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#poésie anglaise
orendil · 21 days
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Je suis – mais ce que je suis, nul ne le sait ou s'en soucie ; Mes amis m'abandonnent comme un souvenir fané par le temps : N'ayant que mes fidèles tourments pour seule compagnie – Ils surgissent et disparaissent, visiteurs absents Telles les affres fantomatiques d'un amour tumultueux inassouvi – Quoi qu'il en soit, je suis et je vis – telles des vapeurs dans le vent.
Je tends vers un lieu où jamais l'homme n'a pu aller, Un pays où nulle femme n'a jamais pleuré ni souri, Je pourrais y vivre avec le Dieu qui m'a créé, Et dormir insouciant comme dans l'enfance j'ai dormi, Ni incommodant ni incommodé, je reposerai, Sur un lit d'herbe tendre – sous la voûte du ciel étoilé.
John Clare, Je Suis
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prosedumonde · 7 months
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Je ne te maudis pas, mon coeur s’est trop perdu dans le tien,  Mais celle que tu vas abandonner est une créature abusée,  Tourterelle délaissée et perdue dont on reconnaît l’aile blessée au désordre des plumes.
John Keats, Poèmes choisis • La Vigile de la Sainte-Agnès
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oreilletendue · 3 months
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Le poète-hockeyeur
Dans «Double-Backed Puckster», une nouvelle de janvier 1938, Ralph Powers met en scène un jeune hockeyeur qui passe du sport collégial à une ligue professionnelle. Le moins que l’on puisse dire est que Clarence «Tillie» Tillingworth a des habitudes culturelles inattendues dans ce milieu. Quand on l’interroge sur son nom, jugé rare, il répond en citant Shakespeare (p. 95). Sa définition du…
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icariebzh · 3 months
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Je suis un radeau social qui bouge quand ça balance et plein de méduses, si belles qui piquent. Je suis le moi du je dans des poésies non référencées, dans les guides, dans des photos à l'oeil, dans des HELP angels  Ecoute et monte le son, les voisins sont morts, ou presque; on nez pas pressé non plus. Je range les bêtes, c'est mon tour, labour , la guerre, c'est pareil, j'émiette ma terre  et je veille au grain de l'Angélus., déjà dépassé- Y'a plus d'heure au clocher; ça fait de l'inconvénient sur le bulletin des vivres en stock à température régulée. Je, dans mes inconvénients et mes aises pour qu'on m'égoutte, élastiques, de mots, aphorismes des quatre saisons mais toujours bienvenus, paroles solitaires, je like essence , j'ai mes anglaises sur l'incontinent. Je suis un brin papier, d'Arménie parfumé au malappris qui croyait prendre, un brin de peur au milieu des autres. Je suis où je n'ai jamais rien demandé, dans un truc, un machin, une flatulence qui me dépasse, un boléro marin, qui me dépasse, qui m'effondre même ,sans honte  Et je me bouée de sauvegarde jusqu'à l'arrivée des secours, disparus dans la tourmente.
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whencyclopedfr · 6 days
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Beowulf
Beowulf est un poème épique de 3 182 vers, composé en vieil anglais. Il est composé de vers allitératifs, style fréquent dans la poésie du vieil anglais ainsi que dans des ouvrages rédigés dans des langues telles que le vieux haut-allemand, le vieux saxon et le vieux norrois. Beowulf est considéré comme l'un des plus anciens poèmes subsistant dans la langue anglaise. L'auteur du poème est inconnu et est généralement appelé tout simplement le 'poète de Beowulf''. La date de composition du poème est également inconnue. Certains arguments plaident en faveur d'une origine remontant au VIIe siècle. Le poème raconte l'histoire de Beowulf en tant que personnage légendaire, héros des Gètes, un peuple de l'Allemagne du Nord qui vivait dans l'actuel Gotaland, dans le sud de la Suède. Après avoir combattu une série de monstres, Beowulf règnerait sur le peuple Gète pendant une cinquantaine d'années.
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“Quelle serait une société universelle qui n’aurait point de pays particulier, qui ne serait ni française, ni anglaise, ni allemande, ni espagnole, ni portugaise, ni italienne, ni russe, ni tartare, ni turque, ni persane, ni indienne, ni chinoise, ni américaine, ou plutôt qui serait à la fois toutes ces sociétés ? Qu’en résulterait-il pour ses mœurs, ses sciences, ses arts, sa poésie ? Comment s’exprimeraient des passions ressenties à la fois à la manière des différents peuples dans les différents climats ? Comment entrerait dans le langage cette confusion de besoins et d’images produits des divers soleils qui auraient éclairé une jeunesse, une virilité et une vieillesse commune ? Et quel serait ce langage ? De la fusion des sociétés résultera-t-il un idiome universel, ou bien y aura-t-il un dialecte de transaction servant à l’usage journalier, tandis que chaque nation parlerait sa propre langue, ou bien les langues diverses seraient-elles entendues de tous ? Sous quelle règle semblable, sous quelle loi unique existerait cette société ? Comment trouver place sur une terre agrandie par la puissance d’ubiquité, et rétrécie par les petites proportions d’un globe fouillé partout ? Il ne resterait qu’à demander à la science le moyen de changer de planète. ”
Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe
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marie-swriting · 1 year
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Tu Vois Vraiment Rien - Robin Buckley
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Stranger Things Masterlist
Résumé : Tu as le béguin pour Robin et tu tentes de le lui faire comprendre. Malheureusement, elle ne comprend pas le message facilement.
Warnings : Robin ne remarque rien, moments embarrassants, pining mutuelle, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.2k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Chance par Hayley Kiyoko
Les cassettes VHS dans tes mains, tu prends une grande inspiration avant d’entrer dans Family Video, un sourire sur ton visage sachant que tu vas la voir. Steve t’accueille quand il entend la porte. Quand tu le regardes, tu remarques qu’il est seul. Ton sourire disparaît en un instant. Tu essayes de cacher ta déception tout en donnant les cassettes à Steve.
-Robin n’est pas là aujourd’hui ? Je croyais qu’elle travaillait, lui demandes-tu alors qu’il vérifie les VHS.
-Elle est ici. Elle est juste à l’arrière, en train de ranger les cassettes.
-Oh ok, dis-tu pendant que ton sourire réapparait.
-Tout est bon. Tu peux prendre d’autres films, si tu veux.
-Merci.
Tu te diriges dans un autre rayon, cherchant le documentaire dont ton père t’a parlé. Pendant ce temps, Steve court auprès de Robin. Elle le regarde bizarrement, car il paraît paniqué.
-Je vais m’occuper de ça. Tu devrais aller voir le client, lui dit-il et elle fronce ses sourcils.
-Pourquoi ? C’est quelqu’un que t’aimes pas ?
-En fait, c’est quelqu’un que tu aimes, corrige Steve, Robin ne comprend pas. Y/N est là. Vas-y.
-Quoi ? Non ! Je vais me ridiculiser et tu le sais, rétorque Robin, nerveuse.
-Mais non ! Allez, ça fait quatre mois que tu as le béguin pour elle. S’il te plait, aies une parfaite vie amoureuse pour nous.
-Rien ne va se passer.
-Si tu ne veux pas tenter ta chance, va au moins faire ton job avec elle, l’encourage Steve.
Robin réfléchit pendant quelques secondes avant de répondre.
-Je te déteste, Harrington.
-Un jour, tu me diras merci.
Robin lève les yeux au ciel avant d’aller au comptoir où elle te trouve en train d’attendre, une cassette en mains. Tu souris de toutes tes dents pendant que tu lui donnes le documentaire. Robin tente de cacher sa nervosité en ne te regardant pas dans les yeux.
-Ça sera tout ? te demande-t-elle.
-Oui, dis-tu en lui donnant l’argent.
Tu restes silencieuse alors qu’elle te rend ta monnaie.
-Mon père voulait ce documentaire depuis des mois. J’ai rien pris pour moi, car on a pas mal de devoirs en ce moment, tu sais, lui dis-tu, maladroitement et tu t’insultes mentalement.
-Ouais, c’est vrai. Les profs sont pas près de nous donner une pause.
-Surtout avec cette dissertation de littérature. Enfin, c’est de la poésie, ça se lit rapidement, mais l’analyse prend du temps si on veut la faire comme il faut.
-J’imagine, répond Robin, peu sûre de ce qu’elle doit dire.
-Tu aimes Lord Byron ?
-Je ne sais pas, je l’ai jamais lu avant.
-Moi non plus. Mais j’aurais préféré travailler sur d’autres poètes comme Emily Dickinson ou Sappho. Tu connais ? lui demandes-tu, espérant qu’elle comprendra l’allusion.
-Pas vraiment, dit-elle et tu fais tout pour ne pas montrer ta douleur en réalisant qu’elle n’a pas compris la vraie signification de ta phrase.
-Leur style est vraiment bien. Tu devrais les lire, l’informes-tu. En fait, demain, je vais m’acheter la poésie de Sappho en grec. Ça fait quelques années que je prends des cours donc je pense que je peux lire ses poèmes dans la langue originale. Tu devrais venir avec moi, si tu veux, et après… on pourrait aller dans un café ou autre, suggères-tu et Robin te fixe, les yeux grands ouverts.
-Je… Steve peut y aller, s’exclame-t-elle et tu la regardes, perdue.
-Steve ? demandes-tu.
Au même moment, Steve prend part à la conversation.
-Moi ?
-Oui, je… je suis occupée demain, mais je suis sûre que Steve adorerait aller dans un café avec toi. N’est-ce pas Steve ? dit Robin, tentant de cacher sa panique.
-Tu es sûre que tu ne veux pas te joindre à nous ? On peut faire quelque chose après ce que tu as à faire, essayes-tu de demander à nouveau.
-Je suis prise toute la journée. Mais allez-y tous les deux.
-Eh bien, si ça te dérange pas, Steve, lui dis-tu, en le regardant.
-Ouais, bien sûr. On pourrait aller au Hawkin’s café à seize heures.
-Ouais, confirmes-tu, un sourire gêné sur tes lèvres. Eh bien, je dois y aller. Mon père attend ça, dis-tu en montrant la VHS. On se revoit bientôt ? lui demandes-tu et elle hoche la tête.
Tu quittes Family Video, une expression triste sur le visage. Ces derniers mois, tu n’as pas arrêté de penser à une façon de lui proposer un rendez-vous. Tu savais que tu devais faire le premier pas, mais avec sa réaction, tu penses que peut-être tu n’aurais pas dû. Clairement, elle n’est pas attirée par les filles, encore moins par toi…
Quand tu es complètement hors de vue, Steve vient devant Robin, choqué. Il lui faut quelques secondes pour comprendre ce qu’il vient de se passer.
-Est-ce que tu viens de m’organiser un rendez-vous avec la fille sur laquelle t’as un béguin ? questionne-t-il, n’en croyant pas ses oreilles.
-J’ai paniqué, d’accord ?! crie Robin, mettant sa tête entre ses mains.
-C’est un autre niveau de panique, là ! Pourquoi t’as fait ça ? Pour quelqu’un d’intelligent, ça, c’était complètement stupid !
-Je sais. Je sais ! s’exclame-t-elle, le regardant.
-Tu réalises qu’elle te proposait un rendez-vous, n’est-ce pas ? lui dit Steve et Robin paraît surprise.
-Vraiment ?
-Oui ! C’est sûr qu’elle voulait sortir avec toi.
-Mais elle a le béguin pour toi, rétorque Robin, faisant froncer les sourcils de Steve.
-Pourquoi tu penses ça ?
-Parce que c’est la vérité.
-Robin, elle vient seulement ici quand tu travailles. Quand elle ne t’a pas vue plus tôt, elle était déçue et elle m’a demandé où tu étais. Ensuite, elle t’a dit qu’elle aimait Dickinson et Sappho, autrement dit deux poétesses qui aimaient les femmes, comme tu me l’as déjà dit ! Et après ça, elle t’a demandé si tu voulais aller à la librairie et prendre un café avec elle et quand tu as agi de manière stupide, elle était clairement triste. Comment t’as pas compris ? fait remarquer Steve, Robin se sent mal quand elle réalise qu’il a peut-être raison.
-Ouais, enfin, c’est juste une coïncidence.
-Tu es la personne la plus aveugle que je connaisse. Je ne veux plus jamais que tu critiques ma vie amoureuse.
-Même si elle était attirée par les filles, ce dont je doute, elle n’essayerait rien, tente de raisonner Robin.
-Elle a demandé deux fois si tu voulais venir avec elle au café. Deux fois.
-Okay, arrête ! J’ai merdé. C’est trop tard, finit Robin, se détestant pour sa réaction.
Le jour suivant, tu te rends au café. Steve t’attend déjà, embarrassé par la situation, tout comme toi. Tu espères vraiment que Steve ne va rien tenter. Il a l’air gentil, mais tu n’es pas attirée par lui. Tu veux Robin et seulement elle. Mais elle a arrangé ce rendez-vous avec toi et Steve donc clairement, elle ne te veut pas comme toi tu la veux. Quand tu t’assois en face de lui, après avoir commandé ton café, tu poses ton nouveau livre sur la table.
-C’est le livre que tu voulais ? demande Steve et tu hoches la tête.
-Oui, j’ai hâte de le lire.
-Du coup, c’est moi ou Robin a joué les cupidons avec nous ? questionnes-tu après quelques minutes.
-En gros. Je suis désolé pour ça, d’ailleurs. On est pas obligés de dire que c’est un rendez-vous. On a qu’à dire qu’on traine ensemble, te rassure-t-il et tu sens un poids quitter tes épaules.
-Cool. Parce que je dois admettre que je n’ai pas le béguin pour toi. Enfin, tu es mignon. J’imagine. C’est juste que… Disons que tu n’es pas mon genre, dis-tu, légèrement embarrassée.
-Je comprends.
-Mais je pensais que, peut-être, qu’il y avait quelque chose entre toi et Robin. Enfin, je le pensais jusqu’à ce qu’elle fasse ça hier.
-Oh non ! Il n’y a rien entre nous, t’informes-il rapidement. On est amis, très bons amis. On est totalement platoniques, avec un P majuscule. Rien ne se passera. Enfin, j’ai essayé et elle m’a dit que j’étais pas son genre. Apparemment, je suis pas le genre de beaucoup de gens, dit-il, perdu dans ses pensées.
-Je suis sûre que tu trouveras quelqu’un. Mais, est-ce que tu sais si, peut-être, Robin a le béguin pour quelqu’un ? le questionnes-tu, prenant une gorgée de ton café que la serveuse vient de te donner.
-Disons qu’elle est totalement aveugle quand c’est pour l’amour. Je pense que si quelqu’un est attiré par elle, cette personne devra lui dire qu’elle est attirée par elle, te dit Steve et tu remarques qu’il a été neutre dans sa description.
-Ok, je vois.
Tu changes de sujet, parlant de l’école, plus précisément des études supérieures. Cependant, tu repenses à ce que Steve t’a dit. Est-ce qu’il essayait de te faire comprendre que Robin est, en fait, attirée par toi, mais ne peut pas voir que tu l’es également ou est-ce qu’elle aurait le béguin pour quelqu’un d’autre ? Avec ce qu’il a dit, la première option serait la bonne réponse. Mais il a aussi dit que cette personne devait aller droit au but, donc plus de sous-entendus. Pour toi, c’est trop risqué. Si tu as faux, ça pourrait mal se finir et tu ne veux pas ça. Tu dois vraiment y réfléchir comme il faut. Tu ne veux pas la perdre, surtout si tu n’as pas compris les indices correctement.
Tu y penses pendant les jours suivants. A chaque fois que tu arrives à la même conclusion, tu dois aller lui avouer tes sentiments si tu ne le fais pas, tu vas peut-être manquer ta chance avec elle et tu l’aimes trop pour ça. Toutefois, tes peurs deviennent de plus en plus fortes quand tu réalises que tu es sur le point de soit avoir la fille que tu aimes ou soit tout ruiner.
A un moment, tu décides de réunir tout ton courage et aller à Family Video. Tu trouves Robin proche de la porte, en train de lire un synopsis d’un film avant de le reposer sur l’étagère. Tu marches vers elle, prenant une grande inspiration.
-Hey, Robin.
-Oh, salut ! dit-elle, nerveuse. Tu cherches un film ?
-Non, je voulais te parler. Si tu as quelques minutes, s’il te plaît.
-Bien sûr, acquiesce-t-elle avant de te diriger vers un endroit plus silencieux. Tout va bien ? Tu as l’air stressée, demande-t-elle quand elle te voit jouer avec tes doigts.
-Quand faut y aller, faut y aller… chuchotes-tu avant de parler plus fort. Ok, Robin, je… je voulais savoir si, peut-être, et tu peux totalement dire non ! Je voulais savoir si tu voulais aller… aller à un rendez-vous avec moi, questionnes-tu, ne la regardant pas.
-Un rendez-vous ?
-Oui, comme un vrai rendez-vous, confirmes-tu, mais elle reste silencieuse.
Tu paniques et commences à chercher la sortie.
-Je savais que j’aurais pas dû venir. Désolée, je pars, lui dis-tu, t’éloignant alors que Robin cherche de l’aide en regardant Steve.
-Vas-y ! murmure-t-il à Robin.
-Y/N, attends ! Crie-t-elle et tu la regardes à nouveau. Tu veux vraiment aller à un rendez-vous avec moi ? Un rendez-vous, dans le sens où tu es attirée par moi ?
-Oui. Enfin, je ne sais pas si tu es aussi attirée par les filles, ou même moi, mais je pense que tu es magnifique et je voulais te proposer un rendez-vous depuis quelques mois déjà. La dernière fois que j’ai essayé, sans être explicite, ça n’a pas réellement fonctionné. Steve m’a dit que tu ne voyais rien et que la personne attirée par toi devait aller droit au but avec toi, c’est pour ça que je t’ai demandé, expliques-tu, totalement stressée.
-Je… Je pensais pas que tu étais attirée par les filles ou même moi, non plus, avoue Robin et tu rigoles nerveusement.
-J’essaye toujours de te parler et j’ai même mentionné Dickinson et Sappho, je pensais que c’était clair.
-Tu vois, j’avais raison ! crie Steve, car il écoutait la conversation depuis le début.
Suite à son intervention, Robin lève les yeux au ciel.
-Tais-toi, idiot ! lui ordonne-t-elle avant de te regarder.
Il lui faut quelques secondes avant de comprendre et tu peux voir la réalisation sur son visage.
-Oh mon Dieu.
-Waouh, tu vois vraiment rien, rigoles-tu et elle rigole, mal à l’aise.
-C’est juste que… ça paraît irréaliste et je ne voulais pas faire d’erreur.
-J’avais peur de ça aussi. Mais je t’aime beaucoup et je savais que si je faisais rien, je n’aurais jamais su si tu m’aimais bien aussi.
-Je ne vais pas te mentir, t’as bien fait. J’aurais jamais pensé que tu tenterais ta chance avec moi. Je ne voulais pas croire que tu pouvais m’aimer. Ça semblait trop beau pour être vrai.
-Eh bien, ça l’est, lui confirmes-tu en souriant. Donc tu veux sortir avec moi un de ces jours ?
-Totalement ! crie-t-elle presque.
-Voici mon numéro. Appelle-moi pour qu’on s’organise, dis-tu à Robin, en lui donnant un bout de papier que tu avais pris avant de partir de chez toi.
-Ok, acquiesce-t-elle en regardant le papier avec amour.
-A plus, Robin, souris-tu avant d’embrasser sa joue gauche.
Robin ne bouge pas, surprise par ton geste. Elle sent toujours tes lèvres sur son visage alors que tu marches en direction de la sortie. Elle regarde l’endroit par lequel tu es partie avec un sourire attendri, contente que tu aies fait le premier pas, mais surtout, elle est remplie d’espoir sur ce qui va se passer entre vous deux.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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buxberg · 2 years
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Actrice anglaise.
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Né à Londres, Grande-Bretagne.
Les parents d'Elena sont banquier et psychanalyste.  Helena Bonham Carter est diplômée du Westminster College.  Il a étudié à la faculté de théâtre de l'université de Cambridge.
À l'âge de 11 ans, elle a remporté un concours de poésie avec le poème "Grapevine". Helena a dépensé l'argent du prix pour réaliser un portfolio pour un catalogue de casting.
Elle a commencé à jouer dans des séries télévisées lorsqu'elle était enfant ("Où meurent les rêves", 1972).  Elle est apparue pour la première fois dans un grand film dans le film "Lady Jane" (1985, sorti en 1986, réalisé par Trevor Nunn).
L'actrice a gagné en popularité principalement en jouant les rôles d'aristocrates dans des adaptations à l'écran de la littérature classique et romantique anglaise.  Parmi ces œuvres : Ophelia dans "Hamlet" (1990), Olivia dans "Twelfth Night" (1996), Anne Boleyn dans "Henry VIII" (2003).
Elle a également fait ses preuves en tant qu'actrice vraiment moderne, jouant Marla Singer dans le film "Fight Club" (1999).  L'actrice a reçu une nomination aux Oscars pour le rôle principal dans le drame "Wings of the Dove" (1998).  Apparaît dans presque tous les films de son mari le réalisateur Tim Burton.
Helen Bonham Carter a été nominée pour cinq Golden Globe Awards et a remporté deux British Academy Awards pour ses rôles dans The Wings of a Dove et Howard Ence Manor (1992).
Helen Bonham Carter a été nominée pour cinq Golden Globe Awards et a remporté deux British Academy Awards pour ses rôles dans The Wings of a Dove et Howard Ence Manor (1992).
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annespooky · 4 months
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“For me poetry is always a search for order”
(“Pour moi, la poésie est toujours une quête de l’ordre”)Elizabeth Jennings – Setlist de la tournée Everything Must Go 20 Elizabeth Jennings (18 juillet 1926 – 26 octobre 2001), est une poétesse anglaise. Voir A Song For Departure | Expressions pour une biographie complète. VOIR AUSSI : “There is a shyness that we have / Only with those whom we most love / something it has to do also / With…
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melancholyflower · 4 months
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“For me poetry is always a search for order”
(“Pour moi, la poésie est toujours une quête de l’ordre”)Elizabeth Jennings – Setlist de la tournée Everything Must Go 20 Elizabeth Jennings (18 juillet 1926 – 26 octobre 2001), est une poétesse anglaise. Voir A Song For Departure | Expressions pour une biographie complète. VOIR AUSSI : “There is a shyness that we have / Only with those whom we most love / something it has to do also / With…
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loeilafaim · 7 months
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Dâh, Dans la nuit khmère, continue son voyage
Photo Bruno Lecat en langue anglaise. C’est Samuel Reichert, rencontré à la Cave Poésie de Toulouse, en compagnie de Chrsitophe Macquet, qui s’empare des deux premiers textes de Dâh pour leur faire passer une nouvelle frontière. Alors, je partage. Voici le 1er. 1. Avine comes back—Kampot, june 2016So along his way alone went Avine.The narrator listens to (teller hears) the fritting of the…
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prosedumonde · 7 months
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Mais laisse-moi rire un instant, il m’en restera bien d’autres pour pleurer. 
John Keats, Poèmes Choisis •La Vigile de la Sainte-Agnès
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oreilletendue · 3 months
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Accouplements 226
(Accouplements : une rubrique où l’Oreille tendue s’amuse à mettre en vis-à-vis deux œuvres, ou plus, d’horizons éloignés.) Chantigny, Louis, «Une fin tragique pour le Rocket», le Petit Journal, du 18 octobre au 25 octobre 1959, p. 132. «D’ordinaire, ce genre de long préambule déroule en quelque sorte le tapis rouge sur lequel s’avancera dans toute sa majesté une célébrité de l’esprit.…
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newmic · 11 months
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<Coucoun, my love.
I wanted ti say you I am thinking of you.
Je regarde une série japonaise qui me plait, ne me demande pas le titre, je n'y fais pas attention, seul le scénario m'intéresse.
Au fait le titre du film que j'aime beaucoup est : "Le cercle des poètes disparus" avec
Le Cercle des poètes disparus est basé sur les propres souvenirs de collège du scénariste Tom Schulman. Ce fut d'aileurs son premier scénario, qu'il écrivit en 1985. Il remporta l'Oscar du Meilleur Scénario Original cinq ans plus tard.
En 1959 aux États-Unis, Todd Anderson, un garçon timide, est envoyé dans la prestigieuse académie de Welton (lieu fictif1) dans l'État du Vermont, réputée pour être l'une des plus fermées et austères du pays et où son frère aîné a suivi de brillantes études. Il y rencontre M. Keating, un professeur de littérature anglaise aux pratiques pédagogiques plutôt originales, qui notamment encourage le refus du conformisme, mais aussi l'épanouissement de la personnalité par la vie en poésie, l'art de profiter de l'instant présent (« Carpe Diem ») et le goût de la liberté.
Voulant au maximum suivre la voie nouvelle qui leur est présentée, certains élèves de Keating vont redonner vie au « cercle des poètes disparus », un groupe d'esprits libres et oniriques dont M. Keating fut, en son temps, l'un des membres influents.
La découverte d'une autre vie va à jamais bouleverser l'avenir de ces étudiants. En effet, les situations des divers personnages ne se prêtent guère à l'exercice de ces libertés, récemment découvertes, car les mentalités des parents et des professeurs n'admettent pas que leur autorité et leurs ambitions soient remises en question par ces jeunes personnalités tentant de s'affranchir de règles trop rigides. Ce cercle permettant à leur participants de s'affirmer, il les aide à découvrir leur vraie nature et à vivre comme ils le désirent.
***
I watch a Japanese series that I like, don't ask me for the title, I don't pay attention to it, only the script interests me. By the way, the title of the film that I really like is: "Dead Poets Society" with The Dead Poets Circle is based on screenwriter Tom Schulman's own college memories. It was his first screenplay, which he wrote in 1985. He won the Oscar for Best Original Screenplay five years later.
In 1959 in the United States, Todd Anderson, a shy boy, was sent to the prestigious Welton Academy (fictional place1) in the state of Vermont, reputed to be one of the most closed and austere in the country and where his brother eldest has followed brilliant studies. There he meets Mr. Keating, a professor of English literature with rather original teaching practices, who notably encourages the refusal of conformity, but also the development of personality through life in poetry, the art of enjoying the present moment. (“Carpe Diem”) and the taste for freedom.
Wanting as much as possible to follow the new path presented to them, some Keating students will revive the "circle of dead poets", a group of free and dreamlike spirits of which Mr. Keating was, in his time, one of the members. influential.
The discovery of another life will forever change the future of these students. Indeed, the situations of the various characters do not lend themselves to the exercise of these recently discovered freedoms, because the mentalities of parents and teachers do not allow their authority and their ambitions to be called into question by these young personalities tempting to get rid of rules that are too rigid. This circle allows their participants to assert themselves, it helps them to discover their true nature and to live as they wish.
The main actor is : Robin Williams (John Keating)
I really liked this movie, you know it, don't you? In France, the film was released under the name "The circle of disappeared poets" and in the US I just learned of it "Dead Poets Society"
Kisses my love, I'm going back to my Japanese series
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leehamwriting · 11 months
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Miss Eliza - Annabel ABBS - 2022 - Editions Hervé Chopin
Quatrième de couverture Londres, 1835. Eliza Acton sort de chez son éditeur désespérée. Venue pour présenter son nouveau recueil de poèmes, elle s’est vu proposer l’écriture d’un livre de recettes. La poésie ne serait pas une affaire de dame. Issue de la bourgeoisie anglaise, Eliza n’a jamais cuisiné de sa vie et compte bien refuser. Mais lorsque son père fait faillite, elle n’a pas d’autre…
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palaisdesvents · 1 year
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Nu féminin posant debout, Carol Ann Duffy
Six heures comme çà pour quelques francs. Ventre tétons cul dans la lumière de la fenêtre, il tire de moi la couleur. Un peu plus à droite, Madame. Et puis essayer de ne pas bouger. Je serai représentée analytiquement et accrochée dans les grands musées. Les bourgeois roucouleront devant cette image  d’une putain des bords de l’eau. On appelle cela de l’Art.
Peut-être. Il se préoccupe des volumes, de l’espace. Moi, du prochain repas. Vous devenez maigre, Madame, ce n’est pas bon. Mes seins tombent un peu bas, l’atelier est froid. Dans le marc de café Je vois la reine d’Angleterre qui contemple mes formes. Splendides, murmure-t-elle, en poursuivant son chemin. Cela me fait rire. Son nom
est Georges.. On me dit que c’est un génie. Il y a des moments où il ne se concentre pas et se raidit pour capter ma chaleur. Il me possède sur la toile quand il trempe son pinceau plusieurs fois dans les couleurs. Petit homme, tu n’as pas l’argent qu’il faut pour les arts que je vends. Pauvres tous deux, nous gagnons notre vie comme nous pouvons.
Je lui demande Pourquoi faites-vous ceci ? Parce que j’y suis obligé. Je n’ai pas le choix. Ne parlez pas. Mon sourire le trouble. Ces artistes se prennent trop au sérieux. La nuit je me gorge de vin et je danse dans les bars. Quand le tableau est fini il me le montre avec fierté, allume un cigarette. Je dis Douze francs et prend mon châle. Ca ne me ressemble pas.
Traduit de l’anglais par Bernard Brugière In, « Anthologie bilingue de la poésie anglaise » Editions Gallimard (La Pléiade), 2005
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