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#le lac the morts vivants
pierppasolini · 8 months
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Le lac des morts vivants (1981) // dir. Jean Rollin, Julian de Laserna
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keeperofdarkness22 · 8 months
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Le lac des morts vivants / Zombie Lake | 1981
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weirdlookindog · 1 year
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Le lac des morts vivants (1981) French Poster
AKA Zombie Lake, Zombies' Lake, Lake of the Zombies, The Lake of the Living Dead
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gurumog · 2 years
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Zombie Lake (1981) Le Lac des Morts Vivants Eurociné Dir. Jean Rollin
Pascale Vital as the Skinny-dipping Girl Antonio Mayans (aka Robert Foster) as the Zombie Nazi
Certain prints of Zombie Lake credit director Jean Rollin under the pseudonym of J.A. Laser. The film was co-directed by Julian de Laserna, who went uncredited. Henri-Jean Alliet handled the underwater photography, who clearly shot his scenes in a swimming pool; at times wall and floor tiles are clearly visible.
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may8chan · 1 year
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Le lac des morts vivants - Jean Rollin & Julian de Laserna 1981
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kittykripton-ted · 9 months
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Le lac des morts vivants 1981
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Aujourd'hui, c'est docteur Rathatton, polytraumatisée, qui raconte sa journée. Désolée pour le pavé, j'ai besoin d'exorciser ce que j'ai vécu.
L'objectif était de nous rendre sur le Doi (mont) Suteph, visiter ses bucoliques villages et ses temples fastueux. Pour cela,nous avons décidé de louer (et conduire, à mon grand désarroi), un SCOOTER. Cet appareil charmant est manifestement connu pour sa facilité à manier (cte blague), et le peu de règlementation concernant ses gaz d échappement (combien d'année de vie perdue à avoir respiré autant de pollution...). Comme les glandus de la préfecture mettent 3 ans à faire le permis de conduire d'Aneth, c'est donc sur moi qu'est tombé l'insigne honneur de conduire cette chose. Dans Chiang Mai. Au milieu du périph et d'une horde de Thaïs en furie. Passé le premier temps d'adaptation où j'ai revécu l'ensemble du stress de mes 4 années de thèse condensé en une matinée, j'ai compris qu'au fond, la conduite en Thaïlande était telle que celle que je faisais à Paris en vélo. Les feux rouges sont pour les faibles, priorité pour les plus suicidaires, et les piétons sont une démonstration vibrante de la théorie de la sélection naturelle. Ci dessous, une petite photo de moi même, intérieurement en choc traumatique, dotée du seul casque que j'ai trouvé à ma taille (oui, un casque pour enfant... Sans visière).
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Afin de s'initier en douceur à la conduite du véhicule, et après être sortie de la ville, nous avons emprunté la petite route sinueuse de montagne menant au Wat Doi Suthep. Bâti à 1676 m, en 1373, ce temple fut construit sur ce mont en raison du comportement de l'éléphant exténué transportant une relique de Buddha. Celui ci aurait tourné 3 fois sur lui même et barit 3 fois. Je le comprends, j'étais dans le même état.
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Par un heureuse coïncidence, nous nous sommes ensuite retrouvées près d'un petit lac tranquille, auprès duquel des étudiants fêtaient leur remise de diplômes. Coutume surprenante, ceux ci portent des écharpes de billets, ou bien des bouquets de fleurs et billets.
Nous nous sommes ensuite dirigées vers le charmant village bucolique, devenu un moins charmant village touristique. Devant descendre pour se rendre au village, j'ai pu constater avec une certaine lassitude (la thèse aide à relativiser beaucoup de choses), que les freins de ce brave scooter n'étaient pas suffisamment puissants pour nous ralentir, et également insuffisants pour nous arrêter. Nous sommes cependant arrivée vivantes, par un coup du sort que je ne m'explique pas. Pendant qu'Aneth faisait une sieste, je me suis rendue à l'évidence. Si je voulais rentrer sur Chiang Mai vivante, et redescendre les 1500 m que nous avions monté, il allait falloir lâcher du lest, ce qui signifiait abandonner Aneth. C'est donc la mort à l'âme que je lui ai confié un petit sac de riz, des jolis cailloux blancs, et lui ai dit d'aller compter les buddhas dans la forêt avant de redescendre seule sur mon scooter vers le soleil couchant.
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Pour fêter nos retrouvailles, nous avons dîné autour d'un repas local!
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Bilan de la journée : j'ai failli écraser 457 êtres vivants, mais le seul qui s'est montré outré et a sifflé de mécontentement était un serpent de 7m de long en plein milieu de la route.
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arnaud-cendrin · 2 years
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Rednecks
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Soudain, les feuilles des peupliers se mirent à s’agiter, sous l’effet d’un vent froid qui semblait surgir de nulle part.
Nous entendîmes le bruit d’un être qui courait, quelque part, qui courait éperdument, comme s’il était poursuivi par quelqu’un ou quelque chose. 
Sans nous concerter, d’instinct, nous reculâmes précipitamment et nous accroupîmes dans les fourrés.
A l’autre extrémité du côté du lac où nous nous trouvions, un homme sortit de la forêt. Il était aussi nu que la fille que j’avais vue auparavant. Il était maigre, presque décharné, avec une barbe de plusieurs jours. Son pénis se balançait grotesquement entre ses jambes, balloté par la course. Son ventre se gonflait et se dégonflait dans un vain effort pour reprendre son souffle. Il courut dans notre direction, puis s’effondra à quatre pattes dans l’herbe, comme s’il voulait faire une prière, et se mit à vomir tripes et boyaux sur le gazon.
Les aboiements se rapprochèrent encore, et se multiplièrent. Quatre chiens hurlant surgirent. Des dobermans. Ils se précipitèrent sur l’homme prostré, rendus fous par l’instinct de la traque. Leurs têtes noires et monstrueuses se détachaient dans le jour comme dans un cauchemar. L’homme leva la tête et regarda dans ma direction. Après un moment horrible où j’eu la certitude fugace mais terrifiante qu’il implorait mon aide dans un rictus, il se releva dans un dernier effort désespéré et se remit à courir.
Il n’eut pas le temps de faire trois pas que les chiens le rattrapèrent. Aux quatre qui étaient apparus en premier s’étaient joint au moins une dizaine d’autres. L’homme se fit happer la cheville et tomba. Il disparut littéralement sous les dos noirs des animaux qui se bousculaient sur son corps.
Une main s’extirpa de la masse grouillante et griffa l’air frénétiquement, pendant quelques secondes, avant de se fermer en un poing dressé vers le ciel, en même temps que s’élevait au-dessus de la mêlée des bêtes, un hurlement qui n’avait plus rien d’humain, le hurlement de quelqu’un qui était en train de se faire dévorer vivant.
Je crus que j’allais hurler moi aussi. Mais ma voix s’étrangla dans ma gorge.
Des hommes avaient débouché à leur tour de la forêt, vêtus de parkas paramilitaires et de casquettes de base-ball oranges. Ils brandissaient des fusils de chasse. Des Américains, voilà la pensée qui s’imposa à moi comme une évidence ; des chasseurs américains blancs de la campagne profonde, des rednecks. Quand ils virent la scène, ils s’arrêtèrent. L’un d’eux sortit un gros talkie-walkie et se mit à parler fébrilement à un interlocuteur invisible.
Soudain, l’un des chiens renifla dans notre direction et se mit à grogner.
L’un des chasseurs, le plus gros, celui qui n’avait pas de fusil, le remarqua et s’approcha, poussant en avant son énorme bedaine. Il portait une parka aux motifs tachetés qui le faisait ressembler à un léopard obèse. Au fond de la barbe sale et rousse qui lui recouvrait tout le visage, ses petits yeux scrutaient les alentours impitoyablement, comme une machine.
Le chien grognait toujours alors que les autres continuaient de s’affairer autour du gibier. L’homme s’approcha encore.
Je ne sais pas ce qui me prit. Ce fut comme si mes neurones avaient fait un tour complet à l’intérieur de ma boite crânienne. Je me mis debout, les mains en l’air. Sur le moment, cela me parut une excellente idée. Je crois même avoir tenté de sourire à mes interlocuteurs. J’étais résolu à parlementer, à présenter mes plus plates excuses pour notre présence illégale, et à négocier notre retrait de façon pacifique, comme si tout était normal, comme si personne n’était en train de se faire manger sous nos yeux par une meute de chiens tueurs.
En me voyant, les yeux de l’homme s’écarquillèrent de surprise. Immédiatement, avec une rapidité stupéfiante, il mit la main sous son manteau entrouvert et en sortit un pistolet automatique. Puis, sans aucune hésitation, sans aucun temps mort, il ouvrit le feu.
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christophe76460 · 1 month
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En vérité je vous le dis : "Sodome et Gomorrhe, et les villes d'alentour qui, de la même manière que ceux-ci, s'étaient livrées à la prostitution et étaient allées après une autre chair, sont désignées comme exemple et subissent le CHÂTIMENT DU FEU ÉTERNEL."Jude 7.
"Mais les cieux et la Terre d'à présent sont gardés par la même parole, étant réservés pour le feu au jour du jugement et de la DESTRUCTION DES HUMAINS IMPIES.2pierre3v7.
Selon la Bible, qu'est-ce que le feu éternel encore appelé géhenne ou étang de feu ? Il s'agit du châtiment divin de destruction éternel des anges rebelles et des hommes méchants. Selon les saintes écritures, le feu est un symbole de la destruction. LE FEU ÉTERNEL SYMBOLISE DONC LOGIQUEMENT LA DESTRUCTION TOTALE ET ÉTERNELLE QUE SUBIRONT LES ENNEMIS DE DIEU. C'est le sort que subirent les habitants dépravés de Sodome et Gomorrhe qui furent à jamais détruits, consumés et réduits en cendres par le feu divin. Leur châtiment qui était spontané fut définitif et éternel. C'est un avertissement aux hommes méchants de ce qui les attend lorsque sera exécuté le jugement divin à la fin des temps. Les injustes subiront alors l'anéantissement totale et définitive. Ils disparaîtront à jamais de la création de Dieu. A ce propos, l'apôtre Pierre à écrit que Dieu, en "réduisant en cendres les villes de Sodome et de Gomorrhe, il les a condamnées à la DESTRUCTION, LES DONNANT POUR EXEMPLE AUX IMPIES À VENIR. 2Pierre 2v6.
Le feu éternel n'est donc pas du tout un lieu de tortures où démons et hommes méchants brûleront éternellement sans connaître la mort. Non. Un tel lieu que les gens appellent enfer de feu éternel n'a jamais existé, n'existe pas ni n'existera jamais dans le plan de Dieu. Le feu éternel ou lac de feu est l'exécution du jugement divin de la seconde mort ou mort éternelle sans aucune possibilité de retour à la vie. Même Satan et ses démons seront détruits. Ils cesseront d'exister lorsqu'ils seront jetés dans l'étang symbolique de feu et de souffre à la fin du règne millénaire du Christ.
Ainsi, tous ceux qui passeront par le châtiment du feu éternel disparaîtront de la création pour l'éternité. Ils n'existeront plus tout simplement. Apocalypse 20v10-15. Jésus-Christ, parlant du sort des hommes méchants lors du jugement des vivants qui précédera son grand retour pour la fin du monde, a prophétisé ceci : "Alors il dira aussi à ceux qui seront à sa gauche: Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le FEU ÉTERNEL qui est préparé pour le diable et ses anges." Mathieu 25v41. Que celui qui peut comprendre comprenne. Abonnez-vous à notre page Facebook intitulée LE PROPHÈTE DES TEMPS APOCALYPTIQUES pour plus d'informations. Merci.
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Lake Mungo (2008), Joel Anderson
Si vous aimez les films de fantômes, qu’ils soient états-uniens, japonais ou autre, vous devez sûrement les associer à un certain type de narration : celui de l’avant et de l’après. Si les spiritualités, leurs protagonistes et leurs motifs varient selon les pays, tous les films de fantôme semblent avoir un concept commun: un esprit venu perturber les vivants. De Shirley Jackson et ses fantômes suicidés, jusqu’à Hideo Nakata et ses enfants laissés pour morts en passant par James Wan et ses esprits errants, les motivations des fantômes varient selon les histoires que l’on se raconte. Il y a les méchants moches comme Freddy (Les Griffes de la Nuit), typiques des slashers années 80 et de leurs tueurs vengeurs et masqués. Il y a les enfants mystérieux dans les orphelinats, les âmes meurtries dans les escaliers et les murs des maisons tokyoïtes… certains fantômes cherchent la vengeance, d’autre l’apaisement, et toujours, dans toutes les histoires, il s’agit pour les protagonistes de comprendre qui est le fantôme, et ce qui l’empêche de reposer en paix, afin de le chasser s’il est mauvais, ou de le mener à au repos. De bons ressors narratifs, qui font des fantômes les symboles des peines irrésolues et des crimes impunis. Mais est-ce ainsi que la mort se présente à nous ? Est-ce ainsi que nous l’anticipons ? Ne sommes-nous pas hantés toute notre vie par la perspective de notre propre mort et par celle des autres ? Le fantôme comme esprit qui ne trouve pas le repos est finalement un récit de la mort qui, quoi que l’on aime dire de la portée morbide des films d’horreur, la tient à une distance assez sécurisée.
C’est pourquoi j’aimerais rendre hommage à Lake Mungo (2008, Joel Anderson). Des années 90 aux années 2010, entre les True Crime, les Found Footage, et les légendes urbaines, un certain type d’horreur a savamment brouillé la ligne entre fiction et réalité. Lake Mungo, pépite reconnue mais peu discutée des années 2000, appartient à la catégorie très spécifique des faux True Crime Documentaries, donc aux True Crime Mockumentaries (le Mockumentaire existant aussi hors de l’horreur, avec des classiques de la comédie comme This is Spinal Tap ou What We Do in the Shadows). Ce film australien, qui fait honneur à son cinéma de genre national particulièrement sombre et poisseux, raconte la disparition d’une jeune fille, Alice, à l’occasion d’une baignade. Après quelques temps, son corps noyé est retrouvé dans le lac, mais seul son père se charge d’aller le reconnaître, laissant le reste de la famille dans un doute inconsolable. C’est alors qu’Alice commence à apparaître sur des photos, dans des vidéos de surveillance, et la famille, forcée d’investiguer, découvre les secrets d’une jeune fille qu’ils croyaient connaître. Plus discret que les certains found footage devenus des classiques de l’horreur, Lake Mungo semble toutefois posséder une véritable réputation parmi les aficionado.as. Il semble particulièrement intéressant en ce moment, alors que le succès des podcast et plateformes de streaming a relancé l’engouement pour le True Crime Documentary, dont la popularité ne date pas d’hier et qui n’a jamais vraiment tari.
À première vue, Lake Mungo a tout du True Crime aguicheur: les lents travellings sur les photos, les transitions fondues, les entretiens glaçants… Pourtant le film n’a rien à voir avec le sanglant Savageland (2015, Phil Guidry, Simon Herbert, and David Whelan), ni le terrifiant Horror in the High Desert (2012, Dutch Marich), autres Mockumentaries plus récents. Étrangement sombre et mélancolique, il dénote par son peu de moments chocs. On en sort en se demandant presque si c’est vraiment fini, si c’est tout. Un sentiment assez approprié, car Lake Mungo est un film de deuil, de dépression, et même, allons-y carrément, de mort. Pas la mort mystère et résolution comme nous en parlions plus tôt, mais la mort latente, celle qui endeuille jusqu’à nos souvenirs les plus joyeux du défunt. Et contre toute attente, le True Crime se révèle être une forme tout particulièrement appropriée.
Le mystère central du film semblent d’abord être les apparitions du fantôme d’Alice. Mais très vite, la véracité de ces apparitions est remise en doute, et l’enquête se focalise sur les secrets de la jeune fille. Il devient évident que l’adolescente cachait une détresse que personne dans son entourage n’avait bien voulu déceler. L’incapacité des parents à comprendre que leur enfant a été violé par des proches devient discrètement mais sûrement, pour celleux qui veulent bien le voir, un sujet central. Le choc central du film est presque anticlimatique : on découvre que le fantôme noyé d’Alice lui était apparu avant sa mort. C’est là que Lake Mungo commence à briser le cycle classique du fantôme, et brouille la ligne entre le monde des morts et celui des vivants, proposant une vision originale des apparitions. Dans cette histoire, Alice vit comme un fantôme que personne ne remarque, son propre cadavre lui apparaît avant sa mort, puis son frère truque des photos pour la faire apparaître après sa disparition, bref, personne ne regarde au bon endroit et les fantômes ne sont jamais où on les attend. Le passé et le présent s’entremêlent et le regret surpasse la peur. Cette temporalité du deuil est mise en forme habilement grâce au choix approprié du True Crime, dont un des ressors narratifs les plus connus est l’interview: on y vit les événements après leur résolution, les protagonistes nous les racontent en appuyant sur leurs sentiments de peur, de surprise, de regret. Les détails de l’histoire sont révélés au compte goutte, rappelant sans cesse au spectateur.ice que l’histoire s’est déroulée sans lui. Maintenu en haleine, le.a spectateur.ice s’immerge dans un récit déjà résolu. Les personnes interviewées restent assises devant le même décor flou durant toute la durée du film et ne parlent que du défunt, limitant notre perception de leur réalité au drame qu’ils ont traversé. Par définition, le True Crime est donc un espace narratif d’une inquiétante étrangeté où passé et présent s’entremêlent, où les protagonistes n’existent qu’à travers le récit d’un seul événement tragique. Si ces outils narratifs ne servent généralement qu’à garantir la monté en tension d’une histoire mystérieuse et sanglante, dans Lake Mungo ils alimentent une diégèse où le regret régit tout, où une jeune fille que personne ne voyait se regardait déjà elle-même dans la mort, où les vivants ratent le fantôme qui leur apparaît tant ils sont occupés à en inventer d’autres. Lake Mungo révèle le True Crime comme un genre au potentiel hautement mélancolique.
Depuis le prétendu premier film d’horreur en found footage, le toujours aussi controversé Cannibal Holocaust (1980, Ruggero Deodato), les vraies-fausses histoires des années 90 à 2010, qui ont parfois véritablement berné leur public (le Projet Blairwitch a su en confondre beaucoup), ont infiltré les films jusque dans les circuits bien plus discrets et difficilement traçables de nos légendes urbaines. Est-ce une des raisons pour lesquelles l’Horreur de ces décennies nous a parue si proche de nos intimités, si palpable? Quoi qu’il en soit, le respect des amateur.ices pour Lake Mungo est une reconnaissance de la capacité qu’a eu Joel Anderson à raconter la dépression adolescente et déni adulte. Si chaque amateurice d’horreur a ses goûts et ses préférences, il me semble que quiconque invite les récits de mort dans son quotidien comme nous le faisons, saura apprécier la précision des sentiments qu’invoque ce film.
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yes-bernie-stuff · 4 months
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Vendredi 19 janvier 2024 Il m’invoquera, et je lui répondrai ; dans la détresse je serai avec lui. Psaume 91. 15
[Jésus] peut sauver entièrement ceux qui s’approchent de Dieu par lui : il est toujours vivant afin d’intercéder pour eux. Hébreux 7. 25
Suicide ou salut.
Mel Trotter était alcoolique. Malgré les nombreuses promesses faites à sa femme, il n’a jamais réussi à arrêter de boire. Le jour de l’enterrement de leur fils de deux ans, il rentre ivre mort. Il est tellement désespéré qu’il décide d’aller se noyer dans le lac Michigan, près de chez lui.
Il choisit le 19 janvier 1897 pour mettre fin à ses jours. Ce jour-là, sur le chemin du lac, il passe devant une salle où il entend chanter, et il décide de pousser la porte. Le prédicateur est un ancien alcoolique. Mel écoute attentivement son témoignage et décide de se donner au Christ. Il note même l’heure : 21 h 10. Le jour de son suicide devient celui de sa délivrance !
Trois ans plus tard, il fonde une œuvre en faveur des personnes alcooliques et de leurs familles. Pendant les quatre années suivantes, Mel et ses deux frères ouvrent plus de soixante centres semblables à travers tous les États-Unis. Pendant la Première Guerre mondiale, Mel et ses amis vont développer une mission auprès des soldats américains en partance pour l’Europe. Cette action se poursuivra pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Leur association travaille auprès des enfants et des jeunes, surtout ceux issus des familles défavorisées. Chaque année, elle fournit des milliers de repas et trouve des logements et des emplois pour plusieurs centaines de personnes. Devant ses locaux, on peut lire de loin : “JESUS SAVES” (Jésus sauve).
Jésus a sauvé, gardé et délivré Mel Trotter. Oui, “Jésus peut sauver entièrement ceux qui s’approchent de Dieu par lui”.
LA BONNE SEMENCE
Bibles et Publications Chrétiennes
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pierppasolini · 8 months
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Le lac des morts vivants (1981) // dir. Jean Rollin, Julian de Laserna
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Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom
Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom
Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard
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spiritgamer26 · 6 months
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[CP] La nouvelle carte RONDO dans PUBG: BATTLEGROUNDS
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RONDO, également connu sous le nom de Champ de l’Honneur, est la toute nouvelle carte 8x8, offrant la plus grande zone jouable de toutes les cartes à ce jour. Cette vaste carte est divisée en deux régions distinctes, chacune offrant une atmosphère unique combinant un gameplay familier et des approches stratégiques innovantes. RONDO introduit un nouveau récit et des choix élargis au sein des éléments centraux de PUBG: BATTLEGROUNDS – LAND, LOOT, SURVIVE. Avec ses nouvelles fonctionnalités et son nouveau contenu, RONDO apporte une expérience de jeu dynamique et engageante à chaque partie.RONDO se démarque dans PUBG: BATTLEGROUNDS avec ses terrains diversifiés, des lacs sereins et des bosquets de bambous au sud-ouest, aux crêtes distinctes du nord-est. Des zones remarquables telles que la beauté verdoyante du village de Yu Lin, le paysage riche en cascades du jardin Tin Long et l'architecture riveraine de Mey Ran offrent des options stratégiques variées. Les gratte-ciels de Jadena City et les rues éclairées au néon promettent d'intenses batailles urbaines, tandis que NEOX Factory introduit des scénarios de combat uniques. Des zones supplémentaires telles que Rin Jiang, Jao Tin et le stade présentent leurs propres défis. Les fonctionnalités innovantes de la carte incluent du bambou destructible pour une profondeur tactique et un avion de départ supplémentaire pour plus d'options d'atterrissage. RONDO présente également le JS9, un SMG de 9 mm idéal pour le combat rapproché.KRAFTON sort également un court-métrage officiel en live-action de RONDO, PUBG | CHAMP DE L'HONNEUR: RONDO filmé par Sam Hargrave, réalisateur de Tyler Rake et Tyler Rake 2, avec Daniel Wu (L'Homme aux poings de fer, Tomb Raider, Reminiscence) et Lee Jung-Jae (Squid Game). Daniel Wu joue le rôle d'Alpha, luttant pour la survie de toute l'équipe, tandis que Lee Jung-Jae incarne Beta, cherchant à se venger de la mort de son frère par l'équipe Alpha. Ce court-métrage dépeint de manière vivante l'essence de la nouvelle carte à travers une confrontation intense entre deux adversaires redoutables.https://youtu.be/esvm65ePRC0Pour célébrer la sortie de RONDO, le nouveau Survivor Pass: RONDO est désormais en route. Avec cette mise à jour, le système de récompense a été remanié, introduisant diverses nouvelles récompenses telles que des G-COIN, des schémas, des coffres de survivant et des jetons d'artisan aux récompenses du Survivor Pass. De nouveaux éléments de collaboration mettant en vedette l'acteur Daniel Wu dans le rôle d'Alpha et Lee Jung-Jae dans le rôle de Beta dans RONDO seront disponibles pour les joueurs PC jusqu'au 6 mars 2024 et pour les joueurs console jusqu'au 14 mars 2024. Read the full article
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gurumog · 2 years
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Zombie Lake (1981) Le Lac des Morts Vivants Eurociné Dir. Jean Rollin
Marcia Sharif as Katya Moore, intrepid reporter.
Certain prints of Zombie Lake credit director Jean Rollin under the pseudonym of J.A. Laser. The film was co-directed by Julian de Laserna, who went uncredited.
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ashwinderslegacy · 7 months
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Hameau de Grottaleau, région de Cragcroft.
Lorsque vous quittez la vallée de Poudlard pour vous diriger vers le sud de la région, une vaste étendue de plaine laisse place à un lac immense : le célèbre lac de Grottaleau, plus grand encore que le fameux lac noir au pied de Poudlard. Le hameau qui se dresse non loin profite de sa proximité pour vivre de la pêche et de fioles de potions à base d’eau magique. On raconte qu’un peuple de sirènes émerge souvent la tête pour marchander avec les sorciers alentours. Les nuits de lune rouge, c’est une famille entière d’une créature géante qui ressemble trait pour trait à ce que les moldus appellent « Le monstre du Loch Ness » qui navigue dans l’eau remuante avant de rejoindre les abysses et remonter dans d’autres contrées. Les sorciers les plus fous restent éveillés des jours entiers, assis au bord au lac, un carnet entre leurs mains, pour dessiner les traits de ce qu’ils pensent être la découverte du siècle. Et souvent, les familles se retrouvent sur la rive pour pique-niquer, savourant la quiétude des lieux et le clapotis de l'eau remuante au passage d'une créature sous-marine.
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Mais Grottaleau, ce n’est pas uniquement le lac au pied duquel il se dresse, c’est surtout ce petit hameau de passionnés et de pêcheurs dont les visiteurs circulent, tant bien que mal, sur les dalles humides et glissantes de la rue principale qui accueille un unique commerce : un petit bar-épicerie-hôtel à l'aspect sombre et dont le propriétaire a tout l'air de sortir d'un caveau plutôt que de sous le bar. L’endroit permet aux aventureux de se reposer avant de reprendre la route vers les hameaux les plus au sud. C’est un lieu de passage et peu de personnes reste vraiment par ici plus de quelques jours, bien trop incommodés par l’air humide ambiant qui ferait tousser quiconque n'y a pas vu le jour. Les chaumières y sont plus petites qu’ailleurs, les habitants ont l'air moins joviaux et il arrive qu’on croise un enfant jouant au marin dans une barque échouée sur le bord de la rue, attendant d’être à nouveau déplacée. Si vous empruntez ce petit chemin boueux sur votre gauche après le buisson aux épines oranges, alors vous découvrirez le cœur de Grottaleau : ses ruelles boueuses et ses nombreuses chaumières et commerces qui font du hameau un endroit plus vivant qu’il n’y parait.
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Le hameau de Grottaleau a les pieds dans l’eau, mais tourne le dos à une grotte dans les montagnes qu’il faudra gravir de quelques mètres pour y trouver l'entrée. À l’intérieur, nul n’y met les pieds puisqu’on entend au loin les grognements de Trolls capables de décimer une famille entière de sorciers. Mais sur votre chemin, en bifurquant légèrement à droite, vous tomberez sur un troupeau de sombrals. On raconte qu’ils présagent la mort et peu de sorciers sont assez aventureux pour tenter de les trouver. Mais les plus sombres d’entre vous serez capables d’arracher quelques poils de leur queue pour les revendre au marché noir et y faire fortune.
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