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#que faut-il faire pour passer en radio
perduedansmatete · 1 year
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ce matin je me suis réveillée dans le coltard pour aller faire une radio mais une fois sur la machine en culotte la meuf m'a dit que je pouvais pas la passer parce que parole contre parole elle pouvait pas vérifier que j'étais pas enceinte et gnagnagna donc je suis rentrée j'ai phasé jusqu'à l'heure du déjeuner mais j'avais pas l'énergie de cuisiner donc j'ai juste mangé du houmous ensuite j'ai fait des boucles d'oreilles au lieu de préparer mon intervention de l'après-midi parce qu'on m'avait vraiment donné zéro information et que de toute façon je préférais mes bijoux mais bon je me suis quand même bougée une fois arrivée à la gare en short et crop top évidemment il s'est mis à pleuvoir des cordes et une baston a éclaté, au final mon intervention s'est super bien passée je m'étonne de jour en jour puis je suis retournée vers paris retrouver mes darons et ma sœur dans un bar avant d'aller à un concert dans notre bar pref, le videur à l'entrée nous a demandé si c'était nos parents j'ai dit "oui on les sort" il a rigolé et je crois que c'est d'ailleurs lui qui m'avait porté quand j'étais en crise d'angoisse et que je faisais que vomir, une fois rentrés c'était bizarre on leur a fait un room tour et c'était drôle de les voir là où tant de méfaits ont eu lieu ces dernières années mais c'était cool le concert qu'on voulait voir était vraiment trop bien puis on s'est fait un pote qui s'appelle coco car on étaient les seuls à avoir des éventails pour se faire du vent on a dansé ensemble et il a trop rigolé quand il a vu qu'on avait emmené nos parents j'espère le revoir même si:
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et maintenant je bois une tisane au thym et au miel dans ma meilleure tasse snoopy parce que je suis (encore) malade, que j'ai trop crié et qu'il me faut de la voix pour demain même si je sais pas encore où je sors
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claudehenrion · 5 months
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Ratages, actes manqués et coups pour rien en vrac …
Pour un raté, c'est un raté ! L'occasion, pourtant, était belle : ce n'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de remplacer une technocrate de Gauche par un technocrate... de Gauche mais prêt à se parer de plumes qui voudraient le faire passer pour 'un technocrate de Droite (... si seulement cette dernière espèce était connue comme pouvant exister... Un ''techno'' de Droite ne pourrait être, si l'espèce était possible, qu'un ''techno'' de Gauche qui se dit à Droite... le temps d'une nomination à Matignon !).
On se demande comment nos irresponsables promus à des postes trop grands pour leur petitesse peuvent aussi peu apprendre de leurs échecs ! C'est le mot ''pitoyable'' qui s'impose, car à chaque fois, c'est la même absence totale d'intelligence (au sens étymologique du mot : ''inter legere'' = lire entre les lignes !) qui nous est ressortie comme justification de ces mauvaises actions et même comme ultima ratio (qui voulait dire ''force'' en latin mais est désormais équivalent de faiblesse et de suivisme). Si j'étais provocateur –ce qui n'est pas du tout mon genre, les lecteurs de ce Blog le savent bien !-- je dirais qu'il est difficile d'accumuler plus d'insultes au bon sens... Et encore, au moment où j'écris ces mots, tout n'est pas encore dit, et de nouvelles aberrations peuvent encore surgir dans ce non-dit qui... ne devrait pas être poursuivi, quoi qu'il en coûte (''Couac il en coûte'', répète l'écho, de radio en radio !).
D'abord et avant tout, cette bêtise chronique (tellement dans l'air du temps !) qui consiste à nommer la moitié (pile ! Pas à un ou deux près, non : ce serait gravement insulter la connerie ambiante : ce doit être ''à la virgule près'', si on peut dire !) des ministricules qui devraient être en charge de notre présent, de notre futur et de notre destin, non pas au vu de leurs mérites ou de leur expérience, mais parce que ce sont des femmes... qui, choisies sur ce seul critère, resteront anonymes à vie. Où nos cuistres ont-ils été dégoter une telle c… stupidité et un tel mépris, à la fois pour les femmes et pour la mission-à-accomplir ? ''Je te nomme Ministre de ceci ou cela (peu importe : les nuls, c'est interchangeable !) au nom d'une égalité exclusivement numérique entre les sexes, pas du tout parce que tu es intelligente, expérimentée, capable, sage ou judicieuse''. C'est atroce ! Il faut être ''de Gauche'' pour oser affirmer publiquement un tel mépris de l'individu !
Ensuite, cette autre bêtise, mélange d'abus de pouvoirs et de népotisme corrupteur, qui consiste à ne se recruter que ''entre soi'' : en Macronie, les ministrables sont tous bâtis sur le même modèle d'adolescents prolongés, maigriouches (on disait, en d'autres temps, des ''mistourinets''), trop serrés dans des pantalons trop serrés aussi, sous la même coiffure, et depuis peu avec une tendance aux rouflaquettes, signe d'appartenance aussi inesthétique que manquant de classe : ils ont beau faire et dire, cintrés dans leurs petits costumes de cachemire à des prix indéfendables et arborant sans le moindre chic leurs petites cravates unies de présentateurs-télé, ils n'arrivent pas à faire autre chose que ''cheap'' (= bas de gamme) : n'est pas le Duc d'Edimbourg qui veut, et comme le rappelle un proverbe britannique, ''It takes three generations to make a grntleman'' (Devenir un ''gentleman'' prend 3 générations).
Ils sont tous parisiens, sortis des mêmes lycées –privés pour la plupart : on est républicain et laïc... ou on ne l'est pas, dit même une néo-ministre ! Et, vrai ou faux, il se disent ''sorti du peuple'' : le snobisme de la fausse basse extraction est un must, chez ces gens là, Madame !). Ils ont fait les mêmes études (Science Pipeau pour les moins atteints, l'ENA pour les plus nocifs, et même Polytechnique, quand d'autres petits marquis, poudrés et manucurés aussi, ont refusé la nomination de Catherine Vautrin à Matignon). Ils emploient les mêmes mots pour enfiler les mêmes clichés, les mêmes truismes, les mêmes lieux communs, les mêmes ''non-dits'', les mêmes concepts foireux (exemple : l'absurde ''les territoires'' pour désigner... ce qui ne vaut pas la peine de l'être, à leurs yeux), les mêmes solutions foireuses, puisque puisées à Gauche et qui n'ont donc, de notoriété publique, jamais marché nulle part... et les mêmes mensonges sur les vrais problèmes (covid, réchauffement dû à l'homme, voitures électriques, immigration, sécurité, islam, délinquance, etc... : la liste est connue, de leurs dénis de toute réalité !)... Et le plus rigolo de cette farce carnavalesque est que la ''surprise du Chef'' (et du jour), Rachida Dati, trouve parfaitement sa place dans cette course au mimétisme morpho-dimensionnel et homochrome..., son joli minois en prime.
Le seul avantage de ce lamentable état de fait (qui est aussi étriqué que leurs petits bustes sans épaisseur de pauvres petits premiers de la classe, et aussi mince que les petites guibolles de ces éternels puceaux en tout, qui n'ont jamais eu le temps de faire du sport ou de courir après des filles de leur âge), c'est qu'ils se comprennent entre eux (ils sont bien les seuls !)... encore que, le temps passant, on soit en droit de se demander si ce petit avantage ne cacherait pas d'immenses catastrophes potentielles : entre eux et les gens normaux, l'incommunicabilité est de définition ET de construction, ce qui explique d'ailleurs la profondeur du gouffre qui les sépare du reste de l'humanité, qui a droit à leur mépris et à une haine inexpiable qui va les vouer à toutes les tortures et ponctions, gabelles, dîmes et corvées dont est capable notre administration anthropophage... Mais, que voulez-vous, il se dit à voix ''bass'' que le Boss aime avoir des ''biss'' autour de lui, par ''buss'' entiers...
Politiquement, et à n'en juger que par l'absence catastrophique de résultats ''allant dans le bon sens'', tout ce que l'on voit, lit, perçoit et entend tendrait à démontrer qu'ils se foutent comme d'une guigne de la Nation, de son Histoire, de son ''avoir été'' et de son devenir : ils sont engagés dans un sprint échevelé --bien que ''toujours bien coiffés'', sans qu'un seul des petits poils hésitants de leur virilité immature (faute de temps, d'occasions, voire d'envies !) ne dépasse--, vers l'unique horizon d'un dystopique ''gouvernement mondial'' qui écraserait les pays, les romans nationaux, les langues, les accents, les us et les coutumes, au profit d'un affreux et inesthétique boulgi-boulga qu'ils croient être de l'anglais (dans une version ''aéroports internationaux'' et ''palaces normalisés de Dubaï ou Davos'' dans le style Hyatt, Westin ou Four Seasons...).
Et c'est là que tout se corse : pour assurer, le plus vite possible, le triomphe de leur idéologie garantie mortelle pour l'humanité, ce rêve pourri (qui est le cauchemar des autres humains !) d'une ''mondialisation heureuse'' (sous-entendu : ''pour eux seuls'' !), quel chemin pourrait être plus rapide que celui qui implique (via des Clubs fermés, des Sociétés secrètes, des Fraternités tapies et des Fondations tournées vers leur seul nombril – ''J'ai les noms !'', aurait ajouté Coluche !) leur maintien ininterrompu au Pouvoir ? Aucun, bien évidemment... d'où qu'ils aient inventé des concepts aussi avariés que ceux de ''Fake news'', ''conspirationniste'', ''complotiste'', ou ''d'extrême droitisme présupposé par système''… et pondu des lois aussi pernicieuses, aussi liberticides, et aussi vicelardes que celles qui vont contre tout ce qui pourrait être souhaité par leurs victimes !
Leur définition secrète de ''complotiste'', m'a glissé récemment dans le creux de l'oreille un membre éminent des ''milieux généralement bien informés'' --ça aussi, c'est du Coluche !-- , est : ''ce que je n'aime pas qu'on dise ou qu'on pense''. Et la seule action positive dont ils sont capables, c'est la chasse au Rassemblement national ! Nous sommes partis de l'échec à venir de ce gouvernement ''Macron IV ou V'' (car, si j'ai bien compris, il n'a quasiment rien d'Attal... sauf peut-être de ''passer ses journées'' au Quai d'Orsay, si j'ose,... mais ce n'est même pas sûr !)... et notre conclusion reprendra le même sujet : quand un soi-disant ''gouvernement'' n'a pour seule feuille de route que ''emmerder Bardella''... on comprend ce qu'il faut en attendre... Les français l'ont tout de suite compris. Seule inconnue : ''c'est quand, que ce joujou s'effondre ?''.
H-Cl.
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grompf3 · 10 months
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"Mais c'est que les femmes sont aliénées !"
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Une petite anecdote sur le féminisme.
Ou plutôt une certaine conception du féminisme.
Un souvenir qui remonte à pas mal d'années. C'était le soir, j'étais dans ma bagnole, et j'écoutais Forum, une émission d'actualités et de débats sur la RTS (radio publique suisse).
Une politicienne genevoise, située à gauche de la gauche et connue pour son engagement féministe, était interviewée.
Cette politicienne, qui venait de se prendre une veste à une élection (élection au Grand Conseil, le parlement cantonal, si ma mémoire est bonne), parlait en mode "LES femmes veulent ceci", "LES femmes demandent cela".
Et la journaliste lui a posé une question.
Une question toute bête, du genre : "Mais comment expliquez-vous qu'il n'y ait pas plus de femmes qui vous suivent ?" (ou "qui vous soutiennent ?").
La question est pas conne, hein. Une politicienne passe à la radio, ne dit pas "je suis d'avis que" ou "selon moi, il faut", mais, systématiquement, "LES femmes veulent ceci", "LES femmes demandent cela".
Et, visiblement, il n'y avait pas tant de femmes que ça pour lui accorder leur bulletin de vote, à elle et à son parti.
Qu'a répondu notre brave politicienne ?
"MAIS C'EST QUE LES FEMMES SONT ALIÉNÉES !"
"Aliénées"
Voilà
Alors, oui, je sais que "aliénée", ça ne veut pas dire ici "bonne à se faire enfermer dans un asile".
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S'il y a des amateurs ou amatrices de philo qui veulent en profiter pour développer sous ce billet (ou ailleurs sur les RS), pas de souci.
Moi je ne vais pas m'improviser expert du domaine et je vais juste vous renvoyer vers Wikipedia.
Mais moi c'est l'absence de nuance et de doute, l'immédiateté de la réponse, qui m'avait frappé. Et tout cette logique qu'il y a derrière.
"M'asseoir sur un tabouret 5 minutes pour réfléchir et me demander comment ça se fait que ces femmes, au nom des quelles je prétends parler, n'en ait majoritairement pas grand chose à foutre de mes discours ? Hors de question ! Elles sont aliénées. Point."
J'y ai souvent pensé depuis que je suis sur les RS. Parce que dans la vraie vie, je rencontre pas ça.
Je dois venir traîner sur les RS pour voir passer certains discours. Pourtant, je bosse dans le social, en institution, dans un milieu majoritairement féminin et où je dirais qu'il y a une sensibilité "de gauche" assez marquée.
Je ne suis pas un golden boy à Wall Street, hein.
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Ce côté que se donnent certaines personnes pour parler au nom d'un groupe social, en mode "moi je suis éveillée, moi je sais, les autres sont aliénées", ça fait bcp de bruit, ça prend bcp de place.
Et surtout ça bloque tout.
"Pas question de perdre 5 minutes à dialoguer avec une de ces personnes au nom desquelles je prétends parler. Elles sont aliénées."
Je vais pas repartager des screens ici, mais je pense que plusieurs d'entre vous ont vu divers exemples, sur les RS, de ce qu'il se passe parfois avec ça.
Quand une de ces personnes, qui prétend exprimer la volonté DES femmes s'en prend à un mec, c'est facile : on balance l'accusation de "masculinisme toxique" (ou un truc du genre), et, éventuellement, on remet une couche sur le thème du "refus de remettre en cause le patriarcat".
Mais quand c'est une meuf la cible, c'est pas fondamentalement plus compliquée. Parce que la meuf qui s'accorde le droit de pas être d'accord, elle se retrouvera classée dans cette catégorie infamante, quelque part entre la trahison et la bêtise pure.
Alors vous aviez peut-être vu passer ces histoires de recours à des appellations de type "token meuf."
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Il y a aussi tout le discours sur "On sait bien que dans toutes les catégories d'oppressés il y a des individus qui se mettent du côté des oppresseurs."
Une fois (ça remonte à 2 bonnes années), j'avais même vu passer une de ces personnes qui, face à une interlocutrice qui exprimait son désaccord, s'était contentée de répliquer un truc du genre "ce que j'ai voulu dire était plus subtil, vous ne pouvez pas comprendre".
Vraiment la réplique bien hautaine, pour bien faire piger que l'autre n'avait pas le niveau.
Imaginez une seconde, que, moi, Grompf, je réplique un truc comme ça à une meuf.
Sérieusement, essayez d'imaginer ce que ça déclencherait.
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Je serais bon pour la damnation éternelle ! Mon cas serais réglé, j'irais brûler en enfer.
Mais là, non. Ça passe. C'est fait au nom du "féminisme". Alors c'est bon.
"MAIS C'EST QUE LES FEMMES SONT ALIÉNÉES !"
J'y repense parfois.
Elle est bien pratique cette logique, hein. Le mec qui me contredit est un horrible machiste. La nana qui me contredit est une aliénée.
Pas besoin de se creuser la tête
Pas besoin d'écouter.
Facile.
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kiala-story · 1 year
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• Ils voient ou apprennent que tu as des (béquilles/platres/attelles) •
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Mention : Blessure - Vulgarité - Violence - Agression - Sang
Personnage : Mikey - Taiju - Koko - inupi - Sanzu - Kakuchô
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Mikey :
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Tout ce passais très bien de ton côté malheureusement durant un cours de sport de la course plus précocement tu te tord violemment la cheville.
Une douleur presque insupportable te viens puis te donne de violent vertige et des nausées, ton prof décide d'appeler les urgences qui n'ont pas tarder à arriver.
D'après eux tu aurais une violente entorse à la cheville et tu vas avoir une attelle et des béquilles pendant quelques temps.
Ne voulant pas inquiété ton petit copain tu décides de ne pas le prévenir.
Tu voulais sortir, mais il devais y avoir quelqu'un de ton entourage qui vienne signé une fiche de départ à l'accueil...
Donc tu as trouver un très bon plan. Une de t'es amies de ton lycée paressais assez vieille pour son âge ça pouvais être excellent pour berné les médecins.
Meuf, il faut que tu vienne a l'hôpital et signé pour moi ! Prétend être ma grande soeur je t'en supplie !
Très bien ! J'arrive dans quelques minutes, laisse moi le temps de bien me préparé pour passer a l'acte !
Merci beaucoup je te revaudrais ça !
Les minutes passent et un médecin viens vers toi te disant que une ma prétendu grande soeur était venu me chercher et signé la la fiche de départ.
Nous partons de l'hôpital et remercie infiniment mon amie de mettre venu en aide, elle me laisse monter sur son dos afin qu'elle me ramène chez moi sans que je m'épuise trop.
Elle me dépose devant la porte puis repars de son côté, je la remercie encore une fois avant de rentrer à la maison
"Je suis de retour Mikey !" Dis-tu essoufflé malgré les quelque mètres que tu as fait du portail a la porte d'entré.
"Y/N tu rentre ta...." Il a pu finir sa phrase qu'il se précipite vers toi voyant ton état inquiétant.
Son regard deviens très sérieux te regardant de haut en bas.
"Qui t'a fait cela Y/N dis le moi." Dit-il tremblant de colère.
"Alors attention, c'est une dinguerie ! Je me suis tordu la cheville comme une conne sur la piste de course au lycée !" Rigolas tu essayant d'apaiser l'atmosphère tendu qui régnait.
Mikey tomba au sol soulagé que tu ne te sois pas fait agressé par sa faute. Tu le rassure comme tu peux, tu voulais allez au canapé.
Cela dit il ne te laisse pas le temps de poser une béquille qu'il te porte doucement pour t'y dépose soigneusement.
"Je vais m'occuper de tout ! Toi reposé toi un maximum." Dis ton copain t'embrassant ton front
Pendant tout le long de ta convalescence Mikey était au petit soins a t'es côtés. Il faisais tout même a manger...
Bon par moment tu lui disais que des ramens en pots était très bien aussi...
Au moins c'était mangeable et la maison ne brulerais pas pour la énième fois.
Taiju :
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C'est arrivé si soudainement que cela te perturbe encore.
Assise sur une chaise entouré de murs blanc avec une grosse machine examinant ton bras droit.
Celui-ci était devenu bleu, violet et je ne sais quel couleur...
Une infirmière me ramène dans une autre salle d'attente pour attendre mes résultats de radio, ce qui pour moi vue la couleur de mon avant bras était cassé.
T'avais réussi à reposer ton bras sans réellement te faire mal avec une grand écharpe épaisse.
Un médecin fini par t'appeler au bout de 15 minutes d'attente pour t'annoncer que ton bras etait bel et bien casser «merci de l'info» mais également que tu portes un gros plâtre pendant quelque temps afin qu'il cicatrise.
Ton plâtre installé sur ton bras, t'essaie de le lever avec une grande difficulté car celui-ci pesais son poids.
Tu signe la fiche car étant majeur tu le pouvais, tu repars en direction de la maison de ton petit ami Taiju qui lui ne sais absolument rien de ce qui ce passe.
Devant la porte d'entré, tu soupires profondément imaginant déjà sa réaction excessive.
Tu entres le voyant au fourneau préparent le repas de ce soir, il te vois, lâchant tout ce qu'il fessais pour venir a tes côtés et examinant ton bras plâtré
"Que c'est t'il passer Y/N ! Qui t'a fais ça ?!" Dit-il rouge de colère.
"Tout va bien Taiju ! Je me suis fait ça en tombant tout a l'heure, j'ai placer mon bras dans un mauvais sens et voilà ce qui ce passe." Dis-tu le rassurant.
Sa colère passe au fur et à mesure du temps, tu vas sur le canapé pour te détendre un peu, ton copain te rapporte un anti-douleur pour calmer ta blessure.
"Ne fait pas trop d'effort ok?" Dit-il t'embrassant les lèvres tendrement.
"Une vrai maman poule !" Cris-tu presque faisant rire ton copain réparti dans la cuisine.
Les semaines passaient ton bras était toujours plâtré mais tu allais un peu mieux. Donc avec les moyens du bord tu essayais d'aider un maximum Taiju dans ses tâches a la maison.
Mais tu finissais plus souvent à rien faire qu'autre chose, car ton copain ne voulais pas que tu fasses quoi que ce sois.
Kokonoi :
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Si je vous dis attelle ? Vous pensez entorse ? Foulure ?
C'est malheureusement aujourd'hui que tu vas faire un tour à l'hôpital pour une raison simple, t'es doigts se sont coincés dans ta porte d'entrée avant de partir pour les cours.
Ta porte à un côté aimanté...
Donc quand elle est pas loin de ce fermé elle ce claque immédiatement emprisonnant ton doigt au passage.
Imagine juste l'état de ton doigt après ce choc.
Pas loin de tomber dans les pommes a cause du visuel du doigt et de la douleur, tu réussis par miracle a appeler les urgences pour cela.
Ils arrivent en l'espace de 5 minutes chez toi, tu était assise a l'intérieur de chez toi porte ouverte impossible de te relever a cause des vertiges.
Les médecins viennent vers toi et te procure les premiers soins, il t'emmène au urgence pour examiner ton membre touché.
Résultat des courses une belle fracture de l'index.
Obliger de coller ton index et majeur ensemble dans une attelle pour immobilisé le doigt le temps de la guérison qui d'après le médecin sera longue vue l'état de celui-ci.
Remerciant le médecin, tu t'apprêtes à partir quand tu reçois un appel de ton copain. Tu décroche directement.
"Hey, bébé, dit moi a quel heure tu quitte je viendrais te chercher devant ton lycée." Dit-il a l'autre bout du fil.
"Oh bébé, je ne serais pas en cours aujourd'hui, j'ai eu... Comment dire... Un petit accrochage avec doigt ahah" rigole tu ironiquement en regardant ton doigt.
Son ton deviens très inquiet a l'autre bout du téléphone
"Attends quoi? Comment ça ? Que c'est t'il passer ?!" Criat-il éloignant légèrement ton téléphone de ton oreille afin que t'es tympans ne saigne pas.
"Doucement ! Ce n'est rien.. En sortant de chez moi ce matin ma porte c'est refermé prenant mon doigt avec, mais ça va il est fracturé mais je m'en tire bien j'ai pas d'amputation !" Dis-tu soulagé.
"ENCORE HEUREUX !" Criat-il mort d'inquiétude, éloignant encore une fois t'es oreilles de cette violente monter de volume.
"Bon j'arrive ! Bouge pas !" Il raccroche après cet affirmation.
Tu attends alors devant l'hôpital son arrivé. Quelques minutes passent et tu le vois courir vers toi se jetant dans t'es bras vérifiant bien avant que ton doigt ne sois pas impacter avec son arrivé soudain.
"Tu vas bien t'es sur ? Il y a rien d'autre ?" S'inquiète t'il de nouveau examinant le reste de ton corps avec précaution.
"Non Koko ne t'en fait pas j'ai juste eu mon doigt dans cette accident. Rien de plus." Le rassures tu
Il souffle de soulagement et d'épuisement a dû à sa course acharné pour venir te rejoindre.
Tout le jours de ta guérison il sera a t'es côtés pour t'aider, si tu l'appel a 6h du matin pour un service il viendra sans broncher.
Il ferais tout pour toi sache le.
Inupi :
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Se faire rentre dedans par une voiture en sortant d'une longue journée bien pourri...
Il ne manquait plus que ça pour mettre un point final à tout ce bazare.
Tu finis bien évidemment a l'hôpital après les appels de nombreux temoin de la scène.
Par chance tu n'as aucune fracture, mais ta jambe droite a été légèrement brûlé suite à la chute et le frottement du béton malgré la combinaison.
Dans la chambre d'hôpital tu vois l'état de ta jambe brûlé, tu essaya de la bouger car finalement elle n'était pas casser.
Beaucoup trop douloureuse.. tu grimaça, tu arrêtes de te torturer.
Le médecin entre annonçant que t'es ligaments on été touché a cause de l'accident et qu'une attelle serais le mieux pour maintenant ta jambe sans trop forcer dessus.
Il la pose, tu teste pour vérifier si tu arrive à bien marcher ne serais-ce qu'un minimum avec.
Suite à ça il te laisse repartir avec l'attelle qui te paralyse toute ta jambe droite.
Tu envoie un message à ton copain lui indiquant que ce soir tu venais pas car tu as eu un accident.
Immédiatement un appel s'en suit.
"Allô ? Oui ne t'inquiète-.... Heu d'accord..." Tu raccrocha te laissant perplexe du coup de fil.
Chez toi tu te pose sur ton canapé soupirant d'exaspération.
La porte fini par s'ouvrir subitement laissant apparaitre ton petit ami paniqué, il s'approche de toi s'accroupit devant ta personne voyant ton attelle accrocher a ta jambe.
"T'es sûr que tout va bien ?" Dit-il te regardant, ses yeux humide.
"Bébé tu ne vas pas pleurer quand même ? Je vais bien regarde ! Je m'en tire bien !" Souris-tu agitant t'es bras en l'air pour montrer que tu n'as rien d'autre de grave, tu embrasse son front pour le calmer un bon coup.
"Je suis soulagé... Tellement soulagé.." plaçant sa tête dans ton cou.
Il ne te laissera pas toute seul tant que tu auras l'attelle, il fera tout pour t'aider. Il tien beaucoup trop à toi
Sanzu :
La jalousie emmène vraiment les gens dans l'extrême quitte à blesser une personne gravement.
En rentrant de la fac tu tombe sur un groupe de 3 filles habillé toutes en tenu sombre.
Elles s'approchent de toi et t'agresse librement, ne te laissant pas le temps de comprendre ce qui se passais actuellement.
Des coup de pieds, des coups de points, partout sur le corps le visage. Tu fini malheureusement le nez en sang et casser.
Des appels de témoins on fait venir les urgences jusqu'à toi laisser pour morte sur le trottoir.
Dans ta chambre d'hôpital tu commençais à te réveiller après une opération d'urgence pour sauvez ton nez ensanglanté.
Ton petit copain avais laisser de nombreux messages sur ton téléphone. Ne pouvant pas répondre à cause de ton état tu referma les yeux pour ne plus penser à la douleur qui se réveillais.
Tu te réveille quelque heures après remarquant que ton petit ami était a t'es côté te tenant la main fermement.
"Sa-Sanzu.." dis-tu d'une voix légère.
Il leves yeux écarquillés vers toi
"Y/N ! Tout va bien ne t'inquiète pas d'accord ?" Dit-il pour te rassurer.
"je vois que tu es venu... précipitamment" dis-tu essayant de sourire malgré la douleur.
"Hein ?" Me questionne t'il du regard.
"Ton uniforme de gang... Tu le porte encore... T'es cheveux attacher sont en pagaille..." Dis-tu pouffa tu de rire.
"C'EST NORMAL ! Je me fou que les gens me vois avec l'uniforme du gang, ou décoiffé. C'est toi la priorité en ce moment!" Dit-il mettant son front sur le dos de ta main.
Tu lui souris difficilement.
Il resta auprès de toi tout le temps que ta guérisons.
Et plus tard il s'occupera de retrouver les 3 filles qui ton fait ça afin de leurs faire la même chose mais... En pire.
Personne n'a le droit de faire subir ça a qui que ce sois et encore moi à sa petite amie.
Kakuchô :
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Nous sommes Samedi matin, tu te lève tranquillement mais intérieurement excité.
Tu allais voir ton copain aujourd'hui pour passer le weekend avec lui, tu voulais lui faire une pâtisserie pour lui faire plaisir.
Donc tu vas dans ta cuisine, préparé tous les ingrédients qu'il faut pour commencer.
Tu devais couper de tout petit boue de chocolat pour faire cette recette, donc tu sors un grand couteau bien aiguisé.
Les premiers morceaux sont parfait avec quelques frayeur de te couper car le couteau déraper sur la tablette.
Malheureusement le drame arriva te coupant la paume de la main assez violemment lâchant le couteaux au sol accompagné de sang sur la lame.
Tu te tiens la main, les larmes au yeux tu te penche au dessus du lavabo pour évité d'en mettre partout.
"Ah... Punaise de merde !" Dis-tu soufflant de douleur.
Ton premier geste n'était pas d'appeler les urgences mais ton petit ami, tu sentais que tu commençais à partir, les vertiges, la pâleur sur ton visage n'aidais pas dans ton état.
Tu s'assois au sol tenant ton téléphone coincé entre ton épaule et ton oreille. Il décroche quelques secondes même pas.
"Allô bébé ?" Dit-il questionnant.
"Kaku... Ahh... Viens me rejoindre... Je me suis couper.. c'est assez profond" dis-tu essayant d'articuler comme tu le pouvais.
Tu sentais que tu allais bientôt perdre connaissance a cause de tout le sang qui coulais au sol.
"Quoi ?! Reste calme ! J'arrive tout de suite" Criat-il derrière partant en courant sans donner de raison a ses compagnons.
Tu trouvais le temps long depuis l'appel, tu avais pris un torchons propre dans le tiroir juste a côté de toi pour entouré la blessure et peu être réussir à arrêter le saignement.
Tu entends la porte claquant violemment contre le mur te faisant sursauter. Des pas rapides, ton prénom résonnant dans la maison.
"Je suis la... Dans la cuisine !" Dis-tu serrant les dents.
"Bordel ! Y/N !" Il accroupi devant toi voyant la scène terrifiante devant lui. Il appel directement les urgences.
Il te prend dans ses bras pour essayer de te calmer un maximum le temps que les secouristes arrivé jusqu'à toi.
"Ça va allez d'accord!" Te rassurant carrément ton visage, t'embrassant la tampe.
Les secouristes sont arrivé très vite te prenant en charge, tu finis à l'hôpital pour qu'on puisse recoudre ta main car la blessure était très importante.
"Heureusement que vous aviez pris un torchons pour couper le sang, sans ça vous auriez été très mal" Dis le médecin en enroulant ta main d'un bandage avec une attelle pour évité que tu la bouge
Tu repars avec kakuchô chez toi, il restera tout le long de ta convalescence pour s'occuper de tout et surtout de toi.
Sois préparé il refusera que tu lui prépare des choses sans qu'il sois à t'es côtés. Il ne veux plus revivre ça.
Vous êtes maintenant pote de cicatrice car ta main est maintenant muni d'une énorme cicatrice.
il embrassera ta cicatrice très souvent...
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SÉANCE #8 - Spotify, allié ou ennemi de la culture numérique?
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« Je vous entends demain, parler de liberté » disait Gilles Vigneault, dans sa chanson Les gens de mon pays. Le 31 janvier 2022, c’est lui-même qui parlait de liberté en retirant de Spotify l’intégralité de ses œuvres, laissant dans le chagrin une bonne partie des gens de son pays (Saint-Arnaud, 2022).  
Pourquoi ce geste? Pour appuyer l’initiative de Neil Young et Joni Mitchell, auteurs-compositeurs-interprètes canadiens ayant fait le choix de boycotter ce géant suédois afin de contester la diffusion du balado de Joe Rogan, où l’animateur y exprime ouvertement son scepticisme face aux mesures sanitaires (Agence France-Presse, 2022-a).
Simple protestation contre la désinformation? Assurément pas. Homme de principes, Gilles Vigneault défend sa culture et fait partie de ceux qui perçoivent Spotify comme une menace à l’industrie musicale (Saint-Arnaud, 2020). Alors que le streaming représente actuellement la manière la plus populaire de consommer de la musique, il est pourtant difficile pour les artistes d’en tirer des bénéfices. Pouvant facilement et instantanément passer d’une chanson à une autre, les artistes ont effectivement de la difficulté à fidéliser leur clientèle, d’autant plus que l’argent générée par Spotify est moindre : « Spotify verse, en moyenne, entre […] 3,8 et 6,4 dollars canadiens pour un millier d’écoutes » (Agence France-Presse, 2022-b).
Mais, la numérisation de la musique possède aussi ses avantages. Avec une telle souplesse quant aux contraintes matérielles, l’utilisateur peut écouter ce qu’il veut, quand il veut et d’où il veut, tout en échangeant ses découvertes avec qui il veut. Ainsi, on ne peut s’empêcher de penser à la diversification des auditeurs qu’engendre l’écoute sur cette plateforme (Tremblay, 2020). Notamment grâce aux algorithmes, la visibilité accordée à certains permet leur percée dans le domaine. C’est d’ailleurs le cas de Charlotte Cardin et Alessia Cara, chanteuses canadiennes désormais connues à l’international (Côté, 2018).  
Chose certaine, l’émergence d’une culture numérique a transformé les façons de produire, de diffuser et de consommer la musique, en faisant de celle-ci la forme d’art qui a le plus évolué sur le plan technique au cours des dernières années. Afin de s’adapter à ce nouveau modèle d’affaire, les artistes québécois se voient obligés de repenser leurs modes de financement, considérant que le public n’achète plus leurs disques. Il faut alors mettre l’emphase sur les spectacles et considérer les services de streaming comme une source secondaire de revenus.
À votre avis, en viendrons-nous à établir une taxe sur le numérique?
Sources :
Agence France-Presse. (2022-a, 26 janvier). Neil Young retire sa musique de Spotify pour protester contre la désinformation. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1857542/neil-young-spotify-covid-joe-rogan-experience
Agence France-Presse. (2022-b, 2 février). Spotify, un « mal nécessaire » pour des artistes qui veulent se faire découvrir. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1859152/spotify-mal-necessaire-artistes-releve-analyse
Côté, É. (2018, 19 mars). Spotify, allié de la musique d’ici? La Presse. https://www.lapresse.ca/arts/musique/201803/19/01-5157874-spotify-allie-de-la-musique-dici.php
Saint-Arnaud, P. (2022, 31 janvier). Gilles Vigneault quitte aussi Spotify en soutien à Neil Young et Joni Mitchell. Le Soleil. https://www.lesoleil.com/2022/01/31/gilles-vigneault-quitte-aussi-spotify-en-soutien-a-neil-young-et-joni-mitchell-6122be96daa94cbf67b0f35fa93cc6cc
Tremblay, A-F. (2020, 20 janvier). Industrie musicale : s’adapter à l’arrivée du streaming. L’exemplaire. https://www.exemplaire.com.ulaval.ca/non-classe/industrie-musicale-sadapter-a-larrivee-du-streaming/
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manue-ringo · 3 months
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Chapitre 102 : L'implant partie 1
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Quelques minutes plus tard à l’hôpital Universitaire de Georgetown :
… Docteur, comment va l'agent Parker ? Qu'est-ce qui lui est arrivé ? Demanda Skinner d'une mine contrariée.
Elle est stable, mais elle a eu beaucoup de chance. Elle a fait une hémorragie interne causée par un corps étranger dans son organisme. Répondit le médecin.
Un corps étranger ? De quoi parlez-vous ? Demanda Skinner avec incompréhension.
Regardez ces radios. Vous voyez cette forme ovale dans son abdomen ? C'est un implant. Il a été inséré chirurgicalement dans son corps, sans son consentement. Lui montra le médecin.
Un implant ? Quel genre d'implant ? S'interrogea Skinner de plus en plus inquiet.
Nous ne savons pas exactement. Il semble être composé d'un matériau inconnu, très résistant. Il émettait des signaux électromagnétiques qui perturbaient le fonctionnement de ses organes internes. Nous avons dû l'extraire en urgence.
C'est une plaisanterie ? Comment est-ce possible ? Demanda Skinner abasourdi.
Nous l'ignorons. Peut-être que l'agent Parker a des ennemis, ou qu'elle a été impliquée dans une affaire sensible. Elle n'a pas encore repris connaissance, mais peut-être qu'elle pourra vous en dire plus quand elle se réveillera. Je tiens à vous préciser que c'est un miracle qu'elle soit encore en vie après ce qu'on vient de lui retirer. Je veux dire que cette chose aurait pu faire beaucoup plus de dégâts. Nous allons la garder en observation encore quelques jours par prudence.
Oui, je comprends. Merci, docteur. Je vais rester à son chevet. J'espère qu'elle se remettra vite. Et qu'elle pourra m'éclairer sur cette affaire. Dit-il encore secoué.
J'ai demandé de le faire analyser en laboratoire de toute urgence. Je vous enverrez les résultats au plus vite. Dit le médecin avant de partir.
Merci infiniment docteur. Déclara Skinner en lui serrant la main.
Skinner entra dans la chambre ou reposait son agent. Il était dévasté. Comment avait-il pu rater ça ? Cet homme était parvenu à le duper une fois de plus. Que lui avait-il fait ? Il repensa à ce fameux sérum expérimental qu'ils avaient testé sur elle. Peut-être lui avaient-ils par la même occasion, placé cet implant. Skinner était face à un nouveau mystère qu'il fallait très vite résoudre. La situation était grave, il devait rester prudent. Ses pensées furent interrompues par l'arrivé de Mulder et Scully qui entrèrent à leur tour. Skinner déclara, en tentant de rester impassible :
Merci d'être venu si vite. Dit-il simplement.
Que s'est-il passé monsieur ? Demanda Scully d'une petite mine.
Skinner leur raconta ce que le médecin lui avait expliqué quelques minutes plus tôt. Mulder prit la parole le premier d'une mine ahuri :
Comment a-t-on pu passer à côté ça ? Qu'est-ce que ça veut dire ?
Les médecins auraient dû s'en apercevoir il y a longtemps, c'est tout bonnement impossible. Renchéri Scully avec raison.
Je n'ai rien inventé Scully ! J'ai vu les radios, les médecins ont été formels là dessus. Cette chose était dans son corps depuis un certain temps déjà et personne n'a rien vu. Dit-il d'un air dérouté.
D'accord et comment expliquez vous cela ? Demanda-t-elle quelque peu septique.
Personne n'a rien vu, car cet objet est sûrement doté d'une technologie bien trop avancée pour nous. Voilà pourquoi. Ça peut paraître dingue, mais c'est la seule explication possible. Je n'ose imaginer ce que cette pourriture a fait lorsqu'ils lui ont fait subir tous ces tests. Je vous parie que cet implant vient de là. Nous devons savoir pourquoi et surtout découvrir son origine. Déclara Mulder avec détermination.
Oui, en effet, nous devons savoir à quoi nous avons à faire, car la survie de votre amie est en jeu à présent. Dit Skinner avec gravité.
Il nous faut au plus vite un rapport d'analyse là-dessus sans quoi nous ne pourrons…Demanda Scully à Skinner.
C'est en cours agent Scully. Vous aurez tout ce qu'il vous faut très bientôt. On doit régler ça rapidement. Intervenu Skinner aussitôt avant de les laisser seuls. Il reprit :
Je vous laisse un moment avec elle. J'ai des coups de fil urgents à passer. Prévenez-moi quand elle se réveillera. Dit-il en quittant la pièce encore sous le choc.
Parker ne s'était toujours pas réveillé. Elle avait l'air paisible à cet instant. Mulder n'avait rien vu venir et il ne pouvait le supporter. Le fait de la voir à nouveau allongée dans ce lit d’hôpital le dévastait. C'était comme s'il avait perdu une partie de lui-même. Cet épisode tragique faisait écho avec ce qu'il avait déjà connu par le passé avec Scully. Le sort semblait s'acharner sur lui. Au nom de quoi ? De la vérité ? Tout ça, valait-il vraiment le coup ? De nombreuses interrogations lui tourmentaient l'esprit. Mulder n'était plus certain de vouloir continuer ainsi. Seulement, en voyant son amie dans cet état, ce dernier ne pouvait pas rester là sans agir. Il devait se battre pour arrêter ça. Cet acte ignoble raisonnait comme une déclaration de guerre pour lui. Ce fumeur était allé beaucoup trop loin. Il fallait que tout ça cesse rapidement. Aussi, à leur plus grand soulagement, Parker semblait avoir repris connaissance. Elle ouvrit doucement les yeux avant de les apercevoir à son chevet. Mulder sentit son cœur bondir dans sa poitrine. Il s'approcha d'elle en passant sa main dans ses cheveux d'un geste affectueux. Il déclara d'une voix pleine d'émotions :
Bon sang Andréa si tu savais comme j'ai eu peur. Je croyais t'avoir perdu pour de bons.
Parker resta muette durant un moment. Elle paraissait totalement désorientée.
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ambipolis · 6 months
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Lundi 18 décembre 2023
Le droit de tuer à condition…
Le droit de tuer est-il devenu le premier des droits de l’homme à condition évidemment d’assumer les conséquences de son acte ?
Et surtout à condition qu’on laisse ensuite la justice passer selon le temps judiciaire, mais que les politiques et les médias considèrent que ce qu’on a vu ou entendu n’existe pas et qu’on ne  change pas l’État de droit face à ce que Manuel Valls pointe : une menace sans précédent.
Pour le système la radicalisation n’existe pas.
Ni dans la Drôme, ni sur le pont de Bir-Hakeim, ni ailleurs.
Le préfet de la Drôme a condamné les menaces de mort proférées à l’encontre de Madame la maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, mais a en même temps interdit deux manifestations en lien avec la mort de Thomas. Il n’y aurait pas de problèmes comme le prétend la maire de Romans-sur-Isère avec la centaine de jeunes violents qui sévissent dans un certain quartier et dont seraient issus certains des jeunes qui ont mené cette expédition punitive à Crépol ? Non, la seule menace reconnue est la menace venant de « l’ultra-droite ».
Donc circulez, il n’y a rien à voir, ni à entendre, laisser la Justice passer le moment venu quand d’autres menaces qui ne viendront pas de l’ultra-droite auront conduit à des passages à l’acte au nom du droit de tuer et de la défense des libertés, de l’État de droit.
Ce droit de tuer a également été mis en œuvre le premier samedi de décembre à Paris près du pont Bir-Hakeim. Il s’agirait d’un franco-iranien, naturalisé lorsqu’il avait 6 ans, qui avait été condamné à 5 ans de prison, en a fait 4 et a donc été libéré en 2020, en étant ensuite selon le ministre de l’Intérieur suivi par la DGSI pour troubles psychiatriques ??... En fait, il est probable que ce radicalisé qui a prétendu ne plus l’être ait réussi à manipuler non seulement la DGSI et les psychiatres, mais aussi sa mère et l’ensemble des autorités publiques en ayant su utiliser toutes les possibilités offertes par notre État de droit ; ce n’est pas la version qui sera donnée par les médias les plus nombreux – hors presse Bolloré et Sud Radio – car ce n’est pas la version que le pouvoir peut admettre.
Les Français ont de moins en confiance dans les journalistes pris dans leur ensemble, on se demande bien pourquoi. Mais il ne faut pas faire l’amalgame. Tous ne sont pas dans « le même panier ».
François BAUDILLON *
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anaalnathrakhs · 9 months
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j'ai eu le malheur d'être dans la pièce commune chez moi pendant que mon père écoute sa radio du matin, et j'ai envie de m'arracher les oreilles putain, y'a un politique, j'ai pas saisi qui et je veux franchement pas savoir, il est venu déblatérer un discours mais monstrueux sur l'abaya.
il commence par te dire que les élèves qui en portent vont se faire "exclure", je sais pas si ça veut dire qu'elles sont refusées à l'entrée ou si ça s'applique sur d'autres jours aussi (ce qui serait vraiment incroyablement astronomiquement débile, mais bon, on s'attend à tout), excellent début déjà, refuser des élèves à l'entrée c'est vraiment la mission de l'éducation nationale et ça fait plaiz de voir que les politiques ont ça à coeur surtout /s
ensuite on lui demande si ça va pas causer des frictions avec la population des élèves, le mec il dit "bah faut respecter l'autorité aussi, il faut réinstaurer un respect du prof" comme si c'était putain de NORMAL de suggérer que les décisions des politiques en charge sont juste pas contestables. "ta gueule et obéis" c'est pas du respect vous êtes juste en train de faire des rêves mouillés d'un monde où tout le monde marche à la baguette au rythme de vos décisions géniales et objectivement bénéfiques. y'a aucun irrespect à résister à une décision politique avec laquelle on est pas d'accord, c'est vraiment juste une tournure de phrase qui essaye de faire passer les pauv petits élèves débiles pour des singes au zoo qui font chier les profs juste parce que, de présenter leur résistance comme une faille morale, les accuser de pas respecter l'opposition. dégueulasse à tous les étages.
et puis après il sort des trucs incroyables genre "la fille en abaya qui vient au lycée pour faire du prosélytisme" formulation plus ou moins exacte mais bref. ça se voit que non seulement il y croit (politiquement en tout cas) que l'abaya c'est la même chose que d'être nonne, mais en plus il te villifie des putains d'ADOS, comme si même porter un truc qui serait objectivement un signe religieux ostentatoire c'était faire du prosélytisme. tu l'entends entre les ligne "oouuuuh les méchantes filles musulmannes qui viennent répandre l'islam dans les écoles" quand on défend ça avec un pseudo féminisme, une pseudo défense des mineurs vulnérables.
il peut expliquer au calme sa petite logique qui va à l'encontre de tous les principes d'égalité et d'accès à l'éducation et d'aide aux mineurs qu'on s'est visiblement fait chier à mettre en place pour rien, et ça passe crème. admettons l'ado en abaya elle est vraiment forcée par ses parents de porter ça pour des raisons religieuses. bon. ça doit arriver aussi, les parents religieux abusifs ça existe partout. en quoi est-ce que ça l'aide de lui refuser l'entrée à l'école ? en quoi est-ce que ça l'aide d'entraver son éducation et sa vie sociale, on rappelle deux trucs extrêmement important particulièrement pour les enfants avec des parents qui les contrôlent trop par exemple ? en quoi est-ce que ça l'aide de la FORCER à retirer un truc qui lui est imposé par l'autorité parentale ET potentiellement l'autorité religieuse en plus, comme ça tranquille, et surtout de faire en sorte que les parents soient bien au courant qu'ils ont le choix entre mettre leur fille à l'école ou contrôler son comportement, son habillement, etc ?
admettons l'ado en abaya n'est pas forcée par ses parents mais est religieuse elle-même, et porte l'abaya par conviction de principes de modestie. c'est toujours pas du prosélytisme, c'est juste de l'islamophobie. une catho qui s'habille conservateur avec des vêtements de type "européen" elle est complètement tranquille dans un établissement scolaire, personne la fait chier. oui le concept de modestie est controversé et occupe une position particulière dans le débat sur les droits des femmes, mais justement les femmes ont désormais et encore le droit de choisir comment elles vivent et comment elles s'habillent. c'est pas du féminisme de leur donner un règlement de tenues féministes à respecter. et je réitère, au delà de modifier la définition de prosélytisme pour vouloir dire "être visiblement musulman dans un lieu public", si vraiment il y avait un élève qui essayait de convertir les gens de manière répétée, est-ce que c'est vraiment une solution constructive de le refuser à la porte ? c'est vraiment par là qu'on commence ? au lieu de faire un travail perso avec lui comme on le fait ou devrait le faire pour les élèves qui ont des comportements inappropriés dans leurs interactions avec les autres ?
bref j'ai envie de péter la radio, bonne journée
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juristique · 1 year
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François Hollande piégé par les Russes "Vovan et Lexus"
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François Hollande piégé par les Russes "Vovan et Lexus"
Après Christine Lagarde, c’est au tour de François Hollande, ex-président de la République française, de se faire piéger par les Russes Vovan et Lexus qui se sont fait passer pour l’ex président d’Ukraine Petro Porochenko :
youtube
Fausse interview de François Hollande par les Russes Vovan et Lexus
La vidéo a été publiée dans l’émission d’André Bercoff sur sud Radio.
Sommaire
1 Les moments les plus nauséabonds de l’interview de François Hollande
1.1 Les accords de Minsk
1.2 La reconquête de la Crimée
1.3 La guerre jusqu’au dernier ukrainien
2 Vovan et Lexus vs François Hollande
3 Autres articles sur le conflit en Ukraine
4 Votre avis sur l’interview de François Hollande par Vovan et Lexus :
Les moments les plus nauséabonds de l’interview de François Hollande
Les accords de Minsk
François Hollande confirme une nouvelle fois que les accords de Minsk ont bien été signés non dans l’objectif de les respecter afin d’épargner des morts de part et d’autre dans le conflit intérieur de l’Ukraine, mais de permettre à l’armée ukrainienne de se préparer à la guerre de contre la Russie. Rappelons, que la guerre dans le Donbass avant l’occupation par la Russie du territoire ukrainien en février 2022, avait déjà fait 14 000 morts.
Les garants des Accords de Minsk 2
Rappelons également que ces accords avaient été signés par la France et l’Allemagne qui étaient tenus de les faire respecter. Rien de très étonnant que désormais, la France ne soit plus prise au sérieux dans les relations internationales.
La reconquête de la Crimée
Alors même que l’armée ukrainienne perd progressivement la guerre, François Hollande indique que les objectifs doivent aller jusqu’à la reconquête de la Crimée, constituée à 70 % de Russes. Et, que pour y parvenir, il faut encore et encore plus envoyer d’armes.
La guerre jusqu’au dernier ukrainien
La guerre a déjà fait de 200 à 300 000 morts côté ukrainien. Non, ce n’est pas assez, il faut pousser ce conflit jusqu’au dernier ukrainien. Voilà, ce que François hollande souhaite, ce qui en dit long sur les valeurs humaines de ce personnage, de surcroit socialiste.
Vovan et Lexus vs François Hollande
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Qui sont Vovan et Lexus ?
Vovan et Lexus sont des citoyens russes dont la spécialité est de piéger des personnalités politiques en se faisant passer pour une autre célébrité.
Qui est François Hollande ?
François Hollande est un ancien Président de la République française (15 mai 2012 – 14 mai 2017) après avoir longtemps milité au parti socialiste dont il a été à plusieurs reprises « Premier secrétaire ». C’est aussi l’ex-mari de Ségolène Royal.
Autres articles sur le conflit en Ukraine
En complément, nos autres publications autour du conflit en Ukraine et la guerre économique que mène le monde occidental :
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François Hollande piégé par les Russes « Vovan et Lexus »
Régis de Castelnau et Sylvain Ferreira : vidéo n° 34 sur la guerre en Ukraine
Bulletin n° 128 de Stratpol : dédollarisation et carte militaire
Un an de guerre en Ukraine : quelles conséquences pour la France ?
Audition sereine de Thierry MARIANI devant la commission d’enquête
Bulletin n° 127 de Stratpol : dédollarisation et carte militaire
Emmanuel Macron a-t-il enlevé sa montre lors de son interview télévisée ?
Bulletin n° 126 de Stratpol : Xi Jinping à Moscou et la carte militaire
Votre avis sur l’interview de François Hollande par Vovan et Lexus :
Dites-le-nous dans les commentaires. Merci.
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unreveoccasionnel · 1 year
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STATION TO STATION
"Dance, dance, yeah ! Dance baby, shake your body..."
— Damn it ! tona Osborne tentant de suivre la route tout en changeant de station radio, quand soudain elle entendit des riffs de guitare.
L'averse se déchaînait sur le parbrise de sa petit Austin. A la fin de la chanson, l'animateur enscence le nouvel album de Mars Hunter, louant les qualités de l'artiste, le considérant même comme le fils caché de David Bowie. On parle rock à la radio nationale ! se dit Oswin, totalement bluffée par ce qu'elle venait d'entendre. Entre les tubes sans texte, ni fond et les chanson à la guimauve de nanas en mal d'amour, le monde de la musique c'était désespérément appauvri. La jeune femme accéléra malgré le danger. Il fallait annoncer la nouvelle aux gars. L'Austin pilla devant la grille du "1984", le squatte qui leur servait de salle de répétitions et de studio d'enregistrement. Une vieille bicoque que les musiciens avaient retappée, il y a cinq ans, quand ils étaient au lycée, avant de faire la connaissance d'Osborne. Une furie traversa en trombe le jardin innondé, puis s'engouffra dans la maison. Dans le salon, les gars étaient en train de décapsuler des bières, avachis sur le vieux Chesterfield, récupéré chez nana Hennelly, la grand-mère d'Alex, le guitariste.
— Les mecs, vous imaginez, le rock revient à la mode ! s'exclame la jeune femme, devant son assistance abasourdie par son apparition.
Trempée jusqu'aux os, elle se tiens raide comme un i, les yeux brillants d'espoir.
— Alors, on lâche nos jobs de merde, on arrête de végéter comme des gros loukoums et on se bouge le derche !
Oswin arracha la bouteille des mains d'Alex et engloutit la moitié cul sec. Les trois amis se regardent, dubitatifs. Puis Eivann acquièce, balançant sa tête l'air de dire : "t'as raison, faut qu'on se bouge !".
— Wild Anarchist à la une de The Frog ou de Spotlight ! Le nouveau souffle triphop-rock, made in Glasgow !
Bien sûr, ce genre musical n'a jamais cessé d'exister, au Royaume Uni. Radiohead, Keane, Muse... Et les légendes qui ne se sont jamais arrêtées depuis les années soixante- dix/quatre-vingt, comme Depeche Mode, Pink Floyd, David Bowie... ce dernier était la référence ultime d'Osborne. Mais comme elle ne cessait de le répéter :
— Vous n'en avez pas assez de buller dans les pubs et de faire des petits concerts insignifiants pour à peine cent quidams ? Alors qu'on pourrait jouer au River Sound Festival devant une foule de plus quatre cent mille enthousiasmée par notre son !!
Assez de l'image du rockeur métaleux pas lavé ou du produit commercial formaté pour adolescents prépubaires ! Ou pire, ces stars de télécrochets qui se prétendent musiciens rebels ! Osborne en avait assez de se faire rembarrer par les maisons de disque. "Vous n'êtes pas assez si, vous n'êtes pas assez mi"... Les écossais ont la classe et elle allait le prouver au monde entier en réabilitant ce rock nerveux, racé, fusionnant l'anticonformisme recherché de Bowie avec l'énergie sensuelle de Deep Purple. C'était le moment de prendre sa revenche sur tous ces abrutis qui se payaient sa tête au quotidien depuis le lycée. Chose à laquelle ses amis de dix ans de plus n'avaient pas échapés. Les piques cinglantes sur leur look vintage, à se faire traiter de tapettes, finissait par les faire déprimer. Sans parler des anciens potes, qui au pub ne se privaient pas de leur adresser un "Salut les pédales !"...
Oswin jubilait. Il était hors de question qu'elle laisse passer cette chance.
Une semaine après, Wild Anarchsit signe chez Universal, mais au bout d'un an le soufflé est retombé, trop vite sorti du four. Osborne rompait son contrat avec la maison de disque. Me demander de faire de la pop alors que j'ai horreur de ça ! Elle saturait. Alex et Eivann reprirent leur jobs merdiques. Sylass parti pour un road trip en Nouvelle Zélande, il avait besoin de prendre l'air. Osborne retourna à l'usine pour profiter de ses après midi au jardin du 1984 à dessiner des plans, en attendant de trouver un contrat de paysagiste.
Deux ans s'écoulèrent, Oswin avait besoin d'un break, elle alla rendre visite à Alex, travaillant dans le salon de thé londonnien de son oncle. Ce petit établissement avait acquis sa petite réputation. Hennelly ayant travaillé chez Ladurée pendant ses études à Paris, le jeune homme avait créé une carte sur mesure, l'adaptant aux goûts des Britanniques. Les deux amis profitaient du soleil sur la terrasse en philosophant sur la musique et leur passé de Rock stars recalées. A ce moment directeur de Domino reccords les interpella :
— Le monde de la musique stagne, aujourd'hui. Tu es une amie de Declan McKenzie ?
Osborne eut l'impression de tomber de sa chaise :
— Oui.
Elle regarda Alex, sceptique.
— Tu as une maquette sous la main ?
— On a un site web. Des échantionns de nos albums sont dessus. Les CD sont à Glasgow, je ne pensais plus...
Elle ne pu finir sa phrase, pensant que sa chance lui filait encore une fois entre les doigts. L'homme se leva et lui tendit sa carte.
— Passe me voir demain matin.
— Pourquoi nous ? Pourquoi maintenant ?
— Je t'ai entendue parler de l'expo David Bowie au St Paul's Gallery. J'ai entendu dire que tu étais sa fan numéro 1. Il vient de sortir son dernier album. Beaucoup d'artistes en place s'inspirent de son travail, mais ça ne vole pas haut. Je veux du sang neuf, je suis prêt à prendre le risque. Declan me parle souvent de votre groupe. Vous devrier faire le soundtrack de sa série. Ton site je l'ai vu, ça décape. Je pensais que tu aurais peut-être un nouvel album sous le coude, mais on fera sans maquette. Passe demain.
Le directeur de Domino Records sera la main des deux comparse, puis s'en alla. Oswin ne voulait pas s'enthousiasmer, mais la recontre était magique.
— J'espère que tu as une bonne bouteille de whisky en stock !
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beatlesonline-blog · 1 year
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Lexus UX 250h AWD F-Sport et pneu Motomaster Winter Edge II
Le 15 février 2023
Le temps file vraiment. La semaine dernière, le groupe canadien de Toyota me proposait l’essai de son petit VUS (ou VUM) UX 250h AWD révisé pour 2023. Je me suis alors souvenu d’avoir déjà travaillé avec un Lexus UX il y a quelques années (c’était en 2019) mais, avec le temps, je ne me souvenais plus du tout de quoi il en retournait. J’ai donc pris la nouvelle version de cette «camionnette» avec un peu d’appréhension.
Curieusement, au premier contact, je ne me souvenais plus qu’un UX puisse être aussi petit. J’étais resté sous l’impression que le UX se situait entre le NX (basé sur le RAV4) et le RX. En vérité, le UX est un véritable sous-compacte que l’on pourrait comparer à un….Toyota Prius!
Au départ, je ne me reconnaissais plus au volant de cette auto. Il faut dire que je n’avais pris aucune information sur l’actuel UX et j’étais vraiment déçu. Toutefois, mon opinion allait changer au cours des jours suivants. Tout d’abord, il me fallait trouver les bons ajustements pour tirer le meilleur parti de ce VUS-VUM. À force de jouer avec des commandes au tableau de bord, j’ai trouvé le commutateur qui allait changer le comportement routier du petit véhicule et le rendre moins ferme. Après tout, un Lexus, c’est censé être un véhicule «de luxe», n’est-ce pas? Puis, le son de la radio me tombait royalement sur les nerfs. J’ai eu beau faire des recherches, je ne trouvais pas les réglages pour obtenir un son qui me plairait. Même l’internet ne m’a été d’aucune aide. Tout ce que j’y trouvais, c’était de courts films qui me conseillaient de manipuler un petit «pad» entre les deux sièges d’avant. Au bout de quelques jours, je me suis «tanné» et j’ai rejoint un directeur technique de Toyota (mon bon ami Romaric Lartilleux) qui m’a aiguillé vers d’autres commandes que je n’avais pas exploité à leur maximum. Cependant, dès le début de notre conversation, il a du s’étouffer de rire en me pointant que ces images d’Internet concernaient la version 2022 de l’UX . La version 2023 n’a plus ce ridicule «pad» que même moi j’avais critiqué ouvertement lors de mon essai du UX 200 en 2019! Finalement, j’ai retrouvé le son musical que je recherchais. Romaric m’a donné les bonnes informations concernant ce petit véhicule.
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Le petit VUM UX de Lexus est de retour en 2023. (Photo Éric Descarries)
Si vous regardez les photos, vous verrez bien qu’il s’agit d’un petit VUS ou VUM dont le design a été révisé pour 2023. Il ne s’agit plus d’un UX 200 mais plutôt d’un UX 250h AWD ce qui veut dire que sa motorisation est hybride et qu’il profite d’une «traction intégrale». Notons que le UX repose sur la plateforme «universelle» TNGA-C (Toyota New Generation Architecture) que l’on retrouve aussi sous la toute récente Corolla et sous le Toyota CH-R (qui vient, incidemment, d’être retiré par le constructeur). L’ancien UX 200 que j’avais analysé en 2019 n’était «qu’une» traction avant avec moteur atmosphérique. Le UX 250h est, au départ, toujours à traction avant mais son moteur quatre cylindres de 2,0 litres (qui fait maintenant 143 chevaux) est désormais combiné à un moteur électrique à deux étapes dont une sert d’alternateur et de démarreur. La puissance combinée (ajustée) des deux éléments de propulsion équivaut alors à 181 chevaux. Cette puissance doit passer par une boîte automatique à variation continue (CVT) et les roues avant. Mais alors, pourquoi le qualifier d’AWD (traction intégrale)? Parce les ingénieurs de Toyota-Lexus lui ont ajouté un petit moteur électrique indépendant à l’arrière pour venir en aide à la traction avant dans le cas où celui-ci perdrait de sa motricité. Ce petit moteur électrique ne fait, selon Romaric, «que» huit chevaux mais il produit aussi un couple étonnant de 40 li-pi ! Et c’est lors d’un essai hivernal comme celui que vous lisez présentement qu’il démontre toute son efficacité! J’y reviens…Mais sachez qu’il n’y a plus de version UX 200 au catalogue de Lexus.
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De l’arrière, on reconnaît l’ornementation 250 H AWD qui signifie que l’on a affaire à un véhicule hybride électrique (mais non enfichable) à traction intégrale. (Photo Éric Descarries)
L’extérieur du Lexus UX n’a pas beaucoup changé mais dans le cas de cette version F-Sport Design dont il est question ici, on y notera des retouches à l’avant dont de nouveaux phares et autres lampes en plus d’une calandre F-Sport plus distinctive. Quelques retouches ont aussi été apportées à la finition arrière.
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Le nouveau tableau de bord du UX. (Photo Éric Descarries)
Par contre, l’intérieur a été revu avec, principalement, la disparition de ce ridicule «pad» (qui détournait l’attention de tout conducteur pour le maîtriser) et l’apparition d’un plus grand écran au centre du tableau de bord et de quelques autres révisions. Le volant retient plusieurs commandes électriques en plus des palettes qui servent à «passer les rapports» (malgré qu’il s’agisse d’une boîte CVT!). La sellerie de similicuir est agréable au toucher mais, pour une voiture de luxe, il me semble que les designers de la marque auraient pu avoir un peu plus d’imagination pour les garnitures de portières qui sont, avouons-le, un peu fades.
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Par contre, les places d’arrière demeurent très étroites pour des passagers adultes. (Photo Éric Descarries)
Toutefois, si les sièges d’avant sont relativement confortables, les places d’arrière demeurent plus à l’étroit, ce que j’avais mentionné il y a environ quatre ans…Rien n’y est mal assemblé…juste peu approprié pour accueillir des adultes. Quant à l’espace destiné au transport de bagages ou d’autres objets…il ne faut pas trop y compter. Le coffre y est plutôt petit. Mais il sera utile pour les petites courses en ville!
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Heureusement que le véhicule roule sur des pneus de type «run flat» car il n’y aurait plus de place pour la roue de secours! (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Tout cela est bien beau mais la UX est-elle une voiture qui a un comportement routier agréable? Dès que j’ai pris «livraison» du UX, je suis parti vers les Laurentides pour une balade de premier contact. Évidemment, j’ai pris l’Autoroute 15 vers Sainte-Agathe. Au départ, sachez que cette route a grandement besoin d’une importante rénovation. Le revêtement est très rugueux (du moins jusqu’à Saint-Jérôme) ce qui produisait un son très audible dans l’habitacle de la petite Lexus. Peut-être un peu trop même. Et il ne faut surtout pas blâmer que les pneus d’hiver Continental ContiWinterCountact pour ce bruit (les pneus d’été d’usine devraient être des versions à mobilité continue mieux connus comme des «run-flat»). De ce côté, je conseillerais à Lexus (Toyota) d’améliorer l’isolation de cette cabine. Question performance, ne vous attendez pas à ce que la UX soit une sportive remarquable même s’il s’agit de la version F-Sport. Passer du point mort à 100 km/h peut demander jusqu’à neuf secondes alors que l’on sent les accélérer laborieuses. Quant aux reprises, elles ne sont guère glorieuses. Par contre, le petit UX tient bien la route (sauf si il tombe dans les ornières très prononcées de la 15 à divers niveaux dont la portion de la route à la sortie de Saint-Jérôme, une véritable honte pour les contribuables québécois!). Mais, j’insiste, même en position de conduite Sport, le UX n’est surtout pas une sportive. La deuxième partie de mon trajet passait par la route 329 qui allait de Sainte-Agathe-des-Monts vers Saint-Adolphe-d’Howard et là, ce fut tout simplement pénible. Ce n’est pas que la Lexus est mise en cause ici. C’est que les quelques 13 kilomètres de cette route reliant les deux petites villes étant dans un état déplorable! Et ce n’est pas la tornade qui a endommagé cette région l’été dernier qui a détruit le pavé, quand même. Autrement, passé Saint-Adolphe, j’ai pu profiter du confort de cette voiture dite luxueuse!  
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Le petit moteur à quatre cylindres devrait démontrer un peu plus de vivacité. (Photo Éric Descarries)
Par contre, en situation urbaine, cette sous-compacte de Lexus se distingue. Le petit coupé se déplace agilement dans la circulation et, même si j’aurais aimé des rétroviseurs un peu plus grands, il se faufile facilement dans le «trafic». Parfois, la propulsion se fait par moteur électrique seulement mais c’est de courte durée. Il y a une commande EV seulement qui devrait «neutraliser» le moteur à essence, surtout en ville, mais, même si je l’ai activée souvent, le moteur thermique entre quand même en action aussi souvent (à moins que l’on ne tienne une vitesse très limitée).
La désignation UX signifie «Urban Explorer» et ça colle bien à la voiture. Évidemment, elle se gare facilement et sa consommation y est raisonnable (mais pas aussi économique qu’attendue, cependant). Je n’ai pas encore mentionné l’apport de la «motricité aux quatre roues» dans mes impressions de conduite de ce reportage mais, malgré la puissance limitée du petit moteur arrière, la configuration y est efficace, surtout sur route glissante. J’ai pu me sortir de quelques petits «pièges» de neige dans les stationnements urbains et c’est grâce à ce système. Mais, ne vous laissez pas berner à tester le UX en situation «hors-route», cette petite Lexus n’a rien d’un tout-terrain non plus!
Bien entendu, on est en droit de s’attendre à une consommation très modérée d’une si petite voiture et moderne, de surcroît! Je m’attendais mieux que 8,3 l./100 km (l’ordinateur de bord indiquait 7,4). Je n’ai pas conduit avec un œuf entre mon pied et l’accélérateur mais je n’ai pas poussé la machine en aucun cas! Il faut dire qu’il ne faisait pas chaud ce qui a pu exiger plus des performances du moteur…
Vu qu’il s’agit d’un véhicule de Lexus, on sait qu’il s’agit d’une voiture «de luxe». Alors, on ne se surprendra pas d’y voir un prix de base de 41 500 $ Ma voiture d’essai avait pour 2300 $ d’options dont les sièges avant ventilés, le toit ouvrant coulissant, le volant chauffant et surtout la «peinture de qualité supérieure» (quoi? il faut commander une peinture de qualité supérieure en option?...). Lexus (Toyota) ajoute les 100 $ des frais pour le climatiseur, quelques 28,70 $ «d’écofrais» pour les filtres et l’huile et 2205 $ de frais de transport et de préparation et on en arrive à un total de 46 133,70 $.
Même si l’on avance que le prix moyen d’une automobile se situe autour des 45 000 $ au Canada, disons que le UX, ce n’est pas donné. Toutefois, si vous recherchez une voiture vraiment urbaine (et j’insiste sur le fait que cette auto répond vraiment à ce besoin spécifique), voilà l’article idéal. Ajoutez à cela la belle réputation de fiabilité des produits de la marque, le Lexus UX devrait être considéré si vous avez besoin d’une voiture de ce calibre!
Le Motomaster Edge II
Pour plusieurs, l’hiver pourrait ne tirer qu’à sa fin mais il faut se rendre compte que février est un bon mois pour lancer de nouveaux pneus d’hiver pour la saison prochaine. C’est ce que le géant du détail Canadian Tire a fait cette semaine en invitant que quelques journalistes automobile à se joindre à des détaillants de la marque pour découvrir le Motomaster Winter Edge II qui sera commercialisé dès l’automne prochain.
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Le nouveau pneu d’hiver Motomaster Winter Edge II du géant Canadian Tire sera disponible l’automne prochain. (Photo Éric Descarries)
J’étais donc de la partie pour rejoindre le groupe Canadian Tire qui avait réservé le circuit ovale d’ICAR pour nous faire connaître ce nouveau produit réalisé avec l’aide du géant manufacturier sud-coréen Hankook. C’est la deuxième génération de Winter Edge, un pneu qui a connu un certain succès depuis les quelques dernières années.
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Nous avons essayé le nouveau pneu Winter Edge II sur le circuit enneigé d’ICAR. (Photo Éric Descarries)
Quoique je ne veuille pas me prononcer sur les plus grandes qualités du Winter Edge II tout de suite (j’y reviendrai plus tard, c’est sûr), sachez que les quelques tours effectués au volant de Toyota RAV4 et Corolla à traction sur le tracé enneigé conçu par les instructeurs d’ICAR (dont mon bon ami Philippe Létourneau de l’émission «Canada’s Worst Driver») m’ont impressionné. Le pneu se comporte déjà très bien et propose une adhérence remarquable pour un produit de  «Premier tiers» à un prix abordable.
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Les essais de Winter Edge II se sont déroulés au volant de Toyota Corolla et RAV4. (Photo Éric Descarries)
Évidemment, je n’ai pas encore la moindre idée de ces prix mais déjà, je crois que les acheteurs de Motomaster Winter Edge II seront surpris par ce produit. On verra un peu plus tard!
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C’est la fête, je sens que tout avance. J’ai un peu moins envie d’écrire. Hier j’ai pas écrit d’ailleurs. Je voulais essayer pour voir. Samedi j’ai un peu bu, du coup l’lend’main fatigue, flemme, mais douceur aussi, c’était agréable. J’ai passé la journée à dormir, marcher, manger des glaces, lire, regarder du sport et des côtes au lit ou sur le canapé, toujours bien accompagné. Je préparais les matchs avant qu’ils se lancent en regardant la carte, les stats et la forme actuelle. En moins de 72h sur 10 matchs sélectionnés, j’ai 5 côtes au-dessus de 4 qui sont passées et seulement deux qui ont loupé. J’ai pas joué ou très peu mais j’étais en observateur. Comme un surfer qui rentre dans l’eau, nage, s’allonge en flottant, pour comprendre le sens des courants, la manière des vagues, le son des baleines et le cri des oiseaux. Pour parier, c’est comme dans la vie, il faut s’imprégner. Il faut regarder les matchs, suivre les résultats, se poser à l’instant T pour regarder ce qui s’est passé jusqu’ici et comprendre ce qui pourrait se passer ensuite. C’est ça que j’aime faire, voir, saisir et prédire. Les chiffres c’est une chose, je ne suis pas excellent avec les probas et tout, mais à force de faire et de regarder, t’as même pas à savoir calculer pour savoir si une cote est bonne. C’est le flair, l’œil, tu vois, tu sens, tu sais. Si c’est le moment ou pas, si un momentum arrive ou pas. Derrière les chiffres, il saut aussi saisir la trajectoire qu’il y a, si un match est important ou pas, quel est l’enjeu etc…plein de choses, comme de la narration, qui ne rentrent pas forcément en jeu dans la cotation. D’ailleurs, j’ai progressé sur un point et j’en suis bien content. Je ne joue plus quand je ne sais plus, je peux regarder toute une carte sans avoir envie de jouer et ne pas y voir, ni trouver d’inconvénient.
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Bon, là c’est facile car j’ai un rythme de croisière, je joue très peu, je regarde beaucoup. Plus dur quand on est au beau milieu d’un tournoi et qu’on enchaine les matchs et les paris. Mais c’est la première fois que je sens cette sérénité, cette assurance, ce détachement, je suis là pour jouer, pas pour trouver la grosse côté ou le match qui va passer. J’attends sagement l’information, l’œil à l’affut, à l’écoute de mes tripes. Les infos sont partout, sur twitter, un signe à la radio, la parole d’un pote, un chiffre qui saute à l’œil en ouvrant sofascore ou winamax, à toi de faire le tri et d’analyser après coup, pour choisir, oui ou non. En tout cas je me laisse plus aller à parier à l’affectif, parce que j’aime un joueur ou qu’il devrait sans doute gagner, sans trop regarder l’autre parce qu’il a l’air nul. A tout moment les tendances peuvent s’inverser. Un bon peut devenir mauvais et celui qui a beaucoup perdu va finir par gagner.
De plus, il faut saisir un truc aussi, comme le karma, y’a des journées ou les bons perdent et où les mauvais surperforment, des journées à match à nul, des journées de match à l’extérieur. Des journées d’incertitudes aussi, où il faut savoir ne pas jouer les forts en pensant qu’ils vont gagner comme d’habitude. La sécurité, la fausse, pour se rassurer, parce qu’on ne sait pas quoi jouer, est un leurre. Quand on ne sait pas quoi jouer et qu’on joue la côte basse, statistiquement et d’instinct je dirais, on joue pour perdre. Ceux qui ont peur n’ont jamais été de grands gagnants, alors s’ils jouent, ils font les pires perdants, car il leur faut une multitude de coups pour accumuler (petite cote) et juste un seul pour dégringoler, tout perdre. Par exemple, un joueur qui place des côtes entre 1.2 et 1.4 devra gagner entre 7 et 9 matchs sur 10 pour être rentable. Ca peut marcher hein, mais mieux vaut connaitre la discipline, savoir attendre le bon moment, pour jouer quelque chose de plus gros, avec un ratio risk reward bien plus élevé. Pour ça vous pouvez attendre qu’un favori perde un peu dans le match, ou juste aussi attendre qu’une équipe soit surcotée et l’autre inversement, à force de victoire et de défaites.
Je racontais ça à ma copine hier pour les investissements et les tendances. On ne se place pas sur quelque chose quand tout le monde en parle. Ca veut dire que l’info est déjà beaucoup partagée, que le marché s’est adapté et que la valeur réelle, estimée, va bientôt disparaître pour chuter. Les seuls qui peuvent gagner la dessus, une info déjà connue, sont les traders court terme, qui vont profiter d’une dernière explosion pour gagner et sortir. Le mieux c’est de savoir quand tout est à plat ou que c’est sur le point de se passer. Au fond c’est pareil, quand le séisme ou l’irruption est sur le point d’arriver, très peu de personnes sentent les grondements qui annoncement quelque chose, il ne se passe encore rien. Et bah voilà, quand on aime le sport, les marchés, ou une discipline, à force d’expérience, on peut arriver à sentir ces moments-là et se positionner. Ça demande plusieurs qualités : un nez, une appétence pour les scenarii, un certain réalisme, de la vista, et une capacité à jouer : se placer en avance, tenir sa position ou en sortir quand la situation évolue. Pour jouer il faut être connecté à soi et à la réalité. Avoir un plan (mental, discipline) et savoir sortir de ses représentations (ouverture), ses schémas (clairvoyance), pour comprendre réellement ce qui se passe. Les chiffres, les stats, au service de rien du tout ne donnent rien du tout. On peut tout faire dire à des chiffres et se convaincre de n’importe quoi si on ne sait pas. Par contre, si on a une idée, une intuition ou une information comme je le dis souvent, ce sont les données disponibles qui vous aideront à valider ou invalider un pari.
Mais voilà, pour tout ça, il faut avoir joué, perdu, gagné, et compris qu’on ne jouait plus pour gagner le gros lot et devenir riche. Avant tout, il faut établir une stratégie qui nous plait, se faire plaisir, et trouver dans quoi on est bons, quand on a une vision, puis établir une méthode, des règles, qui sont au service de notre jeu et qui nous gardent en vie, à l’abris de la cupidité et de la surchauffe. A tout moment on peut être pris dans l’engrenage. Après une victoire, une défaite, la volonté de se venger, penser qu’on est imbattable. En pari comme dans la vie la roue tourne, tout le temps. Après une grosse victoire il faut savoir capitaliser. Après une défaite, s’épargner pour se reposer et pouvoir rebondir dans les bonnes conditions. C’est un marathon tout ça, comme dans la vie, et il faut trouver ses règles pour step up et devenir gagnant, rentable, un survivant qui continue d’avancer malgré tout ce qui peut se passer, le bon ou le mauvais.
Parce que la vie, c’est un grand casino, tout ce qui monte peut descendre très vite et inversement. Et il vaut mieux prendre une montée tôt que s’engager quand tout le monde surfe déjà la vague…et encore moins quand on sait pas très bien surfer. Il faut savoir à quelle ligue on appartient et ne pas jouer là où on n’a pas les armes. Y’a 1000 et une façon de gagner, y’a plein de conseils, de tips, mais y’en qu’une seule de bonne, c’est la sienne. Les gens peuvent vous inspirer, vous guider, mais y’a que vous qui pouvez y arriver.
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verver · 1 year
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SANS REGRET
SANS ESPOIR
Extrait 19
C'était bien beau son discours mais Ray n'y croyait pas trop.
Alors il faisait semblant, il jouait sa partition à la perfection, au travail il passait pour un héros , dans son immeuble pour un exemple.
Surtout quand il lui arrivait de discuter avec ses voisins , parce qu'il faut bien causer un peu !
Ray aperçevait leurs regards qui disaient : " Ce mec ! il en a ! il fait ses huit heures par jour et plus même alors tu parles ! ".
Il avait envie de leur cracher à la gueule, allez vous faire foutre ! mon boulot je m'en fiche ! cette vie de merde aussi ! de cette société de cons ! je me la carre au cul !
Mais il fallait qu'il reste sérieux personne n'y comprendrait rien.
Ray se sentait prit entre quatre murs et se battait pour trouver la sortie.
Elle existait puisque il s'y était enfermé lui-même mais il faut chercher.
En attendant faire semblant ça fait plaisir à tout le monde , ça fait pas de bruit , c'est propre et correct.
C'est le principal pour son entourage.
Peut importe s'il en crevait.
Il avait déjà parcouru quarante ans de sa vie, il se sentait fichu, bon à jeter , sa vie s'était écoulée tranquillement jusqu'à ses vingt ans , après cela avait été qu'une succession de merdes, deuils , séparations, dettes , de quoi donner des cheveux blancs.
C'est comme s'il avait un pied dans la tombe et l'autre sur une peau de banane, il n'arrivait plus à réagir , à se relever.
Ray était conscient que tous les abus qu'il faisait ou qu'il avait fait autrefois ne pouvaient rien changer à l'affaire.
Pour lui demain était toujours le même jour , il supportait sa gueule dans la glace, c'était le plus dur. Il attendait un hypothétique jour nouveau avec curiosité et impatience, en attendant il faisait aller.
Qu'est-ce qu'il le retenait ? il ne le savait pas lui-même, peut-être l'instinct de survie , plus de proches , l'instabilité régnante de façon permanente.
Il ne lui restait que ses collègues de travail quelques amis et Simone . Cette dernière, il l'aimait bien mais il ne se voyait pas vivre avec.
C'est un constat qui d'ailleurs était partagé par Simone.
Il regardait passer le temps , la vie, les saisons , les gens avec gourmandise, c'était son passé temps préféré et Ray voyait passer des choses plutôt moches. Ces pensées parcourant son esprit, il sirotait les bières les unes derrières les autres.
Avec application il allumait une cigarette sur fond sonore d'une radio F.M dont il ne connaissait ni le nom ni la fréquence .
La sonnerie du téléphone le fit sursauter.
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feministesvscyberh · 2 years
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Retrouvez les analyses et revendications des streameuses ainsi que de notre co-fondatrice Laure Salmona sur les cyberviolences vécues en ligne par les femmes et personnes minorisées dans la communauté du jeu vidéo : "Au fond, est-ce que ces plateformes essaient vraiment de modérer ? Il ne faut pas oublier que pour elles, ces violences génèrent du profit et elles ont un impératif de rentabilité. Plus il y a de polarisation dans les discussions, plus il y a de violence, plus il y a de trafic, plus il y a de commentaires, et plus ça génère de l’argent pour elles », explique la cofondatrice de l’association. D’après Laure Salmona, il faudrait faire passer l’éthique avant le profit, et penser à des « systèmes où les communautés peuvent créer leurs propres règles de modération, pour permettre aux "streameuses" une forme de pouvoir sur les messages qu’elles reçoivent ». Merci RFI - Radio France Internationale pour l'espace de dialogue #Cyberviolences #JV #Streameuses #MeTooJeuxVidéos
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lememegeste · 2 years
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entre deux
De nouveau de nouveau c’est de même rien ne change, les mêmes fils qui poussent au ventre dedans et se ramassent en boule au centre et passent en remontée vers la poitrine là où ça tire, là où on va pour tirer ces fils-là, les cordes sensibles paraît-il et deux cents cloches en carillon au bout et des sirènes hurlantes, le tout électrifié dès qu’on y met les doigts, pas dire qu’on l’ignorait et qu’il n’y a pas eu d’alerte, de toutes ces cordes chemins rassemblées au centre c’est mille alertes qui viennent, de souvenirs simples en longs discours cent fois faits au sortir des mêmes chambres d’accusation aux tiroirs pleins de couteaux et de bibles, cette chambre pleine de discours nocturnes et de blessures ouvertes et refermées, on a entendu les alertes on a cru a de la musique, la radio du voisin peut-être, l’oreille collée au mur pour savoir ce qui se passe, à côté pas ici c’est ailleurs que ma voix je n’ai jamais dit ça, on a cru à cause du son qui venait de loin, le son lourd et bas que ça fait du dedans quand on parle en se bouchant les oreilles, on entend quelque chose on l’appelle musique et on se trompe, on ressent quelque chose on l’appelle autrement que souffrance et on se trompe aussi, ça n’est pourtant rien d’autre mais on n’est pas attentifs et on préfère entendre ce qu’on veut plutôt qu’écouter ce qui se passe vraiment, la douleur inqualifiable quand elle monte poitrine du dedans, et côté ventre aussi et côté paroles qu’on entend et qu’on dit et qui se font couteaux et bibles, les mots blessent c’est vrai mais pas seulement les insultes qu’on reçoit ou qu’on lance mais les mots dedans aussi qu’on appelle pensée, et ceux qu’on n'a besoin ni de penser ni de dire mais qui se collent à nos corps comme peau sur la peau, une membrane un film plastique au travers de quoi on respire, on tente de respirer, c’est un jeu l’asphyxie, et tout a goût et parfum de plastique verbal rien ne passe sans passer au travers, toutes choses délavées de mensonge à passer et repasser par ce filtre, cette membrane sur nos visages, les yeux ouverts collés dessus à essayer de voir au travers, c’est un jeu l’asphyxie, c’est chercher une issue et puis laisser filer, c’est un jeu de naissance et de mort comme sac et ressac, naître et mourir sans cesse à chaque respiration, et quand on ne respire plus ou pas encore on meurt ou bien on naît, c’est une porte ou l’autre et jamais on ne sait où on va, de ce côté ou de l’autre du mort ou du vivant, et d’un côté ou de l’autre on a tout oublié, tant et si bien ou si mal que rien n’a changé et que de nouveau c’est la même, on tire les mêmes fils encore, des fils à tisser des larmes par les trous des paupières aux commissures de l’œil dénommés caroncules, le trou des larmes qu’on voit quand on s’approche d’assez près d’un œil, beaucoup plus près que la distance socialement admise en dehors d’une interaction ayant le sexe, la violence ou la médecine pour finalité, sous ces conditions on peut s’approcher d’un œil, du trou des larmes et le voir d’assez près et si on a de la chance et si on a su trouver les mots et tirer sur les bons fils, sur les cordes sensibles, on peut avoir la chance de les voir couler, non pas jaillir mais sourdre, se dégager de la chair crue des paupières, des commissures de l’œil pour se masser au bord comme une bulle d’eau trouble, une bave des yeux qui va bientôt couler s’accroche encore au bord avant de faire la bascule, si pas avant essuyée d’une phalange sèche et recourbée, d’un geste qui achève le parcours, un geste qu’on a appris petits, sèche tes larmes, un geste qu’on sait faire même en l’absence de larmes pour signifier la larme et mimer le sentiment, je t’ai vu faire, et toi, et toi, et moi, il faut avoir vu ce geste pour savoir tout le mal qu’il peut contenir et le langage et la cruauté qu’il y a à essuyer une larme quand il n’y a pas de larmes, quand rien n’est issu de la commissure de quoi on s’est rapproché, plein des mots et des armes de la torture et de l’asphyxie, des couteaux et des bibles plein les mains dans la pure intention de voir de vraies larmes au plus près, bien plus près que la distance socialement admise, beaucoup trop près, sans envisager vraiment les conséquences inévitablement possibles, les mêmes fils inévitablement agitant les mêmes cloches, de nouveau de nouveau la musique et le son et l’alerte, ce dont il ne sera pas tenu compte, ce qui devra être fait et dit puisque c’est inévitablement possible, les mêmes gestes et les mêmes absences de larmes sur les mêmes phalanges crochées pour le mensonge et le langage et les mots filmés autour de la respiration
l’asphyxie c’est un jeu qui ne dure pas longtemps
de nouveau se reprendre dans le pris, dans le pli où tout coule et la captivité, la cage thoracique pour enclore d’os toute cette matière sensible de ventre et de poitrine, bien ficeler tout ça de plastique et d’os et de cordes et s’y remettre, s’en remettre et s’y remettre, y retourner vidé comme un poisson cœur et foie et ventre coulant sur une bâche et jetés à la mer comme appât pour les autres poissons, s’y remettre quand même s’en remettre de nouveau une bonne couche, vernis brillant pour tout faire reluire, pour faire retour et cycle encore et encore aller voir ailleurs de plus près, s’approcher encore du trou des larmes et voir s’il coulera cette fois pour de vrai, pour le vrai seul sans rien, pour la nudité sans plastique et sans viande et sans cordes et sans os et sans rien autour pour empêcher d’être contre, d’être au plus près dedans confondus, on s’approche encore, de si près il n’y a rien à se dire, autant se manger la langue ça sera ça de fait, de si près un visage n’a rien à dire et ne ressemble à rien, un autre trou des larmes pareil à tous les autres, carpaccio de paupière sur l’œil se rabat par-dessus et la frange des cils au bord qui se rabattent sur les cils, se referment coquillage et tout au fond l’eau salée, l’eau des larmes qu’on aimerait venir boire comme à la source, à la racine de l’œil qui n’a encore rien vu, de l’œil d’avant les mots qui n’a pas encore de paupière pour recouvrir le monde, qui s’assèche au dehors à tout en bloc regarder et reçoit l’eau des larmes comme le baptême et la bénédiction et comme la vérité, comme on aimerait les recevoir, sans le sel du mensonge qui est toujours dedans et qui les rend amères à chaque fois, un œil vu de si près qu’est-ce qu’il pourrait bien voir, on ne sait jamais que réduire les distances de nouveau
de nouveau au plus près jusqu’à l’écrasement et qu’on n’y voie plus rien, que de nouveau tout s’obscurcisse comme sous le voile noir de l’asphyxie qui vient après le voile blanc, celui des noces qui précède celui de la mort, au plus près du manque d’air et d’espace entre les choses et le monde et nous, l’espace entre les mots et les larmes, entre les larmes et le sel du mensonge, entre celui qui dit et celui qui est, entre oubli et mémoire, au plus près de cet entre-deux qui se réduit sans cesse et le mal là-dedans qu’il y a à respirer
entre deux
de nouveau
entre nous
de nouveau
de nouveau des visages se rapprochent et c’est l’un contre l’autre bientôt
de nouveau des visages se rapprochent avec dedans des langues dans le trou de la bouche
[31/08/2022]
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