Otto Dix · Sylvia von Harden
Otto Dix (1891-1969) ~ Bildnis der Journalistin Sylvia von Harden, 1926. Oil and tempera on wood | src Centre Pompidou
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[Note the inscription of her aristocratic name "Sylvia von Harden" on the inner cover of the cigarette box]
Journaliste à Berlin dans les années 1920, Sylvia von Harden (1894-1963) s’affiche en intellectuelle émancipée par une pose nonchalante. Otto Dix contrarie son arrogance par le détail d’un bas défait. Sa robe-sac à gros carreaux rouges détonne avec l’environnement rose, typique…
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Hey! i love your screenshots, i was wondering if you could post a pic of your map! I love the post showing a waterfall nook in your town, where u wished you could walk in rivers and i would love to be able to do something similar! Thanks :)
Hello! I’m sorry to say that I am a resetting addict and the island with the waterfall, I no longer have. I do however have a screenshot of the original map before I made the waterfall right here:
Luckily the waterfall I created is simple enough to do again. Now, if you look at where the campsite is at the top right corner, you can create the same waterfall- all you need is two layers above the main ground. From the base of that pond where the campsite is, I used terraforming to cut the cliffs down to connect to the river. Which created that double waterfall effect. THEN, from the left and right sides of the river (where the opening of the beach is and the other side) I made little cliffs then once again terraformed rivers over them to create the little waterfalls on each side. That’s about it. I’m sorry if this isn’t so helpful. The reason I reset my island after this was because I didn’t really like the placement of the rivers and I had to terraform so much of the island in order to actually like it. So I reset in order to get a map I wouldn’t have to terraform so much of- and just enjoy its natural state. :)
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Untitled, 2017. Acrylics on canvas /// Wingman, 2018. Acrylics and pen on canvas.
Or as I like to call it, a perfect example of concept/execution.
Recently I’ve felt kinda disenchanted with my art, but at the beginning of this week I realized something. I am a good artist not just because I make art, but because I have really great ideas. And frankly, some of the art I’ve done previously hasn’t reflected those ideas as well as I wanted. Maybe it was because I was rushing my art to see the finished project. Maybe it was because I was trying to accomplish very minute details with les than superb brushes on a tiny canvas. Maybe it was because I was relying on only one of my skills, painting, as opposed to all of them.
However, I say all of this to say thar if you do an art and it doesn’t turn out as beautiful or detailed as you wanted it to be, don’t just leave that idea there, or the art for that matter. Use them as guides and concept art for your next attempt. What did you do well? What did you do poorly? What MORE can you do with this? Use these to push yourself and your art to better tell that story. Why? Because your ideas are great and worth the best you can do. And before you know it you’ll have something as beautiful as when you first imagined it.
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Jim Harris: Untitled. Acrylic on canvas 21" x 18" 2017. https://www.saatchiart.com/art/Painting-Untitled/292357/3777217/view
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Frohe Weihnachten von uns allen Dies ist ein typisches Attwell-Clan-Gemälde, niemand … Frohe Weihnachten von uns allen 🎄🌟💕 Dies ist ein typisches Attwell-Clan-Gemälde, niemand schaut tatsächlich in die Kamera!
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drawing ~ing #kunst#zeichnen#Zeichnung#Farbe#zeigen#darzustellen#Portrait#Portrat#Bild#Gemalde#illustrator#Farben#Aquarell#abstrakt#tier#Realismus#Abbildung#dessiner#peinture#depeindret#image#letableau#illustrateur#illustrer#laconception#lacoloration#suivre#folgen#aquarelle#resume https://www.instagram.com/p/3ULMWRDioO/?igshid=865l59i1rxsi
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“San Gaetano”, oil on canvas, 80х45 cm
https://www.etsy.com/listing/252939981/
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Trois jours à Berlin, trois jours de visites, à la découverte des trésors de cette ville chargée d’émotion et d’histoire.
Voir à la fin de l’article les adresses pour votre futur séjour.
A pied ou à bicyclette, promenez-vous dans les rues, jardins, créez vos repères dans cette vaste ville. De la grande tour de télévision (Fernsehturm), d’un style typiquement “Ossie”, toute proche de l’Ile aux musées, (si vous avez le courage de faire la queue, montez vous aurez une belle perspective de la ville). En flânant dans les rues, apercevez des immeubles du Bauhaus , courant artistique design et architecture fondé en 1919 par Walter Gropius puis prenez les Champs Elysées Berlinois Unter Den Linden (sous les tilleuls), continuez jusqu’à la Porte de Brandebourg, un passage devant le Bundestag, passez au vert dans le parc de Tiergarten (le Jardin zoologique au sens étymologique du terme), tout au bout se trouve le Gemaldegalerie et voila déjà un joli tour à travers Berlin.
Bebel Platz
Premier lieu : le mémorial aux Juifs assassinés d’Europe, en plein coeur de Berlin, construit sur les plans de Peter Eisenman, ouvert depuis 2005, très impressionnant de tristesse et de douleur sombre lorsque nous arpentons ces longs couloirs. Le visiteur est saisi face à ces grands monolithes, bruts et griffés. Le mémorial se poursuit par l’évocation des noms et l’holocauste des 6 millions de Juifs assassinés. Le roman “Les Bienveillantes” de Jonathan Littell vient immédiatement à l’esprit.
Mémorial aux juifs assassinés d’Europe
Berlin Est Berlin Ouest, je ne cesse de penser à ce mur qui a séparé la ville pendant tant d’années, partout des vestiges recouverts de graffitis nous le rappellent. J’avais oublié que Berlin Ouest était une enclave dans l’Allemagne de l’Est entraînant tout un dispositif de circulation très étrange : des métros, des trains, des avions qui ne s’arrêtaient que dans cette partie et traversaient les contrées interdites surveillées par les “Vopos”, la police est-allemande. Relisez la trilogie berlinoise de Philip Kerr et vous aurez la genèse des stigmates de la ville de Berlin, qui a porté dans sa chair l’opprobre du nazisme et la division de l’Europe marquée par le rideau de fer.
Vestige du mur à côté de l’hôtel Ritz (grande tour sur la droite)
Mais cette page de l’histoire est belle et bien tournée et partout dans la ville on sent encore trente ans après la chute du mur, une effervescence de reconstruction incroyable. Des projets démesurés comme le château royal détruit par les communistes et entièrement reconstruit, il devrait être terminé l’année prochaine. Cet exemple pourrait-il inspirer Paris avec la reconstruction du château des Tuileries, incendié par la Commune car symbole du despotisme impérial ?
Sur le pont Monbijou, face à l’Ile aux Musées.
Particularité à Berlin, il existe une ile aux musées, où au XIXe siècle furent édifiés plusieurs musées, leur architecture est imposante, gigantesque. Le Pergamon est sans doute le plus connu et c’est là où se trouvent la porte d’Ishtar de Babylone et l’autel de Pergame, ce dernier, joyau du musée, provient de l’acropole de la ville de Pergame, il est actuellement fermé. Si vous traversez ce pont Monbijou, vous découvrirez les nombreux restaurants installés sur les quais.
Alte Nationalgalerie
La visite continue et je pars à la découverte d’une belle égyptienne au Neues Museum. Il s’agit de Néfertiti épouse du pharaon très célèbre Akhénaton. Je m’attarde devant ces deux têtes sculptées de manière très réaliste qui me plongent dans cette antiquité égyptienne. Ce couple uni qui avait ébranlé le régime en voulant honorer un seul Dieu et provoqué la colère des prêtres. Tout au bout de l’allée la reine Nefertiti trône dans son écrin vert, un trésor!
Neues Museum “Akhenaton” et “Nefertiti” XVIIIe dynastie
Amenemher III XII e dynastie Menphis Neues Museum
Un autre musée à voir absolument à Berlin, la Gemäldegalerie, éblouissant de chef d’oeuvres, une des plus belles collections de peintures européennes du XIIIe siècle au XVIIIe siècle. 3000 tableaux réunis en partie par la volonté de la famille royale de Prusse. L’histoire de l’art en direct ! On pourrait y passer des jours à admirer ces merveilles. une Vénus de Botticelli, une “fontaine de Jouvence” de Cranach, un dodo de Savery, une collection de Rembrandt inoubliable, le maître de Delft, Vermeer, Caravage, Poussin, Rubens, Titien … et Jean Fouquet avec ce diptyque de Melun du XVe siècle, le musée qui possède un panneau expose en ce moment le deuxième “Une Vierge et l’Enfant entourés de chérubins” , la sublime Agnès Sorel maîtresse de Charles VII servit de modèle !
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Une pépite découverte au hasard d’une ballade : le Pavillon Schinkel, j’ai eu la surprise de découvrir une exposition de Louise Bourgeois The Empty House
Schinkel Pavillon – Louise Bourgeois “The Empty House”
The woman and the scak
The sack becomes a tube
It’s a river
it’s a sack, it’s a pocket, it’s a house
the sackis precious, safe, beautiful
The house is a cul de sac, not a river
sac and cul de sac ” 6 décembre 1991, Louise Bourgeois
Schinkel Pavillon
Schinkel Pavillon – Louise Bourgeois “Couple” 2003
A Berlin, très agréable de flâner dans les rues au hasard, s’arrêter sur les bords du canal de la Spree pour déjeuner et se retrouver face au géant de Baselitz qui nous accueille à la porte de ce musée d’art contemporain Hamburger Banhof.
Neue Synagoge détruite pendant la guerre elle fut reconstruite dans les années 90.
Bref, si un jour , comme moi, vous voulez partir juste un week-end ou plus, n’hésitez pas, réservez hôtel et billets d’avion (adresses fin article). Un séjour très dense de visites, j’aurais voulu aussi voir le bunker où se trouve la collection Boros d’art contemporain, découvrir le Berlin underground et alternatif, le Berlin des start-up..
Florence Briat Soulié
Immeuble du Bauhaus courant artistique design et architecture fondé en 1919.
Restaurants :
Schwein https://www.schwein.online/
http://www.schwarzescafe-berlin.de/www.schwarzescafe-berlin.de/SchwarzesCafe.html
http://www.sarahwiener.de/fr/restaurants/hamburger-bahnhof/ Une ancienne gare au bord d’un canal de la Spree, juste à côté du musée d’art contemporain Hamburger Bahnhof
http://www.garda-berlin.de/ Italien dans un lieu charmant très arty.
Garda Ristorante
Hôtels :
Cosmo Hotel Berlin Mitte http://www.cosmo-hotel.de/
Hilton Berlin Très bien situé face à la place aux deux églises.
Gendarmenmarkt, Place des deux cathédrales la française et l’alemande.
Musées :
Schinkel Pavillon Louise Bourgeois, the empty house jusqu’au 29 juillet 2018. https://www.schinkelpavillon.de/
Neues Museum https://www.smb.museum/museen-und-einrichtungen/neues-museum/home.html
Neus Museum
Pergamon http://www.museumsportal-berlin.de/fr/musees/pergamonmuseum/
Grands travaux, devant le Pergamon
Alte Nationalgalerie https://www.smb.museum/museen-und-einrichtungen/alte-nationalgalerie/home.html
Alte Nationalgalerie
Alte Nationalgalerie
Alte Nationalgalerie
Gemälde Museum https://www.smb.museum/museen-und-einrichtungen/gemaeldegalerie/home.html
Gewerbe Museum https://www.gewerbemuseum.ch/
Hamburger Bahnhof, musée d’art contemporain https://www.smb.museum/museen-und-einrichtungen/hamburger-bahnhof/ueber-uns/profil.html
Hamburger Bahnhof museum. Georg Baselitz “Volk Ding Zero” 2009
Collection Boros https://www.sammlung-boros.de/boros-collection.html?L=1
Check Point Berlin Trois jours à Berlin, trois jours de visites, à la découverte des trésors de cette ville chargée d'émotion et d'histoire.
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Romaine Brooks (1874-1970) ~ Self-Portrait, 1923. Oil on canvas. Smithsonian American Art Museum
With this self-portrait, Brooks envisioned her modernity as an artist and a person. The modulated shades of gray, stylized forms, and psychological gravity exemplify her deep commitment to aesthetic principles. The shaded, direct gaze conveys a commanding and confident presence, an attitude more typically associated with her male counterparts. The riding hat and coat and masculine tailoring recall conventions continue reading
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Standing figure - acrylic on canvas @jacekkasjanowicz #paint #painting #art #artist #malarstwo #sztuka #artwork #gallery #obraz #kultura #culture #wystawa #exhibition #artgallery #modernart #acrylicpainting #contemporarypainting #kunst #gemalde #bild #kunstwerk #cracow #polishartist #polishart #pintura #arte #imagen #exposition #artysta https://www.instagram.com/p/CLeaCLTHDnz/?igshid=1djbgkqtahq3z
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Frida Kahlo
Heute möchte ich euch eine berühmte Künstlerin vorstellen, Frida Kahlo.
Sie wurde am 7. Juli 1907 geboren als Magdalena Carmen Frieda Kahlo y Calderón in Mexico. Ihre Mutter war Malerin und ihr Vater Fotograf, weswegen sie bereits in eine künstlerische Familie eingeboren wurde. Ihr Vater war es von wem sie künstlerische Prägung erhielt. Er lehrte Frida das genaue Beobachten der Natur, das Aufnehmen und Entwickeln von Fotografien sowie das Retuschieren. Am 17. September 1925, im Alter von 18 Jahren, erlitt sie schwerste Verletzungen bei einem Unfall mit einem Autobus und einer Straßenbahn. Diese zwangen sie für Monate lang ans Krankenbett. Während dieser Zeit kam sie aus Langweile auf das Malen. Im September 1926, mit neunzehn Jahren, malte sie ihr erstes Selbstporträt, das "Selbstbildnis mit Samtkleid". In den folgenden Jahren entstanden zahlreiche Selbstbildnisse, in denen sie ihren emotionalen und körperlichen Zustand reflektierte.
1929 heiratete Frida den mexikanischen Maler Diego Rivera.
Ich male mich, weil ich sehr viel Zeit allein verbringe und weil ich das Motiv bin, dass ich am besten kenne. ~ Frida Kahlo
Kahlo‘s häufigstes Motiv war tatsächlich sie selbst, denn von 144 bekannten Bilder, waren 55 Bilder Selbstporträts. Frida hatte schon sehr früh gesundheitliche Probleme, ab 1914. Die Folge der Erkrankung war ein kürzeres und dünneres Bein. Dennoch konnte sie später aktiv Sport betreiben, wie Radfahren und schwimmen.
Später halfen nur noch Alkohol und Drogen um ihre Schmerzen zu lindern, welche auch Einfluss auf ihre abluden hatte.
Ihr künstlerischen Durchbruch gelang ihr in New York, 1938. In der Galerie Julien Levy fand die erste Einzelausstellung Frida Kahlos statt. André Breton verfasste einen Katalogbeitrag. Dessen „Einordnung“ Kahlos in den Surrealismus wies die Künstlerin strikt ab.
Ein weiterer Einfluss auf ihre Werke war unter anderem die Trennung von ihrem Mann Diego Rivera.
1941 begann sie mit ihren Tagebucheinträgen. In diesen schrieb und malte sie ihre Gedanken und Gefühle. Es behandelt Themen wie Esoterik, Magie, Sexualität, Fruchtbarkeit aber auch ihre Jugend und Krankheit sowie ihre psychischen und physischen Leiden.
Eine Anerkennung erhielt sie von dem Kultusministerium, welcher Kahlo 1946 den Nationalpreis für Malerei für ihr Werk „Moses“ verlieh.
Ab 1951 hatte die Künstlerin so schwere gesundheitliche Probleme das sie nur noch im Liegen malen konnte.
Nach ihrem Tod am 13. Juli 1954 wurde das Blaue Haus 1959 als Museum Frida Kahlo eröffnet und nach dem Willen des 1957 verstorbenen Ehemanns Diego Rivera, dem mexikanischen Volk übergeben. Frida Kahlos Bilder wurden nach ihrem Tod von der mexikanischen Regierung offiziell zum „nationalen Kulturgut“ erklärt.
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Gemalde, 2020 by Kirah Perle
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BOTTICELLI RE-IMAGINADO
Sandro Botticelli viveu entre 1445 e 1510. Fez grande sucesso num ateliê em constante agitação. No entanto, ao contrário de seus famosos colegas renascentistas como Raphael, Tiziano, Leonardo da Vinci e Michelangelo, que desde então nunca deixaram de ser lembrados e consagrados, Botticelli foi esquecido durante trezentos anos. A razão? Mítico, freudiano ou surrealista demais? Pois foi em tempos vitorianos, quando virou uma paixão dos pré-rafaelitas, que ele voltou à moda e nunca mais saiu de cena. Hoje não é apenas visto como um cult da modernidade mas até mesmo como um artista moderno ou melhor pré-moderno.
É exatamente o seu fascínio e o alcance de sua influência no imaginário de artistas contemporâneos como Andy Warhol, David La Chapelle, Cindy Sherman, René Magritte, cantores como Bob Dylan, cineastas e designers do mundo da moda como Elsa Schiaparelli e Dolce & Gabana, o que impulsionou esta exposição atualmente na Gemalde Galerie em Berlim e que será inaugurada no dia 5 de março próximo, no Museu Victoria&Albert em Londres e que alí permanecerá até 3 de julho.
Na Inglaterra será a maior exposição do artista desde 1930. Incluirá pintura, moda, filme, desenho, fotografia, tapeçaria, escultura e gravura; um total de 150 trabalhos, sendo 55 obras do próprio Botticelli.
Segundo Martin Roth, diretor do V&A, “Sandro Botticelli é um dos grandes artistas do Renascimento e, 500 anos depois de sua morte, sua imagística fez um longo caminho para voltar a representar um ideal de beleza contemporâneo.” Na mostra veremos, através de obras ousadas e de vanguarda, como tem sido explorada as muitas sobrevidas do pintor medieval através da cultura popular. Ou seja como Botticelli pode ter se tornado uma figura cultuada ainda no século 21.
Um exemplo é o trabalho fotográfico de autoria de David La Chapelle, de 2009, considerado kitsch e opulento, batizado de O Renascimento de Venus, título que tranquilamente apropriou de uma obra de Botticelli. Foi para um tour da cantora e compositora Lady Gaga que a dupla Dolce&Gabbana criou para a artista um vestido inspirado naqueles que vestiam “ ou não” as retratadas do pintor medieval como Pallas Athena, Venus, Simonetta Vespucci e tantas outras. Estarão presentes também na exposição, a litografia “O Nascimento de Venus” de Andy Warhol e as fotografias de Rineke Dijkstra que retratam adolescentes adotando poses de Botticelli.
Durante a mostra se poderá ver um clip do filme de James Bond, Dr.No, de 1962, onde Ursulla Andrews emerge das aguas tal qual a famosa Venus de Botticelli. Teremos a oportunidade de escutar a canção de Bob Dylan, “Sad–Eyed Lady of the Lowlands” e também aquela onde o cantor explica como a “ Sobrinha de Botticelli “prometeu estar com o pintor quando ele pintasse sua obra prima “.
Uma das pinturas que poderá ser vista no V&A é aquela chamada Retrato de uma Dama conhecida como Smerelda Bendinelli ( c1470-5), comprada pelo pré-rafaelita Dante Gabriel Rossetti na Christie’s, em 1867, por vinte libras esterlinas. Segundo o jornalista Jonathan Jones, em artigo no The Guardian, este retrato, o único no acervo do V&A, bastaria para justificar a relação entre o número de obras e elementos expositivos aparentemente tão disparatados, com a obra do pintor renascentista e sua modernidade. “Não se trata apenas de um exemplo, entre tantos ao longo da história, de um retrato de mulher”. Chama a atenção o fato de os olhos da retratada olharem para fora da tela, de forma tão direta que, no passado, chegou a ser interpretado como um mau olhado ou malocchio na língua nativa de Botticelli. Teria provocado, em sua época, um verdadeiro medo do olhar feminino.
Um sentimento nada estranho aos homens nos dias feministas de hoje. E este quadro seria, em Botticelli Re-imaginado, o grande testemunho da afinidade de Botticelli com o mundo moderno.
Consta que Rossetti teria pago mais quatro libras para que esta hoje tão icônica tela fosse limpa. Durante muito tempo acreditou-se que ele próprio tivesse retocado o cabelo da retratada para que se tornassem vermelhos, como era do gosto dos pré-rafaelitas e o que viria a contrariar uma crença dos tempos medievais que associava o cabelo vermelho ao mal. Porém, nas pesquisas feitas para a exposição, ficou esclarecido, por meio da técnica de refletografia infravermelha, que tratava-se de um velho mito e que Rossetti decididamente não tocou na cor original pintada por Botticelli três séculos antes. Segundo Ana Debenedetti, curadora de pintura do museu londrino, é preciso esclarecer que o cabelo da retratada não seria de fato vermelho, mas teria um tom amorangado, ou seja, o que se costuma chamar de “louro veneziano”, muito comum no período. De qualquer modo é sabido que Rossetti adorava este retrato e que ele o inspirou na série que depois pintou de enormes telas de belas mulheres como a La Ghirlandaia, que hoje pertence à Galeria Guildhall e que foi cedida para a exposição.
Em vida, sabe-se que Rossetti tinha o retrato de Smerelda pendurado na parede de sua casa no bairro de Chelsea, exatamente quando o culto à Botticelli fervia. Daí talvez a razão de ser esta obra tão crucial para a mostra Botticelli Re-imaginado, que consegue, de forma extremante bem sucedida, documentar esta estranha relação entre a modernidade e um pintor do século 15. Sabe-se que antes de morrer, Dante Gabriel Rossetti vendeu a tela por 330 libras para seu patrono Constantine Yonides, então conhecido colecionador, que, por sua vez, a legou em testamento para o V&A em 1901.
Ainda segundo Jonathan Jones, mais do que um culto moderno, Botticelli poderia ser visto como um artista de fato moderno. Nós, inconscientemente o aceitaríamos como um artista que trata do nosso desconforto e da estranheza das coisas. E cita a frase de um texto de 1870, de autoria do crítico vitoriano Walter Pater, dizendo que as mulheres de Botticelli “são de certa maneira anjos, mas passando a sensação de deslocamento e de perda, ou seja um sentimento de exilio”. Uma sensação nada desconhecida de mulheres e – porque não também – de homens contemporâneos.
A vênus de Botticelli seria uma exilada, uma beleza triste entre as ondas, vivendo de certo modo entre o céu e a terra, se movendo em nossa direção assim como nós a ela. Ainda Jones, em seu texto, esclarece que a melancolia em seus olhos e a “sombra” sobre a beleza, é o que faria de Venus uma mulher moderna. Botticelli seria um surrealista do século 15, um artista capaz de transformar o sonho em realidade. Suas pinturas mostram os deuses pagãos em figuras vivas com uma intensidade ingênua que perturbam e invadem a imaginação de quem as fita. Consta ainda, segundo o artigo do The Guardian, que o artista teria desejado que algumas de suas pinturas como a conhecida Venus and Mars e também suas obras primas pagãs como a famosa Spring ( Primavera) fossem parar na National Gallery e ali atuassem como um mágico chamariz. Ainda segundo Jones, estes trabalhos podem causar no visitante um efeito real, como se a observação de uma obra de arte pudesse ter o efeito de nos atingir e nos transformar como pretende também a arte contemporânea. E lembra um poema de Rainer Maria Rilke onde o poeta conclama as pessoas a serem capazes de mudar suas vidas por meio do poder da arte.
Num mundo tão cheio de fundamentalismos como aquele em que vivemos hoje, Botticelli talvez se encaixasse feito luva com sua personalidade turbulenta e atrapalhada, ou seja, a mesma do homem moderno. Depois de criar suas sublimes visões do mito pagão, ele se tornou um seguidor do profeta revolucionário Savonarola. Rejeitou a beleza sensual e se dedicou a ilustrar a obra de Dante Alighieri.
Segundo ainda Jonathan Jones, o mundo muda e Botticelli muda com ele. “Seria o poeta de nossas almas exiladas“.
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nez+à+nez : Bill+Horni
il y a eu une grande joie à entrer dans la galerie wilde
et se trouver nez+à+nez
véritablement nez+à-nez, plongée dans
les toiles de Linus Bill + Adrien Horni
c’est d’abord une confrontation physique
une sensation, puis celle de l’oeil
et depuis l’oeil, il y a, à la surface de la cornée
ce qui accroche, pigments qui accroche dans leur répartition
ce sont des pixels, agrandis, qui irrite la cornée
l’ajustement de la vision quand nez-à-nez
et à cette distance c’est à cette distance que la toile
n’est pas qu’impression, est aussi montage, collage
à cette distance, toute proche, les toiles de Linus Bill + Adrien Horni
deviennent des toiles, de la peinture,
pas toutes, certaines le deviennent vraiment
d’autres, plus paresseuses parce que plus séductrices, ratent ce passage
de l’impression à la peinture, teintent un peu mélancolique le reste
cette séduction graphiste qui rattrape pour vendre, me dis-je
alors même que
la composition de ces toiles, quand il s’agit de peinture, est à saluer
c’est formes découpées et assemblées
proto carrés-cadrant (gemalde p.34, gemälde p.93), formes rect-angulaires (ny p.2 br, gemälde p.125, ny p.2 bl), formes découpées, arrondies, depuis matisse à adnan, motifs, empreintes, photos, figuration rare (mais ici un sourire : gemälde p.161) et
trait
le trait est celui, souvent, du doigt au contact du pad
il y a ce qui n’est pas lissé, pas vectorisé, celui qui râpe
comme parfois les contours
mais ce trait là, trait ou contour, qui porte la trace de son origine
technologique parfois auto-fascine, devient propos (gemälde p.149), illustratif
cependant me plaît dans l’histoire qu’il propose
la représentation des possibles dans la peinture
de ce que les logiciels permettent aujourd’hui
qui, orginellement mimaient ce que la peinture, le dessin pouvaient
c’est une boucle simple
c’est une boucle technologique permise par les avancées technologiques actuelles
depuis la faille technologique, ou l’attention à une beauté de l’imperfection
qui me touche aussi comme madeleine
comme, même génération, je vois ce qui était regardé
parce que je regardais au même âge la même chose :
paint promettant peinture, promesse tenue
quand est dépassée la seule matérialité de l’impression
par, sur la toile, le travail de recomposition
peut-être nécessaire parce que l’impression faille parfois parce que
le réel faille autant que le logiciel
il faut encore dire les couleurs de ces peintures
la palette qui n’en est pas une, qui à l’écran n’est pas limitée
mais la couleur de l’écran n’est pas la couleur du réel, dans le réel
RGB vs. CYMB
et le réel soutient le rêve de l’écran,
ou le dépasse ?
dans le catalogue, comme toute exposition de Linus Bill + Adrien Horni
l’exposition commence par le catalogue
darling mais
le catalogue est le catalogue des toiles - par des images matrices
le catalogue, étroit et haut, bleu cyan, papier glacé, est en noir et blanc
les reproductions des toiles sont en noir et blanc
c’est une esthétiqueque je connais et qui m’échappe
mais le contraste entre ce catalogue - qui n’en est pas un
et les toiles, fonctionne
comme deux objets qui tendent entre les mains des spectateurs
et leur nez contre la toile
et la distance que demande à nouveau la toile pour pouvoir être embrassée
et dehors, reproduction pauvre, et chic, chic des années passées
90′s peut-être, quand paint était folie, folles capacités
d’avec un ordinateur peindre
je me demande ce que du corps ces peintures viennent dire
du corps qui conçoit face à un écran
pour ensuite tendre celui sur lequel va se projeter
depuis les abstractions proposées
les quelques figurations
le regard de qui regarde
quelle expérience traversante des corps ?
et ainsi, resélectionnant depuis le catalogue, scannant, montant mon choix
quel geste ? dans la retramure ? dans dire : scanner est un geste
ce geste fait image,retramure : peinture ?
dire aussi que c’est pour moi me rendre compte
comme si je ne le savais pas
que l’abstraction de Linus Bill + Adrien Horni
fonctionne pour moi dans sa projection anthropomorphique
son rapport à l’homme, sa représentation
encore une fois, peut-être : son geste
la qualité de son geste
- et peut-être ici, ce que je vois fais directement écho
à ces préoccupations qui surgisssent comme l’exposition
préhistoire à pompidou le montre : l’homme, sans technologie
électrique, collapsologie en ligne de mire, colonne vertébrale
et peut-être est-ce là la limite, l’homme
en tant qu’homme encore pensé comme
universel
n’ayant pas vu avant le travail de Linus Bill + Adrien Horni
le voyant en ligne j’ai l’impression que la boucle reverse
photographie des peintures, ne tient pas
- ce qui confirmerait l’intuition de la peinture
il y a aussi à noter, par rapport au réel de ce que j’ai vu
une sélection, cet accrochage
alors que, scroller les différents temps
du travail de Linus Bill + Adrien Horni me rend leur travail
plus formel, plus formaliste, plus historicisant
peut-être juste dans la recherche de sa propre forme
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Jim Harris: Ohne Titel. Acrylic on canvas 21" x 18" 2017 https://www.saatchiart.com/art/Painting-Ohne-Titel/292357/3782492/view
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