In quel momento ho capito che era una persona singolare, che esistono donne che non somigliano a nessun altro.
Lei era qualcuno, non la copia di qualcuno.
Valérie Perrin
58 notes
·
View notes
Come ogni sera ho voglia di stare sola, non parlare con nessuno, leggere, ascoltare la radio, fare un bagno, chiudere le finestre, avvolgermi in un kimono di seta rosa. Stare bene e basta.
Una volta chiuso il cancello il tempo è mio, ne sono l'unica proprietaria. E' un lusso essere proprietari del proprio tempo, lo ritengo uno dei più grandi lussi che l'essere umano possa concedersi.
13 notes
·
View notes
Legjobban várt dedikálások a 28. budapesti nemzetközi könyvfesztiválon!
Amikor könyvfesztiválról beszélünk, mindenkinek elsősorban a könyvvásárlás jut eszébe, és az új megjelenések, amiket itt kedvezménnyel tud beszerezni. Na de mi a helyzet a másik fő pozitívummal?
A könyvfeszten rengeteg újdonság mellett, dedikálások is várnak. Nemcsak a magyar írók színe-java jelenik meg ilyenkor, hanem egyre több külföldi írót is hoznak a kiadók. Itt lehetősége van a…
View On WordPress
0 notes
Changer l'eau des fleurs de Valérie PERRIN
Ce roman déstabilise, il sort de l’ordinaire, surprend. Il se dévore. Il émeut. Il fait sourire.
Fragment en guise de mise en bouche :
J’ai repris les fonctions de mon mari après son départ – ou plus exactement sa disparition. Philippe Toussaint apparaît sous la dénomination « disparition inquiétante » dans le fichier national de la gendarmerie.
Il me reste plusieurs hommes pour horizon. Les trois fossoyeurs, Nono, Gaston et Elvis. Les trois officiers des pompes funèbres, les frères…
View On WordPress
0 notes
Valérie Perrin- Trois-2021
Troisième roman après Les oubliés du dimanche et Changer l’eau des fleurs .
Valérie Perrin a ce don de saisir la profondeur insoupçonnée des choses de la vie.
L’éclosion de l’amour
— Tu m’aimes ?
C’est la première question que je lui pose. Parce que je n’en
reviens pas que quelqu’un puisse m’aimer.
— Oui, depuis que je suis toute petite.
— Tu es toujours toute petite.
— Non, j’ai treize ans. Tu as déjà embrassé une fille ?
— Sur la bouche ?
— Oui.
— Non. Je n’ai jamais embrassé personne.
— Tu as dejà fait l’amour ?
Sa question me sidère.
— Ben non, puisque je n'ai jamais embrassé personne.
— Tu veux qu’on essaye ? me demande-t-elle.
— De faire l’amour ?
— Non, de s’embrasser.
Je réponds oui. Elle se glisse sous le drap près de moi mais
pas contre moi.
(…)
En même temps elle prend ma main et la pose sous son sein.
Je sens les battements de son coeur. Son corps est chaud.
Elle se déshabille sans fausse pudeur. Elle m’offre sa nudité
tandis que je saisis sa robe. Je ne peux pas la prendre elle, la
serrer. Nous sommes trop jeunes, maladroits, terrifiés. Il faut
respecter une distance. Je parcours son corps des yeux. Elle est
belle. Je l’envie. Du bout des doigts, je me permets de la toucher,
de l’enregistrer. Elle ferme les yeux, tremble, gémit, se courbe.
J’ai toujours sa robe dans l’autre main, je la serre très fort, je me
retiens à ce tissu comme à une corde pour ne pas tomber dans le vide que provoque la peur.
Après un long moment, comme au bout d’un immense couloir, Louise dit : « Je me caresse souvent en pensant à toi, tu veux voir comment ? »
Cela me stupéfie à nouveau. Comment une jeune fille peut-elle avoir autant d’audace et surtout me faire confiance ?
Je réponds oui.
Elle s’allonge sur le ventre, tourne la tête vers moi et me regarde. Il ne m’a jamais été donné de voir quelqu’un d'aussi beau.
Je pose sa robe contre moi. C’est comme si je l’allongeais sur moi. Je me déshabille à mon tour, je prends la main de Louise, on ne se lâche pas du regard. Elle me réconcilie, nous réconcilie. Je ne sais plus.
(…)
Louise me bouleverse. Elle me fait bander.
Les prémices de la haine
L’amour qu’elle avait ressenti pour lui s’était mué en dégoût. Pas une
inimitié constante mais intermittente. Des bouffées de haine qui
montaient et pouvaient disparaitre aussitôt ou s’installer longtemps. Comme un poison dans les veines. Elle qui n’était qu’empathie et bienveillance se muait en sorcière. Elle devenait sa propre ennemie. Il lui arrivait d’imaginer le meurtre de son mari. Le pousser dans les escaliers. Le brûler vif. L’assommer, le mettre derrière le volant de sa bagnole de sport et le jeter du haut d’un ravin. Des scenarios hitchcockiens monstrueux qui la tétanisaient. Surtout le matin au réveil, lorsqu’il la sautait avant de partir au travail. Vite fait bien fait, histoire de planter sa petite graine. Qu’il crève, pensait-elle en fermant les yeux tandis qu’il la culbutait.
Pour un compte rendu plus détaillé voir
Autres publications :
Changer l’eau des fleurs
Les oubliés du dimanche
0 notes