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#premiere guerre mondiale
francebonapartiste · 4 months
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Verdun : Le souffle de l'héroïsme et le prix du sacrifice
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Le Rugissement du Tonnerre
Au cœur de l'hiver 1916, alors que le soleil se lève timidement sur les plaines de Verdun, un éclat fracassant déchire le silence de l'aube. Tel un rugissement du tonnerre, un déluge de feu s'abat sur les forts endormis de la ville et sur les tranchées où se terrent les braves soldats français. C'est le début de l'assaut, un assaut que les hommes n'oublieront jamais.
La Résilience des Héros
Face à cette déferlante de violence, les poilus se dressent tels des remparts, prêts à défendre chaque pouce de terre de leur patrie. Malgré la perte tragique du fier fort de Douaumont, leur bravoure ne fléchit pas. Sous la direction éclairée du commandant Philippe Pétain, les troupes s'organisent pour résister, pour riposter. La "Voie sacrée" se déploie comme une artère vitale, transportant l'espoir et le renfort jusqu'aux lignes de front. Chaque rotation, chaque relève, devient une nouvelle page dans le livre de l'héroïsme français.
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Le Souffle de l'Enfer
Mais l'horreur ne connaît pas de limites dans cette danse macabre. Avec l'arrivée des gaz asphyxiants, l'air devient un poison mortel, suffoquant les corps et brisant les âmes. Et alors que l'été s'éveille, une autre tragédie se dessine à l'horizon. L'offensive sur la Somme, censée soulager le martyre de Verdun, se transforme en un bain de sang désespéré. Et quand enfin, après dix longs mois, le silence retombe sur les champs de bataille dévastés, il laisse derrière lui un paysage de désolation.
Verdun, témoin muet de l'humanité en souffrance, reste gravé dans l'histoire comme le symbole des sacrifices et des horreurs de la Grande Guerre.
Le lourd tribut de Verdun
À la fin de cette saga infernale, alors que les canons se taisent enfin et que les soldats retournent à leurs foyers meurtris, un silence pesant plane sur les champs de bataille dévastés. Mais dans ce silence, résonnent les cris des âmes perdues, les souvenirs des camarades tombés au combat. Le bilan humain de cette journée est lourd, insoutenable. Les pertes se comptent par centaines de milliers, chaque chiffre une vie brisée, chaque nom gravé dans la pierre comme un testament à l'absurdité de la guerre.
Du côté français, 379 000 hommes ont payé le prix ultime pour défendre leur terre sacrée, tandis que du côté allemand, 335 000 âmes se sont éteintes dans les tourments de la bataille.
Verdun, telle une veuve éplorée, pleure ses enfants perdus, offrant au monde un témoignage poignant de la fragilité de l'existence humaine et de la folie des hommes.
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Portrait de mon arrière-grand-père, Martial Arsène Élie Dilis (1882-?) - Comment l’inconnu s’est révélé
En ce début d’année 2024, l’idéal aurait été de parler de mon sosa 2024. Malheureusement, je ne l’ai pas encore trouvé ! Je me contenterai donc de faire le portrait de mon sosa 24, mon arrière-grand-père maternel, Martial Arsène Élie Dilis (1882-?). Peu d’informations orales m’ont été transmises à son sujet par ma mère, qui l’a peu connu. Elle me l’a décrit comme alcoolique et rendant mon…
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D comme décorations militaires
Pour faire écho à mon article sur les blessures de guerre, je choisis aujourd’hui d’évoquer avec vous le sujet des décorations militaires et en particulier de la médaille militaire. Encore un sujet sur lequel je suis novice. Et oui, comme indiqué dans ma page de présentation, je me suis surtout concentrée sur la recherche de mes ascendants jusqu’à présent. Cela signifie que je me contentais des…
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plaque-memoire · 10 months
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Billet spécial n°4 - Les hommages aux agents SNCF
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1ère rangée : Paris Austerlitz (Paris)
2ème rangée : Paris Gare de Lyon (Paris) et Lyon Perrache (Rhône)
3ème rangée : Orléans (Loiret) ; Saint-Etienne Châteaucreux (Loire) ; Oullins (Rhône)
Le 500ème billet de blog est l'occasion d'un nouveau billet spécial. Cette fois-ci, nous n'allons pas rester dans une seule ville française, mais au contraire prendre le train et voyager entre différentes agglomérations.
Véritable institution en France, la SNCF (Société nationale des chemins de fer), officiellement créée en 1937, est une part essentielle de l'identité nationale. La figure du "cheminot" (qui regroupe un grand nombre de métiers liés à l'activité ferroviaire, comme en témoigne la diversité des qualificatifs que l'on peut lire sur certaines de ces plaques commémoratives) est ainsi un élément majeur de l'imaginaire collectif français. Ce sont en effet des générations de Français qui ont, d'une manière ou d'une autre, travaillé au contact des chemins de fer et des trains qui y circulaient. Il est donc naturel de trouver, dans un grand nombre de gares françaises (en particulier dans les grandes villes), des plaques commémoratives en hommage aux cheminots, victimes civiles ou militaires, tombées lors des conflits dans lesquels la France a été impliquée, en particulier les deux Guerres mondiales et la guerre d'Algérie.
Ainsi, pendant la Première Guerre mondiale, les chemins de fer français sont essentiels pour assurer l'acheminement des troupes, le rapatriement des blessés et des prisonniers et l'approvisionnement en armes et en matériel. De nombreux cheminots ont pris part au combat, devenant ainsi des "Poilus" ; et de nombreux autres soldats ont également rejoint les ouvriers des chemins de fer après leur démobilisation (c'est par exemple le cas de Louis de Cazenave, l'un des deux derniers Poilus, mort en 2008, qui était devenu cheminot après la guerre).
L'histoire de la SNCF durant la Seconde Guerre mondiale est plus complexe et nuancée. D'une part, il est indéniable que de nombreux cheminots ont pris part à la Résistance contre l'occupant, notamment au sein du mouvement Résistance-Fer, créé en 1943. Leurs actions comprenaient des actions de renseignement et de sabotage du matériel ferroviaire visant à perturber le fonctionnement des troupes allemandes. D'autre part, toutefois, la contribution de la SNCF aux déportations de milliers de Juifs et autres victimes du régime nazi ne saurait être niée, et il est encore aujourd'hui difficile de faire la part des choses dans les controverses qui opposent ceux qui affirment que les agents de la SNCF ont agi sous la contrainte et ceux qui prétendent que certains ont commis des excès de zèle, par exemple en allant au-delà des exigences allemandes.
La SNCF n'est initialement pas directement présente en Algérie coloniale, les chemins de fer algériens étant gérés par l'Office des chemins de fer algériens (OCFA), une société distincte créée en 1939. La SNCF sera toutefois l'un des principaux actionnaires de la Société nationale des chemins de fer français en Algérie (SNCFA), créée en 1960 en remplacement de l'OCFA. De nombreux cheminots seront mobilisés durant les combats.
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Philippe Collin - Le Barman
Présentation du premier roman de Philippe Collin, Le barman du Ritz, sur le grand hôtel de l'entre-deux-guerres à la fin de la seconde guerre mondiale.
Du Ritz Philippe Collin prend à bras-le-corps la vie de Franck Meier pour nous la proposer à sa lumière. Et, cette vie, exceptionnelle, devient savoureuse tant l’historien journaliste aime recréer, en sept parties, l’ambiance de l’époque de l’entre-deux-guerres jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale. Le bar élégant du Ritz évolue sous nos yeux avec ses privilégiés, artistes, banquiers ou…
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palmiz · 28 days
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Approfittando Dell'inerzia e collusione mondiale, i sionisti vanno avanti, più di 10.000 bambini morti e più di 20.000 bambini mutilati, oltre che un intero popolo in sfratto.
E ditemi che non era premeditato da anni...
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Né le 8 juillet 1831 à Knoxville, en Géorgie, John Stith Pemberton est entré dans l'histoire en tant qu'inventeur de l'une des boissons les plus populaires au monde : le Coca-Cola. Décédé le 16 août 1888 à Atlanta, sa vie fut marquée par l'innovation et la transformation d'une simple idée en un phénomène global.
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John Pemberton, issu d'une famille modeste avec son père James Clifford Pemberton et sa mère Martha L. Gant, a montré très tôt un intérêt pour la chimie et la médecine. Après avoir terminé ses études au Wesleyan College, il a choisi de poursuivre une carrière en pharmacie, une décision qui allait s'avérer révolutionnaire. En 1853, il épousa Ann Eliza Clifford Lewis. Le couple eut un fils, Charles Ney Pemberton, qui fut plus tard impliqué dans les affaires de son père. La vie familiale de Pemberton, bien qu'importante pour lui, était souvent éclipsée par ses expériences et découvertes en pharmacie. Avant de créer sa recette mondialement célèbre, Pemberton avait déjà fait preuve d'innovation dans le domaine pharmaceutique. En effet, il fut un des premiers à formuler ce qu'on appelle des "sodas médicinaux", des boissons conçues pour soulager divers maux en utilisant des extraits de plantes. L'histoire de Coca-Cola commence réellement dans les années 1880, lorsque Pemberton cherchait à créer un remède contre les maux de tête et la fatigue. Le contexte était celui d'une Amérique en pleine transformation, où l'urbanisation et le changement de mode de vie créaient de nouveaux besoins chez les citoyens. La première version de ce qui deviendra le Coca-Cola était initialement une boisson alcoolisée à base de vin de coca, connue sous le nom de "French Wine Coca". Toutefois, avec l'introduction des lois de prohibition à Atlanta en 1886, Pemberton a été contraint de reformuler sa boisson pour en retirer l'alcool, remplaçant le vin par un sirop sucré mélangé à de l'extrait de feuille de coca et à de la noix de kola, d'où le nom Coca-Cola. Le nouveau breuvage fut d'abord vendu en pharmacie comme un remède exotique pour divers maux, mais son goût unique et rafraîchissant en fit rapidement une boisson appréciée à sa propre valeur. Pemberton n'avait pas les moyens de commercialiser massivement son invention, mais il a vu le potentiel de son produit. Il s'est associé avec des hommes d'affaires locaux et a commencé à vendre le sirop aux pharmacies de la région, où il était mélangé à de l'eau gazeuse et servi au comptoir. Malheureusement, Pemberton ne verra pas le succès mondial de son invention. Affaibli par des années de dépendance à la morphine, une conséquence de blessures subies pendant la guerre de Sécession, il vendit les parts restantes de son entreprise à Asa Candler, un entrepreneur local. Candler fut celui qui transforma Coca-Cola en un géant mondial de l'industrie des boissons, utilisant des techniques de marketing innovantes pour rendre la marque synonyme de rafraîchissement et de plaisir. Il mourut en 1888, laissant derrière lui une boisson qui deviendrait un symbole de la culture américaine et un produit consommé par des millions de personnes dans le monde. Sa vie et son œuvre restent un témoignage de l'ingéniosité et de l'entrepreneuriat, démontrant comment une simple idée peut évoluer pour devenir une partie intégrante de la vie quotidienne globale.
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albad · 1 month
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QUAND EINSTEIN ET ARENDT DÉNONÇAIENT LE «FASCISME» EN ISRAËL
- Histoire -
Dès 1948, certains fondateurs d'Israël étaient déjà dénoncés, non seulement comme étant des criminels de guerre, mais aussi comme des fascistes. Un mot lourd de sens, à la sortie immédiate de la Seconde Guerre mondiale, de la part d'une génération qui connait dans sa chair le sens de la barbarie, au lendemain de la Shoah. L'usage de ce terme est encore plus fort puisqu'il est utilisé par de grands intellectuels juifs, qui savent parfaitement de quoi ils parlent, notamment Albert Einstein, plus grand physicien du siècle, et Hannah Arendt, spécialiste du totalitarisme.
En effet, dans une tribune publiée dans le New York Times à la fin de l'année 1948, de grandes figures scientifiques et intellectuelles protestent contre la venue de Menahem Begin aux USA. Cette année là, l'État israélien vient de naître dans le sang des palestiniens et Begin, sioniste de droite qui sera plus tard Premier Ministre d'Israël, vient affirmer son existence politique dans la première puissance occidentale.
Begin n'est pas n'importe qui : il est non seulement l'un des fondateurs d'Israël, mais il est à l'origine du Likoud, le parti actuellement au pouvoir, celui de Netanyahou. En 1948, tout semble déjà dénoncé clairement dans cette tribune : les idées d'extrême droite, les méthodes «fascistes», le «mysticisme religieux» et le «suprémacisme racial» de ce courant fondateur, qui s'est imposé à la tête d'Israël par la suite. 76 ans après, cette description semble plus vraie que jamais.
Pourtant, aujourd'hui en France, utiliser les mots signés par Einstein et Arendt pourrait conduire à des poursuites pour «apologie du terrorisme».
Cette tribune étonnante est à lire et à faire lire, car elle rappelle que dès sa fondation, Israël ne représentait pas «les» juifs et que cet État, dans la forme coloniale et suprémaciste qu'il prenait, était même contesté radicalement par de nombreuses personnalités juives :
«La visite de Menahem Begin et les objectifs de son mouvement politique
Aux rédacteurs du New York Times
L'un des phénomènes politiques les plus inquiétants de notre époque est l'émergence, dans l'État nouvellement créé d'Israël, du «Parti de la liberté» (Tnuat Haherut), un parti politique dont l'organisation, les méthodes, la philosophie politique et l'appel social sont très proches de ceux des partis nazi et fasciste. Il a été créé par les membres et les partisans de l'ancien Irgoun Zvai Leumi, une organisation terroriste d'extrême droite et nationaliste en Palestine.
La visite actuelle de Menahem Begin, leader de ce parti, aux États-Unis, vise manifestement à donner l'impression d'un soutien américain à son parti lors des prochaines élections israéliennes et à consolider ses liens politiques avec les éléments sionistes conservateurs aux États-Unis. Plusieurs Américains de renommée nationale ont prêté leur nom pour saluer sa visite. Il est inconcevable que ceux qui s'opposent au fascisme dans le monde entier, s'ils sont correctement informés du bilan politique et des perspectives de M. Begin, puissent se porter caution par leur nom et leur soutien pour le mouvement qu'il représente.
Avant que des dommages irréparables ne soient causés par des contributions financières, des manifestations publiques en faveur de Begin et la création en Palestine de l'impression qu'une grande partie de l'Amérique soutient les éléments fascistes en Israël, le public américain doit être informé des antécédents et des objectifs de M. Begin et de son mouvement.
Les déclarations publiques du parti de Begin ne permettent pas de se faire une idée de son caractère réel. Aujourd'hui, ils parlent de liberté, de démocratie et d'anti-impérialisme, alors qu'il y a peu, ils prêchaient ouvertement la doctrine de l’État fasciste. C'est dans ses actions que ce parti terroriste trahit sa véritable nature ; ses actions passées nous permettent de juger de ce que l'on peut attendre de lui à l'avenir.
Attaque d'un village arabe
Un exemple choquant est leur comportement dans le village arabe de Deir Yassine. Ce village, à l'écart des routes principales et entouré de terres juives, n'avait pris aucune part à la guerre et avait même repoussé les groupes arabes qui voulaient l'utiliser comme base. Le 9 avril, des bandes terroristes ont attaqué ce village paisible, qui n'était pas un objectif militaire dans les combats, ont tué la plupart de ses habitants (240 hommes, femmes et enfants) et en ont gardé quelques-uns en vie pour les faire défiler comme captifs dans les rues de Jérusalem. La majeure partie de la communauté juive a été horrifiée par cet acte et l'Agence juive a envoyé un télégramme d'excuses au roi Abdallah de Transjordanie.
Mais les terroristes, loin d'avoir honte de leur acte, étaient fiers de ce massacre, en firent une large publicité et invitèrent tous les correspondants étrangers présents dans le pays à voir les cadavres entassés et la destruction qui régnait à Deir Yassine.
L'incident de Deir Yassine illustre le caractère et les actions du Parti de la Liberté.
Au sein de la communauté juive, il a prêché un mélange d'ultranationalisme, de mysticisme religieux et de suprémacisme racial. Comme d'autres partis fascistes, il a été utilisé pour briser des grèves et a lui-même fait pression pour la destruction des syndicats libres. À la place, ils ont proposé des syndicats d'entreprise sur le modèle du fascisme italien.
Au cours des dernières années de violences antibritanniques sporadiques, l'Irgoun et le groupe Stern ont inauguré un règne de terreur au sein de la communauté juive de Palestine. Des enseignants ont été roués de coups pour s'être exprimés contre eux, des adultes ont été abattus pour ne pas avoir permis à leurs enfants de les rejoindre. Par des méthodes de gangsters, des passages à tabac, des bris de vitrines et des vols à grande échelle, les terroristes ont intimidé la population et exigé un lourd tribut.
Les membres du Parti de la liberté n'ont pris aucune part aux réalisations constructives en Palestine. Ils ne se sont emparés d'aucune terre, n'ont construit aucune colonie et n'ont fait qu'entraver l'activité de défense juive. Leurs efforts en matière d'immigration, qui ont fait l'objet d'une grande publicité, ont été infimes et ont été consacrés principalement à l'importation de leurs compatriotes fascistes.
Contradictions
Les contradictions entre les affirmations audacieuses de Begin et de son parti et leur bilan en Palestine révèlent clairement qu'il ne s'agit pas d'un parti politique ordinaire. C'est la marque indubitable d'un parti fasciste pour lequel le terrorisme (contre les Juifs, les Arabes et les Britanniques) et les fausses déclarations sont des moyens, et l'érection d'un «État dominant» est la fin.
À la lumière des considérations qui précèdent, il est impératif que la vérité sur M. Begin et son mouvement soit connue dans ce pays. La situation est d'autant plus tragique que les principaux dirigeants du sionisme américain ont refusé de faire campagne contre les efforts de Begin, ou même d'exposer à leurs propres électeurs les dangers que représente pour Israël le soutien à Begin.
Les soussignés prennent donc ce moyen pour présenter publiquement quelques faits saillants concernant Begin et son parti, et pour exhorter toutes les personnes concernées à ne pas soutenir ce dernier avatar du fascisme.
New York, 2 décembre 1948
ISIDORE ABRAMOWITZ, HANNAH ARENDT, ABRAHAM BRICK, RABBIN JESSURUN CARDOZO, ALBERT EINSTEIN, HERMAN EISEN, M.D., HAYIM FINEMAN, M. GALLEN, M.D., H.H. HARRIS, ZELIG S. HARRIS, SIDNEY HOOK, FRED KARUSH, BRURIA KAUFMAN, IRMA L. LINDHEIM, NACHMAN MAISEL, SEYMOUR MELMAN, MYER D. MENDELSON, M.D., HARRY M. OSLINSKY, SAMUEL PITLICK, FRITZ ROHRLICH, LOUIS P. ROCKER, RUTH SAGIS, ITZHAK SANKOWSKY, I.J. SHOENBERG, SAMUEL SHUMAN, M. SINGER, IRMA WOLFE, STEFAN WOLFE.»
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Source de la traduction : https://blogs.mediapart.fr/alain-marshal/blog/081223/quand-albert-einstein-et-hannah-arendt-denoncaient-le-fascisme-naissant-en-israel
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aurevoirmonty · 1 month
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« Les migrations de masse, subies avec une suprême inconscience et une effarante bêtise par ceux-là mêmes qui en sont les victimes, sont le cœur d'une stratégie de mort, et non les convulsions incompréhensibles d'un monde devenu fou. Elles ne sont pas un problème, fût-ce parmi les plus importants, de notre époque, elles sont, tout simplement, LE problème. Elles sont la Quatrième Etape [après les deux premières guerres mondiales et la troisième guerre psychologique de rééducation des peuples européens et d'incessant lavage des cerveaux - NDT] - qui a connu une accélération vertigineuse après l'écroulement du bloc soviétique - de l'Agression, elles sont l'arme brandie par les Frères de l'Hallucination, "frères aînés" ou non, ce sont des actes de guerre accomplis par le Système contre tous les peuples. En premier lieu contre les Européens, les seuls à conserver dans leur patrimoine génétique, en dépit de toutes les formes de rééducation, la capa­cité scientifique, la volonté d'organisation et l'équilibre éthique pour offrir à l'humanité des solutions anciennes et nouvelles aux immenses défis imposés par l'application de modèles de pensée aberrants''. […]
Reste donc, irréductible comme il y a deux millénaires, le conflit entre les porteurs de deux mentalités opposées et inconciliables, entre deux conceptions ou visions du monde. Restent, incompatibles, l'un contre l'autre armés, "racisme" et "antiracisme", Cosmos païen et Royaume judaïque. Restent, irréductibles comme il y a deux millénaires, les nœuds de la dis­pute entre deux épistémologies incommensurables, entre deux univers idéologico-discursifs pourvus chacun de son propre Système de valeurs. »
Gianantonio Valli (1949-2015)
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Écrire comme Nathalie Sarraute
Après avoir suivi la routine d'écriture très casanière de Susan Sontag, il était temps d'écrire dans un hors de soi, de rendre son bureau d'écrivain toujours plus nomade. C'est pourquoi j'ai choisi, pendant une journée, de m'essayer à la routine d'écriture de Nathalie Sarraute.
Selon la BNF,
C’est sans doute au cours de la deuxième guerre mondiale – parce qu’à l’époque il s’agissait des rares lieux chauffés en permanence – que Sarraute conçut le rituel d’écriture qu’elle suivit presque jusqu’à sa mort, à 99 ans. Tous les matins, même le dimanche, elle se rendait à un café, « Le Marceau », avenue Marceau, à cinq minutes à pied de chez elle. Elle s’asseyait toujours à la même table et se faisait servir une tasse de café et un pot d’eau chaude. Elle se munissait de feuilles volantes, de ses cahiers de brouillon et de deux stylos feutres, au cas où l’un d’eux viendrait à lui faire défaut. Le café était tenu par des Libanais et les conversations en arabe, qu’elle ne comprenait pas, lui permettaient paradoxalement de se concentrer. Dans ce brouhaha ambiant, elle pouvait sans déranger murmurer ce qu’elle était en train d’écrire.
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Pour commencer à écrire, je me suis donc rendue dans la matinée dans un café non loin de chez moi, je me suis assise devant une fenêtre et j'ai pris un thé (évidemment). J'avais plusieurs objectifs d'écriture ce matin-là : écrire un peu dans mon journal, faire de l'écriture automatique puis me concentrer sur un appel à textes en anglais. Le tout sur papier, puisque Nathalie Sarraute écrivait sur feuilles.
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J'ai passé une dizaine de minutes sur mon journal, comme un échauffement. Puis, j'ai utilisé une autre de mes méthodes "d'inspiration" pour lancer une session d'écriture automatique : j'ai tiré au hasard une carte dans mon jeu de tarot (j'utilise Le Tarot surréaliste) et noté sa signification. Je suis tombée ce jour-là sur le 10 de bâtons, la suite des bâtons représentant la folie et le 10, selon Massimiliano Filadoro, le Blanc-Seing. J'ai pris quelques notes sur ce que ls significations données m'inspiraient, puis j'ai amorcé un récit.
Finalement, cette histoire m'a semblée parfaite pour intégrer mon recueil de nouvelles en cours d'écriture. J'en ai rédigé une page, puis j'ai échaffaudé un plan narratif assez vague pour me permettre une certaine liberté dans la rédaction. En tout, j'ai passé une heure sur ce début de nouvelle.
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J'ai terminé cette matinée d'écriture en me concentrant sur un appel à textes, celui du tout nouveau magazine littéraire & artistique Nowhere Girl Collective, fondé par Dakota Warren. Le thème de l'appel à textes de novembre est ouroboros, un symbole cyclique qui renvoie à l'auto-manducation, à l'autodestruction et au cycle de la vie. À partir de ce sujet, j'ai rédigé le premier jet d'un poème :
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Ayant rempli tous mes objectifs d'écriture pour la journée, je me suis alors rendue au cinéma pour voir Le Règne animal, réalisé par Thomas Cailley. La question du devenir-animal y rejoint celle du devenir soi et du coming of age, mêlant ainsi réflexion sur l'adolescence et, plus généralement, sur la nature humaine. J'ai beaucoup aimé ce film, très bien réalisé et qui aborde avec justesse la notion de deuil.
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Alors, plutôt Susan Sontag ou Nathalie Sarraute ?
Pour ma part, la routine de Sarraute m'a complétement séduite, et m'a qui plus est permise de trouver un café près de chez moi, parfait pour aller écrire dans un équilibré mélange de bruits ambiants et de silence, de mouvement et de tranquillité. Mes productions m'ont beaucoup plus plues que celles écrites la semaine dernière, dont je me suis très rapidement détachée ; j'ai amorcé une nouvelle qui me plaît bien plus que la précédente et je suis pour l'instant relativement satisfaite du poème écrit pour l'appel à textes.
Sur ce, l'on se retrouvera dans un prochain article.
Littérairement vôtre,
Ève
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vague-abondage · 4 months
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Je suis né en 1902
Je ne suis jamais revenu dans ma ville natale
Je n’aime pas les retours.
À l’âge de trois ans à Alep, je fis profession de petit-fils de pacha
à dix-neuf ans, d’étudiant à l’université communiste de Moscou
à quarante-neuf ans à Moscou, d’invité du Comité central,
et depuis ma quatorzième année, j’exerce le métier de poète.
Il y a des gens qui connaissent les diverses variétés de poissons moi celles des séparations.
Il y a des gens qui peuvent citer par cœur le nom des étoiles, moi ceux des nostalgies.
J’ai été locataire et des prisons et des grands hôtels,
J’ai connu la faim et aussi la grève de la faim et il n’est pas de mets dont j’ignore le goût.
Quand j’ai atteint trente ans on a voulu me pendre,
à ma quarante huitième année on a voulu me donner le Prix mondial de la Paix
et on me l’a donné.
Au cours de ma trente-sixième année, j’ai parcouru en six mois quatre mètres carrés de béton.
Dans ma cinquante-neuvième année j’ai volé de Prague à La Havane en dix-huit heures.
Je n’ai pas vu Lénine, mais j’ai monté la garde près de son catafalque en 1924.
En 1961 le mausolée que je visite, ce sont ses livres.
On s’est efforcé de me détacher de mon Parti
ça n’a pas marché
Je n’ai pas été écrasé sous les idoles qui tombent.
En 1951 sur une mer, en compagnie d’un camarade, j’ai marché vers la mort.
En 1952, le cœur fêlé, j’ai attendu la mort quatre mois allongé sur le dos.
J’ai été fou de jalousie des femmes que j’ai aimées.
Je n’ai même pas envié Charlot pour un iota.
J’ai trompé mes femmes
Mais je n’ai jamais médit derrière le dos de mes amis.
J’ai bu sans devenir ivrogne,
Par bonheur, j’ai toujours gagné mon pain à la sueur de mon front.
Si j’ai menti c’est qu’il m’est arrivé d’avoir honte pour autrui,
J’ai menti pour ne pas peiner un autre,
Mais j’ai aussi menti sans raison.
J’ai pris le train, l’avion, l’automobile,
la plupart des gens ne peuvent les prendre.
Je suis allé à l’opéra
la plupart des gens ne peuvent y aller et en ignorent même le nom,
Mais là où vont la plupart des gens, je n’y suis pas allé depuis 1921 :
à la Mosquée, à l’église, à la synagogue, au temple, chez le sorcier,
mais j’ai lu quelquefois dans le marc de café.
On m’imprime dans trente ou quarante langues
mais en Turquie je suis interdit dans ma propre langue.
Je n’ai pas eu de cancer jusqu’à présent,
On n’est pas obligé de l’avoir
je ne serai pas Premier ministre, etc.
et je n’ai aucun penchant pour ce genre d’occupation.
Je n’ai pas fait la guerre,
Je ne suis pas descendu la nuit dans les abris,
Je n’étais pas sur les routes d’exode, sous les avions volant en rase-mottes,
mais à l’approche de la soixantaine je suis tombé amoureux.
En bref, camarade,
aujourd’hui à Berlin, crevant de nostalgie comme un chien,
Je ne puis dire que j’ai vécu comme un homme
mais le temps qu’il me reste à vivre,
et ce qui pourra m’arriver
qui le sait ?
Nâzim Hikmet
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iranondeaira · 8 months
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« Et de fait, rien ne rend peut-être plus palpable l’énorme régression dans laquelle est entrée l’humanité depuis la première guerre mondiale que les restrictions apportées à la liberté de mouvement des hommes et à leurs libertés. Avant 1914, la terre appartenait à tous ses habitants. Chacun allait où il voulait et y restait aussi longtemps qu’il voulait. Il n’y avait pas de permissions, pas d’autorisations, et cela m’amuse toujours de voir l’étonnement des jeunes lorsque je leur raconte qu’avant 1914, je voyageais en Inde et en Amérique sans avoir de passeport et même n’en avais jamais vu aucun. On montait dans le train et on en descendait sans rien demander, sans qu’on vous demandât rien, on n’avait pas à remplir un seul de ces centaines de papiers qu’on réclame aujourd’hui. Il n’y avait ni permis, ni visas, ni tracasseries ; ces mêmes frontières qui, avec leurs douaniers, leur police, leurs postes de gendarmerie, sont aujourd’hui transformées en réseau de barbelés en raison de la méfiance pathologique de tous envers tous, n’étaient rien d’autre que des lignes symboliques qu’on traversait avec autant d’insouciance que le méridien de Greenwich. C’est seulement après la guerre que le monde se vit bouleversé par le national-socialisme, et le premier phénomène qu’engendra cette épidémie spirituelle de notre siècle fut la xénophobie : la haine ou du moins la peur de l’autre. On se défendait partout contre l’étranger, partout on l’excluait. Toutes les humiliations qu’autrefois on avait inventées exclusivement contre les criminels, on les infligeait maintenant à tous les voyageurs avant et pendant le voyage. Il fallait se faire photographier de droite et de gauche, de profil et de face, les cheveux coupés assez court pour que l’oreille fût visible, il fallait donner ses empreintes digitales, d’abord le pouce seul, puis les dix doigts, il fallait en plus présenter des certificats : de santé, de vaccination, de police, de bonne vie et mœurs, des recommandations, il fallait pouvoir présenter des invitations et des adresses de parents, il fallait fournir des garanties morales et financières, remplir des formulaires et les signer en trois, quatre exemplaires, et s’il manquait ne fût-ce qu’une feuille de ce tas de paperasses, on était perdu. »
- Stefan Zweig, Le monde d'hier, souvenir d'un européen
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telomereschronicles · 2 months
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D'où viennent les Supes ?
Les Super Humains, ou simplement Supes, sont quelque chose de normal, dans ce monde où on peut voir leurs exploits tous les jours simplement en allumant la télévision. Qu’iels soient des héros ou des vilains, les Supes sont devenu.es le quotidien pour beaucoup de gens en Europe et en Amérique. Mais que sait-on vraiment sur eux ? 
Tout d’abord, il y a la propagande servie par les trois grandes corporations de super-héros du monde. Les Supes seraient des miracles, tout simplement, envoyé.es pour protéger l’Humanité et la guider vers quelque chose de mieux. Et pour beaucoup, surtout aux Etats-Unis, les Supes sont effectivement cela, des créations de Dieu pour apporter justice, rédemption et protection, tout ça bien entendu soutenu par la propagande de Nova et Vortex. En Europe, si on considère que les Supes sont également des protecteurs, l’accent est surtout mis sur l’incroyable suite d'événements qui ont conduit à ce hasard de la génétique et Rackham continue de clamer encore aujourd’hui que c’est spontanément que les Supes viennent au monde. Pour une majorité de personnes, toute cette propagande est devenue réalité et beaucoup ont oublié, ou ne connaissent simplement pas, l’histoire derrière le mythe.
Les Super Humains ne sont pas apparus spontanément. Iels ont été créés grâce à un homme, Mikhail Volkov, chercheur russe qui a mis au point un sérum pour changer la nature même de l’humanité. Si initialement, son but a été de créer des super-soldats durant la Première Guerre mondiale, il a créé une révolution génétique sans précédent qui fut rapidement reprise par d’autres chercheurs à travers le globe. Les trois corporations gérant les héros dans le monde, Nova, Vortex et Rackham, sont les héritières de Volkov et des premiers chercheurs en génétique à avoir un jour créé ces Super Humains.  
De nos jours, même si ce fait est peu connu, les Supes sont toujours créé.es, avec des méthodes que l’on peut qualifier de louches et très peu éthiques. En effet, la plupart des Supes ont reçu des doses de sérum lorsqu’iels étaient bébés ou jeunes enfants. Aucun hasard derrière tout ça, aucun miracle envoyé sur terre pour protéger l’Humanité, comme tout le reste dans ce monde, les Supes sont des produits, créé.es dans un seul but : faire vendre.
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Plaque en hommage à : Georges Guynemer
Type : Lieu de naissance
Adresse : 89 rue de la Tour, 75016 Paris, France
Date de pose :
Texte : En ce lieu est né le 24 décembre 1894 le capitaine aviateur Guynemer, pilote de chasse aux 53 victoires, disparu en combat aérien le 11 septembre 1917, glorifié au Panthéon. « ... symbole des aspirations et des enthousiasmes de l'Armée de la Nation. »
Quelques précisions : Georges Guynemer (1894-1917) est un militaire et aviateur français, et l'une des figures légendaires de l'aviation, notamment grâce au rôle qu'il a joué au sein de l'Escadrille des Cigognes, qui a remporté un grand nombre de victoires durant la Première Guerre mondiale. Parvenant à devenir pilote en dépit de sa santé fragile, il s'illustre rapidement au sein de son escadrille (dont il finira par prendre le commandement), remportant dès juillet 1915 ses premières victoires et est reconnu comme un as de l'aviation française. Il prend part à la bataille de Verdun en mars 1916, durant laquelle il est blessé, et aux combats dans la Somme en 1917. En septembre de la même année, il est porté disparu après une escarmouche contre des avions allemands : ni son avion ni son corps ne seront jamais retrouvés, et les circonstances exactes de sa mort restent floues. Ce destin imprécis participe à la légende qui l'entoure encore aujourd'hui, et il reçoit de très nombreux hommages, en particulier militaires, après sa mort.
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Julie Héraclès - Vous ne connaissez
Rien de moi RENTREE LITTERAIRE 2023 Prix Stanislas Groupama 2023 Julie Heraclès donne une autre voix à la jeune femme photographiée par Robert Capa, le 16 juin 1944, que l’on nomme la “Tondue de Chartres”. En alternant les chapitres qui enchevêtrent le présent de l’arrestation et son passé, une Simone Grivise se raconte et se dévoile, différente de la femme photographiée, dans ce premier…
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1914. Les années de la Première Guerre mondiale où les agriculteurs qui cultivaient du « chanvre » en échange de dollars américains. Le chanvre industriel n'est pas seulement une plante agricole c'est l'antidote contre le pétrole et le dollar. Comment le chanvre a été interdit ?
1. Un acre de chanvre produit autant d'oxygène que 25 acres de forêt.
2. Un acre de chanvre peut produire autant de papier que 4 acres d'arbres.
3. Alors que le chanvre peut être transformé en papier 8 fois, le bois ne peut devenir du papier que 3 fois.
4. Le chanvre pousse en 4 mois, le bois en 20-50 ans.
5. Le cannabis est un véritable piège à radiations.
6. Le cannabis peut être cultivé partout dans le monde et nécessite très peu d'eau. De plus, comme il peut chasser les insectes, il n'a pas besoin de pesticides.
7. Si les textiles fabriqués à partir de chanvre se généralisent, l'industrie des pesticides pourrait complètement disparaître.
8. Les premiers jeans étaient fabriqués à partir de chanvre ; même le mot « KANVAS » est le nom que reçoivent les produits à base de chanvre. Le chanvre est aussi une plante idéale pour la fabrication de cordes, lacets, sacs à main, chaussures et chapeaux.
9. Il réduit les effets de la chimiothérapie et des rayonnements sur le traitement du cannabis, du sida et du cancer ; il est utilisé dans au moins 250 maladies telles que les rhumatismes, le cœur, l'épilepsie, l'asthme, l'estomac, l'insomnie, la psychologie et les maladies de la colonne vertébrale.
10. La valeur protéique des graines de chanvre est très élevée et les deux acides gras qu'elle contient ne se trouvent nulle part ailleurs dans la nature.
11. Le chanvre est encore moins cher à produire que le soja.
12. Les animaux nourris au cannabis n'ont pas besoin de suppléments hormonaux.
13. Tous les produits en plastique peuvent être fabriqués à partir de chanvre, et le plastique de chanvre est très facile à remettre à la nature, il est biodégradable.
14. Si la carrosserie d'une voiture est faite de chanvre, elle sera 10 fois plus résistante que l'acier.
15. Peut aussi être utilisé pour isoler les bâtiments ; il est durable, bon marché et flexible.
16. Les savons et les cosmétiques à base de chanvre ne polluent pas l'eau et sont donc totalement respectueux de l'environnement.
En Amérique du XVIIIe siècle, leur production était obligatoire et les paysans qui ne produisaient pas étaient emprisonnés. Mais maintenant la situation est inversée. W. Р. Hearst était propriétaire de journaux, magazines et médias aux États-Unis dans les années 1900. Il avait des forêts et produisait du papier. Si le papier avait été fabriqué avec du chanvre, il aurai pu perdre des millions. Rockefeller était l'homme le plus riche du monde. Il avait une compagnie pétrolière. Le biocarburant, l'huile de chanvre, était bien sûr son plus grand ennemi. Mellon était l'un des principaux actionnaires de la société Dupont et détenait un brevet pour la fabrication de plastique à partir de produits pétroliers. L'industrie du cannabis menaçait leur marché. Plus tard, Mellon est devenu secrétaire au Trésor du président Hoover. Ces grands noms ont décidé lors de leurs réunions que le cannabis était l'ennemi et l'ont éliminé.
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