Tumgik
#niaiserie
bulu-bulub · 1 year
Photo
Tumblr media
5 notes · View notes
atukaworld · 2 years
Text
Quel sort se réservent les ituriens ?
[2/9, 05:52] DJ Ituri : “Les éléments du groupe d’autodéfense ne sont pas uniquement des Hema. Ils sont aussi Alur, Nyali, Mambisa, Ndo-Okebu, etc.. Ils sont prêts à deposer les armes” (Président de l’association culturelle ENTE) En un clic, suivez la vidéo sur INTERFACE TV et n’oubliez pas de vous abonner. https://youtu.be/fd5H7_w_kAU [2/9, 16:12] GPAU Si tout cela est sincère et véritable,…
View On WordPress
0 notes
kino51 · 2 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Bergman Island  2021
6 notes · View notes
jade-curtiss · 10 months
Text
Y me manquait juste top hat pis un monocle tout comme y lui manquait juste une paire de loboutins 😔
0 notes
mistexpi · 8 months
Text
Tumblr media
*se matérialise soudainement*
Une illu' toute niaise de Miku et Rin en ~rendez-vous~, parce qu'elles sont trop chous ensemble et qu'en plus leurs palettes de couleurs s'accordent super bien (c'est un SIGNE) o/
Au passage, je serais à nouveau à la Y/CON les 4 et 5 novembre ! Pour plusse d'infos je vous invite à faire un tour sur mon carrd :>
Niaiserie sur vous !!! :D
113 notes · View notes
trente-haines · 7 months
Text
Tumblr media
/ Autoportrait /
Mon Socle. Roc.
C’est ainsi que je te nomme.
Toi, l’Abrupt. Le Puissant.
Empêcheur de tourner en r
d O
n
Garde du corps,
des
/ cœurs à cœurs /
pour
/ corps à corps /
Tu vises la Nuque. Ou l’Âme.
Ton Mantra incarné pour que Jamais
Je
ne réclame. ne réclamera.
Tu guettes la chimère, et sa voix de Sirène.
Interpeller les alouettes.
C’est ton Flair qui se drape,
Entre Elles ~ é.m.o.i
Ami de longue date,
Tu guides aux confins des Vérités.
Tu n’amoindris rien. Non,
Toi Tu Dis.
Tu réClames.
Ni chuchotements, ni niaiseries.
À. l’ é
q
u e r r e
Rétablir le désordonné.
Je te substitue ma Hauteur. Ma Teneur.
Je te vois, me refuser l’Espoir.
Moqueur - Fureur
Ô Guerrier sans Peur,
Qui.
Garde à l’œil.
au coeur.
Toi,
[ Orgueil ]
13 notes · View notes
aurevoirmonty · 7 months
Text
Tumblr media
"Je sais que mes prédictions et idées sont regardées avec horreur par les intellectuels parisiens, ces mêmes personnes qui n'ont pas prévu la chute du communisme, qui croient en la possibilité d'une "assimilation" pacifique des immigrants, qui dissertent sur des questions abstruses toute une page durant, qui déclament des banalités sur la "démocratie" et profèrent des niaiseries pieuses sur la "république".
Cependant, je ne recule pas : la guerre approche et se manifeste avec une violence inouïe : guerre dans les rues, guerre civile, guerre terroriste généralisée, conflit généralisé avec l'islam et très probablement, des conflits nucléaires.
Cela sera probablement le visage de la première moitié du XXIe siècle. Et nous n'avons jamais été moins préparés : envahis, dévirilisés, démunis physiquement et moralement, proies d'une culture de l'absurdité et de la culpabilité masochiste.
Les Européens n'ont jamais été aussi faibles dans leur histoire qu'en ce moment précis, alors que la Grande Menace pointe à l'horizon."
Guillaume Faye
9 notes · View notes
raisongardee · 6 months
Text
Tumblr media
"Les codes prennent tant de précautions contre la violence et l’éducation est dirigée en vue d’atténuer tellement nos tendances à la violence que nous sommes conduits instinctivement à penser que tout acte de violence est une manifestation d’une régression vers la barbarie. Si l’on a si souvent opposé les sociétés industrielles aux sociétés militaires, c’est que l’on a considéré la paix comme étant le premier des biens et la condition essentielle de tout progrès matériel : ce dernier point de vue nous explique pourquoi, depuis le XVIIIe siècle et presque sans interruption, les économistes ont été partisans de pouvoirs forts et assez soucieux des libertés politiques […] On peut se demander s’il n’y a pas quelque peu de niaiserie dans l’admiration que nos contemporains ont pour la douceur ; je vois, en effet, que quelques auteurs, remarquables par leur perspicacité et leurs hautes préoccupations morales, ne semblent pas autant redouter la violence que nos professeurs officiels. P. Bureau a été extrêmement frappé de rencontrer en Norvège une population rurale qui est demeurée très profondément chrétienne : les paysans n’en portent pas moins un poignard à la ceinture ; quand une querelle se termine à coups de couteau, l’enquête de la police n’aboutit pas, en général, faute de témoins disposés à déposer. L’auteur conclut ainsi : "Le caractère amolli et efféminé des hommes est plus redoutable que leur sentiment, même exagéré et brutal, de l’indépendance, et un coup de couteau donné par un homme honnête en ses mœurs, mais violent, est un mal social moins grave et plus facilement guérissable que les débordements de la luxure de jeunes gens réputés plus civilisés.""
Georges Sorel, Réflexions sur la violence, 1908.
8 notes · View notes
Text
Tumblr media
Venant d’une institution majeure de la République, comment ne pas s’étonner d’un tel usage inquestionné de la langue, cautionnant une telle niaiserie pré-socratique, nimbée d’un tel illettrisme auto-satisfait?
Platon fut le premier à faire la différence entre doxa et eidos…
3 notes · View notes
oviri7 · 10 months
Text
Tumblr media
« Il ne m'agrée pas de voir un peuple jadis si grand, désormais couché sur le sol, impotent, paralysé, à moitié pourri, se décomposant, livré aux niaiseries, aux misères, aux méchancetés, aux férocités, aux lâchetés, aux défaillances d'une enfance sénile, et propre à rien, sauf à mourir, ce que je lui souhaite sincèrement, afin qu'il tombe hors du déshonneur où il se vautre en ricanant d'imbécillité »
Arthur de Gobineau - Les Pléiades
7 notes · View notes
clement-d-nocto · 1 year
Photo
Tumblr media
L'art n'est pas une niaiserie sociale : Les ombres ont de la noblesse Surtout Dans le boucan des vaniteux Les imposteurs se racontent un narratif Imperméable à la pensée. Ils se dessapent pour attiré la lumière Comme des publicités. Les poseurs sont de grands contemplatifs Quand il faut se regarder. Ils pourraient lécher fièrement les miroirs Comme des embourgeoisés. Publication internet Vocabulaire débile Emanation internet Enjeux inexistants Culture internet Esthétique rechauffée Mais qui sont ces narcisses ? Ils n'auraient jamais rien produit Sans les databases, Ils n'auraient jamais rien écrit Sans le virtuel ; Comme une citation sans contexte Comme une prostitution sans sexe. Comme une supplication pour être. Pourtant Je vois bien les ombres Derrière La lumière des faux artistes. Ces ombres créatrices Restent la première ligne De l'armée des bruits, Elles se feront analyses Si elles se prennent dans la rue. Elles se feront poésies Si elles se gueulent dans les guerres. Elles étaient les premières, Elles seront les dernières. Clément Dugast (nocto)
11 notes · View notes
spottys-rathole · 1 year
Text
Tumblr media
Hé j'viens de percuter je l'ai jamais uploadé ici celui-là Imaginez vous faites de votre mieux pour séparer votre vie d'internet de votre vraie vie et du coup vos potes savent pas c'est quoi vos réseaux et donc ils voient jamais vos dessins alors que vous êtes en école d'art
Et puis un jour par un sacré concours de circonstance ils vous trouvent pas hasard et le tout premier dessin qu'ils voient de vous c'est cette niaiserie
'Fin genre lol ça m'est jamais arrivé hein- mais imaginez /s Mais oui bref à la base c'était un cadeau d'anniv pour Safista
12 notes · View notes
gerceval · 1 year
Text
Le Choix - chapitre 7
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
Tumblr media Tumblr media
Après une micro-seconde de délibération, il se pencha, sans trop savoir lui-même ce qu'il cherchait. Jamais il n'avait eu envie d'embrasser Guenièvre, même à l'époque, même après que les fantômes de Rome s'étaient estompés, même avant que l'aigreur ne se soit installés pour de bon. Mais ce soir-là, après toutes les péripéties qui venaient de s'enchaîner en à peine quelques heures, la pommette encore douloureuse, il trouvait les lèvres fines et roses de Guenièvre soudainement attirantes. Lorsque leurs bouches entrèrent en contact, elle eut cette légère paralysie que peut créer la surprise, mais cela ne dura pas plus d'un instant. Elle répondit à son baiser avec chasteté, incertaine. Avant de le rompre.
- Seigneur Lancelot ! s’exclama-t-elle faiblement.
- Non mais ça va pas la tête, qu'est-ce qui se passe ici !
Arthur fit un bond de trois mètres.
La dame du lac venait de se matérialiser dans la chambre.
- J'espère que vous vous moquez de moi, Lancelot ! Je sais pas bien ce que vous manigancez mais attention hein, je peux très bien me mettre en rogne moi !
Ah très bien. Le sortilège était donc assez puissant pour tromper les dieux, manifestement. Super. Devant son silence stupéfait, la dame du Lac continua.
- Alors vous vous souvenez probablement pas de moi, c'est vrai que vous étiez grand comme trois pommes à l'époque, mais c'est pas parce que vous vous souvenez pas de moi que je peux pas vous en mettre une comme quand vous étiez petit.
Il balbutia, exagérant la surprise. Guenièvre chercha son regard.
- Qu'est-ce qui vous arrive, vous êtes pas bien ?
- Attendez, je... Vous la voyez aussi ?
- Qui c'est que je vois aussi ?
Bien sûr, Guenièvre ne pouvait pas la voir, mais il devait feindre de ne pas comprendre comment marchaient ces choses-là.
- Faites un effort, dit la dame du Lac, rappelez-vous. Je suis Viviane, la dame du Lac. Je m'occupais de vous quand vous étiez petit, je vous apparaissais, et puis des fois vous étiez le seul à pouvoir me voir ? Ça vous dit quelque chose ? Ya une loupiote qui s’allume là-dedans ? Bon alors là, pourquoi maintenant je peux vous apparaître comme ça, bon ça il faudrait que je voie avec les cheffes parce que c'est qu'Arthur normalement... Mais là je vous vois en train de péter un boulon et apparemment je peux intervenir alors je vais pas me gêner pour sauter sur l'occasion !
- La dame du Lac... murmura Arthur, comme s'il mettait du temps à réaliser ce qui lui arrivait.
- La dame du Lac ? dit Guenièvre. Ah bah non pas vous aussi !
Elle plaça ses mains sur ses hanches, habituée à devoir attendre que les visites de Viviane soient finies.
- Alors écoutez-moi bien, mon petit vieux, reprit la fée. Je sais pas ce qui vous a pris d’un coup, je sais que ça fait des années que vous ne pensez qu’à ça, que depuis que vous avez posé les yeux sur elle vous vous dites que c’est la seule et unique élue de votre cœur et blablabla, ça on l’a tous bien compris, mais il faut vous sortir ça du crâne Lancelot !
- Des années ? dit Arthur, ne sachant plus si sa confusion était celle de Lancelot ou la sienne.
- Pardonnez-moi le terme, mais c’est une grosse connerie ce que vous êtes en train de faire ! Et puis la p’tite, c’est pas parce qu’elle se laisse embrasser comme ça une fois, bon, voilà… Mais c’est à Arthur, que les dieux l’ont promise, Arthur, et rien ne changera ça, même si vous avez des sentiments réciproques ou je ne sais quelle autre niaiserie…
Des quoi ? Des sentiments quoi ?
- Enfin bon, réciproques ça j’en sais rien hein, on n’est pas arrivées à un consensus là-haut, même pour elle je crois pas que ce soit très… enfin n’allez pas vous faire des films quoi !
- Euh, elle a bientôt fini ? interrompit Guenièvre. Nan parce que si vous en avez pour la soirée, moi je retourne au plumard hein.
Il resta silencieux.
- Rentrez-vous bien ça dans le ciboulot Lancelot, c’est très important : vous ne pouvez pas vous permettre d’espérer ! Ça finira en désastre. Alors reprenez-vous et faites un effort mon p’tit père ! Pis bon, moi je vais essayer de voir pourquoi c’est avec vous que je suis en communication parce que là Arthur… enfin bon. Que je ne vous y reprenne pas hein !
Et elle disparut.
Guenièvre s’était recouchée et lui tournait le dos, pelotonnée sous les couvertures. Il fit deux petits tours maladroit sur lui-même, ne sachant que faire dans le silence désormais pesant de cette chambre qui ne pouvait plus être la sienne.
- Bonne nuit, seigneur Lancelot. Faites gaffe à croiser personne dans les couloirs en sortant, ce serait dommage de vous prendre une autre mandale dans la même soirée.
Message compris. Il sortit à pas de loup, ruminant les événements de la soirée. Deux personnes avaient surpris – ou cru surprendre – Guenièvre et Lancelot en train de se bécoter, et n’avaient pas paru plus étonnés que ça. En colère, et Léodagan comme la dame du Lac avaient bien raison sur ce point-là, mais pas plus étonnés que ça. Quant à ce que Guenièvre avait dit… Quoi qu’il en soit, la coïncidence qui lui sautait maintenant aux yeux était la suivante : Lancelot nourrissait une passion secrète pour Guenièvre ; Lancelot se retrouvait catapulté dans le corps d’Arthur. L’histoire de sa propre naissance se rappela à lui comme un spectre menaçant.
Même pas besoin de ça, se dit-il amèrement : lorsqu’il l’avait embrassée sous les traits de Lancelot, pris par il ne savait quelle pulsion absurde, elle ne l’avait pas repoussé.
Son instinct lui disait de fuir, de s’isoler, de ne parler à personne pendant trois mois. Il n’avait aucune envie de lutter contre son instinct. Mais il se connaissait, maintenant, il savait qu’hurler sur quelqu’un pouvait lui faire du bien aussi. Alors que le jeune soleil commençait à illuminer le couloir, il repoussa la porte de la chambre où il avait laissé Lancelot.
[Votez ici pour ce qui va se passer au chapitre suivant !] [Lisez le chapitre suivant ici]
11 notes · View notes
kino51 · 5 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
La leçon particulière 1968
1 note · View note
denimatio · 1 year
Photo
Tumblr media
Le temps qui venge toutes choses, passe, et rien ne reste. Il engloutit le saint et le pêcheur, le roi et le paysan, la beauté et la laideur. Il ne laisse rien. Toutes choses se précipitent vers ce but unique, la destruction. Notre savoir, nos arts, nos sciences, tout s'y précipite. Personne ne peut endiguer la marée, personne ne peut l'arrêter, ne fût-ce qu'une minute. Nous pouvons essayer de l'oublier, de même que dans une ville où sévit la peste, les gens cherchent l'oubli dans la boisson, la danse, ou d'autres vaines tentatives, et dans l'hébétude qu'ils y trouvent. De même nous essayons d'oublier, nous essayons de créer l'oubli par toutes sortes de plaisir des sens. Et cela c'est Mâyâ. (...) D'un côté il y a par conséquent cette déclaration audacieuse que tout ceci n'est que sottises, que tout est Mâyâ, mais par ailleurs il y a cette autre déclaration pleine d'espérance, qu'au-delà de Mâyâ existe une issue. Les gens pratiques nous disent par contre : « Ne vous cassez pas la tête avec toutes ces niaiseries de religion et de métaphysique. Vivez ici-même ; c'est un bien mauvais monde en réalité, mais tirez-en ce que vous pourrez ». Ce qui, mis en termes clairs, signifie : « Vivez, dans l'hypocrisie et le mensonge, une vie de fraude continuelle, dans laquelle vous dissimulerez vos plaies aussi bien que vous le pourrez. Continuez à raccommoder et à rapiécer, jusqu'à ce que tout soit perdu et que vous ne soyez plus qu'un assemblage de pièces et de morceaux ». C'est ce qu'on appelle la vie pratique. Ceux qui se contentent de ce rapiéçage ne viendront jamais à la religion. La religion commence par un mécontentement intense de l'état actuel des choses et de notre vie, par une haine, une haine violente de ce rapetassage de la vie, avec un dégoût sans bornes pour ce qui est fraude et mensonge. Celui-là seul peut être religieux qui ose parler comme le puissant Bouddha l'a fait une fois sous l'arbre de la sagesse, alors que cette notion du pratique se présentait à lui, qu'il voyait qu'elle n'était que sottise, et que pourtant il ne trouvait pas de solution. Lorsque la tentation lui vint de renoncer à sa recherche de la vérité de retourner dans le monde et de reprendre la vieille vie de tromperies, où l'on donne aux choses des noms qui ne sont pas les leurs, où l'on ment à soi-même et à tous les autres, lui, le géant, triompha de cette tentation et dit : « Mieux vaut la mort qu'une vie ignorante et végétative ; mieux vaut mourir sur le champ de bataille que vivre une vie de défaite ». C'est là la base de la religion. Lorsqu'un homme adopte cette attitude, il est sur la voie où il trouvera la vérité, il est sur la voie qui mène à Dieu. Cette détermination doit être la première impulsion qui nous pousse à devenir religieux. « Je vais me frayer un chemin. Je connaîtrai la vérité ou j'y laisserai ma vie. Car de ce côté-ci, il n'y a rien, tout s'en va et tout disparaît tous les jours ». L'homme qui est aujourd'hui beau, jeune, plein d'espérance, demain sera vieux. Les espoirs, les joies, les plaisirs périront comme des fleurs sous la gelée de demain. C'est un des aspects ; de l'autre côté, il y a le charme puissant de la conquête, des victoires remportées sur tous les maux de la vie, des victoires sur la vie elle-même, de la conquête de l'univers. De ce côté-là, les hommes peuvent tenir bon. Par conséquent ceux qui osent lutter pour la victoire, pour la vérité, pour la religion, sont sur la bonne voie, et c'est ce que prêchent les Védas. « Ne soyez pas dans le désespoir ; le chemin est très difficile, comme si l'on devait marcher sur le tranchant d'un rasoir. Malgré cela, ne désespérez pas, levez-vous, éveillez-vous, et trouvez l'idéal, le but ». — Swâmi Vivekânanda (Jnâna-Yoga, posth., 1936)
8 notes · View notes
sobillyboy · 1 year
Text
3 ans.
Un confinement, plusieurs déménagements, des mois à distance, des disputes, des rires, son diplôme, mon diplôme, notre maison, les travaux, 8 travails différents pour moi, 4 pour lui, des restos, des sorties, des week-ends et bon dieu de l'amour de l'amour de l'amour.
Et surtout, jamais aucun doute depuis le premier jour. Lui et personne d'autre.
(désolée pour la niaiserie)
13 notes · View notes