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#matières de ville
laurentgrizon · 1 year
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fredericbrumby · 6 months
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Les couleurs de la ville.
Mur et matière
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aurevoirmonty · 2 months
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Aucun des dogmes de la société moderne n'est inébranlable. Ni ses usines gigantesques, ni les bâtiments de bureaux qui s'élèvent vers le ciel, ni les grandes villes meurtrières, ni la moralité industrielle, ni la mystique de la production ne sont nécessaires à notre progrès ; d'autres modes d'existence et de civilisation sont possibles.
La culture sans confort, la beauté sans luxe, la machine sans l'esclavage de l'usine, la science sans le culte de la matière permettraient à l'homme de se développer indéfiniment, tout en conservant son intelligence, son sens moral et sa virilité.
Alexis Carrel, L'Homme, cet inconnu, 1935
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calydriarpg · 27 days
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L'environnement de Calydria
C'est toujours compliqué de se rendre compte le style vestimentaire, les paysages, les architectures dans lequel évoluent nos personnages lorsqu'on joue sur un forum rpg. Vous allez pouvoir avoir une plus grande vision de l'environnement esthétique de Calydria à travers ce guide.
Petit rappel : Calydria est le nom du monde sur lequel se trouve deux continents en guerre, Erydor d'un côté et Solastria de l'autre. Le jeu du forum se passe uniquement sur le premier (pour l'instant) et c'est sur lui qu'on va donc découvrir son environnement.
La capitale d'Erydor se trouve dans la région d'Argenfeels et se nomme Rharros. Considéré comme la plus belle des villes d'Erydor avec son château centrale servant de tour d'observation, mais aussi de phare au sein des terres grâce à son étoile fabriqué par les talents des alchimistes en collaborations avec des élémentaristes de lumière. Cette étoile brille jour et nuit afin de guider le peuple d'Erydor et leur donner de l'espoir. Elle est visible dans tout le continent, même sûr pour la plupart ce n'est qu'un point brillant d'une lumière dorée.
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La mode à Erydor se divise en plusieurs possibilités qui sont les suivantes :
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Il est important de noter que les vêtements se veulent non genrer une robe n'est pas considéré comme appartenant spécifiquement aux femmes et cela va de même pour les pantalons qui ne sont pas destinés uniquement aux hommes. L'identité du genre se définit par celle de la personne et des pronoms qu'iels à décider d'utiliser lors de son inscription aux registres de recensement au passage de sa majorité.
Cette mode est toutefois différente dans deux régions qui ont des climats très atypiques contrairement au reste d'Erydor qui fonctionne avec quatre saisons.
Helston est une région qui se veut désertique est chaude, il y a plusieurs grandes oasis naturelle qui ont été développés avec l'aide des alchimistes et élémentaristes de l'eau. La capitale est le point central de l'économie de la région, car c'est celle qui a la plus grande densité d'eau.
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Principal fabricant de soie, c'est sûr dernière que la mode à Heston s'appuie. En effet, il y a neuf mois d'été pour seulement trois mois de saison des pluies. Il fait néanmoins assez frais la nuit.
Les vêtements sont souvent de très longues robes ou pantalons cachant l'intégralité du corps afin d'éviter des brûlures, les matières sont légères et souples. Les couleurs sont principalement très colorées et les vêtements noirs sont fréquemment réservés pour les cérémonies.
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De son côté, Lysandria est une région désertique froide. En effet, elle est sous la neige pendant sept mois pour ensuite avoir une brève période ressemblant au printemps pour ensuite avoir un automne d'un mois avant le retour de l'hiver. La mode est plutôt à la condition de survie et à des vêtements qui se veulent chaud plutôt que beau. La capitale est une ville construite sur une falaise afin d'éviter d'être noyé dans les eaux nombreuses que regorge la région et qui dégèle lors du printemps.
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Fourrure et cuir seront les essentiellement attirails des vêtements des gens venant de cette région connue pour sa grande quantité de mine de pierre précieuse étant très utile pour les alchimistes et leur création. Chaque bâtiment contient une rune Rouge qui est une pierre permettant de chauffer les maisons grâce aux alchimistes et les élémentaristes de feu. Contenant de la magie, cette dernière nécessite d'être renouvelé au moins tous les deux hivers selon la dureté de ce dernier.
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Vous connaissez maintenant principalement les environs de Calydria ! Les détails des académies arrivent très très vite ♥
NDLR : ce sont évidemment des possibilités, propositions toutefois rien n'oblige votre personnage à porter ce type de vêtement et vous êtes tout à fait dans la possibilité de créer votre propre style vestimentaire
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« Le chant des canuts » est une sculpture de Georges Salendre (1890-1985), un artiste originaire de l’Ain. Elle représente des amoureux qui chantent une chanson lyonnaise célèbre, écrite par Aristide Bruant en 1894. Cette année-là, à Lyon, se tenait une exposition internationale où le président Sadi Carnot devait être tué. Mais il fut finalement assassiné dans la rue de la République par l'anarchiste italien Sante Geronimo Caserio, qui voulait venger ses camarades condamnés à mort : Ravachol (juillet 1892), Auguste Vaillant (février 1894) et Émile Henry (mai 1894). La chanson des canuts de Bruant fait référence à la révolte des canuts de 1831. La révolte des canuts est le nom donné à plusieurs soulèvements ouvriers qui ont eu lieu à Lyon au XIXe siècle. La première révolte a éclaté le 22 novembre 1831 sur la colline de la Croix-Rousse, où travaillaient les canuts. Les canuts, dont le nom vient du mot canette, ou bobine, étaient des artisans qui tissaient la soie à domicile sur leur propre métier à bras. Ils travaillaient pour le compte des soyeux (les patrons négociants) qui leur fournissaient la matière première et récupéraient le produit fini. Les canuts se sont révoltés contre leurs conditions de travail très dures et la baisse de leurs salaires imposée par les fabricants. Les insurgés ont pris pour emblème le drapeau noir et la devise : « Vivre en travaillant ou mourir en combattant ». Ils ont pris le contrôle de la ville pendant plusieurs jours, avant d’être réprimés par l’armée. La révolte des canuts est considérée comme l’une des premières luttes du mouvement ouvrier en France. La statue a été installée en 1984 dans le square Déjean, près de la mairie du 4e arrondissement de Lyon. Mais elle a été déplacée en 2014 place des Tapis, au début du boulevard des Canuts. C’est un hommage à la culture et à l’histoire des canuts, qui ont façonné l’identité de la Croix-Rousse, le quartier des soyeux.
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chic-a-gigot · 9 months
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La Mode illustrée, no. 35, 27 août 1882, Paris. Ustensiles de table, modèles de chez Testevuide, Maison de l'Aluminium, boulevard Poissonnière, 21. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Le no. 187 est une pince à sucre en bronze d'aluminium (aluminum bronze sugar tongs), du prix de 6 fr. 50 c.
No. 526. Cuillère à confiture et fruits à l'eau-de-vie (Spoon for jam and fruit brandy): 3 fr.
No. 530. Cuillère à thé (forme russe) (Teaspoon (Russian form)): 2 fr. 25 c.
No. 171. Cuillère à sucre repercée à jours (Sugar spoon pierced with holes): 7 fr. 50 c.
No. 560. Ciseau à raisin (Grape scissors): 10 fr.
No. 214. Cuillère à punch avec manche d'ébène (Punch ladle with ebony handle): 7 fr.
No. 402. Couteau à fruits, avec manche japonais et lame en bronze d'aluminium (Fruit knife, with Japanese handle and aluminum bronze blade): 3 fr. 75 c.
No. 159. Même couteau entièrement en bronze d'aluminium (Fruit knife entirely in aluminum bronze): 3 fr. 75 c.
No. 158. Couvert à dessert en même métal (Dessert cutlery in in aluminum bronze): 5 fr.
No. 186. Pelle à tartre repercée à jours (Spatula pierced with holes): 15 fr. 55 c.
No. 173. Cuillère à verre d'eau (Glass of water spoon): 3 fr. 75 c.
No. 525. Cuillère à fraises (Strawberry spoon): 12 fr.
No. 399. Couteau à fromage avec manche d'ivoire (Cheese knife with ivory handle): 10 fr.
No. 170. Cuillère à compote (Compote spoon): 7 fr.
No. 192. Casse-noix simple ou double (Single or double nutcracker): 9 fr.
No. 185. Pelle à glace (Ice shovel): 10 fr.
No. 164. Cuillère à café grand modèle uni (Coffee spoon, large plain model): 1 fr. 50 c.
No. 676. Cuillère, à glace (Ice cream spoon): 1 fr. 75.
No. 520. Cuillère à café de forme russe (Coffee spoon, Russian form): 2 fr.
No. 720. Compotier guilloché à perle et cristal gravé (Guilloche dish with pearl and engraved crystal): 30 fr.
No. 545. Passe-thé repercé à jours (Perforated tea strainer): 3 fr.
No. 424. Surtout de table argenté avec cornet en cristal taillé (Silver table centerpiece with cut crystal cornet): 75 fr.
Nos. 410 à 413. Service à bonbons (Candy service): 15 fr.
No. 675. Sucrier de table, à pied rond avec cuillère repercée (Table sugar bowl, round foot with pierced spoon): 37 fr. 75 c.
No. 561. Pince à sucre en forme d'oiseau (très-commodé) (Bird-shaped sugar tongs (very convenient)): 7 à 9 fr.
No. 735. Cafetière Louis XVI guillochée avec deux écussons (Louis XVI guilloché coffee pot with two escutcheons): 55 à 60 fr.
No. 478. Tasse à café avec soucoupe (Coffee cup with saucer): 20 fr.
Corbeille pour milieu de table (Basket for middle of table): 200 fr.
Le luxe et l'élégance dans le service de la table ont marché d'un pas égal avec le luxe de la toilette et de l'habillement. Il serait choquant, en effet, de voir des maîtresses de maison vêtues de beaux atours, assises devant une table dressée avec incurie ou négligence. Quand on ne peut posséder des services en argent très-complet, on y supplée en employant des métaux moins coûteux. Ce que l'on recherche avant tout, c'est l'aspect soigné de la table, c'est aussi l'emploi d'objets spéciaux pour chaque usage: servir du thé ou du café dans une théière ou dans une cafetière de porcelaine est une hérésie en matière de confort élégant. On a porté cette recherche dans tous les détails. Pour les fruits à l'eau-de-vie et pour les confitures, on a fabriqué des petites louches microscopiques, cuillères rondes pareilles à celles que l'on emploie pour servir le potage. On a des cuillères à compotes, des pelles à tartes, des cuillères à sucre, à punch, à verre d'eau, etc., et beaucoup d'etc., ainsi que nos abonnées pourront s'en convaincre en examinant la collection d'ustensiles de table que nous plaçons sous leurs yeux. Les numéros du catalogue de la Maison de l'Aluminium accompagnent chaque objet, ce qui abrège les recherches et résout les doutes quant aux prix.
Luxury and elegance in the service of the table have gone hand in hand with the luxury of toilet and clothing. It would indeed be shocking to see hostesses dressed in finery, seated before a table set carelessly or negligently. When one cannot possess very complete silver services, one makes up for it by employing less costly metals. What we are looking for above all is the neat appearance of the table, it is also the use of special objects for each use: serving tea or coffee in a teapot or in a porcelain coffee maker is heresy when it comes to stylish comfort. We carried out this research in all the details. For fruits in eau-de-vie and for jams, small microscopic ladles were made, round spoons similar to those used to serve soup. We have compote spoons, pie scoops, sugar spoons, punch spoons, glass of water spoons, etc., and a lot of etc., as our subscribers will be able to convince themselves of by examining the collection of utensils that we place before their eyes. The catalog numbers of the Maison de l'Aluminium accompany each object, which shortens searches and resolves doubts about prices.
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bachassclub · 3 months
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Piochée ces derniers jours chez Éric Ciotti, cette image légendée comme suit : '…nous allons faire décoller notre ville '. Nice, bien sûr. Les chabeuillois connaissent bien ce mode de recours propagandaire et néanmoins tintinophile, l'emploi de la même fusée, support de la même métaphore du 'décollage'. Devenue donc un topique LR, quand les sondages, eux, refusent précisément de 'décoller' et que la situation politique de ce parti est justement celle-là : l'apesanteur.
LE COUP DE MOU D'ALBAN PANO. Mardi 23 janvier, le Conseil municipal de Chabeuil présentait ses voeux à la population. Du monde au centre culturel, et on semblait enfin revenu aux jauges d’avant Covid, quatre cent personnes aux premiers décomptes. L’an dernier, seule l’équipe majoritaire avait été invitée sur scène par le maire de Chabeuil et cette entorse à la démocratie représentative locale, une faute de débutant, avait été sévèrement jugée en son temps : correction donc en 2024 où l’ensemble du Conseil Municipal des chabeuillois avait été plus justement et décorativement disposé sur l’estrade. Seule absente sur scène, Cécile Trempil, représentante et singleton du Groupe Le Chemin des possibles, qui, en matière de voeux, avait préféré assister à ceux du valentinois Jimmy Levacher (LFI, qui lançait à Valence sa campagne municipale pour 2026), qui venaient d’avoir lieu. Autre absence notable, celle des services techniques, dont on ne repérait que peu de représentants, d’autant plus isolés que l’élu qui s’occupe d’eux dans sa délégation, Stéphane Planta, était absent lui aussi. Stéphane Planta a pris du champ avec l’action municipale, on en reparle plus bas… Pour le reste, le public habituel : corps constitués, sous-préfet, mirlitaires zà lavalières, associations chabeuilloises, fiers notables et pompiers divers et variés. Et Nicolas Daragon, bien sûr, qui a très sûrement son rond de serviette féodal (LR) à Chabeuil. Sans oublier Nathalie Iliozer, binôme d’Alban Pano au Conseil Départemental, qui y a ses pantoufles (LR) et sa tenue complète de chaperon. Bref de l’ordinaire, assez pauvrement ritualisé cette année, sans tambours ni trompettes, comme on dit.
Non, la surprise est plutôt venue du discours d’Alban Pano, terne, morne, et marqué tout du long par de nombreux bafouillages et glissements. Un discours ‘savonné’, qui suivait ensuite sa pente de clichés et d’images convenues, pour un maire pas en forme, ça se voyait et s’entendait, fatigué, loin de la pop’politique enjouée à quoi les chabeuillois commençaient à s’habituer, loin de cet habituel (souvent incongru, mais parfois emballant, voire charmant) optimisme insouciant qui faisait jusqu’alors la ‘marque’ Pano.
Chabeuil a affaire d'ordinaire à un jeune maire fluide et à l'aise, énergique mais ce soir-là la ville découvrait son Pano sans allant et sans joie de vivre, au discours qui ne décollait pas de cette tristesse empesée et des lourdeurs de style qui vont avec, prononcé gorge sèche et voix éteinte.
Intermezzo : un court film de réclame au montage rapide, bien rythmé, où crépitaient les images archibattues de fusées, de feu d’artifice, de biquettes environnementales, photogéniques, et brouteuses, de Tintin, de Tintin et encore un peu de Tintin, obstinément imposé comme signature visuelle de Chabeuil, sur fond d’infantilisation de la ville, encore et toujours.Alban Pano était fatigué, voilà tout.
Après que son petit clip touristico-tintinophile ait échoué à relancer la cérémonie, à lui redonner un peu d’élan politique et de ressort programmatique, il devait poursuivre sur le même ton. C’était censé évoquer des projets et mettre l’année 2024 en perspective, bref, donner de l’allant à l’année qui vient, mais rien, ou si peu n’attachait plus au fond de la gamelle :
-Projet Cuminal (une salle audiovisuelle dans l’enceinte de l’ancienne école de Chabeuil), mais sans les images montrées au dernier Conseil Municipal. Dommage. Et sans le montant global annoncé (Dans son compte rendu, le Dauphiné Libéré comblera cette information déficiente : 1,4 M€) : un peu court pour une première présentation publique d'un projet pourtant séduisant par bien des aspects.
-Une politique environnementale faiblarde, qui, les années passant, s’efface sûrement du bilan Pano et de son adjoint. Rien, hormis une nième (et très brève) mention du ‘relamping’ de l’éclairage.
-Mieux, au même chapitre, Alban Pano réalise le tour de force de passer sous silence les Points d’Apport Volontaires (PAV), pourtant la plus grosse affaire communale (entreprise par l’agglo…) de 2023, qui a d’abord pris du retard et qui, depuis l’installation des PAV en question, pétouille notoirement, exigeant des services des efforts répétés de nettoyages des alentours. Et ça tombe mal, parce ces fameux PAV sont du ressort du même évanescent adjoint à l’environnement, dont la délégation s’avère toujours plus faible : rien non plus sur le moustique tigre, rien sur le Canal des Moulins… Et rien de rien pour le traitement des déchets organiques pourtant obligatoire depuis le 1er janvier.
-Des ‘études’ pour l’école Cavalli, à Parlanges, sans plus de précision d’échéances (‘la fin de mandat’…) Rénovation de la salle des fêtes des Faucons, toujours sans beaucoup de précision.
-Ah si…la voirie, voilà la grande affaire, au moins budgétaire. Comme tous les ans. Le Dauphiné Libéré fait les comptes : 700 000 € en 2022 et 2023 et 900 000 € jusqu’en 2026.
-Ah si…on ne pouvait pas s’en sortir comme ça, sans Tintouin à Chabeuil, forcément Tintouin qui, en 2024 proposera de s’agiter autour des Cigares du Pharaon. Cette gaudriolante perspective [triompher à coup sûr (enfin!) de méchants trafiquants d’opium] rend un peu de sourire au maire de Chabeuil, qui annonce un programme de mobilisation citoyenne : ‘préparez vos babouches et vos cigares’. Un demi-clin d’oeil d’Alban Pano, avant qu’il replonge son discours dans la morosité d’une plainte très politique contre la loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU) traitée sur le ton très facile de la démagogie antiparisianiste, contre une loi qui serait imposée d'en haut, à quoi on oppose un imparable slogan ‘ici, ce n’est pas Paris’. Mais sans bien sûr aborder le sujet au fond : le logement social, bien sûr, ni apporter les chiffres qu’il faudrait fournir sur les perspectives de l’équipe Pano en la matière. Une autre paire de manches.
Bref, on se traînait : Alban Pano avait besoin d’un dopant, d’une relance. Ça tombe bien, IL est là, assis au premier rang du banc de touche. IL se lève et se dirige vers le micro et annonce dans un demi sourire : ‘…je vais refaire le discours d’Alban’. Une vanne (on est entre amis, n’est-il pas ?), qu’IL veut sans doute sympathique, mais qui annonce trop lourdement la redite littérale qui allait suivre. Parce que redite il y eut, Nicolas Daragon (il s’agit bien de LUI,) ne faisant en somme que répéter le discours d’Alban Pano, sans trop de vergogne. Sous couvert de présidence de l’agglomération de Communes, le maire de Valence repassait ni plus ni moins, les plats du discours du maire de Chabeuil, et déroulait son menu d’actualités locales, à l’aise, chez lui, tout sourire…IL poussait même l'imitation jusqu'à escamoter LUI aussi des PAV qui sont pourtant de la compétence de l'Agglo, se privant d'une bonne défense et illustration, concrète, de son institution, à quoi ça sert, et combien ça ‘rapporte’ à la Commune. Raté.
Nicolas Daragon devait ensuite reprendre pesamment la marotte LR, cette très fameuse ligne argumentaire d'un ruissellement bénéfique Wauquiez-Mouton-Daragon-Pano (LR inc.). Soit une continuité de financement Région-Département-Agglo-Commune théorisée ce soir-là comme suit : '…notre vision commune (LR) permet de développer nos territoires…'
Nicolas Daragon ne se lasse pas non plus de répéter ‘mon ami Alban par-ci et cher Alban par-là, appuyant sans aucune pudeur sur le tutoiement, répétant et flagornant : ‘Alban est un maire comme on (LR) les aime…’
Marie-Pierre Mouton présidente du Conseil Départemental (LR) l’an dernier, Nicolas Dragon cette année, les parrains et marraines politiques et partisanes viennent meubler les voeux d’Alban Pano et étoffer ses prestations, masquer ses difficultés, comme s’ils prenaient leur tour de baby sitting dans la petite classe de Chabeuil. Dans quelle autre ville du quartier est-ce que ça se passe comme ça ? Nulle part. Partout ailleurs les maires sont seuls maîtres de l'annonce de leurs projets, et de l'exposé de leur bilan, bien assez grands pour rester maîtres du rapport démocratique avec leurs administrés. Parce que c’est vexant, à la fin, cette infantilisation (encore !) de Chabeuil. Quand Les Républicains du coin vont-ils enlever les roulettes du petit vélo du maire de Chabeuil, pour qu’il fasse enfin seul le tour de la piste de ses voeux et de son bilan ?
Cérémonie dans la cérémonie, Alban Pano remettait ensuite une médaille de ‘citoyen’ ou ‘citoyenne’ d’honneur à six personnalités chabeuilloises, bien connu.es en ville, chenu.es et blanchi.es sous le harnais de l’action locale. Pour l’’énergie nouvelle’ dont aime à se vanter Alban Pano, on repassera, mais ça mettait un peu de chaleur humaine dans la soirée. Notabiliser des notables, c’est pas vraiment une performance et ça a le défaut surtout de distinguer (en les flattant) quelques chabeuillois, laissant dans l’ombre les associations qui les portent. Alban Pano décorait ainsi la trésorière de l’association des amis du Canal des Moulins de Chabeuil, sans même mentionner le nom de son association. Oubli, négligence ou mesquinerie, on ne sait trop...
BRÈVES COMPLÉMENTAIRES, qui expliquent le passage à vide du maire de Chabeuil, tel que mis en évidence ci-dessus :
-Le poste de Directeur Général des Services (DGS) de Chabeuil est à nouveau vacant. Poste à pourvoir, roulez jeunesse, tournez manège, le 1er mars, pour cette pièce centrale de la machinerie communale. Le titulaire était en place depuis juillet seulement, après la foirade de l’embauche de Vincent Campens, premier DGS de l’ère Pano, indûment recruté ‘hors classe’. La préfète de l’époque avait toussé et posé un recours au tribunal administratif de Grenoble : Campens avait piteusement quitté la place. Son remplaçant n’a donc pas tenu longtemps à Chabeuil et le recrutement du remplaçant du remplaçant est en cours, annonce publique publiée le 25 janvier, et aussitôt signalée par le groupe d’opposition Le chemin des possibles dans sa publication (Facebook) dominicale.
-La Chambre régionale des comptes a procédé à un ‘contrôle simple’ de la Commune de Chabeuil, et doit rendre bientôt son rapport ordinaire, qui concerne la période 2018-2023. Ce qui devrait en ressortir, rapidement : les subventions aux associations posent un problème, et l’absence de critères d’attribution surtout.///La location de salles à ces mêmes associations et la mise à disposition de salles soulèvent quelques questions. Sur le même sujet, on note que Groupe le Chemin des possibles a posé un recours au tribunal administratif contre une ‘délibération fixant les tarifs pour l’utilisation des salles municipales’. Rapport, recours : il y a donc bien un sujet sérieux.///Plus largement, le rapport relève une absence de politique de recrutement dans les services, pas de Ressource Humaines à proprement parler.///Toujours dans les services : une prime importante devra être intégrée dans les salaires, la situation actuelle étant irrégulière. S’attendre à des secousses sur ce sujet, internes et budgétaires. De même facture : les heures supplémentaires sont trop nombreuses et devront être régularisées.///Trop de commandes publiques passent ‘en interne’. A revoir.///Pour le reste, et dans la mesure ou ce contrôle est dit ‘simple’ : la Commune est déclarée ‘bien gérée’.
-Les services techniques, encore eux : ils ont de fait boycotté les voeux du maire (aux services) début janvier. Ce qui n’est pas rien, et traduit un climat tendu entre les élus de la majorité et les services. Les causes d’après plusieurs témoignages, recueillis à des sources multiples : 1-L’élu en charge, Stéphane Planta, délégué aux services techniques est aux abonnés absents, occupé par une carrière professionnelle nouvelle et prenante. Les services se plaignent à qui veut les entendre de ce manque d’interlocuteur. La délégation ‘services techniques’ est maintenant vide : problème. 2-Les DGS passent et veulent laisser leurs marques dans les services de la Commune. On enchaîne les nominations, on esquisse des recrutements, on réforme les organigrammes et…on s’en va. 3-Le népotisme qui avait présidé aux recrutements opérés par Vincent Campens dans les premiers temps de l’ère Pano passe toujours aussi mal. Il avait mis en place des proches, notamment au service accueil de la mairie, et une telle disparité de traitement provoque de multiples difficultés.
-Changement de poste au périscolaire : une titulaire très expérimentée part à la MJC. D’après quelques témoignages, ça tangue, au moment où, devant les besoins manifestes, la Commune ouvre des places supplémentaires à Gustave André, quand les listes d'attente s'allongent, et où les coûts pour les familles vont semble-t-il augmenter.
-L'actualité nationale vient d'imposer à Alban Pano une présence soutenue en appui à son parti, au moment où celui-ci tentait de récupérer à toute force la colère des agriculteurs : très présent dans un soutien appuyé à 'nos' agriculteurs, comme il dit, comme dit LR. Présence sur le barrage de Bourg-de-Péage, photo et déclaration conclusive à Valence. Sur ce sujet aussi, l'intégration verticale et l'alignement strict d'Alban Pano sur les préoccupations politiques partisannes des Républicains, son absence d'autonomie, a un prix : il est en surchauffe, surexposé. En novembre dernier, il a été élu délégué LR dans la troisième circonscription de la Drôme (164 inscrits, 88 votants) et il doit maintenant remplir ce rôle partisan. Pas de problème, mais ça ne doit pas l’empêcher en quoi que ce soit de travailler pour sa commune, ni bouffer son temps ni l’obliger à imposer à ses administrés, à tout bout de champ, les cadres locaux de son parti. On comprend bien à la fin, le coup de mou du maire de Chabeuil : grosses difficultés dans les services, absence de Directeur Général des Services, et nécessité d'une présence partisane aux côtés d'un parti LR à la peine au plan national. C'est sans doute trop pour un jeune maire inexpérimenté, qui vient d'arriver aux responsabilités, dans une ville qui, au passage, n’est pas LR.
claude meunier
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mmepastel · 4 months
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Rholala ! Premier énorme coup de cœur cette année !
C’est ma libraire préférée qui me l’a déniché… elle commence à me connaître… elle m’a tendu ce livre qu’elle n’avait pas encore mis en rayon avec un air entendu…
BINGO ! En effet, c’est une belle pioche.
Tout d’abord, qu’est ce que j’ai ri ! L’autrice suédoise a un humour assez décapant, et un langage fleuri.
Faire connaissance avec ces sept sœurs finlandaises crasseuses et mal éduquées c’est comme une collision brutale et frontale. On les découvre à la foire, rare lieu où elles daignent frayer avec leurs semblables (quoique… elles semblent en effet faites d’un autre bois), dégoûtantes, provocantes, grossières, analphabètes et gouailleuses ; elles vendent framboises sauvages, peaux de bêtes -d’ours notamment. Bien obligées si elles veulent acheter bière, gnôle, cigarettes et essence pour le quad, saucisses et chips.
Johanna, Tania, Tiina, Simone, Aune, Laura et Elga ont toutes un caractère bien distinct, même si elles font corps pour survivre depuis qu’elles sont orphelines. L’ainée, Johanna, voue un culte à son père décédé, célèbre chasseur d’ours, et applique ses règles : se méfier de la société des humains et particulièrement des hommes, du pasteur, des assistantes sociales, de l’école, des huissiers. Elles sont hors registres, complètement sauvages dans la forêt, en autarcie. Et elles vont fuir encore plus loin, pour être sûres de ne pas risquer d’être embêtées, pour vivre à leur façon, la seule qu’elles connaissent à vrai dire. Elles rotent, pètent, pissent debout, se bagarrent sans cesse, jurent comme des charretiers.
L’entente entre elles, une force, une nécessité mais aussi une limite, se complexifie lorsqu’elles s’isolent complètement dans un endroit reculé de la forêt, et qu’elles font face à la faim et au froid. La rudesse de l’aînée, son radicalisme, empêchent certaines des plus sensibles de s’épanouir, comme par exemple Elga qui rêve de lire et d’exploiter ses fraîches connaissances en la matière, ou Laura qui n’aime rien tant que de sculpter des petits figurines malgré ses yeux de myope.
On lit ce livre avec le nez, et les odeurs ne sont pas toujours ragoûtantes. Ça ne sent pas que le sapin ou l’écorce de bouleau. Ce ne sont pas des grandes fans de savon, ni de ménage, et les peaux d’ours écorchés corsent l’affaire. On suit leur cheminement avec passion tant l’immersion est totale dans cet univers brut et sauvage, en s’émerveillant des reparties salées qu’elles se servent mutuellement, avant de se cogner jusqu’à faire valser des dents. Mais cheminement, il y a. Je n’en dis pas plus car le roman, inspiré d’un conte finlandais racontant les aventures de sept frères, est turbulent et haletant de bout en bout. Vont-elles survivre dans le froid ? Comment vont-elles échapper à la ville qui semble être le seul salut possible ? Ne vont-elles pas s’entretuer ou sombrer dans la folie ?
J’ai adoré cette histoire et le ton. Ces sœurs sont de vraies dures à cuire, des âmes bouillonnantes qui font jaser toute la région. Leur évolution est habilement menée, et leur amour de la forêt et de la liberté ne se trahit pas. On assiste à l’éclosion de leurs natures profondes. Il s’en est fallu d’un cheveu pour qu’elles y parviennent seules. Un conte féministe oui, assurément, avec de vraies héroïnes fortes et courageuses, un récit au verbe haut, débordant de vie et culotté. De la dynamite.
Je suis un peu dépitée de l’avoir si goulûment dévoré, aussi goulûment que Tiina aurait bu sa flasque de whisky, je ne crois pas que ce type de livre coure les rues. J’espère que d’autres romans d’Anneli Jordahl seront traduits, je suis addict de son écriture rigolarde et irrévérencieuse.
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recapqsmp · 9 months
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Jeudi 24/08 - Double code
Baghera a montré le serveur à Horty. Pomme a enfin rencontré sa tante. Horty a pu choisir son entité dans le château de Cellbit (Chaos), et a même eu la permission de Richas d'apposer son nom sur une pancarte dedans !
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- Areo
Etoiles a parlé à Forever à propos de son bouclier. Ils ont fait quelques tests dessus, notamment si un lâché d'enclume pouvait le tuer : absolument pas. Forever a aussi expliqué qu'il n'était pas rassuré des nouveaux joueurs. Etoiles a proposé de faire des backpack de bienvenu aux nouveaux joueurs qui le veuillent (car certains voudraient peut-être farmer leur stuff d'eux même), Forever n'est pas trop partant pour cette idée, sauf s'il y a un nouvel oeuf.
Etoiles, en se baladant, est tombé sur une waystone verte, comme celle que le code lui a donné avant ses vacances. En la prenant, il s'est retrouvé aux coordonnées indiquées sur le parchemin du bouclier. En fouillant l'océan, il est tombé sur une structure sous-terraine bizarre, ressemblant à un genre de maison abandonnée dans un décor ensoleillé. En fouillant le donjon, Etoiles est tombé sur 3 livres contenant chacun une énigme, ainsi que le code, qui est apparu avec son épée pour l'affronter.
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Après une longue bataille, le code est parti, sans qu'Etoiles ai pu le tuer… avant de revenir, accompagné d'un deuxième code, équipé lui aussi de l'épée ! La bataille entre les 3 a été extrêmement éprouvante, mais Etoiles a fini par réussi a tuer un des codes, le deuxième s'étant enfuit avant de mourir. Il n'a pas pu récupérer l'épée sur son cadavre, mais le deuxième code est revenu momentanément pour lui donner une récompense : un sac contenant une armure en netherite (interdit de l'équiper), des pommes d'or, et .. une pomme normale. Etoiles a ensuite donné les 3 énigmes à Baghera pour qu'elle les résolve.
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Cellbit a reçu la visite de Cucurucho, lui disant que "sa pause était terminée, et qu'il faut retourner au travail". Il l'a suivi, et Cucurucho lui a dit qu'ils investiguaient quelque chose, et qu'ils avaient 2 pistes qu'il devait aller voir. Cellbit a accepté, lui faisant croire qu'il était encore de son côté, qu'il faisait semblant devant tout le monde.
Quackity s'est reconnecté au serveur. Il a cassé la waystone à sa maison pour que personne ne puisse venir, et est aller miner du fer. Néanmoins, Pomme avait ses coordonnées, et est allé avec Etoiles à sa rencontre. Quackity n'a pas l'air de se rappeller de lui (et a l'air d'ignorer un maximum les oeufs), appellant Etoiles "Rafael" comme la tortue ninja. Pendant qu'ils discutaient (et se battaient contre des monstres), sa maison a pris feu toute seule, à deux reprises.
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Il a ensuite dit à Etoiles qu'il devait s'absenter 5mn. Il s'est téléporté à une maison éloignée, et a utilisé un ascenseur caché pour atterrir dans une base entièrement en quartz. Il a trouvé un coffre contenant des affaires (comme des perles, et une sharestone). Il a miné à travers les murs pour regarder des salles, et est reparti voir Etoiles. Tous les deux sont ensuite allés se balader en ville, Etoiles voulant lui montrer sa base. Ils sont ensuite allé au magasins de Roier (Quackity cassant plusieurs fois son roleplay, puis se déconnectant/reconnectant pour signifier d'oublier ce qu'il venait de dire), et ont été rejoint par Cellbit et Roier. Quackity s'est ensuite déconnecté, précisant qu'il reviendrait le lendemain.
BadBoy a choisi de faire croire aux joueurs qu'il a été missionné par la fédération pour inspecter les constructions des joueurs, et faire respecter les derniers règlements du président Forever en matière de building. Il est allé voir Foolish, Cellbit, Baghera et Etoiles en leur disant que beaucoup de choses devaient changer dans leurs constructions. Les joueurs ont cru au début que Badboy travaillait réellement pour la fédération, mais ont compris la supercherie lorsque BadBoy leur a expliqué les règles totalement farfelues.
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Cellbit est allé chercher les deux pistes de Cucurucho, en précisant bien qu'il allait utiliser à son avantage le fait que la fédération le considère encore comme un travailleur, mais ne se laisserait pas avoir cette fois-ci. La première coordonnée l'a emmenné vers un QRCode, contenant "1 -293". Cellbit l'a modifié, et a noté sur son livre que le code était invalide. A la deuxième coordonnée, Cellbit a trouvé un bar dont l'entrée a été condamnée. Dans les tonneaux, il y avait diverses boissons alcoolisées, ainsi qu'une pomme pourrie. En fouillant sous le bar, il a pu trouver 64 blocs de minerais de quartz cachés. Il s'est arrêté là pour la soirée, mais reviendra demain pour continuer à enquêter dessus.
Missa s'est reconnecté au serveur !
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Deux nouvelles personnes vont rejoindre QSMP : Willyrex et Tubbo !
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Jeux Olympiques 2024 : de bien belles perspectives
Texte de Hashtable
Petites chroniques désabusées d'un pays en décomposition rapide… du 19 Avril 2024 que je vous invite à savourer....
(Source : https://h16free.com/2024/04/19/77292-jeux-olympiques-2024-de-bien-belles-perspectives)
À moins de 100 jours des prochains Jeux Olympiques à Paris, on sent nettement l’excitation et la joie s’emparer de tout le pays. La capitale et ses habitants se réjouissent très manifestement des festivités et jamais le mot “épreuves olympiques” n’aura trouvé une aussi belle résonance avec ce que traversent actuellement les Parisiens qui goûtent maintenant chaque minute d’anticipation de ces futurs grands moments.Futurs grands moments qu’il faut minutieusement préparer et qui ont déjà été l’occasion, notamment pour la maire de Paris, d’aller visiter les lieux des différentes épreuves dans lesquels on trouve – assez commodément – Papeete, cette petite localité qui jouxte Paris et qui accueillera notamment les épreuves de surf.
Moyennant un petit déplacement en avion (cela jouxte à 15.000 kilomètres près) dont la compensation carbone n’a pas été évoquée – mais dont on peut être sûr qu’elle a été réalisée tant Anne Hidalgo est forcément éco-consciente – et une petite facture pour le contribuable parisien de l’ordre de 60.000 euros, les installations ont pu être vérif…ah non, finalement, le voyage déclenchant des démangeaisons pour l’opposition, les contribuables parisiens, une partie de la presse et pas mal de Français en général, la maire n’aura pas poussé jusqu’au site de l’épreuve de surf.
Tout ceci nous amènera quelques mois plus tard à une petite enquête et des perquisitions pour ramasser les éléments de preuve d’une éventuelle prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics (oh, ça alors) dont on ne doute pas qu’elles permettront de totalement laver l’honneur de l’équipe municipale.
La préparation ne s’arrête pas là puisque, rappelons-le, elle comporte aussi le déménagement furtif des encombrants étudiants qui prennent le pain le logement des athlètes : les expulsions ont commencé. Ouf, la place est libérée, les sportifs sont soulagés, l’Olympisme respire.
De même, la déportation le déplacement discret des centaines de migrants et autres vagabonds en dehors de la ville et leur relocalisation, toujours aux frais du contribuable, un peu partout dans le reste du pays, se passe plutôt bien même si certains maires (celui d’Orléans par exemple) s’en offusquent de façon un peu verte. Ouf, la place est nettoyée, les organisateurs se détendent, l’Olympisme retrouve le sourire.
Mais que serait cette belle cérémonie sans une belle organisation et surtout une solide sécurité garantissant à tous de profiter d’un spectacle à nul autre pareil ?
Et justement, en la matière, on sait déjà que tout sera mis en oeuvre pour obtenir un niveau de sécurisation des individus. Comme jamais auparavant… ou presque, puisqu’on va finalement remettre en place ce qui fut une véritable réussite en 2021 et 2022, à savoir affubler les Parisiens et les spectateurs d’un solide petit QR code lors de leurs déplacements (l’auto-attestation ne devrait plus tarder, maintenant).
On se réjouit déjà de savoir qu’une plateforme internet sera bientôt disponible, qui laissera à tous les Parisiens concernés l’opportunité de saisir tout un tas de petites informations pertinentes sur leurs allées et venues, et on souhaite un courage olympique à tous nos seniors dont la maîtrise des outils numériques est largement suffisante pour garantir que ces petits QR codes seront correctement distribués.
Et franchement, qui ne se réjouit pas déjà d’un retour des contrôles et des patrouilles policières dans une partie de la capitale ? Voilà qui permettra d’assurer la légendaire sécurité des rues parisiennes au moins pendant la période des jeux. Les habitants concernés vont a-do-rer !
Enfin, toutes ces considérations ne seraient pas complètes sans mentionner que tout ceci se déroulera avec une maîtrise presque totale des coûts et des dépenses.
En effet, lorsqu’on lit l’article consacré aux coûts de ces Jeux Olympiques, il apparaît que le calcul du total est particulièrement pointu : entre le budget initial, le budget courant, les dépassements, les cautions de l’État, les différents postes de dépenses et de recettes, on est tout à fait rassuré sur ce qui sera inévitablement du ressort final du contribuable.
Mais si.
Il apparaît cependant que le total devrait osciller autour de 11 milliards d’euros selon différentes estimations, dont 3, 4 ou 5 milliards resteraient à la charge des moutontribuables pardon de l’État selon Moscovici, l’actuel président de la Cour des Comptes, le tout pour un budget initial de 3,8 milliards d’euros, déjà supérieur au 3,2 milliards du dossier de candidature. On ne pourra qu’admirer la précision véritablement diabolique de ces chiffres et de l’organe officiel chargé des Comptes : pour un total à 11 milliards, cela nous fait 7 milliards de petits dépassements dodus, et de 3 à 5 milliards d’euros d’argent public, ça nous fait une enveloppe qui varie allègrement de plus de 60% sur des dépassements de plus de 100%. C’est coquet.
Rassurez-vous cependant : les équipes de propag journalistiques sont déjà sur le pont pour bien nous rappeler que même avec une facture de 11 milliards d’euros (que la Nation Française tout entière peut très bien se permettre en ces temps de croissance et d’opulence macronienne), ces jeux seront probablement parmi les moins coûteux de l’histoire récente.
Mais si.
En fait, on se demande même, devant ces chiffres si modestes, pourquoi on mégote tant, à tel point même que la région Île-De-France a par exemple refusé de prendre à sa charge les déplacements de 200.000 accrédités (athlètes, officiels, journalistes…) alors qu’elle avait été courtoisement sollicitée par le comité officiel des Jeux et que ce budget ne représente qu’un peu moins de 10 petits millions d’euros.
Il n’y a pas à dire, cet événement fleure bon la précision millimétrique et la maîtrise des coûts jusqu’au plus petit poste de dépense ! Voilà qui met dans les meilleures dispositions pour imaginer ce que pourrait donner l’organisation des épreuves elles-mêmes, de la cérémonie d’ouverture et celle de clôture, et qui laisse présager d’un niveau de qualité exceptionnel pour la sécurité et l’accompagnement des joueurs, des spectateurs et de l’ensemble des corps de métiers autour de cet événement. Les supporters anglais vont a-do-rer !
Pas de doute, cela va très très bien se passer. Tout va même être olympique, pour sûr.
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laurentgrizon · 1 year
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morbidlongings-rpg · 9 months
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"According to Plotinus, ecstasy is the culmination of human possibility. He contrasted emanation (πρόοδος, prohodos) from the One—on the one hand—with ecstasy or reversion (ἐπιστροφή, epistrophe) back to the One—on the other. This is a form of ecstasy described as the vision of, or union with, some otherworldly entity—a form of ecstasy that pertains to an individual trancelike experience of the sacred or of God."
tw : rituels, meurtre, gore, langage psychophobe
Lové dans les plis de la vallée comme dans les bras d'un amant, les Green Mountains du Vermont veillent sur Falmouth comme on garderait un secret. Le campus tient toutes les promesses conjecturée par la brochure : il émerge des verdures luxuriantes tel un oasis anglican, gothique et sévère, la pierre et le lierre, la brise aromatisée au parfum des vergers ; une toile en devenir qui n'attend plus que l'automne de Nouvelle-Angleterre pour y déverser son brasier. Eux à son image et elle à la leur, les étudiants de l'université incarnent le mieux son esprit : bâtis pour l'érudition et tout particulièrement disposés à s'éventrer pour un goût d’Éternel. Ils parlent, parlent, parlent― et ils ne parlent que de ce ça. Dans les couloirs, les échos se chevauchent ; mythe et vérité fusionnent.
En exclusivité : le compte-rendu de notre rencontre avec Bill Carpenter, frère de Sam Carpenter, dont le corps sans vie a été retrouvé aux abords de sa ferme au nord de la petite ville de Falmouth, Vermont. "Une boucherie", raconte-t-il. En effet, Sam Carpenter est décédé dans des circonstances pour le moins troublantes : le médecin légiste avait à l'époque déclaré n'a avoir "jamais vu ça de [ma] carrière― un catalogue de traumatismes et de contusions, deux membres arrachés. Il est irreconnaissable." Tandis que le bureau du shérif accuse le coup, une attaque d'animal, Bill Carpenter est persuadé que les circonstances qui entourent le décès sont encore plus sinistres. "Aucun animal n'est capable d'une telle cruauté", nous dit-il. "Aucun, sauf un." Selon lui, c'est entre les murs de Falmouth College, l'université voisine à la ville, que se cache la clé du mystère ; il semblerait que Carpenter ait lui-même aperçu des "lunatiques en toges" parcourir les bois autour de sa ferme peu de temps avant le jour fatidique. Faute de preuves, et malgré l'opposition de la famille Carpenter, le bureau du shérif a classé l'affaire en juin dernier après deux ans d'enquête.
Ils parlent de transcendance. Parlent d'Absolu. D'une expérience si Sublime qu'elle aurait altéré la constitution de leurs atomes. Certains auraient été si transformés qu'il leur aurait fallu des jours entiers pour réapprendre le langage des hommes, crude et rugueux dans leurs gorges. Ils parlent d'apothéose. De festin à la table des dieux ; l'air lui-même se serait fait ambroisie. Ils en auraient été si pleins, les poumons enflés à la divinité ambrée, qu'ils auraient regardé le ciel fondre entre les doigts pour les laisser s'abreuver de la lumière des étoiles. Ils parlent d'extase. D'une euphorie comme aucune autre, si métaphysique que le temps en aurait perdu son emprise ; des saisons entières se seraient écoulées entre un clin d’œil et le suivant. Ils parlent d'existence en dehors de soi-même : ce serait comme renaître avec les yeux grands ouverts sur le monde, ne faire plus qu'un avec la fibre de sa Matière ; ce serait sentir son cœur battre sous ses pieds, primal et frénétique sous la croûte terrestre. L'entendre dans l'écorce des arbres et à travers les mouvements du ruisseau, entre les nuages comme les plus majestueux des coups de tonnerre. Ce serait comme regarder Dieu droit dans les yeux. 
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aurevoirmonty · 23 days
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Oui, le Tueur de Dragons est un archétype dans la religion indo-européenne qui évoque le triomphe de l'homme ou d'un dieu sur le mal. Cependant, il est malhonnête ou illogique de conclure que cela signifie que le Dragon représente toujours le mal. Il est également malhonnête de présenter ces mythes comme des mythes d'importance centrale et de représentation exclusive du triomphe du bien sur le mal. Le Dragon est une figure qui peut être soit bonne, soit mauvaise. Généralement, les serpents étaient en fait considérés comme de bon augure et protecteurs. Voir : Agathodaimon, uraeus, nagas, et les divinités serpentines.
Je ne connais aucune religion IE qui croit en l'existence d'êtres maléfiques radicalement séparés du domaine matériel. Mes études et la pensée platonicienne me conduisent à comprendre qu'il n'existe pas d'êtres maléfiques, car le mal n'existe pas positivement mais est plutôt défini comme l'absence de bonté ou de justice ; donc, le mal est un désalignement avec le Bien, et cela se produit lorsqu'un être individualisé se méprend lui-même pour le Bien en soi et désire donc l'auto-satisfaction plutôt que la dévotion parfaite au Bien (égoïsme) ou lorsqu'il confond la réalité matérielle et la vie individualisée pour la réalité ultime. Cette ignorance cause la souffrance et l'auto-destruction éventuelle ou l'élimination par la nature. Ainsi, seuls les êtres limités, qui sont imparfaits et qui travaillent en proximité avec la matière, peuvent devenir corrompus ou être entachés par le mal. Il n'y a donc ni dieux maléfiques, ni anges maléfiques, ni démons ou esprits totalement maléfiques. Il existe des daimons/esprits qui nous semblent maléfiques, tout comme le loup semble maléfique au cerf, sa proie ; ces êtres nous punissent, nous testent et gardent le domaine spirituel contre les intrus. Il y a aussi des daimons qui manquent de raison et ont été subordonnés sous la volonté d'un sorcier égoïste et travaillent ainsi le mal. Enfin, il y a des âmes qui n'ont pas passé à leur lieu de repos parce qu'elles sont trop attachées à ce monde ou à leurs désirs temporels, et donc ces fantômes peuvent hanter ou même posséder des personnes.
Les agents du chaos sont tous ultimement détruits et n'ont aucun pouvoir devant l'autorité toute-puissante du Roi des Dieux, Créateur des cieux. Ce qui avance avec le Bien continue d'exister et de prospérer, et ce qui est désordonné est retiré, détruit et reformé en quelque chose de nouveau qui servira Maât (Ordre). Nous voyons cela dans le grand Ouroboros : la tête est ceux qui participent intelligemment au Bien, tandis que la queue dévorée est le désordonné qui est digéré et réassimilé, conquis. Réalisez donc que la conquête de Maât/l'ordre sur le chaos était en fait dépeinte comme un serpent, que les rois étaient protégés par des serpents uraeus, que les villes étaient protégées par l'aspect serpent de Zeus appelé Sosipolis, que les nagas protégeaient le Bouddha ! (En effet, nos frères d'Extrême-Orient comprennent le Dragon comme un symbole du ciel, de pure créativité avec une flexibilité parfaite comme le yin.)
Il n'y a pas d'archdémon, pas de dieux maléfiques, pas d'existence positive du mal, pas d'êtres métaphysiquement et fondamentalement maléfiques, et pas d'opposition à la divinité. L'égarement des daimons et des humains est nécessaire pour notre purification, sans laquelle nous ne pourrions pas exister pour célébrer l'Être Divin. Louange soit à la Bonne ébullition et au Roi des Dieux pour la magnanimité divine de partager Son Être avec nous, que la Célébration Divine puisse être la plus complète, débordante !
Le Dragon Primordial représente la potentia, le yin, l'Eau, Rhea/Flux, la base sur laquelle la vie est établie dans les cieux. C'est le Serpent qui a fendu l'œuf cosmique, d'où Phanès est apparu. Ophion était l'un des premiers principes avant d'être renversé/absorbé par Kronos (Intelligence) avant que Lui-même ne soit absorbé par Zeus (Volonté). Vous voulez connaître un secret ? L'essence de tout est une productivité ineffable (Bien) qui repose sur le vide (potentia, yin). Lao Tzu demandait : « Voulez-vous savoir ce qui rend une tasse utile ? C'est son vide. » Voulez-vous connaître la partie la plus réelle d'une tempête ? C'est son centre, l'œil, où tout est calme.
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J'ai grandi dans une ville humide
Où on prend l'habitude de se pourrir
Où ça fait partie de la vie de laisser rentrer de la brume, de fabriquer de la vapeur
Où c'est parfaitement normal de se liquéfier à longueur d'après-midi
Où on s'enduit de sel pour éviter de s'effondrer sous la perte de matière humaine
C'est une ville qui s'allonge dans l'amer...
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icariebzh · 1 month
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"Dans l’est de la France, une femme au passé mystérieux rencontre un ex-toxicomane devenu marxiste et met sa science du kung-fu au service de la lutte ouvrière... Avec Margot Bancilhon et JoeyStarr, une série détonante mêlant action et humour sur fond de colère sociale.Activement recherchée par les services secrets de l’armée, une jeune marginale revient incognito dans sa ville natale. Elle espère se réfugier chez sa grand-mère, mais découvre que celle-ci est décédée durant son absence. Elle décide pourtant de rester dans l’appartement de la défunte, et trouve du travail dans une usine d’électroménager. Récemment rachetée par un industriel coréen, l’entreprise se trouve en pleine tourmente. La jeune femme y fait la connaissance d’un ouvrier fort en gueule, JP, ancien toxicomane adepte de Karl Marx, qui lui donne un surnom : "Machine". À la faveur de la révolte qui gronde dans l’usine, la nouvelle recrue dévoile de surprenantes aptitudes en matière de combat… Ovni explosif Créée par Thomas Bidegain (Soudain seuls) et Fred Grivois (La résistance de l’air, L’intervention), réalisée par ce dernier avec une jubilation communicative, Machine apparaît comme un ovni. À travers la rencontre entre "Machine" et JP se joue en effet une alliance improbable : celle du kung-fu et de la lutte communiste. Si on ajoute au cocktail une dose d’humour décalé et une BO survitaminée (Anastacia, K. Maro, Menelik…), on obtient une série explosive où se croisent, pêle-mêle, des syndicalistes bornés, un influenceur complotiste, un businessman sentimental, un ancien barbouze ou un militaire à la psychologie fragile… Entre pop culture et conscience sociale, Machine avance sur un fil, et fait mouche – à l’instar de son héroïne. Dans ce rôle très physique, Margot Bancilhon, qui a exécuté la plupart des cascades elle-même, impressionne. En quête de sens, à la fois implacable et tourmentée, cette mystérieuse femme sans nom trouve son salut dans l’amitié qu’elle noue avec l’attachant JP (JoeyStarr, impeccable), lui-même sauvé par la lecture de Marx et la pratique du vélo. Comment renverser l’équilibre entre les faibles et les puissants ? Ici, la réponse est claire : à coups de poing !" 
Source ARTE TV
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doolsandtoys · 2 months
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1er août 1922. Les filles resteront des filles. Les filles, quel que soit leur âge, adorent les poupées, et certaines adultes sont encore plus amoureuses de leurs poupées que les enfants. C'est le cas de Miss Maxine Brown, dont on dit qu'elle possède le plus grand nombre de poupées de la ville de New York. Elle est tellement amoureuse de ses mannikins qu'elle les emmène tous en promenade dans le parc, lorsque le temps le permet. Miss Brown possède plus de 200 poupées dans sa collection, et chacune d'entre elles reçoit une attention particulière en matière d'habillement.
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