#nouveau ― alissa

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【 BASIC INFORMATION 】

BIRTH NAME: KAGA AKARI

KOREAN NAME: LEE HYUNGSEO

CODE NAME: ALISSA

NICKNAME(S): LISSA, SEO

PREFERRED NAME(S): ALISSA

BIRTH DATE: 17 NOVEMBER 2000

INTERNATIONAL AGE: 22

ZODIAC: SCORPIO

GENDER: FEMALE

NATIONALITY: KOREAN

ETHNICITY: JAPANESE-KOREAN AMERICAN

CURRENT LOCATION: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

RELATIONSHIP STATUS: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

MBTI: ISTP

GROUP: 𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔

【 BACKGROUND 】

BIRTH PLACE: SOUTH KOREA

HOMETOWN: ANYANG

SOCIAL CLASS: UPPER CLASS - ELITE

EDUCATION LEVEL: MASTER'S (PSYCHOLOGY)

FATHER: HYOGO KAGA

MOTHER: AURORA LEE

SIBLING(S): LEE HYUNWOO / KAGA YAKERU (1ST-BORN), KAGA KANO (2ND-BORN), KAGA ATSUKI (TWIN OF ALISSA/4TH-BORN) [DECEASED], KAGA YUKIO (5TH-BORN), KAGA REI (YOUNGEST)

BIRTH ORDER: 3RD BORN

PREVIOUS RELATIONSHIPS: 1

OTHER IMPORTANT RELATIVES: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

【 OCCUPATION & INCOME 】

PRIMARY SOURCE OF INCOME: PUBLIC SECURITY - TBR AGENCY

SECONDARY SOURCE OF INCOME: PART-TIME STUDENT

APPROXIMATE AMOUNT PER YEAR: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

CONTENT WITH THEIR JOB (OR LACK THERE OF)?: "Well... yeah.. if you say.."

PAST JOB(S): N/A

SPENDING HABITS: "Clothes, and home necessity."

MOST VALUABLE POSSESSION: THE SAMOYED KEYCHAIN

【 SKILLS & ABILITIES 】

PHYSICAL STRENGTH: 90 / 100

OFFENSE: 90 / 100

DEFENSE: 85 / 100

SPEED: 90 / 100

INTELLIGENCE: 90 / 100

INTIMIDATION: 90 / 100

LEADERSHIP: 85 / 100

ACCURACY: 85 / 100

AGILITY: 90 / 100

STAMINA: 85 / 100

TEAMWORK: 85 / 100

TALENTS: SINGING A FOREIGN SONG FLUENTLY, DANCING, WRITING MUSIC

LANGUAGE(S) SPOKEN: JAPANESE, ENGLISH, KOREAN

【 PHYSICAL APPEARANCE & CHARACTERISTICS 】

HAIR COLOR: DARK BROWN

HAIR TYPE/STYLE:  LONG, SLIGHTLY WAVY

GLASSES/CONTACTS?: GLASSES

DOMINANT HAND: RIGHT

EXERCISE HABITS: N/A

TATTOOS: "One is on my right wrist, which is a puppy and another one is a kitten on my left wrist. If you see, the puppy is in a 'let's play' position and the kitten is in a calm position... The puppy represents my twin who is up there."

PIERCINGS: N/A

MARKS/SCARS: "Probably my upper arms.. Got it from arguing with some brats in school."

USUAL EXPRESSION: NEUTRAL

CLOTHING STYLE: SEMI-FORMAL, CASUAL

JEWELRY: NECKLACE, BRACELET

【 MANNERISMS 】

SPEECH STYLE: FORMAL, CASUAL

QUIRKS: QUICK REFLEXES

HOBBIES: ICE SKATING

DRIVES/MOTIVATIONS: HER TWIN, HER FAMILY

FEARS: N/A

POSITIVE TRAITS:

⤷ CONSCIENTIOUS

⤷ EMPATHETIC

⤷ INDEPENDENT 

NEGATIVE TRAITS:

⤷ ALOOF

⤷ ENIGMATIC

⤷ SADISTIC

DO THEY CURSE OFTEN?: "Only when I lose my patience..."

CATCHPHRASE(S): "I can't control my anger when it comes to bullies."

【 FAVORITES 】

ACTIVITY: VISITING HER TWIN'S GRAVE

ANIMAL: DOG (PARTICULARLY WHEN IT IS A PUPPY)

BEVERAGE: COKE

COLOR: BABY BLUE

FOOD: KIMCHI STEW (+ RICE)

MODE OF TRANSPORTATION: SPORTBIKE

SPORT(S): GYMNASTICS, FIGURE SKATING

WEATHER: CLOUDY

VACATION DESTINATION: JAKARTA

【 ATTITUDES 】

GREATEST DREAM: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

GREATEST FEAR: LOSING HER MOTHER

MOST AT EASE WHEN: HER BROTHERS ARE THERE TO CHEER HER UP

LEAST AT EASE WHEN: HER MOTHER IS SICK AGAIN

WORST POSSIBLE THING THAT COULD HAPPEN: LOSING HER PARENTS IN AN ACCIDENT

BIGGEST ACHIEVEMENT: HELPING HER FATHER WITH HIS WORK IN JAPAN

BIGGEST REGRET: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

MOST EMBARRASSING MOMENT: "Probably crying in public.."

BIGGEST SECRET: "I have composed a song for someone special.."

TOP PRIORITIES: FAMILY, WORK

【 TRIVIA 】

Alissa went to SOPA and she is in the same batch as Haechan, Jeno and Jaemin. (But she dropped-out on the 2nd year and there were rumors that Alissa dated Jeno during their times in high school.)

Alissa and her oldest brother are the only ones who have changed their birth names to their Korean names.

Both of Alissa's parents are instructors at Tokyo's prestigious Public Safety Police Academy, and her father is an elite investigator with the Tokyo Metropolitan Police Department.

Only Alissa and one of her older brothers studied abroad to accompany her dad's work in U.S. (It only lasted for a few months.)

Alissa managed to get a bike license during her time in U.S.

She returned to Korea to complete her senior year of high school at Daeil High School, which was known for its prestige, before entering a 6-month police academy program before leaving for Japan.

【 ALISSA'S STYLE 】

NOUVEAU masterlist

#nouveau.alissa #hyungseo.nouveau #nouveau ― alissa #alissa.profile #yes hyogo kaga from her love in the force #he is.... #toh

[anm-blog]

[double-croche1]

[INTERVIEW #353] Elles ont signé notre album préféré de ce premier semestre avec ‘Radiate Like This’. Rencontre avec les passionnantes américaines de Warpaint. Est-ce que vous aviez des idées précises de ce que vous vouliez pour l’album ? Emily : Au début, Theresa est venue chez moi et on a joué des démos de chansons qu’on venait d’écrire. Ce n’était que nous deux à ce moment-là. On travaille ensuite sur les chansons avec le groupe entier mais on commence souvent comme cela. Je me souviens qu’on se montrait ce qu’on avait écrit. Ce n’était pas nécessairement des chansons pour Warpaint et je pense que cela a formé la colonne vertébrale de l’album. Theresa a par exemple écrit le morceau Altar chez moi à cette époque. Puis j’ai fait Hips et Theresa est venue pour travailler dessus. On a donc fait cette semaine de travaux préparatoires qui ont installé un certain ton pour l’album, même si les chansons ont évolué ensuite. On a pris une direction plus électronique avec des chansons basées sur Ableton et Logic. A cette époque, vous n’aviez que trois ou quatre morceaux qui ont fini sur l’album ? Emily : C’est bien cela, on a commencé avec ces démos et ensuite Melting a pris forme avec le groupe. D’autres chansons ont commencé en faisant la bande-originale d’un podcast et d’une série intitulée ‘Made for Love’ [créée par Alissa Nutting, Dean Bakopoulos, Patrick Somerville et Christina Lee, 2 saisons diffusées sur HBO Max, Warpaint a notamment écrit la chanson inédite Lilys pour cette série]. Stella, Theresa et moi travaillions sur cela et sur d’autres choses qui ont fini par être des chansons pour Warpaint. C’était donc une différent processus pour nous. On avait été en tournée pendant si longtemps auparavant ! C’était une réponse naturelle pour prendre notre temps. Vous étiez en studio au début de 2020. A cette époque vous pensiez que l’album sortirait 6 mois plus tard ? Emily : On a commencé l’enregistrement studio en 2019 mais en 2020 on allait prendre une pause pour que j’accouche de ma fille. Puis on devait finir l’album rapidement et puis le grande vide, nous revoilà deux ans plus tard. (Rires) C’est pour cela que l’album nous paraît si produit. D’habitude, on fait tout rapidement. Par le passé, beaucoup de chansons étaient des prises vocales uniques comme pour Biggy et Keep it Healthy sur l’album ‘Warpaint’ (2014), ce qui est chouette mais j’avais envie d’aller plus loin avec ma voix et cela nécessitait plus de prises.

Crédits photo : Press Comment cela s’est passé quand vous avez dû travailler séparément pendant les confinements ?

Theresa : Je pense que c’était une bonne expérience, surtout au début. Il y a quelques bonnes choses qui sont sorties de cela. On s’est lancées dans des harmonies plus complexes. A un moment par contre, on s’est rendu compte que ce n’est vraiment pas simple de collaborer en étant seules chacune de notre côté. Ça a donc eu des bons et des mauvais côtés. Est-ce que vous vous êtes retrouvées durant le covid ? Theresa : Quelques fois oui pour travailler sur les parties de guitares et les voix. Puis on s’est vues à Portland pour mixer 7 chansons de l’album dont Hips, Proof, Trouble et Altar. Est-ce qu’il y a des chansons que vous avez créées de zéro durant votre temps à l’écart ? Theresa : La plupart des chansons était là avant, à part Sending Nudes qui est arrivée pendant la pandémie. Emily : On avait environ 70% de l’album qui était fait, ce sont juste les 30% restants qui ont pris du temps, comme la finition des arrangements. Pour Like Sweetness et Trouble par exemple, on a pu tester plein de choses en post-production avec nos ordinateurs, ce qui était vraiment nouveau pour nous. Qui en fin de compte chante sur les morceaux ? Theresa : C’est souvent la personne qui a écrit la chanson. Si on fait des jams, c’est là où l’une d’entre nous se sent le plus à l’aise. Sur Melting par exemple, j’ai commencé à tester quelque chose durant les répétitions et on l’a gardé. D’habitude, Jenny chante sur un morceau de chaque album mais pas sur celui-là, ce qui est dommage ! Est-ce qu’il y a des chansons sur l’album qui vont sont spéciales ? Theresa : J’aime beaucoup la façon dont Hips a pris forme. La même chose pour Proof. Même si ces chansons avaient été commencée par Emily, je pense que les autres membres du groupe ont largement contribué à les façonner. On a pris beaucoup de plaisir à essayer plein de choses au début sur celles-ci. La batteuse Stella a notamment joué du piano sur Hips. A quel moment avez-vous pensé à appeler l’album ‘Radiate Like This’ ? Cela fait partie des paroles du morceau Melting. Theresa : Effectivement. On cherchait un titre pour l’album. On essayait plein de choses et on attendait que ça vienne. Notre manager nous a dit : « Pourquoi ne pas choisir une des paroles de l’album ? » Emily a proposé Radiate Like This et on est parties là-dessus. Je l’aimais mais au début j'ai eu peur qu’on fasse le mauvais choix, je suis finalement contente qu’on l’ait gardé. C’est une expression qui a un sens particulier mais qui est également ouverte à l’interprétation. On voulait aussi transmettre l’idée d’une chose qu’on crée et qu’on transmet. Le titre ‘Heirlooms’ [“Héritages” en français] était une autre bonne proposition, mais Jenny a trouvé ça trop vieillot. (Rires)

Comment avez-vous choisi la pochette de l’album ? Theresa : Cette pochette allait bien avec le concept du titre de l’album. Elle va avec la nation de prise de recul qui est très présente dans les paroles, l’idée d’élargir son champ de vision. Cela donnait aussi plus de lumière, surtout de nos jours où on est tous passés par des moments très bizarres récemment avec le covid. C’est Emily qui avait pris cette photo d’un avion quand on est allées au Mexique pour une tournée en novembre 2019. Emily : J’étais alors enceinte de 6 mois et on a joué notre dernier concert de l’album précédent [‘Heads Up’ sorti en 2016]. On s’est demandé ce qu’on allait utiliser comme pochette. On voulait avoir une photo du ciel du Parc national de Joshua Tree en Californie. On a donc cherché des photos de ciel et on est tombées sur celle-ci ! Est-ce qu’il y a des chansons à propos de la maternité ? Le morceau Stevie parle de cela, non ? Emily : Pas vraiment. L’écriture de Stevie s’est faite sur une période de temps très longue, elle parle du début d’une relation qui dure maintenant depuis 9 ans ! Chaque étape du développement de cette chanson lui a apporté plus de profondeur, mais elle ne traite pas directement de la maternité. Par contre, j’ai écrit l’album alors que j’étais enceinte. Et quand ma fille est née, je travaillais encore dessus et j’aidais au mixage. Ma fille connaît toutes les chansons. (Rires) Elle aime beaucoup Altar et chaque fois qu’elle entend les paroles “Open me like a flower”, ça la fait réagir et elle chante dessus. Elle aime aussi Hips. Faire un album en étant enceinte est une expérience particulière ! Tout le monde était si bienveillant avec moi. Est-ce qu’il y a des chansons sur le nouvel album qui sont connectées à des morceaux plus anciens que vous avez ? Theresa : Stevie a justement été écrite au moment de l’album ‘Heads Up’ (2016). Elle vient donc de cette période. Souvent, les morceaux prennent du temps avant d’être montrés au reste du groupe, tout comme Trouble qui a dû commencer autour de l’album ‘Warpaint’ (2014). Je pense que le processus de cet album est une extension de celui de ‘Heads Up’ (2016) où tout ne vient pas nécessairement de jams qu’on a faits ensemble, mais plus avec des directions individuelles qui apparaissent au préalable. Est-ce qu’il y a des nouveaux instruments sur l’album ? Emily : Assurément, surtout des synthétiseurs. On a été forcées de faire cela avec la pandémie, mais ça a été aussi une évolution naturelle pour nous. Quand je suis seule, j’utilise des synthétiseurs et des plugins, comme sur le morceau Champion. Theresa : On avait commencé cela avec le précédent album ‘Heads Up’, notamment sur le morceau So Good.

Crédits photo : Press Est-ce que vous avez vu des bons films récemment ? Emily : J’ai beaucoup aimé ‘The French Dispatch’ [Wes Anderson, 2021], en particulier l’histoire de Benicio del Toro et Léa Seydoux. J’adore Léa Seydoux. Je me souviens qu’elle était dans ‘Mission : Impossible’ [quatrième épisode ‘Protocole fantôme’ de Brad Bird sorti en 2011], c’était la première fois que je la voyais à l’écran. Theresa : Je viens de revoir ‘Midnight in Paris’ [Woody Allen, 2011 également], c’est un des films préférés de mon fils, il aimait ce film avant même de le comprendre vraiment, il en appréciait le sentiment général. Léa Seydoux était dans ce film avant qu’elle devienne plus importante. [Sa carrière internationale avait tout de même déjà débuté auparavant avec notamment ‘Inglourious Basterds’ de Quentin Tarantino en 2009 et ‘Robin des Bois’ de Ridley Scott en 2010]. Emily : Par ailleurs, j’ai le même anniversaire que Marion Cotillard [née le 30 septembre 1975, Emily est quant à elle née le 30 septembre 1980]. Elle est super, je suis exactement aussi belle. (Rires) Y a-t-il des chansons qui sont influencées par des films ? Emily : Je vois des films dans ma tête que je n’ai pas encore faits mais qui vont sortir prochainement. (Rires) Je ne pense pas qu’on ait de chanson influencée par des films spécifiques. Par contre, quand on écrit une chanson, on voit un scénario dans notre tête, des images qui peuvent résonner surtout au niveau des paroles. Pour ce qui est de la structure des chansons, je la visualise parfois graphiquement pour qu’elle fasse du sens, ce n’est pas qu’une expérience auditive. Par le passé, avez-vous déjà fait référence dans les paroles à un film en particulier ? Theresa : Oui ! On répète plusieurs fois ‘the clit-cut’ dans la chanson Composure [présente sur le premier album ‘The Fool’ sorti en 2010], il s’agit d’une référence au film ‘Antichrist’ (2009) de Lars Von Trier. Emily : Therasa et moi adorons les films. On en regardait tellement quand on était adolescentes. C’est cette époque où tu regardes un film en te disant : « Whahou ! Quoi ? Un film peut-être comme ça ? » (Rires) J’aurais pu juste travailler à l’éclairage sur un plateau parce que je faisais toujours une fixation sur la lumière dans chaque scène. Je me disais : « Ici c’est mal éclairé, là c’est super au contraire ! » (Rires) On voyait tous les films de Martin Scorsese au cinéma. Theresa : Je me souviens que j’avais vu ‘Jackie Brown’ [Quentin Tarantino, 1997] au cinéma Bijou à Lincoln City dans l’Oregon et j’étais tellement impressionnée par Michael Keaton dedans ! J’ai eu une phase Stanley Kubrick. ‘Barry Lindon’ (1975) et ‘2001, L’Odyssée de l’espace’ (1968) sont incroyables. Je me suis renseignée sur la façon dont il a créé les décors et les lentilles qu’il a choisies pour que chaque scène ressemble à une peinture. Emily : On regardait aussi les films de Terrence Malick quand on était plus jeunes. Ce sont toutes ces choses qu’on découvre en grandissant qui sont en dehors de la pop culture du lycée. Auriez-vous des groupes à nous recommander ? Emily : Oui ! VS Color et James Supercave. Huerco S. est un très chouette groupe d’ambiant aussi. Il y a également The Caretaker qui fait de la musique très cinématographique. Crédits photo de couverture : Press Le nouvel album ‘Radiate Like This’ de Warpaint est disponible et hautement recommandé ! A&B

[delfiris]

Jules Laforgue, “renaître moqueur”

Né à Montevideo en 1860, élevé à Tarbes puis à Paris, où il meurt, en 1887, de la tuberculose, Laforgue, éphémère génie disparu avant d’être reconnu, trouverait sans peine sa place parmi les « Maudits » de Verlaine. Son œuvre, entamée dans l’éloquence « hyper-romantique », et tout imprégnée du spleen de l’époque, le spleen « baudelairien », s’oriente vite vers le symbolisme (« je deviens kahnesque et mallarméen », confesse-t-il dès 1882) avec Les Complaintes et Des Fleurs de bonne volonté.

Marquée par la vanité des transports « vers les altitudes de la Métaphysique de l’Amour » et une conscience tragique de la mort (« la vie, cette diète de néant » ), sa poétique est peut-être résumée, mieux que par une longue analyse, dans ce quatrain de l’Imitation de Notre-Dame la Lune : « Ah ! tout le long du coeur / Un vieil ennui m’effleure… / M’est avis qu’il est l’heure / De renaître moqueur. »

Marie-Jeanne Durry note ailleurs que Jules Laforgue, « du plus profond de lui, aspirait à l’amour total, à l’union totale. Avec une telle exigence que rien ne pouvait la satisfaire. » Une railleuse mélancolie appliquée sur la cicatrice de l’élan brisé : n’est-ce pas l’illustration de ce « désespoir qui porte un masque de comédie » dont André Breton a fait la marque de l’humour noir, « par excellence l’ennemi mortel de la sentimentalité à l’air perpétuellement aux abois » ?

Voici l’outil dont Jules Laforgue se sert dans ces Moralités légendaires, parodie impertinente de quelques mythes célèbres, pour dévoiler l’envers de l’idolâtrie amoureuse, du tourment romantique, de la vanité créatrice : Lohengrin sanglote sur son oreiller, tel « un incurable enfant », au soir de sa nuit de noces avec Elsa ; Salomé tombe du promontoire en voulant jeter à la mer la tête du prophète sacrifié ; Hamlet trépasse piteusement en articulant, entre deux gorgées de sang, le « qualis… artifex… pereo » de Néron…

Ailleurs, on trouve de plus grosses plaisanteries encore, et d’ahurissantes divagations ; et aussi les éclats d’un très beau poète : il y a l’écume de la mer, « comme un innombrable troupeau de brebis qui nagent, et se noient, et reparaissent, et jamais n’arrivent, et se laisseront surprendre par la nuit » ; il y a les étoiles, « chères compagnes des prairies stellaires » avec lesquelles Salomé converse, la chevelure parsemée de diamants, « comme un souverain met, ayant à recevoir ses pairs ou satellites, les ordres de leurs régions. »

Un vrai poète, donc, qui livre une prose châtiée cent fois, travaillée à l’excès  (« Qu’il est plus facile de tailler des strophes que d’établir de la prose ! Je ne m’en étais jamais douté ! », remarquera-t-il), gonflée de références, de digressions, de brusques décalages, d’anachronismes de langue — autant de procédés visant à dévergonder le récit, à en subvertir les conventions. « Saturée d’une ironie diffuse, chaque nouvelle s’apparente à un récit non‑fiable, où le texte se distancie régulièrement de lui-même. Dans la lignée de Jacques le Fataliste et de Tristram Shandy, mais aussi des Chants de Maldoror, un narrateur facétieux met sans arrêt à nu les codes, procédés et artifices de la narration fictionnelle ‘classique’ », relève Alissa Le Blanc, qui a consacré une thèse à l’utilisation du poncif chez Jules Laforgue.

Comme la plupart des écrivains du courant symboliste, Laforgue était à la recherche du nouveau, du singulier : « J’écris de petits poèmes de fantaisie, n’ayant qu’un but : faire de l’original à tout prix », confiait-t-il à sa sœur. La manière dont il s’est distingué dans la riche production littéraire de la fin du XIXe siècle tient pour une bonne part, comme le montre Alissa Le Blanc, « à l’usage critique et réflexif qu’il a su faire de matériaux à ses yeux éculés : il a osé les manipuler et les recycler, au lieu de tenter à tout prix de les éradiquer. »

Dans le corpus si tragiquement restreint des œuvres de Laforgue, les Moralités légendaires tiennent à cet égard une place éminente. « C’est de la littérature entièrement renouvelée et inattendue », estime Gourmont, « et qui déconcerte et qui donne la sensation curieuse (et surtout rare) qu’on n’a jamais rien lu de pareil. » Il y a des prosateurs plus souples que Jules Laforgue, des poètes plus touchants, des humoristes plus hilarants ; mais combien ont su comme lui s’affliger et se moquer, dans la même strophe, être si drôle et si triste à la fois ?

[cedricfaitsontourdupilat]

LA COIRONNAISE

A Privas le 17 avril 2022

   Direction l’Ardèche et Privas pour disputer une nouvelle épreuve du calendrier cyclosportif avec cette Coironnaise, une épreuve trop longtemps absente des calendriers et qui a été relancée pour découvrir ou redécouvrir le bassin privadois et le plateau du Coiron. 3 parcours sont proposés pour 55km, 75km et 115km sous un temps absolument magnifique ; ciel bleu azur sans nuages même s’il faudra parfois composer avec un peu de vent !

      Je fais de nouveau équipe avec Clément Cambier pour le trajet et bien qu’en plein centre-ville le lieu de départ ne pose pas de problème ; stationnement facile et dossards vite récupérés, nous voilà prêt pour le grand parcours où l’on espère la même réussite qu’à la Corima (voir plus pourquoi pas ?) même si à la vue de la start liste cela semble compliqué d’autant que nous apercevons de redoutables adversaires sur la ligne qui n’étaient pas sur la liste des inscrits à l’image de Tim Alleman ou Damien Poncet pour ne citer qu’eux.

      9h le départ fictif est donné pour sortir de Privas direction Alissas sur 6 bons km où le départ réel est donné au pied de la montée de Rochessauve (8,63km @ 5,6%). Régis Chabert lance la 1ere attaque bien vite ramener à la raison sous l’impulsion de Renaud Blanc ou moi-même en 1ere ligne. Un autre coureur tente sa chance et tandis qu’on ne semble pas bien nombreux à vouloir rouler derrière je décide d’attaquer ; rapidement revenu sur l’homme de tête je n’ai pas trop le temps de prendre de l’avance que Tim à déjà réagit. Aussitôt revenu il relance et imprime un gros tempo jusqu’au sommet, souvent autour des 6w/kg la sélection s’opère rapidement et nous voilà une petite quinzaine au sommet où ça ne se relève pas avec le triathlète Mathis Margirier qui s’échappe. La longue descente qui suit jusqu’à St-Jean-le-Centenier est ultra rapide : pas spécialement technique il faut s’employer et écraser les pédales pour ne pas sauter ; sur le bas je cède quelques longueurs avant de revenir au prix de quelques relances au sprint avec Clément dans ma roue.

Pas de temps mort sur ce parcours où l’on enchaine avec la côte de Mirabel (4.1km @ 5.7%) : juste avant 3 hommes sortent dont Benjamin Buchetet et Clément ; si Clément se relève vite les 2 autres poursuivent pendant que nous reprenons un rythme plus raisonnable sur un bon tempo. Après une nouvelle partie « mal plate » la montée de Darbres (4.8km @ 5.7%) se profile ; malgré 2-3 accélérations notre groupe ne perdra qu’un élément et un coureur attaque au sommet pour faire la descente : je n’avais rien noté de particulier ici sur le parcours mais la route est une catastrophe : étroite et légèrement bosselée avec surtout une bande de gravillons au centre tout le long… et ça va vite ; en queue de groupe je ne joue pas longtemps et suis Geoffrey Lucat qui cède mètre par mètre : sur le bas un virage mal négocié me faire perdre le contact avec mon compagnon d’infortune et m’oblige à un long effort pour récoler difficilement ; à 2 on est encore loin du reste du groupe qui a explosé : il faut encore de long instants à bloc pour récoler à St Privat pile au moment où nous abordons la longue montée sur Sarasset (enchaînement de petites montées / plats / descentes sur plus de 20km).

      Alors que 5 ou 6 gars sont à l’avant Clément prend les choses en main et impose un gros rythme ; ça ne rigole pas et on revient sur les fuyards ; légère temporisation avant que Clément attaque ; personne n’y va, certain imprimant le tempo ; l’écart reste faible un moment avant de tourner à l’avantage de mon jeune co-équipier d’entrainement ! Il va prendre jusqu’à une bonne minute et ça s’interroge dans le groupe, Damien pensant que ça pourrait aller au bout pour lui. Effectivement ça ne roule pas très fort, beaucoup (dont moi) restant dans les roues, il faut attendre le final de cette montée de Sarasset où les 3,3 derniers kms à 6.1% vont faire mal ; Tim prend les choses en main et fait des dégâts ; Jonas Vercouter lâche en premier imiter par Nicolas Reculeau un peu plus loin puis c’est mon tour ; je résiste tant bien que mal mais paie les nombreux efforts précédents ; en vue du sommet il ne me manque pas grand-chose mais le vent défavorable me condamne définitivement alors que je vois au loin le groupe qui reprend Clément juste au sommet.

Il reste alors 25km et un top 10 à aller chercher ; pensant être 9eme (10 en fait) je tente de maintenir un bon rythme pour garder mes poursuivants à distance : le parcours est encore exigeant avec une nouvelle montée au col de l’Escrinet et même plus haut en empruntant une petite route de crêtes qui fait bien mal au pattes : si je maintien un bon tempo dans les bosses, je suis un peu moins efficace sur les faux plat même si je ne vois toujours personne derrière moi ; un dernier « talus » nous fait franchir le col du Benas : il reste alors les 10 derniers kms descendants que je pensais finir seul mais Jonas est revenu comme une balle : on fait la descente ensemble et il me battra pour le sprint de la 10eme place. Quelques minutes plus tôt Mathis Margirier s’imposait 40’’ devant Damien Poncet beau 2eme. Geoffrey Lucat remporte le sprint du petit groupe de 5 arrivant pour la 3eme place 1 minute plus tard, Clément finit 9eme payant son offensive en fin de course.

      Finalement une belle épreuve avec un parcours très exigeant et un gros niveau présent sur cette première. Si cette 11eme place (2eme des 40-49 ans) me laisse peu de regrets, c’est avec une certaine frustration que je termine cette course n’ayant pu défendre mes chances là où je le voulais. Déjà dans le dur pour tenir les roues dans la fin de la descente de Rochessauve, celle de Darbres m’aura coutée très cher avec pas loin de 10’ de chasse en mode CLM et des relances en sprintant… Ce sera le seul bémol de cette cyclo ; une descente gravillonneuse de la sorte n’est pas très raisonnable en termes de sécurité quand on sait que beaucoup « débranche le cerveau », aussi l’arrivée au final de cette descente du Benas n’est pas très convaincante non plus ; certes la descente n’était pas dangereuse mais ce n’est pas très courant d’arriver de la sorte. Des petits axes de réflexion pour améliorer la prochaine car pour le reste tout était parfait !

Résultats

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Luna Li - Alone But Not Lonely (Official Video) https://youtu.be/TNGq6J1UYoA Luna Li - "Alone But Not Lonely" - Official Music Video Stream "Alone But Not Lonely" now: https://awal.ffm.to/5z4rxbz Follow Luna Li: Instagram: https://www.instagram.com/lunaliband/ Twitter: https://twitter.com/lunaliband?s=20 TikTok: https://www.tiktok.com/@lunaliband?lang=en Facebook: https://www.facebook.com/lunaliband/ Bandcamp: https://lunali.bandcamp.com/music SoundCloud: https://soundcloud.com/lunaliband Credits: Written & Performed by Luna Li Directed by Maya Balkaran & Kostadin Kolev Production Designer: Chelsea Attong Director of Photography: Kostadin Kolev Art Director: Karen Selina N. Art Assist: Reâna Olegario 1st AC / Gaffer: Rene Gibson 2nd AC / Gaffer: Spencer Wither Stylist: Basia Wyszynski Hair & MUA: Olivia Mokrzycki Producer: Maya Balkaran & Dexter Brown Production Assistant: Isabel Levin Editor & Titles: Noah Weisfogel Colorist: Rene Gibson & Noah Weisfogel Scoring: Luna Li Locations: Pie in The Sky Studios & Tamara Alissa Pottery Studio Prop House: Propaganda Art-House Special Thanks: Nouveau Riche Vintage, Kathryn Bowen, Imran Ahmed, Milos Mihajlov, Joy Gough, Braden Sauder, Sabrina Carrizo Sztainbok, Hallie Switzer & Charise Aragoza Lyrics: Alone but not lonely, Alone but not lonely, Alone but not lonely, Alone Alone but not lonely, Alone but not lonely, Alone but not lonely, Alone Alone but not lonely, Alone but not lonely, Alone but not lonely, Alone Alone but not lonely, Alone but not lonely, Alone but not lonely, Alone #LunaLi 88rising

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▲ Label Feen View on Flickr — [Full] Outfit Credits ° Maitreya Mesh Body - Lara ° CATWA HEAD Catya ° Lara Hurley-Yui Pale ° 4. [Buzz] Spring Eyebrow - Browns ° L'Etre - Basic mesh ears ° [okkbye] The Button Nose - CATWA Appliers ° [ MUDSKIN ]_Sul#Nudy Lip1 ° Izzie’s - Hairbase (Catwa) ° Beusy: Jhene Hair & Hat / Afternoon Bundle ° [Cubic Cherry] {Lala} glasses (New @ The Secret Hideout) ° .random.Matter. - Cermet Collar - Caution [Black] (@ April Round of N21) ° Frais //  Girls Tour Washed Blue (New) ° BOYS TO THE BONE hej shoulder bag - fatpack (@ May Round of Kustom9) ° Pseudo- Alissa Leggings HB (@ May Round of Kustom9) Decor Credits ° RAMA - #selfie_RAMA Abandoned Bus-Stop (@ May Round of The Gacha Garden) ° [NikotiN] Cigarette Butts ° 22769 ~ [bauwerk] Art Nouveau Bus Stop ° [URCS]_Sign1_BusStop

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[mysteresurterre]

Des orphelins dans la nuit - épisode 14

Après que le nouveau directeur ait eu une franche conversation avec nos trois Orphelins, ils s’attendent à se retrouver plongés au cœur de la cité de Graven la nuit-même. À leur grande surprise, ils se réveillent le matin avec une impression de malaise et les souvenirs diffus d’une plaine baignée de brouillard, mais ils sont sûrs de n’avoir pas visité la cité du Maitre des Cauchemars. Ils sont dans les anciens quartiers de Mickaïl qui a déserté l’orphelinat peu après que Tom lui ait demandé d’enquêter sur les expériences menées dans le sous-sol. Abandonnés par les rares personnes capables de les aider, Deirdre, Tom et Alex se sont tournés vers Garuda. En effet, ce dernier leur a bien dit que certains de ses collègues pourraient mettre un terme aux agissements de l’orphelinat, cependant, il affirme qu’ils arriveront dans deux jours encore lorsque la question lui est posée au travers du miroir.

N’ayant trop d’idées, les trois garçons passent leur temps comme ils le peuvent, entre ennui et paranoïa. Deirdre va même jusqu’à voir le directeur pour lui annoncer qu’il sait que Malika est à l’origine de la mort de ses parents et qu’elle devra en payer le prix. Ce qu’il ne sait pas alors, c’est que cette prophétie est sur le point de se réaliser.

Tandis que le repas du soir n’est servi que par Alissa, Werner ayant mystérieusement disparu, quelqu’un s’en vient sonner la cloche de l’entrée. Alissa finit de s’occuper de Sewerin et s’en va ouvrir la porte. Aussitôt les enfants entendent ses protestations et la porte claquer. Une seconde plus tard, une voix grave tonne : “Inquisiteurs, brûlez tout”.

Il ne faut pas plus de quelques secondes à Tom, Deirdre et Alex pour comprendre que la fuite est leur meilleure option. Si l’inquisition est là et qu’ils souhaitent tout brûler, cela n’implique pas seulement de passer le bâtiment par les flammes, mais aussi tous ceux qui l’habitent. Tom se dresse sur sa table et d’une voix claire où résonne une lueur d’espoir, il parvient à maintenir le calme parmi les enfants et à les faire sortir dans le jardin par la cuisine. Bien conscient que sa forme de corbeau offre de meilleures chances de s’en sortir, Alex l’adopte aussitôt à l’extérieur. Il reste cependant aux alentours pour relier par la pensée Deirdre et Tom, pour la bonne et simple raison que Deirdre, au lieu de fuir le danger, s’est mis au devant. Il est ressorti de la cuisine dans le hall où il voit une personne qui tient en respect cinq Inquisiteurs : Mickaïl. Convaincu de pouvoir l’aider, Deirdre fonce sur un des Inquisiteurs, mais il n’arrive pas même à retenir son attention tellement ses coups sont malhabiles. Au lieu de cela, les Inquisiteurs finissent par forcer Mickaïl à protéger l’orphelin pour gagner du terrain sur lui. À ce moment, Deirdre entend dans ses pensées qu’il doit s’échapper, effectivement Tom a vu depuis son perchoir que plus d’inquisiteurs allaient entrer. L’un d’eux porte une baliste sur son dos et poursuit Mickaïl et Deirdre alors qu’ils se replient dans le couloir de l’infirmerie. Au moment où l’adolescent ouvre la porte, il entend le claquement de la corde de la baliste et sent une éclaboussure chaude et poisseuse sur tout son dos. Il se retourne pour voir le spectacle macabre de Mickaïl essayant de gagner du temps avec ses dernières forces, un carreau planté dans le ventre.

Pendant ce temps, Tom s’est enfoncé dans le sous-sol avec les autres enfants. Il espère ressortir au niveau de la boutique en centre-ville, cependant Malika et son ange lui barrent la route. Il parvient à la raisonner et elle accepte de laisser passer les autres enfants, mais elle oblige Tom à rester. Il essaye de s’échapper mais l’ange l’en empêche. À ce moment là, un Deirdre ensanglanté fait irruption dans les sous-sols. Laissant libre cours à sa rage, il attaque Malika. L’ange attaque à son tour, mais ses coups semblent mous, sans conviction. Il suffit de quelques secondes de distractions pour que Tom disparaisse à la vue de Malika, embusqué derrière les cuves qui bordent la pièce. Il profite d’une ouverture pour planter sa lame dans le ventre de la jardinière, puis c’est au tour de Deirdre de prendre le dessus dans ce combat. D’un coup de poing rageur, il envoie la vieille femme dans une des cuves. Sous l’impact, celle-ci se brise et Malika s’empale sur les bris de verre. Elle meurt avachie dans une flaque de son sang.

Après cette victoire amère, l’ange accepte d’amener les deux orphelins jusqu’à la demeure de Garuda en échange de sa liberté retrouvée. Là-bas, ils sont rejoint par le corbeau Alex et le nécromancien les fait rentrer dans sa demeure où les attendent les autres orphelins, plongés dans un silence sinistre.

#anima #Anima : Beyond Fantasy #jdr #jeu de rôle #fantasy

[fredducom-blog]

Dyonisac Rencontre du livre, des arts et des vins les 14 & 15 juillet à Portets 33640

Dyonisac arrive à grand pas... DYONISAC ? Un mélange entre Dionysos (dieu grec de la vigne, du vin) et la désinence « ac = propriété de… ». Mais aussi la sonorité « ac » pour Aquitaine, aqua, acteur, action… DYONISAC ! Un 14 juillet autrement ! Si le livre papier est à l’honneur, la littérature s’en échappe. Les mots deviennent alors paroles que déclament, chantent et slament  des comédiens ou des musiciens. Sur des scènes éparses et improbables disséminées dans tout le village, le festivalier fera la rencontre d’un conteur au détour d’un lavoir, d’une chorale au pied du château, d’un spectacle théâtral dont la Garonne servira de décor. Cette rencontre s’annonce à la fois plurielle et singulière… Il sera en effet difficile de choisir par où commencer la visite tant les rendez-vous seront nombreux à Portets et à la fois, ces deux jours seront appréciés pour leur caractère unique. Quel amateur de mots n’aurait pas rêvé d’un tel regroupement ? Éditeurs, auteurs, illustrateurs, libraires, imprimeurs vont mêler leur culture à celle de la gastronomie, du conte, de l'art, du patrimoine et de la poésie ; de joyeuses et fructueuses rencontres en perspectives… Et bien sur, à ne pas manquer, la nuit de la poésie sur les berges de la Garonne… Auteurs, Éditeurs, intervenants ou Librairies ayant confirmé leur présence : Alain Nouvel, Laurence Bouvet (prix Arthur Rimbaud 2005), Florence Mothe, Ingrid S. Kim, Alissa Thor, Mikael Saint Honoré, Yves Belaubre, Catherine Vialle, Ghislain Fernandez, Jacmé Gaudas, Patrick-Jacques Alati, Gabrielle Jarzynski, Sandrine Fernandez, Jos Roy, Dominique Bergougnoux, Michel Lac, Michel Battle, Frédéric Ducom, Sandra Lilo, Patrick Prigent, Christophe Sanchez, Christian Saint Paul, Élisabeth Horowitz, Lilian Bathelot Cie Gric de Prat, Lous cantayres de Gascoha, Les Voix Fluviales, Marie France Lefranc, Association Portensis, Asso Musaraigne, Les Bénévoles de Rues et vous...Édition de l’Aigrette, S’Éditions, Maison de la poésie de la Drôme, Épilobe, Le Nouveau Pont, Cadratin, La Centaurée, Fantasy Park, Éditions du Corbeau, Sam Sufy, GFEN, 39/17 Éditions, Les Dossiers d’aquitaine, L’Atelier de l’agneau, la revue L’intranquille, Éditions Apeiron, L'atelier Croc en jambe, L'échiquier, Librairie Olympique, Éditions Zeraq, Éditions Moire, Éditions de la Crypte, Au Loup Éditions…Sans compter les artistes Alain Bergeon, Bernard Ouvrard, Michel Battle, José Vaz, Siona Brotman, Joris Dijkmeijer, Aurodeva Guerci... Exposés dans les 4 châteaux participants (L'Hospital, Vieux Guabert, Mongenan Lagueloup et le château de Portets). 

Tout est Gratuit ! Sauf la dégustation Château Gayraud 2003/ Cohiba de la Vuelta Abajo.

Dans le cadre de DYONISAC, une dégustation  exceptionnelle cigare et grand vin de Sauternes, est prévue le samedi de 18h à 19h. Le nombre de place est limité à 50 personnes pour que les échanges puissent être riches et conviviaux. L'idée étant d'apprécier les différents accords que proposent les mariages d’un Château Gayraud 2003 avec la fumée d'un grand havane. La diversité et la complexité gustatives du vin étant valorisée avec un cigare de la Vuelta Abajo à Cuba, terroir des plus savoureux cigares du monde. Yves Belaubre, journaliste (Cigare et Sensations) reconnu expert en havane par Habanos SA, poète, cinéaste, conférencier, animera l'atelier. Cette dégustation est uniquement sur réservation au 06 77 09 40 29

[tbr-agency]

time for a revamp!

#yes #particularly NOUVEAU #specifically Alissa

[tbr-agency]

【 BASIC INFORMATION 】

BIRTH NAME: NOH YEONWOO

ENGLISH NAME: N/A

CODE NAME: YEON

NICKNAME(S): N/A

PREFERRED NAME(S): YEONWOO

BIRTH DATE: 20 OCTOBER 2001

INTERNATIONAL AGE: 21

ZODIAC: SCORPIO

GENDER: FEMALE

NATIONALITY: KOREAN

ETHNICITY: KOREAN

CURRENT LOCATION: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

RELATIONSHIP STATUS: N/A

MBTI: ESFJ

GROUP: 𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔

【 BACKGROUND 】

BIRTH PLACE: SOUTH KOREA

HOMETOWN: ULSAN

SOCIAL CLASS: UPPER CLASS - MIDDLE

EDUCATION LEVEL: BACHELOR'S DEGREE

FATHER: NOH KIHA

MOTHER: MOON JIYUN

SIBLING(S): NOH YEONSEOK (2ND BORN), NOH YEWON (YOUNGEST)

BIRTH ORDER: OLDEST

PREVIOUS RELATIONSHIPS: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

OTHER IMPORTANT RELATIVES: MOON BIN (ASTRO), MOON SUA (BILLLIE)

【 OCCUPATION & INCOME 】

PRIMARY SOURCE OF INCOME: (PUBLIC SAFETY) - TBR AGENCY

SECONDARY SOURCE OF INCOME: PART-TIME LIBRARIAN (NIGHT SHIFT)

APPROXIMATE AMOUNT PER YEAR: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

CONTENT WITH THEIR JOB (OR LACK THERE OF)?: "Very!"

PAST JOB(S): N/A

SPENDING HABITS: "Definitely comic books!"

MOST VALUABLE POSSESSION: WALLET, TBR AGENCY ID CARD

【 SKILLS & ABILITIES 】

PHYSICAL STRENGTH: 85 / 100

OFFENSE: 85 / 100

DEFENSE: 90 / 100

SPEED: 90 / 100

INTELLIGENCE: 80 / 100

INTIMIDATION: 75 / 100

LEADERSHIP: 75 / 100

ACCURACY: 80 / 100

AGILITY: 90 / 100

STAMINA: 95 / 100

TEAMWORK: 85 / 100

TALENTS: STORY BOARD ILLUSTRATING

LANGUAGE(S) SPOKEN: KOREAN, JAPANESE, ENGLISH

【 PHYSICAL APPEARANCE & CHARACTERISTICS 】

HAIR COLOR: DARK BROWN

HAIR TYPE/STYLE: LONG, SLIGHTLY WAVY

GLASSES/CONTACTS?: CONTACTS

DOMINANT HAND: RIGHT

EXERCISE HABITS: JOGGING

TATTOOS: N/A

PIERCINGS: N/A

MARKS/SCARS: "My left arm! Got it from saving my regular customer from a drunkard old man who came to my comic store!"

USUAL EXPRESSION: SMILING

CLOTHING STYLE: SEMI-FORMAL, CASUAL

JEWELRY: BRACELET, WATCH

【 MANNERISMS 】

SPEECH STYLE: CASUAL

QUIRKS: CAN DO SLEIGHT-OF-HAND, LIKE A PICKPOCKET

HOBBIES: READING

DRIVES/MOTIVATIONS: HER FAMILY

FEARS: N/A

POSITIVE TRAITS:

⤷ BRIGHT

⤷ BRAVE

⤷ REALIABLE

NEGATIVE TRAITS:

⤷ INDECISIVE

⤷ HARSH

⤷ SNEAKY

DO THEY CURSE OFTEN?: "Nope. It's a rare case!"

CATCHPHRASE(S): "Booked and busy for the night to guard the bookshop!"

【 FAVORITES 】

ACTIVITY: CYCLING BY THE HAN RIVER

ANIMAL: CHEETAH

BEVERAGE: ENERGY DRINK

COLOR: RED

FOOD: BIBIMBAP

MODE OF TRANSPORTATION: BICYCLE

SPORT(S): JOGGING

WEATHER: CLOUDY

VACATION DESTINATION: NEW YORK

【 ATTITUDES 】

GREATEST DREAM: TO OWN A BOOKSHOP

GREATEST FEAR: N/A

MOST AT EASE WHEN: SURROUNDING HERSELF WITH BOOKS

LEAST AT EASE WHEN: GET CALLED LAST-MINUTE FOR WORK

WORST POSSIBLE THING THAT COULD HAPPEN: GETTING SHOT

BIGGEST ACHIEVEMENT: TAKING HER DRIVING LICENCE

BIGGEST REGRET: N/A

MOST EMBARRASSING MOMENT: CRASHING HER BICYCLE TO A LAMP-POST

BIGGEST SECRET: N/A

TOP PRIORITIES: WORK

【 TRIVIA 】

Yeon and the Moon siblings, Astro's Moonbin and Billlie's Sua, are cousins. (They are close.)

Yeon works part-time as a night librarian for her father's small library. (Everyday would be pack except for weekends since it is open 24-hours.)

Yeon's father also owns an entertainment company. (One of his artist is Lizzy's brother.)

Yeon used to be a trainee in her father's company but decided to leave after a year.

Yeon and Alissa are friends ever since their high school days. (Yeon attended Daeil High School.)

Yeon has a few weeks left before graduating from the police academy.

【 YEON'S STYLE 】

NOUVEAU masterlist

#nouveau.yeon #nouveau ― yeon #yeon.profile

[tbr-agency]

【 BASIC INFORMATION 】

BIRTH NAME: CHAE NARIN OLIVIA

ENGLISH NAME: OLIVIA WILLIAMS

CODE NAME: OLIVIA

NICKNAME(S): N/A

PREFERRED NAME(S): OLIVIA, NARIN

BIRTH DATE: 15 NOVEMBER 1999

INTERNATIONAL AGE: 23

ZODIAC: SCORPIO

GENDER: FEMALE

NATIONALITY: KOREAN

ETHNICITY: KOREAN-BRITIAN

CURRENT LOCATION: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

RELATIONSHIP STATUS: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

MBTI: INFJ

GROUP: 𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔

【 BACKGROUND 】

BIRTH PLACE: UNITED KINGDOM

HOMETOWN: LONDON, ENGLAND

SOCIAL CLASS: UPPER CLASS

EDUCATION LEVEL: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

FATHER: CHAE JOONWOO

MOTHER: CHAE SIEUN

SIBLING(S): CHAE SEUNGWON OLIVER (OLDEST) [DECEASED], CHAE DONGHYUN ERIC (2ND BORN), CHAE YERINA ISABELLA (3RD BORN)

BIRTH ORDER: YOUNGEST

PREVIOUS RELATIONSHIPS: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

OTHER IMPORTANT RELATIVES: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

【 OCCUPATION & INCOME 】

PRIMARY SOURCE OF INCOME: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

SECONDARY SOURCE OF INCOME: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

APPROXIMATE AMOUNT PER YEAR: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

CONTENT WITH THEIR JOB (OR LACK THERE OF)?: "Yes."

PAST JOB(S): THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

SPENDING HABITS: "Games."

MOST VALUABLE POSSESSION: NECKLACE

【 SKILLS & ABILITIES 】

PHYSICAL STRENGTH: 90 / 100

OFFENSE: 90 / 100

DEFENSE: 95 / 100

SPEED: 90 / 100

INTELLIGENCE: 85 / 100

INTIMIDATION: 90 / 100

LEADERSHIP: 85 / 100

ACCURACY: 90 / 100

AGILITY: 90 / 100

STAMINA: 90/ 100

TEAMWORK: 85 / 100

TALENTS: THROWING KNIVES AT A TARGET

LANGUAGE(S) SPOKEN: ENGLISH, KOREAN

【 PHYSICAL APPEARANCE & CHARACTERISTICS 】

HAIR COLOR: DAARK BROWN

HAIR TYPE/STYLE: LONG AND STRAIGHT, SLIGHT WAVY

GLASSES/CONTACTS?: CONTACTS

DOMINANT HAND: LEFT

EXERCISE HABITS: TREDMILL

TATTOOS: RIBCAGE (HER FAMILY'S NAME)

PIERCINGS: N/A

MARKS/SCARS: "Too many to count."

USUAL EXPRESSION: NEUTRAL

CLOTHING STYLE: CASUAL

JEWELRY: BRACELET

【 MANNERISMS 】

SPEECH STYLE: FORMAL

QUIRKS: EXTREMELY FAST RUNNER

HOBBIES: PAINTING

DRIVES/MOTIVATIONS: HER SISTER

FEARS: LOSING HER SISTER

POSITIVE TRAITS:

⤷ ADAPTABLE

⤷ ADROIT

⤷ COMPASSIONATE

NEGATIVE TRAITS:

⤷ ALOOF

⤷ ERRATIC

⤷ TACITURN

DO THEY CURSE OFTEN?: "Not so often. Isn't it rude to curse every time?"

CATCHPHRASE(S): "Sorry, no alcohol for me."

【 FAVORITES 】

ACTIVITY: CAFE HOPPING

ANIMAL: WHALE

BEVERAGE: COFFEE

COLOR: BLACK

FOOD: TOMYAM

MODE OF TRANSPORTATION: CAR

SPORT(S): DARTS

WEATHER: WINDY

VACATION DESTINATION: JEJU

【 ATTITUDES 】

GREATEST DREAM: REUNITING WITH HER FAMILY

GREATEST FEAR: HER FAMILY MEMBERS GETTING KILLED ONE BY ONE

MOST AT EASE WHEN: WHEN NOUVEAU MEMBERS ARE THERE FOR HER

LEAST AT EASE WHEN: SHE IS ANXOUS

WORST POSSIBLE THING THAT COULD HAPPEN: HER MEMBERS GETTING KILLED

BIGGEST ACHIEVEMENT: SLOWLY RECOVERING FROM DRUG ADDICTION

BIGGEST REGRET: N/A

MOST EMBARRASSING MOMENT: N/A

BIGGEST SECRET: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

TOP PRIORITIES: WORK

【 TRIVIA 】

Olivia had to be put in a hospital for almost a month.

In Olivia's time (in the hospital), she likes to draw to free her thoughts.

She was the last member to be revealed to the other NOUVEAU members (except Lizzy since she knew about the line-up.)

Olivia has a talent for precisely throwing knives at a target perfectly. (since her hobby is shooting darts.)

Olivia had the shortest amount of training in Eunhee's training programme. (3 weeks.)

Though Olivia gets along well with the members of NOUVEAU, Olivia is particularly closed to Yina and Alissa.

【 OLIVIA'S STYLE 】

NOUVEAUmasterlist

#nouveau.olivia #nouveau ― olivia #olivia.profile #narin.nouveau

[tbr-agency]

【 BASIC INFORMATION 】

BIRTH NAME: LEE HANA ELIZABETH

ENGLISH NAME: ELIZABETH LEE

CODE NAME: LIZZY

NICKNAME(S): LIZZY, ZIZI

PREFERRED NAME(S): HANA, LIZZY

BIRTH DATE: 12 DECEMBER 1996

INTERNATIONAL AGE: 26

ZODIAC: SAGITTARIUS

GENDER: FEMALE

NATIONALITY: KOREAN

ETHNICITY: KOREAN-BRITIAN

CURRENT LOCATION: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

RELATIONSHIP STATUS: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

MBTI: ISFJ

GROUP: 𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔

【 BACKGROUND 】

BIRTH PLACE: SOUTH KOREA

HOMETOWN: SEOUL

SOCIAL CLASS: UPPER CLASS - ELITE

EDUCATION LEVEL: PhD (LAW)

FATHER: LEE JUNGIL

MOTHER: YOO KYUNGHWA LILLIAN

SIBLING(S): LEE HAJOON OWEN (1ST-BORN), LEE JIHOO GABRIEL (3RD-BORN), LEE HYERIN STELLA (4TH-BORN), LEE JINHO NATHANIEL (5TH-BORN), LEE JIHUN NOAH (YOUNGEST)

BIRTH ORDER: 2ND BORN

PREVIOUS RELATIONSHIPS: NONE

OTHER IMPORTANT RELATIVES: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

【 OCCUPATION & INCOME 】

PRIMARY SOURCE OF INCOME: (ADMINISTRATION & CYBER) - TBR AGENCY

SECONDARY SOURCE OF INCOME: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

APPROXIMATE AMOUNT PER YEAR: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

CONTENT WITH THEIR JOB (OR LACK THERE OF)?: "Yes, I am!"

PAST JOB(S): THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

SPENDING HABITS: "Ever since I moved into the shared house of the girls, I spent more on food nowadays..."

MOST VALUABLE POSSESSION: FAMILY NECKLACE

【 SKILLS & ABILITIES 】

PHYSICAL STRENGTH: 85 / 100

OFFENSE: 80 / 100

DEFENSE: 90 / 100

SPEED: 80 / 100

INTELLIGENCE: 85 / 100

INTIMIDATION: 90 / 100

LEADERSHIP: 90 / 100

ACCURACY: 85 / 100

AGILITY: 85 / 100

STAMINA: 80 / 100

TEAMWORK: 90 / 100

TALENTS: COOKING, ABLE TO USE RIGHT HAND

LANGUAGE(S) SPOKEN: ENGLISH, KOREAN

【 PHYSICAL APPEARANCE & CHARACTERISTICS 】

HAIR COLOR: DARK BROWN

HAIR TYPE/STYLE: STRAIGHT WITH SLIGHT CURL

GLASSES/CONTACTS?: GLASSES

DOMINANT HAND: LEFT

EXERCISE HABITS: RUNNING

TATTOOS: NONE

PIERCINGS: NONE

MARKS/SCARS: "I have a deep scar on the back of my right shoulder... That is from an attack from my younger brother's sasaeng... another story for another time,"

USUAL EXPRESSION: NEUTRAL

CLOTHING STYLE: SEMI-FORMAL

JEWELRY: NECKLACE, SMALL EARRINGS

【 MANNERISMS 】

SPEECH STYLE: FORMAL

QUIRKS: ISN'T SCARED OF ANYTHING BUT BUGS

HOBBIES: JOGGING

DRIVES/MOTIVATIONS: FAMILY

FEARS: BUGS

POSITIVE TRAITS:

⤷ HONEST

⤷ RELIABLE

⤷ SINCERE

NEGATIVE TRAITS:

⤷ ALOOF

⤷ ACERBRIC

⤷ INCURIOUS

DO THEY CURSE OFTEN?: "Yes, if I am pissed or mad."

CATCHPHRASE(S): "Don't skip meals."

【 FAVORITES 】

ACTIVITY: WATCHING TV

ANIMAL: OWL

BEVERAGE: APPLE JUICE

COLOR: BEIGE

FOOD: PASTA

MODE OF TRANSPORTATION: CAR

SPORT(S): TRACK & FIELD

WEATHER: AUTUMN

VACATION DESTINATION: HAWAII

【 ATTITUDES 】

GREATEST DREAM: TO ADOPT A PUPPY

GREATEST FEAR: BEING IN A ARRANGED MARRIAGE

MOST AT EASE WHEN: AT HOME/SHARED HOUSE

LEAST AT EASE WHEN: IN A MISSION

WORST POSSIBLE THING THAT COULD HAPPEN: GETTING SHOT

BIGGEST ACHIEVEMENT: CATCHING HER BROTHER'S SASAENG FAN

BIGGEST REGRET: NONE

MOST EMBARRASSING MOMENT: WHEN HER BROTHERS ARE ACTING MEAN TO GUYS WHO APPROACH HER

BIGGEST SECRET: THIS INFORMATION IS UNAVAILABLE.

TOP PRIORITIES: WORK, FAMILY

【 TRIVIA 】

Both of Lizzy's parents are well-known actor/actress, both in Korea and overseas.

Lizzy and Yeonwoo's family are close family-friends.

Lizzy's younger brother (3rd-born) is a model and an artist, and her younger sister (4th-born) is a member of producer duo girl group and a model.

Unlike her parents, Lizzy's childhood dream was to be a police officer.

Lizzy is a family-oriented individual. (due to the fact that her family is big, 2nd to Alissa.)

Lizzy is currently in a sticky situation where her parents are finding for her significant other. (but every time the topic is bring up, her brothers would retaliate.)

【 LIZZY'S STYLE 】

NOUVEAU masterlist

#nouveau.lizzy #hana.nouveau #nouveau ― lizzy #lizzy.profile

[mysteresurterre]

Des orphelins dans la nuit - épisode 5

Deirdre, Tom et Alex sont de retour à l’orphelinat. Après une nuit mouvementée, ils sont réveillés par les cris d’un bébé. Dans le couloir, une voix bourrue demande de faire taire l’enfant, puis finalement, cette même voix se met à chantonner une berceuse qui calme aussitôt le petit.

Réveillés, les trois orphelins décident de descendre prendre leur petit-déjeuner. En sortant de leur chambre, ils découvrent dans le couloir un vieil homme appuyé sur la rambarde de l’escalier, chantant une berceuse au bébé qu’il tient dans ses bras. À ce moment, Alex se rend compte qu’il est à nouveau capable de lire les pensées des gens autour et le bonheur du vieil homme vient colorer son esprit.

Au rez-de-chaussée, ils ne retrouvent ni Sergheï ni Tereza mais une nouvelle encadrante aux cheveux bleus, Alissa. Cette dernière se présente et s’embrouille dans ses explications. Les enfants n’attendent pas qu’elle ait fini son discours chaotique pour aller manger. Une fois sur une table à l’écart ils commencent à discuter de ce qu’ils devraient faire concernant les événements de la veille. Aucun d’entre eux n’a véritablement envie de revoir le serpent de Darcia Kalliger ou même le Vicomte. Ils optent tous pour retourner voir l’étrange femme qui les avait accompagné sur la route après leur terrible nuit. Elle leur avait proposé de les protéger des cauchemars et avait précisé qu’elle se trouvait en ce moment à “la Chèvre Assoiffée”.

Cependant, à la fin du repas, ils sont convoqués et le directeur leur explique qu’ils devront, au vu des événements qu’ils ont vécu, être sous la surveillance de l’infirmière, Lydia. Il leur précise aussi qu’ils ne suivront plus l’emploi du temps classique pendant une certaine période afin qu’ils puissent se remettre de leurs émotions. Aussitôt, les trois jeunes gens demandent si ils pourront sortir à “la Chèvre Assoiffée” et cette demande est acceptée, à condition qu’ils passent d’abord par l’infirmerie où Lydia souhaite leur poser quelques questions.

Dès lors qu’ils entrent dans l’infirmerie, Alex se retrouve incapable d’utiliser son pouvoir. Boudeur, il demande à Lydia d’arrêter de le bloquer, convaincu qu’elle est à l’origine de ce blocage. Après tout, n’est-ce pas elle qui, le premier jour, lui avait donné les bonnes plantes pour le bloquer ? Elle est peut-être capable de le faire sans l’aide d’aucune plante. Les enfants répondent à quelques questions tout en restant vague concernant ce qu’ils ont vu pendant la nuit.

Une fois sortis de l’infirmerie, ils se dirigent droit vers le bureau de Mickaïl et il accepte de les accompagner à l’extérieur. Dès lors qu’ils sont sortis, Alex retrouve l’usage de ses pouvoirs.

Mickaïl va avec eux à la “Chèvre Assoiffée” et se met à l’écart pendant que les enfants demandent au patron si il peut prévenir leur amie, une femme aux longs cheveux bruns. Cette dernière descend et paye un verre de lait aux enfants et leur explique qu’elle ne pourra pas les protéger avant la nuit tombée. Elle répond à certaines de leurs questions et explique ainsi la situation : Malékith et Darcia Kalliger, deux seigneurs des cauchemars, se battent pour le contrôle du monde des rêves du Moth. Les deux forces devraient s’avérer égales mais les troupes de Malékith disparaissent, les gens de l’orphelinat les capturent et fusionnent leurs essences avec celles d’enfants au travers desquels ils essayent d’atteindre Graven, cité mythique et capitale du royaume ténébreux de Malékith.

Après avoir fini d’expliquer cela, elle finit par donner son nom : Nélisée. Elle avoue être une créature du monde entre la réalité et les rêves. Une créature qui ne veut du bien ni à Darcia, ni à Malékith et qui peut libérer les enfants de leur part monstrueuse. Elle propose de le faire le soir même, si les enfants parviennent à revenir une fois la nuit tombée.

Voyant bien qu’ils n’obtiendront rien de plus de Nélisée, Deirdre, Alex et Tom repartent vers l’orphelinat. De retour, les pouvoirs d’Alex sont aussitôt bloqués à nouveau. Il se met à furieusement chercher ce qui pourrait bloquer ainsi son esprit, mais il est convaincu d’une manière ou d’une autre qu’il s’agit de Lydia.

Pendant ce temps, Tom va essayer de convaincre le directeur de les laisser repartir le soir-même, cependant, une surprise de taille l’attend dans le bureau du directeur. Ce dernier est en train d’accueillir une nouvelle venue : Clarabelle, la petite sœur de Tom...

#anima #Anima : Beyond Fantasy #fantasy #orphelin #jeu de rôle #jdr

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Vidéo : Channing Tatum : En mode détente il fait une jolie surprise à une fan

Le 18 août prochain, le comédien Channing Tatum sera à l'affiche du film Logan Lucky de Steven Soderbergh aux côtés de Daniel Craig, Adam Driver, Seth MacFarlane, Katie Holmes et Hilary Swank. A l'occasion de la promotion de ce film très attendu, Channing Tatum est en tournée aux Etats-Unis afin de rencontrer ses fans. L'une d'entre elles, Beatrice, a eu la surprise de sa vie.

De passage à Statesville en Caroline du Nord, Channing Tatum a fait une pause dans une station service et fait la rencontre de Beatrice, l'une de ses plus grandes fans. Pour lui faire plaisir, Channing Tatum n'a pas hésité à utiliser ses talents de danseur. Filmée en direct et diffusée sur la page Facebook officielle du comédien, la séquence a été vu par 14 millions de personnes à travers le monde. Il faut dire que ce n'est pas tout les jours qu'une star internationale fait le show en direct sur Facebook dans une station service.

Découvrez cette séquence dans le player ci-dessus.

Synospsis de Logan Lucky, en salles le 18 août :

Deux frères pas très futés décident de monter le casse du siècle : empocher les recettes de la plus grosse course automobile de l’année. Pour réussir, ils ont besoin du meilleur braqueur de coffre-fort du pays : Joe Bang. Le problème, c’est qu’il est en prison…

M. RB

Photos : Channing Tatum : La star de Logan Lucky est le nouveau boss de Londres !

Luv Out Loud, la nouvelle collection CANON de rouges à lèvres mats signée Nyx Cosmetics

Riverdale, Pretty Little Liars, La belle et la bête… Découvrez qui a cartonné aux Teen Choice Awards !

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