Tumgik
#saga du Soleil noir
angelitam · 1 year
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Partageons mon rendez-vous lecture #18-2023 & critiques
Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion. Le Graal du Diable d’Eric Giacometti et Jacques Ravenne Le graal du diable de Giacometti et Ravenne – Editions JC Lattès En lecture, une Masse Critique Babelio, Objectif : Forces Spéciales de Matt Objectif : Forces spéciales Matt (II) tous les livres sur Babelio.com Présentation de l’éditeur :  Intégrer les forces spéciales, tel est…
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 157
La Dominique arrivée
Nous partons pour la République Dominicaine.
Avant cela, je charge Samir de veiller sur la maison, au respect des rendez vous de Jimmy et de transporter Ed aux siens. Avec lui à la maison, nous partons en toute confiance.
Il nous conduit à Roissy (pour info j'ai procédé au remplacement de la berline de Marc par une Chrylser 300C break).
Habitués à voyager léger (moto oblige), l'hôtesse s'étonne du faible poids de nos valises (à peine 12 Kg pour deux et un bonne part est due aux kpotes !). Bien que très touristique, le pays est pauvre et je n'ai pris sur moi qu'une montre basique, mon percing d'oreille vide de tout pendentif, et mon cockring en or que je porte à mon sexe en espérant ne pas biper au passage des portiques (et si cela bip je serais peut être fouillé par un beau vigile). Marc ne prend pas ce risque et place le sien dans son bagage à main.
Dégouté ! Pas le moindre bip et pourtant il y avait bien un contrôleur que j'aurais aimé me faire (mais si cela se trouve c'était un mauvais coup !!).
Bin qu'en première classe, le vol n'a pas été totalement agréable malgré le champagne, des parents sans sens communs ont laissé brailler leur gamin une bonne partie du temps jusqu'à ce qu'un de nos voisins intervienne.
Arrivée à Punta Cana, un 4x4 avec chauffeur (très baisable) nous attendait. Direction notre villa. Pas de mauvaises surprises, l'habitation est telle que dans la publicité. Nous y sommes reçu par notre correspondant pour régler les détails triviaux. Il nous présente au personnel de maison, une cuisinière et deux hommes de service aussi " sexe " ;que le chauffeur qui reste tout le séjour à notre disposition sur place, puis nous présente un catalogue de mecs.
Les photos nous montrent toutes les mecs en maillot et à poil. Toutes les couleurs de peau et tous les types de mecs sont représentés du quasiment blanc au noir le plus profond en passant par tout les dégradés de peaux et de morphologie. Le correspondant nous précise, devant notre indécision que nous n'étions pas limité à un par personne mais que durant le séjour, nous n'avions qu'à l'appeler pour faire l'échange de nos Toy-Boy. Marc opte pour un jeune mec (1,80m, environ 18 ans) chocolat clair, musclé, imberbe avec un beau morceau entre les jambes. Moi, je choisi un noir très noir d'1m95, très musclé aussi (mais à part quelques crevettes efféminées, c'était plutôt le cas de tous les autres) et dont les attributs se rapprochent de ceux d'Eric (paraissant la 20aine).
Coups de fil et ils seront à la villa le soir même. Nous gardons le catalogue en cas de besoin.
En les attendant, nous nous mettons à l'aise. Nous allons passer le séjour en maillots principalement quand ce ne sera pas à poil (je dois faire attention à ne pas l'être trop souvent au soleil si je veut garder mes fesses blanches !).
Nous sommes dans la piscine à nous délasser du voyage quand on nous annonce que le " service + " est arrivé. Nous les faisons venir sur la terrasse et après les avoir vu habillés, nous leur demandons de se mettre nus. Sans complexes, il se défont de leurs pantalons larges et leurs chemisettes. Nous nous retenons de faire le tour de la " marchandise " mais ce n'est pas l'envie qui nous manque. Ils sont fidèles aux photos. Je m'approche du " mien " et lui prend le sexe en main. Il bande directe et malgré ses dimensions hors norme assure une raideur propre à tout enculage qui se respecte. Marc qui m'a rejoint, pose sa main sur le cou de son Toy boy et ce dernier se met aussitôt à genoux et entame une fellation. Je relève ma tête fixe mon mec dans les yeux puis baisse mon regard sur ma bite. Il a tout de suite compris et à genoux à coté de son collègue il me mange littéralement la queue. Ses grosses lèvres rouges tranchent sur la peau blanche de mon pubis. Du premier coup il avale mes 20cm sans que le passage de mon gland dans sa gorge ne lui procure de renvois. A mes cotés c'est pareil pour Marc, ses 22cm trouvent refuges entièrement dans son mec. Mes mains sur sa tête, je lime sa gorge avec entrain. Marc à mes cotés fait de même. Je sens ses grandes mains se poser sur mes fesses et augmenter la pression quand je suis déjà au fond. Il a l'air d'y prendre plaisir aussi. Je suis très excite et le balai de sa langue sur mon gland à chaque va et vient m'achève. J'ai juste le temps de me retirer et je lui marbre le visage de grandes trainées blanches de sperme. Bien éduqué, il ne bouge pas et reçois sans broncher tout le contenu de mes couilles sur sa tête. A nos coté, Marc fait de même et couvre son mec de la même façon. Marc leur dit d'aller se doucher (il y a une douche auprès de la piscine). Quand ils reviennent ils bandent encore. Comme je voulais enculer mon Toy-boy avant qu'il ne me mette (histoire de fixer quand même qui est le maître (dans la relation), et comme Marc aussi n'avait pas repris suffisamment de vigueur, je leur ai dit de faire un 69. sur les matelas de bronzage, alors que nous les mations depuis nos transat. Ils nous ont fait un très beau spectacle. Nous avons pu admirer leurs expériences. Les bites de l'un comme de l'autre ont pénétrées sans problème la gorge adverse jusqu'aux couilles. On comprend soudain mieux que même les 22cm de Marc y aient trouvés leur place. Je demande au mien de préparer le cul de son partenaire. J'ai pu ainsi voir ce qui m'attendait. J'ai admiré et puis j'ai été impatient qu'il me le fasse aussi à moi. Il a une technique irréprochable. Grand coups de langue sur la rosette, langue pointue pour pénétrer l'anus, ventousage de sa grosse bouche, je lui demandais régulièrement de reculer pour que je vois l'effet de son travail. Superbe ! l'oignon de son partenaire se détendait bien sous ses efforts. Marc lui a donné alors une kpote et lui a dit " encule le maintenant ". Obéissance parfaite, il a posé la protection XXL et nous l'avons admiré dans sa prestation. Je lui disais quand ralentir ou accélérer sa pénétration. Nous avons pu mater la séquence complète et le plaisir que prenait l'enculé à se faire défoncer par une telle bite (mesurée à la main : 25cm x 7). Nous les avons regardé comme dans un porno en live. Assez discrets dans leur baise coté verbal, ils ont assurés coté physique. Ils nous ont montré une bonne panoplie de positions et démontré aussi bien leur endurance que leur souplesse.
Ils jouissent à peu d'intervalle. Nous pouvons passer à table. Slip, maillot ou caleçon nous voilà attablés tous les 4. Diner couleur locale, langouste grillée. Nos " invités " ne se font pas prier pour fini les plats. J'observe que nos nudités ont quelques effets sur l'un des deux hommes de service, le plus jeune (environ 25ans baisable).
Nous sommes fatigués par le voyage et décidons de nous coucher. Choix : avec ou sans nos Toy-boys ?
La chambre principale est immense avec un très grand lit, nous tentons le couchage à 4. C'est trop juste ! Nous demandons alors à ce qu'un des lits d'une autre chambre soit transféré et en collant les deux nous obtenons une surface de couchage adéquate.
Nous serons réveillés en douceur par une pipe magistrale. Par rapport à la veille, nos suceurs s'étaient échangés nos corps et c'était le choix de Marc qui me mangeait la bite alors que ses 22cm disparaissaient dans la bouche du mien.
Le fait de les voir tous les deux à 4 pattes entre nos jambes nous a donné des idées et après les avoir contournés, s'être kpotés, nous avons testé pour la première fois leur cul. Mon noir avait des fesses magnifiques, rondes, musclées, un délice à écarter et son trou, bien que sûrement utilisé fréquemment, il enserrait ma queue fermement. A mes cotés Marc prenait autant de plaisir à sodomiser le sien.
Mon trou me démangeant, j'ai déculé et me suis mis devant mon black en lui demandant de me préparer. J'ai pu apprécier ce que nous n'avions que supposé la veille au soir. Sa bouche et surtout sa langue m'ont procuré des sensations particulièrement intéressantes. Je me suis ouvert comme sous l'effet du meilleur des poppers. Sans Marc qui lui a dit (à mon préparateur) qu'il pouvait me sodomiser, je crois que je me serais fait bouffer l'oignon jusqu'à la jouissance.
La tête et les épaules sur le matelas, le cul relevé j'attendais avec impatience qu'il pose sa kpote. Claquement du latex et je sens enfin son gland sur ma rosette. Il fait couler à la jonction de nos corps un bonne dose de gel et force soudain. Je me prend son gland. Mon anus se referme derrière la couronne. Il reprend sa poussée et mon sphincter s'écarte pour laisser passer le reste de sa tige. Il me rempli le ventre avec sa bite. ; C'est top bon ! surtout quand, après que je me sois habitué à ses dimensions, il se met à me limer en force. Je ne retiens pas mes gémissement et prend un plaisir énorme. Je tourne la tête pour voir Marc. Lui, il est en train d'enculer son choix et ce dernier à l'air d'y prendre plaisir.
Je me redresse et mes bras en arrière, je m'accroche à la nuque de mon enculeur, cambré pour ne pas perdre un cm de sa bite. Je sens alors sa bouche se poser sur mon cou, le lécher, mordiller mes deltoïdes. ;Une de ses mains enveloppe mon sexe et me branle fermement. Sans être calleuses, ses mains sont très fortes et compresse ma queue à la limite de la douleur (souvent cette limite est aussi celle du plaisir !). Sous les yeux de Marc, j'ai un orgasme pas possible. A la surprise de mon Toy-boy, mes muscles annaux le bloque dans ses va et vient et il ne peut plus sortir avant que j'ai fini de jouir. Dès que je le " libère " il s'enfonce rageur au fond de mon trou et éjacule dans sa kpote. A nos cotés Marc se lâche dans son mec, ce dernier ayant la courtoisie de juter en même temps.
Nous allons prendre nos petits déjeuners façon pantagruélique, la baise ça creuse l'estomac et la cuisinière au courant de nos ébats s'était surpassée en pancakes, beignets, bacon, oeufs frits... et fruits divers.
Nos Toys avaient accepté de ne revêtir, pendant leur séjour à notre service, qu'un jockstrap. Moi je me couvrais les fesses de mon maillot de bain alors que Marc restait à poil.
Nous passons les premiers jours à ne rien faire d'autre que se dormir, baiser, manger et bronzer. ; ;
Le chauffeur n'a rien à faire et nous avons remarqué que quand on baise sur la terrasse ou dans le séjour, il vient discrètement jeter un coup d'oeil. J'ai pu voir qu'il bandait dur ! Le troisième jour, alors qu'il nous mate je me décolle du Toy de Marc que j'enculais alors pour aller le chercher et l'inviter à participer. Marc appelle alors nos deux hommes de service qui ne se font pas prier pour nous rejoindre. Nous avons improvisé une touze où j'ai l'impression tous ont pris leur pied. Marc et moi les premiers. J'ai explosé après pas mal de positions possibles passif comme actif alors que je me faisais mettre par mon Toy-boy et que j'enculais notre chauffeur.
Marc lui a juté dans le cul d'un de nos hommes de service alors que son " jouet " couchés sous eux, lui bouffait les couilles.
En fin de première semaine, nous avons changé nos " accompagnateurs ", non sans leur avoir montré en dollars tout le plaisir que nous avions eu avec eux. Au moins cette somme n'ira pas enrichir leur intermédiaire !
Les suivant sont arrivés dans l'heure qui a suivit leur départ. Cette fois nous avons choisi deux jeunes mecs indiqués comme passifs. La touze précédente nous ayant permis de découvrir dans le personnel mâle de la maison ce qu'il me fallait comme actif de bon calibre.
La seconde semaine, j'ai quasi systématiquement baisé en " jambon de sandwich ", Marc ou un des hommes de service dans le cul et un des petits jeunes planté sur ma bite. Marc, lui, s'est essayé tous les trous des 5 mecs de la maison, et pas un pour rechigner devant sa queue. Les pipes toujours profondes nous ont procuré de merveilleuses éjaculations.
Un coup de fil à Samir m'a rassuré sur le fonctionnement de ma petite entreprise. Jimmy s'est bien rendu à tous les rendez vous et lui avait remis à chaque fois le montant exacte de sa prestation. Quand à Ed, il l'avait véhiculé comme prévu et après un instant de gène, il m'a avoué qu'il l'avait baisé au retour de son deuxième rendez vous. Quand je lui ai fait raconter la chose, j'ai bien senti, malgré sa formulation propre à prendre sur lui toute la responsabilité de l'affaire, qu'Ed ne lui avait pas laissé le choix. Ce petit salaud sait se rendre irrésistible quand il le désire ! Comme il parlait de retirer ça de son salaire, j'ai éclaté de rire et lui ai dit qu'il n'en était pas question. Je lui réitérais ma confiance pour la semaine suivante en lui disant que s'il se faisait encore avec Ed, c'était leur problème et non le mien.
En république Dominicaine :
Nous avons même testé la baise en mer. Convaincus par notre chauffeur (qui devait avoir sa commission), nous sommes partis une journée en mer sur un catamaran géant où l'équipage constitué exclusivement de mec a été à notre service complet, du capitaine au moindre matelot et jusqu'au cuistot! Dans la journée je me les suis tous pris au moins une fois dans le cul. Ce qui devait faire quand même 5 mecs sur les 6 que comptait l'équipage. En effet, le plus jeune mousse était le vide couille du capitaine qui, sans problème, nous l'a cédé à Marc et moi le temps de la balade. Une véritable salope avec un physique qui pousse au viol (s'il n'était déjà consentant). Il nous a asséché les couilles comme un pro. Petit corps imberbe, musclé finement, d'une souplesse aussi incroyable que celle de Jimmy, nous avons même eu le plaisir de l'enculer ensemble Marc et moi et pour son plus grand plaisir habitué qu'il était aux bites de gros diamètre. Le capitaine avait beau être blanc, il était monté comme un âne, ce qui d'après ses dire lui assurait une autorité naturelle sur son équipage. ; J'ai tellement baisé et été baisé que le lendemain je n'ai supporté qu'une ou deux pipes pour dissiper la tension qui me prenait lorsque Marc baisait l'un de nos hommes de service ou un des deux Toy-boy.
JARDINIER
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omagazineparis · 8 months
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Pourquoi partir en Islande ?
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Partir en Islande est une aventure exceptionnelle qui offre une multitude d'expériences uniques et mémorables. Que vous soyez passionné de nature sauvage, d'exploration géothermique ou de découvertes culturelles, l'Islande a quelque chose à offrir à chaque voyageur. Voici quelques raisons convaincantes pour lesquelles vous devriez envisager de partir en Islande : Paysages époustouflants L'Islande est renommée pour ses paysages à couper le souffle. Des cascades majestueuses aux glaciers imposants, en passant par les champs de lave noire et les plages de sable noir, chaque coin de l'île offre une beauté naturelle unique et spectaculaire. Aurores boréales L'Islande est l'un des meilleurs endroits au monde pour observer les aurores boréales. Si vous visitez pendant les mois d'hiver, vous aurez la chance de voir ces lumières dansantes colorées illuminer le ciel nocturne, créant un spectacle magique et inoubliable. Sources géothermiques L'Islande est dotée d'une activité géothermique exceptionnelle, avec des sources chaudes naturelles, des geysers bouillonnants et des spas géothermiques relaxants. Le célèbre Blue Lagoon est l'un des endroits les plus emblématiques pour se détendre dans les eaux chaudes et apaisantes. Exploration de glaciers Les glaciers recouvrent une partie significative de l'Islande, offrant des opportunités d'aventure uniques. Vous pouvez faire des randonnées sur les glaciers, explorer des grottes de glace et même prendre part à des activités telles que le snowmobiling ou la descente en traîneau à chiens. Faune et flore uniques Malgré des conditions climatiques extrêmes, l'Islande abrite une faune et une flore variées. Vous pourrez observer des oiseaux marins, des rennes, des phoques et peut-être même des baleines lors de safaris en bateau. Les paysages verdoyants et les prairies fleuries en été sont également un régal pour les yeux. Exploration de grottes L'Islande offre une variété de grottes naturelles à explorer, dont certaines sont formées par des éruptions volcaniques et d'autres par l'érosion. C'est l'occasion d'admirer des formations rocheuses uniques et de découvrir des mondes souterrains mystérieux. A lire aussi : Guide du voyageur pour le Skiplagging : ce stratagème audacieux pour obtenir des billets d’avion moins cher Riche héritage culturel L'Islande possède une riche histoire et une culture unique. Explorez les musées, visitez des églises historiques et découvrez les sagas islandaises, des récits épiques qui relatent les exploits des premiers colons de l'île. Expérience de la lumière du soleil de minuit Pendant les mois d'été, l'Islande connaît des nuits blanches, ce qui signifie que le soleil ne se couche pratiquement pas. Cette expérience unique vous permet de profiter de la lumière du soleil de minuit, ce qui est idéal pour les activités de plein air et les explorations tardives. En conclusion, partir en Islande offre une opportunité de vivre des expériences hors du commun au milieu de paysages grandioses et naturels. Que vous soyez à la recherche d'aventure, de détente ou de découvertes culturelles, l'Islande est une destination qui vous laissera des souvenirs inoubliables et une profonde admiration pour la beauté brute de la nature. Read the full article
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pompadourpink · 3 years
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Bonjour! Est-qu’il y a des émissions françaises qui sont “must-see” (devoir-voir?)? Par exemple, les “must-see” émissions aux États-Unis sont The Office, Friends, Breaking Bad, etc. Alors, je me demandais s’il y a des emissions comme ça en France qui tout le monde regarde.
Bonjour,
(Must see: à voir absolument. Also, I call those séries, émissions are things like Survivors) We don't really have older huge shows since French TV tends to be pretty bad and cliché. I also haven't touched a TV in 13 years and have been neglecting French content so I'll give you a general guide instead.
For toddlers: Tchoupi, Bonne nuit les petits, l'âne Trotro, Petit ours brun, les Bisounours (Carebears),
For kids: les Minikeums, l'Île aux enfants, Barbapapa, Les malheurs de Sophie, le Marsupilami (belgian), Mimi Cracra, la Famille Pirate, Babar, Denver le dernier dinosaure, les Belles histoires du père Castor (very cute), Lucky Luke, Kangoo juniors, Titeuf, Cédric, Princesse Sissi, Tom-Tom et Nana, les Ratz, les Shadocks, les Zinzins de l'espace, Pépin Troispommes,
Shorts: Kaamelott (very hard for non natives), Un gars une fille, H, Bref (fully available on Youtube but very fast), Caméra café, Soda, Avez-vous déjà vu (educational), Scènes de ménage, le SAV des émissions (with Omar Sy), Very bad blagues,
Very bland but entertaining I guess: Joséphine l'ange gardien, Louis la brocante, Sous le soleil, Plus belle la vie, Salut les musclés + Hélène et les garçons (early 90s), Demain nous appartient
Cop stuff: Le juge est une femme, Julie Lescaut, Navarro, Commissaire Moulin, Cordier juge et flic, Nestor Burma, Dolmen + Zodiaque (hilarious summer sagas), Maigret, Femmes de loi,
Historical: Empreintes criminelles (1920s), Maisons closes (1870s), 1877 et demi, Princesse Sissi (animated), Chez Maupassant (novel adaptations; available on Youtube),
For nerds: Code Lyoko, Hero corp, Il était une fois (educational), Ulysse 31, les Zinzins de l'espace,
Recently: Baron noir, Marseille, Demain nous appartient, Le Bazar de la charité, Profilage, Validé (rap), Les petits meurtres d’Agatha Christie, No man's land, Mortel, Laëtitia, Stalk, Cheyenne et Lola...
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loeildelachouette · 6 years
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"Mme Rachel frappa d'un coup sec à la porte de la cuisine et entra dès qu'on l'y eut invitée. La cuisine de Green Gables était un endroit charmant, ou du moins l'aurait été, si elle n'avait pas étouffé sous une propreté excessive : celle, impeccable, d'une salle de réception qui ne servait jamais. Les fenêtres étaient orientées vers l'est et vers l'ouest ; par celle de l'ouest, qui donnait sur la cour arrière, entrait à flots la lumière douce du soleil de juin ; mais celle de l'est, par où se profilaient les fleurs blanches des cerisiers dans le verger de gauche et les silhouettes minces des bouleaux inclinés, dans le creux près du ruisseau, était masquée par des vignes enchevêtrées. C'est là que s'installait Marilla Cuthbert lorsqu'elle trouvait le temps de s'asseoir, se méfiant toujours un peu des rayons du soleil ; elle les trouvait trop légers, trop dansants, incompatibles avec un univers devant absolument être pris au sérieux. C'est donc là qu'elle s'était assise pour tricoter. Derrière elle, la table du souper était déjà mise. Mme Rachel, avant même d'avoir fermé la porte, avait déjà pris bonne note de tout ce qui se trouvait sur cette table, Comment ne pas remarquer les trois assiettes vides, preuve que Marilla attendait que quelqu'un revînt avec Matthew pour prendre le thé ? Le couvert, pourtant, était celui de tous les jours, et il n'y avait qu'un bocal de conserves de pommes sauvages, et un seul et unique gâteau : l'invité attendu ne devait rien avoir de bien spectaculaire. Mais alors, pourquoi le col blanc de Matthew, et la jument alezane ? Mme Rachel commençait à avoir le vertige à force de chercher à percer ce mystère inhabituel qui entourait le domaine si placide, si peu secret de Green Gables. — Bonsoir, Rachel, dit Marilla d'un ton brusque. C'est réellement une belle soirée, n'est-ce pas ? Vous ne voulez pas vous asseoir ? Et comment va tout votre monde ? Entre Marilla Cuthbert et Mme Rachel, en dépit de tout ce qui semblait les opposer – à moins que ce ne fût, précisément, à cause de cela –, il avait toujours existé quelque chose que l'on doit bien, à défaut de terme plus précis, qualifier d'amitié. Marilla était une femme grande et mince, au corps anguleux, sans la moindre rondeur ; quelques mèches grises striaient sa chevelure noire, toujours enroulée derrière la tête en un petit chignon noir très serré que transperçaient deux épingles de métal. Elle avait l'allure d'une femme de peu d'expérience, aux idées rigides, ce qu'elle était ; mais un imperceptible mouvement des lèvres laissait deviner qu'elle aurait peut-être pu, si elle avait accepté de le laisser s'exhaler davantage, faire preuve d'un certain sens de l'humour." - ANNE OF GREEN GAMBLES Saga D’Anne Livre 1 Traduction française de  HENRI-DOMINIQUE PRATTE  
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songedunenuitdete · 6 years
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Bonjour à tous !  J’espère que vous allez bien malgré que le temps soit sous le signe de la pluie depuis hier. Pour égayer tout cela, voyons les sorties de la semaine.
 “SOLO: A STAR WARS STORY”
Film réalisé par Ron Howard. Avec  Alden Ehrenreich, Woody Harrelson, Emilia Clarke Laissera-t-il une marque dans l’univers Star Wars ? A vous de juger.
SYPNOPSIS: Embarquez à bord du Faucon Millenium et partez à l’aventure en compagnie du plus célèbre vaurien de la galaxie. Au cours de périlleuses aventures dans les bas-fonds d’un monde criminel, Han Solo va faire la connaissance de son imposant futur copilote Chewbacca et croiser la route du charmant escroc Lando Calrissian… Ce voyage initiatique révèlera la personnalité d’un des héros les plus marquants de la saga Star Wars.
 “GUEULE D’ANGE”
Film réalisé par Vanessa Filho.  Avec Marion Cotillard, Ayline Aksoy-Etaix, Alban Lenoir Je suis vraiment intriguée de savoir comment va être traitée la relation entre cette mère et sa fille.
SYNOPSIS: Une jeune femme vit seule avec sa fille de huit ans. Une nuit, après une rencontre en boîte de nuit, la mère décide de partir, laissant son enfant livrée à elle-même.
 “MUTAFUKAZ”
Film d’animation réalisé par Shoujirou Nishimi, Guillaume “Run” Renard . Avec  Orelsan, Gringe, Redouanne Harjane Adapté d’après une une série de bandes dessinées française de Run, on espère toujours que l’adaptation soit fidèle à l’univers de l’oeuvre
SYPNOPSIS: Angelino est un jeune loser parmi tant d’autres à Dark Meat City, une mégalopole sans pitié sous le soleil de Californie. La journée, il livre des pizzas dans tous les recoins de la ville et la nuit, il squatte une chambre d’hôtel minable avec son coloc Vinz et une armada de cafards qui font désormais un peu partie de sa famille. À la suite d’un accident de scooter lorsque son chemin a croisé par inadvertance la divine Luna, une fille aux cheveux noir de jais, notre jeune lascar commence à souffrir de maux de tête et d’étranges hallucinations. Des hallucinations, vous avez dit ? Hmm, peut-être pas… Pourchassé par des hommes en noir, Angelino n’a plus aucun doute : il est pris pour cible. Mais pourquoi lui ?
   “MANIFESTO”
Film réalisé par Julian Rosefeldt. Avec  Cate Blanchett, Ruby Bustamante, Ralf Tempe Très, très intriguant !
SYPNOPSIS: Manifesto rassemble aussi bien les manifestes futuriste, dadaïste et situationniste que les pensées d’artistes, d’architectes, de danseurs et de cinéastes tels que Sol LeWitt, Yvonne Rainer ou Jim Jarmusch. A travers 13 personnages dont une enseignante d’école primaire, une présentatrice de journal télévisé, une ouvrière, un clochard… Cate Blanchett scande ces manifestes composites pour mettre à l’épreuve le sens de ces textes historiques dans notre monde contemporain.
Une sélection sympathique ! J’espère qu’elle vous plaira et je vous souhaite à tous une belle semaine !
AFFICHES
[Klolianebooks] "Bonjour ! Un petit rayon de soleil dans ce ciel gris avec une nouvelle sélection des sorties cinéma !" Bonjour à tous !  J'espère que vous allez bien malgré que le temps soit sous le signe de la pluie depuis hier.
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patern29 · 4 years
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Alexis, l'homme libre
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En mer, on peut croiser des personnages atypiques. On peut aussi croiser des personnages très, très, très, atypiques. Alexis fait partie des seconds. Interview.
Peux-tu te présenter en quelques mots ? Je m'appelle Alexis, je viens de Corse, à Bastia et j'ai cinquante et un ans. Ma grand-mère était sage-femme et je ne suis pas né à l'hopital. C'est elle qui m'a accouché et je suis né à la maison, dans la chambre de l'appartement, à l'ancienne, roulé sous les aisselles !Ceci expliquant peut-être qui je suis ... J'ai commencé à bosser à dix-sept ans, juste après m'être fait virer de l'école... J'ai donc accumulé les petits boulots : aide-glacier, apprenti sérigraphiste, apprenti peintre-en-lettres, graphiste dans une boite de pub, serveur dans un restaurant... tatoueur pour finir. Je suis parti à Paris car mon rêve c'était la bande-dessinée, et bien sûr il fallait « monter à Paris pour réussir » car à cette époque-là internet n'éxistait pas ! De mes vingt-cinq ans jusqu'à mes trente ans, j'ai réussi tant bien que mal à bosser dans des milieux divers et variés tels que le milieu du jeu de rôle avec des magazines tels que « Casus Belli » ou « Lotus Noir »... J'ai même illustré l'intégralité d'un jeu de rôle tiré du roman de Phillip Jose Farmer « La saga des hommes-dieux ». J'ai aussi fait des couvertures de romans pour l'éditeur belge « Lefrancq Editions ». J'ai un peu honte de le dire -mais en fait pas du tout- mais le truc qui m'a permis de gagner ma vie presque décemment durant toute cette période, c'est la BD érotique (voire pornographique pour être tout-à fait honnête) dans les magazines « BDX » et « BD adulte ». Qu'est ce qui t'a fait changer de vie, Ce qui m'a fait changer de vie, c'est qu'au bout de cinq ans de vie parisienne à essayer de « percer », comme on dit vulgairement, j'étais devenu une loque humaine ! Je me réveillais et m'endormais au rythme des bouteilles de rhum que je m'envoyais, perdu là au fond de ma chambre de bonne. J'avais bien sûr démarché tous les éditeurs à maintes reprises (Dargaud, Delcourt, Dupuis, Casterman, vents d'Ouest, etc...), mais à chaque fois on me disait : « la science-fiction ça ne marche pas en bande-dessinée, il faut faire autre chose, à moins évidemment que vous ne vous appeliez Druillet, Moebius ou Mezière! ». Il s'est avéré que la science fiction a très bien marché quelques années plus tard, mais bon... Game over ! Pourquoi choisir la voile ? Pourquoi le voilier ? Difficile à dire... Cependant il y a deux facteurs importants qui entrent en jeu : Lorsque j'avais 25 ans, ma sœur et son copain de l'époque m'ont proposé une ballade jusqu'à Gilio en passant par l'île d'Elbe sur le voilier de ce dernier, un karaté. Je n'avais encore jamais foutu les pieds sur un habitable. Je ne sais pas pourquoi mais cette petite escapade a déclenché quelque-chose au fond de moi. Peut-être ce sentiment de liberté qu'inconsciemment je recherchais. Je ne sais pas...
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photo: Alexis Le deuxième facteur important, c'est lors de la période parisienne dont je viens de parler : Je faisais aussi du body painting (de la peinture sur corps), et nous avions décroché avec « Planet Color », la boite avec laquelle je bossais, un contrat pour le carnaval de Fort de France. C'est là-bas que j'ai connu un marin breton de Saint Malo, Dominique Thomas, qui était cuisto pour des grosses unités et avec lequel je suis devenu ami. Je pense que c'est vraiment là que le rêve de la mer a pris corps en moi de manière plus précise. Lorsqu'une fois de retour je suis arrivé au bout de ma vie parisienne, que je n'en pouvais plus, je n'avais plus qu'une idée en tête : retourner en Martinique pour faire du bateau ! ...Et pour répondre vraiment à la question essentielle « pourquoi le voilier » ? Je n'en ai absolument aucune idée ! Je n'aime pas le vent, ça me donne mal à la tête. Je nage très mal. Je ne suis pas sportif et je viens d'un milieu qui n'a absolument rien à voir avec la mer... En un mot comme en cent, je ne suis pas un marin ! Et pourtant, depuis que je suis sur mon bateau, j'ai l'impression d'être à ma place dans ce monde : j'aime le vent quand il gonfle mes voiles, il ne me donne plus mal à la tête. J'aime le soleil lorsqu'il se lève et qu'il vient me réchauffer après une longue nuit passée à la barre. J'apprends à aimer nager... Bref, je réapprends à vivre d'une manière différente ! Quel est le nom de ton navire, et pourquoi l'avoir choisi ? Je dois avouer que le nom du bateau m'a beaucoup perturbé lorsque j'en ai fait l'acquisition : Weak ! En fait, le voilier s'appelait déjà ainsi lorsque je l'ai eu. Simplement, j'ai promis au précédent propriétaire que je ne changerai pas le nom.  J'ai vérifié dans le dictionnaire la signification du mot et y'a rien à faire : « Weak », ça veut dire « Faible » en anglais ! J'ai quand même rappelé le propriétaire pour lui demander s'il n'y avait pas une autre signification. Il m'a dit : « Je crois que ça veut dire « Cool, Tranquille »... Quelque-chose comme ça ! » OK ! Comme ça continuait à me perturber, j'ai demandé à un ami anglais si « Weak » voulait dire autre chose que « faible » en anglais, genre un truc d'argot qui aurait une autre signification. Il m'a dit : « non non, « Weak » ça veut dire « faible » et rien d'autre ! ». J'ai continué mon enquête et j'ai demandé à un ami irlandais. Il m'a dit : « Faible » ! Pour conclure, j'ai demandé à une amie New-Yorkaise en me disant qu'elle aurait sans doute une autre réponse. Elle m'a dit : « Weak ça veut dire Faible et rien d'autre, de ce que j'en sais » ! J'ai donc fini par faire fonctionner mon petit cerveau en me demandant s'il n'y avait pas une faute d'orthographe à la base, et j'ai trouvé le mot « Wake », qui signifie « sillage ». Je pense donc que le premier propriétaire a tout simplement fait une faute d'orthographe lorsqu'il a fait les papiers : Il avait malencontreusement inversé une lettre, et « WAKE le sillage » est devenu « WEAK le faible ». Je m'en suis accomodé, d'une part par respect pour la personne à laquelle j'avais promis de ne pas changer le nom, et d'autre part car il faut se souvenir que face aux éléments nous devons tous rester humbles, car nous sommes effectivement très faibles face à leur puissance ! Par ailleurs, et j'en parlais il y a quelques temps déjà à Olivier Giraud, un autre marin breton de mes grands amis, qui m'avait dit : « Mais c'est génial ! Y'en a plein qui appellent leurs bateaux Leviatan, Kraken, Poseidon, Master of the seas... Et toi tu as un bateau qui s'apelle Weak ! C'est génial !!! » Il avait peut-être pas tort, finalement ! Pour conclure sur le nom, je sais que mon bateau m'aime et qu'il essaie de me protéger dans toute la mesure de son possible ! Pour un bateau faible, il m'a déjà emmené jusqu'ici ! Je pense effectivemment qu'il est « cool », « tranquille », et qu'il gère son affaire ! Je ne changerai pas le nom. Pourquoi avoir choisi ce bateau, et comment s'est conclue l'affaire ?
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photo: Alexis Ce n'est pas une question de choix. J'avais un appartement et j'en avais marre. J'ai eu vent de l 'opportunité d'un bateau et j'ai sauté dessus ! Il s'avère que c'était un Dufour 31, modèle que je ne connaissais pas du tout ! Je n'ai pas beaucoup de chance dans la vie. Non pas que j'aie de la malchance, mais je suis en quelques sortes transparent... A part quand il s'agit de bateaux ! Dès que je veux un bateau, je l'ai, et j'en suis à mon deuxième, alors que je n'aurais pas les moyens de m'acheter un vélo ! Pour ce qui concerne mon Weak, j'avais sympathisé il y a bien des années avec mes voisins de ponton qui en étaient les propriétaires à l'époque, alors que moi-même j'étais sur mon premier bateau. Plusieurs années plus tard, alors que j'avais repris une vie terrestre et que je commençais sérieusement à m'ennuyer, j'appris qu'ils avaient eu deux enfants, s'étaient séparés, et que le bateau était plus ou moins à l'abandon sur corps-mort dans le sud de la Corse. J'ai donc contacté le propriétaire du Weak en lui expliquant que je n'avais pas beaucoup de sous mais que son bateau m'intéressait  pour partir naviguer au long cours... Il m'expliqua que le voilier ne lui appartenait pas officiellement, mais qu'il était à son père... Au final, je suis tombé sur deux personnes pleines d'humanité, père et fils, et j'ai fini par acquerrir le Weak III ! Je ne peux même pas dire que je l'ai acheté à proprement parler car c'est plus un cadeau qu'autre chose ! Je les en remercie encore aujourd'hui ! Quels sont les points forts de ce bateau Je suis loin d'être un spécialiste mais je vais essayer : Le Dufour 31 est un excellent voilier ! Le mien date de 78. A cette époque, les coques étaient faites à la main, résinées avec amour : ce sont des coques qui font dans les 27 millimètres d'épaisseur alors que les bateaux d'aujourd'hui font peut-être 7 millimètres d'épaisseur roulés dans des centrifugeuses controlées par ordinateur ! C'est peut-être du plastique, mais c'est vraiment du solide : faut frapper super fort sur du cailloux pour lui faire vraiment mal ! Ce bateau est très bien agencé : il y a des coffres partout, des espaces de rangement en veux-tu en voilà ! C'est un bateau qui est à force humaine, c'est-à dire qu'on peut hisser sa grand-voile sans finir au winch, et d'autres choses dans le genre... Avec mon Karaté (CNSO), c'était moins évident ! Pour les personnes de grande taille, c'est un bateau qui, pour une si petite longueur (9,40m), a une grande hauteur sous le barrault. Les personnes qui font 1m90 y tiennent debout sans avoir à courber l'échine ! C'est un bateau très ventru donc on s'y sent à l'aise à l'intérieur car il y a de l'espace ! Idéal pour un solitaire ou un couple. Les points faibles ? Il perd un peu de puissance au pré serré. Au début je prenais ça comme un point faible mais en fait ça m'arrange : un petit ralenti avant le frein... Donc je ne suis plus certain que ça soit un point faible ! Le seul truc qui me dérange vraiment pour la navigation (même si pour l'instant ça ne m'a pas posé de problème) : J'avais l'habitude du rail d'écoute de grand voile, avec le taquet coinceur... et là, il n'y en n'a pas ! Alors on pourrait dire que c'est un point positif car du coup on n'a pas ce rail d'écoute qui vient couper le cockpit en deux ou qui est juste devant l'entrée : c'est plus confortable et on peut boire l'apéro tranquille à plusieurs ! En contrepartie, on se retrouve avec deux garcettes merdeuses d'un côté et de l'autre du point d'écoute de la grand voile (je sais pas si c'est très clair ce que je raconte). Il y a bien une sorte de rail d'écoute qui ne prend aucune place mais franchement c'est un peu batard ! Il y a des fois, en navigation, ou il faut choquer la GV d'un coup sans avoir à se poser de question et là... ben... ça le fait pas pareil ! Quelle préparation as tu effectué avant de partir ? Franchement, j'ai tellement galéré et travaillé sur mon premier bateau que lorsque je me suis rendu compte que celui-ci, contre toute attente, était à peu près opérationnel, je me suis un peu laissé vivre ! Evidemment, j'ai fait plein de choses dessus, mais pas autant que je ne l'aurais pu, et surtout pas autant que je ne l'aurais du ! Quelques conseils pour la vie à bord ? J'ai dù être un troglodythe dans un vie antérieure : au port ou au mouillage, je ne sors jamais du carré, je reste toujours à l'intérieur. Il peut faire un soleil radieux, je ne sors pas dans le cockpit profiter de cette magnifique journée... Je ne sais pas pourquoi, c'est comme ça ! Quelle est ta route ? Je suis donc parti de Corse il y a presque un an et demi. Je voulais avant tout sortir de la Méditerranée ! Corse, Minorque, Majorque, Ibiza, côte espagnole... J'ai eu la bonne idée de me casser la hanche en décembre 2018 à Tarifa, je tiens à préciser que ça n'était pas sur le bateau. Je me suis retrouvé au final au Maroc, à Tanger, en janvier 2019. J'avais fière allure avec mes béquilles ! Deux autres escales marocaines : Rabat et El Jadida. La destination était simple : traverser l'Atlantique, mais j'ai raté le bus l'année dernière ! Je m'apprète  pour une traversée de l'Atlantique. Je ne sais pas encore si je m'arrêterai au Cap Vert.   Tes galères, tes meilleurs moments ? Les galères il y en a trop, mais je suppose que toutes les personnes qui naviguent pourraient dire la même chose ! On s'est tous dit à un moment ou à un autre : « mais qu'est-ce que je fous là ? Le bateau plus jamais, j'achète un chalet au sommet de la montagne ! » Et parfois il y a des moments de grâce, et c'est pour ça qu'on a toujours envie de continuer et d'aller plus loin !Pour ma part, l'un des meilleurs moments a été lorsque j'étais au large de Cartagène. Je m'étais mis à la cape pour me reposer, j'avais une baisse de moral, et à un moment j'ai entendu un souffle qui ressemblait à celui que font les dauphins, mais en plus grave... Il faisait nuit et la lune était pleine. Au bout d'un moment j'ai bien vu deux ou trois silhouettes de cétacés, ce dont je me doutais, mais elles étaient bien sombres.... et bien grosses ! Rien à voir avec les dauphins communs que tous les navigateurs sont accoutumés à voir en navigation. En fait il s'agissait de globicéphales. Ça a l'air con de dire ça comme ça, mais c'était assez impressionnant, ils tournaient autour du bateau. J'étais partagé entre une sorte d'émerveillement et une forme d'inquiétude ! Les globicéphales c'est spécial, ils peuvent être de mauvaise humeur, parait-il... Je me demandais si je les dérangeais, peut-être étais-je entré sur leur territoire ? J'ai pensé à allumer le moteur pour dégager mais je me suis dit aussitôt que de toutes manières ils vont plus vite que moi et qu'un moteur, s'ils se sentent déjà agressés, ne fera que les irriter encore plus ! En même temps je me sentais ridicule car a t-on jamais vu un dauphin, fut t-il un globicéphale, couler un voilier ? Je suis donc allé me coucher, car j'avais besoin de me reposer, en me disant que je ne devais pas trop les déranger puisqu'ils avaient l'air assez tranquilles... Une ou deux heures plus tard, je me réveillais en entendant des souffles puissants autour du bateau, des sifflements, des petits cris... Je sors la tête du carré et là je vois au moins un vingtaine de globicéphales se laissant dériver en même temps que moi, puisque j'étais à la cape dans un nuit immobile et parfaite, avec à peine un souffle d'air pour gonfler mon génois. Tout autour du bateau, ils étaient là, la pleine lune venant couronner ce spectacle parfait ! Je suis bien resté une heure à les regarder et à leur parler, mon inquiétude s'estompant au fur et à mesure que mon émerveillement grandissait ! J'avais compris que je ne les dérangeais pas ! J'ai fini par retourner me coucher à regret, non sans leur avoir souhaité une bonne nuit plus d'une fois, mais j'étais vraiment fatigué. Peut-être une heure plus tard, j'entends des sifflements persistants qui me réveillent ! Des sifflements qui semblaient m'appeler dans le genre : « He mec ? Qu'est-ce que tu fous ? On t'attend ! » C'était très étrange ! Je sors la tête et là je vois toute la tribu : il y avait une myriade de globicéphales ! Ils étaient tous autour du bateau et la mer autour de moi était noire de globicéphales ! C'était merveilleux ! Le truc, c'est que j'étais pas en nav' à proprement parler. On a tous vu les dauphins nager autour du bateau alors qu'on est à cinq ou six nœuds, mais là c'était différent ! J'étais à la cape dans une nuit immobile. Les globicéphales ne nageaient pas, ils ne bougeaient pas, ils ne partaient pas sous l'eau : ils étaient tous immobiles à la surface et ils se laissaient dériver exactement à la même allure que mon bateau. Ils sont tous restés avec moi jusqu'au lever du jour et après ils sont partis. Ca m'a fait de la peine quand j'ai vu qu'ils n'étaient plus là... Je pense franchement qu'ils ont senti que j'étais angoissé et qu'ils ont voulu me protéger. Quel beau souvenir ! Quelles erreurs tu ne reproduirais pas ? J'ai fait tellement d'erreurs dans ma (petite) vie de navigateur que je ne saurais le dire... Le problème ce n'est pas tant les erreurs que j'ai faites, mais plutôt ce qui les a généré : je suis trop laxiste, trop paresseux, et parfois j'ai du mal à anticiper, ce qui est sans doute le plus gros défaut... Cependant, je n'ai rien fait d'irrémédiable, c'est le principal : je suis sauf, le bateau aussi... et je n'ai jamais causé de dommages à autrui durant mes pérégrinations nautiques ! Il paraît que c'est en faisant des erreurs que l'on apprend, la fameuse méthode empirique ! Dans ce cas j 'ai dù beaucoup apprendre ces dernières années... Comment se passe ta vie de couple, l'éloignement familiale ? J'ai une grande famille en Corse. J'ai cinq sœurs, six nièces, deux neveux et une filleule avec lesquels je suis très proche. Après pour la vie en couple, bah, je suis un solitaire et franchement je ne pense pas beaucoup à ça... Bon, après, si un sirène se prend dans ma ligne de traine, je ne sais pas si je la laisserai repartir à l'eau ! Quelles destinations pour la suite ? Les Antilles, bien sûr, et surtout la Martinique, l'endroit où j'ai vraiment commencé à faire de la voile ! La Martinique, l'ile du retour, 22 ans après ! Peux tu nous parler de ton livre ? J'ai commencé à écrire ce livre il y a presque une quinzaine d'années. Je ne sais pas pourquoi, mais j'avais besoin de coucher ma petite expérience maritime sur le papier. J'ai eu vent il y a quelques temps de nouveaux moyens d'édition et je me suis dit : pourquoi ne pas tenter d'éditer une première mouture ?
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Je savais que je n'avais ni l'énergie, ni les conditions pour finaliser le bouquin dans son intégralité, et j'ai donc décidé d'écrire il y a quelques mois le dernier chapitre du premier épisode de mes fabuleuses aventures, en espérant bien sûr trouver l'inspiration pour écrire la suite. J'étais alors à Porto Santo, dans l'archipel de Madère. Bien evidemment, je pensais aussi à gagner un peu de sous car c'est un peu dur pour moi en ce moment financièrement ! Voila donc le premier volume de « Chroniques d'un voyage annoncé » ! J'espère sincèrement écrire la suite, mais franchement, pour l'instant, j'ai d'autres chats à fouetter ! Pourquoi écrire ? Parce que j'ai l'impression d'avoir quelque-chose à dire, tout simplement... même si je sais que ça peut paraître présomptueux de ma part ! C'est juste l'histoire d'un gars qui aimerait bien larguer les amarres mais qui ne sait pas vraiment comment faire ! Un conseil pour les prétendants a la vie de marin ? Larguez les amarres , c'est ce qu'il y a de plus difficile à faire ! La plus grande ennemie du futur marin, c'est la peur de partir ! 3 livres qui t'ont inspirés ? Je dirais au hasard : Un vagabond des mers du sudLa ballade de la mer salée (c'est permis les bandes-dessinées ?)L'odyssée du Kon Tiki Une conclusion ? Je ne sais pas où tout cela me mène ni jusqu'où j'irai, mais c'est une belle vie, même si elle n'est pas toujours facile ! Plus on avance, et plus on a envie d'aller plus loin ! Comme dirait mon ami Dom de St Malo : - « En avant, vent !!! » Merci :) Suivez Alexis sur les réseaux : Eskif, Youtube, Facebook Read the full article
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Voir Venise et mourir... 1646. Venise. La place San Marco est déserte. Le soleil n’est pas encore levé, une légère bruine recouvre le sol, le vent souffle timidement. La journée s’annonce grisâtre et sans couleur. Au loin, si vous plissez les yeux et que vous regardez bien, vous pourrez apercevoir une silhouette dans la rue Larga. Celle d’un homme assez grand et élancé, vêtu d’une cape pourpre, d’un chapeau noir orné d’un panache rouge, de bottes en cuir et d’une ceinture dorée. En l’observant encore mieux, vous remarquerez que cet homme est masqué. Son visage est à moitié caché par un loup, un demi-masque qui recouvre ses yeux, en satin incarnat. Il arbore également une épée à sa taille, une belle lame, fine et longue, dont la garde est d’or et le pommeau aussi rouge que le panache de son chapeau. Cet homme, il se nomme Le Lilas. Enfin, les habitants de Venise le connaissent surtout sous le titre de chevalier Le Lilas. Il est craint, admiré, désiré, il inspire curiosité et fascination, il fait partie de ces hommes qui font régner l’ordre et la loi à Venise, il est ce qu’on appelle : un libertin du cercle incarnat, le cercle des justiciers de la belle mais parfois trop cruelle Venise. Venise, ville de mystères... Au XVIIème siècle s'est établi au cœur de Venise un cercle de justiciers chargés de défendre la ville et de résoudre les énigmes qui l'entourent. Le plus célèbre de ces chevaliers est connu sous le nom du Lilas. Embarquez dans une aventure dont vous ne ressortirez pas indemne. Premier tome de la saga littéraire dédiée aux aventures du Lilas 
https://www.amazon.fr/aventures-chevalier-Lilas-cercle-incarnat-ebook/dp/B07TQK6MTR/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=3GS94LJ7KWAR9&keywords=les+aventures+du+chevalier+le+lilas+amandine+clemente&qid=1566904438&s=gateway&sprefix=les+aventures+du+%2Caps%2C248&sr=8-1
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angelitam · 1 year
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Le graal du diable d'Eric Giacometti et Jacques Ravenne
Le graal du diable de Giacometti et Ravenne – Editions JC Lattès Le graal du diable d’Eric Giacometti et Jacques Ravenne, présentation Une femme, Nada la Noire, est à l’origine de massacres qui font peur, à l’été 1944 dans le territoire du Banat. Elle assassine toute une famille et laisse une petite fille survivante, Inge. C’est la déroute pour l’armée allemande. Paris, la milice procède à de…
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 47
Quelques coups de fils dans la semaine me permirent de disposer de Jean, Pierre et Ric. J'appelais chez les jumeaux et comme leur père avait décroché, je lui proposais la touze où il aurait autant de culs à enfiler qu'il voudrait. Comme il me trouvait vantard, je lui dis que nous serions 8 en plus des ses fils à pouvoir recevoir sa queue. Il admit que cela serait pas mal. Comme il me demandait comment ils pouvaient participer (en plus du sexe), je lui dit que nous étions preneur de toute bouffe pour le BBQ du dimanche midi sachant que nous serions une bonne douzaine. Le samedi soir Marc et moi nous nous chargions de l'appro et Eric se chargeait des boissons. Je faisais les compte et m'aperçu que nous serions alors 14 répartis ;en : 4 actifs purs, 6 actifs/passifs selon l'opportunité et 4 purs passifs.
Samedi. En début d'après midi, avec la voiture de Marc, j'ai joué au ramassage scolaire et ai été chercher Jean , Pierre et Ric. Alors que nous bronzions tranquillement, nus sur les méridiennes autour de la piscine, Phil et Luc sont arrivés en moto et vite à poil nous ont rejoint. Batailles dans l'eau et cris ont attirés Arnaud qui, après autorisation de Bruno, est passé par dessus le mur de séparation pour nous rejoindre à son tour. Après de bonnes courses poursuites dans l'eau, nous en sommes sortis bandants. J'interdisais toutes manipulations, caresses et attouchement pour garder toute notre énergie pour le soir. Le soleil ayant bien tapé, j'entraînais tout le monde au sous sol et alors de Phil, Luc, Ric et moi poussions un peu de fonte, je mettais les trois " crevettes " aux abdos.
Alors que Ric et moi augmentions les poids, Phil et Luc poussèrent les jeunes sous les douches. Les exercices fait et nos muscles bien en valeur, Ric et moi les avons remplacés sous les jets alors qu'ils se séchaient. Nous sommes remontés alors que des bruits de moteurs envahissaient la cour. 17h. Les autres protagonistes du W E venaient de nous rejoindre. Je présentais ceux qui ne se connaissaient pas encore et entraînais Seb et les jumeaux à la piscine. Nous étions de nouveaux tous dans l'eau quand les 4 "vieux" nous ont rejoint. Au complet, nous avons commencé à nous lâcher. Les bites se sont tendues, et bientôt l'eau bouillonnait d'essais de pompage sous marin, de branlette et autres attouchements. Avant que l'un d'entre nous pollue l'eau, Marc nous entraîna le groupe au donjon. Je déviais les futurs enculés vers le sous sol afin de préparer nos boyaux par un lavement. Puis en tong, à poil ou enroulés dans les serviettes, nous avons parcouru les quelques 10aines de mètre jusqu'à la lourde porte en bois. Intrigué Arnaud se demandaient ce qui ce cachait derrière. Je faisais entrer le petit groupe dans le sas en lourd tissu noir que nous avons dernièrement installé pour améliorer l'isolation. Marc qui avait allumé les spots sélectifs, ciblant les postes tout en gardant le reste dans le noir, d'un coup tira le rideau de séparation. " tan tan " les 3 autres "hommes", dans les fauteuils du coin salon, un verre à la main nous attendaient. Les habitués commentèrent les modifications quand Arnaud ouvrait des yeux comme des soucoupes. Avant que chacun aille retrouver son accessoire préféré, j'illuminais le mur du fond dévoilant la partie sanitaire puis à l'étage deux séries de 4 spots éclairant chaque lit. Le regard attiré vers le plafond, chacun put admirer la dernière nouveauté. Le parquet avait été remplacé par de grandes plaques de verre spécial de presque 5cm d'épaisseur et prévu pour supporter 800 Kg au m² avec les poutres métalliques qui avait remplacé les anciennes en bois. Un plateau de verres d'apéro était prêt et nous en avons tous pris un. En sirotant nos verres, nous avons déambulé entre les selles de cheval, les slings, sommes passés devant les menottes fixées au mur, avons estimé la tailles des godes et autres boules disponibles dans le présentoir en fer. Je poussais Ric sur sa selle préférée, celle équipé du gode en son centre. Pierre et Jean sur un sling et Arnaud sur celui du milieu. Luc et Phil m'ont prêté main forte pour les attacher aux chaînes de suspension. Puis attrapant Tic et Tac, je les attachais, menottés contre le mur par les poignets et les chevilles. A ce stade, les 4 adultes se sont levés et ont commencé à évaluer la " marchandise ". leurs mains passait d'un flanc à un autre, les doigts d'une bouche à un cul. Phil et Luc ayant choisit leur camp, s'étaient pliés sur les deux selles restantes. Seb, lui comptait bien être actif vu le nombre de cul dispo ce soir là. quand à moi, je ferais ce que voudra Marc. Enculer s'il le faut, me faire saillir si besoin. Igor est allé voir ses fils en premier. Les voir plaqués contre le mur menottés les bras et jambes écartés l'excitait grave ! se collant à leurs dos, il leur tourna la tête et ils s'embrassèrent avec passion. Il m'appela et me dit que pour me remercier de lui avoir fait redécouvrir ses fils, je pouvais choisir lequel j'allais enculer pendant que lui s'occuperais du second. Je choisis Tac. Ce dernier est le moins passif des jumeaux ! je veux lui montrer qui est le dominant. Igor et moi nous nous positionnons pour enculer simultanément les deux jumeaux. Ils gémissent sous la poussée de nos bites. J'accroche le mien par les épaules pour finir d'entrer mes derniers cm. Igor préfère tirer les hanches de son fils vers sa bite. Une fois au fond, nous plaquons leurs corps sur le mur (heureusement protégé par une grande plaque de cuir épais). Je commence à limer le petit cul de Tac. J'alterne longues pénétrations avec de courts pilonnages. Igor juste à coté défonce son fils sur ses 22cm.
Je tourne la tête pour voir ce qui se passe dans notre dos. Ric galope debout sur les étriers préparant son cul à la bite d'Eric ou à de doubles sodo. Marc Bruno et Eric alternent dans les culs des trois slings. Quelques kpotes commencent à remplir les poubelles ! Quand aux trois derniers, Seb encule Luc qui lui même sodomise Phil. Puis Igor me propose d'échanger. Ce qui est bien avec les jumeaux, c'est que je ne suis pas obligé de changer de kpote entre leurs deux culs. Je sors de Tac et prend la place d'Igor. Un peu au large, je demande à Tic de bien serrer du cul. Après quelques contraction, je me retrouve bien serré. Igor quand à lui n'a pas ce genre de soucis. Il encule virilement son second fils lui arrachant de petits cris à chaque fin de pénétration. Nous entendions dans notre dos les commentaires des trois autres " mâles " en train de comparer les culs respectifs de Jean, Pierre et Arnaud. Et Bruno de conseiller son neveu sur ce qu'il peut faire avec son anus après avoir subit les massages anaux lorsqu'il enculait Jean. Le trio s'était agrandi de Ric venu les rejoindre. Ils avaient migrés vers les tatamis et, Ric et Phil en 69, se faisait prendre réciproquement par Seb et Luc. C'est dans ce dernier tableau que nous avons tous juté les uns après les autres. Marc dans Pierre, Bruno dans Arnaud et Igor dans Tac avec le plaisir d'être sans Kpote, les autres remplissant les réservoirs en latex. Igor m'aida à détacher ses fils. Ils nous tombèrent dans les bras, rompus tant par la position physique que par la tension sexuelle et psychologique d'avoir été attachés. Tous nous nous sommes retrouvés sous les douches et Marc se félicita d'avoir prévu un bac receveur de 2m de large. 14 mecs dans 10m², c'est juste sauf que certains avaient encore du mal à se décoller !! notamment Arnaud réfugié dans les bras de son oncle.
21h, Nous avons regagné la maison les estomac dans les talons.
JARDINIER
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omagazineparis · 8 months
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Pourquoi partir en Islande ?
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Partir en Islande est une aventure exceptionnelle qui offre une multitude d'expériences uniques et mémorables. Que vous soyez passionné de nature sauvage, d'exploration géothermique ou de découvertes culturelles, l'Islande a quelque chose à offrir à chaque voyageur. Voici quelques raisons convaincantes pour lesquelles vous devriez envisager de partir en Islande : Paysages époustouflants L'Islande est renommée pour ses paysages à couper le souffle. Des cascades majestueuses aux glaciers imposants, en passant par les champs de lave noire et les plages de sable noir, chaque coin de l'île offre une beauté naturelle unique et spectaculaire. Aurores boréales L'Islande est l'un des meilleurs endroits au monde pour observer les aurores boréales. Si vous visitez pendant les mois d'hiver, vous aurez la chance de voir ces lumières dansantes colorées illuminer le ciel nocturne, créant un spectacle magique et inoubliable. Sources géothermiques L'Islande est dotée d'une activité géothermique exceptionnelle, avec des sources chaudes naturelles, des geysers bouillonnants et des spas géothermiques relaxants. Le célèbre Blue Lagoon est l'un des endroits les plus emblématiques pour se détendre dans les eaux chaudes et apaisantes. Exploration de glaciers Les glaciers recouvrent une partie significative de l'Islande, offrant des opportunités d'aventure uniques. Vous pouvez faire des randonnées sur les glaciers, explorer des grottes de glace et même prendre part à des activités telles que le snowmobiling ou la descente en traîneau à chiens. Faune et flore uniques Malgré des conditions climatiques extrêmes, l'Islande abrite une faune et une flore variées. Vous pourrez observer des oiseaux marins, des rennes, des phoques et peut-être même des baleines lors de safaris en bateau. Les paysages verdoyants et les prairies fleuries en été sont également un régal pour les yeux. Exploration de grottes L'Islande offre une variété de grottes naturelles à explorer, dont certaines sont formées par des éruptions volcaniques et d'autres par l'érosion. C'est l'occasion d'admirer des formations rocheuses uniques et de découvrir des mondes souterrains mystérieux. A lire aussi : Guide du voyageur pour le Skiplagging : ce stratagème audacieux pour obtenir des billets d’avion moins cher Riche héritage culturel L'Islande possède une riche histoire et une culture unique. Explorez les musées, visitez des églises historiques et découvrez les sagas islandaises, des récits épiques qui relatent les exploits des premiers colons de l'île. Expérience de la lumière du soleil de minuit Pendant les mois d'été, l'Islande connaît des nuits blanches, ce qui signifie que le soleil ne se couche pratiquement pas. Cette expérience unique vous permet de profiter de la lumière du soleil de minuit, ce qui est idéal pour les activités de plein air et les explorations tardives. En conclusion, partir en Islande offre une opportunité de vivre des expériences hors du commun au milieu de paysages grandioses et naturels. Que vous soyez à la recherche d'aventure, de détente ou de découvertes culturelles, l'Islande est une destination qui vous laissera des souvenirs inoubliables et une profonde admiration pour la beauté brute de la nature. Read the full article
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uniquebirdprince · 4 years
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Découvrons Victoria Martin – auteur, merci d’avoir répondu aux questions !
Bonjour, j’espère que vous allez bien. Je suis Marie F chroniqueuse sur « La voix littéraire » Etes-vous prêt(e) à passer aux questions ? Présentez-vous un peu avant de répondre.
Bonjour, je suis Victoria Martin, j’ai 29 ans. Je suis auteure d’une saga de Fantasy Médiévale / Thriller « Horrible prophétie » se composant de deux tomes « Horrible prophétie » et « Horrible prophétie Tome II Les Rouages du Destin » paru aux éditions Edilivre. Un troisième sortira avant la fin de l’année. De plus, je suis également l’auteur d’un recueil de proverbes « Proverbes et Expressions du Sud-Ouest et d’Ailleurs…Tome 1 » paru chez Nombre7 Editions co-écrit avec Marie-Dominique Martin.  Parisienne dans l’âme et née à Paris, je suis aussi originaire de l’Allier par mon père et du Sud-Ouest par ma mère. Depuis toute petite j’ai toujours écrit et rêvé de devenir écrivain. J’avais une étrange attraction pour l’imaginaire sombre, la fantasy ou le fantastique ainsi que pour la mer et le maritime, chose que je n’explique pas.
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1) Comment vous est venue l’envie d’écrire ?
J’ai toujours eu cette envie d’écrire depuis le primaire. Avec ma dyslexie, j’avais du mal à lire, et, pour moi c’était plus facile d’écrire et d’inventer mes propres histoires. D’ailleurs, j’étais toujours dans la lune, dans mon propre monde, c’est encore un peu le cas aujourd’hui.
2) Quels genres de livres écrivez-vous ?
Imaginaire, bien sûr ! Ma saga « Horrible prophétie » se passe purement dans un univers fictif, un monde d’archipels, inspiré de l’époque médiévale et renaissance. On peut retrouver dans mes livres des aspects très philosophiques sur le pouvoir, la liberté, abordés à travers l’imaginaire. Je travaille aussi la musicalité de la langue, les jeux de mots et les métaphores. Ce qui m’a également amené à écrire « Proverbes et Expressions du Sud-Ouest et d’Ailleurs…Tome 1 » qui n’était pas au départ dans mon domaine de prédilection. Ce sont des proverbes issus de ma famille maternelle que je répète et que j’intègre complètement inconsciemment dans mes écrits. Nous avons fait ce petit recueil pour les répertorier, les expliquer, les partager et les transmettre.
3) Parlez-nous un peu de vous, avez-vous d’autres passions ?
Les voyages. La découverte de paysages marins, du patrimoine gothique, médiéval et renaissance. L’ambiance des foires médiévales, sa musique et sans oublier le cosplay médiéval ou pirate. A ce propos j’ai découvert le cosplay médiéval ou pirate dans les festivals médiévaux correspondant à l’univers de mes livres. Au début, j’étais très timide et j’ai eu beaucoup de mal à me prendre au jeu, mais petit à petit, ça m’a permis d’être dans mon univers et de mieux défendre mes livres auprès de mes lecteurs. Cela m’a permis de m’affirmer. Aujourd’hui, ça m’accompagne, ça fait partie de moi et je ne vois pas une foire médiévale sans un costume! Mon tricorne me représente, tel un symbole. Je m’occupe de toute la communication autour de mes livres, pubs sur les réseaux, nouvelles affiches publicitaires, organisation de salons, dédicaces, design de couverture… Je fais aussi un peu de loisirs créatifs à l’occasion. Marque-pages faits main, signets, cartes de Noël ou du nouvel an…
4) Lors de votre premier livre publié, comment vous êtes senti ?
J’étais à la fin d’une période très difficile, et ça a été l’aboutissement de quelque chose. Un rêve qui s’était enfin réalisé, après des années d’écriture, des livres inachevés, des fanfictions sur le net…Ceci dit, ce n’était qu’une première étape, car j’ai découvert qu’énormément de travail m’attendait pour promouvoir ce bel ouvrage!
5) Quels sont vos coups de cœurs ?
Beaucoup. Dans des styles bien différents. Je ne peux pas dire que je sois une grande lectrice de classiques pourtant certains ont été un véritable coup de cœur, je pense à Don Juan de Molière ou encore les œuvres de Baudelaire que j’aime énormément. L’Odyssée d’Homère, j’ai adoré, aussi bien pour le voyage initiatique, que pour tout cet imaginaire et la musicalité des vers et de la langue. Le Cid de Corneille est aussi sublime. Des coups de cœur philosophiques comme Le Prince de Machiavel, L’Art de la Guerre de Sun Tzu, Phèdre et Gorgias de Platon ou encore La Lettre à Ménécée d’Epicure. Petite, j’ai découvert les dessins de Sandrine Gestin dans les livre-jeux La Cité Aux Cent Mystères se passant au Moyen-âge ou La Vallée Aux Cent Prodiges ou La Colline Aux cents Fées se passant dans des mondes fantasy et à l’époque ça m’avait inspiré des idées d’histoires. A cette même époque j’ai découvert Tolkien avec la célèbre saga Le Seigneur des Anneaux, ma mère en est une très grande fan, elle a donc fait mon éducation en me le lisant tous les soirs. A l’adolescence j’ai découvert la saga Harry Potter que j’ai adoré et j’en ai d’ailleurs écrit des fanfictions sur internet, même si ce n’était pas vraiment un coup de cœur, j’aurais en effet voulu que le héros soit moins héros et plus sombre. Enfant, j’avais eu un coup de cœur pour la série Charmed que j’aime toujours, mais qui me laisse un peu sur ma faim pour les mêmes raisons qu’Harry Potter finalement. Et puis, j’ai grandi avec les animés japonais dans les années quatre-vingt-dix, deux mille dans lesquels il y avait aussi beaucoup d’imaginaire.
6) Avez-vous déjà fait des salons du livre ? Si oui, comment ça s’est passé ?
Oui, ça fait partie du métier! Dédicaces, salons de livres, et, dans mon cas, Foires Médiévales ou salons «médiéval fantasy» avec un espace pour auteurs, illustrateurs. Comme je l’ai précédemment dit, j’ai découvert un monde nouveau et totalement inconnu quand j’ai fait mes premières foires médiévales. Ca n’a pas été facile, mais je suis maintenant bien à l’aise. J’aime le contact avec les gens, leur parler de mes livres, de mon univers, échanger et les faire découvrir à de nouveaux lecteurs. C’est un pur bonheur et un moment de joie partagée.
7) Quel a été votre rêve le plus étrange ?
J’ai rêvé du bas d’une patte de cheval d’un noir profond, levée en l’air, dépassant d’un petit mur en bois, avec un fer à cheval argenté d’un argent brillant. Très bizarre et inquiétant, j’ai décidé de l’intégrer dans mon prochain roman.
8) Avez-vous un moment dans la journée, où vous vous sentez le mieux pour écrire ?
La nuit. A cause du silence et d’une intimé avec la nuit. J’en ai très rarement l’occasion, mais sinon l’après-midi sur une plage avec vue sur mer, ça stimule pas mal l’imaginaire. J’aime aussi beaucoup écrire dans le train quand je vais à une expo.
9) Avez-vous un grigri ?
Deux stylos-plume. Malheureusement, j’écris de plus en plus direct sur l’ordi pour ne pas perdre de temps, mais il m’arrive de faire des plans détaillés de la suite du manuscrit ou des prochains chapitres et je le fais avec mes stylos- plume, mes deux mêmes stylos-plume depuis plus de dix ans. Même avant quand j’écrivais enfant ou ado c’était aussi des stylos-plume. Ça fait partie du processus. Et sinon, quand je suis à la maison, une grande théière de thé noir de Chine en feuilles, c’est l’incontournable.
10) Sortirez-vous d’autres livres ? En avez-vous déjà sorti, si oui lesquels ? Parlez nous en un peu plus.
Le tome 3 de ma saga « Horrible prophétie » va sortir avant la fin de l’année. Il est en relecture; après, avec le covid, je ne peux pas dire quand exactement. J’ai prévu de sortir un tome 4 et 5 qui clôtureront la saga. Une fois le tome 3 sorti, je me plongerai avec ma co-auteur dans l’écriture du tome 2 du recueil de proverbes. Pour l’instant, j’ai 3 livres publiés. « Horrible prophétie » et « Horrible prophétie Tome II Les Rouages du Destin » parus aux éditions Edilivre et « Proverbes et Expressions du Sud-Ouest et d’Ailleurs…Tome 1 » chez Nombre7 Editions.
La saga Horrible prophétie va se passer dans un monde d’archipels totalement fictif. Tout commence lorsque, dans le tome 1, qui est une sorte de préquel, un bateau fantôme arrive dans un petit port de pêche d’un village et déclenche une horrible prophétie . On suit alors Lénora qui va mener l’enquête, mais ça la changera. Dans le tome 2, « Horrible prophétie Tome II Les Rouages du Destin », la prophétie revient sur une autre île, dix ans plus tard. Lénora décide donc de s’embarquer sur un navire pirate pour rejoindre Rodia. Ce sera pour elle le début d’une quête et d’un long voyage initiatique. La vie en mer avec tout son aspect maritime, les pirates assez sadiques personnages hauts en couleur, la découverte d’une énorme cité médiévale renaissance Kamor dans laquelle au milieu des grands immeubles ocres, jaunes, le soleil règne et toutes sortes de complots se jouent dans l’ombre… La saga s’inscrit donc dans la fantasy médiévale, mais a un côté thriller. En effet, j’ai toujours voulu faire de l’imaginaire pour adulte. Loin des conventions du genre de la fantasy « Horrible prophétie » est très sombre comme univers, n’a pourtant pas de guerre, contrairement à la dark fantasy et un personnage principal féminin, rare dans le genre, qui est machiavélique. Le tome 3 à paraître avant la fin de l’année va continuer ce voyage à travers la mer. Il approfondira les relations entre les personnages, épaissira le mystère de l’horrible prophétie et donnera plus de détails sur certains aspects du monde imaginaire. Se rapprochant de leur but Rodia, ils vont devoir affronter un grand danger.
« Proverbes et Expressions du Sud-Ouest et d’Ailleurs…Tome 1 » co-écrit avec Marie-Dominique Martin est un petit recueil de proverbes de mon arrière-grand-mère originaire du Sud-Ouest. Je me retrouvais nez à nez dans une situation où je disais une de ces expressions ou proverbes entendu de la bouche de ma mère depuis mon enfance, et la personne en face me regardait bizarrement et ne comprenait pas ce que je voulais dire. On ne parlait pas la même langue! Donc on a eu l’idée de compiler ces expressions et proverbes dits par la grand-mère de ma mère qu’elle nous avait transmis. Certains ont peu de points communs avec le Sud-Ouest alors que d’autres sont vraiment très typiques du coin. En plus, on a fait quelques petites recherches sur les origines de ces expressions et on s’est rendu compte que cela couvrait plusieurs époques: Moyen-Âge, Renaissance, Guerre de 1870…C’est donc un petit recueil sans prise de tête avec plus de 200 proverbes et expressions, rares et historiques.
11) Votre entourage sait-il que vous écrivez ? Si oui, comment ont-ils réagi ?
Oui mon entourage sait que j’écris. Pas toujours facile au début, mais ma mère est mon plus grand soutien. Mon père a du mal avec l’idée et ne considère pas que ça puisse être un vrai métier, mais il me soutient quand même à sa manière.
12) Résumez en une phrase votre parcours :
J’écris depuis l’âge de 8 ans, après des fanfictions d’Harry Potter sur le net à l’adolescence, j’ai étudié deux ans le droit à la Sorbonne, puis en 2015, est sorti mon premier ouvrage « Horrible prophétie ».
13) Lisez-vous, si oui quels genres ?
Oui évidemment ! Philosophie, fantasy, il m’arrive de lire aussi très rarement des romans policiers. Je lis également des livres sur des légendes locales ou sur les mythes nordiques.
14) Ebooks ou livres papiers ?
Papier en force ! Rien ne remplacera l’odeur du livre, la sensation et ce que j’appelle l’objet-livre. Le livre c’est aussi un objet qu’on aime, qu’on emporte avec soi et qui nous appartient. Il y a une intimité entre le livre et nous. C’est du moins ma vision des choses.
15) Votre gourmandise préférée ?  
Religieuse au café. Gâteau au café. Bûche de Noël au café. J’aime beaucoup le chocolat, mais les pâtisseries au café les supassent largement pour moi. Petit faible pour le baba au rhum fait dans la tradition avec crème pâtissière et la demi-cerise confite sur le dessus (malheureusement à Paris ça devient des denrées très rares).
Merci d’avoir répondu à mes questions. Avez-vous quelque chose à ajouter ?
Rien à ajouter si ce n’est un gros merci pour cette interview et pour laisser la parole aux auteurs. En cette période difficile nous en avons bien besoin, donc heureusement qu’il y a des gens comme vous et votre blog. MERCI
Interview#46 Victoria Martin – auteur Découvrons Victoria Martin - auteur, merci d’avoir répondu aux questions !
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kc1155 · 4 years
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AVERTISSEMENT
Cet article Moi, coronavirus et tout le reste parle de VIE.
Des nouvelles sont actualisées aux secondes près sur un événement échappant à notre contrôle et courrant à notre perte de pouvoir.
Sur le fait de choisir nos réactions face à des circonstances et à nos façons de traiter les autres! Cette saison n’est comme aucune autre. Notre esprit, en état d’alerte s’est empreint de nostalgie.
Nous sommes en DISTANCIATION (Aaahh! Un mot très prisée ces dernier temps) Et nous rêvons d‘une vie «d’avant-corona»
Restez où vous-êtes! Affrontons avec optimisme la vie post-pandémique. KC1155 vient vers vous avec un concept négligé à l'heure coronavirale.
L’art de rester zen*
*Pour éviter la ‘mort’ en toute situation, dites : vive la vie!
Ils sont, vont, partent, travaillent
Indifférent à la vie. Séparé du monde. L’homme cherche quelque chose, autre chose. Sauf qu’il ne sait pas trop quoi, ni pourquoi. Cet homme finira par sans cesse pourchasser.
Du moment que lui, cet homme-là, que ce «quelqu’un» ne meurt pas. Pour qu’il puisse goûter au plaisir. Et du moment que seul, ses intérêts comptent.
Loin, de se rendre compte qu’il passera de zombie à un poète de sa propre décadence.
D’abord, il perdra goût à la vie et au final, il perdra LA VIE.
Pour lui, l’enfer… c’est les autres. Hell yeah qu’il sait que le mal existe. Alléluiyah qu’il oublie que le bien l’emporte.
Illusion asservissante. Vision hypnotique. Peur de mourir. Peur de vivre?
No hope?
–Nope! Le temps n’est pas venu pour la venue de notre mort! Le temps est venu pour être vivant.
Qu’on soit notre propre lumière. Qu’on avance dans le noir. Qu’on éclaire notre âme perdue. Qu’on trouve notre lueur suprême.
cr : freeimages
Man with lamp walking illuminating his path
Un temps, une avenue #capacité #entre-êtres #relation
*
Voir ou ne pas voir?
Halte!
À cette force sombre, si épuisante qui finira par nous achever. En nous amenant à aller en fin de vie, pour que enfin, au bout du tunnel, on voit enfin la lumière… mais il sera trop tard.
Cette culture «confiné-canapé» nous a engendré une rupture du quotidien. Ex. perte d’activité, perte de contact social.
Cette récession nous a frappé de plein fouet. Et pour une question de R.E.S.P.E.C.T (vraiment?), on se protège nous… contre les autres.
Qui a réellement fait une prise de conscience ex. conscience des inégalités. Qui n’est pas enfermé dans une prison mentale?
Et là, la peur est né. Peur de la solitude, peur de contracter le virus.
Cette peur par conséquent, si elle est liée à un sentiment d’impuissance ou à un stress aïgu, va nous induire d‘autres peurs.
ex. manquer, frigo vide, être oublié
Nous nous demandons tous CONCRÈTEMENT quand nous viendront à bout de covid-19?
Il paraîtrait que le virus ne disparaîtrait jamais…
—So what?
Tant à entreprendre. Peu de temps pour réaliser des choses. Notre temps est compté. Vaut mieux vivre pleinement!
être ou ne pas être
sérotonine-morphine-dopamine
Pratiquer l’éloignement physique ne signifie pas qu’on ne peut pas être bon vivant, fébrile…
Tel que lorsqu’on se remémore de beaux moments, des dernières saisons. Tel que lorsqu’on enfante l’idée…
—D’ouvrir les portes de la saison estivale!!!
S’habiller pour les jours ensoleillés
S’installer au parc/sur une terrasse
Se promener parmi tulipes & verdures
Flâner, faire du lèche-vitrine
Se réunir et bavarder en bonne compagnie
Faire un 5@7 (bar du quartier, resto favori)
Avoir une conversation animée autour d’un bon repas (bbq)
Festoyer, danser au festival
Tout ça, sous le soleil. J’espère que c’est pour bientôt.
Nous voulons simplement se retrouver, pour discuter de tout coeur, pour parler avec foi, encore une fois. Nous voulons partager de nouvelles expériences et profiter de notre accès à la nature.
Sous le chant des oiseaux, allons accueillir l’été (comme il se le doit).
Moi et ma maîtrise de soi
Menace du système financier mondial, crainte de pénurie et effet domino sur le commerce international et des échanges de biens et services.
Un aria de cafards, une pluie de gourmandises et un nid d’inconforts qui me guettaient, me guettent et me tombe dessus.
Pour tout-le-monde, l’histoire de la pandémie est un test d’humanité. Il a changé-bouleversé-dévasté tous les aspects de ma vie.
Confinement/déconfinement, nul doute que cette transition de mon intimité laissera des séquelles.
Chez les uns, c’est une série de cas de pneumonie atypique et une bataille de l’urgence sanitaire.
Chez les autres, c’est un combat de gestion d’angoisse et une série de cas d’anxiété généralisé, du type sociétal.
Chez moi, c’est une réfléxion de la valeur «dollar plaisir» i.e limite d’achats
Ma conviction? Rester déterminé et m’orienter à devenir maître de moi, de mes sens et de mon corps.
PS. C’est pas facile.
Nous qui sommes habitués à anticiper/prévoir. Est-ce que nous sommes-nous prêt à nous défendre contre une telle maladie/contre une prochaine guerre?
Une chose me préoccuppe et me rend impuissante, c'est la saga des ainées en maison de repos (cas des CHSLD) ainsi que sur le sort des pays en voie de développement.
Le masque
Le masque facial-respiration-protection est devenu un accessoire de mode à part entière, il incarne notamment des histoires de visages cachés.
Je l’ai essayé. Et j’étouffe. Pour moi, de devoir en mettre (ou un foulard, ou un col roulé) à chaque sortie… bof. C’est pas mon truc.
Puis, de faire comme s’il y avait des infectés, partout. Désolé d’avoir à le dire mais je n’y arrive pas non plus.
Êtes-vous pour ou contre l’imposition du désormais «masque social»?
Indispensable, ou à bas les masques? Suis-je anti-patriotique? Hum. Et tombe les masques!
Chouuuuu.
@ Kristian Gavoille
Moi, coronavirus et tout le reste
Tant que je reste moi-même. Que j’ai l’essentiel. Que je m’aime.
L’essentiel, c’est le savoir, la vérité, la conscience. Le reste est superficiel.
-Chemin de transformation vers la perfection-
J’ai perçu cette occasion comme d’un retour sur moi, sur ma destinée. Au lieu de le voir comme d’une privation de liberté. Et d’une possiblité d’affiner mes perceptions.
La vie passent, la vieillesse me capturera, Pourquoi succomber? Et croire que la vie est dure?
-Je suis en vie, je sais qui je suis, je tiens bon- Et j’ai une vision. Que nos vies s’ennoblissent de vagues de zénitude et de symboles d’espoir. Qu’une attitude zen nous habitent de l’aube du matin jusqu’au crépuscule du soir.
Que nous contemplons toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Sans se laisser distraire des constrastes noir/blanc et des nuances grisées. Que nous trouvons que notre vie est belle, après tout.
-Une belle vie, une belle journée-
Où chaque conduite est dirigé vers la beauté de l’esprit. Tout prend un sens nouveau. Nous avons foi en tout : l’humanité, en l’être humain, en nous. Tout se transforme, tout nous inspire, tout est beau.
Et ce qu’il nous reste, c’est l’espérance.
Moi, coronavirus et tout le reste AVERTISSEMENT Cet article Moi, coronavirus et tout le reste parle de VIE. Des nouvelles sont actualisées aux secondes près…
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The Insomnia Saga (pt1)
Sören était un jeune hockeyeur rempli de talent mais qui avait refusé la NHL pour venir s’installer en Corée du Sud et nombreux de ses compatriotes ignoraient pourquoi il avait choisi cette solitude… Fallait-il qu’il soit amoureux ? En effet… Car le jeune homme était tombé amoureux d’une femme exceptionnelle. Certes plus âgée que lui et d’un autre monde mais le géant savait qu’elle l’aimait, surtout quand il voyait son regard pétillant tracer chaque muscle de son torse.
 « Tu vas m’user. » dit-il simplement en enfilant son t-shirt
« Déjà mais tu n’as que 22 ans… » murmura-t-elle en glissant ses mains sous le t-shirt
« Yoona… » Sören serra la mâchoire
« Tu es si jeune, pourtant, tu es tellement courageux…. Tellement gentil avec moi. » Elle enleva le t-shirt  
« Yoona… » Grogna Sören encore
« Si patient … » Ses mains défaisaient sa ceinture « Et si sage. » Elle défit le pantalon qui tomba au sol. « Si puissant et si grand » Le boxer rejoignit le sol « Si beau… » Elle remonta ses mains vers cette mâchoire serré et ce visage qu’elle aimait tant « Si fort… » l’idole vint le débarrasser de ses lunettes puis posa ses mains sur ses hanches « Si doux et pourtant… » elle murmura doucement contre sa peau « Il en faut peu… pour que tu deviennes si sauvage… »
« T’joues avec l’feu » siffla Sören en la soulevant sans effort
« Mais tu aimes ça. » Elle caressa son visage
« Nan. J’t’aime toi. » Sören vint la déposer dans le lit et entreprit de défaire son chemisier « J’suis pas doué avec les mots  de ta langue » il déposa un baiser entre ses seins « mais j’suis certain.. qu’tu sais tout c’que j’pense de toi. » le chemisier rejoignit le sol, comme son soutien-gorge. « T’me rends dingue » Il embrassait maintenant son ventre et vint débarrasser la jeune femme de son jeans, puis de sa culotte.
« Mon Géant. » Elle caressa ses cheveux et l’amena a ses lèvres pour un long baiser.
 L’amour avec le suédois était parfois rude, parfois sauvage, mais cette après-midi, l’amour se fit tout en douceur et toute en lenteur. Yoona se délectait de la douceur de son géant, son corps épousant parfaitement son rythme et ses mains parcourant avec tendresse la puissance du géant. C’est dans un tumulte de plaisir et de soupirs que leur danse se termina, laissant Yoona satisfaite et son géant repus.
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  Elrick regardait la télé et rit en donnant un coup de coude à Ewan. Les deux chanteurs observaient l’écran pour rire légèrement. Ils avaient donc échappé à ça ? Ils regardaient l’écran ou se dessinait les participants de la nouvelle année de Danse avec les Stars US. Des couples du petit écran puis RM de BTS apparut sur l’écran. Il expliquait que ça permettrait au plus grand nombre d’apprendre à connaître la KPOP. Puis il découvrit sa danseuse.
 « Holy cow… » marmonna Namjoon en voyant la sublime femme assise contre le miroir
 Le montage coupa sur la présentation de la danseuse qui se trouvait être Maria Vega. L’une des grandes gagnantes et la première à s’offrir 4 victoires, ayant gagné sa saison, un spécial de Noël, une saison d’All-Stars et une saison All-stars internationale. Elle était aussi l’ancienne meneuse des Pussycat Dolls et connue pour son tempérament sulfureux. Namjoon s’approcha et l’aida à se lever. Maria était plus petite que lui et toutes en courbes. Elle jugea un peu sa posture et roula des yeux quand il n’osa pas poser ses mains sur elle.
 « Dude, relax. » Elle rit un peu « All right let’s get kinky. »
 Elle sortit un grand ruban noir de son sac et vint bander les yeux de Namjoon. Elle sourit un peu et vint le guider doucement guidant ses mains.
 « We’re gonna dance a rumba… you need to touch me…” Maria le guidait et lentement Namjoon se détendait au contact de l’explosive argentine
« Im like not used to not be in control.. » Il marmonnait un peu gêné alors que la sulfureuse latino venait d’enlever son ruban de ses yeux.
« Lemme tell you something i’ve learned from my partner from the international mix-up. I’ve danced with a lovely gentlemen called Jack Lincoln, he taught me that always being in control is a bad thing when it comes to couples dances.” Elle passa une main dans les cheveux de Namjoon et rit légèrement avant de venir lui faire écouter la musique sur laquelle ils allaient danser.
« Blood sweat and tears… » Namjoon sourit a Maria qui sourit un peu
 On les vit ensuite répété d’arrache-pied  quand BTS entra dans la salle et que Namjoon avait Maria sur l’épaule. Namjoon la laissa revenir au sol avec douceur  et sous les yeux impressionnés Maria leur fit découvrir sa chorégraphie sur BST. Jimin était impressionné, J-Hope était sans voix et Taehyung s’étonnait de voir Namjoon à ce point-là se laisser diriger.
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 Hoseok avait quitté le studio avant tout le monde, content que Namjoon fasse une autre semaine dans le programme. Il avançait vers un hôtel, donna un nom de code et reçut sa clef. Il entra dans la chambre et sourit en voyant les pétales. Puis il vit, une sublime blonde, installé dans le lit dans une lingerie noire contrastant avec sa peau diaphane qui l’attendait. Elle décroisa ses jambes très lentement et sourit doucement en voyant le rappeur se mordre la lèvre. Elle se leva et vint le débarrasser de sa veste, puis de sa cravate.
 « Tu vas me rendre fou. » dit-il doucement en embrassant le cou de la belle
« Déjà ? » elle caressa doucement son torse, défaisant chaque bouton
« Ça fait 4 ans. » dit-il doucement en caressant ses cheveux
« Aujourd’hui. » elle le poussa dans le lit et s’assit sur ses genoux. « Aujourd’hui ça fait 4 ans que tu es à moi. »
« Et vice versa. » Il embrassa ses lèvres avec douceur « Tu m’as terriblement manqué Lily. »
« Tu m’as manqué plus. » elle défit son pantalon et sourit doucement « Alors Maria Vega ? »
« Elle est douée mais c’est pas toi. T’es meilleure. » Hoseok avait commencé à défaire la lingerie
« Elle est plus que douée ! » Lily brandit triomphalement la ceinture en riant « Elle a redéfinit le sex-appeal Hoseok, ce n’est pas rien ! » dit-elle
« Je préfère toujours ton sex-appeal » dit-il en faisant tournoyer le soutien-gorge
« Tu n’es pas du tout objectif. » dit Lily en se levant laissant J-Hope lui enlever sa culotte et le débarrassant de son pantalon et de son boxer
« J’assume ne pas l’être, parce que j’ai la perfection à la française. » dit-il en caressant la cuisse de la jeune blonde
« C’est Diana çà. » Lily se mordit la lèvre
« Tu me saoules Valois. » Dit-il en l’attrapant et la plaquant dans le lit « Je t’aime toi. Personne d’autre, je désire que toi, et tu vas hurler mon nom. »
« J’attends que ça. » Lily se mordit la lèvre alors qu’Hoseok vint la faire sienne sans plus tarder.
 Ils avaient toujours eu des préliminaires plutôt étranges, mais leurs ébats étaient toujours aussi puissants. Hoseok usant de ses hanches de danseur chevronné et Lily se fondant contre lui telle la danseuse extraordinaire qu’elle était. Leurs danse sensuelle les emmena jusqu’à l’aube. Aube ou la jeune blonde s’étira tel un félin observant son beau rappeur se rhabiller.
 « Tu vas devoir être très bon acteur ce soir… » dit-elle doucement
« Un bon acteur ? Oh oui… tu seras chez James Corden ce soir… » Il soupira « Eh beh on verra qui de nous deux est le plus doué pour cacher ses sentiments. »
« Tu sais que ce sera moi. » Elle soupira en venant l’embrasser
« Je sais. » Il la serra contre lui et caressa sa joue.
 -
 Ce soir-là chez James Corden, BTS et Super M observa les 3 femmes assises en face d’eux. Il y avait Morganna Holmes, la révélation de la chanson et chanteuse assez talentueuse, Lily Valois,  une chanteuse de broadway et danseuse extraordinaire, puis Malia Hart, la batteuse du groupe de JUMP et un pilier légendaire des femmes dans le rock.  On posa quelques questions simple quand James se leva.
 « You’re all three from differen countries. But like Morganna and Malia always spoke English, Lily you’re French… so we asked Twitter what would be a classical French song. A go-to karaoke song !” dit James fièrement.
 Lily dans sa tenue sa combinaison fleurie s’approcha de l’écran et explosa de rire, elle s’étira un peu et tapota l’épaule de James avec le sourire.
 « That’s trolling. La tribu de Dana maybe a classic amongst my generation, but it’s not like classic french variety.” Elle rit légèrement “Oh my god… Tryo. Yeah they went all the way for the trolling here. Either you want a real classic or I’ll be rapping I guess.”
“Let’s hear her majesty rap !” dit Morganna “Give it to the trolls and be a French troll.”
“Here goes nothing” Lily rit en commençant à rapper le premier couplet la tribu de Dana avec un énorme sourire arrivée au refrain. « And that’s it… »
« I have a question”  fit Ten “Aren’t you like a broadway artist, why don’t you sing a classical French musical song ?”
“Ohhh there’s plenty.” Dit Malia “ I wanna here ya sing something from Notre Dame”
“I would die for a Starmania song” dit Morganna
“I ain’t singing those.” Dit-elle en riant “That’s my mom’s generation” Elle s’étira et commença à chanter ‘Être à la Hauteur’ du Roi Soleil et elle s’inclina en riant
« Smooth. » nota Malia en riant
« Héhé. » Lily s’assit dans le canapé en regardant James « That’s a song from a Musical about the King Louis XIV… hence the smooth from Malia »
“OOOh yeah smooth.” James rit un peu “For those who don’t know, Lily plays a French spy under Louis XIV in the new Netflix hit. Oh apparently Taemin is a big fan !”
 Lily rit un peu et vint serrer la main à Taemin alors que Hoseok serrait un peu plus la mâchoire. Mark eut un grand moment de solitude quand Ten l’afficha devant sa légende et Namjoon ronchonna en disant que Maria le faisait souffrir, mais que dans le fond il aimait ça…
 Morganna regardait son téléphone à la fin de la soirée et sourit… bientôt…
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jbrasseul · 5 years
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Lisbonne dans les années 1950, vue par Botelho, en bas à l’est de la Place du Commerce, en haut à l’ouest jusqu’à Belem
Le Tage est amant de Lisbonne. Amant jaloux, car il est partout. Dès qu’on s’accoude à une fenêtre, à la rampe d’un mirador, On le découvre, à deux pas, et ses poissonnières, pour qu’on ne l’oublie pas, Vont jusqu’au fond des plus lointains quartiers porter dans leur panier sa robuste haleine. Amant violent, car il eut des colères, mais tendre, car il baigne longuement les quais, les places, et devant le Terreiro do Paço, où la ville se met au balcon, il s’attarde et, pour crâner, fait croire qu’il est la mer. Amant généreux, car il a offert à Lisbonne une fortune : un des plus beaux ports d’Europe. Amant délicat, car il a orné sa rive de palais et d’églises, de jardins et de fontaines. Amant fidèle enfin, car lorsqu’il a perdu Lisbonne il va, inconsolable, se jeter dans la mer.
Catherine Domain a ouvert dans l’île Saint-Louis à Paris une librairie de voyages qui est rapidement devenue un lieu culte, c’est la librairie Ulysse. L’été, c’est une annexe, une autre librairie Ulysse, à Hendaye, sur la plage, devant les vagues et les surfeurs, qui ouvre ses portes, un cadre étonnant, le dernier endroit qu’on s’attendrait à trouver là, entre les restaurants, les écoles de surfeurs et les boutiques de souvenirs/bouées/parasols/cartes postales, mais où on reste à fureter et dont on ne peut sortir sans quelques livres sous le bras… Une véritable mine de livres rares, autour du monde, de tous les pays du monde.
C’est ici qu’un livre sur le Portugal, de 1950, à une époque où aucun pont ne traversait le Tage, non pas un guide touristique, mais un livre sur l’histoire, les arts, la culture, les provinces, les mœurs, etc., coincé au fond des rayons, me tombe dans les mains, pour un prix modique, en parfait état, écrit dans un style éblouissant, tout au long de ses 440 pages remplies d’illustrations. Un côté suranné, d’un Portugal d’autrefois, qui a bien changé depuis, surtout de façon extérieure, car le peuple et sa culture sont les mêmes. Il s’agit des éditions Odé, spécialisée dans les livres de voyage.
Les auteurs des textes sont Doré Ogrizek, Suzanne Chantal et son mari, José Augusto dos Santos. Le premier est un auteur mystérieux, dont les initiales inversées on donné le nom de l’édition, la seconde est beaucoup plus connue, comme journaliste, auteur de romans, dans l’après-guerre, notamment une grande saga sur la région de Porto, sur deux siècles, de l’invasion napoléonienne aux années 1960.
Catherine Domain dans Le Monde. A France Inter. Vidéos sur le site de la librairie.
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Un extrait du livre, Estoril et Cascais en 1950, “entre Copacabana et Deauville”. Pour donner une idée de la façon dont on écrivait encore à cette époque…
L’esplanade qui descend du Casino d’Estoril jusqu’aux Arcades est un tapis de fleurs éclatantes : sauges, canas flamboyants, pavots cornus, dessinant des mosaïques sur fond de gazon. Des géraniums roses grimpent au tronc velu des palmiers. Des automobiles allongées comme des cigares glissent sur le gravier crissant, où flânent des joueurs de tennis en flanelle blanche, des femmes en short, des caniches pomponnés. Il y a toujours foule au bar du Palace Hôtel et à la terrasse des tamaris qui domine la plage, croissant de sable peigné au peigne fin, fleuri de parasols, jonché de jolies étrangères un peu surprise que la police interdit les maillots deux-pièces et les slips. Des vélos nautiques font mousser les petites vagues indisciplinées qui déferlent sans violence sur les rochers plats. On apporte des boissons glacées aux dames qui se dorent, étendues sur des chaises longues. On potine languissamment. Le train électrique, qui vient de Lisbonne en vingt minutes, amène les maris que leurs affaires obligent à aller en ville tous les jours, des curieux, des amis venus dire bonjour, et que l’on retient pour dîner. Les soirées sont d’une suavité de miel. A la vérité, les grands hôtels et surtout le casino, construits hâtivement et à une assez mauvaise époque, alors que la fondation d’Estoril apparaissait comme une folie, ne sont pas d’un style excellent, mais sont très assidûment et élégamment fréquentés. On s’habille beaucoup car les nuits sont brillantes, illustrées de galas, de fêtes de charité, avec l’animation jamais ralentie des salons de jeux. Estoril est l’étape fleurie entre Cobacabana dont elle a le rivage lumineux et Deauville avec qui elle peut rivaliser par l’éclat de sa clientèle. Vedettes d’Hollywood, milliardaires des deux Amériques, rois et princes en exil, se croisent dans les allées de palmiers et sur les pistes de danse du Wonder Bar.
On fait à Estoril de l’équitation (un des sports les plus en faveur), du tennis, des régates sur la côte, et le golf est admirable, entre les vastes pinèdes qui autrefois glissaient comme une chevelure des contreforts de la Serra jusqu’à la mer, et où l’on a taillé les parcs de milliers de villas, luxueuses et presque toutes ravissantes, qui ont pris d’assaut les collines d’alentour, jusqu’à Monte Estoril, bouquet capiteux de tamariniers, de bambous, de pins parasols, avec des terrasses, des balcons, des murailles ruisselant d’héliotropes, de bougainvilliers et de clématites à plumets.
Les hivers d’Estoril sont extraordinairement doux, plus tièdes que ceux de la riviera italienne ou française. Il arrive souvent qu’il pleut ou bruine à Lisbonne et que le ciel d’Estoril soit radieux, nuages et brouillard se déchirant comme un manteau gris pour que le soleil baigne à flot sa terre d’élection. On peut reprocher à l’endroit d’être snob, mais c’est pour beaucoup un charme de plus. Ceux qui préfèrent le pittoresque à la mondanité n’ont qu’un bout de route à faire pour arriver à Cascais, avec sa jolie baie incurvée que dominent un cap rocheux et la forteresse où D. Diogo de Meneses résista au duc d’Albe et fut pour cela décapité. Rose au milieu d’une rugueuse enceinte de remparts gris, le palais de Cascais a été la résidence favorite du président Carmona.
Cascais ne fut longtemps qu’un village de pêcheurs. Les estivants, les peintres, l’ont découverte, et les villas ont foisonné, un peu au hasard. Beaucoup de maisonnettes de sardiniers ont été aménagées et ouvrent au ras de l’eau des baies ourlées de pélargoniums et de chintz glacé. Mais la plupart des gens de Cascais ont continué à vivre dans leurs maisons basses, en enfilade au long des rues raboteuses qui vont vers la mer. Chaque jour les barques sortent, ramènent au soir tombant de pleins filets de soles, de daurades, de calmars qu’on vend à la nuitée sur de grands étals en plein vent, sous la lumière crue des lampes électriques. Parfois des dames en robe du soir s’arrêtent, car le spectacle est animé, par les belles nuits, avec les pêcheurs en chemise de laine, les poissonnières aux gestes prompts, le glissant scintillement des écailles, et les pantelants soubresauts des grands turbots qu’on dépèce au couteau.
Estoril a l’apanage des banquets d’apparat, mais c’est à Cascais qu’on organise les déjeuners gourmands, de crustacés et de poisson grillé, les goûters merveilleux, à base de sucreries de coing, d’amandes, de gâteaux fourrés.
La messe du dimanche mêle les deux populations de Cascais, femmes du peuple et dames de la ville, la tête pareillement couverte du châle de dentelle noire. La petite église de l’Ascenção contient quatre primitifs attribués à Gregorio Lopes et inspirés par la vie de la Vierge. On la visite moins que la Bouche de l’Enfer, sur la route de corniche qui domine de vingt mètres la mer, et où s’ouvre une entaille profonde où les vagues s’engouffrent en mugissant, jetant par gros temps des gerbes d’écume qui jaillissent comme des geysers. Le site est grandiose, d’une beauté angoissante. On y compta de nombreux suicides, généralement passionnels.
Ode au Tage Lisbonne dans les années 1950, vue par Botelho, en bas à l'est de la Place du Commerce, en haut à l'ouest jusqu'à Belem…
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ayurawako · 5 years
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Télécharger Livres PDF Gratuitement Des mots et des livres. Romans en temps de guerre #ebook #livrePDF #livret #coursesEnVrac
Éric Giacometti et Jacques Ravenne nous entraînent avec le second volet de la saga du « Soleil Noir » à la recherche de la troisième Swastika, une croix gammée antique aux pouvoirs mystérieux (Photo J ... source https://kennelrealscoop.com#690e9d9a3c25b30de6612dc61189d5b9
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