Tumgik
#petit peuple
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De Emma à Bruce
Cher Bruce,
Bruce, Bruce, Bruce. Continuerai-je à écrire sur tes pages quand tout aura été rénové ? Quand le quotidien aura retrouvé un air de normalité ? Ou bien la normalité est-elle perdue – la fissure dans le monde des Nephilim est-elle irréparable, ne fera-t-elle que s’agrandir avec le temps, apportant de plus en plus de changements, jusqu’à ce qu’il y ait finalement trop de changements pour que ce soit supportable ? Auquel cas, je suppose que je continuerai de t’écrire, Bruce, comme à un témoin silencieux de l’étrangeté de cette époque.
Désolée, désolée. Je suis d’humeur un peu poétique ce soir parce que Jem, Tessa, Kit et Mina sont arrivés aujourd’hui et… eh bien, c’est un peu de cette façon que Jem et Tessa s’expriment. Vu qu’ils sont, tu vois… hyper vieux. Et parce que j’ai l’impression que nous en arrivons aux derniers chapitres de toute cette histoire de maison maudite et je n’ai pas la moindre idée de ce que l’avenir nous réserve.
Quoi qu’il en soit, nous ne nous sommes pas intéressés à la malédiction aujourd’hui, nous avons simplement passé du temps avec les Carstairs-Herondale, qui devraient certainement choisir un nom plus court par lequel nous pourrions les désigner. Team Ere Victorienne ? Team Époque Où Tout Était Très Romantique Mais Aller Où Que Ce Soit Prenait Une Éternité ? Hum. Je pense que je leur demanderai s’ils ont des idées, puisque les miennes sont… euh… mauvaises.
Nous avons rencontré quelques complications quand ils sont arrivés. Nous avions choisi des chambres pour eux et avions demandé aux brownies de les préparer, d’y mettre des draps et des serviettes et tout ce qu’il faut. Et puis nous étions allés vérifier avant l’arrivée de nos invités. Et je suis contente de l’avoir fait parce que les fées avaient préparé toutes les chambres pour… des oiseaux ? Genre, des oiseaux immenses, à taille humaine. Avec des nids gigantesques, de presque deux mètres, et des branches en guise de perchoirs. Et d’énormes boules de graines pendaient du plafond. Nous avions donc dû demander à des brownies très déçus de refaire les chambres. (Mais nous n’avions pas dit que les invités étaient des oiseaux ! Je ne sais pas du tout pourquoi ils ont cru ça !) Le pire dans tout ça, c’est qu’ils avaient vraiment fait du bon travail : si ça avait bien été d’immenses oiseaux qui nous rendaient visite, ils auraient été très à l’aise. Ils ont quand même été confus quand tout le monde est arrivé en voyant que Mina n’était pas un gros œuf. Les fées, je te jure.
En parlant de Mina, qui n’est pas un gros œuf mais une petite bambine, elle est absolument adorable. Elle marche maintenant, ou plutôt fait des premiers pas hésitants, et elle dit « mama » et « papa » et aussi « kish » pour appeler Kit semble-t-il. Et elle a une petite stèle en bois avec laquelle elle essaye tout le temps d’écrire sur tout le monde. Apparemment Kit apprend les runes et Mina veut les apprendre aussi.
Nous aurions tout de suite dû nous atteler à la malédiction mais honnêtement nous passions un si bon moment tous ensemble. C’est très agréable de passer du temps avec Tessa et Jem, ce qui change de la nervosité de la plupart de nos autres amis. Je suppose qu’avec tout ce qui leur est arrivé, il en faut beaucoup pour les contrarier. La simple manière dont Jem parle de la malédiction m’aide beaucoup à croire que nous pourrons arranger la situation, même si nous ne savons pas vraiment ce que nous faisons ni ce que nous avons mal fait jusque-ici.
Ils ont aussi l’air vraiment impressionnés par la maison. Julian a l’air tout fier de lui, c’est hyper mignon. Tessa s’est remémoré que la dernière fois qu’eux deux étaient venus, c’était après que Tatiana ait été arrêtée et envoyée à la Citadelle pour devenir une Sœur de Fer. Ils fouillaient le manoir à la recherche d’activités démoniaques. (Bien sûr, ils n’ont presque rien trouvé, a-t-elle admis. Au ton de sa voix, il semblait évident qu’ils n’avaient compris le danger que représentait Tatiana que lorsqu’il était trop tard. Je voudrais bien lui poser des questions à ce sujet, mais ça me semblait être de tristes souvenirs alors que nous passions tous un bon moment.) Jem a remarqué qu’à cette époque la propriété était déjà en mauvais état, mais Tessa a révélé qu’elle avait vu la maison « à son apogée » lors d’un bal, puis elle a rougi un peu. Ce qui s’est passé pendant ce bal devait être assez mémorable pour que ça la fasse rougir 130 ans après !
Évidemment, il y a toujours cette espèce de lourd stigmate qui recouvre la maison comme un linceul, et ce ne sont pas des murs repeints et des fenêtres remplacées qui changeront ça. C’est à cause de la malédiction. Mais cette soirée était toute de même la plus joviale que j’aie connue ici. Pour la première fois, j’avais un peu l’impression que c’était notre maison, que des amis étaient venus nous rendre visite et c’était étonnement sympa et ordinaire. Tant que je ne pense pas à ce qu’il se passe avec l’Enclave.
Une inquiétude : Kit. Il est resté avec nous une bonne partie de la journée, mais il était anormalement calme, et il s’est excusé deux fois pour aller faire un tour dans le jardin. D’après Julian, Kit a rompu avec sa petite-amie et c’est peut-être ce qui le rend triste, mais je n’en suis pas sûre. Il était très nerveux en présence des entrepreneurs et il les surveillait de près dès qu’ils étaient dans les environs. Round Tom s’est présenté et Kit a hoché la tête sans rien dire, même pas son nom. Enfin, on ne peut pas vraiment lui en vouloir. Sa relation avec les fées, et avec le Royaume des Fées, est compliquée. Tessa a expliqué que Cirenworth est exceptionnellement protégé contre les intrusions féériques, de même que la ville et les routes proches. Magnus et Catarina s’en sont assurés. C’est donc l’une des premières fois qu’il est en compagnie d’elfes depuis la grande bataille aux abords d’Alicante. Même si ces fées-là ne sont pas dangereuses, ça doit être bizarre pour lui.
Mais tu connais Kit. Il donne l’impression qu’il ne veut répondre à aucune question au sujet de comment il va. Aujourd’hui, il était sur le qui-vive, à regarder les elfes dans le jardin : peut-être qu’ils l’inquiètent, ou peut-être qu’il veut les rejoindre ? Je ne sais pas. Peut-être que Julian et moi pourrons le faire parler un peu pendant son séjour ici. Ou peut-être que j’aurai l’occasion de demander à Jem et Tessa s’ils savent ce qu’il se passe.
Bref, c’est tout ce que j’ai à te dire pour l’instant, Bruce. Demain nous rompons une malédiction ! J’espère !
Emma
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/691398026631217153/emma-to-bruce
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Quand les Sans-culotte se font trimbaler par des profiteuses Sans-coucougnette !
Remplacement, un leurre ou une fatalité consentie ?
Pauvre gentil petit peuple figé devant la lucarne qui les télécommande à distance, les désinforme, manipule pour servir un despote qui se voudrait théocrate… Par Bernard Bruyneel Vous pouvez soutenir notre travail en vous abonnant mensuellement pour 2 € par mois via STRIPE totalement sécuriséEn cadeau, un livre PDF vous sera envoyé par mail Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que…
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alex-illustrateur · 16 days
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Ils arrivent, ils sont là ! Les Kobolds !
Découvrez les mystères des kobolds, ces esprits folkloriques germaniques liés à l'élément cobalt. Plongez dans leur monde à travers des illustrations captivantes ! #ArtEtScience #Kobolds #Cobalt
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a-room-of-my-own · 2 months
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Elle pourrait commencer par la boucler par exemple
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inner-moon · 5 months
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corse2b · 9 months
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Petit Tag Sur Le Mur De La Citadelle De Bastia.
Haute Corse.
traduction du tag ………peuples Réveillez-vous !!!!!!!
translation of tags ……peoples Wake Up.
source : corse2b. Août 2023.
small tag on the wall of the citadel of Bastia.
Upper Corsica.
tag translation ………peoples Awake
translation of tags ……peoples Wake Up.!!!!!!
source: corsican2b. August 2023.
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Pauline Léon timeline
A timeline over the 70 year old life of Pauline Leclerc née Léon, based primarily on the article Pauline Léon, une républicaine révolutionnaire (2006) by Claude Guillon.
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19 October 1767 — Mathurine Téholan and Pierre Paul Léon are married in the parish of Saint-Severin in Paris. Pierre Paul runs a small chocolate business on 356 rue de Grenelle. The couple settles on rue du Basq.
28 September 1768 — birth of Anne Pauline Léon, the couple’s first child. They later have four more children — Antoine Paul Louis (1772-1835), Marie Reine Antoinette, (1778), François Paul Mathurin (1779) as well as a child who’s sex and year of birth remains unknown. Pauline later describes her father as: ”a philosopher” and adds: ”If his lack of fortune did not allow him to give us a very brilliant education, at least he left us with no prejudices.”
1784 — death of Pierre Paul Léon. Pauline, aged sixteen, now starts helping her mother with keeping the chocolate business running in order to provide for the family.
14 July 1789 — Fall of the Bastille. Pauline claims to upon this event have felt ”the liveliest enthusiam, and although a woman I did not remain idle; I was seen from morning to evening animating the citizens against the artisans of tyranny, urging them to despise and brave aristocrats, barricading streets, and inciting the cowardly to leave their homes to come to the aid of the fatherland in danger.”
February 1791 — Pauline is introduced to several popular societies in Paris. She herself claims she would frequent the Cordelier Club up until 1794 (though there doesn’t seem to exist any trace of her in the debates held there), the Fraternal Society of Patriots of Both Sexes (where again, we have few documents that mention any direct activity from her part), as well as the section of Mucius Scaevola. The same month, Pauline defenestrates a bust of Lafayette “at Fréron’s”. It seems unlikey for this attack to have been aimed at the journalist Stanislas Fréron, who frequently denounced Lafayette in his l’Orateur du Peuple, but rather his mother Anne Françoise Fréron, who handled the publishing of the royalist paper L’Ami du Roi.
21 June 1791 — Pauline, her mother and their neighbor Constance Évrard are near the Palais Royal loudly protesting the king’s ”infamous treason” (his flight) when they, according to her, are ”almost assassinated by Lafayette’s mouchards” and are saved by other sans-culottes who manage to snatch them ”from the hands of these monsters” (National guardsmen)
17 July 1791 — Pauline takes part in the demonstration on the Champ-de-Mars. On the way home, she uses her fists to defend a friend against the family of a national guard. This last incident is witnessed by Constance Evrard, another sans-culotte woman and friend of Pauline, who reports it during an interrogation. This is the first conserved trace of any militant activities from Pauline.
Late February 1792 — l’Adresse individuelle à l’Assemblée nationale par des citoyennes de la capitale, a petition regarding women’s right to bear arms, is penned down. It was most likely written by Pauline herself, seeing as the first signature on the bottom of the handwritten version kept in the National Archives, as well as the only one appearing in the version printed by order of the Assembly, is “fille Léon.” After Pauline’s name about 310 more follow, including that of her mother and many other daughter-mother couples. The petition is first read out before the Society of Patriots of Both Sexes, which, under the presidency of Tallien, orders its printing and distribution.
March 9 1792 — the Patriotic Society of the Luxembourg section sends a delegation to the Fraternal Society of Patriots of Both Sexes to request affiliation. The latter club grants the request and appoints five auditors to attend the former’s next meeting, among which are three women: Pauline Léon, Constance Evrard and Marie-Charlotte Hardon. Pauline will actively participate in the recruitment of members for the Patriotic Society, personally presenting or supporting at least seven candidates between October 1792 and September 1793
June 1792 — Pauline, along with many other men and women, signs Pétition individuelle au corps législatif pour lui demander la punition de tous les conspirateurs that calls for ”a quick vengeance” against monarchist ministers.
10 August 1792 — Pauline takes part in the Insurrection of August 10. She describes her activities in the following way: "On August 10, 1792, after spending part of the night in the Fontaine-de-Grenelle section, I joined the next day, armed with a pike, the ranks of the citizens of this section to go and fight the tyrant and his satellites. It was only at the request of almost all the patriots that I consented to give up my weapon to a sans-culotte; I gave it to him, however, only on the condition that he would use it well.”
December 1792 — Pauline, together with 3 other women and 88 men, signs the Adresse au peuple par la Société patriotique de la section du Luxembourg which demands the death of the king and pronounces threats against eventual monarchist deputies.
2 February 1793 — During a session at the Fraternal Society of Patriots of Both Sexes, Pauline is welcomed as mandated by the Defenders of the Republic of the 84 departments. At the same session, Pauline’s future husband Théophile Leclerc (1771-1820) is charged with writing a petition against commodity money. This is the first known meeting between the two.
3 February 1793 — during the session at The Fraternal Society of Patriots of Both Sexes, ”Citoyenne Léon” takes the floor to continue a denounciation against Dumouriez that Hébert has just made. Le Créole patriote reports that ”she thinks, like him, that [Dumouriez] is nothing more than an intrigant; she accuses him of several things, notably the persecution he inflicted on two patriotic battalions unjustly accused by him.”
10 February 1793 — Le Créole patriote reports the following regarding the session at The Fraternal Society of Patriots of Both Sexes:
Citoyenne Léon informs of an important denunciation made to the Commune and to the society of defenders of the republic, one and indivisible of the 84 departments. This denunciation, signed, states that on the 6th of the month a dinner was held at the house of Garat, minister of justice, provisionally exercising the functions of minister of interior, where Brissot, Barbaroux, Louvet and other noirs, composing the great and famous right side of the National Convention; plus, Bournonville, new minister of war. She calls on the society to monitor the latter, and asks that two of its members be sent to that of the Jacobins to communicate to them this fact, to which the most serious attention must be paid. Boussard makes the motion that the president be instructed to write to Bournonville, so that he can give the company explanations on this subject. These three proposals are adopted.
At the Jacobin Club the same day, ”a citoyenne,” in the name of the Fraternal Society of Patriots of Both Sexes, makes the following intervention: ”Citizens, I denounce to you Garat, minister of justice, who last Wednesday had thirty people to dinner, among which were Brissot, Barbaroux, Louvet and Beurnonville. The patriots do not have entry to this minister, and Brissot comes and goes there all the time.” It is very likely this speaker was Pauline.
17 February 1793 — Le Créole patriote reports that, during the session at The Fraternal Society of Patriots of Both Sexes, ”citoyenne Léon reads a denunciation from Citizen Godchaux against General Félix Wemphen. Several members believe that this denunciation is well founded, and urge the society to tear off the mask from all the intriguers.”
10 May 1793 — Pauline is a co-founder of the Society of Revolutionary and Republican Women (Société des Républicaines révolutionnaires or Société des citoyennes républicaines révolutionnaires de Paris), a club which only admits women as members and holds its meetings at the libary of the Jacobins, rue Saint-Honoré. Claire Lacombe, who often gets mentioned as another co-founder, actually doesn’t have her first attested appearance as a member of the society until June 26.  Already on May 12, the club presents itself at the Jacobins, proposing to arm patriotic women between ages 18 and 50 in order to organize them against the Vendée. A week later, May 19, a delegation made up of members from both the Cordeliers and Revolutionary and Republican Women present themselves before the Jacobins yet again, asking for the arrest of all suspect people, the establishment of both revolutionary tribunals in all departments and a revolutionary sans-culotte army in every town, an act of accusation against the girondins, the extermination of “the stockbrokers, the hoarders and the selfish merchants” who are responsible for a conspiracy attempting to starve the people, that the revolutionary army of Paris be increased to 40,000 men, that land be distributed to the soldiers, as well as the send forth of the petition to the Convention. Though Pauline’s presence can be supposed for both of these occasions, we don’t have any hard evidence for it.
2 June 1793 — Pauline leads a delegation from the Society of Revolutionary and Republican Women wishing to be admitted to the Convention, carrying a request in her own handwriting. They are however quickly forgotten in the tumult caused by the Insurrection of May 31, which this day ends with 22 girondins being put under house arrest. During this same insurrection, several Revolutionary and Republican Women are arrested, and Pauline, as president of the Society, signs a warrant by which they demand the liberation of one of them, detained for having threatened three men with a knife.
June 1793 — Pauline is the author of a denounciation against the grocer Le Doux, rue du Sépulcre, accused of “bad comments,” mainly consisting of complains about the looting. We don’t know if the denounciation had any consequences.
9 July 1793 — Le Réglement de la Société des citoyennes républicaines révolutionnaires de Paris is published. The document is signed by president Rousaud and four secretaires: Potheau, Monier, Dubreuil och Pauline Léon. 
July 10 1793 — Pauline goes to the Jacobin club, where she, ”in the name of the Revolutionary and Republican Women, presents a petition demanding the exclusion of nobles from all employments.”
July 20 1793 — A Délibération de la Société des Républicaines révolutionnaires, relative à l’érection d’un obélisque à la mémoire de Marat, sur la place du Carrousel, is signed by Pauline. The text is read at the Jacobins on July 26, by a deputation from the Society of Revolutionary and Republican Women.
July 31 1793 — Réglement de la Société des citoyennes républicaines révolutionnaires de Paris is published. The document is signed by the president, Rousaud, and four secretaries: Potheau, Monier, Dubreuil and Pauline Léon.
15 August 1793 — At the Jacobin club, ”citoyenne Léon, at the head of a deputation from the Society of Revolutionary and Republican Women, comes to request assimilation and correspondence for said Society. She also asks that the Jacobins contribute to the costs of the obelisk erected in Marat’s honor.”
30 October 1793 — Jean Pierre André Amar, member of the Committee of General Security, announces the dissolution of the Society of Revolutionary Women to the National Convention.
12 November 1793 — the marriage contract between Pauline Léon and Théophile Leclerc is signed. Through it, we see that the husband brings property valued at 300 livres, while the wife holds 1000 livres consisting of both money and effects. Pauline was in other words richer than Leclerc. She declares to after her marriage have returned to the chocolate making business and ”devoted myself entirely to the care of my household and given the example of conjugal love and the domestic virtues which are the basis of love of the homeland.”
March 17 1794 — Pauline joins Leclerc at La Fère (Aisne), where the latter is mobilizing.
April 3 1794 — the Leclerc couple is arrested on orders given by the Committee of General Security. They are taken to Paris and locked up in the Luxembourg prison three days later.
4 July 1794 — At the Luxembourg prison, Pauline either writes or dictates Précis de la conduite révolutionnaire de dame Pauline Léon, femme Leclerc, which is adressed to the Committee of General Security. It is from this document we learn almost all the details regarding her militant activities and private life. Unfortunately, I’ve not been able to find it published in full.
5 August 1794 — Pauline writes to ”sensible Tallien” and pleads for the cause of ”800 imprisoned people.” One day later she adresses herself to to ”the representatives” and asks them to at least consider a prompt examination of their case. Pauline claims that Leclerc and Pierre-François Réal were imprisoned for having "collected evidence against the accomplices of the tyrant Robespierre who were to have their throats slit." The following day, the two men are brought before the Committee of General Security. Réal is immediately set free, Pauline and Théophile joins him on August 22.
22 July 1804 — Pauline writes the following letter (cited in full within the article Un sans-culotte parisien en l’an XII: François Léon, frère de Pauline Léon (1982) by Michael David Sibalis) to Réal, by now one of those in charge of the general police, asking for the liberation of her younger brother François Paul Mathurin, imprisoned since three and a half months back for having written and published leaflets critical of Napoleon. Through the letter, we learn about some things that have happened in her life during the ten years since the last trace of her:
4 Thermidor [year 12] Monsieur, A month ago I presented a petition to the Grand Judge; at the same time I had the honor of writing to you, to request the release of my brother, named François Léon, imprisoned in the Bicêtre for a bad verse; I would ask for your indulgence, today I appeal to your justice; four months of such harsh detention had to atone for his fault; moreover his friend guilty of the same extravagance, since of two verses, one wrote the first and the other the second, was released; my brother is not more guilty, perhaps he is less; his delicacy did not allow him to justify himself at the expense of his friend; which certainly does not deserve punishment. Based on this, Monsieur, I believe I have the right to ask for his release; and I have the firm confidence that you will grant it to us; if you could still deign to think of his mother, who is old and more punished than him. This poor woman is exhausted trying to help and console him. She who needs help for herself, I am not talking to you about the grief her family is experiencing at the loss of my time (which is precious since it must be used to feed my son and relieve my mother), having, Monsieur, the advantage of having known you, I think you will not disdain these considerations. Salut and respect, Femme Leclerc Teacher (Instritutrice) Rue Jean Robert No. 4
François will be set free and leave Paris, the police having labeled him as a ”pronounced anarchist, difficult to correct.” In his interrogation, held May 2 1804 (it too cited in full within Un sans-culotte parisien en l’an XII…) he reveals that he is a tailor living alone on rue du Vieux Colombier N. 744 and ”very republican.” François’ accomplice Jean Sorret did in his interrogation claim that his friend was ”a pronounced jacobin, as is the rest of his family.”
October 5 1838 — death of Pauline in Bourbon-Vendée, rue de Bordeaux, one week after her seventieth birthday. She had moved there to settle with her sister Marie Reine Antoinette and her family somewhere between 1812 and 1835. 
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ekman · 3 months
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Voici le visage du commissaire du peuple délégué à la censure pour la France, visa d’exploitation UE n°8563447. Cette sympathique tête d’abruti porte de nombreuses casquettes, toutes déformées par sa macrocéphalie gênante et sa réthorique de jésuite marxiste. 
Il s’appelle Christophe Deloire et il est à la tête (haha) de Reporters Sans Frontières, la fameuse assoce qui contribua, en des temps reculés, à la défense de quelques correspondants, photographes et autres reporters menacés, engeôlés, torturés... parfois butés. On se souvient d’ailleurs que son co-fondateur, l’affreuse girouette Ménard, y agit pendant de longues et néanmoins utiles années. ONG de terrain à sa création, “RSF” est progressivement devenue une sorte de chapelle morale à la con pour gauchiste en phase de recyclage, profil 45/55 ans, directeur des rédactions, déjà un divorce, une bicoque à Ré et les gosses HP en garde partagée. Aujourd’hui, “RSF” est une petite usine à gaz armée d’un budget annuel de huit millions d’euros (subventions publiques, mécénat et “fondations” sorosiennes à hauteur de 80 %), finançant la bagatelle de trois millions de “ressources humaines”. C’est vous dire si on est contents pour eux, leurs émoluments et leurs notes de frais. 
Cependant, notre carriériste ne se contente pas de ce job, car il est aussi directeur et vice-président du Centre de Formation des Journalistes, sorte de Saint Cyr pour futurs encartés du mainstream, escabeau vers la dynamique cooptatrice si chère à nos élites. Last but not least – comme écrivent encore les rescapés de la presse des années 2000, il a récemment été désigné pour occuper la tête des États Généraux de l’Information, énième pustule macroniste sensée réfléchir à la meilleure façon de bâillonner tout ce qui ne récite pas correctement la doxa informationnelle.
Ce tout petit Monsieur, cette authentique pompe à merde pour paraphraser Magritte dans son adresse à un critique acerbe, a conduit de main assurée une opération contre l’Arcom, via le Conseil d’État, au motif que la chaîne CNnews dérogerait de manière éhontée à la nécessaire représentation, sur son antenne, de sensibilités politiques diversifiées. Oui, CNews ne proposerait qu’une longue succession d’éditos et de pseudo-débats ultra fachos, indignes de la rayonnante démocratie française. Ne serait-il pas temps de sucrer leur fréquence à ces fumiers réacs, pense en substance ce petit Béria de bac à sable ? Cependant, es-tu certain de ne pas t’être trompé de cible ? Ne pensais-tu pas plutôt à la totalité des médias du service dit public ? Franchement, on se demande quel genre de promesse on a bien pu te faire pour que tu t’abaisses à ce point. Au pouvoir qui nous accable, tu sers le plat le plus dégueulasse qui soit, celui de la censure d’épuration, celle qui traduit un désir de vengeance amère. Ce qui te fait chier, Christophe Deloire, c’est qu’un média que tu ne pourras jamais contrôlé – et qui dit le contraire de ta Pravda publique en exposant les faits de la réalité de ce pays, puisse encore seulement respirer et laisse respirer des millions de Français. Ces Français-là – qui représentent quand même plus de la moitié des suffrages exprimés – te conchient, toi et ta clique de plumitifs vendus à un projet extra-territorial dont tu sers les desseins absurdes en pensant honorer tes vieilles lunes socialistes. 
Tu voudrais vivre comme Robespierre mais tu as peur de l’échafaud, tu voudrais mourir comme Marat mais tu ne te feras qu’enculer sous la douche. Pauvre toi, petit homoncule au crâne rempli de sérum égalitaire. Tu te crois pur et vertueux alors qu’il suffit d’observer ton regard vide pour comprendre que tu agis sur le seul fil de ton ambition démesurée. Ton envie de nuire est inversement proportionnelle à la taille de ta bite. Comment je le sais ? Sur le plateau de CNews où tu pensais pouvoir faire le bravache, tu t’es retrouvé le slip sur les chevilles, bizuté par d’ignobles nazis en colère. J’ai bien ri à observer ton désarroi. Tout compte fait, je te remercie pour ce moment passé chez ton vieux pote Bolloré.
J.-M. M.
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revolutionarywig · 3 months
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I saw my friend took pictures of this play apparently now ongoing in Paris and I had to search it up
LE DÎNER DE- WHAT???
So Robespierre is not a character in the play, but rather there are these characters who must dress up as a figure from the French Revolution...
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Also there's Camille (middle) and presumably Marie Antoinette on the right
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Summary:
Dans une petite ville de province, un groupe d’amis de la bonne société se donne rendez-vous pour un « dîner de têtes ». Chacun doit se faire la tête d’un grand personnage de la Révolution française. André Bitos, fils du peuple devenu magistrat incorruptible et vertueux, est l’invité d’honneur : il jouera Robespierre. Mais il semble que l’objectif de cette soirée ne soit pas uniquement de refaire l’histoire de France... Cette bande de notables en smoking-perruque va se lancer dans un jeu de massacre aussi cruel que jubilatoire. Drôle, grinçant et terriblement actuel, ce chef d’œuvre d’intelligence renvoie dos à dos haine de l’Autre et tyrannie de la Vertu.
"In a small provincial town, a group of friends from high society meet for a dinner of heads. Each must reimagine themselves as a great figure from the French Revolution. André Bitos, son of the people who became an incorruptible and virtuous magistrate, is the guest of honour: he will play Robespierre. But it seems that the goal of tonight was not to only reenact the history of France...This band of notables in their tuxedo-wigs are heading into a game of massacre as cruel as it is exhilarating. Funny, grating, and terribly current, this intelligent masterpiece brings back to back the hatred of the Other and tyranny of Virtue."
Okay HMMMM from the wording of that it sounds like it's not gonna be the most redeeming or best depiction of Robespierre or the Revolution in general. From the website it seems to be connecting the "Terror" with post-WWII France "purge"? (l'épuration, from the wording on the website) .....I am not knowledgeable in WWII France but I am a bit on the fence for that.....
BUT heyyyyy look at that Camille
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The height BRUH
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marche-murmure · 24 days
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Zombie sur le point kilométrique 12
"Alors t'es content d'être là ? T'es content de servir le pays à l'autre bout du monde ? On s'éclate, on vit une aventure."
Le petit Sergent Chef me demande ça comme si ma réponse coulait de source.
"Non 'chef, je sais pas ce qu'on fout là, je comprends p..."
"Ha toi, toujours à râler, on t'offre une opportunité que tu ne mérites même pas et tu râles, tu râles tout le temps ! De toute façon j'avais dit au CDU que t'avais une mentalité de merde et qu'il fallait pas te prendre."
"Reçu 'chef".
Il s'en va d'un pas lourd, comme pour me gueuler dessus une deuxième fois et je me retrouve seul sous la tente, interloqué.
On voit la même chose, là dehors ?
Je me posais cette question là, à chaque fois qu'on sortait de M'POKO ou que je prenais ma garde sur les remparts. Ce connard de 'chef en tout cas, lui, ne les voyait pas.
Vous les voyez vous, les Zombies, qui trainent sous nos postes de gardes, qui déambulent dans Bangui ?
Je suis sur qu'il y en avait un.
A notre dernière patrouille sur PK-12.
Le type qui s'est arrêté devant le VBL, qui s'est tordu, genre... complétement à l'envers, il s'est tordu la colonne vertébrale et il nous regardait... à l'envers ! Il se tenait en suspension juste au dessus du capot.
C'était un Zombie ça non ? C'est pas possible d'avoir un regard comme ça, de se tordre comme ça et de ne pas être un Zombie.
Je lui ai hurlé dessus pour qu'il se pousse depuis la tourelle du véhicule, j'ai raqué mon arme, j'ai aligné mes organes de visée sur son buste et je lui ai hurlé : "ALLEZ MONSIEUR, FAUT BOUGER LA".
Et il m'a pointé du regard. Toujours tordu, toujours "à l'envers". Il a riposté, avec ses yeux.
"VOUS BOUGEZ OU JE VAIS DEVOIR OUVRIR LE FEU, CIRCULEZ !".
Toujours tordu, toujours à l'envers, impassible, son regard cerné par les cicatrices des coups de machettes sur sa gueule, son bras amputé suspendu comme une croix inversée, ses oreilles l'une manquante et l'autre déchirée, à me fixer.
Le CCH commence à se chier dessus, le pilote aussi, on est là, avec notre petit blindé, bloqué par un homme en ruine qui porte sur ses épaules toute la souffrance du pays qui l'entoure. Qui nous fixe. Qui a arrêté par sa seule détresse, sa seule souffrance, toute une colonne de l'armée de terre. La personnification de l'agonie de tout un peuple qui nous broie du regard.
Je sais plus quoi lui dire pour qu'il s'écarte, je vais pas lui tirer dessus. Je regrette déjà d'avoir crié, j'aimerai juste descendre de là, le prendre dans mes bras et lui dire que je suis désolé, profondément désolé.
Il a fini par s'écarter. Je sais pas au bout de combien de temps, tout était figé, j'avais froid malgré les 45° et l'humidité.
Par la suite, je l'ai souvent croisé la nuit, alors qu'il est collé contre le pare-buffle, au lieu de s'écarter, il s'anime brutalement, il saute sur le capot et m'attaque sur la tourelle. Et j'ai beau lui vider l'intégralité de mon chargeur dans la tronche, il parvient toujours par me saisir et il me bouffe le visage, ou tout ce qui dépasse.
Même si ce ne sont que des cauchemars, croyez moi, sentir qu'on vous démmembre vif, ça fait... bizarre.
Zombie increvable, immunisé aux balles.
Comme si j'étais coupable de tout ça.
J'ai appris avec le temps, que cette action de tirer (et d'avoir des tirs qui n'ont pas d'effet sur la cible) sur ce type dans mes flippes nocturnes, c'était la matérialisation de mon impuissance par mon inconscient.
Que je me sens responsable de n'avoir rien fait et que je me le fais payer de cette façon.
Mais j'aurais fait quoi moi ? Sauver tout un pays avec mes deux mains ? Je comprends pas pourquoi je m'inflige ça.
En Mars 2025, ça fera 10 ans, que, de temps en temps, le soir, un mec tordu éviscère mes potes devant moi, qui tire en hurlant comme un débile, pour un effet nul. Avant de me faire bouffer en dernier.
5.56 ineptes pour Zombie éthéré.
Le pire c'est que vu son état d'alors, il doit certainement être décédé depuis des lustres.
C'est parce que je t'ai pas sauvé que tu veux me butter si souvent le soir ? J'avais des ordres...
Quand tu as commencé à me traquer, j'étais tellement en colère tout le temps. Tu m'as rendu fou.
Tu marchais sur mes rêves, tu piétinais mes pensées, tu m'as hanté, toi et tout l'enfer à ciel ouvert qui te servait de pays.
J'ai tout perdu, j'ai chuté au fond des limbes de ma propre conscience, à vainement tenter de me débarrasser de toi.
Que voulais tu de plus ? Que je me fume ? J'y ai pensé, des jours, des nuits, des mois, des années, j'y pense encore.
Je sais que tu vas m'avoir à l'usure. Je le sais. Je vivrais pas vieux.
Tu m'attends dans le petit trou où ils me jetteront quand j'aurais cané.
J'aurais ta gueule pleine de cicatrices devant la mienne pour l'éternité.
Toujours à te dissimuler dans les ombres, à lever mon coude 10 fois de trop pour que je t'oublie, à me ronger le crâne avec tes dents.
10 ans que je te survis. Je t'ai laissé derrière moi, avec tous les autres. Si j'avais pas pu claquer des doigts et tous vous sauver, je l'aurais fait.
Regarde ma gueule, regarde bien ma gueule,
Et tu verras, elle te dira, tout ce qu'il resta de moi,
L'indicible impuissance, la déchirante vérité,
15 jours avant le retour, le 12/05/2015,
Sur cette photo, "je souriais".
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aedesluminis · 3 months
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"Summoned by a king who knows no other greatness than the happiness of his people, the representatives of the nation have broken the fetters forged by despotism: feudalism is destroyed, the great work of our regeneration has begun and advances day by day. After having renounced to those privileges, that destroy public prosperity, the provinces want to forget themselves and to blend into the more regular division of departments and districts. These departments, these districts and the smallest portions of the empire will have a similar organisation. The variety of customs, immense source of abuse, will henceforth be replaced by the most exact uniformity in the laws of administration and justice: with such a beautiful order, shall we let the ancient chaos of our measures persist? Is it not about time to remove so many chances of mistakes, frauds and trials? The present moment is all the more appropriate for a general reform of measures, since the newly adopted principles leave prejudices powerless; and since the people, already disposed towards other more important changes, which have broken their habits, would receive with docility an innovation whose great advantages they could themselves feel."
- Claude-Antoine Prieur-Duvernois, "Mémoire sur la nécessité de rendre uniformes dans le royaume toutes les mesures d'étendue et de pesanteur"
Original in French (modern transcription): "Appelés près d’un Roi qui ne connaît de grandeur que la félicité de ses peuples, les représentants de la nation ont brisé les fers qu’avait forgé le despotisme : la féodalité est détruite ; le grand œuvre de notre régénération est commencé, et s’avance de jour en jour ; les provinces, après avoir renoncé à des privilèges destructeurs de la prospérité publique, vont s’oublier et se confondre dans la division plus régulière des départements et des districts ; ces départements, ces districts, et les plus petites portions de l’empire, auront une organisation semblable ; la variété des coutumes, source immense d’abus, sera désormais remplacée, dans toute la France, par l’uniformité la plus exacte dans les lois d’administration et de justice : avec un ordre si beau, laissera-t-on subsister l’ancien chaos de nos mesures ? N’est-il pas temps enfin d’ôter tant d’occasions d’erreurs, de fraudes et de procès ? Le moment actuel est d’autant plus convenable à une réforme générale des mesures, que les principes nouvellement adoptés laissent les préjugés sans force ; et que les peuples, déjà disposés par d’autres changements plus importants, qui ont rompu leurs habitudes, recevraient avec docilité une innovation dont ils pourraient eux-mêmes sentier les grands avantages."
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soeurdelune · 8 months
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parce qu'on approche doucement mais sûrement de la spooky season 🎃, c'est l'occasion de parfaire votre culture en films d'horreur! voici une petite sélection de 10 diamants du genre, visionnables gratuitement sur youtube (et sous titrés en anglais pour ceux en langue étrangère! que demande le peuple...) il va sans dire que l'horreur étant un genre parfois costaud, pensez à vérifier vos triggers pour chaque film sur le site does the dog die?
carnival of souls, 1962 (vo: anglais américain), une masterclass, un des premiers grand films d'horreur moderne, il a inspiré des réalisateurs comme david lynch ou james wan. (la note de lune: 5/5)
el espinazo del diablo (l'échine du diable), 2001 (vo: espagnol), personne ne raconte une histoire de fantômes comme guillermo del toro, un très beau film qui inaugure sa trilogie de la guerre civile, à suivre avec le labyrinthe de pan et son pinocchio de 2022. (la note de lune: 4/5)
a tale of two sisters, 2003 (vo: coréen), des influences gothiques saisissantes et une histoire aux allures de diabolique petit puzzle. (la note de lune: 4/5)
ringu, 1998 (vo: japonais), un immense classique de la j-horror que l'on ne présente plus, efficace et très bien ficelé, featuring hiroyuki sanada ♥️ (la note de lune: 5/5)
the last man on earth, 1964 (vo: anglais américain), inspiré du roman i am legend qui a donné une palanquée d'adaptations au fil des années, celui-ci est de loin mon favori, vincent price est une ICÔNE et ce film est un pur plaisir à regarder. (la note de lune: 4/5)
kairo (pulse), 2001 (vo: japonais), un autre classique de la j-horror, l'ambiance est profondément troublante et mélancolique, avec des scènes qui vous hanteront pendant un bon moment. (la note de lune: 4/5)
hellraiser, 1987 (vo: anglais américain), tout le monde l'a probablement déjà vu mais la version youtube est tellement quali que je le mets ici quand même, pinhead est un méchant incroyable, le film a des défauts mais les qualités l'emportent sur le reste, un bijou de l'horreur un peu gory des 80s! (la note de lune: 3/5)
donnie darko, 2001 (vo: anglais américain), diffile à mettre dans une catégorie plutôt qu'une autre, un peu d'horreur mêlée à du thriller psychologique et une pointe de sci-fi, ça reste un classique au dénouement final incroyable. (la note de lune: 5/5)
one missed call, 2003 (vo: japonais), juré après j'arrête avec la j-horror, celui-ci est plus efficace dans sa seconde moitié que dans la première, il y a des moments qui font vraiment vraiment peur. (la note de lune: 3/5)
les yeux sans visage, 1960 (vo: français), avant la piel que habito d'almodovar, il y a eu les yeux sans visage, un petit précurseur considéré comme le premier film d'horreur moderne français. (la note de lune: 3/5)
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droitsdesfemmes · 2 months
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Les Femmes françaises veulent voter, élections législatives du 26 Avril 1936.
Les femmes de 1936 rêvaient d'une France équitable, où le bonheur n'aurait pas été une denrée rare, mais un bien commun, partagé par tou.te.s, loin des serres des vautours de la finance. Elles rêvaient d'assemblées où les voix du peuple auraient eu plus de poids que les portefeuilles boursouflés des gros bonnets. Mais qu'est-ce qu'on a fichu bordel ?! On s'est bien vautré.es. Au lieu de tenir le cap vers cet idéal, on s’est fait endormir par les sornettes d'un petit mecton et toute sa clique, piquant leurs idées aux teigneux. Aujourd'hui, faut se rendre à l'évidence : on a déconné, et si on ne se ressaisit pas fissa, on va se manger le mur en pleine poire. Alors, on fait quoi, on reste les bras croisés à regarder le navire couler ? Il est temps de se sortir les doigts, sinon on va se retrouver dans la mouise jusqu'au cou, à prier que la Faucheuse débarque vite pour mettre fin à tout ce foutoir.
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garadinervi · 1 month
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Olivia Elias, Ton nom de Palestine, Cover art by Rachid Koraïchi, Al Manar Éditions, Neuilly-sur-Seine, 2017
Je vous parle d’un peuple qui tambourine sans relâche aux portes de l’avenir d’un pays relégué aux marges de l’histoire Dans ce pays les petites Salma ont pour Nidal les yeux de Chimène et rêvent d’épousailles Ils grandiront auront des enfants qui auront des enfants jusqu’à ce qu’une balle en plein cœur interrompe le fil du récit A quoi rêvent les enfants de Gaza? […]
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luc3 · 2 months
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The Path (to the Carmel.)
Fairies and flowers, anemones and wild carrots in the middle of the forest, the sun is always a promise, the night always pins down the stars. Here, well of light, the Source is the Spirit of the Little People, I mean les petites gens, ceux d'en-bas, ceux du Petit Peuple, and this Light flows and cascades over our heads and onto the earth without any distinction.
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fashionbooksmilano · 2 months
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Les Écrits du du vent
Hans Silvester
Éditions de La Martinière, Paris 2003, 144 pages, 31x22,8cm, ISBN 978-2732429809
euro 20,00
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Les écrits du vent offrent pour qui sait les voir une nouvelle interprétation du monde. Au rythme des saisons, Hans Silvester a su saisir tout le mystère et la splendeur des paysages de Camargue, continuellement remodelés par le vent : ondoiement subtil à la surface d'un étang, infimes craquements terrestres, nuées d'oiseaux... autant d'images qui confondent notre perception de l'infiniment grand et de l'infiniment petit. Des textes issus de civilisations diverses accompagnent ces images surprenantes et explorent la poétique des éléments. En célébrant la beauté sauvage et le cycle éternel du monde, ils nous emmènent sur le chemin du rêve et de la méditation. Que nous révèlent et que nous enseignent ces paysages ? C'est à cette double et fascinante interrogation que veulent répondre Les Écrits du vent.
Né en 1938 en Allemagne, Hans Silvester fait ses premières photos à l'âge de douze ans. Défenseur inconditionnel de la nature, il publie en 1960 un livre remarqué sur la Camargue avec un texte de Jean Giono. Membre de l'agence Rapho, il a notamment publié aux Editions de La Martinière Les Chats du soleil, Les Chats du bonheur et Sieste et Tendresse, tous des succès internationaux. Les derniers reportages de ce grand voyageur l'ont mené en Inde, au Rajasthan, où il a photographié les peuples du désert de Thar et l'incroyable bestiaire des fresques du Shekhawati. Ce travail a donné lieu à deux livres, Les Filles de Mirabai et Les Cavaliers du Shekhawati. Son dernier ouvrage paru aux Éditions de La Martinière en 2002 s'intitule Chevaux de Camargue.
29/03/24
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