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#la musique dans la peau
archimouss · 1 year
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Et on s'enjaille à l'ANBU. La corvée de nettoyage c'est pour Tenzo...=p
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licoeur · 26 days
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Clopes et bière
Flash back j'ai seize ans je traîne sur les plaines d'un festival
Trop happée par la musique pour me soucier de ma gueule et de mes fringues
Trop amoureuse de l'homme de ma vie qui se suicide à la meth pour penser à un autre
Je n'ai pas faim je bois dans un gobelet cassé
Une bière trop froide qui me pète les dents
Mes cheveux sentent le soir et le soleil
Ma peau bronzée, vanille et sueur
L'odeur de l'éternité
Dans une chiotte bleue en plastique
Qui vibre sous les basses d'un groupe que je ne connais pas
Et que je n'écouterai plus jamais
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Ambiance musicale 💃
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J'adore cette chanson 😍😍😍😍.
Quand on a le rythme dans la peau, il faut se lancer et danser...
Faut surtout pas hésiter...
Et vous verrez, tout s'illuminera...
C'est comme ça le pouvoir de la musique...
Elle vous procurera toujours une énergie positive...
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lesjeunesmariees · 9 months
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Demain, on déménage.
Aujourd'hui, les filles ont été ultra pénibles. Sans doute aussi parce qu'on est fatiguées et à fleur de peau.
Ce soir, les voisins gueulent et peut-être même pleurent. Leurs moutons bèlent.
Ce matin, on a été réveillées à 6h par un con qui parlait fort, écoutait de la musique et faisait tourner sa voiture.
Demain, tout ça sera terminé.
Demain, on déménage dans une impasse.
Mais ce soir, on est fatiguées.
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swedesinstockholm · 2 months
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20 février
en revenant du dentiste je suis passée au workshop d'afterwork du casino, j'étais en retard et je me suis trompée d'endroit et je suis arrivée toute échevelée. y avait deux médiatrices (mon ancien job, si j'avais pas tout gâché avec mon autosabotage j'aurai peut être fini par avoir un vrai poste fixe au casino, je me demande si la femme à l'accueil m'a reconnue) et donc y avait les deux médiatrices et un type qui s'amusait tout seul avec un synthé moog, il parlait anglais et d'après ce que j'ai entendu il était étudiant. il est parti avant la fin parce qu'il était invité à une fête qu'il appelait steak party mais je sais pas si c'était une blague ou pas. la médiatrice non plus elle savait pas. il leur a demandé ce qu'elles faisaient après le travail et la blonde a dit: rentrer chez moi, manger, dormir et recommencer le lendemain d'un ton très lassé de la vie. la brune devait déménager ses quinze paires de chaussures et ses trois cent kilos d'habits dans son nouvel appartement depuis chez ses parents.
j'aurais aimé leur demander ce qu'elles faisaient à côté de leur job de médiatrice, comment elles payaient leur loyer, pourquoi elles y étaient arrivées et pas moi, mais j'ai pas levé la tête de mon moog. de son moog. c'était le moog de la brune, elle s'en sert dans ses perfs, je sais qui c'est maintenant, elle avait fait une perf dans la cave du casino pour la nuit des musées mais on était pas rentrées parce que c'était trop cher. je crois qu'elle est curatrice aussi. elle a racheté le moog à un ami à moitié prix (300 euros). je lui ai dit que je voulais m'acheter un synthé moi aussi. j'aurais bien aimé lui demander ce qu'elle faisait comme musique aussi, mais mes capacités sociales sont au plus bas et je savais pas comment m'y prendre. j'arrivais même pas à parler clairement, sans bafouiller. c'était plus simple de rester plongée dans mes expérimentations sonores sur le moog, j'avais l'impression d'être une magicienne en tournant tous les petits boutons qui faisaient des sons trop COOL je suis obligée de m'acheter un korg maintenant.
mais je dois aussi me faire extraire une dent et ça coûte 650 euros et j'avais envie de pleurer dans la voiture quand maman m'a dit que je devrais vraiment trouver un moyen de gagner de l'argent, ça me semble tellement impossible comme tache que j'ai dit ou je peux sauter d'un pont, ce serait plus simple. j'ai pas réussi à contrôler mes pulsions morbides, elles m'ont échappé et elles se sont déversées sur l'autoroute de la frontière belge. elle m'a dit de me RENSEIGNER pour voir si je pouvais pas avoir des aides c'est pas COMPLIQUÉ quand même et dans ma gorge ça poussait parce que j'arrivais pas à lui expliquer que si c'était compliqué, que ça faisait partie du problème, que j'arrivais pas à faire ces choses-là parce que quelque chose cloche très profondément dans mon fonctionnement, c'est pas juste de la phobie administrative ou de la flemme ou que sais-je, j'avais envie de lui crier oui mais pour pouvoir faire ça d'abord il faudrait que j'aie envie de vivre! c'est de l'autosabotage comme avec tout le reste. je veux pas vraiment me sortir de La Situation. y a quelque chose à l'intérieur de moi qui veut pas, qui veut pas avancer.
j'avais l'impression d'être complètement à l'ouest chez le dentiste en plus. j'étais pas à l'ouest, mais je donnais cette impression. j'avais l'impression que la secrétaire avait pitié de moi. sinon j'ai bien aimé sentir les doigts du dentiste me tenir la mâchoire, quand la machine dans ma bouche commençait à devenir trop désagréable je me concentrais sur la sensation de ses doigts contre ma peau. ce weekend j'ai lu un livre qui s'appelle vierge de constance rutherford, j'ai lu jusqu'à trois heures du matin puis toute la matinée pour le finir. l'écriture était pas terrible terrible et j'y ai trouvé plein de maladresses mais je pouvais plus m'arrêter. ça parle d'une fille de 25 ans qui habite avec sa grand-mère et qui est toujours vierge, mais elle finit par se rendre compte qu'en fait elle est lesbienne et quand elle s'en rend compte elle couche avec une fille et hop c'est fait elle est plus vierge et elle se sent normale et on la respecte à son travail elle prend des initiatives et elle décide de quitter sa coloc avec sa grand-mère et elle arrive enfin à jouer la scène de théâtre qu'elle arrivait pas à jouer parce que la prof lui disait qu'elle était pas assez sensuelle. elle s'est inscrite à des cours de théâtre parce qu'on lui disait qu'elle avait pas de corps. mais à la fin c'est le sexe qui lui a donné un corps.
tout d'un coup j'ai été prise d'un énorme doute concernant cette histoire de perf. non mais pour qui je me prends? j'ai pas de corps moi non plus. enfin personne m'a jamais confirmé que j'en avais un en tout cas. ça me fait penser à une interview de vincent dedienne où il disait que son premier spectacle était pas terrible parce qu'à l'époque il avait jamais fait l'amour et donc il avait pas de corps lui non plus. ça me semble être un passage obligé pour monter sur scène. est-ce que ça veut dire que je dois trouver quelqu'un qui veuille coucher avec moi avant de pouvoir considérer cette histoire de show? mais avant de pouvoir coucher avec quelqu'un je dois faire une psychothérapie. et avant de pouvoir faire une psychothérapie je dois trouver une psy qui prend des nouveaux patients. autrement dit c'est pas près d'arriver.
dans le livre sa vulve se met à chanter pour lui signifier qu'elle en peut plus et que ça commence à être une question de vie ou de mort. moi la mienne elle chante pas mais elle se manifeste sous forme de flash visuels. des flash intempestifs dans lesquels je me jette sur des gens pour les embrasser à pleine bouche et presser mon corps nu contre le leur. pas le dentiste, mais beaucoup de gens. principalement r. ces derniers mois. parfois je le mords. c'est son premier roman, elle l'a écrit dans le cadre de son master de création littéraire à paris 8. je me suis dit que je pouvais faire mieux. depuis j'ai commencé drifts de kate zambreno, c'est un peu chiant (je peux faire mieux) mais j'ai appris que les jours où elle travaillait pas à l'université, son quotidien ressemblait trait pour trait au mien: beaucoup de canapé et d'internet et de lecture et de email checking et de masturbation et de vidéos d'actrices interviewées dans des talk shows et même des séries, ce que je m'interdis pendant la journée, et parfois au milieu de tout ça, des moments d'écriture.
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humeurs-des-plaisirs · 8 months
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Les chaines
Mailles après mailles, Frisson au contact du métal froid, Qui se pose sur ta peau sensible, Au gré de ses désirs. Elle t'enflamme.
Chemin qui suit le relief de ton corps A souligner tes courbes, Pour en suivre toutes les sensibilités, Jusqu’à l’intime. Elle te révèle,
Serpentine à se glisser en toi Propre à révéler ton indécence. Quand elle se s’immisce, Et ouvre ton fruit défendu. Elle te possède.
Quand elle se referme, Poignets et chevilles entravés, Tu n’es plus que sa prisonnière, Prisonnière de tes désirs soumis. Elle t’asservit.
Comme un vêtement qui t’entoure, Tu la sens dans chacun de tes mouvements. Ton corps paré de ces délicieux secrets, Qui ne demande qu’à être révélés. Elle t’habille.
Du cliquetis de celles qui t’entravent, Au tintement délicieux qui t’accompagnent, Dans les danses syncopées de ton corps femelle, Au rythme donné par le chef d’orchestre. Elle te fait musique.
Une chaine pour chaque moment, Un esprit pour la désirer, Une main pour les poser sur ta peau, Et te mener vers l'indécence de plaisirs…
…Enchainés!
Texte original PSganarel
Les humeurs du valet
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alioversus · 1 month
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Quartz
François Fontaine | Musique moléculaire | 2024
1. Ténûment, le corps donne des signes d'activité. Vibrations, et micro-percussions sur les parois de la boîte de Pétri. J’observe attentivement. Le mouvement semble s’étendre aux cultures voisines. C’est physiquement impossible, elles n’ont pas été démarrées selon les mêmes conditions. À moins d’une communication — ce qui sous-entendrait une “conscience” du corps en question. 
2. Sous la lampe à infrarouge, la surface se déforme. Pointes aigües et concavités légères. Là encore, le mouvement semble se communiquer aux autres cultures — qui ne sont pourtant pas exposées à cette même lumière. Mais le mouvement n’est pas synchrone, il se produit comme en écho. Ou à la manière d’une houle passant d’une culture à l’autre. Le phénomène s’intensifie. J’écarte la lampe. Aucun changement. Je déplace la culture de gauche sur un coussin réfrigéré. Diminution de l’onde, cette fois. Et communication de l'effet aux deux autres échantillons. 
3. Appel visio du professeur Q. Il vient de consulter mon compte-rendu d’analyse. Il est enthousiaste, mais il me dit de rester prudente. La réactivité est certes erratique et parfois intense. Chaque fois que je le vois sourire, que je vois son visage gris s’illuminer comme un visage d’enfant, des parasites numériques s’affichent sur l’écran. Q me dit de ne pas tirer de conclusions hâtives, qu'une corrélation est scientifiquement impossible et qu'il va faire réviser son poste de réception. 
4. Pendant la nuit, comme le prouvent les images de la vidéosurveillance du laboratoire, les cultures ont produit une lumière phosphorescente. C’est passionnant, mais je commence à m’inquiéter vraiment. J’ai rêvé de sauterelles et de grillons, sautant ou vagabondant sur mes bras nus et mes jambes. J’ai beau rester cartésienne, une partie de moi le ressent comme un mauvais présage. Note psychologique parallèle : le défaut d’identification favorise la superstition et la paranoïa. 
5. La première culture présente des cercles concentriques huileux. Ils s’élargissent proportionnellement au temps d’attention que je leur accorde, se rétractent dès que je m’écarte. Ce faisant, je constate que la troisième culture, pourtant la plus éloignée sur la table, réagit simultanément, mais sur un mode vibratoire. Expérience inverse : plus je me penche sur cette troisième culture, plus elle vibre — et plus les cercles concentriques de la première s’élargissent. Dans les deux cas de figure, la culture du centre demeure fixe. 
6. Un rash est apparu sur ma peau, au niveau du plexus. Je l’ai observé dans le miroir. Sa forme est étrangement régulière. J’appelle le professeur Q pour avoir son avis. Un rash similaire est apparu au milieu de son front. Preuve est donnée que nous n'avons aucun contrôle sur la situation, et aucune compréhension de celle-ci. Je lui propose de tout arrêter, de ramener les échantillons dans leur milieu d'origine ou, à défaut, de trouver un moyen de les détruire. Il me dit que c’est hors de question. Il me le dit d'une manière presque menaçante. Les découvertes sont trop importantes. Il me dit de soumettre la deuxième culture aux ultrasons. 
7. L’expérience ne provoque aucune réaction nette, sinon que je commence à souffrir d’une légère migraine. Enfin, à y regarder de plus près, je peux mesurer une micro précipitation de la troisième culture, qui se résorbe aussitôt que je mets le nez dessus. Hypothèse numéro 1 : il y a une corrélation inexpliquée. Hypothèse numéro 2 : l’observation est faussée par un trouble momentané de ma vision. 
8. Je me réveille au milieu de la nuit avec le cœur battant à cent-vingt pulsations par minute. Je me redresse, j’allume la lampe de chevet. J’ouvre ma chemise. Le rash s’étend et se contracte en rythme. Désormais, j’ai peur. Maintenant je suis sûre que c’était une erreur. Je ralentis ma respiration. Je vais passer de l’eau froide sur mon visage. Il faut convaincre le professeur Q. Il faut tout arrêter…. Rien n’y fait. Tachycardie sévère désormais. Je m’appuie sur les rebords de la vasque. J’essaie de me raccrocher à mon reflet dans le miroir. Je suis prise d’un vertige. J’ai l’air terrorisé. J’ai à peine le temps de remarquer l’asymétrie de ma grimace, à peine le temps de me voir tomber. 
9. Des sauterelles dévorent d’autres insectes. Des rossignols pépient. Impossible d’ouvrir les yeux. Nuit, semble-t-il, sur une sorte de jardin marécageux, une sorte de jungle trop paisible. J’entends des battements d’ailes : oiseau qui s’ébroue ou rubans pris dans la roue d’un moulin. J’entends un souffle sur ma gauche, comme un mammifère qui respire, un ours ou une panthère. Devant, j’entends aussi siffler. Un serpent ? Tout s’orchestre d’une manière un peu trop artificielle, il me semble. Je distingue à peine les origines. Externes ou internes ? Je suis bizarrement calme, anormalement calme. J’ai l’impression qu’une sphère ardente veut sortir de ma bouche entrouverte. Et qu’avec mes incisives, je la retiens prisonnière… Elle me parle. Elle me traite d’arrogante. Elle me prend en pitié cependant. Je la caresse avec ma langue. Je façonne une perle. Elle me remercie. J’ai fait quelque chose de désastreux pour l’espèce humaine, certes, mais quelque chose de fabuleux — pour le reste de l’univers.
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simarcana · 1 year
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Elle écoute la java Elle entend la java Elle a fermé les yeux Et les doigts secs et nerveux Ça lui rentre dans la peau Par le bas, par le haut Elle a envie de gueuler C'est physique Alors pour oublier Elle s'est mise à danser, à tourner Au son de la musique
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les-portes-du-sud · 8 months
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Dix Sept. 26.08.2023
Dix-sept marches et il est à l'autel. Dix-sept seulement. La mairie est inondée de soleil, de fleurs et de rubans partout, et d’une lueur insupportable. Le cœur bat dans la poitrine jusqu'à devenir assourdissant, comme si le son interne des tambours coupait tous les sons externes. Un piano à queue se dresse à droite de la salle de cérémonie, ses côtés laqués blancs étincelants. Le couvercle est ouvert et son ventre sans fond scintille, il est plein de roses. Une jeune fille en robe de mariée blanche est assise sur une chaise près du piano : le satin et la dentelle luisent, soulignant les débordements nacrés de la peau délicate, sa fragilité et son impuissance. Une coiffure haute s'élève en vagues sombres sur un cou fin, comme un nuage d'orage sur un tronc de bouleau. Il ne voit pas son visage, car il s'approche de la pianiste par derrière. Il ne voit jamais son visage.
2. Dix pas, le piano se rapproche, invités et témoins se figèrent d'anticipation. Peut-être que la musique est bonne. Elle a dû les émouvoir, réveiller des prémonitions et des souvenirs dans leurs âmes. Amira était une merveilleuse pianiste. Le soleil perce les épaisses baies vitrées en les irisant. Ici, ils sont allongés sur le piano avec deux bandes écarlates, le barrant, les notes posées sur le pupitre, les touches se rapprochant des doigts fins en gants de mariage blancs. Il aimerait entendre ce qu'elle joue, mais son cœur continue de s'étourdir, éclatant de temps en temps de douleur. Il arrive.
Cinq pas et il sursaute sous le tonnerre des applaudissements. Le jeu est terminé et la mariée se lève du piano, repousse maladroitement la chaise, redressant sa jupe trop longue, dénouant la traîne sous ses pieds. Elle se tient face à ceux qui sont assis et debout, et les boucles de sa coiffure qui encadrent son visage le cachent complètement de son regard. Bientôt.... Il reste un pas et il tend la main pour lui toucher légèrement le coude, elle commence à se retourner dans sa direction. Lentement, comme à travers l'eau, comme à travers un verre visqueux, il voit comment une volée de colombes arrive, battant de manière assourdissante leurs ailes blanches, même s'il n'est pas encore temps de les relâcher. Des pétales et des plumes remplissent l'air, clignotant devant ses yeux... l'empêchant de voir son visage, il ne la voit jamais .
Il passe ses mains sur son visage et sent de la sueur mêlée de larmes sur ses doigts. Le cœur bat toujours de façon assourdissante. Mais non, on dirait que les voisins frappent au mur. Il devait encore crier dans son sommeil. Il crie toujours quand il rêve d'elle. Et il ne voit jamais son visage. Il ne voit pas dans son sommeil.
Il quitta son lit et entra dans la cuisine, fume et essaie de se calmer... Une autre nuit d'insomnie.
Les-portes-du-sud
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jpbjazz · 5 days
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LÉGENDES DU JAZZ
EDDIE SOUTH, ‘’L’ANGE NOIR DU VIOLON’’
Né le 27 novembre 1904 à Louisiana, au Missouri, Edward Otha South est déménagé à Chicago avec sa famille alors qu’il était âgé de seulement trois mois. À Chicago, South avait suivi des cours de violon classique, d’abord avec un professeur privé puis au  Chicago College of Music où il avait étudié sous la direction du violoniste d’origine russe Petrowitsch Bissing. Aprèes avoir obtenu son diplôme au début des années 1920, South avait poursuivi ses études à Budapest et Paris. Même si South maîtrisait parfaitement le répertoire classique, il avait rapidement réalisé que ses talents de virtuose ne seraient jamais reconnus à leur juste valeur en raison de la couleur de sa peau.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
C’est alors que South s’était tourné vers le jazz, un genre musical où ses talents avaient finalement été appréciés, plus particulièrement dans le cadre de spectacles de vaudeville et de ce qu’on appelait la musique classique ‘’légère.’’ Initié au jazz par Darnell Howard, South avait commencé à participer, à l’âge de seulement seize ans, à des tournées de vaudeville avec le cornettiste Freddie Keppard et le violoniste Juice Wilson. Après avoir travaillé avec le Creole Orchestra de Charles Elgar, South avait joué avec l’orchestre de Mae Brady, avant de devenir le directeur musical des Syncopators de Jimmy Wade au Cafe Moulin Rouge de Chicago. En 1927, South avait assumé le rôle de premier violon avec l’orchestre d’Erskine Tate, avec qui il était demeuré jusqu’en janvier 1928.
Après avoir joué brièvement avec le quartet de Gilbert “Little Mike” McKendrick, South avait formé son propre groupe, Eddie South and his Alabamians (d’après le nom du Club Alabam où il se produisait), avec qui il avait enregistré pour les disques Victor la même année. Le groupe, qui était également composé du pianiste et compositeur Henry Crowder, avait fait une tournée en Europe de 1928 à 1930, effectuant notamment un séjour prolongé à l’Hôtel Luna de Venise, en Italie.
À l’époque, la musique de South était déjà caractérisée par son style exotique et sophistiqué. Les premières sessions auxquelles le groupe avait participé avaient d’ailleurs permis d’enregistrer des versions excitantes des pièces “La Rosita” et “Waters of Minnetonka.” Durant son séjour en Europe, South en avait également profité pour poursuivre ses études au Conservatoire de Paris. Après avoir fait une visite à Budapest, en Hongrie, où il avait découvert la musique gitane, South était retourné à Chicago en plein coeur de la Dépression. Parmi les membres de groupe, on remarquait notamment le guitariste Everett Barksdale ainsi qu’un jeune contrebassiste qui deviendrait plus tard une grande vedette du jazz: Milt Hinton. La musique gitane avait exercé une forte impression sur South, qui s’en servait souvent comme base de ses improvisations.
South avait enregistré à son retour aux États-Unis une version endiablée de “Hejre Kati”, une composition du violoniste hongrois Jenő Hubay qui était rapidement devenue son thème musical. Tout en enregistrant de façon sporadique avec les disques Victor, South avait participé à une série de seize émissions radio à Los Angeles pour la compagnie Cheloni-Skin Rejuvenator. Les enregistrements, qui ont été préservés jusqu’à nos jours, ont été réédités dans un coffret de trois CD par les disques Jazz Oracle. Devenu en grande demande, South avait joué avec son groupe dans plusieurs salles prestigieuses, que ce soit à Hollywood, Chicago, New York ou Paris. Il avait également enregistré en France, en Angleterre et en Hollande.
En 1937, South avait fait un nouveau séjour à Paris et avait enregistré avec Django Reinhardt, Stéphane Grappelli et Michel Warlop dans le cadre d’une collaboration avec le célèbre Hot Club de France. Parmi les pièces enregistrées à cette occasion, on remarquait notamment un duo de South avec Django intitulé “Eddie’s Blues” ainsi que des interprétations de classiques comme  “Dinah”, “Lady Be Good” et “Fiddle Blues.” Durant son séjour à Paris, South avait également décroch. un contrat comme artiste-résident au Club des Oiseaux, avant de passer quelques mois en Hollande et de retourner à Chicago en mai 1938.
Après son retour aux États-Unis, South avait continué de diriger ses propres groupes (habituellement en quartet, mais aussi en big band). Il avait même animé sa propre émission de radio dans les années 1940. En 1945, South avait aussi travaillé comme musicien de studio à New York.
DERNIÈRES ANNÉES
Même si South avait participé à plusieurs émissions de radio en 1944 dans lesquels il avait continué de démontrer une remarquable maîtrise de son instrument, il n’avait jamais atteint la stature de violonistes comme Grappelli et Joe Venuti. Ce manque de reconnaissance était possiblement dû au fait que South avait interprété autant de la musique populaire que du jazz et des pièces du répertoire classique. En 1940, South avait d’ailleurs enregistré un album pour Columbia intitulé ‘’Eddie South – Dark Angel of the Violin’’ qui comprenait des compositions comme ‘’Praeludium’’ ainsi qu’un Allegro de Fritz Kreisler (le plus grand violoniste classique de l’époque) et Hejre Kati, qui se basait sur une mélodie hongroise arrangée par le violoniste et compositeur Jenő Hubay (1858-1937), qui avait été publiée sous le titre de ‘’Scènes de la czárda Op. 32.’’ Enregistré le 10 juin 1940, l’album mettait également en vedette David Martin au piano, Eddie Gibbs à la guitare et Ernest Hill à la contrebasse.
De 1947 à 1949, tout en se produisant avec les big bands de Earl Hines, South avait continué de diriger ses propres groupes qui comprenaient notamment le pianiste Billy Taylor. Durant les années 1940 et 1950, South avait continué de participer à de nombreuses émissions de radio, y compris sur la radio des Forces Armées. Il avait aussi obtenu plusieurs contrats comme artiste-résident à New York, Los Angeles et Chicago.
Continuant de se produire et d’enregistrer dans les années 1950, South avait notamment enregistré pour Chess Records avec Johnny Tate à la contrebasse (ce dernier avait aussi écrit les arrangements). Il s’agissait du premier d’une série d’enregistrements auxquels Tate avait collaboré avec le saxophoniste Eddie Johnson. Durant cette période, South avait également enregistré pour les disques disques Mercury. South avait aussi fait des apparitions comme artiste-invité à la télévision, d’abord à Chicago dans les années 1950, puis à New York avec des personnalités comme Dave Garroway et Fran Allison.
Malgré d’importants problèmes de santé, South avait continué de se produire sur scène jusqu’à mort. Eddie South est mort à Chicago le 25 avril 1962. Il était âgé de cinquante-huit ans. Selon son biographe Anthony Barnett, South demeurait ‘’the greatest of all formally-educated Black violinists of the first half of the twentieth century—and beyond.” Contrairement à des violonistes comme Stuff Smith qui avait été un pionnier du violon électrique, South n’avait jamais eu recours à l’amplification dans le cadre de ses performances.
Reconnu pour sa technique impeccable, Eddie South était surnommé  “The Dark Angel of the Violin.” Les premiers enregistrements de South couvrant les années 1927 à 1942 ont été réédités sur une série de deux CD.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Eddie South.’’ Wikipedia, 2024.
SENIOR, Andy. ‘’Eddie South.’’ The Syncopated Times, 1er novembre 2017.
‘’South, Eddie.’’ Encyclopedia.com. 2018.
SUMMERS, Jonathan. ‘’Eddie South – Dark Angel of the Violin.’’ British Library, 2024.
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lesenfantsdefaust · 1 month
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Joe Hisaishi est un magicien, tout ce qu'il compose est merveilleux. A chaque Ghibli, dès que la musique se lance, ma peau se transforme en océan parcouru de frisson, et mon coeur explose et chancelle en même temps.
C'est féerique, dans ce qu'il y a de plus heureux, émouvant, triste, puissant.
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simbelmyneswriting · 9 months
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Jour 5 - souvenirs d’autres vies
J’étais archéologue en plein cagnard, les genoux dans la terre et le dos cassé, le pinceau et la truelle en main.
J’étais capitaine de péniche marchande, les mains rêches et abîmées par le travail, les yeux sur la prochaine écluse.
J’étais artificière, reliant des kilomètres de câbles aux tables de lancement, le jeans tâché de boue et les ongles noirs de terre.
J’étais débardeuse à cheval, l’odeur de la forêt collée à ma peau et le bruit des chaînes et des sabots dans les oreilles.
J’étais maquilleuse effets-spéciaux, du faux-sang et du latex dans les cheveux, les bras couverts de nuances de teint.
J’étais médecin-légiste, mettant ma rigueur et la science au service d’une justice que j’imaginais équitable.
J’étais boulangère, l’aurore comme compagne, de la farine dans le cou et l’odeur du pain chaud dans les narines.
J’étais thanatopractrice, offrant mes talents au service des familles en deuil et avec le silence comme musique d’adieu.
J’étais tellement de choses, dans ces autres vies que j’ai laissé passer comme des trains sur les quais.
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fuckyeah-jessicabiel · 11 months
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Jessica Biel pour Eclat Magazine, Canada - Printemps 2003
FRENCH
AUX COTES DE Jessica Biel
Ex-vedette de 7th Heaven, Jessica est comblée : études supérieures, carrière en pleine ascension et un petit ami qui la dorlote.
Origines: Jessica est née au Minnesota le 3 mars 1982 et a grandi au Colorado. Elle vient tout juste de quitter l'Université Tufts de Boston pour poursuivre ses études en Californie où elle a acheté un condo.
Surnoms: Jess ou Jessie. Personne dans mon entourage ne m'appelle Jessica. C'est trop long et trop formel
Révélation: Le rôle de Mary Camden dans 7th Heaven décroché en 1996. (Désormais hors de l'équipe régulière. elle y fait quelques apparitions en tant qu'invitée.)
Où l'a-t-on vue? En adolescente rebelle dans Ulee's gold; la conquête de Freddie Prinze Jr. dans L'Amour à coup sûr; en étudiante sexuellement aventureuse dans Les lois de l'attraction.
Bientôt à l'affiche: En octobre, dans une reprise du classique Massacre à la tronçonneuse (1975). « Je suis fana de films d'horreur. Ç'a été génial de travailler sur ce projet. Le rôle et le tournage ont été les plus exigeants de ma carrière.
La proposition rêvée : jouer dans une comédie musicale à Broadway, comme Rent. (L'année dernière, elle figurait dans une production universitaire de Tommy.) *La musique a toujours occupé une place énorme dans ma vie depuis mon enfance. C'est ma plus grande passion.
Études: Aller à l'université n'est pas une question de diplôme mais, avant tout, une expérience. J'y apprends des choses que je n'aurais pas pu apprendre autrement. Enrichir mon esprit me rend plus forte..
"Quand mes cheveux m'ennuient, je change de couleur. Mais, je les teins aussi suivant les rôles. Pour l'instant, ils sont brun foncé et, dans quelques jours, je passe au blond."
Une peau superbe en cadeau : À l'âge de 12 ans, j'ai reçu de ma mère, à Noël, un ensemble de soins pour la peau. Je me souviens avoir pensé : "Me voilà une femme maintenant!". Je ne pourrai jamais la remercier assez de m'avoir montré comment prendre soin de ma peau. Aujourd'hui, je suis une vraie maniaque: nettoyant, tonifiant, hydratant, plus une crème pour le contour des yeux. Et j'applique tou- jours-toujours - une crème solaire pour la journée. »
Confidences : Mon petit ami (Chris Evans, la vedette de Pas encore un film d'ados!) a horreur du rouge à lèvres, alors j'ai adopté le baume.
Plein d'énergie : « L'exercice est un excellent antistress. J'ai l'impression de pou- voir me débarrasser de tous mes tracas si je me dépense à fond. Je fais du ballet tous les soirs-c'est épatant pour renforcer et étirer les muscles. Le jour, je cours dans Santa Monica, je-vais au gymnase ou je fais une séance de yoga bikram; j'adore ça!»
"Si vous êtes aussi fervente de la coloration que moi, il est important de revitaliser vos cheveux en profondeur. Une fois par semaine, je me couvre la tête de revitalisant que je laisse agir sous un bonnet. Parfois, je me fais donner un traitement professionnel."
Sport à gogo : J'aime presque tous les sports. Si quelqu'un joue à quelque chose, je le rejoins. J'ai joué au soccer pendant toutes mes études; j'aimerais bien faire partie d'une ligue adulte. »
Musique : « Je connais un tas de musiciens avec qui j'aimerais former un groupe. Je me fous de faire un tube vendu à un million d'exemplaires. Je veux simplement jouer de la bonne musique qui fait du bien.
Linge fétiche: Les maillots de corps pour hommes, blancs et très grands. Ça va avec tout.
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By the side of Jessica Biel
Former star of 7th Heaven, Jessica is fulfilled: higher education, thriving career, and a doting boyfriend.
Origins: Jessica was born on March 3, 1982, in Minnesota and grew up in Colorado. She has just left Tufts University in Boston to pursue her studies in California, where she bought a condo.
Nicknames: Jess or Jessie. Nobody in my circle calls me Jessica. It's too long and too formal.
Breakthrough: Landing the role of Mary Camden in 7th Heaven in 1996. (No longer a regular cast member, she made guest appearances on the show.)
Where has she been seen? As a rebellious teenager in Ulee's Gold; Freddie Prinze Jr.'s love interest in Summer Catch; and a sexually adventurous student in The Rules of Attraction.
Upcoming projects: In October, she will star in a remake of the classic The Texas Chainsaw Massacre (1975). "I'm a horror movie fan. It was great to work on this project. The role and the filming were the most demanding of my career."
Dream proposal: To perform in a Broadway musical, like Rent. (Last year, she appeared in a university production of Tommy.) "Music has always played a huge role in my life since childhood. It's my greatest passion."
Education: Going to university is not just about getting a degree, but primarily an experience. I learn things there that I wouldn't have learned otherwise. Enriching my mind makes me stronger.
"When I get bored with my hair, I change its color. But I also dye it according to the roles I play. Right now, it's dark brown, and in a few days, I'll go blonde."
A beautiful skin gift: At the age of 12, my mother gave me a skincare set for Christmas. I remember thinking, "Now I'm a woman!" I can never thank her enough for showing me how to take care of my skin. Today, I'm a true fanatic: cleanser, toner, moisturizer, plus an eye cream. And I always, always apply sunscreen during the day."
Confession: My boyfriend (Chris Evans, the star of Not Another Teen Movie!) hates lipstick, so I've switched to using lip balm.
Full of energy: "Exercise is an excellent stress reliever. I feel like I can get rid of all my worries if I exert myself. I do ballet every night—it's great for strengthening and stretching muscles. During the day, I go running in Santa Monica, go to the gym, or have a Bikram yoga session; I love it!"
"If you're as passionate about hair coloring as I am, it's important to deeply revitalize your hair. Once a week, I cover my head with conditioner and let it work under a cap. Sometimes, I get a professional treatment."
Sports galore: I love almost all sports. If someone is playing something, I'll join in. I played soccer throughout my studies; I would love to be part of an adult league."
Music: "I know a bunch of musicians with whom I'd like to form a band. I don't care about creating a million-selling hit. I just want to play good music that feels good."
Favorite clothing: Men's white undershirts, oversized. They go with everything.
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drackarys · 1 year
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Rituel du mois
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Enfin, c'est pour aujourd'hui !
4 semaines se sont écoulées depuis la dernière fois, et je ne tiens plus, il est temps que ce soit pour demain...
Comme a mon habitude, j'entrerai dans cette pièce... Lumière crue, musique et odeur relaxantes...
J'enlèverai ma jupe, mes chaussures, mes chaussettes puis mon string.
Je déposerai le tout sur la petite chaise prévue à cet effet.
Je m'installerai ensuite sur la table matelassée recouverte d'un drap.
Elle entrera, me dira bonjour puis me demandera d'écarter les jambes.
Elle commencera par me passer une lingette, doucement, sur l'ensemble de ma peau, dans les moindres recoins puis me demandera de me positionner en tailleur.
Elle commencera alors ce même rituel mensuel. Elle appliquera en douceur, a l'aide de sa spatule des petites bandes de cire. Les laissera ducir avant de les oter une par une.
Petit a petit la densité de ma pilosité disparaîtra pour ne laisser que fin triangle de poils blonds au dessus de mon mont de Vénus...
Puis elle m'humiliera en me demandant de relever mes jambes afin de s'attaquer à la zone autour de mon anus.
Souvent 2 bandes sont suffisantes. Une de chaque côté mais d'une douleur différentes de la zone avant.
Le pire aura été la fois, ou par soucis de netteté, elle aura fini cette partie à la pince à épiler...
Je me demande parfois si elle ne prend pas plaisir a me torturer....
Puis elle me soulagera en me passant du talc et de l'huile...
Je repartirai contente de la douceur de ma peau, fière de pouvoir en profiter et d'en faire profiter....
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alain-keler · 3 months
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Samedi 15 septembre 2012.
Si la fête de l’Humanité est avant tout un rendez-vous politique, c’est aussi une grande fête populaire avec ses spectacles, ses guinguettes où l’on danse, ces espèces de gargotes où il fait bon dévorer des merguez frites avec de la bière ou du vin en écoutant jouer un orchestre cubain, ou un groupe venu des profondeurs de notre province et qui joue une excellente musique ou se succèdent des « Nini peau de chien », des valses et autres musiques populaires, tangos ou rocks accompagné d’une chanteuse à la voix suave et envoutante. Il y a beaucoup de débats politiques, mais dans la journée.
Samedi, pour beaucoup de monde, c’était pour Patti Smith qu’ils venaient. Mais se déplacer voir une vedette comme Patti Smith dans un lieu aussi vaste, c’est comme aller voir un match de football au stade de France alors que l’on a l’habitude de regarder le sport à la télé. Lorsqu’un but est marqué, au stade, point de « replay ». À la télé, l’action est remontrée sur toutes ses coutures, en ralenti, accéléré, du dessus, du dessous, on voit aussi les joueurs se sauter les uns dessus les autres. J’ai d’ailleurs toujours trouvé étrange que celui qui vient de marquer et qui se trouve en dessous de la mêlée ne meure pas étouffé par ses coéquipiers qui, j’en suis certain, aimeraient bien se débarrasser de lui pour être le prochain à marquer. C’est sans doute la raison qui pousse les propriétaires des équipes à les payer des fortunes pour qu’ils restent jouer malgré les dangers liés à ce que je viens de décrire… Mais il y a aussi l’ambiance, délétère pour le football, bon enfant pour le rugby.
Pour Patti Smith, point de mêlée violente et machiste, mais étant assez loin de la scène, je n’ai pu la voir que grâce à un écran géant installé à côté du spectacle. Elle est incroyable, à soixante-dix ans, elle tient pendant une bonne heure et demie, chantant de sa merveilleuse voix, jouant de la guitare et envoyant un message politique et écologique au monde. 
La journée aurait pu se terminer agréablement. À une heure du matin, point de navettes pour nous raccompagner au métro. Marche, comme à l’aller. Quarante minutes, pour arriver devant des wagons pleins à craquer et de subir l’humiliation d’insultes de la part d’une gamine hystérique et visiblement violente.
Oubliée Patti Smith et le message de paix et solidarité de la fête de l’humanité. Comme quoi, l’homme (et la femme) ne comprendra jamais au-delà du temps pendant lequel cela l’arrange, que nous sommes faits pour vivre ensemble.
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frenchliving · 3 months
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Mon week-end parfait
Ma semaine parfaite consiste à aller à Kure Beach le samedi. Pendant que je suis à la plage de Kure, j'aime bronzer et boire des rafraîchissements glacés. J'emporte habituellement des collations comme des chips, du pain, de la viande et du fromage. Rien de mieux que de se baigner dans l'océan après un bain de soleil. Je me sens toujours détendu après être allé à la plage. Ma peau est rajeunie.
Les dimanches sont généralement mes jours de farniente, j'aime jouer de la musique le matin pendant que je fais un peu de ménage dans mon appartement. Une fois le ménage terminé, je me dirige vers le Tate Street Coffee et me procure un thé chai glacé. Je saute généralement le déjeuner et prépare le dîner vers 17 heures. Quand j’ai fini de cuisiner, je me réserve du temps pour rattraper mon retard sur mes devoirs, puis je regarde des films jusqu’à l’heure du coucher.
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