidèle dans son coeur à la religion des srengs, son corps finissant même brûler selon la tradition sreng à sa mort.
Ayant beaucoup d'enfants, Gylfe fait également office de père du groupe, même s'il est plus ouvert et moins froid que Kyphon, même si ces deux-là s'entendent assez vite assez bien, ayant des points communs et la même volonté de protéger leur famille plus que tout. Pan aime aussi beaucoup Gylfe, tout en le trouvant très impressionnant quand il se transforme et étudie les runes tatoués sur ses bras, même si Gylfe refusera toujours de lui donner la recette de l'encre, étant considéré comme un secret tenu des dieux eux-mêmes en Sreng.
Quand il apprendra pour le passé de Pan et qu'après une conversation avec lui où Gylfe pense que ses chefs l'ont traité comme du bétail, le jeune agarthan lui avoue qu'il lui ont même tatoué le numéro de son matricule sur son bras, ce qui lui fait honte et lui rappelle tout ce qu'il a vécu à Shambhala, même si Loog lui a dit que le quatre est un symbole de chance. Gylfe lui recouvrera alors son tatouage avec un autre en forme de trèfle à quatre feuilles pour effacer complètement son matricule et l'aider à s'émanciper de Shambhala.
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Eudoxie Goneril : "C'est les mêmes yeux"
Pour Eudoxie, c'est un peu particulier car, je ne pense pas que Pan et elle interagiraient beaucoup ensemble. Eudoxie a ses propres problèmes à résoudre de son côté vu qu'elle est coincé entre Adrestia et Almyra en ayant son propre royaume indépendant de base, et rejoint le rébellion sur le tard histoire de rejoindre un ensemble plus grand où elle aurait tout de même son mot à dire pour se défendre contre les deux empires, même si elle les a soutenus pendant longtemps. Pour Pan, il serait sans doute très impressionné par Eudoxie car, elle lui rappelle énormément le "fléau" qui l'a aidé quand il était petit (voir intro). La raison est assez simple, il s'agit de la Brave de Goneril, Metaheta, sorcière à la force surhumaine et capable de se transformer en tout et n'importe quoi, sa sorcellerie se basant sur son corps, et ennemie mortelle des Agarthans qui chassaient son peuple par cruauté, notamment en volant leur peau pour s'infiltrer parmi eux et provoquer encore plus de terreur. Elle a cependant épargné Pan quand elle l'a croisé car, ce n'était qu'un enfant qui n'avait rien à voir avec les horreurs perpétuées par son peuple.
Il est donc assez intimidé en rencontrant Eudoxie car, son regard est le même que son ancêtre quand elle jauge quelqu'un, ce qui l'intimide tout en se demandant si ce n'est pas plus ou moins la même personne. Pan est un agarthan, il vit extrêmement longtemps et il sait que le Fléau peut changer d'apparence alors, il pourrait penser qu'elle a juste changé d'apparence pour cacher ses fiertés (ce qu'est capable de faire Metaheta). Une fois qu'il a avoué son passé à ses amis, il finit par aller la voir pour lui demander de but en blanc si elle est la Fléau, ce à quoi Eudoxie répond que non, même s'ils arrivent à parler un peu d'elle, Pan se demandant toujours pourquoi Metaheta ne l'a pas tué alors que leurs peuples étaient ennemis. Eudoxie lui répond qu'ils ne sauront surement jamais ce qui s'est passé dans sa tête mais, qu'elle n'a surement pas voulu tuer un innocent qui n'avait rien demandé dans cette histoire et de ne plus se prendre la tête avec une historie aussi ancienne, même si pour lui, c'est aussi assez récent. Il vaut mieux pour lui qu'il se concentre sur le temps présent, et Pan sourit en disant qu'il a aussi hâte de mieux connaitre la vie à la surface et Eudoxie vu que même si elle fait peur, il est sûr qu'elle est gentille dans le fond, comme son ancêtre.
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Sybille et Irène Ordélia-Charon : les opposés
Avec ces deux soeurs, Pan va surtout apprendre ce que même si deux personnes s'aiment profondément, la situation entre elle n'est pas toujours au beau fixe.
Sybille est la fille ainée à emblème majeur du baronnie de Charon avec sa maitresse alors qu'ils sont encore très jeune, et même s'il s'occupera d'elle au début de sa vie (assez longtemps pour qu'elle puisse apprendre à lire et à écrire), il la délaissera complètement quand son fils légitime naitra avec un emblème majeur, Sybille devenant complètement inutile à ses yeux. Elle va tout de même s'entendre avec son demi-frère et elle va en avoir besoin pour survivre étant donné que sa mère et sa belle-mère se détestent toutes les deux, avec son père qui laisse faire en étant ravis que deux très belles femmes se battent pour lui, tout en laissant les enfants en plan.
Sa petite soeur Irène nait quand Sybille a 15 ans mais, sa mère se fiche complètement de ses filles et préfère retourner se battre avec l'épouse légitime alors, Sybille se retrouve à élever sa petite soeur toute seule avec personne qui ne l'aide vraiment, étant donné que ce sont des bâtardes qui n'ont aucune légitimité pour la chaire seigneuriale malgré leur emblème majeur et que la famille Charon est normalement un matriarcat. Pour les adrestiens, se sont des filles - de naissance illégitime de surcroit - alors, elles ne valent rien. Sybille va donc beaucoup trimer pour pouvoir au moins payé de quoi manger à sa soeur, que ce soit une nourrice puis de la nourriture, et elles vont travailler toutes les deux comme bonnes. Cependant, grâce à leur emblème majeur qui leur permet d'aller bien plus vite que des humains normaux, ce qui leur permet d'avoir du temps pour étudier, Sybille étant encore celle qui apprend à sa petite soeur les bases.
Cependant, malgré tout, Irène voudrait que son père la remarque et voie son talent dans les études, mais il sait à peine qu'elle existe alors, elle fait tout pour grandir vite et agir en adulte dès son plus jeune âge, étant très vite très sérieuse et même stricte avec les autres, notamment avec sa soeur. Sybille de son côté est tout l'inverse de sa cadette : elle est décontracté et n'hésite pas à s'amuser ou à prendre des pauses, tout en donnant l'air de ne s'en faire pour rien. Sa devise pourrait être : il ne faut pas s'en faire dans la vie donc, elle ne s'en fait pas, ce qui lui permet de tenir face aux difficultés qu'elle rencontre, que ce soit l'ambiance malsaine dans sa famille, le jugement des autres à cause de sa bâtardise, ou sa rage de voir son père mal mené la barque du fief, tout en essayant de préserver sa petite soeur. Malgré tout, elle reste une femme très intelligente qui maitrise énormément de sujets mais, qui le cache sous un côté désinvolte afin d'endormir ses ennemis qui ne se doutent pas qu'elle peut les envoyer dans les cordes facilement. Elle prendra notamment le pouvoir de baronne pendant la peste car son père faisait n'importe quoi, tout en dégageant aussi sa belle-mère, sa propre mère et son demi-frère qui aurait pu contester sa légitimité.
Elle n'assure pas toujours, notamment avec Irène avec qui elle doit avoir le rôle de grande soeur, adulte responsable, enseignante, et garde du corps mais, c'est normal, c'est une humaine avec des failles qui a dû grandir très vite et s'occuper de sa soeur à un trop jeune âge, évidemment qu'elle va avoir des moments où elle n'assure pas, d'où le fait qu'elle ait besoin de ses moments de décompression où elle ne se prend pas la tête et se détend. Mais Irène voie ça comme une perte de temps, et se demande pourquoi Sybille cache son talent comme ça en se faisant passer pour plus bête qu'elle ne l'est vraiment, ce qui crée des tensions entre elle. Sybille est également toujours là pour tempérer sa soeur quand elle se prend trop au sérieux ou est trop stricte avec les autres au point de pouvoir être limite méchante sans le vouloir.
Ce serait surement ce genre de dynamique qu'elle aurait avec Pan. Ce dernier s'entendrait très bien avec Sybille, même s'il est un peu impressionné par sa personnalité décontractée et très avenante, mais aurait direct beaucoup plus de mal avec Irène qui "joue la rabat-joie" comme le dirait Lucine. Son côté "travail-travail-travail" le rebuterait notamment car, ça lui ferait penser à Shambhala où il n'avait pas le droit de s'amuser et devait passer son temps à travailler sans temps mort. Sybille finirait sans doute par gronder sa soeur car, elle aurait mis Pan très mal à l'aise en le traitant d'indiscipliné qui ne sait pas se concentrer sur ce qu'il fait, ce qui aurait vraiment affecté Pan qui a l'impression d'entendre un contremaitre agarthan. Elle lui dirait d'être plus patiente, que tout le monde n'est pas obsédé par le travail comme elle, et qu'elle n'a pas à juger Pan pour vouloir se détendre. Il agissait comme un automate quand elles l'ont rencontré et il arrive enfin à se détendre et à agir par lui-même, c'est pas le moment de le gronder pour justement penser à lui et ce qu'il veut. Irène finirait par comprendre et s'excuser en demandant si elle peut avoir une nouvelle chance, afin de repartir sur de meilleures bases avec Pan et Lucine pour qu'ils deviennent vraiment amis.
Torf et Poppa Daphnel :
Pour ces deux-là, je dirais que c'est le contraire de Sybille et Irène. S'ils sont nés le même jour avec très peu d'écart, l'un est légitime et pas l'autre mais, ça n'a pas eu trop d'importance entre eux. Leurs parents s'entendaient bien, et ils ont toujours été traités de la même manière, ce qui fait qu'ils ont une très bonne relation et se considèrent comme des jumeaux. C'est surtout avec eux que Pan apprendra ce qu'est une relation fraternelle, mais aussi la nécessité de parfois se séparer des personnes qu'on aime, les deux jumeaux devant aussi apprendre à se séparer alors qu'ils sont très fusionnelles ensemble au point de se contaminer quand l'un des deux devient un berserkr pendant un combat.
Walter Riegan :
Le senior et l'âme libre de la bande ! Walter n'est pas à proprement parler un bâtard mais, il pense qu'il descend plus ou moins de Riegan car, il a leur emblème. Enfant abandonné, il a reçu le nom de Riegan car à Derdriu, c'est le nom qu'on donne aux orphelins, Riegan étant connu pour aider tout le monde, qu'importe leur origine, et rendre leur liberté aux esclaves. Ayant aussi l'emblème majeur, il a une capacité de régénération et une endurance hors du commun, ce qui lui a permis de travailler plus longtemps et plus dur que n'importe qui jusqu'à arriver à sortir de la rue pour devenir un commerçant très respecté par ses pairs et sa ville. Cela lui a permis d'accomplir son rêve d'avoir son propre bateau, ne voulant pas être enfermé dans les murs des faubourgs et rêvant d'être libre comme l'air et son ancêtre. Il n'en a pas oublié ses origines roturières pour autant et a beaucoup fait pour les personnes pauvres en leur donnant un travail dans des conditions décentes et un bon salaire, s'imposant de plus en plus au sein du sénat de la ville, Derdriu étant dirigé par ses élites bourgeoises étant donné qu'il n'y a pas encore de famille seigneuriale très puissante à ce moment-là. C'est un homme très perspicace qui comprend très vte les choses et dès qu'il entendra parler de Loog, il tentera de se rallier à lui en voyant son potentiel, même s'il agira très souvent comme bon lui semble, surtout que c'est le plus riche de tous.
Il cernera assez vite Pan mais, il le verra plus comme un gamin paumé qui ne sait pas encore réfléchir par lui-même et qui a besoin d'un coup de main pour se développer, en se doutant qu'il était dans un environnement toxique. Il sera moins méfiant avec lui que Kyphon, lui proposera souvent de faire différentes activités où il doit prendre des décisions et le laissera jouer avec ses enfants étant donné qu'il sait que le contact avec les pairs est très importants pour le développement d'un enfant, pré-adolescent, adolescent alors, il n'a pas trop de problème avec le côté étrange de Pan. Quand il apprendra pour ce que Pan a vécu, il le soutiendra aussi en l'encourageant à être plus libre et à faire ce qu'il veut de sa vie, sans se soucier d'où il vient car, c'est ce que lui veut vraiment.
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freddieraimbow74 · 5 days
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En mémoire de Jo Dare, un ami de Freddie 😔💔🕊️
Jo Dare était un chanteur né au Texas qui a enregistré une chanson avec Freddie, « Hold On », ils l'ont enregistrée à l'été 1985 à Munich.
Jo était bien connu dans le Queen Fandom et une jolie dame avec de si beaux souvenirs
Voici un extrait d'une interview avec Jo Dare par Royal Trilogy
JO OSE : UNE VOIX FORTE
1. Vous considérez-vous comme un fan de QUEEN ? Si oui, quelle est votre chanson de QUEEN préférée de tous les temps ? Avez-vous eu la chance de les voir en concert ?
Je suis un grand fan de reine, ma chanson préférée est Bohemian Rhapsody. Non, je ne les ai jamais vus en concert.
2. Dans quelles circonstances avez-vous entendu pour la première fois la chanson "Bohemian Rhapsody" ? Quel effet a eu cette chanson sur vous ?
Je l'ai entendu sur bande quand il est sorti et j'ai perdu la tête... Peut-être que je l'ai entendu à la radio je ne suis pas sûr mais, ça m'a juste époustouflé !
3. Comment avez-vous rencontré Freddie Mercury pour la toute première fois ? Quelles étaient vos impressions sur lui après une rencontre en personne ?
J'étais à Munich au MusicLand Studio pour enregistrer ma musique avec Mack. Freddie est entré et je n'arrivais pas à y croire ! Il était si gentil avec moi et nous sommes devenus vite amis.
4. Cela fait 30 ans que le tournage de la vidéo de « Living On My Own », parlez-nous de votre participation à cette vidéo. Comment était le tournage ? Vous souvenez-vous d'une histoire drôle pendant le tournage de cette vidéo ?
Freddie m'a demandé si je voulais faire partie de la vidéo de "Living on My Own". Bien sûr que j'ai dit oui. C'était 4 ou 5 jours après la vraie fête. C'était pour que tout le monde puisse se remettre des festivités. Nous avons tous passé un bon moment et nous avons agi un peu stupide. Certains des gars perdraient leurs jupes, probablement exprès. Le tournage de la vidéo était comme si j'étais à la fête réelle.
5. Que pensez-vous du remix de "Living On My Own" réalisé en 1993 ? Ça vous a plu ?
Oui, oui ! MIX très créatif ! Jim Beach a réussi. Il était très responsable de créer cette version. C'était le numéro 1 des discothèques euro.
6. Parlez-nous de l'enregistrement de la chanson "Hold On". Comment est-ce arrivé cette opportunité ? Est-ce que Freddie et toi avez enregistré vos voix ensemble ou séparément ? Comment pouvez-vous qualifier cette expérience d'enregistrement d'un morceau avec Freddie ? Avez-vous aimé le résultat final de cette chanson ?
Il était souvent en studio, pendant que j'enregistre. Un jour, il m'a juste attrapé la main et a dit : "Pourquoi ne pas faire quelque chose ensemble, chérie" ? J'ai dit : "Bien sûr" ! C'était une très belle expérience. J'ai adoré le résultat final de "Hold On" !
7. Parlez-nous de votre amitié avec Freddie Mercury. Comment était Freddie avec ses amis ? Étiez-vous en contact avec Freddie ? Quand l'avez-vous vu pour la dernière fois ?
La dernière fois que je l'ai vu, c'était quand je retournais à New York en 1988 et oui, c'était un triste au revoir.
8. Dans quelles circonstances saviez-vous que Freddie est décédé le 24 novembre 1991 ? Comment avez-vous pris ces tristes nouvelles ? Comment avez-vous réagi ?
Eh bien malheureusement je savais que ça allait arriver Je priais pour avoir plus de temps pour lui comme la plupart des gens. J'étais à New York, alors je l'ai entendu à la radio. Je n'étais pas prêt pour ça et ça me brise encore le cœur jusqu'à aujourd'hui !
Source : https://royaltrilogy.blogspot.com/2015/11/jo-dare-strong-voice.html
Les photos de la fête du 39e anniversaire de Freddie à Munich sont créditées à Dennis R Winits et les photos de Jo Dare sont gracieuseté de Jo et Royal Trilogy
Repose au paradis ma belle, tu es réunie avec Freddie 💔
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la-pheacienne · 1 year
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Ah mais j'ai vraiment très peur pour Blood & Cheese. Sara Hess a déjà confirmé que la série aura sa propre version des faits. Leur propre version ??? Purée, mais c’est tellement simple et limpide “Œil pour œil, fils pour fils. Lucerys sera vengé”. Un enfant de cinq ans comprendrait cela. On peut pas faire plus claire. Qu’est-ce qui ne va pas chez eux ?? Pourquoi avoir voulu adapter Feu et Sang si c'est pour absolument tout changer et détruire ??
1- Ils vont utiliser B&C pour créer un fossé entre Daemon et Rhaenyra, rendre Rhaenyra encore plus faible, passive, et pleurnicharde qu'elle ne l'est déjà, tout mettre sur le dos de Daemon et le diaboliser encore plus. Peut-être même que Daemon ne dira rien de ses projets à Rhaenyra. Elle va probablement voler jusqu'à Port-Réal, se faufiler discrètement dans le Donjon Rouge et avertir Alicent des plans de Daemon. 2- Alicent qui usurpe le trône à cause d’un malentendu, Aemond qui assassine Lucerys par accident, Criston qui assassine Lord Beesbury par accident, Larys qui assassine son père et son frère parce qu’il a mal compris Alicent... B&C se sont emmêlé les pinceaux, ont mal compris Daemon et tué l’enfant au lieu de le kidnapper. Ou Daemon a demandé la tête d’Aemond mais quelque chose d'imprévu arrive et B&C s'en prennent à Jaehaerys. Quoique les malentendus et les accidents c'est uniquement réservés au Verts, histoire de les décharger de toute responsabilité et qu'ils n'aient pas à affronté les conséquences de leurs actes. 3- Ça va être commandité par Mysaria parce que les Verts ont essayé de l’assassiner dans l’épisode 10, ont brûlé sa maison et probablement tué beaucoup de ses amis et leurs enfants. 4- Un scénario à la Young Griff, un échange de bébé. Ils l'ont déjà fait pour Laenor. Les scénaristes sont clairement pro-Verts et refusent d'accepter que la lignée d’Alicent s'est complètement éteinte et que ce sont les fils de Rhaenyra qui ont perpétué la lignée Targaryen. Ils ont une approche centriste/apolitique, “les deux côtés ont tort”, au moins un des descendants légitimes d’Alicent doit survivre à la guerre et poursuivre sa lignée (tu va voir que la série va effacer Daenaera et Jaehaera deviendra la mère des enfants d’Aegon III, afin d'unir et réconcilier les deux lignées fratricides).
1) Déjà les fondements même de Blood and Cheese ont été altéré à l'épisode 10 de la première saison. Daemon est sans émotion, les scènes où il est en deuil pour Visenya et la scène où il apprend la mort de Lucerys ont été coupées, aussi Daemon est devenu un monstre assoiffé de sang qui veut commencer une guerre pour satisfaire son égo, tandis que dans le livre c'était Rhaenyra qui voulait tout de suite attaquer et c'était Daemon qui la retenait. Donc dans ce contexte, Blood et Cheese est juste le résultat de la mégalomanie et le character violent de Daemon, tandis que dans le livre, ça vient d'un état d'esprit de deuil et de colère justifiée. Et oui, c'est clair que Rhaenyra ne sera pas du tout d'accord avec ça.
2) En fait dans le livre, selon une des versions de cet événement, c'est mentionné que le but initial c'était Aegon mais ils n'ont pas pu le trouver et c'est pour ça qu'ils ont attaqué l'enfant. Donc dans ce cas spécifique, il y a une possibilité que Daemon ne soit pas tout à fait au courant. Mais je suis certaine que Sara Hess&Co ne vont pas adopter cette version et vont montrer Daemon comme un monstre absolu, ce qu'ils ont déjà fait, d'ailleurs. Les malentendus et accidents sont réservés pour les Verts.
3) Je crois pas, je crois que ce sera Daemon 100% pour les raisons que j'ai mentionnée.
4) Alors là au début je pensais pas que ça pourrait être le cas, parce que que Sara Hess&Co veulent montrer Daemon comme un diable. MAIS ça me paraît possible tout de même justement pour ne pas laisser la ligne des Verts périr comme ça. Probablement les deux branches vont être unies avec Aegon est Jaehaera, ce qui est encore plus pire 😂
Un drame.
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mokosempai · 2 years
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Les aventures d'Adenophora Morpho #5
Progression?
Je ne sais pas dire si beaucoup de chose ont évoluée depuis la dernière fois que j'ai écris un poste sur ce jeu, mais j'ai l'impression d'avoir accompli pas mal de choses.
Dans ce jeu, comme on peut partir un peu dans tout les sens, c'est un peu difficile de définir l'avancement.
Hier, je regardais où j'en étais au niveau temps de jeu (si vous ne saviez pas, il faut taper "/playtime" dans la boite de discutions pour avoir cette info) et j'ai déjà totalisé 50h. Pour vous donnez une idée, c'est plus que le temps que j'ai déjà passé sur Xenoblade Chronicles. Ce qui est bizarre, c'est que j'ai la sensation d'avoir jouer plus à Xenoblade qu'à Final Fantasy 14 ^^
J'en ai déjà parlé dans l'article précédent, mais ce qui fait que c'est si chronophage c'est la diversité de possibilités que vous offre ce jeu.
Rien qu'au niveau des classes, il y a de quoi s'occuper.
Je suis Mage Blanche, Botaniste, Mineuse, Menuisière, Forgeronne. Tout les 5 niveaux ces classes génèrent une quête.
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Adenophora en quel chiffres
Les classes de "craft" ont tendance à s’entraîner l'une l'autre. Exemple: Si on me demande de forger une arme. Cette arme, va sans doute me demander d'acquérir du minerai, c'est donc la partie Mineuse qui intervient. Cette arme a aussi besoin d'un manche en bois, c'est donc la partie Botaniste qui ira chercher le bois et puis la partie Menuisière qui découpe un mandrier dans ce même bois. Et finalement la partie Forgeronne s'occupera du reste. Donc, en une arme, j'ai fait travailler 4 classes et donc gagné de l'expérience pour toute celle-ci.
De plus, après avoir avancé suffisamment dans l'histoire, vous avez l'occasion de rejoindre une des 3 "Grandes Compagnies". Il y a Le Maelstorm de Limsa Lominsa, Les Immortels de Ul’dah et L’Ordre Des Deux Vipères de Gridania. C'est cette dernière que j'ai décidé de rejoindre, car mon personnage a commencé à Gridania et que j'ai de la sympathie pour la chef de cette ordre Kan-E-Senna. Elle est aussi une des trois Oracles de Gridania. Sans entrer trop dans les détails, le faite d'être Mage Blanche fait qu'Adénophora côtoie aussi les deux autres Oracles. Donc L'Ordre Des Deux Vipères était un choix logiques.
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Et en plus ils sont ravis de mon voir :D
Évidemment votre Grande Compagnie est une source de quêtes, sinon c'est pas drôle. Par exemple, tout les jours vous avez l'opportunité de remplir des "quête de ravitaillements" deux en tant que "récolteur" où l'ont vous demande des matériaux brutes et deux en tant que "crafteur" où l'ont vous demande des produits finis. Ce qui est cool avec ces quête c'est que les objets de hautes qualités sont récompensés double.
Encore une autre manière de progresser dans les classes d’artisans. 
Hier, je n'ai fait que ça, faire les quêtes de ravitaillement, puis exécuter toutes les quêtes liées à mes classes d'artisanats, puis à nouveau refaire les quête des ravitaillement (elles se renouvelles à 22h donc j'ai put faire deux rounds ^^).
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J'ai aussi rencontré Biggs et Wedges, c'est toujours marrant de retrouver leur incarnation quelques part dans les Final Fantasy (comme Cid d'ailleurs).
Ma petite entreprise ne connaît pas la crise
Je dois avouer que mon petit business est plutôt florissant. Évidemment, les objets "Haute Qualité" que je mets en vente partent correctement, mais j'ai aussi découvert que les matérias se revendaient très bien.
Alors, l'argent coule à flot déjà via les quêtes. La vie d'aventurière ramène assez d'argent de manière générales. Mais si vous voulez avancer en artisanat et que vous ne voulez pas avancer dans toutes les classes d’artisan, car ça serait pour le coup vraiment chronophage, il faut acheter certaines matières premières. Celle-ci ne sont en générales pas en ventes chez les PNJ, mais à l’hôtel des ventes.
De plus les joueurs qui les mettent en ventes ne le font pas à l'unité et donc pour peu que vous ayez besoin d'une étoffe de coton, vous risquez de devoir acheter la dizaine. Ces matériaux coûtant un certain prix, vous allez devoir y aller de votre bourse.
Mais vu mes ventes actuelles, je suis à l’abri du besoin pour un moment.
Chocobo!
Une des choses que vous offre votre Grande Compagnie, c'est votre licence de chocobo. Vous recevez donc votre première monture avec tout les avantages qui viennent avec.
Comme vous pouvez nommé votre animal, j'ai nommé ma fidèle monture "Slepice".
En plus de vous permettre un déplacement rapide, votre chocobo peut combattre à vos coté (30 minutes par légumes de Gysahl que vous utilisé) et il peut aussi porté des objets pour vous, ce qui n'est pas de refus car mon inventaire commence à être bien rempli. En gros ce brave animal fait à peu prêt tout ce que vous avez besoin, à part le café.
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Mon chocobo est plus haut niveau que moi!
Le mot de la fin
Je ne peux que renouveler mon admiration pour ce jeu. La sensation de faire vraiment partie de l'univers du jeu est vraiment présente. L'écriture des quêtes et monde en générale fait que même si vous avez plusieurs vies dans ce jeu, cela semble être un tout cohérent.
Vous croisez et recroisez certains personnages dans des circonstances différentes, vous rencontrez de PNJ qui ont une vrai personnalité, et qui ne sont pas de simple dealer de quête.
En plus, il y a toujours quelque choses à faire, parfois trop de choses, mais au moins, on ne s'ennuie jamais.
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christophe76460 · 12 days
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ON CHASSE LES DÉMONS PAR LA PAROLE/1
Il y a dans la bible une parole de Jésus souvent prise hors contexte et qui cré la confusion dans la vie de plusieurs chrétiens, j'ai donc jugé utile d'enseigner à ce sujet en prenant plusieurs passages des écritures pour que plusieurs sortent de l'ignorance ou de la confusion. Il s'agit de Matthieu 17 versets 14 à 21 où Jésus dit à ses disciples qui n'ont pas pû chasser un démon : verset 21/ cette sorte de démon ne sort que par la prière et le jeûne. Beaucoup de chrétiens sont restés sur cette parole et l'ont sortie de son contexte. Pour comprendre nous allons remonter aux versets 19 et 20 ; lorsque les disciples ont demandé à Jésus pourquoi ils n'avaient pas pû chasser ce démon Jésus leur a répondu : C'est à cause de votre incrédulité, je vous le dis en vérité si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne.... Rien ne vous serait impossible. Donc la prière et le jeûne ne sont pas pour chasser ce genre de démon mais pour les fortifier eux même dans la Parole de Dieu afin de ne pas se laisser effrayer ou dérouter par les ruses du diable. Je peux vous assurer que si vous n'avez pas l'assurance de votre autorité en Christ les démons font des choses effrayantes dans les possédés dans le but de décourager celui qui cherche à les faire sortir j'en ai fais l'expérience....
Regardons maintenant Luc 9 versets 1 a 6 et Luc 10 versets 1 à 19 lorsque Jésus a envoyé les disciples chasser les démons ils sont revenus en se réjouissant d'avoir parfaitement accomplie leur mission. je vous invite à lire ces passages. Qu'est ce qui s'est passé ? Dans les passages de Luc Jésus les a envoyé et ça leur a donné de l'assurance donc ils ne se sont pas laissé effrayé par les agissements des démons lors des délivrances tandis que dans Matthieu 17 n'ayant pas été envoyé ils ont manqué d'assurance c'est pourquoi Jésus les appelle incrédules. C'est donc leur incrédulité qu'ils devaient traiter par la prière et le jeûne. Lorsque Jésus a chassé le démon dans Marc 9 (concernant la même histoire) IL s'est plaint de l'incrédulité du père de l'enfant puis a menacé le démon et le démon est sorti mais en agitant l'enfant et l'enfant devint comme mort... Vous voyez ce qui a découragé les disciples et les a emmené à être incrédules c'était l'attitude de ce démon lorsque les disciples prenaient autorité au nom de Jésus. Ajoutons également à ce que je viens de citer, que les disciples n'étaient pas nés de nouveau, n'avaient pas le Saint Esprit en eux et agissaient sous l'ombre de Jésus. Tout ce que Jésus a fait qui est cité dans les 4 évangiles, IL l'a fait en étant sous la loi et les disciples eux même étaient encore sous la loi car Jésus-Christ n'était pas encore mort et ressuscité donc la nouvelle alliance ou le nouveau testament ne pouvait pas être mis en place pendant la vie de Jésus. Lorsque les disciples sont nés de nouveau après la résurrection de Jésus Christ ( jean 20 verset 22 )et qu'ils ont été remplis et revêtus du Saint Esprit le jour de la Pentecôte( actes 2 versets 2 à 4) il n'est plus mentionné qu'il fallait qu'ils jeûnent pour chasser des démons ! Les démons se soumettaient à eux, l'ombre de Pierre guérissait les malades, les mouchoirs de Paul guérissait les malades etc... je vous invite à lire actes des apôtres. Jésus Lui même n'a jamais jeûné et prié pour chasser les démons. Pour chasser les démons on prend autorité au nom de Jésus Christ on ne prie pas on ne jeûne pas ! À suivre....
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yes-bernie-stuff · 25 days
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Votre Espoir Est-Il Déçu ? 03/04/2024
Ressuscité le dimanche matin, Jésus apparut d’abord à Marie de Magdala, dont il avait chassé sept démons. Marc 16.9
Les résultats du premier tour des Présidentielles françaises 2022 viennent de s’afficher au journal télévisé de 20 heures.
C’est la liesse dans les deux camps finalistes. Mais aux Q.G. des candidat(e)s éliminé(e)s, des militantes éclatent en pleurs : leur champion(ne) est battu(e) ! Elles s’étaient investies à fond pour leur candidat(e), elles avaient tant cru à sa victoire !
Cette désillusion amère avait aussi été celle de Marie de Magdala, dont nous parlent les Évangiles.
Marie avait mené une vie désordonnée. Mais quand Jésus la rencontra et la délivra des forces démoniaques qui l’habitaient et la tourmentaient, elle trouva en lui sa raison de vivre et devint sa disciple dévouée, le suivant dans ses pérégrinations.
Stupeur : le champion de Marie est battu, odieusement cloué sur une croix ! Quel terrible désappointement !
Mais voici un nouveau coup de théâtre, qui fait renaître son espérance moribonde et lui donne une dynamique éternelle cette fois : Jésus est ressuscité, et c’est à elle, Marie, que le Seigneur triomphant de la mort se montre en premier ! Quel amour ! Envolée, sa désillusion !
Oh, que chaque lecteur puisse rencontrer ce Sauveur bien vivant, victorieux de la mort ! Si c’est votre cas, quelles qu’aient été vos désillusions passées, ne fondront-elles pas comme neige au soleil ?
Claude Schneider
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 20, versets 1 à 18.
1 Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rendit au sépulcre dès le matin, comme il faisait encore obscur; et elle vit que la pierre était ôtée du sépulcre.
2 Elle courut vers Simon Pierre et vers l'autre disciple que Jésus aimait, et leur dit: Ils ont enlevé du sépulcre le Seigneur, et nous ne savons où ils l'ont mis.
3 Pierre et l'autre disciple sortirent, et allèrent au sépulcre.
4 Ils couraient tous deux ensemble. Mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre, et arriva le premier au sépulcre;
5 s'étant baissé, il vit les bandes qui étaient à terre, cependant il n'entra pas.
6 Simon Pierre, qui le suivait, arriva et entra dans le sépulcre; il vit les bandes qui étaient à terre,
7 et le linge qu'on avait mis sur la tête de Jésus, non pas avec les bandes, mais plié dans un lieu à part.
8 Alors l'autre disciple, qui était arrivé le premier au sépulcre, entra aussi; et il vit, et il crut.
9 Car ils ne comprenaient pas encore que, selon l'Écriture, Jésus devait ressusciter des morts.
10 Et les disciples s'en retournèrent chez eux.
11 Cependant Marie se tenait dehors près du sépulcre, et pleurait. Comme elle pleurait, elle se baissa pour regarder dans le sépulcre;
12 et elle vit deux anges vêtus de blanc, assis à la place où avait été couché le corps de Jésus, l'un à la tête, l'autre aux pieds.
13 Ils lui dirent: Femme, pourquoi pleures-tu? Elle leur répondit: Parce qu'ils ont enlevé mon Seigneur, et je ne sais où ils l'ont mis.
14 En disant cela, elle se retourna, et elle vit Jésus debout; mais elle ne savait pas que c'était Jésus.
15 Jésus lui dit: Femme, pourquoi pleures-tu? Qui cherches-tu? Elle, pensant que c'était le jardinier, lui dit: Seigneur, si c'est toi qui l'as emporté, dis-moi où tu l'as mis, et je le prendrai.
16 Jésus lui dit: Marie! Elle se retourna, et lui dit en hébreu: Rabbouni! c'est-à-dire, Maître!
17 Jésus lui dit: Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu.
18 Marie de Magdala alla annoncer aux disciples qu'elle avait vu le Seigneur, et qu'il lui avait dit ces choses.
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photos-car · 7 months
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mipaoconference · 8 months
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Rubrique enseigne-moi Seigneur !
VOICI CE QUE VOUS NE SAVEZ PAS SUR LE SAINT-ESPRIT. Par Pasteur Benny Hinn.
Lors d'un temps d'étude de la Parole, j'ai dit à ma femme : "Tu sais, je sens la présence de Dieu sur moi". Voici ce qui m'a touché ce soir-là, alors que je cherchais le sens des mots et leur lien avec l'Esprit.
Je me demandais ce que signifiait vraiment "attrister" l'Esprit.
Ce que j'ai appris, c'est que le Saint-Esprit n'est pas simplement un esprit qui peut avoir une forme. Il est si réel qu'on peut lui résister.
Beaucoup de gens pensent que le Saint-Esprit est un vent. Mais ce n'est pas le cas. Ce n'est qu'un symbole de plus dans la longue liste des symboles descriptifs utilisés pour communiquer l'Esprit - l'huile, l'eau, une colombe, un nuage, la lumière, et bien d'autres encore. Cela ne signifie certainement pas qu'il ressemble à ses symboles.
Le vent est invisible à l'œil, mais on ne peut pas lui résister.
Le mot résister signifie s'opposer. Vous ne pouvez pas vous opposer au vent.
Essayez de vous opposer au vent et il passera à côté de vous. Mais vous pouvez vous opposer au Saint-Esprit. Vous pouvez l'empêcher de travailler. Étienne, dans son discours au Sanhédrin, a cité Moïse : "Vous avez le cou raide et vous êtes incirconcis de cœur et d'oreilles. Vous résistez toujours à l'Esprit Saint, comme vos pères l'ont fait, et vous aussi" (Actes 7:51).
Ils se sont opposés à lui et, malheureusement, ils ont réussi. Rappelez-vous ceci : vous ne pouvez pas résister au vent, à l'huile, ou même à une colombe qui s'envole, mais vous pouvez résister à une personne - et c'est ce qu'est le Saint-Esprit.
J'ai ensuite recherché les mots chagrin et affligé dans le grec original. La racine du mot est loopa. Et voici ce qu'il signifie : ressentir une douleur dans le corps et l'esprit. Cela signifie souffrir d'une angoisse mentale et physique.
Le Saint-Esprit est une personne, sinon Paul n'aurait pas dit : "N'attristez pas le Saint-Esprit" (Eph. 4:30). Le Saint-Esprit ne fait pas que blesser. La blessure opère au niveau des émotions. Il attriste, et cela va beaucoup plus loin.
Non seulement cela, mais le Saint-Esprit peut être éteint.
Paul a averti l'église de Thessalonique : "N'éteignez pas l'Esprit" (1 Thess. 5:19).
Vous ne pouvez pas éteindre le vent ou d'autres symboles. Mais on peut arrêter une personne. Et c'est ce qu'est le Saint-Esprit.
Vous devez également comprendre que le Saint-Esprit peut être affligé et tourmenté. Il peut être contrarié. Ésaïe a parlé de la bonté du Seigneur et de sa miséricorde envers Israël : "Mais ils se sont rebellés et ont contrarié son Saint-Esprit ; c'est pourquoi il est devenu leur ennemi, et il a combattu contre eux" (Ésaïe 63:10 KJV). C'est difficile à imaginer, mais c'est vrai. Le Saint-Esprit peut être tourmenté par des êtres humains.
Dans la langue originale, vexer signifie user, troubler, voire affliger. Seule une personne peut devenir la cible de tels tourments.
Un vent violent ne peut être calmé, mais le Saint-Esprit peut l'être : Il m'appela et me parla en ces termes : Voici, ceux qui ont donné du repos à mon Esprit" (Zacharie 6:8). Le Saint-Esprit est une personne qui répond à vos souhaits. Vous pouvez lui dire de se taire et il le fera. Mais vous courez alors le risque de l'attrister.
Tant de fois, dans des réunions publiques, j'ai vu le Saint-Esprit sur le point de parler, puis se calmé par une manifestation charnelle.
Le Saint-Esprit n'est pas un combattant, c'est un amoureux. Si vous lui résistez, il s'en ira. Il n'est pas comme Satan, dont la Bible dit qu'il "s'enfuira" de vous si vous lui résistez. Le Saint-Esprit ne s'enfuira pas dans la peur, mais il quittera votre présence avec un cœur blessé. S'il est affligé, il se retire doucement. S'il est éteint, il partira tranquillement.
Il est tragique de penser que les gens vexeraient ou tenteraient de calmer une personne aussi charmante. Mais ils le font. Les enfants d'Israël l'ont fait. Et aujourd'hui, alors qu'il aspire toujours à notre amour et à notre communion, nous le blessons par notre ignorance et notre rébellion.
J'entends encore Kathryn Kuhlman, à Pittsburgh, sangloter d'agonie : "S'il vous plaît ! Ne le blessez pas. Il est tout ce que j'ai.
Que Dieu vous bénisse !
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Chapitre 10 : Mission Pop-SSD-NewArmée, dans lequel on se fait cruellement chier.
Oh là là... oh. Là. Là. Poudlard, le 3 novembre 2022. Poema, Je ne vais pas y aller par quatre chemins ; j'aurais aimé que ma première lettre de ces vacances apporte de meilleures nouvelles, mais j'ai pensé que tu aimeras être au courant. Une nouvelle attaque a eu lieu hier, sur une fille de Gryffondor. Elle s'appelle Cheyenne White. Elle a eu les deux jambes cassées, et elle est griffée de partout. Ce n'était vraiment pas beau à voir. (Mais comment tu sais, tu y étais ?) C'est les jumeaux Ames qui l'ont découverte allongée dans un couloir, hier au petit-déjeuner. Pomfresh a dit qu'elle avait perdu beaucoup de sang, mais que ses jours n'étaient pas en danger. S.U.P.E.R. Bientôt, si on laisse faire, on sera tous en danger, tous autant que nous sommes. Dans les dortoirs, les couloirs, les salles de cours même, qui sait ! Qu'on soit de Sang-Pur, de Sang-Mêlé ou Né-Moldu, de n'importe laquelle des quatre maisons, on ne sera jamais certain qu'un Ardent ne nous tombera pas dessus. (Mais pourquoi ?? mdr) Oui. J'en suis persuadée. L'attaque a été faite par les Ardents. Ce que je ne vous ai pas dit (vous ??), ce que les profs ne vous ont pas dit non plus, c'est que j'ai tenté de guérir Kylie Haven en utilisant les larmes du Phénix. Cela n'a pas fonctionné. Tu es intelligente, aussi je ne gaspillerai pas l'encre d'Alice, qui j'utilise en ce moment-même à t'écrire ce que ça signifie. Tout le monde a peur, je le ressens même avec mes boucliers. (Elle me casse les couilles avec ses pouvoirs.) Franchement, je flippe aussi. Ces trucs sont des créatures du diable, je te jure ! (QUE DIEU NOUS PARDONNE NOUS PAUVRES PECHEURS) Leur classification serait XXXXXXXXXXXXXXXXXXX... Je te passe les détails, tu comprends. Voilà ! J'espère que tu es bien arrivée... Bisous à ton grand-père ! Amicalement (quelle formule naze !), Au' P.S. Joyeux Noël ! (Elle est conne ou quoi ?)
~   Chez Ollivander, le 4 novembre 2022. Salut, Aurélie ! Wow. Tu as raison de m'en prévenir, ça fait vraiment peur. Je connaissais (elle est pas morte hein !!) Cheyenne White de loin, elle est au club de duel, tu te souviens ? C'est une chouette fille, honnêtement. June Pinks et elle sont inséparables. Je n'ose pas imaginer la réaction de cette pauvre June lorsqu'elle a appris pour Cheyenne... Je ne vous vraiment aucune raison de l'attaquer ! Que ce soit son statut de sang ou encore sa maison, franchement, je ne vois pas ! On croirait que ce Deathly Hallow se fiche des origines ou de l'appartenance à telle ou telle maison de Poudlard, que ce qu'il veut c'est montrer qu'il peur détruire n'importe qui. Mais si ce n'est pas un monde "Pur" qu'il recherche, que recherche-t-il ? (ON SE DEMANDE) Préviens-moi de la suite des évènements, en particulier de l'état de santé de Kylie et Cheyenne. Bisouilles, Pop P.S. Sérieusement, Au', pourquoi tu dis "joyeux Noël" ? On n'est que début novembre !;-) P.P.S. Mon grand-père t'embrasse aussi !   ~   Poudlard, le 5 novembre 2022. Coucou, Poema ! Je me suis permise de lire ta lettre, Au' a pensé que je serais peut-être mieux placée pour te répondre vis-à-vis de l'état de June, vu qu'on est dans la même maison. Evidemment, elle est effondrée. Lily Ravenswood et quelques autres tentent de la réconforter, mais ce n'est pas facile pour elle... Elle n'arrête pas de demander "pourquoi ?!" mais personne ne peut lui apporter une réponse... Tu sais, Lily a perdu sa soeur, Victoire, en octobre sur le terrain de Quidditch, à cause des Ardents également... (Du coup moi j'imagine Lilybeth, dont la sœur est MORTE, qui doit consoler June dont l'amie est juste blessée. Déso) Sache aussi que le capitaine, un quatrième année du nom d'Hugo Weasley, je ne sais pas si tu le connais, il est aussi au club de duel... Donc, Hugo a voulu que je remplace Cheyenne White au poste d'attrapeuse le temps qu'elle guérisse... June a pris ma place de gardienne. Elle semblait déterminée. Je ne sais pas ce qu'a Aurélie, si c'est l'approche des ASPICs ou je ne sais quoi, mais elle passe son temps à la bibliothèque ! Amicalement, Alice P.S. Je ne sais pas, tu connais Au', elle est bizarre. (Hein ? C'est Alice ? Et elle a lu la lettre d'Aurélie à Poema ? Mais wesh ?)
~   Poudlard, le 5 novembre 2022. Hey, Pop ! Je suis passée voir Cheyenne et Kylie à l'infirmerie, mais Pomfresh m'a dit comme quoi "nianianiajustelesamisprochesnianiania"... Pfffff ! Elle a fait une liste de tous les "amis proches" des malades à l'infirmerie ? ... Tarée, va. Je ne vais certainement pas gâcher ma lettre à parler d'elle ! J'ai lu la lettre d'Alice et, comme toujours, elle est merveilleusement gentille avec moi. J'ai reçu un nouveau message, deux en fait, et le premier n'est pas du tout en latin... Donc, sais-tu ce que signifie "Seleo et tesaro" ? Ca fout les boules. Alice est incroyable en attrapeuse ! Je suis allée à quelques-uns de ses entraînements, elle est parfaite. Mais elle ne se sent pas à sa place, elle a l'impression de l'avoir volée à Cheyenne White, et même si June et moi essayons de lui faire comprendre que ce n'est pas le cas, elle ne veut rien entendre. (Ben c'est un peu le cas.) Sinon, Diana fait toujours la gueule à Amy... Elle t'a parlé récemment, toi ? J'ai l'impression qu'elle ne nous calcule plus du tout. Comme si elle nous avait zappées ou je ne sais pas quoi... (C'est censé être un truc de ouf genre Amy se fait imperiumiser mais ça ressemble juste à une dispute d'adolescentes.) J'attends toujours la lettre de Parrish ! Au' xx P.S. J'anticipe ! XD (Elle parle du Joyeux Noël. Je précise parce que c'est tellement mal écrit.) P.P.S. Génial ! ^^   Chez Ollivander, le 8 novembre 2022. Salut, Aurélie ! Désolée pour le temps que j'ai mis à te répondre. C'est la folie à la boutique ! On dirait que tous les sorciers d'Europe viennent se fournir chez nous. En même temps, c'est un peu le cas !;-) (Mais arrête de t'autosucer pitié) C'est épouvantable ce qui est arrivé à Cheyenne (et Kylie, évidemment), mais Alice ne doit pas se sentir responsable de la remplacer quelques temps. (AH ELLE LA REMPLACE JUSTE ? ALORS CA VA) Tiens, ouais ! Justement, c'est bizarre que tu me parles de ça, parce qu'Amy est justement venue me parler. Elle m'a demandé si j'allais en vacances chez mon grand-père, et si je comptais sortir pour aller par exemple aux fêtes foraines... Des questions bizarres, mais ça montrait qu'elle s'intéressait encore à moi, à notre amitié quoi ! Et aussi au monde moldu. (J'essayais de faire quoi avec ça ? Genre Grace, à travers Amy, allait prévoir une attaque de Mangemorts ?) Quelle est cette langue..? Et pourquoi ne m'as-tu pas prévenue avant que tu avais reçu des messages ?! Deux en une seule nuit ou en plusieurs ? Sois prudente, Au', avec ces messages. J'ignore totalement la langue dans laquelle a été écrite le premier, et j'exige de connaître le contenu du deuxième ! Il faut savoir qui t'écrit, et si ça a un rapport avec tes rêves, parce que là ça devient franchement inquiétant ! Je te promets que je vais faire des recherches pour la traduction, mais maintenant je comprends mieux pourquoi tu passes tes journées à la bibliothèque... Je déteste devoir te dire ça, et donc t'inciter à enfreindre les règles, mais si c'est une langue disparue, perdue, des livres la concernant doivent plus se trouver à la réserve que nulle part ailleurs. (Elle est trop chiante vraiment.) Bisous, Poema P.S. Ah d'accord... ee (Le “ee”... bref) 
Aurélie posa la lettre de Poema et remercia Puff, le hubou harfang des neiges de son amie, d'une caresse sur la tête. Le hibou inclina la tête, comme attendant qu'Aurélie écrive une réponse.   - Pas tout de suite, Puff... répondit celle-ci à la question muette de l'animal. J'écrirais à Poema quand je serais allée à la réserve. C'est marrant, mais ta maîtresse se rebelle, après sept ans d'une scolarité parfaite..! (On parle de CONSEILLER à une amie de lire des livres interdits. Genre. Poema ne fait même pas l'action « rebelle » elle-même. On fait difficilement plus nulle.)   Puff inclina la tête de l'autre côté, comme attendant autre chose. Aurélie, qui connaissait bien le hibou de son amie, comprit immédiatement.   - OK, je vais chercher Huffle, bouge pas.   En effet, Estelle avait eu son hibou en deuxième année, et l'avait nommé Huffle, comme Hufflepuff ("Poufsouffle", en anglais). (ILS. SONT. ANGLAIS.) Aussi, Poema avait trouvé cela drôle et évident de compléter le mot en choisissant le nom de son propre hibou, offert par ses grand-parents à l'occasion de son quatorzième anniversaire. Par une curieuse coïncidence, les deux animaux s'adoraient. (C'est mignon)   Après quelques embrassades avec Huffle, Puff se résolut à partir. Aurélie le salua d'un geste de la main, puis se sentit idiote et la baissa. (RELATABLE)   Après réflexion, elle se dit qu'elle ferait mieux de trouver un traducteur plutôt que de faire des recherches sur la langue. Elle irait demander à Mrs Pince. D'ailleurs... pourquoi pas maintenant ? (Elle a jamais de devoirs ?) La jeune fille se leva, ramena Huffle à sa propriétaire, qui jouait à un jeu vidéo X (je pense pas que l'expression « un jeu X » signifie « un quelconque jeu » pour tout le monde) sur sa console de jeux magique, puis se dirigea vers la bibliothèque. Celle-ci était quasiment vide, mais elle ne fut pas surprise d'y croiser Oliver Ruewen et Lilas Ames, tous deux plongés dans d'épais bouquins, en parfaits Serdaigle - sauf que Ruewen était à Gryffondor. (ET DU COUP IL EST SPECIAL VOUS COMPRENEZ ?) Aurélie hésita à aller s'excuser auprès de Lilas. Elle se sentait très mal par rapport à ce qu'elle lui avait dit. Elle n'avait vraiment pas été mieux qu'elle. Mais elle n'arrivait jamais à s'excuser pour quoi que ce soit, alors elle laissa tomber. (Immature mais c'est pas mal d'avoir un personnage avec des défauts)   - Mrs Pince ? - Oui ?
La bibliothécaire laissa glisser ses lunettes fines et rouges sur son nez aquilin, et écarquilla les yeux.   - Attendez, Miss Becker ? Vous ici ? Pendant les vacances scolaires ?! s'étonna-t-elle. Si on m'avait dit ça il y a encore cinq minutes... - Vous avez les yeux bleu clair, remarqua Aurélie. C'est très joli. (Euh ?) - Euh... Merci, hésita Mrs Pince, gênée par ce compliment sans aucun rapport. Vous désirez ? - Quelques renseignements... Où pourrais-je trouver un traducteur ? - Un traducteur, dites-vous ? De langues vivantes ou mortes ? Avec ou sans les runes ? - De toute ce qui existe et qui a existé. Si c'est possible, bien évidemment. - D'accord. Un tel intérêt de votre part me déconcerte, Miss Becker, avoua la bibliothécaire en se levant de son fauteuil, mais j'ai sûrement quelque chose qui pourra vous être utile.   Aurélie, qui s'attendait à plus de questions de la part de Mrs Pince, s'estima heureuse que celle-ci n'en pose pas, et la remercia. Elle n'en crut pas ses yeux lorsque la sorcière revint avec un gros livre, plus épais que ceux d'Ames et Ruewen réunis.   - Euh... s'apprêta-t-elle à protester, mais la poussière qu'elle reçut au visage lorsque Mrs Pince souffla sur le vieux livre la fit tousser, et la dissuada de poursuvire. (Du verbe poursuvirer)   Aurélie reçut le livre entre ses bras, de façon assez brutale d'ailleurs, puisqu'il semblait peser trois tonnes. Heureusement, lorsque la jeune Serdaigle l'ouvrit, elle constata qu'il était creux. Seules des lettres, au moins mille, se trouvaient à l'intérieur, sur plusieurs "étages". Le livre en lui-même paraissait aussi ancien que le château lui-même. Impressionnée, Aurélie appuya sur le S. La lettre s'illumina. La jeune fille remercia encore une fois Mrs Pince et alla s'asseoir à une table. Elle appuya ensuite sur le E, sur le L, puis encore une fois sur le E et le mot se forma sur la tranche du livre, contre toute attente. Aurélie acheva de taper la phrase, et attendit. Rien ne se produisait. (C'est hyper créatif le livre j'aime bien)   Seleo et tesaro
Il restait ainsi.   - Il faut dire "Traduis".   Aurélie fit volte-face à la vitesse de l'éclair.   - Ruewen ?! Dégage ! - Tu faisais quoi ? Tu t'intéresses aux langues mortes, maintenant ? - Ca te regarde pas, et puis les langues mortes, je m'en fous ! ... Tu sais quelle langue c'est ? - A première vue, j'aurais dit du latin, mais je crois que c'est du sumérien, en fait. - Du sumérien ? Ce type est taré. Putain, c'est impossible d'avoir une aussi grosse tête, je me demande comment tu fais pour réussir à passer les portes. - C'est pas un crime d'être intelligent, autrement tu serais la plus clean de tout l'Univers. (Wow quel sens de la répartie je suis vraiment impressionnée)   Aurélie secoua la tête et reporta son attention sur le livre.   - Traduis, lui dit-elle.   Les lettres commencèrent à se mélanger pour former le message.   Prends garde à ce qui t'es cher.   Scotchée, Aurélie leva la tête vers Ruewen, qui affichait un petit sourire suffisant. Elle soupira.   - OK, t'es intelligent. Mais tu n'as vraiment que cette qualité. - Et toi, tu es...   Aurélie cligna des yeux, attendant la suite.   - Drôle. Voilà, on est quittes. - Quittes ? répéta Aurélie. - Un compliment pour un compliment, on est quittes. (Ils sont trop cons, tous les deux) - Ouais, super. Aurélie se leva, laissant le livre sur la table.   - Ta lecture aura duré quarante secondes, au bas mot. - Rien à foutre.   Oliver regarda Aurélie partir, de sa démarche déterminée et, comme d'habitude, légèrement énervée. Il secoua la tête, navré par ce comportement si immature. Il jeta un coup d'oeil à la tranche du livre, sur laquelle était encore tracée la traduction du message reçu par Aurélie.   Prends garde à ce qui t'es cher.   Oliver passa son doigt sur les lettres, qui se désagrégèrent comme de la glace fond au soleil. Il lui semblait que cette phrase avait été écrite pour lui. (Ben littéralement elle pourrait avoir été écrite pour n'importe qui.)   ~
Poudlard, le 8 novembre 2022.   Salut, Poema ! J'espère que tu vas bien. On s'ennuie, à Poudlard, si tu savais..! Alice est à ses entraînements de Quidditch, et Aurélie à la bibliothèque ou à t'écrire des lettres... Quant à Amy, n'y pense même pas.   J'étais en train de revoir mon cours de sortilèges (faire ses devoirs pour tromper mon ennui, voilà où j'en suis !!) quand j'ai eu l'idée de t'écrire... Sans rien avoir à raconter, en fait. Les rumeurs vont bon train, et ce n'est pas seulement sur Haven et White. Il paraîtrait que Ruewen aurait des vues sur Lea Grey, ou inversement, j'sais pas. Ca fait flipper, ça ne fait même pas un mois qu'il a quitté l'autre pétasse..! (Je hais cette version d'Oliver.) Transmets mes amitiés à ton grand-père ! Bisous, Diana. (A QUOI CA SERT LE FORMAT EPISTOLAIRE ??? C'EST LONG ET CHIANT)   18, Eagleshield Square (Carlton), le 9 novembre 2022.   Hi everybody ! Ma mère, mon père et notre chat vous passent le bonjour ! (Ce n'est pas une blague ! Dès que j'ai dit à ma mère "je vais écrire à mes amies", il a ronronné ! Ha ha !) Ici, tout va bien, hein. C'en est presque ennuyeux ! Il fait tellement froid à Carlton qu'on croirait qu'il va neiger. Pourtant, ce ne sont pas encore les vacances de Noël... Vous me manquez. Vous êtes déjà venues chez moi combien, trois fois ? Je vous imagine tellement passant les vacances avec moi ! Aurélie glissant sur la rampe, Estelle à jouer aux jeux vidéo de mon père (qui est Né-Moldu, vous vous rappelez ?), Poema à lire tous les livres de la bibliothèque, Alice et Diana discutant avec les amies de ma mère et Amy en train de se foutre de nous..! (Amy c'était une connasse) D'ailleurs, vous avez des nouvelles d'elle ? Bisous, Minna P.S. Quelqu'un pourrait m'envoyer mon devoir de métamorphose à rendre pour le lundi de la rentrée ? Je l'ai oublié dans le dortoir !   Poudlard, le 10 novembre 2022.   Minna, tu es incorrigible ! Figure-toi qu'Amy a adressé la parole à Poema avant qu'elle ne parte. Incroyable, hein ? Laisse tomber, comme le dit Diana, il ne faut pas faire confiance aux Serpentard. (Amalgame) Surtout en ce moment... Depuis qu'elle est avec son grand Nordique, elle ne nous connaît plus. Bah, ne parlons plus d'elle. Aurélie dit qu'elle n'est pas dans son état normal, et elle a tout à fait raison ! Mais ça me rend quand même triste, on a tellement de souvenirs ensemble... J'aimerais seulement comprendre ! Oh ouais, ce serait tellement bien d'aller chez toi au lieu de rester coincées à l'école ! Quels amis de ta mère sont venus ? (Euh elle a pas précisé que des amis de sa mère étaient venus récemment, elle disait juste qu'elle se SOUVENAIT de quand les amis de sa mère étaient venus alors que ses amies étaient à la maison. La mémoire de travail n'est pas mon fort) Amicalement, Alice P.S. Je te joins le devoir de métamorphose.
18, Eagleshield Square (Carlton), le 10 novembre 2022.   Merci Alice, pour le devoir ! J'ai appris par Aurélie que tu avais récupéré le poste d'attrapeuse de Cheyenne White le temps qu'elle se rétablisse..! C'est purement atroce ce qui lui est arrivé ! Et ça fout les jetons, aussi ! Sinon, je trouve ça vraiment gentil de ta part d'avoir accepté. Est-ce-qu'on sait qui a attaqué Kylie Haven et Cheyenne White ? Bisous, Minna Elle répond pas à « quels amis de ta mère sont venus ? » ça me tue. C'est nul les lettres.   Poudlard, le 10 novembre 2022.   Poema, Je n'ai même pas eu besoin de chercher dans la réserve, figure-toi ! Pince m'a refilé un bouquin de cinquante mille tonnes, mais extrêmement efficace. Le message est : "Prends garde à ce qui t'es cher". Le second est, je pense, écrit pas (PAR) l'auteur en parlant de lui-même... ou d'elle-même. Je l'ai traduit, il signifie "Je vois le bien, je l'aime et je fais le mal". C'est... complexe, vais-je dire. C'est sûrement un professeur, car tous les messages (quatre pour le moment) sont écrits en vert émeraude, et personne sauf les profs ne sait où elle se trouve. Enfin, moi à part, puisque je l'ai découvert par erreur... Tu te souviens, le pari avec Amy fin sixième année. Bref. La phrase m'a laissée perplexe, serait-ce Lenoir ? Il fait le mal, c'est clair, à me coller autant pour rien... Enfin, j'ai mis de la glu sur son chapeau pour qu'il reste collé à sa tête, dernièrement... Mais j'aurais pu utiliser de la Glue Perpétuelle, ce que je n'ai pas fait, pourquoi ? Parce que je suis sympa, voilà ! D'autres n'auraient pas eu cette bonté d'âme. En plus, Lenoir n'aime pas le Bien, sinon je ne serais pas en retenue tous les soirs jusqu'au Nouvel An. (Elle est un peu conne mais elle est rigolote, je l'aime bien) Mais si ce n'est pas Lenoir, qui ça peut être ? McGo ? Elle a combattu pour le Bien à la bataille de Poudlard, alors je pense qu'elle n'est pas mauvaise ! LOL, comme disent les Moldus..! Bref, je suis totalement perdue par rapport à ces messages, mais ce n'est pas ma préoccupation pour le moment. Enfin, si, ça l'est, mais la première reste mes rêves. J'en ai un peu marre de raconter ma vie, alors je fais (VAIS) finir là cette lettre ! Tchüss, Aurélie xx   Poudlard, le 10 novembre 2022.   Salut Min' ! On  ne voulait pas gâcher de papier à écrire deux lignes... En effet, on s'et rendues compte qu'on ne savait pas quoi t'écrire, nous deux ! Je sais, pathétique. Concernant les amis de ta mère, salue Maggie et Terry de ma part. Je les ai toujours beaucoup aimés. Ils sont marrants ! (Oh je cringe... C'est vrai que dans l'ancienne ancienne version, le nom Whisper n'était pas qu'un hommage à la fanfic LMA, Minna était vraiment la FILLE de Kate et d'un mec inutile que j'avais inventé avant qu'Emeric devienne son love interest. Je suis gênée. J'arrive pas à croire que l'autrice m'avait autorisée à faire ça ! – she did) Au'.   Pour ma part, dis bonjour à ton père, Jonathan ! :) (INUTILE INUTILE INUTILE ON S'EMMERDE ! A QUOI CA SERT DE PRECISER ??? ELLE CONNAIT LE PRENOM DE SON PÈRE)   Diana.
Poudlard, le 11 novembre 2022. Minna, Aurélie pense que ce sont les Ardents, tu sais, les horribles oiseaux du terrain de Quidditch, en octobre. Mais rien n'est prouvé. Alice   Chez Ollivander, le 11 novembre 2022.   Aurélie, tu es décidément irrécupérable..!! Non, ce n'est pas Lenoir. C'est impossible, ça ne peut pas être un professeur, quel intérêt aurait-il à t'écrire des choses comme ça ?! Non, c'est bien un élève. Les Mangemorts se rassemblent, et la nouvelle génération est également marquée... (Je m'ennuie. Je m'ennuie.) Tu as fait de nouveaux rêves ? Raconte-les moi. N'omets aucun détail sinon je n'aurais aucun remords à te balancer dans le lac à mon retour... Et je reviendrai à la mi-novembre, rappelles-t'en bien. (C'était une tentative de montrer une certaine complicité entre elles deux ? Raté, c'est nul) Amicalement, Poema   Aurélie retint un éclat de rire en achevant sa lecture de la lettre de Poema. Elle n'irait pas de risquer à se baigner dans le lac à cette période de l'année... Elle commença donc à rédiger dans ses moindres détails le rêve qu'elle avait fait sur Grace, et envoya dans la foulée une lettre à Estelle demandant des nouvelles de sa famille. En attendant les réponses, elle décida d'aller voir l'entraînement d'Alice. Elle alla tout d'abord à la volière où elle utilisa un hibou de l'école pour envoyer ses deux lettres, à Estelle et à Poema, puis elle s'habilla chaudement et sortit du château, direction le terrain de Quidditch. Le vent soufflait. Elle plongea le nez dans son écharpe en repensant à tous les élèves qui avaient perdu la vie ici en octobre. Elle songea à Lilybeth Ravenswood, qu'elle avait croisée une seule fois. Elle ne connaissait même pas son année d'études, peut-être troisième ? Aurélie avait perçu une aura de courage teintée de peur et de tristesse, pleine de contradictions, qui lui avait fait immédiatement apprécier cette jeune fille. Elle était triste pour elle. Elle était triste pour ces élèves, jeunes, qui ne méritaient pas ça. Pour Cheyenne White et Kylie Haven, et aussi pour June Pinks et Kylie Morgan qui passaient les voir chaque jour, sans que leur état ne fasse autre chose que stagner. (Ce passage n'est pas si mal !) Alice filait sur son balai à la vitesse de l'éclair. Dans les gradins, Diana l'encourageait en hurlant, bras levés. Aurélie la regarda un instant, avant de se décider à la rejoindre.   - Salut, Au' ! - Salut !   Diana continua d'encourager Alice jusqu'à ce que la Gryffondor attrape le Vif d'Or.   - T'es une putain d'attrapeuse, Lilice ! beugla la princesse en agitant un petit drapeau en papier aux couleurs de Gryffondor. Tu vas les bouffer, les Serdaigle ! - Hey, protesta doucement Aurélie. - Bah c'est vrai ! - Le déroulement du dernier match n'était pas top.
Diana sembla soudain gênée.   - Je sais... Encore une fois, là, c'est toi qui a remarqué qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas... - Le ciel était orange. C'était comme flagrant, tu vois. (Pour qu'Aurélie remarque quelque chose avant les autres ça devait pas être SI flagrant)   Les deux jeunes filles reportèrent leur attention sur le terrain.   - Lily ne vient plus ici. - Lily ? - Lilybeth. Lilybeth Ravenswood. (J'aimais trop son nom je crois, je l'écris toutes les 5 lignes) - Ah...   Aurélie baissa la tête, se remémorant la triste histoire de la soeur de Lilybeth, Victoire. Elle emprunta un instant le miroir de Diana pour vérifier que ses cheveux n'étaient pas trop désordonnés.   - Elle a peur ? - Non. Elle ne veut juste pas se souvenir... - Pourquoi ? (Question bête) - Certaines personnes font ça. Certains personnes réagissent comme ça à la suite d'un deuil. Ils font comme si la personne n'avait jamais existé. Comme si leur douleur non plus n'existait pas. Ils se défont de tous les souvenirs et de toutes les choses qui rappellent l'être décédé. Le moindre souvenir leur fait mal. Ils les éloignent, petit à petit...   Aurélie croisa son propre regard dans le miroir. Des yeux bleu myosotis. Ceux de son père, disait Lou Noctua, la prof de potions, en première année. Ils se défont de tous les souvenirs et de toutes les choses qui rappellent l'être décédé. Insolent, jugeait McGonagall, mais généreux. Les deux seuls commentaires qu'elle avait eu sur son père en six ans d'études à Poudlard... Bientôt sept. (Cette phrase aurait dû se situer en-dessous de la suivante.) Un coeur aussi pur que son sang. Le Choixpeau Magique. Sa Répartition. Aurélie Becker... Je vois en toi le courage de ton père. Un coeur aussi pur que son sang. Tu es généreuse, c'est une qualité immense... Gryffondor est fait pour toi ! GRYF... - NON ! - Et pourquoi donc ? Oui... Oh... Crois-tu vraiment que... Non, ce n'est pas une bonne idée. Tu es intelligente, à n'en point douter, mais je ne peux pas envisager de... Tu es curieuse, une qualité de Serdaigle... Je ne sais pas si... - Je vous en prie... - SERDAIGLE ! Serdaigle est la maison des personnes réfléchies, travailleuses... Vous n'avez rien à y faire. Une énième qualité de Serdaigle que vous n'avez pas : la discrétion. Professeur Lenoir. (Je vois ce que j'ai essayé de créer, un espèce de flash de ses pensées comme dans un film, mais ça ne marche pas trop. L'enchaînement est pas ouf. Mais j'ai tenté !)
- Bah alors, Au' ? Qu'est-ce-qui se passe ? T'es toute pâle ! - C'est le vent ! s'écria Aurélie. (La mytho) Allons voir Alice !   Les deux jeunes filles se levèrent et allèrent à la rencontre de leur amie de Gryffondor.   - Tu te débrouilles vachement bien ! lui lança Aurélie, alors qu'Alice détachait ses cheveux. - C'EST MA MEILLEURE POTE ! J'LA CONNAIS DEPUIS QU'ON A ONZE ANS ! se vanta Diana en riant et en passant un bras autour des épaules d'Alice.  - N'exagérez pas, les filles ! - C'est qu'elle fait sa modeste ! Allez, change-toi, et on se fait une partie d'échecs ! - Des échecs ? Toi, tu joues aux échecs ? (Je me joins à cette demande : AURELIE TU JOUES AUX ECHECS ??) - Je suis à Serdaigle ou pas ? - D'après ta cravate, oui, mais... Où est ta cravate, au fait ?   Aurélie baissa les yeux, ouvrit sa veste, mais ne vit aucune cravate. Elle sortit sa baguette magique.   - Accio cravate !   Celle-ci lui atterrit dans la main, pour son plus grand bonheur. (Pratique. Je me suis toujours demandé s'il y avait une limite de distance au sort) Elle la fourra dans sa poche.   - Qu'est-ce-que tu crois ? J'ai de l'ordre, moi ! Concernant les échecs, je n'avais que ça à faire cet été et je me suis beaucoup améliorée, ne t'en déplaise, Dumbledore ! - Mais je n'en doute pas, Becker !   Alice et Aurélie s'esclaffèrent.   - Bon, c'est pas tout ça, mais j'ai hâte de rentrer prendre une petite douche... à quarante degrés..! s'amusa Diana. On crève de froid, on se croirait en hiver... (Bon ça sert à ça les ellipses : à ne pas foutre à tout bout de champ des remarques inutiles comme ça.)   Aurélie approuva, et Alice partit se changer. Lorsqu'elle revint, les trois filles partirent vers le château en discutant du futur match entre Serdaigle et Serpentard.   - ... Ensuite, c'est Gryffondor VS Serpentard, puis Poufsouffle VS Gryffondor, puis Poufsouffle VS Serpentard, puis Gryffondor VS Serdaigle, puis... - OK, OK, Miss Je-Sais-Tout du Quidditch, l'arrêta Aurélie. On a compris ! - Et ensuite, c'est les matchs entre gagnants, c'est ENCORE mieux ! s'enthousiasma Alice. - Y'a qui déjà, dans l'équipe de Serpentard ? - Bah... L'attrapeuse, c'est Dray Malfoy, les poursuiveurs, c'est Yurri Leuca (NOGINEROIJKJQNOIG EXCUSE ME FOR VOMITING), Amy et... un gars, je sais plus son nom... Et les batteurs c'est Evana et Soran Snape, expliqua Diana en fronçant les sourcils. - Et à Poufsouffle ? s'intéressa Aurélie, curieuse. (Aurélie est commentatrice au Quidditch... Elle connaît les équipes mieux que personne... Et cette exposition ne sert à rien du tout... Pitié, fais une ellipse...) - Aucune idée. Faudra demander à Poema, Stella ou Min' quand elles rentreront.   Les trois filles firent quelques pas hésitants, s'entreregardèrent et pénétrèrent dans le château. Puis Alice se risqua :   - Notre groupe n'est plus le même sans Poufsouffle ni Serpentard, non ? (Les Poufsouffle sont juste en vacances, et Amy, franchement, vous n'avez pas vraiment fait d'efforts pour la ramener. Bon, elle était hyper méchante, je comprends en même temps.)   Aurélie secoua la tête, l'air triste, en s'avançant dans les couloirs et ôtant son écharpe. Diana baissa les yeux.  
- Non.   Après cela, elles resèrent silencieuses un bon moment. Aurélie se demanda si elle devait leur parler su rêve qu'elle a fait, à propos de Grace Underwood et des McGraw.   - Euh, les filles, il...   Diana poussa soudain un hurlement strident, à glaçer le sang de n'importe qui. Elle tendit un index tremblant devant elle, et bafouilla quelques phrases inintelligibles. Alice passa devant Aurélie, qui était à la traîne (comme d'habitude), et hurla à son tour.   - Mais quoi ?! s'énerva Aurélie en poussant ses deux amies.   Elle se retint de crier également. Devant elles se trouvait le corps lacéré, baignant dans son propre sang, d'une fillette aux cheveux noir bleuté et aux traits japonais, portant un uniforme de Serdaigle souillé. (OH OMG JE M'Y ATTENDAIS PAS)   - C'est... C'est... C'est la petite Mei ! bredouilla Diana, tremblante sous l'effet du choc. - Attends, tu la connais ? - Elle nous a demandé un autographe, à Alice et à moi, le 2 novembre au petit-déjeuner... Je m'en souviens parce que c'est le jour où le corps de Cheyenne White a été retrouvé... - C'est la deuxième Serdaigle, pâlit Aurélie. (Elle elle a juste peur pour sa vie ptdr) - Il faut avertir McGo ! s'écria Alice en se mettant à courir dans la direction du bureau de celle-ci.   Les deux autres restèrent figées, Diana les yeux rivés sur la petite Mei, Aurélie regardant Diana. Puis elles se décidèrent à suivre leur amie. (Ca aurait été mieux si « Il faut avertir McGo ! » avait été la dernière phrase, plus de suspense.)
11 novembre 2022, 19 heures 21, domicile des Parrish, PDV Andy Parrish.   - A TABLE ! s'égosilla une énième fois notre mère depuis la salle à manger. - ON VIENT ! répondis-je. Alors, Karl, t'as fini ? - Déjà, ce n'est pas moi qui scanne ce truc, mais l'ordi, donc adresse-toi à lui. - Tu ne veux quand même pas que je parle à une machine ? - Depuis qu'on est des sorciers, on a déjà parlé à pas mal de choses qui étaient censées ne pas pouvoir le faire. En vrac, un vieux chapeau, une lettre, des tableaux, une balle, un... - OK, OK. Mais là, on est dans le monde moldu, et je m'adresse à toi. Dooonc, Karl, est-ce-que l'ordinateur a fini de scanner ce truc ?! - Non. - Ah, c'était vraiment dur hein ! (Ils me font rire. Les jumeaux Parrish vraiment, j'aime bien leurs interactions. C'est pas forcé.)   Je n'en peux plus ! Karl est insupportable depuis que cette pimbêche de Serpentard sort avec le Nordique. En plus, nos grand-parents viennent dîner ce soir. Ce sont des Moldus, et ne sont pas au courant de notre "vraie nature", à mon frère et à moi. Il va donc falloir être très, très prudents.   - Recherche en cours, indiqua Karl.   Le symbole de recherche sur l'écran m'irrite au plus haut point. Je sens l'odeur du ragoût de maman, c'est...   - Dire qu'on fait ça pour Becker ! - Tu m'éton... OH ! CA Y EST ! - Alors ? - Google propose ces mots clés : symbole-celte-vérité. Je crois que c'est limpide..!   Karl cliqua sur le lien, qui nous amena à une page Wikipédia. Je lis.   - "Le triskèle, également orthographié triskell ou triskel ou appelé aussi triquètre ou triscèle (du grec τρισκελης, « triskélès » qui signifie à « trois jambes ») est symbole représentant trois jambes humaines, ou aussi trois spirales entrecroisées ou tout autre symbole avec trois protubérances évoquant une une symétrie de groupe cyclique." Hein ?! Je n'ai absolument rien compris ! (Alors ce n'est pas utile de le mettre.) - Pareil ! Wikipédia, c'est absolument incompréhensible, même Binns et plus intelligible ! - Si Oliver était là, il comprendrait tout rien qu'en lisant ! - Mais il n'est pas là, et on n'a que nos petits cerveaux moldus pour nous aider à résoudre cette énigme à la noix. Allez, carbure, Karl, carbure, j'ai légèrement faim, moi !   Karl lit la suite.
- Alors, "Utilisation : Le symbole se rencontre depuis le néolithique dans diverses cultures et à différentes périodes, les plus anciennes représentation se trouvent sur les temples mégalithiques de Malte. On peut trouver ce symbole au tombeau néolithique de Newgrange daté de 3 200 avant notre ère, sur le site de Brù na Boinne en Irlande. Sous forme de gravure, il est présent à plusieurs endroits notamment sur une grande pierre à l'entrée. Ce symbole aurait néanmoins été sculpté 2500 ans avant que les celtes soient présents en Irlande." Ce n'est vraiment pas plus clair. - Absolument pas. Continue... - "Le triskèle a été également repris et intégré à l'architecture de nombreuses abbayes, couvents et églises. Souvent groupé par deux, avec des rotations inversées et surmonté par un biskèle. ou en un groupement de 3 triskèles. On le retrouve également en formation linéaire de multiple unités (comme à l'Abbaye de Saint-Antoine l'Abbaye en Isère où l'on y retrouve ces trois configurations"... Ouais, ça ne nous aide pas. Ca n'a aucun rapport. - Va à "Signification", pour voir...   Mon frère clique sur le lien que je lui indique du doigt et poursuit sa lecture.   - "De nombreuses significations ont été avancées alors qu'une seule fut privilégiée au cours des siècles. En effet, il est difficile de donner au triskèle une symbolique exacte, la transmission du savoir chez les druides ne s'étant faite que de manière orale"... Bon, la mythologie celtique, on s'en fout... Ah ! Là, j'ai une piste : "il peut aussi représenter la continuité du temps qui passe : passé-présent-avenir ou encore les trois âges de la vie (jeunesse, âge mûr, vieillesse)". Tu crois que la mère d'Aurélie flippe à l'idée de vieillir ? - Pfff, n'importe quoi ! - On sait pas ! Tu la connais, toi, à part comme le professeur Becker ? (Il a raison)
- Non. - Eh bah voilà. On n'est pas sûrs. Autre chose : "il est également dit qu'il pourrait être représentatif des "Trois Mondes" : le monde des vivants, le monde des morts et le monde des esprits". Le père d'Aurélie est mort, non ? - Je ne sais pas. Aurélie ne le sait pas non plus, d'ailleurs. Avance jusqu'à la signification finale, celle qui est vraie. - Les garçons, je ne me répèterai pas une vingt-septième fois : A TABLE ! hurla encore une fois notre mère.   Karl fait défiler la page Web jusqu'à tomber sur la partie concernant la véritable signification du symbole.   - "Mais des écrits attestent clairement et inconstestablement la symbolistique"... ça existe comme mot ? (Non... j'aurais au moins pu vérifier...) - J'en sais rien, moi ! Sûrement ! Continue. - Eh, tu sais lire aussi, toi, je me trompe ? - "Mais des écrits attestent clairement et incontestablement la symbolistique portant sur la vérité du triskèle. Ses "trois jambes" représentent ce qui est pensé, ce qui est dit et ce qui est vrai." Ouf. Compliqué. - Donc la mère d'Aurélie aurait peur de la... vérité ? Ca n'a pas de sens. (MAIS SON EPOUVANTARD AURAIT DU ETRE AURELIE QUI LA CONFRONTE AU SUJET DE CETTE VERITE ! PAS UN SYMBOLE DE LA VERITE ! C'EST VRAIMENT COMPLETEMENT CON !!!) - Au contraire. Ca expliquerait pourquoi... - PAPY ET MAMIE S'IMPATIENTENT ! - On arrive  !   Mon frère et moi nous levons de nos chaises, mettons l'ordinateur en veille et sortons de notre chambre.   - Y'a pas à dire, Internet, ça aide. - Mais alors, on fait quoi, on lui envoie un hibou ? - Ca risque d'attirer l'attention de Papy et Mamie... "Ho, les enfants, que faites-vous avec un hibou ?" se moqua Karl en imitant la voix vacillante de notre grand-mère.  
Nous arrivons dans la salle à manger sous les commentaires désagréables de nos parents ET de nos grand-parents, et commençons à manger.   - Alors, les études, ça se passe bien ? - Oh ouais, c'est... magique ! plaisantai-je avec un regard oblique vers Karl.   Mon père me fait les gros yeux.   - Magique ? Eh bien ! Moi qui pensais que vous détestiiez les études, soupira mon grand-père. - Tiens, justement, on a un examen à la rentrée, continue mon frère. - Ah bon ? m'inquiétai-je. - Oui, en maths.   En sortilèges ? (Ils ont un langage codé ? ptdr)   - Alors, vous avez intérêt à réviser ! Vous passez le bac l'année prochaine ! Et après, la majorité, la liberté ! se mit à divaguer ma grand-mère. - Euh...   Nous ne pouvons pas leur dire que pour nous, notre majorité est pour dans quelques mois, ni que nos A.S.P.I.C. sont pour la fin de l'année, ni que nous appartenons à un autre monde dont l'équilibre est menacé. Alors, nous nous contentons de sourire et de hocher la tête, ce qui contenta notre famille. (C'est bien décrit, j'apprécie cette scène pour l'instant.)   - En tout cas, ce rôti est excellent, Sofia. - Ce n'est pas exactement un rôti, c'est... - Peu importe. (Mdr) Alors, les garçons, avez-vous déjà une idée de ce que vous voudriez faire plus tard ?   Karl, en pure provocation, ne cacha rien de nos objectifs :
- On voudrait ouvrir une boutique d'objets magiques sur le Chemin de Traverse ! (C'était très bête ça) - KARL !! s'écria papa, indigné. - Pardon ? J'ai pas entendu ! Patty, où est-ce-que tu as mis mon sonotone encore ?! - Je ne l'ai mis nulle part ! C'est toi qui n'a pas d'ordre ! rétorqua mamie de sa voix aigüe. (OK alors là c'est totalement copié d'une réplique de ma grand-mère)   Tandis que mes grand-parents se disputent, mon père adresse un regard tranchant à Karl, qui sourit innocemment. Pendant ce temps, mon grand-père s'aperçoit que son sonotone était en fait dans sa poche.   - Donc vous voudriez ouvrir un magasin d'accessoires pour les skate-boards ? - Euh... Oui, c'est ça ! - Vous n'aspirez pas à quelque chose de plus... élevé ? - Elevé ? répétai-je sans comprendre. - Non, répondit Karl à ma place. Excusez-moi, je dois écrire une le... Un SMS à une amie. - Ah ! Une amie comment ? s'intéressa subitement ma grand-mère avec un clin d'oeil faisant tressauter ses paupières ridées. Une grande amie ou... une petite-amie ? (Trop gênant) - Grande, répondit Karl après avoir levé les yeux au ciel. - Elle est dans ta classe ? - Non, elle est juste dans la même promo que moi. - Elle s'appelle comment ? Elle est blonde, brune, rousse ? Elle est jolie ? - Mamie, calme-toi ! m'énervai-je en me levant à mon tour. - Attendez au moins le dessert ! supplia presque notre père.
Sans répondre, nous nous mettons à courir vers notre chambre. Une fois arrivés, nous éclatons de rire, incapables de nous retenir plus longtemps.   - Un magasin d'accessoires pour le skate-board ! - Moi, sortir avec Becker ! - Les études, magiques ! - T'es excellent, frangin ! - Je te retourne le compliment !   Rendus joyeux par notre fou rire, nous décidons d'écrire la lettre à Aurélie de suite.   - Bon, on écrit quoi ? (Ligne de dialogue inutile)   12 novembre 2022, 10 heures 28, Poudlard, Grande Salle, PDV Aurélie Becker.   Chez nous, le 11 novembre 2022. Salut, Becker ! Karl : Merci de t'inquiéter tout d'abord de notre bien-être, c'est très généreux. Nous relisons encore et encore la sympathique lettre que tu ne nous a pas envoyée. Donc, l'Epouvantard de ta mère est... Andy : Oh, faisons encore un peu durer le suspense, mon cher frère. Nous, tout va bien, nous avons reçu la visite de nos grand-parents qui s'interrogent sur ta taille. Nous avons manqué un dessert fabuleux à cause de toi (millefeuille, on te hait).
Karl : Nous n'allons pas t'énerver plus longtemps, car nous sommes trop jeunes pour mourir. L'Epouvantard de ta mère représente le symbole celte de la vérité, il est appelé le triskèle. Donc, la plus grande peur de ta mère est un vieux dessin celte. Je commence à comprendre pourquoi tu es comme tu es, psychologiquement parlant. Les deux : En te saluant avec tout le respect que tu mérites, bien cordialement, Karl & Andy Parrish P.S. Nous n'attendons quand même pas de lettre de remerciements, nous ne sommes pas si optimistes. Et comme on est sympas, on te joint un dessin raté du triskèle.     (Ils sont marrants, même si ça aurait été plus réaliste qu'ils écrivent un mot chacun à leur tour plutôt qu'une phrase sur deux. Ça fonctionne à l'oral, pas à l'écrit.)
Amusée, je ris un peu avant de reposer la lettre sur la table. Je me sentais un peu seule en ce mardi de vacances. Je m'avais jamais eu d'amis dans ma maison (Aurélie a des amis partout wesh stop the nerd bashing) - ça, ce n'était pas nouveau - mais cette solitude était rendue encore plus pesante par l'indifférence d'Amy et l'absence des trois Poufsouffle. Peu d'élèves étaient encore présents pendant les vacances de la Toussaint, et aussi dingue que cela puisse paraître, j'étais la seule Serdaigle de septième année. (Wow c'est hyper dingue incroyable wow) Les autres maisons étaient presque aussi vides, il ne restait en moyenne qu'une dizaine à une vingtaine d'élèves par maison. A Serdaigle, la majorité étaient en troisième année. (TROP LOOOOOOOOOONG ET INUTILE) J'attendais encore et toujours une lettre d'Estelle et une de Poema, mais mes deux amies de Poufsouffle restaient silencieuses. Le silence régnait également dans la salle commune, dans les couloirs, dans les dortoirs, partout. Je déteste le silence. Je l'ai trop connu étant enfant, un silence si épais que je pouvais presque le toucher du bout des doigts. (Trop de fois le mot silence dans cette phrase) Comprenez-vous, ma mère aurait pu m'amener à Poudlard, comme quelques professeurs qui avaient des enfants, comme par exemple la directrice. Mélusine Wood-Noctua, en deuxième année à Gryffondor, aux boucles rousses flamboyantes et aux yeux bleus chaleureux (ON S'EN BRANLE DE LA COULEUR DE SES YEUX ET DE SES CHEVEUX ET MEME DE SON NOM, ON NE LA REVERRA PLUS DANS L'HISTOIRE), avait elle grandi au château. Moi, j'ai vécu dans un orphelinat moldu jusqu'à ce que je reçoive ma lettre. Un orphelinat. Je n'étais pas orpheline ! C'est ce que je disais aux élèves qui me posaient la question, ils me voyaient tous les ans, sauf pendant les vacances. Pendant les vacances, je retrouvais ma mère dans notre maison de campagne. Je n'ai jamais vu la mer qu'en photo. Et le silence, qui ne me lâchait jamais, que ce soit dans l'orphelinat au couvre-feu exagérément tôt, et aux règles trop strictes, surtout sur le bruit. Il y régnait un silence de mort, tantôt ponctué par des reniflements d'élèves enrhumés, ou par des chuchotements par la suite sévèrement punis. Et pendant l'été... même scénario. Je nous revois encore, ma mère et moi,  mangeant face à face, sans rien nous dire, alors que j'avais tant à lui raconter, lui expliquer, lui avouer. Elle penchée sur son assiette, ses cheveux blonds attachés en une queue-de-cheval lisse, et moi la regardant, mes pieds ne frôlant même pas encore le sol.
- Maman..? - Aurélie, nous sommes à table. (La connasse) - Je le vois bien !   Elle ne répondait plus, après. Elle désignait mon assiette encore pleine d'un mouvement du menton, et je la finissais, les yeux dans le vague, rendue triste par ce silence froid qui avait fait de moi sa proie. Puis, je me levais de table, et j'allais m'asseoir sur le canapé, regarder la télé et des films qui brisaient et réduisaient en miettes le silence qui m'enchaînait. Ca ne durait pas longtemps, hélas. Ma mère finissait toujours par éteindre la télé (souvent avant la fin du film, d'ailleurs), et les images colorées, le son enjoué du film s'évanouissaient dans les airs, si subitement que je me demandais si je n'avais pas inventé ces derniers instants. Je me levai, quittant le salon.   - Aurélie, tu n'as pas oublié quelque chose ?   Le bisou du soir. J'avais envie de lui crier : "Et toi, n'as-tu pas oublié quelque chose ? Tu n'aurais pas oublié de m'aimer, par hasard, tu n'aurais pas oublié de me faire rire, de partager des choses avec moi, de me regarder, de me faire exister à tes yeux ?!" Mais je baissai les yeux, m'avançai vers elle et l'embrassai sur la joue, sans la chaleur et sans l'amour que les enfants et les parents des films que je regardais avec autant de joie se portaient mutuellement. Et j'allais me coucher. (C'est moi ou la scène est bien écrite pour une fois ? Un peu exagérée mais en vrai, ça va. Les émotions sont correctement décrites. Il y a une fluidité. Cool ! J'avais du potentiel !)
Je posai mon menton sur mon poing, pensive. J'ai toujours pensé que ma mère n'avait peur de rien ni personne. Alors, d'une espèce de symbole bizarre à la signification floue ? Certainement pas.   Je finis mon petit-déjeuner et sortis de la Grande Salle. Alice et Diana n'étaient pas là, sans doute s'étaient-elles levées plus tôt. Pour une raison que j'ignore encore, mes pas me conduirent à la bibliothèque. Je n'aimais pas cette pièce (SE RELIRE), car encore une fois, le silence y régnait. Le silence m'amène beaucoup trop souvent à m'interroger sur des choses auxquelles je n'ai pas forcément envie de penser, mais besoin. Etant malchanceuse, et ce depuis toujours, j'eus la désagréable surprise (enfin, surprise... il se rend tout le temps à la bibliothèque, on ne peut pas dire que je fus véritablement étonnée de le voir ici) de voir (répétition du verbe) Ruewen en train de feuilleter un ouvrage qui ne pourrait être porté que par une armée de trolls, et encore. Il devait faire au moins deux mille pages. Pas le genre de bouquins que lirait un Gryffondor sain d'esprit. Je ne me sentais pas l'envie d'aller l'énerver, aussi choisis-je une table bien éloignée de celle où il s'était assis, mais c'était sans compter sur son envie à lui de faire de ma vie un enfer par sa seule présence.   - Becker. - Ruewen.   Il s'installa en face de moi.   - T'es pas rentrée pour le vacances ? Suis-je bête, personne ne veut de toi. (le vacances hahaha. Et sa réplique est trop nulle ils sont en CP ou quoi ?) - Et toi ? Ta mère était trop occupée pour venir te chercher ? (ET TA MERE LA PUTE wow quel niveau) - Qu'est-ce-que tu insinues, là, au juste ? Occupée à quoi ? bondit Ruewen, sur la défensive. (Mais tu le sais très bien....... Pourquoi tendre le bâton pour te faire battre.... ?) - Occupée à exterminer des Nés-Moldus, par exemple ! expliquai-je perfidement.
Il se raidit.   - Tu ne sais rien sur ma mère. (TU LUI AS DIT TOI-MÊME QU'ELLE ÉTAIT MANGEMORT !) - Je sais plus de choses que tu le crois, assénai-je. Tiens, regarde !   Je tirai la baguette de sa mère de mon sac-banane, dans lequel j'ai également rangé la lettre des Parrish.   - Qu'est-ce-que c'est ? - On ne reconnaît pas la baguette de sa mère ? Ce n'est pas bien, ça !   Il pâlit brusquement, sa respiration devint sifflante.   - Mais... Où as-tu eu ça ? - Chez Ollivander, bien entendu. Mais pas dans les circonstances que tu imagines. (C'est rigolo lol) - Je n'imagine rien. - Moi non plus, je constate, c'est tout, dis-je en faisant tourner la baguette dans ma main.   Le silence s'installa, encore lui. Cet absence de bruit me renvoya brutalement à mon enfance et aux souvenirs que je me suis efforcée d'oublier. (Va voir un psy Aurélie.) Je déteste le silence. Je ne m'étais pas rendue compte que j'avais murmuré cette dernière phrase. (OH LE CLICHE DE LA MEUF QUI PARLE A HAUTE VOIX SANS LE REALISEEER)   - A quoi tu penses ? (Tu m'étonnes qu'il chope toutes les filles avec des répliques de tombeur comme ça)   Je me hérissai.   - Pourquoi ?! C'est impoli de vouloir pénétrer dans la tête des gens. Et je sais de quoi je parle, étant télépathe. - Par curiosité. - La curiosité est une qualité de Serdaigle. - Pas forcément. - Je me demande bien pourquoi tu n'as pas rejoint Serdaigle, d'ailleurs, tu es aussi ennuyeux que les gens de ma maison. - Si tu les détestes autant, pourquoi avoir choisi cette maison ?   Savait-il ? (ET ALORS ??? WHAT IF HE DOES???? ELLE VA FAIRE QUOI, PLEURER PARCE QU'ELLE EST PAS DANS LA BONNE MAISON ? ALORS QU'ELLE L'A CHOISI ??)   - Je ne l'ai pas... Choisie ! C'est le Choixpeau qui... - Je le sais bien, idiote. Mais le Choixpeau, justement, te laisse le choix. - Non.   Je me levai et pris mon sac-banane.   - Où tu vas ? - Là où tu n'es pas. - Plutôt limpide comme réponse, estima Ruewen en haussant les épaules avec désinvolture.   Ce soudain intérêt de sa part me déconcerta. Qu'est-ce-qu'il préparait encore..?   - Je vais être encore plus limpide : laisse-moi tranquille. - Hey, Becker ! Attends deux secondes. Tu ne tiens pas en place, c'est pas possible.   Ruewen se leva et me retit par mon sac-banane, que j'apprêtais à m'attacher à la taille. (Un sac banane ? Lol) J'attrapai son bras et le fit passer par-dessus mon épaule. (HAHAHAHAHA MAIS PARDON ???? C'EST SUPERWOMAN ??) Ruewen couina de douleur. Vraiment pathétique. Je fléchis légèrement le genoux avant de l'envoyer au tapis. Sonné, il me regarda d'un air ahuri.   - Tu diras à ta maman et à ses amis que les sports de combat moldus ont parfois du bon. Sur ce...   Je tournai les talons et quittai la bibliothèque.   PDV Oliver Ruewen.   Le coeur battant à cause de l'adrénaline, je peinai à me relever. Mon bras et ma hanche m'élançaient. Cette fille avait de la poigne, c'était sûr. Elle était spéciale, trop pour que je puisse comprendre quelque chose chez elle. Je la voyais depuis six ans, chaque jour presque, je la haïssais, mais il y avait quelque chose en elle qui m'intriguait. "Je déteste le silence", avait-elle dit. (Wow c'est si intriguant) Pour moi, le silence était source de sérénité. Remplaçait n'importe quel mot, n'importe quel geste, était reposant. Le calme avant la tempête, celui dont on ne sait jamais profiter. (OK old soul)
PDV externe.   Aurélie se dirigea ensuite vers l'infirmerie, histoire d'avoir des nouvelles de Kylie Haven, Cheyenne White et de la petite Mei, dont le nom de famille lui était inconnu. Encore une fois, Lara Pomfresh lui refusa l'accès à l'infirmerie. Par conséquent, la jeune fille se mit en tête de la bouder. Oliver retourna à son livre, appréciant pleinement le calme qui régnait dans la bibliothèque. Il se surprit à regarder par la fenêtre en se demandant ce que faisait sa mère en ce moment, si elle exterminant réellement des Nés-Moldus. (Ptdr what a great thought to have) Il effleura du doigt la baguette de Grace, cachée derrière son épais livre. Alice, bras tendu, essayait d'attraper le Vif d'Or qui lui filait toujours entre les doigts, sauf quelques rares fois. Ce jour fut une de ces exceptions, car la jeune Gryffondor parvint à l'empoigner juste avant de toucher le sol. Elle remonta en piqué sous les applaudissements de Diana, dans les gradins. Minna jouait aux échecs version sorcier avec son père. Celui-ci avança sa tour et mit son roi en danger. Père et fille échangèrent  un regard, yeux gris contre yeux bruns. La jeune fille ordonna à son roi de se décaler d'une case vers la gauche. Estelle lisait tranquillement, le regard un peu dans le vague. Elle pensait à son oncle et à sa tante. A ses amies aussi, qui lui manquaient. En fait, elle n'avait pas retenu un mot des 94 pages qu'elle tournait à intervalles réguliers depuis une heure et demie. (Estelle is ADHD coded in that story) Poema termina de nettoyer l'étagère attribuée aux baguettes en bois fusionné. Elle se souvint... Elle avait neuf ans. Elle hésitait entre deux bois pour la fabrication d'une baguette. Du châtaignier et de l'aubépine. C'est ce jour que le sortilège de la Fusion du Bosquet était né. Son grand-père, extrêmement fier d'elle, avait monté cette nouvelle étagère en deux secondes grâce à la magie, et Poema y avait installé, un sourire aux lèvres, la première baguette en bois fusionné du monde. La jeune fille sourit, se demandant si cette baguette magique sera un jour attribuée à quelqu'un, et à qui. Elle secoua la tête et commença à replacer les baguettes sur l'étagère, pensant à son enfance à laquelle elle a été arrachée trop vite. (Sa seule personnalité ? Les bois fusionnés.) Amy répondit au baiser de Leto sans trop y croire. Les yeux clairs du beau blond (BEAU BLOND MDR) la transpercèrent. Son cerveau était embrumé, elle ne parvenait plus à penser ni à réfléchir correctement. Elle le sentait, elle avait besoin d'autre chose. De quelqu'un d'autre. Et ni de Mégane Rosier, ni de Daphné Zabini, ni de Leto. Quelque chose qu'elle avait avant. Auquel elle n'avait pas fait attention. Pas assez attention. Quelque chose qui était fragile. Mais quoi ? (Excellents indices) Karl, allongé sur son lit, songeait à une paire d'yeux verts (BLEUS) qui avaient le don de l'embrouiller depuis quelques mois. Une assurance évidente, une aura glacée et brûlante à la fois, une détermination et une confiance aveugle en elle-même. Il aimerait retrouver la flamme dans ses yeux, celle qui ne s'éteignait jamais, qui brûlait dans un mélange de mépris et d'inconstestable gentillesse. Elle manquait. Lui manquait, aussi. Grace, attendant son Maître assise avec les autres Mangemorts à une grande table ovale et toute en longueur, ne put s'empêcher de réfléchir à ses choix une nouvelle fois. Elle releva sa manche et caressa d'un index laqué de noir les contours de la Marque. Quand reverrait-elle son fils ? Elle rabattit sa manche. Bientôt.   (Et voilà. Voilà ce que j'aurais dû faire depuis au moins dix pages. En un paragraphe, on comprend que les personnages sont séparés, on a un rapide coup d'œil sur tous les persos importants, on comprend leurs sentiments, leurs vies, voilà quoi. Juste en décrivant ce qu'ils pensent au même moment. Et c'est pas ennuyeux. Putain.)
17 novembre 2022, 19 heures 08, perron de Poudlard, PDV externe.   - Huit minutes, lança Diana après un bref coup d'oeil à sa montre sertie de diamants et de rubis. (Bourge) - Quoi, huit minutes ? - Poufsouffle est soi-disant la maison de la rigueur, du respect et de la ponctualité, mais ces trois-là ont exactement huit minutes de retard à présent.   Alice pouffa de rire.   - N'importe quoi, Diana, tu inventes ! Poufsouffle n'a rien à voir avec la ponctualité. Si c'est ça, Serdaigle est la maison des personnes qui lisent des livres, Serpentard celle des gens qui aiment les serpents et Gryffondor celle des personnes... euh... fidèles en amour !   Diana éclata de rire. (Trop drôle)   - Te fous pas de moi, Dumbby ! - Toi non plus, Rosewoody ! - Elles sont là !   En effet, Minna Whisper et Poema Ollivander se dirigeaient vers Alice, Diana et Aurélie, un grand sourire aux lèvres. Aurélie courut leur sauter au cou, tandis que les deux Gryffondor la suivaient un peu hésitantes, en riant de l'empressement de leur amie de Serdaigle.   - Où est Stella ? - Aucune idée. On ne l'a pas vue dans le Poudlard Express, répondit Minna.   Soudain, une tête rousse apparut au milieu de la foule d'élèves qui sortaient du train et se dirigeaient vers le château. Estelle courut vers ses amies et les étreignit une par une, terminant par Minna à qui elle resta accrochée plus longtemps que les autres. La Poufsouffle se rendit compte qu'elle pleurait.   - Qu'est-ce-qui se passe, Stella ? - Mon oncle... Kendric... et ma tante Agatha. (C'est qui eux) - Quoi, ton oncle Kendric et ta tante Agatha ?   Les sanglots d'Estelle redoublèrent. Les six amies s'entreregardèrent (C'EST UN MOT CA ??? JE SAVAIS PAS), perdues. Si elles s'attendaient à un retour de vacances aussi triste..!   - Ils sont morts, finit par hoqueter Estelle. Par un Avada Kedavra. Les... Mangemorts..! Les... Mangemorts !   Choquées, les six jeunes filles entourèrent Estelle pour lui apporter leur soutien et leur compassion. (Show don't tell bitch)   - Pourquoi..? interrogea enfin Aurélie. - Je... Ne sais pas ! Ils étaient juste... Gentils avec nous ! Ils continuaient... à nous voir, ma famille et moi ! Agatha est la soeur de ma mère, la seule qui... ne lui en ai jamais voulu d'épouser un Né-Moldu. Donc ils étaient... traîtres à leur sang, comme... comme nous ! avoua Estelle dans un concert de sanglots et de hoquets. (Je préfère l'histoire de Gemma telle qu'elle est désormais.) - Les salopards ! lâcha la Serdaigle. - Je crois que tu as très bien résumé, Aurélie, dit tristement Poema. Viens, Stella, on rentre.   Les sept filles pénétrèrent dans le château, main dans la main.   ~   - Eh bien ! On a eu raison de ne pas attendre de lettre de remerciements, n'est-ce-pas, Karl ? - Tout à fait, Andy ! Quelque chose à dire pour votre défense, Miss Becker ? - Hum... Que... Je n'avais pas que ça à foutre ? - Argument rejeté. Peu convaincant, estima Karl, presque amusé.   Les jumeaux s'adressaient à Aurélie depuis la table des Gryffondor (Aurélie ayant décidé de s'asseoir avec les Poufsouffle ce soir), criaient pour recouvrir les bruits des discussions de celle des Serdaigle, entre les deux, ce qui agaçait plus d'un Serdaigle et tout particulièrement Lilas Ames - quelle surprise ! Aurélie était ravie pas tout cette agitation, ce bruit, la salle était vivante et elle aimait ça. Elle se dit que Poudlard était la meilleure chose qui lui soit jamais arrivée. Elle ne s'imaginait pas une vie de Cracmolle, ni de Moldue ! La magie faisait partie d'elle à présent. Non, pas "à présent" : depuis toujours. (A quoi ça sert de dire ça ? A rien du tout) Minerva McGonagall inspira un bon coup avant de demander le silence, d'autorité. Les élèves se turent les uns après les autres. Elle s'en voulut de briser ainsi cette innocence apparente mais bien fragile.   - Chers élèves, commença-t-elle. Nous devons vous informer d'une... bien triste nouvelle.   Aurélie, Poema, Estelle, Minna, Alice et Diana échangèrent des regards inquiets, comme la plupart des élèves présents. Elles attendirent la suite, comme les autres.
- Nous sommes au regret de vous annoncer, poursuivit McGonagall, que Mei Kiong, Serdaigle de première année, est décédée il y a quelques heures de ses blessures. L'enterrement devrait avoir lieu à Godric's Hollow, où elle vivait avec sa famille. Je... Vous êtes bien sûr tous invités. (Euh, ah bon ? Ils la connaissaient même pas)   Une clameur indignée monta dans la salle. Certains élèves y participaient, d'autres restaient muets et figés, trop choqués pour faire quoi que ce soit d'autre. Alice et Diana étaient de ceux-là. Deux filles à Serdaigle sanglotaient déjà.   - C'est qui ? demanda Aurélie en parlant d'une des filles, aux cheveux blond vénitien attachés en une queue-de-cheval parfaite, à la silhouette plutôt maigre. - Summer Wood. Et la fille d'à-côté, c'est Kathleen McAdams, répondit Poema en désignant une fille brune qui, elle, était plutôt ronde. Je crois qu'elle étaient proches de Mei Kiong... C'est terrible. (Pourquoi Poema connaît des meufs de première année ? Son chéri les baise aussi ?) - Les pauvres, regretta Minna en baissant la tête, touchée par l'annonce de la mort de la petite Mei.   Estelle retint ses larmes en repensant à son oncle et à sa tante, tandis qu'une expression de détermination se peignit sur le visage de Poema.   - On doit agir. Faire quelque chose. - Quelque chose ? - Venez.
Poema se leva en entraînant ses trois amies, alors que le professeur McGonagall redescendait de l'estrade tristement. Les trois Poufsouffle et Aurélie rejoignirent la table des Gryffondor en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Alice et Diana les regardèrent avec un air surpris, d'ordinaire les trois premières filles restaient à leur table.   - Qu'est-ce-que vous fai... - Venez, répéta Poema aux deux filles de Gryffondor. - Pop, c'est quoi ton délire ? On doit manger ! Je sens déjà l'odeur du rôti aux... oignons. OK, j'te suis, agréa Aurélie, une moue de dégoût déformant ses traits.   Les six filles sortirent de la Grande Salle tel un commando de ninjas (what the fuck), bien qu'aucune d'entre elles, à l'exception de Diana, Alice et peut-être Aurélie, ne puisse comprendre cette singulière comparaison. Elles s'assirent sur les escaliers les plus proches, en priant Merlin pour que ceux-ci n'aient pas la mauvaise idée de bouger.   - Quoi, Poema ? - Une armée. - Hein ? - Comme l'Armée de Dumbledore, pendant la seconde guerre contre l'Ombre. - C'est quoi, ça ? demandèrent Alice et Diana en choeur, les deux ayant grandi dans des familles moldues loin des ravages de la guerre entre sorciers.   Poema réprima un soupir et leur expliqua. (« réprima un soupir » mais quelle connasse méprisante, elles ont grandi dans le monde moldu évidemment qu'elles savent pas) Les deux filles froncèrent les sourcils, mais sourirent.
- C'est une initiative formidable, commenta Diana avec son ton princier habituel. Une telle preuve de générosité et d'unité m'émeut. (Pfffff elle c'est une princesse juste pour l'aesthetic) - Ouais, c'est vachement cool, approuva Alice, avec moins de classe. Une idée super. Tu comptes..? - Absolument ! s'enthousiasma Poema, empêchant la Gryffondor d'achever sa phrase. Une Armée secrète, ou pas d'ailleurs, car rien ne nous empêche d'en parler aux professeurs, où nous apprendrons les sortilèges cachés les plus sombres et les plus mystérieux de toute l'histoire du monde de la magie. - C'est ton slogan-pub ? Sympa, estima Aurélie en croisant les bras. (Je l'aime) - Arrête, Au', sois sérieuse une fois dans ta vie. - Et mes B.U.S.E., tu crois que je les ai eus comment ? - En comptant sur moi et sur mes feuilles de notes !   Aurélie ne comprit pas que Poema voulait plaisanter, et s'apprêta à partir (OH LA SUSCEPTIBILITE), mais Minna la retint par le bras.   - Reste, lui dit-elle, et la Serdaigle obtempéra de mauvaise grâce, elle voulait connaître la suite de l'idée de Poema. - Alors ? l'encouragea Estelle, impatiente elle aussi. (C'EST. TROP. LONG.) - Nous devons faire passer le message. Réunir un grand nombre d'élèves... A la bibliothèque par exemple. Je suis sûre que Mrs Pince n'y verra pas d'inconvénient, si on lui dit que c'est pour un club de lecture par exemple. - Attends, on ne prévient pas les profs ? s'étonna Minna. - On pourrait, admit Poema, une lueur de malice dans son regard vert. Mais c'est beaucoup plus drôle quand c'est... "illégal", non ? (Idiote c'est pas drôle on parle d'une guerre) - Oh, ma Poema ! s'écria Aurélie, oubliant toute rancune envers sa soeur de coeur à cause de sa réplique. Je t'aime tant ! (Vraiment moi quand je m'extasiais parce que Manon avait dit un truc stupide) - C'est récriproque, mais on a du pain sur la planche ! Minna, Estelle et moi avertissons les Poufsouffle. Aurélie, tu te charges des Serdaigle bien sûr, et Alice et Diana des Gryffondor. Quant aux Serpentard... - C'est là que l'autre traîtresse manque, lança Diana en baissant les yeux.
Les six filles soupièrent en même temps. (Du verbe soupier)   - Cette comédie ridicule a assez duré, poursuivit la princesse d'Australie (cette périphrase est gênante). Il est temps qu'on aille la voir et qu'on la réveille. - Et que tu t'excuses pour l'avoir frappée ? - A vrai dire, je me suis battue avec son garde-du-corps qui se fait passer pour son petit-ami. Je ne sais plus son nom, là... Lego ? (ça m'a fait rire) - Leto. Leto Naduly. - Merci, Alice. C'est ça, ce petit connard de Naduly. Mine de rien, il est coriace. Il a failli m'assommer, mais... - Et tu ne pouvais pas te battre avec ta baguette comme tout le monde ? s'amusa Estelle. - J'avais très envie de lui rentrer dedans, avoua Diana. Enfin, surtout Amy, mais cet inconscient s'est jeté devant elle pour la défendre. - C'est meugnon, se moqua Aurélie, cynique. - Pourtant, avec une baguette, c'est plus propre et net, et ça t'évite de revenir couverte de bleus et de sang, insista Estelle. - Oui, oui, oui. C'est bien, Estelle, répondit distraitement Diana, tandis que Poema la transperçait du regard. Je veux dire... J'aime le contact, on va dire. (Diana est véritablement détestable.)   Alice s'étouffa presque de rire devant cet euphémisme.   - C'est le moins qu'on puisse dire ! - Otez-vous de là, ordonna un Serpentard de cinquième année. - T'es qui pour nous dire ça ? Contourne-nous, débile, l'apostropha Diana en levant les yeux au ciel. - Ne me dis pas ce que je dois faire, Sang-de-Bourbe.   La princesse se leva et adressa une gifle magistrale au Serpentard.
- J'ai dit : tu nous contournes. - Je chuis... Chad Bulchtrode ! Che ne... Me laiche pas inthimider par des Gryffondor au chang chale, de quelques années que che choit ! ânonna Chad, la bouche en sang - il avait peut-être perdu une dent. (Une gifle ne fait pas cet effet) - T'as pas mieux comme insulte ? se moqua Diana. Allez, "dégache", "chinon che je refais le portrait".   Chad détala presque. Diana soupira. (C'était nul et cette scène est déjà trop longue)   - Quel minable. Nous disions ? - Au départ, on parlait de l'idée de Poema, mais ensuite, c'est parti en vrille, on a parlé d'Amy, puis de Naduly, et puis Bulstrode s'est tapé l'incruste, raconta Aurélie, amusée. (Je peux admettre que les discussions entre amis partent dans tous les sens mais dans ce cas, pourquoi écrire tout le dialogue ? J'ai qu'à juste faire une ellipse...) - On en revient donc à mon idée, si ça ne vous dérange pas trop, lança Poema en riant. Je suis d'accord avec Diana. Pour les autres maisons, nous représentons quelque chose. Une sorte d'unité entre nous qui s'appliquent aussi à elles. (Hein quoi) Entre Serdaigle, Poufsouffle, Serpentard et Gryffondor. Perdre Amy en cette triste époque revient à reléguer sa maison au rang de "méchants", si je puis dire. En plus, elle me manque vraiment. Beaucoup. - A moi aussi, avoua doucement Minna. Plus personne pour me sortir de mes rêveries. (Ah parce que personne d'autre ne peut dire « EH HO MINNA ») - Plus personne pour se moquer de mon addiction supposée aux jeux vidéos, ajouta tristement Estelle. - Plus personne pour se moquer de nous gentiment. (Amy sert qu'à ça en fait) - Personne avec qui se disputer, renchérit Diana. - Pareil. Enfin si, Ruewen, mais il n'a plus autant de répondant que les autres années, confia Aurélie avec désinvolture, une pointe de regret dans la voix. (PARCE QU'IL VA DEVENIR MANGEMORT VOUS VOUS RAPPELEZ ? DONC IL EST TRISTE)
- On est les Sept Fantastiques ! s'écria Aurélie. Pas les Six. Et elle me manque aussi, cette connasse. - On ira la voir demain au petit-déjeuner, décréta Poema. - Le pet... Manger ! Il faut manger ! se rappela soudain Aurélie en se frappant le front du dos de la main - ce qui lui fit très mal, d'ailleurs. (Quelle conne, je relate) Je... On n'a pas eu le dessert ! On... A raté le dessert ! hoqueta-t-elle d'horreur. - Ce n'est pas grave, Au'. - Mais ! Le dessert ! Mais ! C'est... TOUT SAUF PAS GRAVE ! Je... On s'éloigne de l'idée de Poema, qui est plus importante qu'un stupide dessert, changea brusquement de ton et d'humeur Aurélie. (O-OK... j'arrive plus à suivre) - Euh... D'accord. Bon, demain on va voir Amy, et on prévient nos maisons de mon idée. - Ca va faire un carton, affirma Aurélie, sûre de ce qu'elle avançait. - Ce n'est pas seulement pour faire beau et réunir les maisons, nuança Poema. (Mais d'où les maisons sont divisées en 2022 ? A quoi ça sert à l'histoire ?) C'est aussi très utile pour revoir des sortilèges de base et en apprendre des plus compliqués. - Ollivander, le bois de vigne ? interrogea subitement une voix venant de derrière Alice. (Euh... Elle sort d'où cette personne ??) - Le bois de vigne choisit un maître qui a des objectifs élevés qui étonne souvent ceux qui pensent le connaître, répondit automatiquement Poema, avant de lever la tête pour regarder qui lui parlait. (Elle a aucun don en fait, elle a juste appris un livre par cœur.)   Il s'agissait de Matthew Davis, un Serpentard de septième année. (Oh... non...)   - D'ailleurs, si je ne me trompe pas, Davis, ta baguette est en bois de vigne. Elle mesure 35, 02 centimètres exactement et contient un ventricule de snallygaster. C'est ça ?   Déconcerté, Davis hocha la tête et partit avec sa bande de copains. (CETTE INTERACTION ÉTAIT INUTILE)
- POEMA, LAURIER ! hurla presque Aurélie en s'étouffant à moitié de rire. - Arrêtez un peu, bande d'immatures, je ne suis pas un phénomène de foire, commença la concernée, qui ne put résister à la tentation. (Mais c'est toi qui fais ton intéressante toutes les 2 secondes avec les baguettes, on dirait que tu fais exprès pour qu'on te DEMANDE) OK, le bois de laurier est attiré par les sorciers énergiques, se laisse facilement conquérir si son maître devient paresseux. - Merci, Poema ! s'amusa Diana. - C'était la dernière fois ! prévint la Poufsouffle en se retenant de pouffer de rire. - Non ! L'aulne ! Fais-nous l'aulne, s'il-te-plaît ! supplia presque Estelle, qui avait les larmes au yeux à force de rire. - Aulne ? C'est un bois très rigide qui aime les sorciers au tempérament opposé au sien, très bien adapté aux sortilèges inf... Vous avez failli m'avoir ! Je ne réponds plus de rien ! lança Poema en riant elle aussi aux éclats. - C'est ça ! - Davis ! appela Alice de loin.   Le Serpentard se retourna, et s'approcha à la vitesse de l'éclair, d'une démarche qui se voulait décontractée, vers celle qui l'appelait.   - Quoi, Dumbledore ?   Alice observa attentivement son interlocuteur, accrochant son regard aux yeux sombres de celui-ci. Matthew, un peu gêné, répéta :   - Quoi ? - Tu as une tache de sauce à côté de la bouche. - Hein..?!   Aurélie regarda de plus près, puis éclata de rire.   - C'est vrai ! Z'avez vu ?! (Mdr wow j'ai six ans d'âge mental)
Matthew Davis rougit tandis que ses deux amis se moquaient de lui. Il finit par tourner le dos à Alice, qui le regarda partir un long moment.   - Alice ! Aaaalice ! T'es avec nous ? questionna Diana en claquant des doigts devant les yeux de sa meilleure amie. - Hein ! Oui ! Oui !   Estelle se racla la gorge tout sauf naturellement et adressa un clin d'oeil à ses deux amies de Poufsouffle. (Ma définition du crush back then : regarder une personne, et être gêné)   - Bon, eh bien... Ca vous dirait de passer la soirée chez les Serdaigle ? proposa Aurélie à ses amies. Vous allez voir, l'ambiance est géniale, ça révise, ça révise, tout ça tout ça. - Ca a l'air fantastique, Aurélie, mais je vote pour Poufsouffle ! lança Poema en riant joyeusement. (POURQUOI JE COPIAIS L'ECRITURE DE MANON ??? C'est nul comme expression « rire joyeusement » pitié) - Poufsouffle ! répétèrent Estelle et Minna en levant la main. - Gryffondor ! la contredit Diana. - J'm'en fiche, avoua Alice. - Bon, ben, Poufsouffle alors ! décréta Estelle. Je vous montrerai mon nouveau jeu vidéo ! Il s'appelle "Sillicon Valley". - Comme la vallée ? interrogea Alice. - C'est une ville moldue, débile ! - Ce n'est pas exactement une ville, c'est... tenta d'intervenir Minna, avant de laisser tomber presque immédiatement. - Hé ! J'en ai une bonne sur ça. Où habitent les chirurgiens esthétiques ? A "Sillicone" Valley, plaisanta Aurélie avant d'éclater de rire. (It's actually funny) - Je trouve que tu es un public facile pour tes propres blagues, Au', s'amusa Estelle. (Pas mal) Bon, on va dans la salle commune des Poufsouffle alors ! - Non ! J'ai une bien meilleure idée, souffla Aurélie avec malice. (Oh je comprends plus rien... elles étaient dans la Grande Salle, McGo annonce que... Mei est morte ?? Elle les invite à l'enterrement... le groupe de potes se casse avant de manger, et du coup... n'a toujours pas mangé pour l'instant... et elles vont où ?)
17 novembre 2022, 20 heures 55, devant la statue de la sorcière borgne, PDV Minna Whisper.   Je vous jure que je leur ai dit, mais qui m'écouterais ? Poema aussi leur a dit, mais ça se voyait qu'elle n'était pas convaincue. Estelle aussi leur a dit. Mais ça, ce sont les Gryffondor (et Aurélie). Elle n'écoutent rien ! Absolument rien ! Ca va mal finir. (Ohlàlà mais qu'est-ce-qui se passe putain)   PDV Poema Ollivander.   Honnêtement, je n'aime pas ça. Ca, c'est Au' et sa manie suicidaire de toujours enfreindre les règles, qu'elle fasse ce qu'elle veuille mais qu'elle ne nous inclue pas dans ses projets qui sont toujours, en fait, foireux. Et aller à Pré-Au-Lard en pleine nuit (le soir tombe de plus en plus tôt au fur et à mesure que l'on s'approche de la fin de l'année, triste réalité), empruntant un passage secret inconnu de tous ou presque... c'est vraiment une idée typiquement aurélienne. Et je ne prendrais certainement pas le risque de faire partie de ce projet désastreux. Encore moins maintenant que je suis préfète. Je le pressens, que ça va mal finir. (Bon, je me doute que, comme on le répète, il va se passer quelque chose. Des Mangemorts qui rappliquent ? Aucune idée. Mais bon. On se fait chier, pitié, un peu d'action.)   PDV Alice Dumbledore.   Je ne devrais peut-être pas. C'est l'année des ASPICs, je devrais être dans la tour des Gryffondor à réviser les potions ou bien la métamorphose, mon point faible. Ou alors dans la salle commune des Poufsouffle, à rire et plaisanter avec mes amies. Ou bien à réfléchir au meilleur moyen de parler à Amy demain. Non, je ne devrais pas être devant cette statue flippante donnant sur un couloir flippant annonçant une soirée flippante. Ca va mal finir. Je vais adorer. (On dirait une meuf qui parle de son ex hyper toxique avec lequel elle ne doit surtout pas retourner mais avec lequel elle retourne.)   PDV Diana Rosewood.   Quand même, c'est dommage qu'Amy ne soit pas avec nous. Je me demande ce qu'elle aurait pensé de ce projet d'escapade. Je pense qu'elle nous aurait taxées sur ça un bon bout de temps. Elle me manque. (AMY NE SERT VRAIMENT QU'A SE FOUTRE DE LEURS GUEULES C'EST IRRITANT) J'espère qu'on va aller à Honeydukes. C'est mon endroit favori à Pré-Au-Lard, avec les Trois Balais. D'un autre côté, je suis persuadée qu'on va se faire prendre par le vieux Rusard. D'ailleurs, chaque année depuis la première quand Aurélie le voit, elle lui lance "Tiens, vous n'êtes toujours pas mort vous ?!" et elle se prend six heures de colle dès la rentrée. Et nous, on rigole sous cape, surtout Alice, Poema et moi. (En vrai elle a raison, Rusard est trop vieux genre. Et c'est pas un sorcier, il n'a pas la longévité associée à la magie.) Et s'il nous chope, ça va mal finir. J'ai tellement hâte. (ON S'ENNUIE, PITIE, STOP)
PDV Aurélie Becker.   Franchement, je ne vois vraiment pas où est le problème ! Ce n'est qu'une petite et innocente escapade nocturne. Même pas nocturne, en fait. Oui, bon. OK, nocturne. Mais ça ne change rien de toute façon, ou plutôt si... Une sortir diurne nous ferait rater les cours. En un sens, nous sommes très raisonnables. (Classic Aurélie) J'invite mes amies à emprunter le passage secret, mais au fond de moi, j'ai un mauvais pressentiment. Ca va mal finir. Comme d'habitude, en fait. (Ah bon ? Le problème, c'est que je les présente comme les best best friends, qui font les quatre cents coups et tout, mais le lecteur ne voit jamais rien de tout ça, il est juste censé me croire sur parole.)   PDV Estelle McGraw.   Aurélie a toujours des idées bizarres. C'est pour ça qu'elle est ma meilleure amie. (Meilleure ? Euuuh) Elle apporterait du piquant dans la vie de n'importe qui. J'aime son enthousiasme, même si des fois, ça va trop loin. Aurélie ne franchit pas les limites, elle les réduit à néant. Pour elle, elles ne sont que poussière. (Pfffffff...) C'est donc pour cela qu'aller se balader à Pré-Au-Lard, enfreignant ainsi cinq règles de Poudlard en même temps (au bas mot) ne lui pose pas plus de souci que de rendre son devoir un jour en retard (ce qu'elle a fait plus d'une fois). (AURELIE EST REBELLE ET BADASS OK ???? VOUS AVEZ COMPRIS ????) Mes grand-parents désapprouveraient. Moi aussi, en mon for intérieur, je désapprouve. Je suis préfète. En septième année, qui plus est. Si jamais on se fait prendre... Je n'ose pas imaginer. Je dois montrer l'exemple. (Estelle est préfète ? Euh... Hein ? Je croyais que Poema l'était ? Je sais plus comment ça marche leur système.) Mais c'est, comme je l'ai dit, notre septième et dernière année. Si je ne m'amuse pas cette année, ce sera la dernière fois que j'aurais au l'occasion de le faire. Et j'aurais manqué ma chance. (Elles peuvent pas s'amuser en jouant aux cartes, je sais pas ? Pourquoi sortir à Pré-au-Lard de nuit ?) Ca va mal finir. Et alors ?   (IL FALLAIT VRAIMENT LES SIX POINTS DE VUE DE CES SIX PERSONNAGES NULLISSIMES POUR COMPRENDRE QU'ELLES ALLAIENT FAIRE UNE ESCAPADE NOCTURNE DANGEREUSE ?? aaaahhh !)
17 novembre 2022, 21 heures 30, salle commune des Gryffondor, PDV Oliver Ruewen. (Je me répète mais c'est nul de préciser à chaque fois date, heure, lieu et point de vue.)   - Récapitulons, me dit Karl, affalé sur un fauteuil près de la cheminée. Tu sais produire des Patronus. - Depuis ma cinquième année, oui, confirmai-je en tournant une page de mon livre. - Tu connais tous les bouquins de la bibliothèque - et autres - sur le bout des doigts, par coeur, comme si tu les avais avalés. - Je... Ouais, si tu veux. - Tu as plus de connaissances que le meilleur des Serdaigle, intervint Andy depuis un autre fauteuil, où il faisait (plus ou moins) un devoir de métamorphose. - Bon, les gars, c'est très gentil de me rappeler ce que je sais, mais je suis en train de bosser ce que je ne sais pas. Pour les ASPICs, vous vous rappelez ? A la fin de l'année. (Il est insupportable TAKE A COMPLIMENT RUEWEN ! Et quelle manière paresseuse de rappeler UNE FOIS ENCORE qu'il est intelligent)   Je n'ose pas imaginer où je serais... à la fin de l'année... (Somehow killing Muggleborns ?? Idk ! c'est pas clair)   - Qu'est-ce-que tu crois que je suis en train de faire ? demanda Andy. - Un devoir de métamorphose. - FAUX ! De sortilèges. Becker s'est surpassée cette année. - Je trouve qu'elle nous fait bien apprendre, jugeai-je.   Mes amis éclatèrent de rire.   - Tu parles ! Presque trop. 90 centimètres de parchemin sur les sortilèges inventés avant 1802 ? Elle aurait pu mettre 1800 ! Mais non ! Mille huit cent DEUUUUUUX. - Total ! approuva son frère. (« Totalement », non ?) C'est super inutile en plus ! - C'est surtout extrêmement malin, rectifiai-je. Prenez le sortilège de Déverrouillage, par exemple. Mais pas Alohomora, par exemple. En fait, il existait deux autres sortilèges de Déverrouillage étaient utilisés avant l'Alohomora, mais ils étaient beaucoup moins discrets : Portaberto (qui éclate la serrure, ne laissant qu'un trou fumant à la place) et Open Sesame (qui arrache la porte de ses gonds pour la détruire en petits morceaux). Et Portaberto a été inventé le 27 novembre 1800. Par Sannel Marash. Mais il n'a déposé le brevet que 1er janvier 1801.   Karl et Andy s'entre-regardèrent et lâchèrent un soupir.   - Quoi ? Je suis cultivé, c'est tout. (Ta gueule) - Vous me rappelez une de mes anciennes élèves, Ruewen, lança la voix du professeur McGonagall. (Je pensais sûrement à Hermione)
Oliver sursauta.   - Que faites-vous ici ? demanda-t-il de but en blanc. - Eh bien... Miss Becker n'est pas venue à sa retenue avec le professeur Crowley. Nous pensions interroger ses amies, mais Amy Santiago n'a pas voulu nous répondre, et Estelle McGraw était introuvable. Quant à Poema Ollivander et Minna Whisper, elles n'ont pas pu nous apporter de réponse non plus. Avez-vous vu Alice Dumbledore et Diana Rosewood ? (WESH INTERROGER CARREMENT ? Juste laissez-les et punissez-les demain) - Non, avouai-je.   Dans quel pétrin Becker s'était-elle encore fourrée..? McGonagall fronça les sourcils.   - Je vais régler cette affaire de suite, déclara-t-elle. Avez-vous une idée de l'endroit où elles pourraient être ? - Ah ouais mais Becker c'est Becker ! lança Karl en riant. - Imprévisible, ajouta Andy d'un ton grandiloquent. - C'est le moins qu'on puisse dire, grommelais-je.   En fait, je crois que c'est pour ça que je la déteste ; elle est trop imprévisible. Et j'ai besoin d'une vie prévisible, devinable. Je déteste les surprises. Elle ne m'ont jamais porté chance. (Dis moi que t'es chiant sans me dire que t'es chiant)   - Bon... Il semblerait que Miss Becker se soit une fois de plus offert une petite escapade hors de notre enceinte, et pendant les temps qui courent, ce n'est pas très prudent, marmonna la directrice, des éclairs de colère passant dans ses yeux.   Elle fait flipper quand elle est énervée.   - Vous allez la coller ? ne put s'empêcher de demander Karl, qui adore quand ce n'est pas lui qui l'est. (Oh non il me fait rire) - Et comment, rétorqua la directrice. Ainsi que ses amies de Gryffondor, si elles sont avec elles. Mr Wison ?   Tomy Wison, le petit-ami de Diana, fronça les sourcils quand il entendit son nom.
- Oui ? - Savez-vous où se trouve Diana Rosewood ? questionna McGo. - Non, répondit-il. La directrice jugea de la sincérité de ses paroles en le regardant dans les yeux (la technique incroyable et infaillible), puis voyant qu'il était sincère, elle nous salua et s'apprêta à sortir de la salle commune. - Euh, madame... - Oui, Ruewen ? - C'est qui, votre ancienne élève à qui je vous fait penser ? - Une certaine Hermione Granger. Une Gryffondor... qui avait tout pour être à Serdaigle. - Hermione Granger, la Ministre de la Magie ?! Hermione Granger, la meilleure amie de Harry Potter ?! Hermione Granger, héroïne de la bataille de Poudlard ?!  m'étranglai-je. - Eh oui.
Sur ce compliment, elle quitte la pièce. Karl et Andy se mettent à rire et à applaudir. - Ollie, ministre ! Elle veut se reconvertir en humoriste, McGo ? - C'est vous les humanistes, les gars ! - HU-MO-RISTES ! Pffff, les sorciers se disent supérieurs aux Moldus alors que c'est nous qui connaissons BEAUCOUP plus de choses que vous...!! - Qu'est-ce-que le Magenmagot ? - C'est... Hum... Euh... Je fais un sourire satisfait. - Vous avez votre réponse ! (Quelle arrogance mdr. Je sais que j'y ai probablement pas réfléchi autant mais c'est censé être le retour des néo-Mangemorts et compagnie, avec une montée de purisme et de « les sorciers sont mieux que les Moldus » donc quand tes amis Nés-Moldus font une blague sur ça, tu ne rétorques pas « ah ouais, mais est-ce-que vous connaissez *institution judiciaire* ??? »)
18 novembre 2022, 9 heures 16, couloirs de Poudlard, PDV externe.   - Pffff ! Des retenues pendant deux mois, tous les mardis et vendredis ! Elle abuse, McGo, jugea Alice en soupirant. - Minna et moi vous avions prévenues, fit remarquer Poema.   Minna confirma, et nargua les punies. (Attends quoi ? Minna et Poema sont pas punies ?) Poema l'arrêta d'un geste. (Oh Poema quelle bonté)   - Moi, je pense plutôt que McGo est juste, lança Estelle. Mais on s'est quand même éclatées, non ? Je trouve que ça vaut le coup !   Hier soir, quand les quatre filles s'étaient séparées de Minna et Poema (EST-CE QUE VOUS AVIEZ COMPRIS QU'ELLES S'ETAIENT SEPAREES ?? Pas moi !), elles avaient emprunté le passage secret de la sorcière borgne, elles avaient directement filé chez Honeydukes, et avaient acheté quelques friandises (quelques... c'est un euphémisme). La commerçante n'avait rien dit, elle connaissait les quatre filles, plus particulièrement Estelle, qui était une amie de sa fille. (Ben c'est surtout que le commerce était fermé ?? Je comprends pas, c'est l'escapade la plus nulle de la Terre)   - Cette fois, on peut pas y échapper. On fera ce qu'on a dit. - Hin ? s'écria Aurélie. De quoi tu parles, Stella ? (Euh ouais de quoi tu parles ?) - On parlera à Amy ! On lui demandera pardon. (Mais quel rapport avec Amy ?) - On n'a rien fait !! s'indigna Alice. (Elle a raison) - Peu importe, trancha Poema. Nous devons préserver notre amitié et le symbole qu'elle renvoie aux autres. (MAIS TU CROIS QUE LES GENS EN ONT QUELQUE CHOSE A FOUTRE DE VOUS ???) - Moui, admit Aurélie du bout des lèvres. Mais bon... - Elle m'a traitée de Sang-de-Bourbe !!! crut bon de rappeler Diana. - Et alors, Rosewood ? Moi aussi ! (Il faut que j'arrête d'introduire un personnage au milieu d'une conversation, ça fait stalker)   Les quatre filles firent volte-face et tombèrent nez à nez avec Karl Parrish. Derrière lui se trouvaient son frère et Minna Whisper.   - Qu'est-ce-que tu fiches avec les Parrish ? demanda Aurélie, avant d'éclater de rire. - Supeeeer rime, ironisa Andy. - Ta gueule, Parrish numéro deux, ou un, je ne sais plus. - Lui, c'est le deux. JE suis né en premier. JE suis le number one, se vanta Karl. (CES LIGNES DE DIALOGUE SONT SI INUTILESà - Ouais, c'est ça... Andy, Amy t'as aussi insulté ? - Injurié. - C'est pareil. - Non, intervient une voix timide. L'injure constitue un délit plus grave que l'insulte, car elle est destinée à toucher une personne dans son honneur ou sa dignité. C'est différent de l'outrage, qui est une injure très grave. (Euh... Oliver ?) 
Les sept têtes se tourèrent (DU VERBE TOURER) avec étonnement vers une jeune fille aux cheveux bruns et lisses, et aux yeux verts-dorés presque comme Poema. Elle portait les couleurs de la maison de Diana et d'Alice.   - Hey ! Fanny, la salua Diana, qui semblait connaître la jeune Gryffondor. C'est la meilleure amie de ma cousine Kaegan, confia-t-elle ensuite aux autres. (HEIN ? OH ARRETE AVEC LE OC INSERT LA !! ET FANNY, TIMIDE ?!) - Kaegan... Rosewood ? C'est pas la petite blonde aux yeux noisette, là ? Elle te ressemble énormément... - Oui, on n'arrête pas de nous le dire... s'esclaffa la princesse d'Australie. Et, non, Kaegan Maris. C'est la fille de ma tante, Sydney Maris, née Rosewood. - Compliqué, estima Andy en croisant les bras. (C'EST SA COUSINE GROS CON)   Alice leva les yeux au ciel.   - N'im-por-te quoi ! C'est sa COUSINE, Parrish ! Ca n'a rien de compliqué pour les personnes possédant un cerveau ! (Right) - C'est bizarre qu'elle s'appelle Sydney alors qu'elle soit australienne, lança pour sa part Karl. (MDRRR HE'S RIGHT MANON WAS WEIRD) - Pas plus bizarre qu'une Française qui s'appelle Paris. (Ben... y'en a pas) - Paris Hilton ? demanda Andy à son frère. - Hein ?! s'écria Aurélie. - Bah, l'actrice. - Elle n'est pas chanteuse ? hésita Karl en fronçant les sourcils. - Hein ?! répéta Aurélie. (Ce n'est ni intéressant ni drôle est ce qu'on peut arrêter svp ??)
Seules Diana (qui était Née-Moldue) et Alice (qui avait grandi dans une famille moldue) semblaient comprendre de quoi ils parlaient. Minna, qui avait pourtant un père Né-Moldu, ne comprit rien, comme les autres.   - Mais elle n'est pas anglaise, Paris Hilton ? débattit Karl. - Américaine, non ? intervint Diana. - Heiiin ?! s'affola presque Aurélie, qui détestait ne pas comprendre. - Bref... Euh... C'est quoi ton nom, déjà ? demanda Andy à la jeune fille brune, qui riait aux éclats. - Fanny ! Fanny Wellington, je suis à Gryffondor. - Non, vraiment ? Je pensais que tu étais à Serdaigle, et que tu avais piqué l'uniforme à quelqu'un, ne put s'empêcher d'ironiser Aurélie. (Ferme ta gueule wow) - Je voulais vous demander si vous n'aviez pas vu Kaegan, dit Fanny en croisant les mains derrière son dos. Et j'ai entendu votre conversation. (Il faut VRAIMENT que j'arrête avec les stalkers de conversation) - Euh... Non, avoua Diana. Désolée. - Tant pis, elle doit déjà être dans la Grande Salle. Au revoir ! les salua la sixième année en partant dans le couloir de gauche. - Tsüsch ! Euh... Tsüss ! Euh... Comment ça se prononce ? s'écria Aurélie, un peu énervée. - Ca se prononce "Tschüss" ! Franchement, même Lexie sait ça ! (STOOOOOOOOOOOOP !!! C'est nul ! Ca casse tout, le lecteur se demande qui parle, c'est nul !) - Hey !!
Le petit groupe se retourne à nouveau et aperçut Daniel Dawn, Lucie Wison, Lexie Dragonneau et Teo Anderson qui descendaient les escaliers.  C'était un quatuor amusant et sympathique. (SHOW DON'T TELL AM I RIGHT) Lucie était en septième année, et les trois autres en sixième année. Lexie et Dan, en particulier, étaient les amis d'Aurélie. Elle aimait leur aura, toujours positive, et la façon tordante avec laquelle ils se taquinaient.   - Ce n'est pas un hasard si je suis à Serdaigle, Dawn ! - Aurélie est bien à Serdaigle, elle, ça ne prouve rien ! (Let's rename the fic : everyone clashing Aurélie for her supposed lack of smarts for 195 pages)   Aurélie hésita entre piquer une crise de colère et éclater de rire.   - Hé, ça veut dire quoi, ça ?! s'interposa-t-elle, oscillant entre les deux émotions contradictoires. (ça veut dire que tu es conne) - Devine, conseilla malicieusement Dan en levant les yeux au ciel avec un air des plus innocents.   Dan Dawn était un Né-Moldu, un peu fou sur les bords - et les bords étaient larges, comme le disait si bien Lexie. Il avait des cheveux châtains ébouriffés et des yeux bleu clair. Plus petit que les autres adolescents de son âge, il compensait par beaucoup d'humour et de gentillesse. (C'est la pire description de l'univers mdr, déjà d'où être petit doit être COMPENSÉ et ensuite, en quoi l'humour et la gentillesse compenseraient une petite taille ??) Lui qui rêvait d'être à Serpentard, il avait été réparti à Gryffondor. Histoire plutôt singulière, d'autant plus qu'il détestait le rouge. Il trouvait que c'était une couleur agressive. (Boring, boring, boring. Si je voulais vraiment introduire Dan, j'aurais dû le faire dès le début, en tant qu'ami d'Aurélie, elle aurait pu le croiser dans les couloirs parfois ou dans la salle commune de Gryffondor quand elle y passe, mais là, rien, puis une grosse description.)
(TW personnage cringe) Lexie Dragonneau, anciennement Paris, était la descendante de Norbert Dragonneau, le fameux naturaliste du XIXème siècle, qui avait étudié à Poufsouffle. (C'est pas sûr, ça. Manon avait inventé les Dragonneau comme si Norbert n'existait pas) La jeune Serdaigle était très jolie, avec de longs cheveux noirs, des yeux d'un bleu magnifique et une peau pâle et lisse. C'était une mage dragonnière : elle avait la capacité de communiquer avec les dragons. Un don exceptionnel et assez rare : la magie dragonnière était une magie très ancienne éteinte pendant plusieurs générations. Aurélie connaissait également June Draconis, anciennement Pinks, qui était aussi une mage dragonnière. Lexie possédait un adorable petit dragon baptisé Shimmer. Lexie avait grandi dans une famille moldue, les Paris, qui l'avaient laissée tomber à la découverte de ses pouvoirs de sorcière. Sa famille biologique, qui avait été contraite de l'abandonner à sa naissance pour des raisons encore inconnus de la principale intéressée, l'avait alors "récupérée". C'était une fille drôle, généreuse et intelligente, bien qu'un peu étrange, Aurélie l'aimait beaucoup. (BLABLABLABLABLABLABLA CES PARAGRAPHES SONT LES PIRES QUE J'AI ECRITS DE TOUTE MA VIE !!! Et je cringe en pensant à Lexie.)
Lucie Wison était une élève de la promo d'Aurélie, très gentille et serviable. Elle avait un frère, Tomy Wison, qui sortait avec Diana, et un cousin, Adise Wison, qui appartenait au club de duel. Elle avait des cheveux bruns, des yeux foncés et une belle peau bronzée et sans imperfections. Aurélie ne la connaissait pas beaucoup. (BEN ALORS POURQUOI FAIRE TROIS LIGNES SUR ELLE ??) Teo Anderson était aussi de la maison Serdaigle, ce qui faisait qu'Aurélie le connaissait mieux que Lucie. Il avait des cheveux noir de jais, et des yeux bleu-vert. C'était également un comique... Aurélie l'aimait bien, comme la plupart des filles - hum. (L'HETERONORMATIVITE PUTAIN) C'était un joyeux groupe, des sixième année sympas et à mourir de rire, surtout quand Dan et Lexie se disputaient amicalement. (ILS SONT DROLES OK ???? ET SYMPAS !! VOUS AVEZ COMPRIS ???)   - Alors, comme ça va ? demanda enfin Dan, un grand sourire aux lèvres, se massant l'épaule que Lexie venait de frapper.   Aurélie réfléchit.
- En fait, je te dirais bien oui, mais ça pourrait signifier que je n'ai rien à foutre de ce qui se passe hors des murs de Poudlard, Deathly Hallow et compagnie, ce qui ne serait pas... cool, disons. Je ne te dirais pas non plus non, car ça va. C'est compliqué dans des temps de... bah, peut-être-pré-guerre, on va dire, parce que cette question peut prendre des intonations du genre "que penses-tu de la guerre qui va peut-être survenir" ? Et à vrai dire, je n'ai pas d'avis. J'ai du mal à m'en rendre compte. J'aimerais que tout reste comme ça. Ou pas. Non, en fait, j'aimerais que tout change. (Aurélie. Va. Voir. Un. Psychologue.) Sa déclaration fut suivie d'un long silence. Cinq paires d'yeux bruns (Alice, Diana, Karl, Andy et Lucie), deux paires d'yeux verts (Poema et Estelle) et quatre paires d'yeux bleus (Minna, Dan, Lexie et Teo) étaient fixés sur elle. Leurs propriétaires, plus ou moins habitués à la sincérité d'Aurélie, restèrent tout de même surpris. (C'est la phrase la plus mal écrite de toute l'histoire des phrases mal écrites. Je n'ai pas les mots.) - Bon ben... Mission Amy activée, conclut Aurélie. On va bouffer ? - Yes ! lança Lexie, toute joyeuse, en se dirigeant vers la Grande Salle. Tu manges avec Teo et moi, Au' ? - Ca marche. Mais d'abord... Non, à la fin du petit-déj', on va parler à Amy.
Diana maugréa. - Pourquoi ? s'intéressa Lexie. - On était en froid jusqu'à maintenant... expliqua Estelle, qui restait volontairement vague. On va s'excuser. - Ah ! comprit la Serdaigle aux cheveux noirs. (je pense pas qu'il y ait besoin d'une telle euhh « didascalie pour un simple « Ah »)
Les douze sorciers poussèrent les portes de la Grande Salle. Ils étaient légèrement en avance. Amy déjeunait seule. Cela fit un choc aux six amies de ne pas la voir en compagnie de Leto Naduly, ou de ses copines de Serpentard.   - On y va tout de suite, décida subitement Diana. - Diana ! l'appela Alice, sans succès. - Merde, jura Estelle.   Les cinq filles rattrapèrent leur amie.   - Amy, dit Diana. - Diana, répondit Amy d'une voix neutre, en posant son verre de jus de raisin. - On voudrait te parler une minute. - Ca tombe bien, je n'ai guère plus de temps à vous consacrer. (Ah et t'es occupée à faire quoi ?)   Cette réplique à la Amy fit sourire Minna. Elle était bien la seule. (Oui parce que ce n'est pas drôle en fait, elle est juste inutilement méchante et je pensais que c'était être sassy.) Diana s'assit en face d'Amy, puis les cinq autres jeunes filles prirent place à la table des Serpentard.   - C'est quoi ton problème ? questionna Diana. C'est Hallow ? Avant, tu étais cynique, mais amicale... Tu restes notre amie. Notre meilleure amie. Et notre meilleure ennemie, à Aurélie et à moi. (« Meilleure ennemie » tellement middle school cringe) On aime se marrer avec toi. On aime quand tu te moques de nous. On aime quand tu nous prends pour des débiles. (On aime quand tu nous insultes.) Et tu nous manques quand tu n'es pas là. On n'est plus les mêmes sans toi. Poudlard a besoin de la maison Serpentard comme nous avons besoin de toi. Amy. Parle-moi.
Cette déclaration bouleversante de sincérité toucha Aurélie plus que les autres, car malgré son bouclier, elle sentait l'émotion ressentie par Diana en exprimant ses sentiments. (JE DETESTE CETTE PHRASE ! JE DETESTE CETTE FANFICTION ! JE DETESTE QU'AURELIE SOIT EMPATHE ! C'EST NUL PUTAIN !) Ce que seule Aurélie remarqua, c'est que les yeux inexpressifs, embrumés de froideur d'Amy se réchauffèrent petit à petit, et bientôt y brûla la flamme vert foncé qui plaisait tant aux six amies. (Elle vient d'être désensorcelée par une déclaration d'amitié merdique ?!) Amy se racla la gorge.   - Tu nous fais quoi, là, Rosewood ? L'épisode émotion ? Demandons plutôt à Miss Empathe, qui en tremble d'impatience... ou alors a-t-elle envie de faire pipi ? ironisa-t-elle. (Wow... So funny... I'm dying...)   Minna, Alice et Estelle partirent d'un grand éclat de rire qui surprit tous les Serpentard (au nombre limité) assis à la table. Un garçon aux cheveux bruns couverts de gel, à la peau légèrement bronzée et aux yeux bruns les toisa. (C'EST QUI LUI ENCORE ????)   - Vous êtes daltoniennes ou quoi ? les apostropha-t-il, faisant allusion à leur appartenance à différentes maisons autres que Serpentard. - Qu'est-ce-qu'il a, le play-boy, il veut que je lui arrange le portrait ?! asséna Aurélie, en lançant un regard noir au pauvre Serpentard. (MAIS D'OÙ JE PRENDS PARTI ? C'est pas un « pauvre Serpentard », c'est un homme stupide) - Wolf, salua quant à elle Diana, froidement. - Tu le connais ? - Même si elle nie et me détrompe vivement à chaque fois que j'en parle, mon idiote de cousine s'est entichée de lui, chuchota Diana à Alice. (Ah oui, Kaegan et Zao... J'avais besoin d'insérer chaque OC de la commune ou quoi ?) - Kaegan ? s'incrusta Estelle. - Evidemment, je n'ai pas d'autre cousine, soupira Diana. (Elle est juste méchante, ce n'est pas drôle.) - Ah...   Amy adressa un sourire presque timide à Alice et Diana. Aurélie sentit qu'elle était émue. (Show. Don't. Tell.)
- Au fait, elle est où, Kag' ? demanda Diana en cherchant sa cousine du regard. - On voudrait bien t'aider à chercher, mais ça fait longtemps qu'on l'a pas vue ! Elle ressemble à quoi ? - Eh bien, Aurélie, elle ressemble à qui elle était avant les vacances. Sauf qu'elle s'est teint les pointes en rose, ajouta la princesse en levant les yeux au ciel. (Pourquoi tant de mépris ? Laissez cette meuf se teindre les cheveux) - En rose ?! s'indigna Aurélie en faisant une grimace de dégoût.   Elle détestait cette couleur. (AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!! FUCKING PICK ME I CANNOT STOP I QUIT I CAN'T)   - Bon, bah je vais manger avec Lex. Euh, non, Xixie. (Ce besoin de PROUVER à Manon que je comprenais chaque détail de son personnage nul, y compris le fait qu'elle détestait le surnom Lex, pour AUCUNE RAISON...) - Lexie Dragonneau ? Ah, elle est dans la promo. (INUTILE) - Mais on t'a rien demandé, Wolf ! s'exaspéra Alice.   Le Serpentard, de son prénom Zao, se renforgna et se leva aussitôt.
- Tu veux qu'on se batte, Dumbledore ? - Tu veux mourir, Wolf ? répliqua Alice sur le même ton. (MAIS JE)   L'arrogance de Zao Wolf l'exaspérait.   - Non, je n'y tiens pas, c'est pourquoi je choisis de me battre avec toi, rétorqua Zao du tac au tac. (C'est trop compliqué pour que ce soit percutant)   Il sortit sa baguette. Alice l'imita. Poema et Minna s'interposèrent.   - On se calme ! réclamèrent les deux Poufsouffle en choeur, ce qui leur arracha un sourire. - Stupéfix ! s'écria Zao en pointant sa baguette sur Alice. - Expelliarmus ! réagit aussitôt la Gryffondor. - Crache-limaces ! - Protego ! Ah, c'est bas, ça, Wolf, commenta la jeune Dumbledore. - Petrificius Totalus !!   Des élèves de toutes les maisons virent peu à peu voir ce qui se passait. Quelques élèves, comme Lexie Dragonneau, tentèrent d'aider Poema et Minna à raisonner les duellistes. Dan Dawn, apparemment, s'amusait bien. Il battait des mains en encourageant Alice, qui faisait partie de sa maison. (Y'a besoin de préciser ?)   - Expelliarmus ! retenta Alice, sans succès. - Cracbadaboum ! - Protego !! Stupéfix ! - ALLEZ LILICE !! encouragea Diana.
Amy, quant à elle, observait la scène avec un sourire sincère, bien que moqueur comme à son habitude. Poema, Lexie et Minna échageaient des regards contrits et impuissants. Dan applaudissait, comme Teo, mais avec plus d'enthousiasme. Lucie marmonnait quelque chose en secouant la tête. Quelques élèves se montraient encourageants, d'autres désapprobateurs quand d'autres, absolument neutres, continuaient de manger à leur table comme si rien ne se passait.   - Levicorpus ! cria Alice. - Protego ! Impedimenta ! - Terentellegra  ! - Incarcerem ! - Stupéfix ! - Locomotor Mortis ! - Protego ! STUPEFIX ! - LEVICORPUS ! hurla Zao, baguette levée.   Des cris énonçant des sortilèges résonnaient dans toute la Grande Salle. Aurélie s'étonnait qu'aucun professeur ne leur soit encore tombé dessus, mais ne s'en formalisa pas. Les professeurs mangeaient plus tôt, et l'un d'eux accompagnait Rusard dans sa "ronde" dans la Grande Salle. Le professeur changeait selon les jours. (Euh... Non... les profs mangent en même temps que les élèves... Pourquoi inventer un truc aussi compliqué alors que la justification-là suffit ?) Nous étions samedi, c'était donc le tour d'Amara Trelawney, semblait-il à la jeune fille...   - WOW ! HEY ! NON MAIS QU'EST-CE-QUE VOUS FOUTEZ, LA ?! rugit tout à cou la voix furieuse de Kaegan Maris. VOUS VOULEZ QUE JE VOUS AIDE ! WOLF ! DUMBLEDORE ! VOUS AVEZ PAS AUTRE CHOSE A FOUTRE ?! AU HASARD, JE DIRAIS QUE SI ! (Quelle réplique percutante) ABAISSEZ VOS BAGUETTES ! IMMEDIATEMENT ! - T'es sûre qu'elle est amoureuse de lui ? glissa Aurélie à Diana. - Ah ouais, OK, je comprends pourquoi tout le monde dit qu'elle te ressemble, commenta pour sa part Estelle. - ET VOUS, BANDE DE SCROUTTS, VOUS FOUTEZ QUOI ICI ?! VOUS REGARDEZ ?! C'EST BIEN, CA ! ET VOS DEVOIRS, ILS VONT SE FAIRE TOUS SEULS ?! LES ELFES DE MAISON NE SONT PAS ENCORE EMPLOYES A CELA ! ALORS ALLEZ BOUFFER ! hurla Kaegan. (C'est rigolo comme je confondais impolie avec badass)
Intimidés, les élèves rassemblés autour d'Alice et Zao firent demi-tour. Les plus têtus furent découragés par le regard assassin de la duchesse d'Australie. Lorsque ses yeux brûlant de colère se fixèrent sur Zao Wolf, le fier Serpentard se fit tout petit. La duchesse avait une allure royale, comme Diana, et des yeux noisette pétillants qui actuellement lançaient des éclairs. Ses cheveux blonds et lisses était effectivement roses aux pointes. Un fin trait de crayon soulignait son regard. Elle était de taille moyenne, mince et musclée. (DESCRIPTION NULLISSIME) Elle toisa son camarade de Serpentard, puis ses yeux noisette s'illuminèrent et son visage retrouva une apparence joyeuse, presque enfantine, en aperçevant Diana.   - Hey ! salua-t-elle sa cousine avec un sourire avenant qui la rendait dix fois plus jolie - Zao Wolf crut qu'il allait perdre connaissance. - Salut, Kaegan ! Ca va ? (C'est quoi ce nom d'ailleurs) - Très bien, répondit la jeune duchesse sans se départir de son sourire. Dis-moi, tu n'as pas vu Fanny ?   Diana rit un peu, puis désigna la table des Gryffondor où la jeune brune mangeait en compagnie d'une autre fille, aux traits vaguement chinois, plus petite qu'elle.   - Elle est avec ton autre copine, euh... Shey... ma ? prononça-t-elle. (OK stop, c'est trop. C'est beaucoup trop. Trop de personnages inutiles. On s'en fout de Sheyma. On la voit pas. C'est pas un perso important. On s'en fout aussi de Kaegan, Zao, les amies de Mei qui est morte, de Fanny, de Teo, de Dan, de Lucie...) - Sheyma, oui ! Merci, Diana ! Wolf, je t'ai à l'oeil, prévint Kaegan, avant de rejoindre ses amies d'une démarche plus légère. - Un sacré phénomène, ta cousine, commenta Zao, le regard rêveur.   Alice et lui se regardèrent en chiens de faïence quelques secondes, puis le Serpentard abandonna et se rassit, poursuivant son repas.  
- Mon café est froid ! Merci beaucoup, Dumbledore ! - Qui a voulu se battre ? Je ne suis pas certaine que ce soit moi ! - Oh, fermez-la ! intervint Poema, ferme. (Fermez la... Poema, ferme... le rythme de cette phrase est à chier, ça se voit que je me relisais pas) - Eh bien, ça ne manque jamais d'animation quand vous mangez avec moi, ironisa  Amy en buvant son thé. (Elle n'a littéralement rien dit...)   Diana leva les yeux au ciel, mais Aurélie vit bien qu'elle souriait. Les six filles s'assirent, ravies d'avoir retrouvé leur amie. Mais cela paraissait tellement facile... Elles n'avaient eu qu'à s'excuser. Non, c'était presque trop facile... (Ben ouais ??? Franchement je suis déçue)   - Elle est où, Trelawney ? demanda Alice. - Dans ton cul. - Stella ! - Quoi ? - Elle est où, Trelawney ? répéta la Gryffondor en secouant ses cheveux roux. C'est son tour de garde. - Elle a sans doute oublié, se moqua Diana.   Le petite groupe de filles commencèrent leur petit-déjeuner (enfin !). Peu à peu, la Grande Salle se remplissait d'élèves ayant voulu prolonger leur grasse matinée. Les filles prirent leur temps et finirent leur petit-déjeuner presque une heure après l'avoir commencé, il était neuf heures trente-cinq. Toujours aucune trace d'Amara Trelawney, ni même de Rusard. - Bah qu'est-ce-qu'ils foutent ? Ils se carambolent ou quoi ? - Aurélie !!!!! s'écria Minna. Oh Merlin... Les images... Franchement ! - J'ai envie de vomir, confia Estelle. Rusard et Trelawney. La foldingue et le bourreau d'enfants. Qui l'eût cru ?   Un silence suivit cette blague, avant que les sept amies se mettent à rire.  
- Heureusement qu'ils ne sont pas là, en fait ! s'amusa Minna. - C'est un euphémisme, estima Diana, en se levant et en s'étirant. Ma nuit a été trop courte. - Vous n'aviez qu'à pas rentrer à minuit passé, siffla Amy. - Hein ? Comment tu sais ça ? - Je ne sais pas. (Euuuuh ce n'est pas une réponse satisfaisante ça Amybeth)   Diana fronça ses sourcils blonds, mais se reprit vite. Elle échangea un regard bref avec Poema, Alice et Aurélie, tandis qu'Estelle et Minna s'entreregardèrent elles deux. Ce fut très bref, aussi Amy ne le remarqua pas. (Blablabla)  Aurélie réfléchit à vive allure. Il émanait d'Amy un mystère étrange, depuis qu'elles l'avaient rencontrée. Mais ce mystère s'était épaissi en début d'année. Elle se souvenait... Les émotions. Elle n'en avait pas détecté quand Amy était si froide avec elles. Comme si... Elle ne ressentait plus rien. (Ahhhh pas mal mais elle aurait pu s'en rendre compte plus tôt non ?)
PDV Alexandre Lenoir.   - AMARA ! hurlai-je.   Notre collègue avait disparu au cours de la nuit. Croisant nos versions,  la mienne avec celles des autres professeurs, nous sommes arrivés à la conclusion que nous ne l'avions plus vue depuis ce matin. Argus Rusard nous avait avertis qu'elle n'était pas venue à leur ronde hebdomadaire du samedi. Elle avait sans doute oublié... cela lui était si propre. Mais elle était introuvable. Elle n'était ni dans sa chambre, ni dans les serres... J'étais chargé de visiter la Salle sur Demande. Je montai les escaliers, des images du beau visage d'Amara défilant sous mes paupières quasi-closes. Ses cheveux châtain foncé, ses yeux chocolats, ses petites taches de rousseur, son nez retroussé, sa voix douce et lointaine, son cou délicat. Je secouai la tête pour recentrer mes pensées sur ce que j'allais penser pour accéder à une "version" de la Salle sur Demande où pourrait se trouver ma collègue de divination. Une traînée rouge, par terre, attira mon attention. Du sang... Le mien se glaça dans mes veines, et mon coeur s'emballa, mais cela n'avait rien de la chaleur agréable qu'il diffusait dans tout mon corps quand j'étais en présence d'Amara : à chaque battement, mes membres s'engourdissaient, ma vision s'obscurcissait, je ne pouvais presque plus avancer. L'énerie du désespoir guidait chacun de mes pas, et la démarcha ralentie et le souffle court, j'espérais de tout mon coeur, je prirais Merlin et tous les dieux sorciers et moldus, je promettais n'importe quoi, pour que mon intuition ne se révèle pas exacte. Mais Merlin et les dieux n'étaient pas de mon côté ce matin-là, car en suivant la ligne écarlate, je trouvais le corps inanimé d'Amara, baignant dans son sang, ses yeux magnifiques à demi-fermés, un rictus déformant ses lèvres roses. Un hurlement mourut dans ma gorge alors que mes jambes me lâchaient. Je tombai à genoux à côté du corps d'Amara. Je me penchai sur elle, tandis que des émotions que je pensais ne jamais ressentir s'emparaient de moi et effaçaient une à une tout ce qui faisait de moi ce que les autres voyaient. Je me mis à secouer Amara, l'appelant et l'appelant encore.
- Amara ! Amara ! Non ! hurlai-je, au désespoir. Ne me fais pas ça ! Ne pars pas ! Pas à cause d'eux ! Mais pourquoi ?! Pourquoi toi ?! Amara ! Non ! Tu m'entends ? AMARA !   Une brume chaude me brouille la vue, et se condense sans que je m'en aperçoive pour former un torrent de larmes. Alertée par mes cris, Nermine, qui cherchait Amara tout près, arrive en courant. Elle me regarde, éperdu de douleur près du corps inanimé d'Amara, et comprend. Elle va vers moi, me prend par les épaules et m'adresse quelques mots d'une voix qui se veut rassurante. Comment puis-je l'être ?   - On va l'amener à l'infirmerie... dit Nermine, mais sa voix me parvient de loin, comme à travers une cascade.   Est-ce aussi ce qu'Amara ressent lorsqu'elle se perd dans ses rêveries ? Je me débats. Je dois trouver une plante qui parviendrait à la guérir... Une corne de licorne ? Une antidote contre les poisons ? Mais que dois-je faire ?   - Amara..! Ils ne peuvent pas avoir osé... Amara ! continuai-je à psalmodier comme un décérébré. - Alexandre, calme-toi ! me supplie Nermine, les larmes aux yeux elle aussi. Lara va faire le nécessaire. - LARA ?! Mais elle n'a rien fait pour Mei Kiong ! Elle s'est faite également attaquer ! Et tu te rappelles ce qui est advenu d'elle, hier à peine ?! ELLE EST MORTE ! ELLE EST MORTE ! - JE LE SAIS ! explosa Nermine en laissant ses larmes couler. Mais nous devons garder la tête froide... Il nous envoie ça parce qu'il pense que cela va nous affaiblir mais il se trompe... La vengeance, voilà ce qui nous maintiendra en vie et ce qui déculpera nos forces. Alexandre...
Je secouai la tête, écartant des mèches de cheveux du visage d'Amara. Elle a perdu beaucoup de sang au niveau des côtes, et sa jambe droite est cassée... Je ne peux m'empêcher de penser que ni Kylie Haven, ni Cheyenne White ne se sont réveillées de leur espèce de... coma, ou, cela doit être ça (je ne suis pas médicomage, Merlin merci).  Mon esprit reprenant le dessus sur mon coeur, je parviens à me relever, faisant appel à toute ma volonté pour ne pas chanceler, ce qui trahirait mon abattement. Je ne peux détacher mon regard des yeux fermés d'Amara, bordés de longs cils châtain foncé, une entaille sur sa joue, et du sang séché dans son cou, sur ses bras, ses jambes, sa poitrine... Je me mordis mes lèvres pour ne pas hurler à nouveau... Un par un, parfois deux pas deux, les autres professeurs rappliquent. Ils échangent des paroles dont le sens se perd dans la cascade. Je finis par me pencher vers Amara et la prendre délicatement dans mes bras, la portant à bout de bras. Je la porte, comme dans un pur cauchemar, jusqu'à l'infirmerie, où cette idiote de Lara pose des questions idiotes dont les réponses sont évidentes pour quelqu'un possédant un cerveau. Un à un, parfois deux à deux, mes collègues quittent l'infirmerie.   - Je te demanderais de partir... commença Lara. Je dois lui administrer des soins. - Pour ce qu'ils servent, tes soins..! Je ne partirai pas, dis-je en faisant allusion aux échecs de Lara concernant White et Haven. (C'est vraiment un connard. Son amour pour Amara est juste bizarre.)
Lara rougit de colère, puis pâlit en regardant les corps inertes des deux élèves, couchées sur des lits, respirant tranquillement pourtant.   - Je vais chercher de quoi lui nettoyer ses plaies... - C'est ça, essaye toujours.   Elle ne répond pas. Une fois Lara partie, je me retourne vers Amara, que j'ai déposée sur un lit en face de celui de Cheyenne White et de Kylie Haven.   - Tu es unique, tu le sais, ça ? dis-je en parlant à Amara, la tutoyant pour la première fois.   Comme on pouvait s'y attendre, elle ne répondit pas.   - Tu me fais aborder la vie sous un autre angle. Tu es complètement barjo. C'est pour ça que...   Je m'interrompis, comme craignant ce que j'allais dire. (OHLALA C'EST BON PAUVRE CON ELLE NE T'ENTEND PAS !!! Si tu peux même pas dire je t'aime à une meuf inconsciente... it's giving toxic)   - Je me fiche que tu aies ou pas un don de divination... Ce que tout le monde attend de toi avec une ancêtre comme Cassandra Trelawney. Tu es incroyable. Toujours positive. On dirait que les médisances et les insultes ne t'atteignent pas... Tu es humble et honnête. Et si fragile... On ne prend pas au sérieux quelqu'un qui a la peur de sa vie en apercevant un cafard... eh bien, c'est un tort. Ta fragilité est touchante... car elle n'est qu'apparente. Est-ce juste moi qui ai envie de te protéger, et de tout faire pour cela ? Ou bien fais-tu cet effet-là à tout le monde ?
Je me tus un instant, je parlais rarement autant... (Je sens vraiment que je m'inspirais du style de Manon à travers des scènes comme ça et franchement, franchement, je n'aurais pas dû, je n'aurais pas dû.)   - J'aurais encore tant de choses à te dire. Mais tu ne m'entends pas... Peut-être ne m'entendras-tu plus ? Plus jamais ?   Je suffoque à cette seule pensée. Je m'accroche à elle comme si elle risquait de me filer entre les doigts.   - Que ferais-je sans toi, Amara..? Chaque pessimiste a besoin de son optimiste, et que ferait la nuit sans son jour..? Toi qui sais toujours tout, n'as-tu pas la réponse, cette fois-ci ?   Sans pouvoir me retenir, ne trouvant ni raison ni prétexte, je laissai à nouveau les larmes couler.  Je me penchai légèrement. Avant de comprendre pourquoi ou comment, mes lèvres étaient posées sur celles d'Amara. Je suis sans doute fou, mais j'ai l'impression de l'avoir sentie légèrement bouger. Oui, je suis fou. (OMG YES YOU ARE ! WHAT THE FUCK WHAT THE FUCK THIS IS ACTUAL SEXUAL ASSAULT LIKE KISSING AN UNCONSCIOUS PERSON??? WHAT IS WRONG WITH YOU LENOIR??? IN WHAT WORLD IS THAT CUTE????????????? WHAT WAS I THINKING?????????????????????????????????)
18 novembre 2022, 20 heures 56,  salle commune de Poufsouffle, PDV externe.    Les trois Poufsouffle étaient assises côte à côte sur un des canapés de leur salle commune, toutes trois dans la même position figée : en tailleur, les mains enserrées autour d'une tasse de chocolat chaud, les yeux un peu vides et rivés sur les flammes dansant dans l'âtre. Puis, Minna prit la parole.   - Bon sang. Trelawney. - C'était pour ça qu'elle était absente ce matin. - Si on avait imaginé ça... - Créer une Armée. (Hein) - Ouais, si on avait... Attends, une Armée, Poema ? T'es sérieuse ? s'alarma Estelle. Genre pour... Combattre ? - Non, pour boire des chocolats chauds devant le feu, ironisa Poema. (Elle est trop chiante) Je vous l'avais dit pas plus tôt qu'hier. Si ce n'est pas à nous de combattre pour protéger notre école, qui la protègera ? (Des adultes compétents âgés de plus de 17-18 ans ?)   Un silence accueillit sa question.   - Comme l'Armée de Dumbledore lors de la Seconde Guerre, souffla enfin Minna. - C'est exactement ça, Minna. - Alors, quoi ? On fait des flyers ? "Venez risquer votre vie avec Poema Ollivander, Minna Whisper et Estelle McGraw" ! - Et Aurélie Becker, Amy Santiago, Alice Dumbledore et Diana Rosewood. - Tu comptes les inclure dans le projet ? - Evidemment. Même si je ne forcerai personne. - Mais attends : on en parlerait aux profs ou...? - Je ne sais pas. Je me suis renseignée auprès de Louis Weasley, qui est en quatrième année, et il m'a confirmé que les membres de l'Armée de Dumbledore en 1995 n'avaient certainement pas le droit de fonder cette armée. Avec la directrice terrible qu'ils avaient... Momentanément, heureusement. - Pire que McGo ? plaisanta Estelle. - Bien pire. Dolores Ombrage. - Ombrage comme Chelsea Ombrage ? En première année à Serpentard ? - Elle-même. - Bordel... souffla Estelle. C'est sa fille ? - Je crois, oui. Ou bien c'est sa petite-fille. Elle est trop vieille pour avoir une fille de onze ans, non ? (INUTILE. INUTILE)   Minna et Estelle haussèrent les épaules.
- C'est elle qui traîne toujours avec Sephora... Quelque chose ? - Sephora Flint. (C'EST QUI ELLE ????????? ON S'EN BRANLE DE SAVOIR CA !!!) - Tu te souviens toujours de tout, toi ! s'exclama Minna avec vivacité. - Eh oui ! s'amusa Poema, un léger sourire passant sur ses lèvres. (Eh oui ! Je suis si intelligente hihihi !)   La jeune Whisper se tourna vers son amie, un vague sourire arroché aux lèvres.   - Raconte-nous tout. Je veux tout savoir de ton idée. Si tu omets un seul détail, tu t'en souviendras toute ta vie. (Cette phrase est si mal construite ???) - Je... Euh... D'accord ! accepta Poema, joyeuse. Eh bien, voilà, ça serait... (Lazy fucking ellipse)   19 novembre 2022, 8 heures 44, Grande Salle, PDV externe.    Les obsèques de Mei Kiong allaient avoir lieu le lendemain, alors forcément, tout le monde ne parlait que de ça. L'atmosphère dans la Grande Salle était tendue, les élèves parlaient à voix basse, et les professeurs ne parlaient pas du tout. Ils regardaient devant eux, le regard dans le vague, tels des zombies. Alexandre Lenoir n'était pas avec eux. De tous les élèves, la seule qui parlait avec un tant soit peu d'enthousiasme était Poema Ollivander, à la table des Poufsouffle.   - ... Une espèce d'association, disait-elle. Les élèves signeraient un pacte. Nous apprendrons des formes de magie que l'on enseigne pas à Poudlard. Peut-être même des magies interdites... mais surpuissantes. (Copié-collé de l'Armée de Dumbledore, ça m'énerve)
Voir la fille la plus sage ayant james intégré les rangs de Poudlard parler d'illégalité stupéfiait plus d'une de ses amies. Aurélie Becker émit un claquement de langue. Amy Santiago retint une remarque ironique. Alice Dumbledore et Diana Rosewood échangèrent un coup d'oeil. Minna Whisper pianota des doigts sur la table, impatiente d'en savoir plus. Estelle McGraw, elle, bâilla simplement. Sa nuit avait été trop courte. Poema ayant refusé d'en dire plus avant le petit-déjeuner, Estelle l'avait passée à réfléchir. (Je l'ai déjà dit, mais je déteste ces passages où je fais une phrase courte pour décrire ce que pense/fait chaque fille du groupe en citant son nom complet)   - Et donc ? On prévient comment les élèves ? - Ben, on en parle à droite et à gauche et on organise une réunion, par exemple à la bibliothèque. Et on dit à Mrs Pince que nous voulons fonder un club de lecture. - On s'entraînerait aux magies cachées à la bibliothèque ? interrogea Estelle, qui n'avait pas très bien compris. - Mais non ! Dans la Salle sur Demande. - La quoi ? demanda Diana. - La Salle sur Demande, répéta la jeune Ollivander. Cette salle est très ancienne. Elle date des fondateurs. Elle a le pouvoir d'apparaître à la demande, comme son nom d'indique. - Mais... Elle n'a pas été détruite lors de la seconde guerre contre Voldemort ? demanda Amy en fronçant les sourcils. - Si. Mais apparemment, elle est revenue. - C'est trop facile ! s'écria Aurélie. La Salle est brûlée, et paf, elle réapparaît, "bonjour, je suis la Salle sur Demande, j'ai pas du tout été détruite par des cons de Serpentard et de Gryffondor, je peux accueillir une nouvelle Armée quand vous voulez, les gars" ! (Je... critiquais mon propre scénario à travers Aurélie, là ? Being self-conscious doesn't solve the plot problem lmao)   - Hé ! s'indignèrent Alice, Diana et Amy. - C'était un reproche contre ceux qui ont fait brûler la salle, pas contre les Serpentard et les Gryffondor, les raisonna sagement Poema. - Ah... (MAIS ELLES ARRETENT PAS DE SE DISPUTER A PROPOS DE LEURS MAISONS C'EST NUUUUUUUUUUUL)  
.Les sept filles continuèrent de manger, en silence cette fois. Puis Poema le rompit à nouveau, posant sa tasse :   - Vous en parlez autour de vous ? Amy, aux Serpentard. Diana et Alice, aux Gryffondor. Aurélie, aux Serdaigle. Estelle, Minna et moi nous chargeons des Poufsouffle. OK ? - Logique, approuva Aurélie. Enfin, je ne vais pas aller me pointer chez les Serpentard, quoi, expliqua-t-elle.   Amy soupira.   - On te tabasserait, s'amusa-t-elle, un léger sourire flottant sur ses lèvres. - Ah oui ? Non, je ne crois pas, non, mademoiselle ! J'ai de l'expérience en combats, et ce ne sont pas une bande de petits serpents qui vont me faire peur !   Poema, Estelle et Minna sourirent, amusées. Alice et Diana les imitèrent, et les sept filles finirent leur repas.   - Mission Pop-SSD-NewArmée déclenchée ! inventa Aurélie en prenant une posture de guerrière. - Hein ?! s'écrièrent ses amies dans un parfait ensemble. - Moins fort, supplia ensuite Poema. - Pop, parce que c'est l'idée de Pop. SSD, ce sont les initiales de Salle sur Demande, NewArmée pour la nouvelle Armée ! expliqua Aurélie moins fort. - OK... T'es extrêmement bizarre, commenta Estelle. (ShE's So QuIrKy) - C'est ce qui fait mon indéniable charme ! répliqua son amie de Serdaigle en lui faisant un clin d'oeil. - Voilà, ironisa Diana en riant.    Les sept filles se séparèrent en quatre groupes, dont deux ne comprenant qu'une seule personne (Amy la Serpentard et Aurélie la Serdaigle) et allèrent à leurs cours respectifs. (Pourquoi je décris à ce point... On est à la page 179, les lecteurs ont compris qu'Amy était à Serpentard et Aurélie à Serdaigle) Diana et Alice rejoignirent les trois Poufsouffle.   - Vous avez quoi ? - Botanique, soupira Estelle. Avec l'autre psycopathe.   Minna s'esclaffa.
- Et vous ? demanda cette dernière. - Défense Contre les Forces du Mal. Mais les Serpentard sont censés avoir divination avec les Serdaigle... - Quelle chance. Aurélie et Amy ont un trou, se lamenta presque Estelle. Trou que je pourrais passer à jouer à Trick or treat sur ma console... - Trick or quoi ? - Trick or treat, c'est le nouveau jeu que j'ai reçu pour mon anniversaire, mais que mes parents ne m'ont offert que pendant les vacances de la Toussaint. - Ah... dit Alice. - Stella et ses video games, se moqua gentiment Diana. (POURQUOI ECRIRE EN ANGLAIS ????????)   Les filles arrivèrent rapidement (trop selon les Poufsouffles) devant la salle de botanique. Même Poema poussa un profond soupir. (Même Poema qui pourtant est si parfaite et sérieuse !!!! Vous vous rendez compte ?!)   - Souhaitez-nous bonne chance, demanda Minna. - Adieu. - Nous avons été ravies de vous connaître. - Oui, vous étiez de bonnes amies. - Nos chemins se séparent ici. - Roses blanches ou chrysantèmes ?   Poema leva les yeux au ciel.   - Merci, dit Estelle. Ca fait plaisir d'être soutenues. - Nous partons la tête haute ! renchérit Minna sur un ton faussement offensé. - Roses blanches, indiqua Estelle avant de pénétrer dans la salle.   Alice et Diana se sourirent. (*pleure* ces scènes de fausse complicité sont nulles et ennuyeuses, je déteste, je renie tout de cette fanfiction)  
PDV Minna Whisper.   Lenoir m'avait toujours faite flipper mais aujourd'hui, j'étais carrément terrorisée. Une lueur sombre brillait dans ses yeux tout aussi sombres, une flamme qui dansait de manière extrêmement inquiétante. Personne n'osa faire un seul bruit. Il entra dans la pièce, entièrement habillé de noir, comme à son habitude. Ses cheveux étaient emmêlés et son regard terrifiant. (Vrai homme se comporte comme un salopard quand la femme qu'il aime et qu'il a embrassée sans son consentement est dans le coma !)   - Asseyez-vous, aboya-t-il. Et que personne ne fasse de commentaire.   Les élèves s'exécutèrent, morts de peur.   - Aujourd'hui, nous allons étudier la tentacula vénéneuse. C'est normalement un cours de sixième année, mais avec le nouveau programme du Ministère cette année, quelques petites choses ont changé. Des choses minimes, ils ne savent pas faire mieux. La Tentacula vénéneuse est une plante magique qui a de longs tentacules et des dents. Un certain Derwent Shimpling - un sombre imbécile - a, à l'occasion d'un pari, mangé une Tentacula vénéneuse entière et a survécu. Les graines de Tentacula vénéneuse appartiennent à la classe C des subtances interdites à la vente. Elles ont un aspect de petites graines noires et desséchées et elles produisent un crépitement. Leur morsure est mortelle.   Cette annonce arrache un cri aiguë à Lucie Wison, une de nos camarades de Poufsouffle. (Oh putain)   - SILENCE ! rugit Lenoir. J'enlève trente points à Poufsouffle. - Trente ?! ne peut s'empêcher de s'étonner Poema. - Plus dix pour insolence. Ce n'est pas le moment de m'énerver !   Ce n'est jamais vraiment le moment, en vérité. Je frissonne malgré moi. Il est trop méchant. D'ordinaire, il est juste froid, désagréable, mais il se permet, au long du cours, des remarques visées uniquement dans le but de blesser. Durant toute l'heure, j'étais plus terrorisée de le voir s'adresser à moi que de me faire mordre par la plante, c'est dire. Lorsqu'enfin la cloche sonna, je retins à grand-peine un soupir de soulagement.
PDV Alexandre Lenoir.   Les élèves partis, j'ouvris grand la fenêtre et ignorai le froid glacial de fin novembre qui s'insinuait en moi. Les bras appuyés contre la rambarde, je regardai l'horizon, me sentant vide. Puis, je refermai la fenêtre et filai à l'infirmerie.   - Bonjour, Alexandre, me salua Lara. Tu viens voir Amara, je suppose ? - Tu supposes bien, vu à la taille de ton cerveau, cinglai-je en me dirigeant vers le lit d'Amara. (Connard misogyne – je dis ça parce que la référence à la taille du cerveau était utilisée pour justifier la prétendue supériorité intellectuelle des hommes, donc je sais pas exactement ce que je faisais avec ce personnage mais si le but était de le rendre horrible, j'ai dead ça)   Elle ne relève pas. Elle sait qu'il ne faut pas m'énerver en ce moment.   - Où est Luz ? demandai-je. Je ne l'ai pas vue. Elle m'a dit qu'elle viendrait voir Amara vers neuf heures. - Hum... Eh bien... Elle est partie chercher... la remplaçante d'Amara.   Je me hérissai légèrement à ces paroles, mais je comprenais : il fallait bien que les élèves suivent les cours de divination. Même si ce n'est pas une matière très intéressante (convenons-en), il faut penser à ceux qui passent leurs B.U.S.E.s ou leurs A.S.P.I.C.s à la fin de l'année... Enfin... Si cet abruti de nouveau mage noir ne gâche pas tout... (Comment on peut shipper Alexandre x Amara s'il déteste la divination, sa passion, et que la seule chose qu'il aime chez elle est que... qu'elle est optimiste ? Qu'elle LUI apporte quelque chose ? it's soooo problematic)   - Comment ça "va la chercher" ? - Luz ne m'a pas dit plus qu'elle était "spéciale". - Eh bah dis donc... Dans quel plan foireux s'est encore fourrée Luz..? C'est quoi, son nom ? - Spring, et son prénom... Rose, Rosalie, quelque chose comme ça. (Je... Non... Non... Ne me dites pas que...)   - D'accord... acquiesçai-je.    Bien sûr, je ne m'attendais pas au phénomène qui allait débarquer à Poudlard. Telle une bombe à retardement. Je pressai la main d'Amara, sous le regard stupéfait de Lara. (LÂCHE-LA PUTAIN)   TRIGGER WARNING : PERSONNAGE DE MANON
19 novembre 2022, 15 heures 36,  perron de Poudlard, PDV externe.    L'ensemble des professeurs étaient réunis sous le porche du château, tout près des immenses grilles aux allures vaguement médiévales. Ils attendaient la nouvelle, qui devait remplacer Amara Trelawney à son poste de professeur de divination. Alexandre Lenoir voyait d'un très mauvais oeil ce remplaçement.   - Elle ne devrait plus tarder, assura Luz.   Anna Becker fit la moue. Elle détestait attendre... Pourtant, elle ne faisait que ça. (C'est quoi cet ajout philosophique à deux balles ?) Soudain, un grigantesque bus, de plusieurs étages et peint dans des étranges tons de violet, surmonté de l'indication "Magicobus", apparut de nulle part. Une jeune femme en descendit. Alexandre et Anna faillirent s'étranger, comme bon nombre des professeurs. (Je vous épargne la description qui va suivre : Rosalie Spring = Harley Quinn. De rien.) Rosalie Spring ne devait pas avoir plus de vingt-cinq ans. Elle avait des cheveux blond platine, très clairs, coiffés en deux couettes faites de travers. Leurs pointes étaient bleues et rouges, d'un rouge tirant plus sur le rose. Elle était habillée d'un T-shirt blanc coupé de façon à ce que l'on voie son nombril, d'un short en jean très court également, et de collants blancs déchirés de partout. Comme chaussures, elle portait de grosses boots qui n'étaient pas lacées, et elle avait enfilé une veste en cuir avec quelques badges dessus. Sa peau pâle était maquillée de façon tout aussi étrange : son oeil gauche était maquillé de bleu foncé, et son oeil droit de rose foncé. Son mascara, qui avait coulé, se mélangeait à son fard à paupières, donnant l'impression que Miss Spring avait deux yeux au beurre noir. Un petit coeur était dessiné sous son oeil droit, au crayon sans doute. Comme bijoux, elle portait un large bracelet à pointes à chaque poignet, et au cou, un collier argenté, à pointes également.   - Bonjouuuuuuur ! Je suis Rosalie Spring, ravie de vous rencontrer ! se présenta la jeune sorcière, un large sourire aux lèvres. - De même. Je suis Anna Becker, professeur de sortilèges.
Un à un, les professeurs se présentèrent. Tous sauf Alexandre Lenoir. Lou lui donna un violent coup de coude, et il consentit à imiter ses collègues. - Hum. Alexandre Lenoir, j'enseigne la botanique. Avez-vous des compétences en matière de divination ? Anna rit sombrement. - Lorsqu'on voit Amara, on se pose des questions quant aux compétences nécessaires à enseigner la divination. Rosalie répondit à Alexandre sans se départir de son sourire. - Rassurez-vous ! Je suis Legilimens, donc... (QUEL-QUEL PUTAIN DE RAPPORT ???) Son regard s'attarda ensuite sur Anna.  - Eh ben dis donc ! Quel look sage !...Vous me faites penser à moi avant. J'étais psychologue dans une prison psychiatrique et j'y ai fais une rencontre...Qui m'a fait basculer ! (D'a-d'accord. Ferme ta gueule.)
Elle rit un peu et sortit son portable, qu'elle consulta.
- Hm. Rien de nouveau. (Je... Argh... Je dis à me disculper du passage qui va suivre : tous les moments avec Rosalie sont copiés-collés d'un RP avec Manon.)
Elle le rangea une nouvelle fois dans la poche intérieure de ma veste, puis elle souffla.
- Bref ! J'ai hâte de voir les élèves ! Un peu vexée, Anna se détourna. Luz alla vers Rosalie et lui sourit. - Bienvenue à Poudlard, Rosalie ! Lou, Anna et moi allons vous montrer votre salle. - D'accord !
Les professeurs se dispersèrent ensuite, sauf Lou, Anna, Luz et Rosalie. Luz entreprit de faire une sorte de CV de la nouvelle professeure de divination, CV qu'Anna n'écouta que d'une oreille. Les trois femmes menèrent Rosalie à la Tour Nord, où se trouvait la salle de divination. Ce n'est que lorsque Luz dit que Rosalie était Née-Moldue qu'Anna réagit. - Ah ? Vous êtes aussi Née-Moldue ? demanda-t-elle à la nouvelle arrivante. L'intéressée hocha la tête rigoureusement. -Oui ! Je suis née dans une famille pauvre, mais je m'en suis sortie, vous voyez ! Cependant, j'ai des frères qui eux, ne s'en sont pas sortis... (Quel lien entre le fait d'être Né-Moldu et d'être pauvre ? Elle peut arrêter d'overshare ??? C'est gênant !) Anna Becker fronça les sourcils, luttant contre la curiosité. Elle informa Rosalie qu'elle allait avoir cours avec les Serdaigle et les Gryffondor de septième année. Rosalie fronça les sourcils et se tourna vers la directrice des Serdaigle. - Miss Becker, vous savez, je suis Legilimens, et je peux sentir votre curiosité...Si vous voulez, je vous expliquerai tour au dîner, hum ? (Legilimens ou Empathe ? Faut savoir) - Vous êtes Legilimens ? admira Anna. Eh bah dis donc. C'est un talent rare ! D'accord pour le dîner. (Real Anna wouldn't give a fuck) Les Serdaigle et les Gryffondor commencèrent à arriver, discutant entre eux. Anna ne reconnut pas Aurélie dans le groupe : normal, elle devait être en retard. - Merci beaucoup ! remercia Rosalie avant qu'Anna se s'en aille rejoindre sa propre salle de classe.
Elle sourit et suivit brièvement son regard. Alors que les élèves entraient, elle partit s'installer sur son bureau. (Quelle phrase importante)  
PDV Aurélie Becker. Impatiente, je n'arrivai cette fois pas vraiment en retard. J'étais la dernière à entrer dans la salle de cours, où l'ambiance étouffante qui y régnait d'habitude avait été quelque peu améliorée. Hum... Beaucoup, même. La lumière tamisée qui donnait envie de dormir avait été remplacée par une lumière vive venue de dehors, il faisait bon (alors que d'habitude il faisait extrêmement chaud), et l'encens puant avait disparu. Quel (ou quelle) que soit le (ou la) remplaçante (petite Inès utilisant l'écriture inclusive slay) : 1) elle avait été recrutée en très peu de temps, ce qui ne m'arrangait pas, je me serais passée de la divination un peu plus de temps sans en mourir d'ennui ; et 2) il ou elle avait l'air cool, ou du moins pas aussi taré que Trelawney. Je changeais d'avis en voyant la prof. Elle avait un look incroyable, des plus étranges, comme si elle venait d'un autre monde : vêtements colorés et déchirés pour la plupart, on dirait qu'elle les avait cousus elle-même. Son maquillage avait coulé et différait suivant la partie de son visage. Un grand sourire illuminait son visage ; un sourire un peu bizarre aussi, comme si elle était droguée. Je dis ça, je ne me suis jamais droguée qu'au chocolat, alors puis-je vraiment comparer ?
- Salut tout le monde ! commença-t-elle joyeusement, coupant court à mes pensées. Je suis Rosalie Spring, votre nouvelle professeure de divination. Pas de chichi entre nous, vous pouvez donc m'appeler Rosalie, voire même Rosa si vous me souhaitez et vous pouvez aussi me tutoyer si l'envie vous en prend ! Bien. Nous allons commencer par étudier la xylomancie, c'est-à-dire la divination par les brindilles ! Curieuse, je relevai la tête. Une prof qui nous permet de la tutoyer et de l'appeler par son prénom, et même par son surnom, si on m'avait dit ça il y a encore quelques semaines..! Pour une fois, les mots "cours de divination" et "cool" s'associèrent dans ma tête. (Wow incroyable) Mais bon, ce n'est pas ça qui allait m'empêcher de somnoler un peu.
- Je sais ce que vous vous dites : la divination, c'est nuuul, et touuuut...Qu'est-ce qu'on va se faire chiiiiier iciiiii !
Certains élèves se mirent à rire, et moi aussi.
- Seulement, sachez que j'autorise les blagues. J'adoooore les blagues ! Sinon, ce n'est VRAIMENT pas marrant ! Hein ? (Ouais les blagues c'est drôle)
Je relevai la tête et vis que beaucoup d'élèves acquiesçaient, surtout des Gryffondor.
- Je base mes cours sur l'amusement. Si on ne s'amuse pas un maximum, ce n'est pas la peine parce qu'on ne retient que peu de choses. On retient l'essentiel, certes, mais pourquoi faire facile lorsqu'on peut faire compliqué, mais facilement ? J'étais limite fascinée. Sérieux ! On pouvait faire des blagues ? Mais c'était QUI, cette prof ?! Evidemment, des troubles-fêtes de Serdaigle levèrent la main.
- Mais mademoiselle Spring ! protesta Lilas Ames avant que Rosalie ne l'interroge. Un cours est fait pour apprendre et non pour s'amuser !
Excédée par ses prises de parole inutiles et ses airs de fayote, je me levai brusquement.
- Oh, ta gueule, toi ! Ce qui t'amuse, c'est lire des gros pavés et étudier l'histoire de la magie, alors...
Ames vira au vert et quelques Gryffondor s'esclaffèrent. Je me rassis. Rosalie haussa les sourcils et s'adressa à Lilas.
- Lilas... Ames... Les cours sont certes faits pour apprendre, mais AUSSi pour s'amuser ! Sinon c'est monotone, vous ne trouvez pas ?
Un gros "si" s'éleva de la part des Gryffondor et quelques Serdaigle, dont moi. Soudain, Rosalie m'interpella :
-Aurélie ! Permets-moi de t'appeler par ton prénom et de te tutoyer, mais j'ai vraiment adoré ton intervention ! - Euh... hésitai-je, interloquée. Voyant la tête de certains élèves, elle précisa :
-Non, je ne suis pas ironique ! Je suis tout à fait sincère ! 20 points pour Serdaigle !... Et 20 points pour Gryffondor  aussi, vu qu'ils ont aussi le sens de l'humour, comme toi Aurélie !
C'est une blague ? MOI, Aurélie Amalia Becker, j'avais fait gagner des points à ma maison ?! (It's actually very dumb and unfair) Rosalie Spring se leva d'un petit bond, faisant claquer mes talons.
-Vous vous demandez qui je suis vraiment, hein ?
La tête de Lilas Ames était la plus hilarante que j'aie jamais vue.
- Ce sens de l'humour, elle ne le tient pas de sa mère, siffla d'ailleurs Ames en m'adressant un regard assassin. - Evite d'employer des mots que tu ne connais pas. Genre : "humour". Je tournai ensuite la tête vers la pro... Rosalie.
- Disons que vous êtes mystérieuse, mais pas dans le genre de mystère qui fait la définition du mystère, mais dans un genre de mystère beaucoup plus mystérieux. (J'en ai marre. Je... je me permets de skipper et de ne pas commenter le passage avec Rosalie. C'est déjà trop drôle et affligeant en soi, pas besoin d'en rajouter.)
Les autres élèves me jetèrent des regards ahuris (surtout des Serdaigle) et je leur tirai la langue. Hochant la tête, elle vint s'asseoir sur ma table. - En fait, Rosalie Spring, ce n'est qu'un nom de code ! On me connait sous le nom de Harley Quinn. Je suis une sorcière née-moldue, Legilimens et je me suis très récemment évadée de prison !
Elle sourit joyeusement.
- Avant, j'étais psychologue dans un hôpital psychiatrique...Mais ça, c'était avant ! HA !
Elle se mit debout sur ma table en un seul bond.
-Et j'y ai rencontré un homme, le criminel le plus dangereux du monde. Il a fait basculer ma vie entière. À présent, je suis une criminelle recherchée par tous les États moldus...
Elle sauta sur la table de Lilas Ames.
-Cet homme se faisait appeler "le Joker"... Terriblement séduisant, je suis tombée sous son charme et c'est là que ma carrière de criminelle a débutée !
Elle rit et sauta sur une autre table, celle d'un Gryffondor cette fois-ci.
- Joker était complètement fou... Et il m'a rendue folle. Non seulement folle de lui, mais folle dans son sens propre du terme !
Elle sauta sur une autre table, faisant sursauter le Serdaigle qui y était assis.
-On filait un amour fou... Criminel ... Interdit... Mais on était heureux...Jusqu'à ce que tout bascule dans un accident. J'ai été arrêtée et mise en prison...Mais je me suis évadée ! Puis elle ressauta sur ma table.
- Et me voilà ! Très étonnée, je me mis à mon tour debout sur ma chaise. Quelques élèves m'imitèrent.
- Mais Rosalie, demanda un Gryffondor. Dans le monde sorcier, tu n'es pas recherchée, si ? Alors pourquoi tu reprends pas ton vrai nom ? - Bah parce qu'elle a pas envie, répondis-je en levant les yeux au ciel.
Lilas Ames regardait les élèves qui étaient debout sur leurs chaises avec un air de totale désapprobation. Ce qu'elle pouvait être ennuyeuse..! Les questions s'enchaînaient, et de plus en plus d'élèves, principalement de Feunix, montaient sur leurs tables ou leurs chaises. Je n'étais pas sûre que ça plaise à Rosalie. Elle restait une prof. Foldingue, mais prof. Je me prit à espérer...
- Vous avez tué des gens ? - Vous avez braqué des banques ? - Vous avez pris combien ? - Vos parents sont morts ? - Et votre fiancé, c'est aussi un sorcier ? - Moi, je suis sûre que c'est un moldu ! - Vous ne connaissez pas le vrai nom du "Joker" ? - Vous regrettez votre vie d'avant ?
C'est le moment que choisit la directrice pour entrer dans la salle, vérifiant sans doute que tout se passait bien. La pauvre n'était pas déçue... Rosalie lui sourit. - Hey ! Ne vous en faites pas, Luz, on appelle simplement les... esprits. Et on étire nos (elle s'étira comme pour appuyer ses dires) chakras ! Voilà ! La directrice acquiesça et repartit. Rosalie souffla de soulagement et éclata de rire.
-L'excuse parfaite..!
Elle fit un clin d'oeil aux élèves et se mit à sauter de table en table.
- Pour la première question, oui ! J'ai tué des milliers de personnes !
Un petit pas de danse par-ci.
- Pour la deuxième, oui ! J'en ai braqué des dizaines et des dizaines !
Et un petit pas de danse par-là.
-J'ai pris plus de 20 ans de prison ! Et je n'ai donc pas fini.
Elle fit claquer ses talons sur ma table.
-Non, ma famille est toujours vivante... Mais fauchée. Elle baigne entièrement dans la délinquance ! ~
Elle eut un petit rire psychotique en sautant lourdement sur la table de Lilas Ames, la faisant trembler. Petite nature, va.
- Je n'ai pas de fiancé. Je n'ai que Joker dans mon coeur ! ~ Qui est un moldu.
Elle sourit un peu sadiquement à Lilas et sautai sur la table d'Oliver Ruewen, qui avait une mine blasée. Tsss.
- Si, je le connais...Mais je ne sais pas si je dois vous le dire... ~
Elle ricana et fit un grand saut pour atterrir sur son bureau.
-Si je la regrette ?... Hum... Non, je ne la regrette pas, puisque je la vis encore !
Elle s'assit sur son bureau en riant.
-Je suis encore une criminelle qui fait partie d'une sorte de...Secte. Là encore, je ne sais pas si je dois vous dire son nom..! Un concert de "Alleeeez ! Hooo ! Dis, Rosaliiiie !" retentit dans la salle, peut-être même qu'il résonna dans toute la Tour Nord. - D'accord, d'accord. C'est le "Suicide Squad"..! avoua-t-elle avec son inimitable sourire. - Il fait envie, le nom, ironisai-je, amusée par la tête choquée de Lilas Ames, qui se retenait manifestement de faire le signe de Merlin. - Et... Et donc, la xylomancie ? interrogea-t-elle d'une voix timide.
Je soupirai.
- Si on en fourrait deux ou deux mille dans ta bouche, peut-être que tu arrêterais de poser des questions stupides !
La pauvre petite tremblait à présent. Il était vrai que Rosalie pouvait faire peur, comme ça. Mais, moi, qui sentais l'aura des gens, je ne voyais pas de foncière méchanceté en elle. Bizarre de la part d'une femme qui se vante d'avoir tué des milliers de personnes mais je me fiai à mon don. Le cours s'acheva, trop vite à mon goût. C'était la première fois que je pensais ça d'un cours. Maintenant, j'avais sortilèges. Le contraste étant trop rude pour mon petit cœur, je décidai de sécher. - Aurélie !
Elle m'intercepta alors que les autres élèves partaient.
- Tu penses sécher, hum ?
Zut. Rosalie refit ses couettes en ricanant.
- Je n'ai pas cours après. Viens avec moi, veux-tu ? Je grommelai dans ma barbe.
- Raaah, super prof et tout, mais faut qu'elle soit Legilimens.
Malheureusement, je n'avais pas de barbe, aussi entendit-elle mes propos. Elle esquissa un sourire en coin.
- Bon, d'accord. Je viendrais. Mais n'en touchez pas un mot à ma mère. Je ne sais pas si vous l'avez vue, elle est un peu...
Je fléchis les genoux et serrai mes bras le long de mon corps.
- Voilà quoi. Elle haussa les épaules. - Je vois, oui. Ne t'en fais pas, je lui dirai que je devais te voir ! À moins que tu ne veuilles y aller... - Non, ça ira. Elle ricana et me demanda de la suivre. Je pris mes affaires et obéit. Elle m'entraîna vers le lac noir. Je me figeai lorsqu'elle demanda :
- Dis-moi, Aurélie...Est-ce que tu veux rencontrer ton père ? (MAIS A QUOI PENSAIT MANON QUAND ELLE A ECRIT CA PTDR)
Je secouai la tête, ma bonne humeur soudain évaporée.
- Non. C'est impossible. Mon père est mort. Je croisai les bras en espérant me réchauffer. Je regardai le lac un peu tristement. Rosalia éclata d'un rire un peu malsain. - Ceci... Est ce qu'on aimerait te faire croire, jeune fille ! (Je euh... elle prenait vraiment des libertés. Évidemment que Tom est mort. That's the whole point.)
Elle continua de rire.
- Ton père... Je l'ai connu.
J'écarquillai les yeux.
- Tu l'as connu ? T'es sérieuse ?
Le tutoiement ne me posait aucun problème. - Oui. Il était en septième année lorsque je suis rentrée à Poudlard. Gryffondor pour nous deux ! Tom, ton père donc, est un homme très courageux ! Et je l'admire pour ça. Il a été mon modèle pendant ma première année, puis encore après...Il a aussi voulu m'aider pour mon avenir. Il a réussi, mais... (Leur amitié était nulle à chier. D'où un septième année deviendrait BFF avec une première année ?)
Elle baissa la tête, sa folie étant retombée, apparemment. (« Sa folie étant retombée »... stop)
- ... Mais j'ai de nouveau basculé dans le crime et la délinquance. Mon cœur battit un peu plus fort et je me tordis les mains. Je ne connaissais même pas son nom auparavant... Voyant la soudaine tristesse de mon enseignante, je me mis en face d'elle et la regardai dans les yeux.
- Je ne connaissais même pas le nom de mon père avant que vous ne m'en parliez, mais... Vu comment ma mère ne m'en parle pas, je devine qu'il a fait beaucoup de conneries, comme moi. C'est peut-être votre destin. C'est con de dire ça, hé, "ouais, c'est peut-être votre destin de devenir une criminelle". Mais... On peut faire beaucoup de choses par amour, je pense. L'important est de ne jamais le regretter.
Je baissai à mon tour la tête. Toutes ces années... Où j'ai fini par me convaincre que mon père n'avait jamais existé. Quand j'y faisais une allusion... ma mère entrait dans une colère terrible. Même si elle ne l'extériorisait pas, je la ressentais, grâce à (à cause de) mon talent d'empathe. Je sentais également ue grande douleur... Mais ça s'arrêtait là. Bien sûr, j'aurais pu lire ses pensées, mais je crois que j'avais peur de ce que je pouvais découvrir. Eh oui. On me dit sans peur, mais cela n'est rien d'autre qu'une apparence... Rosalie me sourit gentiment et reprit sa fierté et son excentricité habituelles. (She's annoying)
- Allez, le moment émotion est passé ! (Oh mais laisse la gosse être triste non ??? Elle a une famille de merde !)
Elle entendit la sonnerie et je jubilai légèrement.
- C'est l'heure du goûter ! Allons-y ! (Quel goûter ? Y'a pas de goûter à Poudlard !)
Elle partit en trottinant joyeusement vers la Grande Salle. En effet, il était 16 heures passées. Je retrouvai également mon enthousiasme coutumier, et suivis Rosalie. Drôle de prof, vraiment. 19 novembre 2022, 18 heures 14, salle commune des Serdaigle, PDV externe.  - Oyé, oyé, braves gens ! Aurélie Becker, montée sur une table dans la salle commune des Serdaigle, réclamait l'attention de tous les élèves présents. - Je dois vous parler de quelque chose. - Et tu peux pas le faire ailleurs que sur une table ? plaisanta Lexie Dragonneau.
Teo Anderson s'esclaffa. (J'imagine vraiment toute la salle silencieuse et seulement 1 mec qui rigole)   - Ames va être verte de rage. Maniaque comme elle est... - Ca va, je suis en chaussettes ! soupira Aurélie en haussant les épaules. Peuple de Serdaigle ! Messagers de la raison et de l'érudition ! Ecoutez ma demande ! Vous connaissez sans aucun doute Poema Ollivander, le monde entier la connaît, enfin, sauf les Moldus, vous m'avez comprise. (Jamais compris à quel point elle était censée être célèbre. La meuf est juste la petite-fille d'un fabricant de baguettes.)   Un à un, des Serdaigle commençaient à se rassembler autour de la table où Aurélie était juchée. Aurélie reconnut Mike Ames, en septième année. Sa soeur restait introuvable, ce qui n'était pas pour déplaire à la jeune fille. Elle chercha également Lea Grey, qui était une de ses amies proches, ces deux-là étant inséparables. Sans doute devait-elle réviser ses A.S.P.I.C.s, en parfaite Serdaigle qu'elle était.   - Bon ! Alors. Ce serait extrêmement débile de demander qui n'a pas entendu parler de Deathly Hallow... McGo en a parlé vers fin septembre-début octobre, non, je ne sais plus..? Eh bien... Poema a eu l'idée... que je trouve géniale, en passant...   Presque tous les Serdaigle s'étaient comme agglutinés les uns aux autres autour de la table d'Aurélie.   - Euh.. De créer une armée, genre comme l'Armée de Dumbledore. Quelqu'un ici sait ce que c'est, hein ? Rassurez-moi sur votre condition de Serdaigle. (MAIS ETRE SERDAIGLE C'EST PAS UNIQUEMENT ETRE CULTIVE PTDR) - Evidemment, lança une jeune fille à la peau pâle et lisse, aux cheveux châtains et aux yeux bleus. C'est l'Armée qu'a fondée le Trio d'Or. - Merci, euh... - Je m'appelle Leslie. (OSEF DE TON PRENOM) - Ah, oui, t'es Leslie Potter ! Et toi, tu dois être Stella Scamander ! lança Aurélie en souriant à la jeune fille blonde aux yeux clairs à côté de Leslie. (On................... S'en.................. Fout......................)   Celle-ci, le regard dans le vague, ne réagit pas.  
- Hou-hou ! On te parle ! s'écria Aurélie en agitant le bras devant les yeux rêveurs de Stella Scamander, pour attirer son attention. (Mais juste continue à parler ?????)   La jeune fille cligna des yeux, comme sortant d'un long sommeil. Elle paraissait un peu contrariée, comme si elle n'appréciait pas tellement qu'on la dérange dans ses rêveries.   - Oui ? répondit-elle enfin d'une voix lointaine. - Je disais que j'étais ravie de faire ta connaissance. (Aurélie tu es sur une table et tu fais chier tout le monde, s'il-te-plaît juste finis ce que tu voulais dire.) - Oui, oui, moi aussi... Tu es la fille qui, en cinquième année, avait mis le feu à la cabane de Nermine Stoneheart ? Aurélie Becker ? - Oui, c'est moi ! se vanta presque la concernée en souriant. Mais je ne l'avais pas fait exprès, enfin... Plus ou moins, quoi ! Bon alors ! Trêve de bavardages ! L'idée de Poema se résume ainsi : récréer une nouvelle Armée, plus puissante, car nous apprendrions des formes de magie méconnues, mais surpuissantes... Je n'ai pas tous les détails (Poema non plus les a pas, Manon non plus, personne ne les avait), mais si vous venez à la réunion, à la bibliothèque, Pop vous apprendra plein de détails ! - C'est quand ? demanda Mike Ames. - Euh... J'sais pas, ça, par contre. Allez demander à Poema, je ne suis que sa messagère ! Bon, dispersion ! ordonna Aurélie en agitant les bras. (Elle sert à rien...) - Est-ce-qu'Oliver Ruewen fera partie de cette association ? intervint une jeune fille portant un gros livre sous le bras.   Aurélie leva les yeux au ciel en reconnaissant Eloïse Paster, qu'elle avait croisée à l'infirmerie. Elle décida de mentir.   - Bien sûûûûr ! s'écria-t-elle en souriant exagérément. - Alors je viendrais peut-être, affirma Eloïse avec un sourire mystérieux, genre "vous ne pourrez pas décemment vous passer de moi".   Aurélie se retint de soupirer, et adressa à Paster une grimace qui se voulait un sourire avenant. Toutes ces filles qui tombaient en admiration devant Ruewen était... comment disait-on déjà ? PATHETIQUES. (I AM NOT LIKE OTHER GIRLS I WON'T FALL FOR OLIVER RUEWEN THE ANNOYING SMART BOY) Que lui trouvaient-elles ? Bon, il était vrai qu'il avait un certain charme. Il était intelligent, beaucoup trop selon Aurélie. Mais il était... MORTELLEMENT ENNUYEUX !! (On avait dit quoi à propos des majuscules dans le récit ?!) Pourtant, s'il venait, des tas de filles rejoindraient à leur tour la future Armée... Cela se discutait, pour Aurélie. Peut-être que demain, elle lui parlerait... Beurk. Franchement, ce qu'elle ne ferait pas par amitié et loyauté envers Poema...
Là-dessus, Lea Grey entra dans la salle commune, en pleurs. Aurélie ressentit une grande souffrance, une trahison. Elle s'empressa d'ajuster son bouclier mental anti-émotions. (Ce pouvoir est nul)   - Que se passe-t-il ? demanda immédiatement Aurélie. - C'est... L'autre connard de Gryffondor !   Pour Aurélie, ces mots ne pouvaient évoquer qu'une seule personne. Et c'était celle dont parlait Lea.   - Ruewen..? - OUAIS ! JE VAIS LE TUER ! Dire qu'il m'a quittée pour... L'autre salope de Serdaigle !   Encore une fois, il n'y avait qu'une seule personne qu'Aurélie pouvait appeler ainsi.   - Ames..? - OUAIS ! JE VAIS LES TUER TOUS LES DEUX !   Puis elle s'effondra en sanglots. Aurélie tenta tant bien que mal de la consoler, ses gestes rendus maladroits.   - Qu'est-ce-qu'il a fait, ce bâtard ? demanda-t-elle, énervée. - Il... M'aaaahhaa... Quittée pour AMES ! Cette espèce de fille d'enc...! - Oui oui, la coupa Aurélie, on a bien compris. Oh, Mike ! appela-t-elle en incerceptant (du verbe incercepter) le Serdaigle, qui arrivait dans leur direction. Tu peux t'occuper de ton amie s'il-te-plaît ? - Euhm... Ouais... - Pendant ce temps, je vais tuer Ruewen, promit Aurélie avec un air décidé.   Elle lâcha Lea, qui tomba en pleurs dans les bras de Mike.   - C'est de ma soeur dont vous parliez ? questionna-t-il, un peu déboussolé. - Hum... Lea t'expliquera ça bieeeen mieux que moi ! tenta d'éluder Aurélie en se dirigeant vers l'entrée (qui était aussi la sortie) de la salle commune. (Parenthèse inutile) - Hé ! Aurélie ! Le couvre-feu sera bientôt dépassé ! prévint Mike, en bon Serdaigle sage qu'il était.   L'intéressée haussa les épaules avec désinvolture.   - Si tu crois que j'en ai quelque chose à foutre de ton couvre-feu, mon pauvre Mike, c'est que malgré tout ce temps, tu ne me connais vraiment pas.... (Et c'est sur cette phrase, prouvant une milliardième fois à quel point Aurélie est rebelle et spéciale et pas comme ces autres filles nulles qui crushent sur Ruewen, que je me suis arrêtée dans cette fanfiction. 193 pages et on s'est beaucoup ennuyés. Bref. Si vous avez lu jusque là, je considère ça comme une preuve d'amour ultime et je vous présente des excuses sincères. Mais bon, on s'est bien marrés quand même.)
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andrewrossiter1 · 10 months
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« Rupture et Accueil »
« Rupture et Accueil »
Prédication par Andrew Rossiter le 2 juillet 2023 au temple de La Force Matthieu 10.37-42.
Mardi, partout aux Etats Unis nous entendrons la salutation, «Happy Independence Day!». 
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Vous allez dire que c’est un peu « poussé » de la part d’un pasteur britannique de prêcher sur Independence Day, une défaite militaire et la c��lébration d’une perte d’une colonie, ça doit être aussi mon côté français!
Le Congres Américain a voté leur Independence le 2 juillet 1776, il y a 247 ans. Un des délégués, John Adams, écrit à sa femme, Abigail ce jour-là, «Je suis certain que ce jour sera célébré par les générations suivantes comme le grand anniversaire festif. Il doit être commémoré comme le jour de délivrance par les actes solennels et dévotion à Dieu. Il doit être célébré avec pompe et parade, avec spectacle, sports, cloches et feu d’artifice d’un bout à l’autre du continent, à partir d’aujourd’hui et pour toujours».
John Adams avait raison pour les célébrations, mais il s’est trompé de la date. Aujourd’hui les Etats Unis célèbrent le 4 juillet et non pas le 2. En effet c’était le 4 juillet que le Congres a voté la Déclaration de l’Independence.
La déclaration commence ainsi: Lorsque dans le cours des événements humains, il devient nécessaire pour un peuple de dissoudre les liens politiques qui l'ont attaché à un autre et de prendre, parmi les puissances de la Terre, la place séparée et égale à laquelle les lois de la nature et du Dieu de la nature lui donnent droit, le respect dû à l'opinion de l'humanité l'oblige à déclarer les causes qui le déterminent à la séparation.
Et puis, dans le premier article, il y a la fameuse phrase: Nous tenons pour évidentes par elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux ; ils sont dotés par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. Les gouvernements sont établis parmi les hommes pour garantir ces droits, et leur juste pouvoir émane du consentement des gouvernés. Toutes les fois qu'une forme de gouvernement devient destructive de ce but, le peuple a le droit de la changer ou de l'abolir et d'établir un nouveau gouvernement. 
Ce document est important non pas parce qu’il marque l’indépendance des Etats Unis mais aussi parce qu’il contient un argument contre le pouvoir royal, contre un roi qui a négligé les droits et les intérêts de ses sujets. Ce document marque la rupture et l’ouverture, le rejet et l’accueil. Jésus parle du rejet et d’accueil, en fait Matthieu emploie le mot «accueil» six fois dans ces versets.
Tout le chapitre 10 est un discours sur ce que c’est d’être disciple. Il leur explique le comment et le pourquoi de leur mission d’enseigner et inaugurer le Royaume de Dieu. Il les envoie pour prêcher, guérir, accueillir et être accueillis. Le disciple est celui et celle qui part en voyage de la vie. Et l’accueil est au cœur de la vocation du disciple.
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D’abord l’accueil est physique et tangible par les portes qui s’ouvrent, par la lumière répandue. Il est traduit par les gestes de bienvenu et d’hospitalité. L’accueil est aussi une affaire du cœur, il est spirituel. Il est d’être attentif aux besoins et désirs des autres. D’être à l’écoute des demandes et des souhaits de justice et de liberté.
Être disciple est de savoir conjuguer les verbes: recevoir, accepter et aimer dans les gestes et paroles de nos vies. La Déclaration d’Independence réprimandait le roi parce qu’il s’était enfermé dans les verbes: refuser, suspendre, négliger, dissoudre et enlever. Ces verbes n’ont pas leur place dans le vocabulaire du disciple du Christ.
Cet été nous allons ouvrir les portes du temple de Bergerac encore une fois. Nous allons mettre en place deux expositions. Une pour informer et engager nos visiteurs à partir de l’histoire du protestantisme. Nous allons constituer les équipes pour tenir les permanences. Nous allons prendre le temps de rencontrer ces personnes, touristes et autres qui entrent. Nous allons les inviter, si c’est approprié, de rester un peu pour découvrir la deuxième exposition: le chemin de Thomas, un parcours spirituel et sensoriel autour des thèmes de l’espérance, de la colère et du pardon.
Peut-être nous allons voir quelques uns dans le culte le dimanche matin. Saurions-nous les accueillir? Qui, parmi nous, venant au culte pour un temps de repos, de réflexion personnelle et de recueillement, aura à cœur de saluer ces personnes inconnues? De vérifier qu’ils se sentent à l’aise et qu’ils ont tout ce qu’il faut pour déchiffrer le déroulement de nos liturgies?
Nous sommes conscients de la centralité de notre accueil, mais que faisons-nous des mots de Jésus sur rejeter et préférer?
Aimer le Christ plus que son père ou sa mère, aimer le Christ plus que ses propres enfants! Voilà les paroles bien durs à comprendre. Pour moi, qui suis un peu papa-poule, j’ai beaucoup de mal avec ses propos qui, de plus, semblent être en contradiction avec 95% de son message de l’amour et de la réconciliation. Aujourd’hui Françoise Dolto et d’autres auraient analysé Jésus en posant les questions sur son enfance, le rôle de son père et la place de sa mère, ses relations avec ses frères et sœurs afin de comprendre comment il avait les paroles si durs contre la famille.
Mais Jésus ne vise pas sa famille, ou la famille en générale, Jésus tient ce discours face à ses disciples. Ils les  ai déjà envoyé dans le monde en mission. Ils ont connu des succès et des échecs, ils ont été accueillis et rejetés. Jésus sait ce qu’il les attend. Nous ne pouvons pas décider de suivre Jésus et de continuer comme avant. Je ne peux pas vouloir être disciple de Jésus en espérant que cette condition n’aura aucun effet sur moi et sur ma vie. Cela me conduira à faire certaines choses que je n’ai pas envie de faire, et d’aimer les personnes que je n’ai pas envie d’aimer.
Bien sûr, Jésus ne nous invitera pas de rechercher les problèmes, les difficultés et les souffrances. Il n’y a aucun mérite pour le Christ à rechercher la souffrance. Mais suivre Jésus n’est pas un chemin de cocooning spirituel, Ce n’est pas juste un petit plus dans notre vie. Ce chemin nous ouvre des horizons bien différents: en demandant notre engagement, d’être dérangés et de reconnaître que Dieu se manifeste là où nous l’attendons le moins.
Les deux thèmes vont ensemble. C’est parce que je suis aimé inconditionnellement que je suis capable d’aimer. L’amour que je peux ressentir et offrir est cet amour enraciné dans l’amour que j’ai reçu et que je reçois. Je parle souvent avec les couples qui préparent leur mariage que l’amour véritable n’est pas un sentiment ou une intuition, il y a des cela, bien entendu. Mais l’amour véritable n’est pas quelque chose que je peux générer de moi-même. L’amour me vient, m’habite et alors il faut que je sache comment le recevoir et comment l’entretenir.
Donc aimer plus n’est pas une question de quantité, comme si il y a une bonne mesure de l’amour ou comme si nous pouvons comparer le degré d’un amour avec un autre. L’amour pour ma famille et mon amour pour Dieu ne sont pas opposés mais intimement liés. Marion Muller Collard écrit: « Sans le Christ j’aurais aimé mes enfants, mais saurais-je les aimer de l’amour qui laisse libre d’être, de devenir, de quitter ? Saurais-je les aimer comme des enfants de Dieu et non seulement comme la continuité de moi-même ? »
Il me plaît de penser que ce même Dieu de rupture et d’accueil a inspiré la vie de John Adams. Non pas seulement dans son travail sur la Déclaration d’Indépendance, mais dans tous les domaines de sa vie et de son amour.
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kilfeur · 10 months
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Le conflit entre les frères dieux, Salem et Ozma (The conflict between the brother gods, Salem and Ozma)
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Dans le volume 4, Qrow a raconté l'histoire des deux dieux frères, le dieu de la lumière trouvant son plaisir en créant la vie tandis que le dieu des ténèbres créa des forces de destruction. Ils avaient des idées opposés sur comment les choses devaient se dérouler. Le dieu des ténèbres créa la sécheresse, la famine, les incendies pour se débarrasser de la vie de Remnant. C'est alors que le cadet créa les grimms, innés de son désir destruction. L'aîné a eu assez sachant que leur querelle ne pouvait pas durer éternellement. Ils créent quatre artefacts, celui de la connaissance, création, destruction et choix. C'est pourquoi les académies de chasseurs ont été crées pour protéger ces artefacts. Ainsi que former les chasseurs pour protéger l'humanité contre Salem et ses sbires. Mais dans le volume 6, le conte oublié, on apprend que Salem était prisonnière de son château à cause de son père, elle ne désirait qu'une chose : la liberté !
Ozma était venu ici non pas pour le coeur de la jeune femme. Mais il voulait se battre pour ce qui est juste ainsi que par son âme courageuse et son coeur pur. Ils se sont échappés ensemble de ce château, les deux sont tombés amoureux l'un de l'autre voyageant à travers le monde. Ils auraient pu avoir leur fin heureuse. Et je suis un peu curieuse des leurs voyages, qu'est ce qu'ils ont vu ? Quelles genres de personnes ont-ils rencontrés pendant leurs voyages ? J'avoue que j'aimerai bien avoir un spin off à ce sujet.
Malheureusement Ozma a succombé à la maladie laissant Salem en larmes. Elle se rend à l'autel du dieu de la lumière suppliant de le ramener mais il refusa car la vie et la mort est un équilibre fragile. Salem trouve ceci injuste alors qu'il lui dit de le laisser se reposer mais elle refuse. Dans un sens, le dieu de la lumière a raison, l'un des thèmes principaux de RWBY est d'aller de l'avant et accepter le deuil. Ozma était tout pour elle, elle voyait sa liberté à travers les yeux d'Ozma. Mais Salem a refusé d'aller de l'avant et de faire son deuil.
Donc elle se rend dans l'autel du dieu des ténèbres priant de ramener son bien aimé en omettant le fait qu'elle est allée voir son aîné. Et il le ramène mais le dieu de la lumière arrive et ne l'entend pas de cette oreille. Le cadet a une certaine rancoeur sur leurs règles car ses règles semblent plus le favoriser que lui. Mais l'aîné révèle que Salem est venu le voir à ce sujet donc le cadet rectifie son erreur en tuant Ozma encore. Ces dieux ont ramené Ozma à la vie et l'ont tué comme si c'était un jouet montrant que c'était une bataille d'ego et qu'ils se fichaient un peu de l'état dans lequel cette dernière se retrouve. Les deux dieux rendent Salem immortel comme punition de son arrogance et de son égoïsme. Elle pourra reposer en paix, une fois qu'elle a apprit l'importance de la vie et de la mort. Elle a essayé de se suicider en vain c'est alors que Salem décida d'allier l'humanité contre les dieux en les manipulant et en leur mentant qu'elle a volé l'immortalité à ces dieux. Tout ça pour les faire souffrir et se débarrasser de sa malédiction. Mais cette confrontation est de courte durée quand le cadet fait disparaître l'humanité tout entière, c'est alors que l'aîné dit quelque chose d'intéressant, il dit que cette planète était une belle expérience et qu'ils apprendront de cette erreur. Est ce que ça va dire qu'il y a d'autres planètes habitables que le monde de Remnant ? J'ai besoin de réponses ! Salem a maudit tout le monde à part elle même, elle est persuadée d'être celle qui avait raison, refusant de comprendre son erreur. Bon après l'immortalité est une punition assez extrême quand même
Le dieu de la lumière parle à Ozma lui expliquant la tragédie qui est arrivé dans ce monde, causé par son cadet. Ajoutant que l'humanité est revenue peupler ce monde. Laissant les quatre artefacts derrière lui si ils sont réunis ensemble, ça les ramènera et jugera l'humanité. Si l'humanité a apprit à vivre ensemble tout en laissant leur différence de côté alors ils reviendront vivre parmi eux. Dans le cas contraire, ils détruiront le monde de toute existence. Vous l'avez déjà fait une fois et ils le referont une deuxième fois si ça leur plaît pas, on dirait Thanatos ! Mais pour ramener Ozma, il va lui donner une réincarnation pour qu'il ne soit jamais seul. Ozma refuse au début car il ne veut pas vivre dans ce monde sans Salem mais le dieu de la lumière lui dit qu'elle est toujours vivante mais qu'elle n'est plus celle qu'il connaissait avant. Quand ces deux là se retrouvent, Salem le convaincs de devenir des dieux modelant ce monde à leurs images. Crée un paradis que les dieux n'ont pas fait. Il est troublé mais il accepte sa proposition laissant la phrase de Jinn "Les coeurs des hommes peuvent facilement influencés". Ils deviennent des dieux créant un royaume prospère mais Ozma commence à questionner sur ce qu'ils font. Il révèle alors la vérité de son retour mais pour Salem tout ça n'a pas d'importance, pourquoi racheter les humains quand ils peuvent les remplacer. Pour Ozma c'était le signe de s'enfuir en emmenant ses filles avec lui. Mais Salem le découvre le prenant comme une trahison se battant l'un contre l'autre. Et lors de cette bataille, leurs enfants ont perdu la vie. Furieuse contre lui, Salem lui dit qu'ils avaient enfin leur liberté, elle le laisse même pas répliquer qu'elle le brûle.
Dans le volume 8, Oscar se fait kidnapper par The Hound, Salem l'accueille et voit que ce n'est pas Ozpin qui lui parle mais Oscar. Elle lui pose des questions sur la relique mais Oscar ne le sait pas. Elle demande Oscar le mot de passe de la lampe, il lui répond que Jinn ne peut plus répondre aux questions. A ce moment là, Salem le torture voyant les mensonges de ce dernier et regardant Hazel s'en prendre à lui. Tout dans ces interactions sont creepy, Salem parle d'Ozma comme si il lui appartenait et qu'ils étaient amants elle pose sa main sur la joue d'Oscar comme "un geste affectueux." Vu à quel point Salem est horrible envers eux, pourquoi Ozpin retournerait auprès d'elle ? Lors du sauvetage d'Oscar, Salem ne comprend pas pourquoi il prendrait la défense de ses enfants pour ce monde ruiné. Lui demandant pourquoi il revient c'est alors que Yang lui retourne la question, toutes ces morts parce quelque chose de mauvais lui est arrivé. Personne n'a une fin heureuse, toutes les personnes que Yang a perdu, Salem lui a prit sa mère, Summer Rose. J'étais tombée sur certains qui reprochaient cette scène mais même si Raven est sa mère biologique, elle n'était pas là pour elle. C'était Summer qui a élevé Yang comme si elle était sa propre fille. Donc c'est pas étonnant que Yang lui parle d'elle. Surtout que vu le destin de The Hound, Ruby et Yang se doutent de comment leur mère est morte.
Les dieux sont hypocrites et des connards mais perso je les trouve intéressant avec la tragédie d'Ozma et Salem et tout ce qui s'est passé. Ils sont assez complexe quand on se penche suffisamment sur eux. De ce que j'ai entendu dire le crwby s'est inspirée des dieux Grecs pour crée les deux frères Dieux et ouais vu la mythologie grecque, je peux comprendre l'inspiration. Ce que j'aime c'est comment leur relation est montré malgré le peu d'infos qu'on avait avant le volume 9. Je veux dire ok c'était des connards mais le dieu de la lumière n'avait pas tort pour sur une chose au sujet de la vie et de la mort. L'un des thèmes de RWBY est d'aller de l'avant malgré les épreuves qu'on peut traverser et que même si le monde peut être sombre, l'espoir subsiste encore. Donc rendre les habitants de Remnant immortels ou bien se réincarner iraient à l'encontre de ces thèmes. Bien que ça n'empêche pas les deux dieux d'être hypocrite en punissant de manière excessive Salem et en faisant réincarner Ozma pour qu'il s'occupe de Salem. Les deux dieux n'ont jamais pu s'entendre car ils sont incapable d'accepter leurs propres erreurs et du coup incapable d'aller de l'avant, ce qui donne un côté presque humain les concernant, ce qui est ironique vu que ce sont des dieux.
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In Volume 4, Qrow told the story of the two brother gods, the god of light finding pleasure in creating life while the god of darkness created forces of destruction. They had opposing ideas of how things should be. The dark god created drought, famine and fire to get rid of Remnant's life. Then the younger created grimms, innate to his desire for destruction. The elder had enough, knowing their feud couldn't last forever. They created four artifacts: knowledge, creation, destruction and choice. That's why hunter academies were created to protect these artifacts. And to train hunters to protect humanity from Salem and his henchmen. But in volume 6, The Forgotten Tale, we learn that Salem was imprisoned in her castle because of her father, and wanted only one thing: freedom!
Ozma had come here not for the young woman's heart. But he wanted to fight for what was right and for her courageous soul and pure heart. They escaped this castle together, both falling in love with each other traveling the world. They could have had their happy ending. And I'm a bit curious about their travels, what did they see? What kind of people did they meet on their travels? I admit I'd love to have a spin-off on this.
Sadly, Ozma has succumbed to illness, leaving Salem in tears. She goes to the altar of the god of light begging him to bring her back, but he refuses because life and death are a delicate balance. Salem finds this unjust, so he tells her to let him rest, but she refuses. In a way, the god of light is right; one of the main themes of RWBY is moving on and accepting grief. Ozma was everything to her, she saw her freedom through Ozma's eyes. But Salem refused to move on and grieve.
So she goes to the altar of the dark god, praying to bring back her beloved, forgetting the fact that she's gone to see her eldest son. And he does bring him back, but the god of light arrives and doesn't see it that way. The youngest is somewhat resentful of their rules, as her rules seem to favor him more than they do him. But the elder reveals that Salem came to see him about it so the younger rectifies his mistake by killing Ozma again. These gods brought Ozma back to life and killed him as if he were a toy, showing that this was a battle of egos and that they couldn't care less about the state she finds herself in. The two gods make Salem immortal as punishment for her arrogance and selfishness. She'll be able to rest in peace, once she's learned the importance of life and death. She tried in vain to commit suicide, but then Salem decided to ally humanity against the gods, manipulating them and lying to them that she had stolen immortality from them. All this to make them suffer and get rid of her curse. But this confrontation is short-lived when the youngest makes the whole of humanity disappear, at which point the eldest says something interesting: he says that this planet was a beautiful experiment and that they will learn from this mistake. Does this mean there are habitable planets other than Remnant? I need answers! Salem has cursed everyone but herself, convinced she's the one who was right, refusing to understand her mistake. Well, immortality is a pretty extreme punishment after all!
The god of light speaks to Ozma, explaining the tragedy that has befallen this world, caused by his youngest son. Adding that humanity has returned to populate this world. Leaving the four artifacts behind, if they are reunited, it will bring them back and judge mankind. If mankind has learned to live together, leaving aside their differences, then they will return to live among them. If not, they'll destroy the world out of existence. You've already done it once and they'll do it a second time if they don't like it, it's like Thanatos! But to bring Ozma back, he'll give him a reincarnation so he'll never be alone. Ozma refuses at first, because he doesn't want to live in this world without Salem, but the god of light tells him that she's still alive, but she's not the same person he knew before. When the two meet again, Salem convinces him to become gods, shaping the world in their own image. Create a paradise the gods didn't make. He's troubled, but accepts her proposal, leaving Jinn's phrase "The hearts of men can easily be swayed". They become gods, creating a prosperous kingdom, but Ozma begins to question what they are doing. He then reveals the truth of his return, but for Salem it doesn't matter, why redeem humans when they can replace them. For Ozma, it was a sign to run away, taking his daughters with him. But Salem finds out, taking it as a betrayal and fighting each other. And in that battle, their children lost their lives. Furious with him, Salem tells him they finally have their freedom, and she doesn't even let him retort before burning him.
In volume 8, Oscar is kidnapped by The Hound, Salem takes him in and sees that it's not Ozpin talking to him but Oscar. She asks him about the relic, but Oscar doesn't know. She asks Oscar for the password to the lamp, and he tells her that Jinn can no longer answer questions. At this point, Salem tortures him, seeing his lies and watching Hazel take it out on him. Everything about these interactions is creepy, Salem talking about Ozma as if he belonged to her and they were lovers she puts her hand on Oscar's cheek as "an affectionate gesture." Given how horrible Salem is to them, why would Ozpin go back to her? When Oscar is rescued, Salem doesn't understand why he would stand up for his children in this ruined world. Asking him why he's coming back, Yang returns the question, all these deaths because something bad happened to him. Nobody has a happy ending, all the people Yang lost, Salem took his mother, Summer Rose. I'd come across some people criticizing this scene, but even if Raven is her biological mother, she wasn't there for her. It was Summer who raised Yang as if she were her own daughter. So it's no wonder Yang talks about her. Especially given the fate of The Hound, Ruby and Yang suspect how their mother died.
The gods are hypocrites and assholes but personally I find them interesting with the tragedy of Ozma and Salem and all that happened. They're pretty complex when you get down to it. From what I've heard, crwby drew inspiration from the Greek gods to create the two god brothers, and yeah, given Greek mythology, I can understand the inspiration. What I like is how their relationship is shown despite the little info we had before volume 9. I mean, sure, they were assholes, but the god of light had a point about life and death. One of the themes of RWBY is about moving forward despite the hardships you may go through and that even though the world can be dark, there's still hope. So making Remnant's inhabitants immortal or reincarnating would run counter to these themes. Although that doesn't stop both gods from being hypocritical by over-punishing Salem and having Ozma reincarnated to look after Salem. The two gods have never been able to get along because they are unable to accept their own mistakes and therefore unable to move forward, which gives them an almost human side, which is ironic given that they are gods.
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Comment préparer un gâteau au chocolat en forme de boîte à glaçons
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Ce n'est un secret pour personne que j'aime m'amuser dans la cuisine, et le gâteau d'anniversaire d'aujourd'hui en est un parfait exemple.
Mon bébé de l'année bissextile atteint les deux chiffres cette année, et comme il n'y a pas de 29 ce mois-ci, nous l'avons fêté avec des amis et de la famille le week-end dernier. Dans le passé, il a eu droit à un gâteau aux échecs, un gâteau à la crème glacée et diverses autres confiseries, mais cette année, il voulait spécifiquement un gâteau glacier.
Ce gâteau est également connu sous le nom de gâteau aux gaufrettes au chocolat ou de gâteau zébré. Il se compose simplement de gaufrettes au chocolat Nabisco et de crème fouettée sucrée. Au Canada, on utilise les gaufrettes au chocolat Mr. Christie, et la "recette" est omniprésente.
Mes enfants ont découvert ce dessert un jour de Noël, lorsque nous avons préparé la bûche glacée de Joy the Baker, et ils l'adorent depuis. Lorsque Mateo a demandé un gâteau glacier pour son anniversaire, j'ai décidé de relever la barre et de m'amuser un peu.
Il y a une tendance des gâteaux en forme de chiffres qui a attiré mon attention sur Pinterest et Instagram récemment. Ces gâteaux ont la forme de grands nombres - 16, 30, 75... quelle que soit l'occasion - et ils sont délicats et jolis, tout en étant suffisamment grands pour nourrir une foule.
Comme j'attendais plus de 25 personnes pour cette fête d'anniversaire, je me suis mise au travail pour trouver un gâteau à la hauteur de la tâche. Il devait avoir les saveurs et la texture d'un gâteau à la gaufre classique, mais je voulais qu'il soit dans le style d'un gâteau à numéros.
En fin de compte, il s'est avéré encore meilleur que je ne l'espérais. Quatre couches de biscuits au chocolat faits maison, façonnés en forme de "10", recouverts de crème et décorés de toutes sortes de pâtisseries.
J'ai eu beaucoup de plaisir à réaliser cette création ! Mateo était ravi de son gâteau glacier et les invités l'ont également adoré. J'ai décidé de partager un tutoriel parce que c'est un gâteau de fête très amusant - et qu'il peut être adapté à n'importe quel numéro d'anniversaire.
Comment faire un gâteau glaçon au chocolat ?
Avant de commencer, je tiens à préciser que ce gâteau est très volumineux. Il peut servir entre 24 et 30 personnes, mais la recette est facilement adaptable. Il suffit de faire cuire la quantité de biscuits que vous voulez, dans la forme que vous souhaitez, puis de les placer en sandwich avec de la crème fouettée sucrée. Je vous promets que c'est aussi simple que cela.
Ce gâteau n'est pas non plus compliqué à réaliser, mais il prend un peu de temps. Vous devez le monter 24 heures avant de le servir et les biscuits doivent déjà être cuits et complètement refroidis. Délai suggéré pour le gâteau aux numéros dans une glacière :
Jusqu'à 1 semaine avant la fête et au moins 2 jours avant : Mélangez, roulez et faites cuire les gaufrettes au chocolat en forme de chiffres. Congelez-les, bien emballées, si vous les préparez à l'avance.
2 jours à l'avance : achetez ou préparez les garnitures/décorations. Videz le réfrigérateur pour faire de la place. Lire aussi : «Number cake : recette facile et gourmande»
24 heures avant de servir : fouetter la crème et la répartir entre les couches pour assembler le gâteau. Le gâteau DOIT être réfrigéré pendant 24 heures.
1 à 4 heures avant de servir : décorer avec des confiseries au chocolat.
Le biscuit ou la gaufrette.
J'ai adapté une recette de gaufrettes au chocolat maison de King Arthur Flour. Le défi de faire mes biscuits à partir de rien était exactement le type de plaisir que je recherchais, et me permettait également de les découper dans la forme que je souhaitais. Je n'ai jamais trouvé le cacao noir demandé dans la recette, mais j'ai utilisé une poudre de cacao très foncée, qui a très bien fonctionné.
J'ai doublé la recette ci-dessous et l'ai divisée en 8 boules. Chaque boule a suffi pour faire une grande lettre de 14 pouces de haut : quatre '1' et quatre '0'. Il restait beaucoup de chutes, que j'ai laissé Clara rouler à nouveau et découper en biscuits. C'est cette partie qui prend le plus de temps, mais elle n'est pas difficile.
Un conseil ! Pour obtenir ce "O" parfait, j'ai tracé l'ovale du couvercle de ma mijoteuse sur du carton avec un crayon, puis je l'ai découpé avec des scizzors. J'ai dessiné l'intérieur de l'ovale à main levée. Conseil de pro !
Ne grattez pas l'ovale à l'intérieur de votre "O". Faites-le cuire avec les autres morceaux de biscuits. Ensuite, vous pouvez soit les congeler tous pour un autre gâteau glacé, soit faire un mini gâteau glacé en guise de secours.
Chiffres en gaufrettes au chocolat
Un gâteau d'anniversaire visuellement époustouflant, inspiré par le gâteau glacier classique. Doublez cette recette pour obtenir un grand gâteau à quatre étages et à deux chiffres qui pourra nourrir 24 personnes. Vous aurez besoin de découpages de chiffres en carton pour tracer les formes des biscuits.
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Cours : Desserts
Cuisine : Américaine
Ingrédients
3 tasses de farine tout usage
1 tasse de cacao noir en poudre
1 cuillère à café de sel marin fin
1 cuillère à café de levure chimique
1 tasse de beurre non salé à température ambiante
2 tasses de sucre
2 gros œufs
2 cuillères à café d'extrait de vanille
Instructions
Mesurer la farine dans un grand bol, puis tamiser le cacao par-dessus. Ajouter le sel et la levure chimique et fouetter jusqu'à ce que le tout soit bien combiné.
Dans le bol d'un batteur sur socle équipé d'un fouet, crémer le beurre et le sucre à vitesse élevée pendant 2 minutes. Arrêtez le batteur et raclez les parois du bol. Ajouter les œufs et battre à nouveau. Ajouter la vanille et mélanger jusqu'à ce qu'elle soit incorporée.
Arrêtez le batteur et incorporez délicatement les ingrédients secs. Mélanger à basse vitesse jusqu'à ce qu'ils soient combinés. Retourner la pâte sur le comptoir et la diviser en quatre boules (8 si vous doublez la recette). Envelopper les boules dans du plastique.
Préchauffer le four à 350 °F. Rouler la pâte à biscuits entre deux feuilles de papier parchemin jusqu'à ce qu'elle atteigne 1/4 de pouce d'épaisseur (même plus mince, c'est parfait). Veillez à ce qu'elle soit aussi grande ou plus grande que votre découpe de chiffres en carton.
Transférez le papier sulfurisé sur une plaque à pâtisserie et placez-le au congélateur pendant 10 minutes. Roulez la prochaine boule de pâte pendant que vous attendez.
Placez le numéro en carton sur la pâte refroidie et découpez le pourtour à l'aide d'un couteau, en éliminant l'excédent. Faites cuire au four pendant 10 à 12 minutes, puis laissez refroidir complètement sur une grille.
Répétez le processus : étaler la pâte, la refroidir, découper les formes et cuire, jusqu'à ce que vous ayez un nombre suffisant de formes de biscuits. Laissez refroidir les biscuits complètement avant d'assembler votre gâteau.
Assemblage du gâteau au chocolat en forme de boîte à glaçons
Choisissez un support pour votre gâteau et assurez-vous qu'il pourra tenir dans votre réfrigérateur. J'ai utilisé une plaque de service en marbre, mais un grand plateau ou une plaque à pâtisserie peut également faire l'affaire. Vous pouvez même utiliser un miroir. Je ne recommande pas d'utiliser quoi que ce soit en bois.
Pour ce gâteau, j'ai utilisé deux litres entiers de crème 35 %, fouettée en pics fermes et sucrée avec un peu de sucre en poudre et une pincée de vanille. Vous aurez besoin d'une grande poche à douille munie d'une douille n°12.
Remplissez la poche à douille de crème fouettée et déposez une couche sur le dessous de vos lettres de biscuits. Retournez-les et collez-les fermement à la base. Déposez de petits points de crème de la taille d'un raisin sur les biscuits.
Une fois que le chiffre a été recouvert de crème, placez un chiffre en biscuit sur le dessus et appuyez doucement pour le faire adhérer. Répétez les couches de crème et de biscuits jusqu'à ce qu'il y ait quatre étages, puis recouvrez le dessus de "baisers" de crème fouettée.
Votre gâteau aux chiffres de la boîte à glace est terminé et prêt à être réfrigéré. Placez-le soigneusement au réfrigérateur et laissez-le refroidir pendant 24 heures. Si le temps est plus court, les biscuits ne seront pas assez moelleux.
La décoration :
C'est le moment où vous pouvez laisser libre cours à votre imagination. Je me suis arrêtée dans une chocolaterie et une boulangerie locales et j'ai acheté toutes sortes de jolies choses, sachant que je n'aurais pas le temps de faire quoi que ce soit moi-même.
Guimauves enrobées de chocolat, macarons au chocolat, mini pépites de chocolat, paillettes... et boucles de chocolat....'utiliser comme bon vous semble. Des meringues seraient très jolies et des baies ou des fleurs fraîches seraient parfaites pour le printemps.
Ensuite, j'ai rempli les espaces entre les guimauves et les macarons avec des éclats de chocolat, des boules et des mini pépites de chocolat. Vous constaterez qu'ils adhèrent bien à la crème fouettée, mais prenez votre temps et ajoutez-les lentement.
Terminez par des boucles de chocolat, en les glissant ici et là pour combler les espaces blancs. J'ai également ajouté quelques amandes enrobées de chocolat et un "10" en chocolat que j'ai trouvé chez le chocolatier. Votre chef-d'œuvre est terminé !
Vous pouvez le servir immédiatement ou le mettre au frais quelques heures de plus. La garniture de macarons ramollira légèrement, mais à part cela, le gâteau peut très bien rester au réfrigérateur jusqu'à l'heure de la fête. Ce gâteau au chocolat en forme de boîte à glace se découpe magnifiquement, comme vous pouvez le voir sur l'image ci-dessus. Il est riche et moelleux, parfait pour une occasion spéciale.
C'est l'heure de la fête !
Je ne le dirai jamais assez, ce gâteau a été amusant à faire et j'ai hâte d'en faire d'autres versions et de continuer à m'amuser. Je pense qu'il serait délicieux avec des fraises fraîches en tranches pour un anniversaire au printemps ou en été. Hmmm... je connais quelques personnes qui vont avoir 40 ans cette année....Quel numéro feriez-vous ?
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amicidomenicani · 1 year
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Question  Cher Père Angelo,  J'ai lu l'article de réponse concernant le précepte du Décalogue sur la sanctification des fêtes.  Vous mentionnez le fait que dans l'Exode la condamnation à mort était prévue pour ceux qui ne respectaient pas ce précepte ;  comment la Bible peut-elle enseigner un comportement contraire à un commandement (ne pas tuer) pour respecter un autre point du Décalogue ?  Franco. La réponse du prêtre  Cher Franco,  1. En fait, dans l'Ancien Testament, c'était comme ça.  Violer le sabbat entraînait la peine de mort  Mais elle était prévue et commandée aussi pour bien d'autres cas.  Par exemple : pour ceux qui pratiquaient la magie (Ex 22:18).  Pour ceux qui ont offert un sacrifice aux dieux, plutôt qu'au Seigneur seul (Ex 22, 19), pour blasphème : « Quiconque blasphème le nom du Seigneur doit être mis à mort : toute la communauté doit le lapider.  Etranger ou natif de la terre, s'il a blasphémé le Nom, il sera mis à mort" (Lév 24:15).  Il a été prévu pour l'adultère et d'autres troubles sexuels : « Si quelqu'un commet un adultère avec la femme de son voisin, l'adultère et la femme adultère seront mis à mort.  Si un homme a des relations sexuelles avec la femme de son père, il découvre la nudité de son père ;  tous deux seront mis à mort : leur sang sera sur eux.  Si l'un a des rapports avec sa belle-fille, tous deux seront mis à mort;  ils ont commis une perversion : leur sang sera sur eux.  Si l'on a des rapports avec un homme comme avec une femme, tous deux ont commis une abomination ;  il faut les faire mourir : leur sang sera sur eux » (Lv 20,10-13 ; cf aussi Lv 20,15).  Pour les péchés envers le prochain . 2. Mais il y avait aussi la peine de mort pour ceux qui violaient le sabbat.  Eh bien, pour comprendre le sens de cette punition, il est nécessaire de lire tout le texte.  Je vais mettre en italique certaines expressions :  « Le Seigneur dit à Moïse : « Maintenant parle aux Israélites et dis-leur : « Vous observerez attentivement mes sabbats, car le sabbat est un signe entre moi et vous, de génération en génération, afin qu'ils sachent que je suis le Seigneur qui sanctifie.  Vous observerez donc le sabbat, car il est saint pour vous.  Quiconque le profane sera mis à mort;  quiconque travaille ce jour-là, qu'il soit retranché de son peuple.  Travaillez pendant six jours, mais le septième jour, il y aura un repos absolu, sacré pour le Seigneur.  Quiconque travaille le jour du sabbat doit être mis à mort.  Les Israélites observeront le sabbat, célébrant le sabbat dans leurs générations comme une alliance éternelle" (Ex 31:12-16).  Cette peine a également été exécutée, comme nous le lisons dans le livre des Nombres : « Pendant que les Israélites étaient dans le désert, ils trouvèrent un homme qui ramassait du bois le jour du sabbat.  Ceux qui l'avaient trouvé en train de ramasser du bois l'amenèrent à Moïse, à Aaron et à toute la communauté.  Ils l'ont mis sous surveillance, car on n'avait pas encore déterminé ce qu'il fallait lui faire.  Le Seigneur dit à Moïse : « Cet homme doit être mis à mort ;  toute la communauté le lapidera à l'extérieur du camp."  Toute la communauté le fit sortir du camp et le lapida ;  il mourut selon l'ordre que l'Éternel avait donné à Moïse" (Nb 15, 32-36).: « Quiconque frappera un homme dans l'intention de le tuer sera mis à mort » (Ex 21, 12). 3. Comme vous pouvez le voir, la motivation de cette sanction est également présentée : parce que samedi est un signe entre vous et moi.  Signe de quoi ?  De l'alliance spéciale contractée entre Dieu et son peuple.  Le repos du sabbat était le signe que ces gens étaient le peuple de Dieu d'une manière spéciale.  L'observance du sabbat était une des caractéristiques d'Israël et de sa religion devant tous les peuples.  Il serait donc inconvenant de lire ces pass
ages avec notre mentalité.  4. Et voici une deuxième raison : parce que pour vous c'est un jour saint, c'est-à-dire un jour séparé de tous les autres jours.  Et pour cela, il est puni comme une violation de l'alliance.  Cette alliance qui ne pouvait être rompue sous peine de séparation d'avec le peuple de l'Alliance.  Le cinquième précepte du Décalogue dit "Tu ne tueras pas".  L'innocent était compris parce que pour le coupable à cette époque la loi du talion était en vigueur.  5. La peine de mort dans l'Ancien Testament n'a donc pas été prononcée simplement pour défendre la société, comme c'était le cas chez toutes les autres nations, mais surtout parce qu'il s'agissait d'une infidélité à l'Alliance.  Cela ressort clairement au chapitre 15 du livre de la Genèse lorsque Dieu ordonne à Abraham de prendre des animaux et de les couper en deux.  Abraham "les divisa en deux et plaça chaque moitié face à face" (Gn 15, 10)  « Lorsque le soleil se coucha et qu'il fit nuit noire, voici un brasier fumant et une torche enflammée passèrent parmi les animaux divisés » (Gn 15, 17).  La Bible de Jérusalem commente : « Ancien rite de l'alliance (Jr 34:18) : les contractants passaient parmi les chairs sanglantes et invoquaient sur eux le sort réservé à ces victimes, si elles transgressaient leur engagement.  (…)  C'est un engagement solennel, scellé par un serment imprécatoire (le passage entre les animaux divisés) » (note à Gn 15, 17).  Cette peine de mort était un signe que "l'engagement gracieux" de Dieu n'affectait pas ces personnes. 6. Il faut rappeler ici ce que nous lisons au début de l'Ecriture Sainte : « Dieu bénit le septième jour et le consacra » (Gn 2, 3).  Maintenant, la bénédiction de Dieu dans la Sainte Écriture est toujours efficace.  Ce jour-là, le Seigneur le consacra pour bénir son peuple.  C'est aussi vrai aujourd'hui : celui qui ne veut pas sanctifier les fêtes se retire de l'engagement gracieux de Dieu et se prive de nombreuses bénédictions de Dieu, bénédictions toujours efficaces, et se met en quelque sorte à la merci de son adversaire.  Je vous souhaite d'être toujours fidèle à recevoir cette bénédiction de Dieu, vous en avez besoin et vos proches en ont besoin aussi.  Je vous rappelle au Seigneur et vous envoie ma bénédiction.  Père Angelo
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albertinefloyd · 1 year
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Mardi 4 avril 2023.
La journée a été glaciale entre Athos et moi. Je crois qu'il commence doucement à comprendre, mais qu'il n'est pas encore prêt à accepter ce qu'il se passe.
Dans l'après-midi, je lui ai demandé s'il comptait finir à l'heure. Il m'a assuré que Oui, vraiment pour le coup, j'ai rien à faire aujourd'hui.
C'était cohérent avec ce qu'il m'assurait depuis des semaines. Il avait beaucoup d'heures sup à faire ces derniers mois, parce que le trailer du film sur lequel il bosse devait sortir aujourd'hui. Une fois ce trailer passé, ce serait beaucoup plus calme, limite mort, et doucement les membres de son équipe seraient attribués à d'autres projets.
À 17h, la bouche en coeur, il me fair "Ça te dérange si je reste 5 minutes de plus ? Vraiment pas longtemps, mais y a un truc qui vient de me tomber dessus à la dernière minute !"
À. Chaque. Putain. De. Fois.
Au début je me disais, C'est pas sa faute, Il a pas le choix, etc etc. C'est un métier où il y a beaucoup d'overtime.
Mais petit à petit je me suis rendue compte qu'il avait bien plus souvent le choix qu'il ne le laissait paraître. Qu'en fait, c'est bien souvent par fierté personnelle qu'il fait du zèle. Parce qu'il a un penchant maladif pour la perfection, de base, et parce qu'il tire une très grande fierté d'être le meilleur de son domaine (et il l'est vraiment). Au point où ses supérieurs l'ont plus d'une fois convoqué pour lui dire qu'il devait apprendre à déléguer, quitte à ce que tout ne soit pas parfait, et qu'il ne pouvait pas faire le film tout seul.
D'une façon générale, j'ai décidé d'être beaucoup moins coopérative à ce sujet. Parce que à chaque fois, il me dit "5 minutes" et ça se termine en trois quarts d'heure où je continue de gérer Dana, et c'est déjà presque l'heure du dîner mais il faut encore qu'on sorte pour tel ou tel truc, et je me retrouve à courir comme une malade jusqu'à tomber d'épuisement le soir, tandis que Dana se couche encore trop tard.
"C'est vraiment une urgence ? Tu le fais donc passer sur tes heures supplémentaires ? (=Il doit envoyer un mail à la production pour prévenir qu'il fait plus d'heures, ce qui doit être justifié parce que Prod rechigne toujours à payer des heures sup). Parce que c'est ton tour de préparer le dîner pour toi et Dana, tu sais ce que tu vas cuisiner ? Et ce serait bien que tu te fasses suffisamment à manger pour en avoir aussi demain midi."
Bizarrement, d'un coup, c'était plus si important.
Bon, je lui ai quand même indiqué ce qu'il fallait faire pour Dana. On ne passe pas de rien à tout comme ça.
Pour la suite, je l'ai laissé gérer. Et c'était vachement cool de pouvoir faire mes trucs dans mon coin sans me précipiter en renfort pour le moindre truc.
Par contre, il s'est contenté de se réchauffer les pâtes de ce midi. Avec ce qu'il restait de fromage râpé. Et il a pris une toute petite portion, comme ça il lui en restera demain midi.
Il avait l'air tout triste devant sa toute petite assiette de pâtes. J'ai failli avoir pitié de lui. Mais je savais aussi qu'on arrivait au point névralgique : la faim.
Parce que tant qu'Athos a le ventre plein, il va facilement acquiescer à ce que je raconte, sans rien changer derrière.
Alors que si il a faim, il va être beaucoup plus motivé à ce que les choses bougent.
"Par contre je te préviens, dit-il de nulle part, si les choses se profilent comme ça, parfois moi je vais aller me chercher un sandwich le midi, j'aurai pas le temps de me faire à manger !
_Je croyais qu'on était en mode économie et qu'il fallait impérativement rembourser la carte de crédit le plus vite possible ?
_...Oui, mais je veux dire, euh, pas tout le temps quoi, au cours des prochains mois, quand ce sera le rush...
_Tu feras ce que tu veux quand on aura remboursé le crédit, en attendant, on est d'accord que c'est plus logique que tu te cuisines le soir un repas pour le lendemain, n'est ce pas ?"
Et oui, Athos, et oui. Mais ça ne fait que commencer.
Il a quand même tenté la contre attaque :
"On est d'accord que si on fait les choses comme ça, c'est parce que tu comptes reprendre le travail, pas vrai ?"
T'en fais pas, l'idée c'est pas que je me la coule douce.
Plus tard, il est resté avec moi pour endormir Dana. Et cette fois, ça a pris un temps monstrueux.
Deuxième point névralgique : son manque de patience par rapport au sommeil de Dana.
Il a voulu essayer sa méthode, Dana a hurlé à la mort. Je savais qu'en le laissant faire on perdrait un temps fou à consoler Dana puis à la calmer de nouveau pour qu'elle dorme, mais j'ai laissé faire. Qu'il comprenne un peu ce que ça fait de rester des heures et des heures dans le noir et dans le silence.
Et c'est là que j'ai joué ma carte maîtresse :
"Comment on fait maintenant, pour gérer les nuits ?
_...je sais pas."
Il avait l'air vraiment au bout de sa vie. Lol. C'est que le premier jour, et il a juste eu à réchauffer des pâtes et un morceau de tofu pour Dana.
"Le mieux je crois c'est qu'on se fasse une nuit sur deux ?
_...ouais. Sûrement. Sauf que moi je ne peux pas me mettre dans son lit, comme toi.
_Tu sais, je fais ça mais c'est pas super efficace. Je passe quand même 3h à essayer de la rendormir."
Silence.
"Mais elle veut pas dormir avec moi.
_Au début elle ne voulait pas dormir avec moi non plus. Je crois que tu ne te rends pas bien compte des heures et des heures que j'ai passé à lutter, que je passe encore, jour et nuit, pour lui apprendre à dormir.
_Mais si je me rends compte, mais qu'est ce que tu veux que je te dise, tu ne me crois pas quand je dis ça, et on va encore boucler sur la même discussion !"
Silence.
"Ça va aller, de ne dormir plus qu'une nuit sur deux ?
_...non. Pas en travaillant à côté. Pas avec mon niveau de responsabilité."
Nous y voilà.
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